Face à Alice et Cirillia, Algogia ne pouvait pas lutter, et, tandis qu’Alice la léchait, elle sentit l’énorme queue d’Algogia se contracter. Ses muscles se bloquèrent, et, avec son visage si proche des deux femmes, elle entendit Cirillia jouir, sentant surtout la mouille sur sa tête, mais entendit clairement le foutre remonter le long de la grosse queue d’Algogia. À ce moment, Alice avait d’ailleurs relevé le visage, et posa ses lèvres sur la base de sa verge, tout en la léchant, sentant le foutre ven,ir... Ainsi que de petits objets sphériques, et frémit en se disant qu’Algogia avait également implanté ses œufs en elle. Elle aurait dû être horrifiée à l’idée d’accoucher de créatures arachnéennes, mais, en réalité, la chose tendait surtout à l’exciter. L’instinct maternel, sans doute... Le tout amplifié par les aphrodisiaques et l’aura de stupre qui régnait dans cette pièce.
Cirillia, en tout cas, sentit son corps se remplir, et serra les dents, gémissant longuement en sentant le foutre fuser en elle. La Drider eut un magnifique orgasme, très intense, Alice sentant au plus près les liutres de foutre jaillir, la crème glissant dans les cuisses de la sorceleuse. Ciri’ hurla même pendant un moment, avant que son corps ne se détende. Elle manqua ensuite tomba, et Alice s’écarta, tout en sentant la queue d’Algogia dégrossir. Quand Ciri’ s’écarta, des filets de sperme relièrent encore son sexe à celui de la femme, et, juste après, Alice put voir la queue de la Drider, parcourue de tâches blanches.
Elle sourit, et laissa Cirillia reprendre son souffle, tout en venant se blottir contre le corps en sueur d’Algogia. Alice embrassa ensuite doucement son sein, le mordillant ensuite, une lueur malicieuse dans les yeux, et déplaça sa main, venant masturber la Drider.
« On va sûrement passer plusieurs jours ensemble, Algogia... Et Ciri’ pourra sûrement le confirmer, mais je pense que tes bébés se nourrissent de ton foutre... »
Alice avait une voix chaude. Algogia allait vite comprendre que, sous son petit corps frêle, la Princesse était incroyablement endurante. Le sang du Dragon coulait dans ses veines, et la réputation d’infatigabilité des Korvander n’avait rien d’exagérée. Alice se pinça donc les lèvres, et lui embrassa la peau.
« Est-ce que tu penses pouvoir tenir avec nous deux, ma belle araignée ? En tout cas, maintenant, tu ne pourras pas y échapper... Je te veux à Sylvandell, ma belle. Dans les grottes, tu pourras établir un vaste nid... »
La jeune femme se hissa sur la pointe des pieds, et embrassa la joue de la Drider, avant de poursuivre :
« Et moi, t’offrir plein de bébés... »