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Pour Algogia, cette nouvelle grotte était un bon présage pour recommencer une nouvelle vie. Au Sud-est d'un petit village du nom d'Orée, l'araignée avait trouvé une belle grotte où elle allait pouvoir faire son nid. La cavité était profonde, Algogia n'avait pas encore tout exploré mais elle était vide et les pièces naturelles formées dans la pierre allaient servir au mieux pour sa logistique. La drider était toute excitée à l'aménagement des salles et la plus grande aurait porte rôle de salle de repos avec un bon feu au centre. Algogia dépensait son énergie physique et magique sans compter et rapidement les pièces étaient équipées de façon assez rustique. Des meubles en bois dont l'assemblage s'était fait grâce au collant extraordinaire de sa soie. En un jour, une table, des chaises, une armoire et un semblant de lit étaient disposés dans trois pièces. Mais malgré tout, Algogia était toujours en quête d'une famille afin de combler son vide maternel.
Le lendemain, dans la fin de l'après midi, Algogia était sortie de sa grotte pour aller chasser de quoi manger, ne voulant pas attirer l'attention et grâce aux bois présents autour de sa grotte, Algogia voyageait d'arbre en arbre, elle trouva un faisan dodu qui rapidement se retrouva dans sa toile mais, un simple oiseau n'allait pas rassasier la grande drider et sa chasse continua plus vers l'Est. Posant des marques sur la cime des arbres afin de se retrouver, la drider s'éloignait de son nid pour explorer cette nouvelle contré qui, elle espérait, serait sa nouvelle maison.
Algogia était une piètre chasseuse et la zone inconnue la désavantageait encore plus. Mais l'araignée était intelligente et elle trouva une solution afin qu'elle soit toujours au courant des possibilités de chasses des environs. Pour ce faire, elle tissa une multitude de fils de soie si fins mais si solides, et, les disposants en cercle, les répartissa tout autours de la grotte. Tous ces cercles étaient reliés entre eux par un autre fil qui terminait sa course dans la grotte sous les pattes d'Algogia. Ainsi, si quelqu'un ou quelque chose marchait sur l'un des cercles, la drider serait immédiatement informée.
Une fois la toile tendue, Algogia alla déguster son faisan dans sa grotte, cuit à point, Algogia était contente de manger mais ce n'était pas suffisant, mais miracle, sa toile vibra assez fortement, une personne... humanoïde... Non attendez... deux personnes... mince de ses chevaux... Énormément d'informations arrivèrent à la drider qui se demandait le comment déséquilibre pourquoi, elle s'était mise à courir vers la sortie et s'était en chasse vers l'origine des vibrations. En quinze minutes, l'araignée venait de trouver l'origine de sortie sa quête: un détachement de soldats qui escortaient deux femmes. L'une des femmes attira l'attention totale d'Algogia, blonde et ayant une beauté qui coupa le souffle de l'arachnide. Toujours en hauteur, l'araignée contemplait cette femme et doucement, elle se disait que ses premières enfants viendraient d'elle et personne d'autre.
Le temps passait et Algogia suivait toujours l'escorte qui se dirigeait vers l'Orée, le petit village, obnubilée par la jeune femme, ses oreilles l'informaient l'araignée de la qualité de cette femme, Princesse Alice, une noble dont la beauté hypnotisait une Algogia en quête d'une mère. La troupe arriva au petite porte du village et sans trop d'éclats, la princesse fut escortée à l'auberge. L'araignée scrutait le bâtiment, cherchant la chambre de la Princesse. La nuit prenait place au jour et les clients de l'auberge étaient obligés d'allumer les bougies. De loin, la drider repéra sa cible et patienta encore pour la femme s'endorme.
Quelques temps après, les bougies étaient toutes éteintes et Algogia estimait que c'était le moment de capturer la blonde. Descendant rapidement de l'arbre, elle fonça vers la palissade proche de l'auberge et la grimpa avec rapidité. De l'autre côté, elle attendait un instant, elle devait être sûre que personne n'intervienne, et ensuite, elle escalada la façade de l'auberge, prenant soin à chaque fenêtre que les occupants dorment profondément. Algogia arriva à la fenêtre d'Alice, usant d'un peu de magie pour faire fondre le verrou, elle entra doucement dans la chambre. Ses pattes arachnides faisaient un peu de bruit sur le plancher en bois mais c'était vraiment minime comme bruit. La drider s'approcha du lit et regarda la beauté de la princesse, Algogia avait eu des pensées salaces mais elle devait se contenir pour ne pas ameuter tout le monde. Elle libéra Alice de ses couvertures et la souleva délicatement de son lit, elle se retourna et tomba nez à nez avec l'autre femme qui, au vue de son visage, n'était pas contente. Au moment où elle inspira pour hurler au secours, Algogia utilisa un sort de sommeil de base et son adversaire tomba dans les pommes pour un petit instant. Algogia avait des bases en magie mais pas assez pour faire de grands sorts. Mais trêve de déconcentration, Algogia fonça vers la fenêtre et sortie rapidement en descendant par le mur. Elle sentit Alice se réveiller mais elle subi le même sort que sa suivante et retomba dans les bras de morphé.
Deux minutes après, l'araignée était hors de la ville et dans la forêt, l'instant d'après, une cloche sonna depuis la ville, signe du rapt de la princesse, elle devait foncer rapidement le plus loin possible. Vingt minutes plus tard, Algogia et Alice étaient dans la grotte, l'araignée profita qu'Alice soit encore dans les vapes pour lui attacher les bras dans le dos avec de la soie et elle fut posée délicatement dans le lit pour qu'elle dorme encore. Et quand Alice ouvra les yeux, la drider était devant elle.
- Bonsoir humaine, j'espère que tu es forme... car tu vas passer un long moment avec moi. Que tu le veuille ou non.
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La Princesse de Sylvandell était en déplacement diplomatique. Elle avait rejoint une délégation qui faisait marche vers un État allié afin de leur fournir des armes produites à Sylvandell, et, comme il s’agissait d’une première fois, Alice avait estimé nécessaire de faire le voyage, la finalité de ce dernier étant la signature d’un traité commercial. Naturellement, la cargaison avait fait l’objet d’une protection, et ce d’autant plus que la Princesse en faisait partie. Sur Éclipse, son destrier de guerre, elle avançait au milieu de la troupe, avec, à ses côtés, sa garde du corps personnelle, Cirillia (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=7749.0). Sorceleuse, Ciri’ était de plus en plus affiliée à Sylvandell, et avait choisi de profiter du voyage, espérant trouver ici et là des contrats pour chasser des monstres.
Le groupe était en train de traverser une grande forêt, et avait choisi de se reposer dans un village, qui portait le nom d’Orée. Il était en effet trop risqué de voyager la nuit, car c’était là que les grands prédateurs se réveillaient. Orée était entouré par une palissade en bois, avec de multiples sentinelles, et était doté d’une auberge suffisamment grande pour accueillir les Sylvandins. À aucun moment, Alice ne se doutait qu’ils étaient suivis par une redoutable créature venue des bois. Elle s’installa à l’auberge, et on lui offrit la plus belle chambre de cette dernière, avec un grand lit.
Elle aurait pu y dormir seule, mais invita Ciri’ à dormir avec elle, non seulement pour la protéger, mais aussi pour lui faire l’amour. Cirillia était une personne particulière aux yeux d’Alice, car c’était la femme qui l’avait dépucelé, et qui avait entrepris de la former, de lui apprendre à se battre. Très indépendante, elle revenait parfois à Sylvandell, ce qui faisait qu’Alice ne la voyait pas tous les jours. En tout cas, cette nuit, elles eurent l’occasion de se retrouver de nouveau. Cirillia était une femme très énergique, autant en combat que dans le sexe, et en fit encore preuve.
« Hnnnnnnnnnnnn... !! » pour résumer leur séance.
Après celle-ci, Cirillia s’endormit à côté d’elle, et Alice ferma les yeux, laissant le sommeil la gagner. Elle portait encore ses longs gants et collants blancs, et le sommeil la trouva facilement. Ayant le sommeil lourd, il fut d’autant plus facile pour Algogia de la maintenir endormie quand elle fit irruption dans la chambre pour la récupérer. Les gardes encore éveillés se tenaient au rez-de-chaussée, et la Drider était passée par un côté de la palissade où il n’y avait pas de garde, le patrouilleur faisant une patrouille qui l’avait éloigné de la zone. Elle put donc passer, et, évitant les autres soldats situés devant l’auberge, grimpa le long de cette dernière.
Si Alice ne fut pas réveillée, ce fut différent pour Cirillia, qui, même en ayant le corps détendu après avoir fait l’amour, restait aux aguets. Quand ses instincts perçurent la présence d’un rôdeur, elle ouvrit les yeux, et se redressa. Sa main récupéra une dague située sur son pantalon de cuir, à côté du lit, mais le rôdeur se retourna, et la plongea dans un sommeil artificiel.
« Non... »
Ciri’ sentit ses forces l’abandonner, ce d’autant plus qu’elle sortait d’une phase de sommeil profond, et tomba au sol, luttant contre la fatigue. Elle fut impuissante, et vit la créature, une chose smei-arachnéenne, se saisir d’Alice, et partir ensuite précipitamment.
*Merde !*
L’attaque avait été aussi brève qu’inattendue. Qu’est-ce qu’une Drider fabriquait dans cette région ? Cirillia sentit l’engourdissement disparaître, et se dépêcha de sonner l’alarme... Mais il était déjà trop tard.
Plus tard, quand Alice ouvrit les yeux, elle constata rapidement qu’elle n’était plus dans sa chambre, ne serait-ce que par le fait qu’elle sentait sur son corps nu une série de courants d’air, ou l’absence d’une couverture.
« Que... ? »
Alice sentit également ses mains être coincées à droite et à gauche, et, en tentant de les ramener, sentit une vive tension l’en empêcher.
« Mais... »
Puis elle papillonna des yeux, et vit une silhouette devant elle.
« Ci-Ciri’... ? »
La forme floue se stabilisa, et Alice ne vit qu’un beau visage entouré de cheveux blonds, avec une belle poitrine, et un regard plein de lubricité. Définitivement pas Cirillia, et la mystérieuse femme se mit alors à parler, l’appelant « éhumaine », ce qui, par définition, signifiait qu’elle ne l’était pas. Clignant des yeux, en sentant la panique monter, Alice baissa ces derniers... Et les écarquilla en voyant que le tronc de la femme disparaissait dans une espèce de ceinture osseuse. Ses jambes se relevèrent, et elle sentit un épais ventre arrondi, puis baissa encore les yeux, en relevant la tête.
« Haaaaa... !! »
Une femme-araignée ! L’épouvante la plus totale put se lire dans ses yeux, et, inspirant alors, Alice eut le premier réflexe que toute jeune fille capturée et paniquée avait dans ce genre de situations :
« AU SECOURS !! »
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La princesse avait concidèré Algogia comme un monstre hideux et laid, la drider fit une grimace de mécontentement. Elle savait l'aversion des humains envers ses congénères et elle, mais elle ne s'habituait jamais à ça. Elle grinça des dents avant de ce faire plus grande en poussant sur ses pattes et hurlant.
- SILENCE HUMAINE!
Le princesse se figea devant la drider qui soupira de soulagement quand le silence regagna la grotte. Seul le bruit du crépitement du feu de camps se faisait entendre. Algogia se replaça de manière normale sur ses six pattes arachnides.
- Je ne te ferais aucun mal, malgré que les humains nous chassent et nous tuent, je n'en ferais rien.
Algogia était maintenant calme et ses yeux étaient perdus sur le corps de la princesse de Sylvandell, elle n'avait que pour habits des gants et des bas blancs. Le reste du corps était à vu de la drider qui sentait sa sève montait en flèche. Mais, pas de précipitation, elle voulait le consentement avant de la jeune femme.
- Je me nomme Algogia et comme tu l'as remarquée humaine, je suis une drider ou, comme vous préférez nous appelez, un monstre venu des Enfers... Je ne te veux aucun mal et non, je ne mange pas d'humain donc détends toi.
Algogia se retourna pour aller chercher un carafe d'eau et un verre sur une table à l'entrée de la pièce. Elle rempli le verre et le posa à côté du lit.
- Le sort de sommeil devrait normalement te donner soif, tu peux me croire, l'eau est pure et elle vient de la belle rivière que tu as traversée avec tes soldats Princesse.
Algogia se plaça sur le lit au côté d'Alice, elle regarda encore ce corps si beau, qui était si doux... Algogia sentit que sa verge voulait sortir mais elle devait encore attendre... Elle posa ses mains sur l'attache entravante de la princesse.
- Je vais te libérer, tu as pas intérêt à tenter quoi que ce soit, sinon ce que je voudrais te faire avec douceur et consentement, je te le ferais avec la plus grande douleur possible, on est d'accord?
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Qu’est-ce que c’était que ce cauchemar ? Cette espèce de centaure arachnéen gigantesque ? Surprise et paniquée, convaincue que la créature allait la manger, ou la donner en pâture à une armée de petites araignées noires, Alice avait laissé la panique s’insuffler en elle... Puis sa ravisseuse haussa la voix, et lui hurla de se taire, parlant avec une voix caverneuse, forte et gutturale, qui instaura immédiatement le silence chez la petite Princesse. Elle cligna des yeux, impressionnée par cette grande femme. Après s’être dressée sur ses grandes pattes, la femme se rabaissa, et lui expliqua alors qu’elle ne comptait lui faire aucun mal, ce en quoi Alice était plus que sceptique.
*Pourquoi me capturer, alors ?*
Elle conserva pour l’heure ses questions dans un coin de sa tête, laissant la Drider, qui répondait au nom d’Algogia, se présenter. Elle lui assura ne pas vouloir la manger, ce qui était une bonne chose. Elle se déplaça ensuite, provoquant une série de cliquètements sur le sol avec ses multiples pattes, et récupéra un verre d’eau avec une carafe, qu’elle posa sur le lit. Algogia se rapprocha encore d’elle, et Alice eut un frisson en sentant ses mains se poser sur ses bras, près des toiles entravant ses poignets.
Alice la regarda sans rien dire pendant quelques secondes, parvenant à se maîtriser. Après tout, si cette femme voulait vraiment la dévorer, elle se serait réveillée dans un cocon. Et puis, Alice savait que ses hommes devaient être à sa recherche. Elle ignorait encore comment cette Drider avait bien pu faire pour outrepasser ses gardes, notamment Cirillia.
*Ce que je dois faire, c’est gagner du temps, alors, autant être coopérative...*
Elle se pinça les lèvres, et hocha la tête, de haut en bas, comme pour donner son assentiment, et indiquer qu’elle serait sage. Algogia sembla visiblement s’en contenter, et lui ôta ses liens. Nue à l’exception de ses gants et de ses collants, Alice se redressa légèrement, et se racla la gorge.
« Que... Qu’est-ce que vous comptez me faire... ? »
Sa voix tressautait, signe de sa nervosité évidente.
Elle essayait surtout de ne pas regarder en-dessous de la ceinture de la femme, fixant essentiellement son tronc. Non pas qu’Alice soit particulièrement arachnophobe, mais... Ce n’était guère reluisant à voir !
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Algogia ressentait le dégoût et la peur d'Alice envers sa personne, dans sa tête, elle venait de classer la princesse au même titre que les autres humains qui la craignaient. Et pourtant, Algogia devait être la seule drider de Terra à n'avoir jamais tué un humanoïde, mais sa forme semi-arachnéene ne jouait pas en sa faveur. Pourtant, l'araignée avait perçu le frisson lors du contact entre leur peau, Algogia avait peut être jugé Alice bien trop rapidement. Et lorsque les liens furent enlevés, Alice demanda des comptes sur son sort.
- Princesse Alice, et au vue du blason du dragon d'or sur les écus des chevaliers, vous êtes une Korvander. Une princesse pour moi toute seule... Quelle chance.
Algogia s'éloigna de la noble pour lui laisser un peu d'aisance sur le lit et insista sur le verre d'eau.
- Buvez Majesté, l'eau est fraîche et ne contient aucun poison si c'est ce qui vous retient.
La drider se rapprocha d'une petite table où elle ramassa un fruit, une pomme verte, qu'elle sépara en deux parts rien que par la force de ses mains. Elle approcha une moitié à la princesse qui ne savait pas toujours pas le pourquoi de sa venue.
- Je l'ai cueilli ce matin Madame.
Alice était toujours dans l'expectative d'une fuite et Algogia posa la pomme à côté du verre d'eau et pour rompre le silence, la drider frappa des mains.
- Bon, je vais vous répondre... Algogia s'installa sur le lit sans écraser Alice. Est ce que vous vous êtes déjà sentie seule Princesse? Mais attention, vraiment seule au monde car moi oui, toujours.
La main droite effleura la joue de la princesse qui se figea encore plus.
- Vous voyez princesse, quoi qu'il arrive, vous êtes tous les jours accompagnée de quelqu'un que vous le vouliez ou non. Je n'ai pas cette chance, d'abord par le fait que je suis un monstre pour certain et que je n'ai pas de, Algogia posa sa main sur le ventre d'Alice, famille.
L'araignée effectua de très légères caresses sur le ventre de son invité forcée.
- Alors, comme personne ne veut de moi, je vais créér ma propre famille grâce en partie à toi. J'aimerais que tu sois ma première mère porteuse temporaire. Le temps d'une couvée et ensuite je te libére lorsque tu auras pondu les oeufs éclos. Es tu d'accord?
Le visage d'Algogia s'était déformé d'un sourire quelque pe sadique.
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Tout ça devait forcément être un mauvais rêve, un cauchemar sinistre, un songe dont elle allait ressortir... Mais les caresses du vent sur son corps, les puissants mouvements arachnéens de la Drider... Tout ça était définitivement bien trop réel. Elle se pinça donc les lèvres en se relevant, et chercha naturellement une échappatoire, mais ne vit rien, rien d’autre que des murs couverts de toiles. Elle était dans le nid de cette femme, sans savoir où, précisément. Une grotte ? Un ancien bâtiment en ruines ? Tout était possible, et Algogia, soucieuse de se montrer bien élevée, lui apporta de l’eau, ainsi qu’une pomme qu’elle avait cueillie ce matin, tout en lui montrant qu’elle s’était un peu renseignée.
Elle l’appela par son nom (Korvander) et la désigna par son statut (Princesse). Ce faisant, elle devait savoir que ses gardes allaient se lancer à sa poursuite. Pourquoi la capturer, alors ? Était-ce pour les propriétés magiques de son sang ? Alice était une humaine dotée du sang du Dragon d’Or de Sylvandell, ce qui la rendait particulièrement vigoureuse et précieuse. Le sang des Korvander était doté d’impressionnantes capacités magiques. Mélinda le lui avait dit, et Alice n’avait aucune raison de ne pas le croire. Elle était donc anxieuse, et but un peu d’eau, mais refusa la pomme, n’ayant pas particulièrement faim.
La Drider se rapprocha à nouveau, et se posa sur le lit, faisant sursauter Alice. Massive, la femme s’abaissa sur ce dernier, et Alice se retrouva sous elle, sentant ses jambes disparaître sous son abdomen arachnéen. Elle déglutit, en sentant cette peau chitineuse, chaude. C’était lisse, sans tous ces poils piquants qu’elle imaginait sur le corps des araignées. Sur ce point, Algogia n’avait pas hérité de certaines capacités physiques et sensorielles des araignées. En effet, ces petites bestioles disposaient d’une grande variété de « poils », qui leur servaient à percevoir les vibrations environnantes. De fait, il était même inexact de parler de « poils », une araignée avait des soies... Mais Algogia, non, et ça, Alice le sentit en remuant lentement ses jambes. Sa peau arachnéenne était étonnamment douce et chaude, tout en étant aussi assez dure et sèche.
Elle vit alors Algogia se rapprocher encore, une lueur brûlant dans ses yeux... Une lueur qu’Alice identifia rapidement, si semblable à celle que Mélinda avait quand elle venait la voir au commencement de la nuit, en refermant les portes derrière elle. Alice déglutit en rougissant, tandis qu’Algogia lui expliqua souffrir de la solitude.
« Je... »
Alice n’y trouva pas grand-chose à dire, car, effectivement, la solitude n’avait jamais été l’un de ses problèmes. Princesse, elle était très courtisée, que ce soit avec son mari, ses Maîtresses, ou ses autres connaissances. Elle sentit alors une main caresser sa joue, glissant le long de ses mèches de cheveux, des ongles glissant sur ses lèvres, puis sa main se déplaça encore, et se posa sur son ventre, appuyant doucement dessus.
« Hnnn... ! »
La Princesse se pinça les lèvres, ferma les yeux, et Algogia creva alors l’abcès, expliquant qu’elle voulait... Lui faire des bébés ! Alice écarquilla les yeux, et secoua la tête.
« Q-Quoi ?! Il... Il n’en est pas question... ! »
Alice fronça les sourcils, furieuse, se mettant à trembler à l’idée d’imaginer des araignées pondre dans son corps, et sortir en remuant leurs petites pattes dans son vagin... Vision d’horreur ! Elle s’emporta alors, tout en sachant qu’elle n’était pas en position de négocier, et que son refus allait sûrement rendre Algogia plus brutale... Mais c’était à se demander si, après tout, ce n’était pas là ce que la Drider recherchait.
« Jamais ! Laisse-moi partir, ou mes gardes te tueront ! Ils me retrouveront d’ici quelques minutes, maintenant, alors, tu as intérêt à arrêter ça ! »
Elle essayait de se montrer la plus convaincante possible...
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- Tes gardes...
Algogia se mit à rire de bon coeur avant de revenir sérieuse dans un soupir.
- Princesse, je vis depuis bien longtemps et j'ai effectué quelques petites amélioration des environs.
La drider fixa le visage d'ange d'Alice.
- Sans être visible, tout le périmètre autour du village est envahi de mes filaments de soie qui terminent leur courses ici.
Montrant du doigt les murs couvert de toiles placées de manière rangées.
- C'est grâce à cela que j'ai pu repérer votre cortège arriver dans la région et d'après mes toiles, tes hommes te cherchent à l'opposé... ils sont pas prêts de venir.
Et Algogia se remit à rire de plus belle. Et caressant le visage de la princesse, l'araignée sentit son corps frémir au contact avec la peau de la noble femme. Elle sentait qu'elle n'allait pas tenir longtemps avant de la prendre avec force, mais malgré tout, elle ne voulait pas violer les femmes avec qui elle voudrait un enfant.
- Maintenant, tu n'as que deux solutions, soit tu te résignes et on fait ça en douceur, ou alors, je deviens méchante et je te force dans la façon la plus douloureuse possible. Choisis bien Princesse.
Algogia se retira du lit et se posa doucement au sol, fixant une Alice en panique, de sa position, la drider pouvait voir un vagin bien lisse et tellement attirant. Sa verge sortit de son abdomen arachnéen et, en se tordant, se tourna vers l'avant. Pour l'araignée, les hormones devenaient trop forte et elle s'avança vers les jambes de la noble. Algogia plaça son avant bras gauche sous les arrières des genoux d'Alice et elle poussa vers la tête de la victime afin qu'elle se retrouve en boule. Ainsi, Algogia avait une liberté et vue sur un vagin serré. Avec sa main droite, elle glissa ses les grandes lèvres du con de la femme, passant de gauche à droite et de bas en haut.
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Devenir la pondeuse d’une femme-araignée... Et puis quoi encore ? Alice n’était pas spécialement arachnophobe, mais... Eh bien... Beurk quand même ! Elle n’avait guère envie d’accoucher de monstres arachnéens, d’autant plus qu’elle ne savait pas si c’était sûr pour elle, et que rien ne lui garantissait qu’Algogia tiendrait parole. Les Driders étaient des créatures redoutables, des prédateurs qui, comme les Lamias, chassaient les humains pour s’ne nourrir. À ses yeux, Alice était une proie. Qu’une Drider soit dans cette région était assez incroyable, et la jeune Princesse pouvait volontiers dire n’avoir pas eu de chance. Pour autant, ce n’était pas une raison pour abandonner, et pour laisser cette créature faire ce que bon lui semblait.
Ricanant devant sa bêtise, elle lui avoua que ses hommes la cherchaient au mauvais endroit. Alice n’avait aucune raison de la croire, et fronça les sourcils, tout en cherchant une échappatoire. Hélas, tous les murs étaient recouverts de toiles, et le seul moyen de fuir semblait être de grimper le long des toiles. En effet, au-dessus de sa tête, Alice voyait un trou avec ce qui ressemblait à une série de stalactites. Un piège simple, mais efficace. Elle déglutit, en comprenant qu’elle était faite, prisonnière comme un rat, et n’avait aucune autre option que de compter sur la bienséance de cette femme... Tout en restant convaincue que Cirillia la retrouverait. La Drider avait forcément laissé des empreintes sur le sol, et Ciri’ avait suivi une formation de sorceleuse. En ce moment, elle devait être sur sa piste, remontant le long de la forêt... Et ce d’autant plus que Ciri’ avait brièvement combattu la Drider, même si Alice ne l’avait pas vu.
Alice vit alors la femme se concentrer, et, entre ses cuisses, quelques plagues chitineuses s’écartèrent, et un gros phallus se dressa brusquement. Elle rougit encore, comprenant qu’Algogia était décidée à passer aux choses sérieuses, et se recula prudemment, avant de la voir se rapprocher.
« N-Non... Ne... Haaaa... !! »
Les mots s’embourbèrent entre ses lèvres. Elle recula sur place, et Alogiga attrapa ses jambes, puis la releva, et la retourna. Alice, fort heureusement souple, gémit néanmoins en sentant ses articulations souffrir, et vit ses pieds partir vers l’arrière, son corps se relevant pour se placer face à la femme.
« Gnnnn... !! »
Des filaments de toile se posèrent sur ses genoux, et se posèrent contre le mur ou sur le lit, aidant ainsi à retenir les jambes d’Alice. La Princesse se retrouva dans une position très particulière, avec ses jambes qui filaient au-dessus de sa tête, et elle qui voyait, entre ses cuisses, le corps d’Algogia, uniquement son buste, avec ses mains qui se posèrent sur son sexe. Son vagin était accessible à la femme, Alice étant, en somme, en une sorte de position de roulade, avec la tête sur le sol, et les jambes au-dessus, son dos s’arquant légèrement en décrivant un arc-de-cercle.
En sentant ses doigts caresser son bourgeon, Alice gémit, sentant un frisson la traverser, et chercha alors n’importe quel prétexte pour la stopper, ce qui l’amena à lancer :
« Je... Tu-Tu fais erreur, je... Je suis stérile !! »
C’était un mensonge, bien sûr.
Alice ne savait tout simplement plus quoi dire !
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La panique d'Alice devenait aphrodisiaque pour la drider et plus paniquait, plus l'érection d'Algogia devenait puissante. Mais Alice tenta une dernière carte, le tout pour le tout.
« Je... Tu-Tu fais erreur, je... Je suis stérile !! »
Algogia s'arrêta un instant, sa tête paraissait froide, elle fixa une Alice retournée et elle garda sa main droite sur la fleur de la Princesse.
- Oooh quel dommage pour Sylvandell...
Après cela, le visage de l'araignée se déforma encore plus par un sourire de psychopathe et elle s'amusait des petites tapes sur le sexe de la noble.
- On t'a jamais apprise comme les driders se reproduisait? On s'en moque de savoir si notre proie soit féconde ou pas, notre abdomen contient deux glandes, l'une est remplie de sperme et l'autre d'oeuf à féconder. Les proies nous servent juste de réceptacle.
Algogia donna une dernière tape plus forte, punitive, avant d'approcher son visage sur l'intimité de la princesse. Contre toute attente, l'odorat de la drider lui envoya une odeur d'excitation de la par d'Alice.
- Je vois que tu aimes que l'on te malmène quelque peu, tu es une fille spéciale, une princesse d'un royaume qui couche avec ses servantes c'est assez rare. Je te pensais plus ouverte d'esprit que cela Alice Korvander. Tu me déçois beaucoup...
Algogia s'enfonça son index droit dans sa bouche avant de le présenter au vagin d'Alice pour y entrer non sans forcer.
- Maintenant, je vais te donner envie de moi petite salope humaine.
En même temps, la drider joua du tam-tam sur les fesses d'une Alice bloquée.
-
Bien sûr, Alice n’était pas du tout stérile, mais, dans sa panique, elle n’avait tout simplement pas su quoi dire pour tenter, vainement, de dissuader cette Drider. Malgré tout ce que la femme-araignée disait, elle l’avait capturé, et était donc potentiellement dangereuse... Surtout qu’Alice savait que les Driders étaient anthropophages, et voyaient les êtres humains comme leurs proies naturelles. Difficile, donc, de croire à son innocence quand elle avouait vouloir « juste » l’enfanter. Et puis, même à supposer que les intentions d’Algogia ne se résument qu’à ça, ce n’était pas non plus acceptable. On n’engrossait pas les gens sans demander leur avis ! Alice était certes une fille perverse, mais elle l’était librement. Elle détestait qu’on la force, qu’on abuse de son consentement, ne se soumettant que par plaisir. Autant dire que ça n’avait rien à voir avec la situation actuelle, où Algogia se jouait d’elle.
La Drider finit par se redresser, après avoir reniflé les cuisses d’Alice, approchant son visage de son sexe. Le corps de la jeune femme était en train de la trahir, et Alice sentit même ses joues s’empourprer. Un filament de toiles s’enroula alors autour de ses poignets, et la redressa.
« Gnnnnn... N-Noonn... Lai... Laisse-moi ! »
Mais, loin de lui obéir, Algogia la redressa, encore, et enfonça un doigt dans son intimité, faisant couiner la belle blonde, avant de la fesser avec son autre main.
« Hmmm... Non, a-arrête... !! Haaaa... !! »
Les tapes se multiplièrent. La Drider avait une sacrée poigne, et n’hésitait pas à battre sa prisonnière, qui rougit encore plus, se refusant à admettre qu’elle aimait ça. Mais elle n’avait pas besoin de le dire, en réalité, car, le long du doigt de la Drider, sa délicate cyprine se mit à couler, témoignant du plaisir actuel qu’elle ressentait, et qui ne demandait qu’à se développer et à prospérer.
« Hnnnn... !! »
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Algogia s'amusait de l'état de panique de la princesse, elle devait penser qu'Algogia devait être comme les autres driders: anthropophage. Mais, elle était loin du compte, très loin, Algogia avait été élevée par un humain et donc ce n'était pas dans ses gènes de manger un humain. Algogia voulu quand même garder cette méfiance pour le moment car Alice ne pensait à fuir par peur de représailles d'Algogia. L'odeur de cyprine commençait à inonder le nez de la drider dont les hormones commençaient à bouillir d'envie et le visage d'Alice semblait avoir des mimiques de bonheur entre deux claques sur les fesses rouges.
Alors petite garce, on aime se faire maltraiter au lit... Si la court de Sylvandell apprenait que sa princesse héritière est une partisane de la soumission, les relations diplomatiques vont en prendre un coup... Mais résiste moi encore un peu... Tu m'excite encore plus.
L'araignée cessa ses claques et tira encore plus sur les files de soies pour que la noble se retrouve en position assise, les jambes ouvertes, dans le vide. De cette position, Algogia pouvait voir la cyprine coulait sur le sol. L'araignée plaça sa main en dessous du sexe de la femme et récolta trois ou quatre goûtes, elle amena sa main à son nez et inspira un bon coup.
- Cette odeur est sublime... Tu n'es pas d'accord avec moi? Attends, je vais te faire sentir.
Finissant sa phrase, Algogia frotta sa main sur le visage de la princesse afin de bien étaler son fluide corporel sur elle. Algogia en rigola.
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Face à cette redoutable Drider, Alice se sentait totalement dépassée. Comment lutter contre elle ? À quoi bon hurler ? Cirillia et ses gardes étaient bien loin, et il était dans l’intérêt d’Alice de gagner du temps. Elle savait que la sorceleuse pisterait les traces de la Drider, et éviterait soigneusement de marcher sur ses toiles, afin de ne pas attirer l’attention. Alors, tout ce qu’elle avait à faire, c’était de satisfaire suffisamment cette femme pour qu’elle ne la mange pas. En l’état actuel des choses, c’était surtout cette perspective qui terrorisait Alice... Ça, ou qu’elle la recouvre dans son cocon, et qu’elle la pompe peu à peu de ses forces. Alice n’avait pas le choix, mais, ce qui l’effrayait le plus, c’était, en réalité, la perspective qu’elle finisse par apprécier le traitement qu’elle subissait.
Usant de ses toiles, Algogia la redressa, et Alice se retrouva suspendue dans le vide, jambes écartées, retenues par les fils de soie, son buste redressé. Elle frémit en sentant la main caresser ses cuisses, recueillant des dépôts de cyprine, pendant qu’elle se moquait d’elle, la narguant.
« Tu... Ça ne veut rien dire, ce n’est pas ce que tu crois ! » lâcha Alice.
Mais, pour seule réponse, la Drider lui tartina le visage avec sa mouille, et Alice secoua la tête.
« Tu... Tu te moques de moi ! Je... Tu m’as sûrement drogué avant, c’est pour ça que mon corps réagit ainsi !! »
Il suffisait de voir les rougissements sur les joues d’Alice pour constater combien elle était confuse. Mais elle restait bien une Princesse, de sorte qu’elle ne comptait pas s’avouer vaincue si facilement, nia dmettre que la situation, pour quelque obscure raison que ce soit, commençait en réalité à l’exciter chaudement.
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Algogia adorait les propos de panique de la noble, en fait, cela l'excitait encore plus, ses dires disaient non mais tout son corps hurlait oui encore. Alice mouillait encore beaucoup alors que l'araignée voulu passer à la vitesse supérieure.
- Voyons comment tu vas expliquer les réactions de ton corps après ça.
Algogia suça deux doigts et elle les plaqua contre l'intimité brûlante d'Alice. D'abord, elle joua avec le clitoris bien gonflé de la noble et rapidement des petits soupir arrivèrent aux oreilles de la créature, quelques instants après, Algogia massait les grandes lèvres bien ouvertes avant d'y enfoncer les deux doigts. Faisant des vas et viens doucement, Algogia attrapa le visage de la princesse avec sa main gauche, forçant à la regarder dans les yeux.
- Tu es à moi pour cette nuit, je te laisserais partir que fois satisfaite et remplie de mes oeufs.
Algogia ria de bon coeur avant de tirer sur ses toiles pour faire plier les genoux de la noble et lui faire reprendre une position assise.
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Combien de temps Alice allait-elle pouvoir encore prétendre lutter contre ce que la Drider lui infligeait ? Elle avait pourtant des raisons légitimes de paniquer. La femme l’avait kidnappé au nez et à la barbe de ses gardes, et appartenait à une espèce anthropophage. Comment ne pas paniquer, en réalité ? Mais, pourtant, la peur d’Alice disparaissait au profit d’une excitation sexuelle croissante, qu’elle essayait de nier, non seulement à l’égard d’Algogia, mais aussi à l’égard d’elle-même. Son corps, formé par Mélinda, par Tinuviel, et par toutes ces autres rencontres, échappait à son contrôle, répondant aux avances de la Drider par le désir, un désir qui noyait la peur qu’elle devait normalement ressentir. Déglutissant sur place, Alice continuait à rougir, et ne put retenir l’entièreté de ses gémissements quand Algogia reprit ses masturbations, avec deux doigts.
« Haaaa… N-Nooon… Haaaaann… »
Ses mains se crispèrent, la sueur commença à couler le long de son corps, et elle se pinça les lèvres, cherchant à retenir ses cris et ses soupirs, pendant qu’Algogia continuait à la titiller, à la stimuler. Ses longs doigts ne cessaient de glisser en elle, d’aspirer son plaisir, de la pousser dans ses derniers retranchements. Oh ! Comment pouvait-elle y résister ? Alice se sentait peu à peu partir, son corps devenant plus malléable, ses seins plus douloureux, les tétons pointant sous l’effet du désir.
Elle sentit soudain la main d’Algogia se poser sur sa tête, et relever son visage, de sorte que leurs regards vinrent se croiser, pendant que la Drider réitérait ses conditions… Et, cette fois, Alice y répondit par un soupir. Sa mouille glissait le long des doigts de la femme, qui finit alors par la repositionner, la remettant sur le lit à l’aide de ses toiles, en position assise.
« Haaaa… Je… Je ne veux paaaass… Haaaa… »
Qui pourrait croire qu’elle était sincère ? Elle glissa cette phrase sur un ton assez faible, car, en réalité, en ce moment, Alice était furieusement excitée.
Algogia était en train de la pousser dans ses derniers retranchements !
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Algogia n'était pas dupe, la bouche d'Alice disait non, son corps criait oui encore. L'araignée était amusée de la réaction de la noble qui lui résistait veinement aux assauts répétés sur son intimité et elle savait qu'elle ne tiendrait plus longtemps. La drider avar replaçais Alice assise sur le lit et elle se plaça devant elle, de cette façon, elle attrapa les tétons d'Alice dans chaques mains et elle s'amusait à pousser Alice légèrement en arrière avant de la retenir avec ses mêmes tétons.
- Allez sois pas timide ma grande, tu aimes ça. N'aie pas peur, je te libère après avoir couché avec moi.
Après, Algogia poussa de plus en plus fort et elle pinça tout aussi fort avant que les seins de la princesse ne lui échappe et qu'Alice tombe sur dos dans le lit. Maintenant, Algogia pinça le clitoris d'Alice et elle le secoua dans tous les sens possibles. Le vagin était trempé mais Alice ne lâcha pas encore, elle était rouge pivoine mais toujours fière.
- Bon, ben puisque c'est comme ça, il me reste une chose à faire... Te dévorer ta belle petite fleur d'amour, Princesse.
Algogia plongea tête la première sur l'intimité d'Alice et elle lécha d'abord la fente de haut en bas et ensuite le bouton d'amour gonflé de désirs.
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Martyrisée sexuellement par cette femme, Alice n’était clairement pas à son avantage. Elle la reposa sur le lit, les fils continuant à s’enrouler autour de ses cuisses, mais plus par détail esthétique que par véritable envie de la retenir. Algogia avait compris que l’opposition orale d’Alice n’était que de principe, et que son corps avait déjà répondu favorablement aux attouchements de la Drider. C’est ce qui l’amena donc à la torturer encore, en pinçant ses seins, tirant sur son corps, puis en s’appuyant sur ses tétons, déclenchant des ondes douloureuses de douleur dans le corps de la jeune blonde, qui gémissait et couinait à chaque fois, les seins maltraités.
« Haaaa... Nyaaaahhh... Haaaaa... !! »
Algogia vint ainsi à jouer avec elle, à la maltraiter par plaisir, avant de finir par la coucher sur le lit. Soufflant lourdement, Alice se faisait l’impression d’être épuisée. La Drider glissa qu’elle allait la libérer après avoir couché avec elle,e t Alice ferma les yeux, en soupirant encore.
« Hmmmm... Nnn... »
Elle allait encore tenter de plaider sa cause, mais la Drider bondit soudain sur elle, et la fit hurler en ciblant, cette fois-ci, son clitoris.
« HAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !! »
Alice se cambra sur place, se tortillant sur le lit, et sentit ensuite la puissante langue de la Drider s’enfoncer entre ses cuisses, cuisses qui ruisselaient de mouille, et qui ne contribuaient qu’à trahir davantage Alice. Malgré toutes ses bonnes volontés, son corps continuait à lui échapper, à n’en faire qu’à sa propre volonté. Elle posa alors ses mains sur la tête d’Algogia, caressant ses cheveux, et s’appuya sur ses cornes, en soupirant longuement.
« Hmmmm... Haaaaa... Haaaaaa... !! »
La Princesse soupirait longuement, ferma encore les yeux, et continua à laisser Algogia faire, sentant, petit à petit, toute forme de résistance s’envoler bien loin de son corps...
« Mmmhmm... Hnnnnn... »
Et elle continuait délicieusement à sombrer...
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Algogia sentait la victoire proche quand les mains de princesse se posèrent sur sa tête et ses cornes. Elle avait cédé physiquement et pour le mentale, ce n'était qu'une question de temps. L'araignée s'acharna de plus en plus fort dans l'antre intime, buvant toute la cyprine qui ruisselait, le goût était doux et excita encore plus Algogia. Alice ondulait de plus en plus et avec ses mains sur les extrémités osseux des cornes, elle plaqua la face de l'araignée sur son intimité. Algogia en sourit, elle se donna même le luxe de défaire les les liens aux cuisses de la princesse afin de faciliter la suite.
Après quelques minutes entre les belles cuisses d'Alice, Algogia se redressa et remonta sur le corps d'Alice pour aller chercher un baiser chaud. Elle fut très agréablement accueilli par la noble.
- Haaaan... Maintenant, passons aux choses sérieuses ma belle princesse.
Algogia soupirait rien qu'à la vue de ce magnifique visage, cette vue envoyait des pulsions dans son chibre qui était déjà bien sorti de sortions abdomen. Elle le plaça à l'entrée du vagin ouvert de la blonde, frottant le gland sur la raie. Puis, elle pénétra de quelques centimètres afin de bien se placer en elle.
- Mmmmh, quelle agréable sensation, une princesse au bout de ma queue, j'en suis honorée...
Elle remuait doucement et sur quelques centimètres afin de faire languir une Alice qui avait déposé les armes sous les assauts de l'araignée. Mais soudain, elle poussa un grand coup sec jusqu'au fond.
- Raaaaaaaaaaaah...
Algogia plaça ses mains sur les épaules de la princesse afin de bien la maintenir couchée sous elle, comme elle n'était plus attachée, fallait quand même faire attention. Et elle continua d'écarteler l'intimité d'Alice dans des grands coups de reins, gémissant et soufflant, l'araignée prenait son pied totalement. La séance de petite torture l'avait rendue aussi excitée.
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Alice était en transe, tout simplement. Elle n’arrivait plus à lutter contre Algogia, contre la puissante Drider qui léchait avec passion son intimité. Tout le corps de la tête blonde frémissait au contact de la langue de la femme, qui passa son temps à lécher son sexe. La Princesse ne pouvait plus retenir ses gémissements. Certes, elle avait été capturée, et, certes, elle était face à une femme-araignée, mais... Eh bien, même en sachant cela, Alice était quand même très excitée par les talents de la femme. Algogia était douée, c’était indéniable, et la manière dont elle léchait ainsi le sexe de la Princesse la plaçait dans un état d’excitation rarement atteint. Alice se tortillait sur place, ses doigts se posant sur les cheveux de la femme, pendant que toutes les toiles que la Drider avait utilisé pour la maintenir se retiraient.
Finalement, et au bout de plusieurs minutes, Algogia se redressa, et Alice répondit à son baiser. Ses joues avaient rougi sous l’effet du désir, et elle n’essayait même plus, désormais, de faire semblant. Non, elle se contenta d’embrasser furieusement la Drider, plaquant sa bouche contre la sienne, enfonçant sa langue dans la sienne, serrant ses bras contre sa nuque.
« Hmmmmm... !! »
C’était une chance qu’Alice ait été formée auparavant par des femmes très perverses, comme Tinuviel, Cirillia, ou encore Mélinda... Car il n’y avait que comme ça qu’elle avait fini par accepter la présence de la Drider, qui approcha ensuite sa queue. À nouveau, Alice frémit en sentant l’abdomen de son amante écraser ses jambes, coinçant la moitié de son corps sous elle, puis gémit en sentant, ensuite, la queue tendue s’approcher de ses lèvres intimes.
« Haaaa... »
Algogia, qui avait sa réponse, la pénétra alors, et Alice couina, serrant les lèvres en se dandinant sur place. Elle enfonça ses mains sur le lit, et sentit la femme remuer en elle, soulevant et abaissant son corps, avant de continuer à la pénétrer.
« Oooohhh... Haaaa... O-Ouiii, hmmm... !! »
La Princesse commençait à gémir profondément... En étant terriblement excitée par ce qu’elle vivait ! Cette fois, il n’y avait plus aucun doute... Elle avait rendu les armes !
Tout ce qu’elle voulait, maintenant, c’était coucher avec cette femme puissante et belle.
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Algogia continua son travail dans l'intimité de la princesse, tout en elle ne voulait qu'une chose, que cela dur une éternité. Le vagin d'Alice se forma, ou se déforma, afin d'accueillir au mieux le pieux de la drider. Ses mains bien aggripées à ses épaules, l'araignée prenait appuis sur ces derniers pour envahir le plus fort possible ce corps si désirable, si parfait qui s'offrait enfin à elle. Quand elle disait qu'elle était honorée, elle ne mentait pas, baiser Alice de Korvander était un honneur qui se donnait à elle et lorsqu'elle la libérera, elle aura un pincement au coeur.
La séance commençait à prendre quelques minutes et Algogia, elle aussi, gémissait, grognait et criait de temps en temps. Sa verge était bien traitée dans l'intérieur de la princesse.
- Aaah aaah... Tu as vu... J'ai eu ton consentement petite peste... Mmmmh... Mais je dois l'admettre... Le temps d'attente est proportionnelle à ce moment de bonheur...
Algogia voulu insultant Alice de pute ou de salope mais, elle rensentait énormément de plaisir, elle ne pouvait pas l'insulter gratuitement. Les vieux enzigbements de son maître restaient toujours dans un coin de sa tête.
Algogia changea de tactique de pillonage, elle s'essaya à la tactique de sortir sa verge entièrement du corps de la blonde pour la rentrer d'un coup sec quelques secondes après.
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Alice ne pouvait plus feindre le plaisir, maintenant. Elle était désormais convaincue qu’Algogia ne lui voulait pas de mal… Ou peut-être que si ? Mais, en tout cas, elle la baisait divinement bien, et, après tout, du peu qu’Alice en savait du sexe, plus elle contenterait cette femme, et moins la Drider aurait envie de la manger, non ? Tout ce qu’il fallait retenir, c’est qu’elle devait juste gagner du temps, pour permettre à Cirillia de la retrouver. Alice savait que les Driders étaient plus forts que les humains, mais elle avait entièrement confiance en Ciri’, sa sorceleuse, pour la protéger, et pour affronter cette redoutable bête. Il fallait donc tenir… Ce qui, honnêtement, était pour le moment plus facile que prévu. Certes, Algogia la baisait bien fort, mais ce n’était pas pour déplaire à Alice, qui avait appris le sexe intense avec Mélinda.
La Drider semblait donc satisfaite, et Alice gémissait longuement, en sentant la verge de la femme continuer à enfler en elle, d’avant en arrière, ne la ménageant vraiment pas. La Princesse en couinait tellement qu’elle avait du mal à garder les yeux ouverts, tandis que son corps continuait à onduler d’avant en arrière, prise sous les puissants mouvements de la femme arachnéenne.
« Hoooo… Haaaaa… »
Alice aurait bien voulu répondre à Algogia, mais… Eh bien, cette dernière la bourrait tout simplement trop fort pour qu’elle puisse réagir, et ce fut encore pire quand la Drider continua à la prendre, d’avant en arrière, en retirant sa queue, puis en la pénétrant ensuite. Cette fois, au lieu de simplement gémir, Alice se mit à hurler, la tête blonde se tortillant sur place.
« HAAAAAAAAAAAAA… HMMMMMMMMMMM… HAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »
Alice hurlait à s’en rompre la voix, tant la femme lui faisait du bien !
*Par tous les dragons, que c’est bon !!*
Sa mouille produisait des petits bruits de claquements spongieux quand Algogia s’enfonçait en elle et en ressortait ensuite, et s’écoulait ensuite le long de ses cuisses, ou recouvrait la verge de la Drider.
« Hmmmmmmmmmmmmmmmmm… !! »
-
Les cris d'Alice étaient la preuve éclatante de la victoire de l'araignée sur la princesse. Algogia se sentait puissante alors qu'elle besognait sans retenue la princesse. Gémissante, l'araignée avait énormément de plaisir à aller venir dans cet antre si humide, si mouillé que des gouttes tombaient au sol, laissant un écho.
- Vas y petite princesse... Donne toi à moi et hurle ton plaisir...
Algogia arrêta net ses mouvements et attrapa les hanches d'Alice afin de la placer à quatre pattes devant elle. Une fois fait, l'araignée posa ses mains sur les fesses de la blonde avant de présenter son énorme dard au ton de la princesse.
- Détends toi, je vais te faire que du bien petite garce!!!
Sans prévenir, Algogia poussa sa verge et elle tira sur les fesses d'Alice afin que son sexe pénétra l'intimité sans douceur. L'araignée voulait faire mal sur le coup et les cris de la blonde ne faisait que renforcer ses envies bestiales. Elle reprenait les grands coups secs en les accompagnant de grosses fessées à chaque aller retours.
- Haaan... que t'es bonne... mmmh, je pourrais te féconder des heures entières...
Elle sorti un rire si gras et si rugueux qu'on avait cru Algogia qui s'était étouffée avec sa salive. Elle darda encore les fesses d'Alice devenues rubis et senti sa verge vibrer, l'orgasme était proche pour elle aussi.
- Princesse... l'heure de la fécondation arrive... Je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps...
-
Alice était vaincue, sa résistance brisée, envolée, dispersée aux quatre vents. En même temps, que pouvait-elle faire contre une telle femme ? Mieux valait la manière « douce », pour ainsi, à la façon brutale qu’Algogia pouvait avoir de lui faire l’amour. Elle la prenait sauvagement, et finit par s’arrêter à un moment, afin de la mettre à quatre pattes, puis la prit à nouveau, écartant ses fesses avec ses puissantes mains.
« Hmmmm… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN… !! »
La Princesse ne pouvait guère qu’hurler de plaisir devant cette vague qui la traversait, cette queue qui la pénétrait et la baisait avec fureur et intensité. Elle couinait, fermait les yeux, ses cheveux basculant d’avant en arrière, tombant en cascade le long de son corps, tout son être disparaissant, s’évanouissant sous le contact de cette membrane chaude. La queue d’Algogia la pourfendrait, encore et encore, et Alice eut un orgasme au cours de ça. La Drider utilisait également ses puissantes pattes pour la bourrer, donnant ainsi à cette levrette un accent particulièrement intensif et sauvage. Alice en avait parfois le souffle coupé, ou recrachait sa salive, manquant même tomber à terre sous le rythme terrible qu’Algogia lui infligeait.
Algogia la gifla alors, de plus en plus fort, et Alice tomba sur le sol en hurlant, avant de se redresser, couinant et hurlant encore, pendant que la Drider continuait à sévèrement la bourrer.
« HMMMMMMMMMMMMMMM… !! »
La Drider se mit à rire, un rire puissant et guttural, pendant qu’elle multipliait les coups de reins, faisant encore hurler et couiner Alice, qui avait l’impression que ce rythme ne devrait jamais se terminer. Les minutes défilaient à toute allure, et Algogia lui annonça que l’orgasme était proche. En ce moment, la queue d’Algogia avait tellement grossi qu’elle formait comme un nœud à la base, se coinçant dans le corps d’Alice, l’empêchant de sortir avant l’orgasme. Hurlant et gémissant encore, elle était bien incapable de lui répondre, tant elle était en transe.
Tout ce qu’Alice attendait, en ce moment, c’était l’orgasme d’Algogia !
-
L'araignée était dans un état second, les hormones du plaisirs avaient enivré d'envie la drider qui était devenue bestiale. Elle n'avait pas été tendre avec Alice et elle continua sur la même lancé: de la douleur et de la violence. Elle y allait franchement sans vraiment prendre attention au corps malmené de la princesse qui tenta, tant bien que mal, de tenir à quatre pattes. Alice hurlait de plaisirs et de douleurs mais elle ne se débattait pas, que du contraire. Elle aimait cela, elle aimait le sexe violent et sans pitié. La verge d'Algogia gonflait à vue d'oeil, prémisse d'un futur orgasme, l'araignée accéléra de plus en plus.
- Raaaaaaaaaaaaaah!!!!
Algogia poussa si fort qu'elle avait l'impression d'avoir transpercé Alice. Elle avait atteint l'orgasme dans un cri si fort, qu'elle se sentait puissante. Sa verge se deforma pour laisser passer les oeufs et la quantité suffisante de sperme pour féconder Alice. On pouvait voir des contractions sur sa queue et à chaque contractions, Algogia poussa un petit cri de soulagement. Quand sa verge se calma, Algogia se retira délicatement de la blonde,la retourna sur dos et l'embrassa tendrement.
- Te voilà mienne pour une courte période princesse...
-
Oh, Diable, c’était... C’était terrible ! Alice avait pourtant eu des partenaires intenses, qui la prenaient avec férocité, mais cette Drider... Avec son puissant son corps, et ses six pattes arachnéennes, elle disposait d’un appui pour lui balancer de véritables coups de butoir, des ondes qui laissaient Alice en transe, le corps totalement en sueur, la voix se cassant à force d’hurler. Elle tremblait sur place, sentant plusieurs fois son corps menacer de s’effondrer sur le sol, surtout quand Algogia se retirait, et recommençait ensuite, venant solidement en elle, soulevant son fessier et ses jambes, avant de repartir. Elle était là, cette Drider, cette terrible femme, qui avait su, à force de persuasion, mais aussi d’autoritarisme, balayer les doutes et les questionnements d’Alice. Elle la labourait furieusement, et les minutes défilaient à toute allure, pendant que la Drider, imperturbablement, soupirait et la prenait, griffant ses fesses, ses doigts se crispant sur ses hanches.
« Hnnnn... Hnnnn... !! »
Qu’est-ce qu’Alice pouvait faire de plus? Elle laissait Algogia la prendre, de la salive coulant déjà sur le sol, et sentit encore Algogia s’enfoncer lourdement en elle. Ses yeux s’écarquillèrent, et elle la sentit finalement jouir, l’énorme pilon dans son dos se dégonflant progressivement, au fur et à mesure que la Drider se répandait en elle. D’épais monceaux de sperme fusèrent dans son corps, et Alice gémit longuement. Un nouvel orgasme la transperça, et elle sentit à peine les œufs filer, se posant dans son corps, filant en elle, l’engrossant. Son ventre s’arrondit légèrement, en grande partie à cause de cette épaisse quantité de sperme, qui allait servir, avec sa mouille, d’incubateur pour les œufs.
Alice, épuisée, se retrouva ensuite couchée sur le dos, les bras étalés à gauche et à droite de son corps, la respiration lourde. Algogia l’embrassa à nouveau, et termina cette séance, en claironnant que, désormais, la Princesse était à elle. Alice sourit alors, et cligna des yeux, les joues rouges, la bouche entrouverte.
« Je... Haaaa... Com... Combien de temps encore... Vais-je rester ta... Hmmm... Ta ‘‘captive’’ ? »
Et, vu le ton qu’Alice employait, ou l’expression générale de son corps, elle était loin d’être contre cette idée.
-
Algogia fut surprise de la voix qu'avait Alice lorsqu'elle demanda combien de temps elle restera avec elle. L'araignée eut un petit rire sadique avant de poser sa main sur le ventre de la princesse qui recherchait sa respiration.
- Je t'avais prévenue que tu pourrais plus te passer de moi.
Algogia semblait vraiment ailleurs, concentrée sur le ventre arrondi de la princesse qui était en position d'étoile de mer, le visage rubis et le coeur qui battait à la chamade. La peau de la noble blonde semblait encore plus douce sous la paume de l'araignée qui approchait son visage du nombril. Elle avait réussi à engrosser une noble et pas n'importe quelle noble, Alice Korvander la princesse héritière de Sylvandell, ni plus ni moins. Elle se sentait fière d'elle, après l'avoir si brutalisée sexuellement, la blonde s'était donnée à la drider sans aucunes retenues, jusqu'à l'orgasme. Mais dans un soupir qui présageait l'avenir.
- Tu es libre princesse, je t'ai dit que tu repartirais d'ici que lorsque je t'aurais fécondée. Maintenant, sache une chose, dans ton ventre tu as mes bébés... Pardon... Nos bébés et que... C'est assez compliqué de t'expliquer. Soit tu es enceinte de dizaine d'araignées qui sortiront dans deux semaines ou alors... Tu es enceinte d'une drider comme moi mais alors la gestation est de un mois.
Algogia sortit du lit et ouvrit le passage vers la sortie à Alice.
- Je suis sérieuse, mais sache une seule et unique chose ma belle princesse. Tu as mon odeur sur toi, personne à part moi que le sentir, si tu pars, je te surveillerais assez souvent afin de voir si tu es correcte avec ce que tu portes. Si tu leur fais du mal...
Le visage d'Algogia devint d'une noirceur.
- Je te massacrerais devant ton peuple, j'éparpillerais chaque centimètre de ta pauvre carcasse aux quatre coins de Sylvandell. Me suis je bien fait comprendre?
Puis, Algogia se détendit doucement.
- Maintenant, libre à toi de rester le temps de ta grossesse, je ferais en sorte que tu manques de rien et je suis même prête à garder tous les bébés ou la drider si tu veux pas que ton peuple sache que vous avez copulé avec un monstre. Juste que, ta gardienne te cherche encore ainsi que quinze soldats à toi et une vingtaine de Orée. Je pourrais pas tenir ce lieu secret avec autant de patrouilleurs...
-
Algogia expliqua à Alice que plusieurs options s’offraient à elle sur les prochains jours, ainsi que sur la grossesse potentielle. Soit elle donnerait naissance à une dizaine d’araignées (ce qu’elle interprétait quand même comme une fausse couche), soit à un Drider. Dans le premier cas, il n’y aurait que deux semaines de gestation, et, dans le deuxième, un mois, ce qui soulevait différents problèmes. Alice, en réalité, ne se voyait clairement pas s’afficher en public avec un ventre rond, et donner naissance à des araignées au Château. C’était... Non seulement l’idée de donner naissance à des petites bêtes à six pattes la faisait déglutir, mais si, en plus, le reste du peuple l’apprenait, on pouvait l’accuser de sorcellerie. Ce n’était donc clairement pas ce qu’elle comptait faire. Se pinçant délicatement les lèvres, elle réfléchit un peu sur la suite.
Oui, Algogia avait raison. Elle ne pouvait pas conserver Alice ici pendant tant de temps sans que ses gardes ne la retrouvent. De fait, Cirillia était sans aucun doute la plus proche d’y arriver. Mais, au-delà de ça, Alice était surtout surprise d’avoir envie de rester ici. En se rendant sur Terre, elle avait entendu parler du syndrome de Stockholm, ce phénomène psychologique amenant un otage à s’éprendre de son ravisseur. Était-ce ça qui lui arrivait ? En tout cas, la Drider ne lui semblait juste pas aussi... Monstrueuse que ce qu’elle pensait. Alice lui sourit donc brièvement, et se pinça les lèvres, en réfléchissant encore.
« Je ne veux pas te faire de la peine, mais... Je ne pourrais pas éduquer ton... Ton enfant. Je suis déjà promise à un mari, qui me fera une descendance légitime et officielle. Ton bébé... Il ne vivra de toute manière pas très bien au sein d’une société humaine. Et puis... Si les gens apprennent que je me suis fait engrosser par une Drider, ils paniqueront. Je ne veux pas te faire de la peine, mais les tiens n’ont pas grande réputation parmi les sociétés humaines. »
Mais ça, Algogia devait sans aucun doute déjà l’avoir noté. Alice se pinça les lèvres, en réfléchissant rapidement :
« Je dirais à Cirillia de veiller sur nous, et de dire aux gardes que je prends juste des vacances dans un coin isolé. Ils insisteront, mais tout le monde sait que Ciri’ veille sur moi. Le cas échéant, je sortirais avec elle, quand elle viendra, pour le dire clairement aux gardes. »
Toujours allongée, Alice enchaîna ensuite, plus mutine :
« En réalité, je me demande juste... Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire dans cette grotte pendant plusieurs semaines ? »
-
Algogia prit l'énorme vérité de la princesse en pleine face, comme une déchirure, une claque ou un coup de poignard dans son espoir. Mais, Alice avait raison, sa vie n'était pas que penser à elle, elle se devait d'être exemplaire pour son peuple et si ce dernier apprenait la grossesse nouvelle de leur princesse par un monstre... Algogia sentit une petite larme sauter de son oeil pour couler sur sa joue mais elle l'effaça rapidement d'un geste de la main.
- Notre enfant... Malgré tout, si c'est un ou une drider, je ne sais par qu'elle miracle, mais il ou elle obtiendrait des caractéristiques de toi... Alors, s'il te plait, notre enfant...
Mais, Alice voulait quand même faire profiter Algogia de cette grossesse et elle proposa de rester avec elle jusqu'à l'accouchement. Un petit sourire se posa sur le visage de l'araignée.
- Vous le faites énormément plaisirs à me dire ça princesse. Quand aux activités, j'en ai pleins à vous proposer... [/color]
La gardienne protégerait les deux amantes pendants la gestation de la princesse mais, serait elle d'accord, Algogia eut un doute car, d'après elle, les humains et les driders étaient en guerre. Et aux côtés de l'araignée se tenait, pas moi, l'héritière de Sylvandell.
-
Cette femme était loin d’être aussi monstrueuse que ce qu’Alice avait cru de prime abord. De fait, quand elle lui annonça l’évidence, à savoir qu’elle ne pourrait pas éduquer ce bébé, elle vit, à sa grande surprise, une lueur de souffrance dans les yeux d’Algogia... Comme si apprendre ça lui faisait mal. Alice en rougit, se reprochant sa maladresse. Peut-être qu’Algogia avait déjà eu à souffrir de ce genre de refus dans le passé ? Mais, le lui dire, c’était faire preuve d’honnêteté. À Sylvandell, comme dans bien d’autres contrées, les Terranides-araignées, les Driders, n’étaient pas très bien vus. Que dirait les gens en apprenant qu’Alice avait comme amante une Drider ?
*Mais, d’un autre côté, je veux lutter contre les préjugés, et diriger de manière différente de mes ancêtres...*
La jeune Princesse réfléchissait, songeant à ce qu’elle allait pouvoir faire dans le futur, avec cette femme. Confuse, Algogia la remercia en tout cas de son choix de rester avec elle, la rassurant sur le fait qu’elle avait plein d’activités à proposer. Alice sourit alors, en se pinçant les lèvres, et lui répondit :
« Ashnard est un État bien plus tolérant que Nexus ou d’autres nations vis-à-vis des personnes comme toi. Il existe des Driders qui ont une existence officielle, sont des soldats, et ont même des titres de noblesse. »
Alice avait entendu parler de ces contrées, même si elle ne s’y était jamais rendue. À une époque, les Driders étaient très en vue... Et Ram Aballah, un ancien Empereur, avait même été très proche des araignées, puisqu’on le surnommait « Seigneur des Araignées ». Cependant, Ram Aballah était davantage connu comme étant le Roi Cramoisi, ou l’Empereur fou, un despote dément qui donnait ses sujets en pâture à ses araignées, avait considérablement appauvri l’Empire, et déclenché, à terme, une guerre civile. Ce n’était donc pas un très bon exemple, mais, même malgré ça, Alice savait que des Driders se battaient pour l’armée impériale.
Elle se pinça donc les lèvres, et s’approcha d’Algogia, venant caresser sa main dans le creux de la sienne, avant de l’observer.
« Tu n’es pas comme je le craignais, Algogia, et je te demande de bien vouloir accepter mes excuses... Même si tu m’as quand même capturé ! Enfin... Je vois bien que tu n’es pas mauvaise, mais je ne t’imagine pas non plus vivre dans une maison, comme un humain ordinaire. Mais Sylvandell abrite bien des grottes, et je pense qu’une Drider comme toi pourrait nous être bien utile, notamment pour chasser les monstres qui hantent nos grottes et nos mines. »
C’était une opportunité intéressante, et Alice se pinça les lèvres, avant de rajouter :
« Bien sûr, on a le temps d’y réfléchir... En attendant... »
Alice sourit légèrement, une lueur espiègle dans le creux des yeux, et enchaîna en se mordillant tendrement les lèvres :
« ...Je suis très curieuse de connaître tes activités... »
-
Il y avait des soirées plus douces que d'autre, entre plaisirs charnelles et découvertes luxuriantes, Algogia venait de recevoir le plus beau des compliments: la tolérance. Alice avait su trouver les mots suptilles afin de toucher le coeur de l'araignée. Il y avait une sacrée différence entre la Alice du début et la Alice fécondée, comprenant que Algogia n'avait que l'apparence d'un monstre mais un coeur vaillant. La drider était heureuse qu'elle soit acceptée tel quel aux yeux de la blonde qui lui expliqua ce qu'elle aimerait convenir avec Algogia. Elle voulait que la drider devienne un gardien des grottes autours de Sylvandell et chasser les monstres déjà présent, Algogia savait que c'était, malgré tout, un post de confiance et que si elle acceptait, elle devrait la suivre.
- C'est une proposition honorable mais elle mérite réflexion...
Algogia remarqua que le visage d'Alice avait changé, elle était passée de petite princesse à grande perverse. Elle sentait encore la cyprine chaude et la verge de l'araignée pointa le bout de son nez.
- ... Ma réponse dépendra de ta façon à me combler princesse... Fais moi voir comment tu t'occupe de tes maîtresses...
Tout le corps d'Algogia était en feu, il faut dire que Alice nue donner chaud à n'importe qui. Elle était magnifique et même le plus pieu des hommes ne pourrait se retenir devant elle, surtout avec se regard. Algogia céda à ses pulsions et plongea sa bouche à celle de la princesse afin d'y voler un baiser fort, mouillé et profond. Les langues dansèrent pendant plusieurs secondes alors que la main droite de la drider empoigna fermement un sein de la princesse. C'était reparti pour un tour.
-
Alice n’aurait pas su expliquer quand le glissement avait commencé, quand, précisément, elle avait décidé de se rapprocher de cette femme, de cesser de se voir comme une captive, et de l’apprécier pour ce qu’elle était. Alice déglutissait devant elle. Elle ne savait pas si la Drider allait accepter sa proposition, et, honnêtement, il y avait beaucoup de chance pour qu’elle la rejette… Mais, à sa grande surprise, Algogia l’envisageait sérieusement. Les yeux d’Alice s’écarquillèrent brusquement… Et elle rougit ensuite quand la redoutable Drider expliqua que, pour s’en assurer définitivement, il fallait qu’Alice la « comble » bien.
« Oh… »
La jeune Princesse sentit ses joues s’empourprer, et ne sut pas quoi répondre. Algogia se rapprocha alors, et les deux femmes s’embrassèrent de nouveau, la Drider la soulevant. Les pieds d’Alice ne touchèrent plus le sol, et elle soupira en sentant la bouche de la femme se coller à la sienne, partageant avec elle un long et onctueux baiser. Un baiser intense et appuyé, qu’Algogia accompagna en pinçant le sein de la femme.
« Hmmmm… Gnnnnnnnnn… !! »
Alice avait les joues toutes rouges, et elle continuait à se dandiner sur place, contre les mouvements buccaux de la femme.
« Co-Comment puis-je m’occuper de toi, haaaa… C’est toi qui m’as capturé, n’essaie pas de retourner les rôles, Algogia… Tu as voulu une Princesse, et tu l’as, alors… Hmmm… Assume, maintenant ! »
C’était aussi simple que ça. Algogia n’allait tout de même pas charger Alice de diriger les ébats, c’était elle la Drider !
-
Alice n'était plus là même que lors de son enlèvement, elle était sexuellement active et envieuse et ça, Algogia ne s'y attendait pas. Mais, cela ne lui deplaisait pas... que du contraire. Algogia avait soulevé Alice afin de l'embrasser et doucement, elle amena la princesse dans une toile, elle colla la princesse par son dos et directement après, la drider souleva les cuisses d'Alice pour amener sa fleur au visage de la créature.
- Tu as raison, je vais me faire pardonner...
Algogia se montra tendre et déposa quelques baisers sur les grandes lèvres avant d'y glisser sa langue sur la fente. Faisant des mouvements de haut en bas, elle suivait cette ligne d'amour, lorsque les lèvres s'écartèrent par plaisir, Algogia attaque doucement le clitoris princière. La mouille coula sur le menton de l'araignée qui s'appliqua à donner le plus de plaisir possible. Elle s'amusa même à sucer ce dernier pour surprendre sa majesté. Elle relacha les cuisses d'Alice et la reposa sur la toile délicatement, mais continua de jouer avec sa langue en remontant sur le pubis, le nombril et pour finir sur ses seins. Algogia sentit sa verge sortir de son abdomen mais elle contrôla son érection, elle avait une autre surprise pour la princesse. Après quelques instants de tendresse, Algogia reprit Alice dans ses bras avant de la remettre sur la toile mais tête à l'envers. Elle la plaça de telle sorte que le minou d'Alice soit au menton de l'araignée et la tête d'Alice se trouvait devant le couvercle chetineux qui protège le vagin d'Algogia. D'un claquement de doigts, miss Korvander tomba nez a nez à un vagin dégoulinant de cyprine.
- Alors Majesté, je reste une dame après tout.
Elle éclata de rire avant de retourner plonger sur le sexe brûlant de la princesse.
-
Aussi incroyable que cela puisse paraître... Les choses entre elles commençaient à s’améliorer sensiblement. Difficile de l’expliquer concrètement. Alice avait juste eu vraiment très peur au début, car elle s’était, après tout, réveillée devant une femme-araignée. Or, vu la réputation que les Driders avaient, elle avait de quoi être effrayée. Mais, passée la surprise initiale, elle avait pu se rapprocher de cette femme. On pouvait aussi donner du crédit aux amantes d’Alice, qui, à leur manière, lui avaient appris à ne plus avoir peur du sexe. Indéniablement, c’était bien ça, le sexe, qui avait permis de les rapprocher, et qui les rapprocherait encore. Maintenant qu’Alice n’avait plus peur, elle ne voyait plus forcément Algogia comme un monstre. Alors, certes, Alice n’aimait pas spécialement les araignées, mais elle n’était pas non plus arachnophobe... Même si l’idée de donner naissance à des araignées continuait quand même à l’angoisser un peu. Ce n’était pas très esthétique, après tout ! Mais, pour l’heure, le désir effaçait ses doutes et ses angoisses.
Algogia tissa une nouvelle toile, et elle posa Alice dessus, avant de se rapprocher. Sa langue fila alors à l’assaut de ses lèvres intimes, et Alice serra les poings en gémissant. Ses bras étaient étalées à droite et à gauche de sa tête, et elle se pinça les lèvres, gémissant longuement en sentant la langue de la Drider filer entre ses cuisses. La Princesse se mit à soupirer, ferma les yeux, et remua faiblement les jambes. La tâche était difficile, car la soie la bloquait, mais elle pouvait les déplacer un peu. Yeux clos, elle s’imagina la scène, elle, prisonnière de ce grand monstre arachnéen, au milieu de cette belle toile, et en ressentit une pointe d’excitation supplémentaire.
« Hmmmm... Haaaaa... !! »
Ses joues s’empourprèrent encore, et elle se dandina sur place, incapable de retenir le plaisir qui croissait en elle, s’exprimait entre ses cuisses, et se déversait dans son corps. Elle mouillait encore, longuement, mais était bien incapable de pouvoir faire quoi que ce soit dans sa position. Algogia finit alors par soulever Alice, qui, telle une poupée de chiffon, se laissa faire, avant de se retrouver à l’envers. Elle vit alors l’abdomen d’Algogia se rapprocher, et serra ses poings... Avant de constater qu’elle avait retrouvé l’usage de ses bras, comme si la soie sur laquelle ses bras étaient n’était pas aussi collante que le reste. Devant son nez, il y avait la carapace chitineuse séparant le tronc humain du reste, et elle vit la carapace s’ouvrir, révélant une intimité luisante. Quelques gouttes tombèrent sur son nez. Alice gémit alors. Algogia avait laissé sa verge à l’air libre, bien tendue, qui partait au-dessus de son intimité, et elle continua à s’écraser contre elle.
« Gnnnnnnnnnnnn... !! »
Alice serra les poings, et caressa le corps lisse d’Algogia, son gros ventre, tout en léchant son sexe, fourrant sa langue dans son vagin, se délectant de son intimité, elle-même mouillant de plus en plus. Alice ne le réalisait pas vraiment, mais, par rapport au reste de la pièce, elle avait la tête en bas, la toile d’araignée décrivant un arc ascendant. Elle couinait donc, et ses mains se caressèrent, venant s’agripper à une paire de pattes, ses doigts gantés s’appuyant dessus, s’en servant comme d’un appui efficace pour lécher plus vigoureusement la délicieuse fente intime de sa magnifique ravisseuse...
-
Algogia était dans une état second, la luxure l'habitait alors que son esprit était programmé pour donner du plaisir à la princesse. Alice n'était pas en reste et rapidement, elle s'agrippa aux pattes de la drider afin de passer en force dans ma fente dégoulinante de l'araignée. Quand la langue princière fut à l'intérieur, Algogia lança sa tête en arrière en soupirant de bonheur.
- Aaaaah
Mais, elle se rattrapa aux cuisses de la princesse pour plonger son appendice buccale dans l'antre intime de la blonde. L'araignée se dechaina avec sa langue, ne voulant pas laisser le moindre répit à la princesse. Algogia avait encore faim mais doucement, elle pouvait sentir que ses toiles vibraient, quelqu'un approchait de son antre.
-
Prisonnière de la délicieuse Drider, Alice était piégée dans sa toile. Elle se laissait porter par elle, laissait la Drider lui faire un bien fou, tout en se tortillant sur place, gémissant et couinant, soupirant longuement, le visage s’emplissant de la mouille de la femme. Plus aucune résistance en elle, plus aucune velléité guerrière, elle était comblée par elle. Après leur rencontre tumultueuse, c’était un grand plaisir de faire l’amour avec Algogia, en sachant qu’elle ne lui ferait aucun mal, et que tout irait bien entre elles. Et puis, Alice considérait maintenant avec sérieux l’hypothèse de l’amener à Sylvandell. Ce qu’elle avait dit était vrai ; la Couronne était en train de rouvrir les mines, mais ces dernières étaient infestées de monstres. C’était d’ailleurs l’une des principales raisons ayant amené, dans le passé, à les fermer. Mais, avec une Drider dans les mines...
Alice songeait à tout cela quand des bruits de pas se firent entendre. La jeune Princesse tomba brusquement au sol, en sentant Algogia pivoter sur place.
*Que... ?!*
Perturbée, elle vit, entre les pattes de la Drider, une paire de jambes. Une femme se tenait à l’entrée de la grotte, pointant une arbalète à répétition vers la Drider.
« Toi... J’ignore si tu me comprends, mais tu as intérêt à vite me rendre la Princesse, ou je t’éclate sur place ! »
Impossible de ne pas reconnaître cette voix ! Alice cligna des yeux, en constatant que Cirillia venait d’arriver sur place.
« N-Non... Ci-Ciri’, attends, ce n’est pas ce que tu crois ! »
Alice apparut à côté d’Algogia, nue, les joues rougies. Cirlklia lui accorda à peine un regard, ciblant la Drider.
« Libère la Princesse, ma chérie ! Je vais te faire regretter de m’avoir ridiculisé comme ça ! »
Aïe ! Cirillia restait fidèle à elle-même...
-
Alors que Algogia commençait à s'échauffer mais une invitée surprise arriva comme un cheveux sur la soupe et se montra très agressive. Mince, la gardienne de la princesse, Algogia prise dans son ébat sexuel avec Alice n'avait même pas remarqué que Cirilia était entrée. Elle demanda de libérer la princesse rapidement, enfin si Algogia comprenait.
- Aah, la gardienne... Enchantée de te connaitre éveillée...
Même l'intervention de la princesse ne fit rien, la gardienne était toujours belligérante envers la drider, Alice se plaça à coté d'Algogia, cette dernière s'était mise en position de défense afin de préparer une attaque.
- Essaie pour voir ma belle rousse... Je vais te montrer ce qu'une drider à dans le ventre...
Cela ne ressemblait pas à l'araignée, mais Alice portait sa progéniture et son instinct animal avait repris le dessus vis-à-vis de la nouvelle arrivante.
-
Cirillia (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=7749.0) était une véritable tête brûlée, qui avait suivi la formation des sorceleurs, et qui menait une vie de vagabonde. Elle traquait surtout un dragon noir, responsable du massacre de ses parents et de son village natal, mais, comme Algogia, Ciri’ s’était attachée à la Princesse. Elle était son amante, mais aussi une garde du corps régulière, ce qui lui permettait d’avoir de l’argent pour entretenir ses armes, mais aussi des contrats assez intéressants. Sylvandell se trouvait dans une région montagneuse, entourée de provinces dangereuses et où la présence impériale était assez faible. Régulièrement, les provinces locales demandaient donc de l’aide aux Sylvandins pour chasser tel ou tel monstre, des quêtes qui rentraient tout à fait dans les prérogatives de Cirillia. Elle n’avait donc qu’intérêt à suivre Alice... Mais là, face à cette redoutable Drider, Ciri’ voyait juste ce que n’importe qui verrait de prime abord : un monstre qui avait capturé une femme. Et puis, surtout, Algogia avait volé Alice en piégeant Cirillia, la traitant comme une amatrice.
Entre les deux femmes, il y avait des étincelles. Ciri’ avait pointé sa lame vers l’avant, sûrement en l’enduisant d’un baume spécial, et Algogia avait plié les pattes, prête à bondir. Alice réagit au quart de tour, et se mit brusquement entre les deux, tendant une main vers Ciri’, et l’autre sur l’abdomen d’Algogia. Ciri’, surprise, écarquilla les yeux.
« M-Mais... Pousse-toi !
- Pour que vous vous entretuiez comme deux idiotes ? Il n’en est pas question !
- Elle t’a capturé ! Crois-moi, j’ai vu assez de nids de Driders dans ma vie pour savoir ce qui t’attend...
- Tu te trompes ! »
Cirillia resta silencieuse pendant quelques secondes, visiblement confuse.
« Bon, c’est vrai, elle m’a capturé, mais... Enfin, je ne lui en veux pas ! Et je n’ai pas été empoisonnée !
- Hein ? Mais...
- Elle n’est pas comme les autres Driders que tu as rencontré, Ciri’. Enfin... Elle ne veut pas me manger, mais... »
Alice rougit en posant sa main sur son ventre, geste qui n’échappa nullement à Cirillia. La sorceleuse écarquilla les yeux sous l’effet de la surprise.
« Quoi ? Ne me dis pas que... ! »
Inutile d’insister, le rougissement d’Alice était une réponse à part entière. La jeune Princesse releva finalement le visage, l’air déterminé et résolu.
« Oui ! Algogia ne me veut aucun mal ! Alors, dépose cette épée ! »
Cirillia fronça encore les sourcils, peu convaincue...
-
Algogia et Ciri se fixèrent comme deux lions, deux lionnes. Aucunes des deux ne voulaient pas laisser la princesse a l'autre. Alice tenta rapidement de se placer en séparatrice mais les femelles un chouïa énervées l'ecoutèrent a moitié.
- Quoi tu es jalouse que je t'ai pas capturé avec la princesse...
Mais rien à faire l'écart entre les deux diminuait et Alice tenta encore de les raisonner. Mais Alice trouva les mots qui rappela Ciri à la raison. Alors qu'elle fixa le ventre de la princesse Algogia baissa les bras avant de soupirer.
- Je sais que ça peut être difficile à comprendre... Mais je ne ferais jamaos de mal à une humaine et encore moins à Alice...
Algogia voulu se montrer de bonne foi et tendit la main vers Ciri dépitée.
- Je suis désolée de la méthode mais je n'avais pas trop le choix.
-
Alice sentait clairement la tension entre ces deux furies. Deux dominatrices, après tout, et qui n’avaient visiblement pas un talent inné pour la diplomatie. Algogia était une Drider redoutable qui, tout en appréciant Alice,n avait sûrement déjà dû tuer. Quant à Ciri’... Eh bien, elle était versée à l’art des sorceleurs, et, même si elle ne portait pas le médaillon de ces derniers, elle avait tué son lot de monstres, et avait donc tendance à se méfier instinctivement des Driders. Surtout, Ciri’ voyait d’un mauvais œil le fait que cette Drider ait engrossé Alice. Dans ce genre de cas, Ciri’ tuait rapidement la femme piégée, car, quand l’œuf arrivait à maturation, l’araignée sortait directement de ce dernier, et déchiquetait les entrailles de la porteuse. Une façon horrible et glauque de venir au monde, en réalité... Et sûrement de mourir.
Ciri’ n’était donc guère encline à faire confiance à cette puissante Drider, qui se rapprocha lentement, et tenta de calmer le jeu. Alice était nerveuse, redoutant des effusions de sang.
« Ciri’, je t’en prie...
- Elle t’a engrossé ? » demanda brusquement Cirillia.
La Princesse regarda la femme, et haussa les épaules.
« Abaisse ton arme !
- Est-ce qu’elle t’a engrossé ?!
- Oui, mais... Je suis consentante !
- Tu as oublié comment les œufs des Driders éclosent ? »
Alice secoua la tête.
« Ça n’a rien à voir ! Tous les Driders ne sont pas pareils, tu le sais très bien ! »
Cirillia fronça les sourcils, et commença à abaisser sa lame, la plantant dans le sol, consciente qu’un comportement agressif ne ferait qu’envenimer la situation. Elle observa ensuite Algogia, et laissa passer plusieurs secondes, réfléchissant à ce qu’il fallait dire. Elle étudiait le nombre de pattes, l’absence de poils, la capacité de réflexion de la Drider, l’apparence du nid, pour arriver à la conviction que celle-ci ne pondait pas de manière agressive.
Elle enchaîna donc :
« Qui es-tu, Drider ? D’où viens-tu ? Que cherches-tu à faire ? Tu as conscience que tu as capturé une Princesse, n’est-ce pas ? »
-
Ciri accueillait la nouvelle de façon catastrophique, parlant même de la façon de naître des driders, enfin pour avoir pris le temps de se renseigner, Algogia connaissait que trop bien la façon de se reproduire de ses cousines. Algogia écoutait attentivement la blonde et la rousse. Après un coloc, Ciri posa son arme et analysa Algogia.
- Quoi? Ma tête te reviens pas?
Mais Ciri n'en n'avait que faire et demanda qui était la créature.
- Gardienne, je me nomme Algogia et je pense qu'au vu de mes attributs physiques, tu as remarqué que je ne suis pas une simple drider. Je suis née de la magie, en fait, j'ai été créée par un humain qui m'a tout appris.
S'approchant de Ciri, Algogia se sentait désireuse d'aller explorer le corps de la Sorceleuse. Mais, elles n'étaient pas en très bon terme pour le moment.
- Je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal à Alice, c'est juste que je suis seule et je veux m'entourer d'une famille. Elle sera libre après la naissance de ou des petits. Et je te promets sur ma vie, que rien ne lui arrivera lors de la naissance.
-
Que Ciri’ ait déposé sa lame était, en soi, une grande victoire. C’était la preuve qu’elle envisageait de discuter, ce qui n’était pas si mal, vu le contexte. La Princesse était toujours inquiète, bien entendu. Mais, si elle arrivait à convaincre Cirillia, elle arriverait aussi à convaincre les gardiens. Était-ce qu’Alice avait pris en pitié Algogia ? Peut-être... Ou peut-être était-il plus juste de dire qu’elle avait vu en elle autre chose qu’un monstre, même si Algogia l’avait capturé, et s’était donc, d’elle-même, mise en position de difficulté. Alice ne pouvait néanmoins nier que l’idée de donner naissance à une créature arachnéenne à six ou huit pattes provoquait en elle des bouffées d’angoisse. Elle préférait se dire qu’elle pondrait un œuf, et qu’elle laisserait le reste à Algogia... Tout simplement. Mais, pour l’heure, il fallait surtout gérer le cas Cirillia.
Algogia expliqua donc ne vouloir aucun mal à Alice. Un léger moment de flottement accueillit les dernières remarques de la Drider. Alice en profita alors pour intervenir :
« C’est vrai qu’elle m’a effrayé au début, mais... Elle n’est pas comme les autres Driders que tu as pu croiser, Cirillia. Algogia ne me veut aucun mal, et... Pour ne rien te cacher, je lui ai même proposé de venir à Sylvandell. »
Intriguée, Ciri’ regarda Alice, qui enchaîna donc :
« Tu te rappelles quand nous avons voulu rouvrir les mines ? On t’a envoyé dans les grottes pour voir ce qu’il en était, et tu nous as dit que les mines étaient remplies de goules, et de putréfacteurs... Algogia serait parfaite pour les chasser ! »
Cirillia ne put que soupirer.
« Tu essaies de m’avoir par les sentiments ?
- Pas du tout, je te dis juste qu’Algogia est sous ma protection !
- Mais c’est n’importe quoi, elle t’a capturé !
- Elle n’est pas la première à m’avoir fait quelque chose contre mon consentement initial ! »
Là, pour le coup, Cirillia ne sut pas quoi répondre, et se contenta de fixer silencieusement la jeune tête blonde pendant quelques secondes. Elle venait de marquer un coup, en effet. Jadis, quand Alice avait connu Cirillia, cette dernière lui avait fait découvrir le sexe en la forçant. On en voyait maintenant le résultat ! Mais l’argument d’Alice était, en tout état de cause, des plus pertinents. Que dire contre cela ? Ciri’ se pinça les lèvres, et secoua la tête.
« Je ne veux même pas imaginer ce que vous faisiez avant que je débarque... Ou ce que vous allez faire après. Tu es vraiment sûre, Alice ?
- Oui ! »
Alors, Cirillia hocha la tête, sans trouver rien de plus à dire.
« Je crois qu’il ne me reste plus qu’à monter la garde dehors... »
Oui... Sauf si Algogia avait d’autres plans pour elle. Après tout, Ciri’ ne l’avait pas observé uniquement pour déterminer sa race, mais aussi pour apprécier ses voluptueuses formes...
-
Algogia écoutait avec ferveur les propos de la noble, Alice défendait bec et ongles la drider des représailles de la gardienne qui se demandait réellement ce qu'il se tramait dans sa tête. Mais après une dizaine de minutes, la rousse tourna talon pour ne plus rien voir entre l'humaine et la drider. Algogia sentit une occasion lui passer sous le nez de féconder une deuxième femelle.
- Attends, gardienne, pas besoin de garde à ma porte, mon réseaux de toile fera office de garde. Reste parmi nous ma belle rousse.
Algogia s'approcha de plus belle de Ciri' et elle se permit même de placer ses deux mains sur les épaules de la femme. Elle la retient mais légèrement, pas de geste brusque, et elle la fit pivoter sur elle même.
- J'aimerais bien te connaitre aussi bien que tu me connais, surtout au vue de tes yeux sur ma poitrine. Alors jolie gardienne, qui es tu et d'où viens Tu?
-
Quand Algogia se rapprocha de Ciri’, Alice frémit... Et se pinça les lèvres, légèrement blême, quand la femme posa ses mains sur les épaules de la sorceleuse. Cette dernière se dégagea brusquement, la main sur la garde de son épée, prête à attaquer... Avant que la Drider ne parle de sa « poitrine », et ne demande à faire plus amplement connaissance. Silencieuse, Alice savait ce qu’Algogia voulait vraiment, et Ciri’ n’était sûrement pas dupe, elle non plus. Elle observa Algogia sans rien dire pendant plusieurs secondes, et relâcha les doigts de son épée.
« Je suis Cirillia... D’où je viens, ça ne te regarde pas. »
Elle ne comptait pas dire à n’importe qui qu’elle avait perdu sa ville natale suite à l’attaque d’un dragon noir, qui avait tué son père. Depuis lors, Ciri’ cherchait à se venger activement de ce dragon. Elle n’avait pas perdu le reste de sa famille, mais, suite à ça, sa mère avait dû se prostituer, et son frère était finalement devenu forgeron. Elle, Ciri’, avait ensuite été formée par une sorceleuse, Amalia Joever.
« Je suis une ancienne sorceleuse, et je passe ma vie à traquer un certain dragon pour l’occire... Et le reste à veiller sur le petit cul de la blonde, là, et à tenter, très vainement, de lui apprendre à se battre. Visiblement, la Princesse préfère passer son temps à forniquer qu’apprendre le maniement de la lame. »
Aussi incroyable que cela puisse paraître, compte tenu des circonstances, Alice rougit, gênée, et baissa la tête. Effectivement, elle n’aimait pas les entraînements à l’épée, mais ses échecs étaient toujours un bon prétexte pour que Cirillia la brutalise sexuellement.
« Je suppose que tu as dû remarquer qu’Alice aimait le sexe fort... Elle aime les femmes fortes et qui ont du caractère, ça l’inspire, elle qui a un tempérament si doux... Mais je l’aime bien comme ça. »
Elle croisa ensuite les bras, avant de faire d’ultimes précisions :
« Je ne suis pas idiote, je sais dans quoi je vous ai interrompu, je sais ce que tu attends... Mais je suis moins docile que notre amie princière. »
Mieux valait, en effet, le préciser, vu comment les choses évoluaient !
-
Ciri était une femme plus forte mentalement et physiquement que la princesse, baroudeuse et Sorceleuse, la rousse présentait un fort potentiel pour la naissance d'une puissante drider. Encore fallait il qu'elle se laisse convaincre de laisser Algogia la féconder. Ça, c'était une autre histoire.
Cirillia se présenta sèchement et pour réponse, la drider fit une petite révérence de bienvenu mais sans dire un mot, elle continua après un petit moment de blanc en racontant son passé et son présent avec Alice.
- Ancienne, le temps ne semble pas avoir d'emprise sur toi, belle aux cheveux de feu. Et ne pense pas que Alice s'est livrée immédiatement, j'ai dû... négocier... assez longtemps même.
Pour réponse, Ciri décrivait Alice comme une femme qui aimait le sexe violent, ce qui tranchait avec son côté doux. Algogia se tourna vers Alice avec un petit sourire coquin car elle avait déjà eut la démonstration. Et pour finir, la Sorceleuse fit remarquer que la démarche de la drider était connue.
- Allons allons, ma belle, on ne peut pas dire que l'on aime pas avant d'avoir goûté. Je ne suis pas méchante et de plus, vous recherchez des guerrières pour vos mines... Quoi de mieux que des driders pour faire place nette dans les dédales souterrain?
Algogia s'approcha doucement d'Alice, la prit dans les hanches et la serra contre elle.
- Regarde, elle n'a pas l'air de s'en plaindre...
-
« Oui, bah, vous pourriez quand même vous montrer plus respectueuses, je suis une Princesse, quand même ! » s’exclama Alice en croisant les bras, prenant une mine boudeuse, les joues toutes rouges.
Difficile, toutefois, de faire preuve de respect, quand, comme Cirillia, on venait de surprendre la glorieuse Princesse en train de se faire bourrer par la puissante Drider, et en sentant toute cette odeur de stupre et de sexe. Alice frissonna ensuite quand Alogiga retourna près d’elle, essayant de convaincre Cirillia de faire l’impensable. Incroyable retournement de situation, quand on savait que, il y a à peine quelques minutes, Ciri’ était prête à en découdre, l’épée à la main ! Algogia, du reste, ne manquait vraiment pas de sang-froid. Cirillia ne savait tout simplement plus quoi dire.
« Non, mais je rêve...
- Le choix t’appartient, Ciri’, mais je ne voudrais surtout pas que tu fasses un malentendu...
- Oh non, tout est clair, maintenant ! »
La sorceleuse soupira encore, et pencha la tête sur le côté. Accoucher d’un Drider ne la tentait vraiment pas ! Alice avait visiblement une approche différente, mais la belle tête blonde n’était pas dénuée d’idées pour motiver Ciri’. Se retournant vers Algogia, elle se hissa sur la pointe des pieds, et lui murmura l’une de ces petites idées dont elle avait le secret dans le creux de l’oreille :
« Tu devrais l’entoiler, et me faire l’amour sous son nez, ça la fera craquer, je la connais ! »
C’était même une technique infaillible !
-
Algogia reçu l'idée du siècle pour Ciri, lui donner un spectacle digne de ce nom. Algogia réfléchit un instant afin de capturer sans problème la gardienne. Elle roula des yeux afin de voir toutes les possibilités qui s'offrent à elle. Elle tomba sur une petite crevasse au plafond et elle trouva l'idée, certe enfantine, bonne. Elle pointa du doigt le trou et Cirillia regarda au dessus d'elle. C'était bien l'idée de base car à sa gauche, il y avait encore la toile de la princesse et elle collait encore parfaitement. Profitant de l'inattention de la Sorceleuse, Algogia poussa très fort la rousse sur la toile et pour vraiment la coller, elle tissa des liens plus fort sur les mains et les pieds. Une fois fait, Ciri hurlait de colère alors que Algogia riait de bon coeur. S'approchant d'elle avec un sourire pervers.
- Tu vois, toi aussi je t'ai capturée. Maintenant, tu restes tranquille pendant que la princesse et moi allons jouer. Alors, profites du spectacle...
Algogia se retourna vers la princesse et elle était replacée à côté d'elle. Lui prenant la main, elle accompagna Alice au lit.
- Vous verrez princesse, j'aurais son consentement aussi. Et maintenant, reprenons là où on avait terminé.
Algogia poussa Alice sur le dos et elle plongea rapidement sur l'antre intime de la blonde. Jouant immédiatement avec son clitoris pour la faire mouiller le plus fort possible.
-
« Hey, bordel ! Lâche-moi, sale... !
- Ne sois pas impolie, Ciri’ ! »
La sorceleuse fusilla Alice du regard. Algogia avait agi rapidement, et l’avait attaché au mur. Comme quoi, la tête blonde était parfois de très bon conseil, et, pour le coup, elle savait comment faire craquer Cirillia. Et la sorceleuse, elle, était encore suffisamment lucide pour savoir quand on se jouait d’elle, et pour deviner ce qui l’attendait. Vainement, elle tenta de se débattre, de se libérer de cette prison de toile, mais sans succès.
Algogia, de son côté, retourna près du lit, et Alice, non sans un dernier sourire pernicieux à Algogia, grimpa également sur ce dernier. La Drider était décidée à s’occuper d’elle, et Alice rougit, avant de se mordiller les lèvres. Elle se mit rapidement à quatre pattes, et sentit la langue de la Drider filer sur ses cuisses. La Princesse était toutefois déjà bien humide, et ne tarda pas à gémir très rapidement, en se tortillant sur place. Elle avait été placée face à Cirillia, qui continuait à grogner sur place.
« Haaaa... Hmmmm... A-Algogia, hmmmm... Ouiiii... »
Cette sensation était vraiment très agréable, et ses doigts se crispèrent sur la couverture. Ses fesses remuèrent de droite à gauche, et elle tourna la tête sur le côté.
« A-Allez, Algogia... Haaaannn... Bai-baise-moi f-fort, haaaa... Fais-moi h-hurler... !! »
C’est tout ce qu’Alice désirait, qu’on repasse aux choses sérieuses !
-
Algogia jurait que cette situation rendait Alice encore plus chaude et plus excitée qu'auparavant. Le fait d'être observée par sa gardienne bloquée donnait à cette scène une saveur particulière. La drider était déjà bien occupée entre les cuisses d'Alice et la cyprine inondée le visage de l'araignée mais la noble voulait déjà plus et hurla de la baiser bien fort.
- Vos désirs sont des ordres majesté.
Alors, Algogia monta sur le lit avec ses 6 pattes et se plaça bien au dessus de la noble blonde, son sexe se courba afin de passer devant et se présenta à l'entrée de la fente. Elle plaça ses deux mains sur les épaules d'Alice et d'un coup violent, elle pénétra la princesse. Algogia poussa un cri de joie et entama un labourage digne de ce nom.
- Aaah ce trou... Et dire que certaines ne veulent pas venir jouer avec elle... Mmmh...
Algogia fixa Ciri qui grognait et pestait contre elle mais doucement, on pouvait sentir les qu'elle ne combattait plus aussi fort les files de soies. Et ses joues passèrent doucement vers le rouge. Alors Algogia poussa le vice plus loin et plus fort, pour ce faire, elle recula quelque peu pour pouvoir malmener à nouveau les belles fesses de la noble. Des petites claques tombèrent au rythme de ses coups de reins.
- Ooooh... Votre majesté... Mmmh...
Oui c'était quelque peu surjoué mais l'idée de fin en valait la peine pour la drider.
-
Elle était lointaine, l’époque où Alice était une jeune Princesse ingénue terrorisée par le sexe ! Il fallait la voir, maintenant, à l’aise à l’idée de se faire sévèrement bourrer par une puissante Drider ! Alice ne ressentait aucune inquiétude, aucune peur à l’idée de ce qui allait se passer. Elle se pinçait les lèvres, crispant ses mains sur le lit. Nerveuse, Alice l’était, mais pas à cause de la per. Elle anticipait ce qui allait arriver, l’intensité de cette scène, l’énergie incroyable d’Algogia. Devant elle, Cirillia se dandinait encore sur place, cherchant encore à rompre les fils. Selon toute logique, ils se rompraient naturellement d’eux-mêmes quand Ciri’ serait prête. La guerrière était une redoutable tête de mule, mais Alice la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle était assez coquine, et qu’elle ne pourrait pas rester longtemps insensible à ce qui allait se passer droit sous son nez.
Alice, en tout cas, sentit Algogia se mettre en position, ses six pattes se posant sur le lit, tout autour d’elle. Elle se pinça les lèvres quand les mains de la Drider se posèrent sur son corps, et sa queue s’enfonça brusquement dans son vagin. Prise en levrette, Alice écarquilla les yeux, et se mit à hurler, crispant ses doigts gantés sur la couverture du lit, tout en sentant son corps se soulever d’avant en arrière, poussé en ce sens par la queue monstrueuse d’Algogia. La Drider ne la ménageait clairement pas, donnant de puissants et profonds coups de reins, malmenant avec plaisir le corps de la Princesse.
« Haaaaaaaaaaa… Haaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »
La Princesse soupirait longuement, yeux clos, ressentant encore l’incroyable énergie d’Algogia. Elle était… Elle était vraiment impériale dans sa manière d’agir ! Quelle force, quelle puissance, quelle énergie ! Alice se faisait prendre d’avant en arrière sans pouvoir rien faire d’autre que suivre, gémissant longuement, sous les yeux de plus en plus envieux de Cirillia. La guerrière se tortillait plus lentement, et, quand Algogia passa à la sodomie, sa frustration fut encore plus grande.
Cette fois, en effet, Alice se mit à hurler, ouvrant en grand les yeux pendant quelques secondes, face à cette pointe terrible de douleur qui remonta brusquement en elle.
« HAAAAAAAAAAAAAA… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN… !! »
La Princesse hurlait avec énergie, ses cris remontant dans toute la place, sa mouille et sa sueur coulant sur le lit.
Oh, oh, elle adorait vraiment ça !
-
La drider se donnait à coeur joie pour écarteler son amante et l'entendre hurler comme ça la rendez fière. Même si elle se doutait que Alice en rajouter une couche pour faire fondre les dernières réticences de Cirillia. Mais, Algogia y allait et elle dardait sans relâche ces fesses qu'elle faisait rougir par sa force. De temps en temps, elle fixait la Sorceleuse tout en s'enfoncant dans le corps de la princesse. L'araignée n'avait pas fini, non loin de là, voyant que Ciri devenait de moins en moins argneuse sur sa toile, Algogia estima qu'il était tant de donner le coups de grâce. Elle sortit son chibre du vagin béant de la noble pour perforer son rectum. Alice reprit de plus belle ses vocalises de joies.
- Allez ma belle rousse, imagine toi à la place de la blonde... Tu serais heureuse, j'en suis certaine.
Alogiga était déjà bien lancée l'excitation mais savoir que Cirillia les regardait et qu'elle fera bientôt parti du menu, cela rendait l'araignée dans un état second, folle et assoiffée, la drider se sentait pousser des ailes. Est ce que Cirrilia allait bientôt craquer, oui bien sûr, et pour cela, Algogia pouvait remercier en grande partie Alice.
-
Il fallait bien reconnaître que, vu de l’extérieur, les hurlements gutturaux qu’Alice émettait pouvaient faire peur. Même avec les toiles d’Algogia, qui étouffaient les sons, en s’approchant de la grotte, on pouvait les entendre. Alors, peut-être qu’Alice simulait en partie, mais, dans les faits, il était clair qu’elle prenait son pied. Cirillia, en tant que spectatrice impuissante, voyait les deux femmes puiser dans son poids faible : le sexe brutal, violent et ardent. Elle, quand elle faisait l’amour, il y avait toujours des griffures ou des morsures. Comme Ciri’ le disait elle-même, elle aimait faire l’amour de manière sauvage, pas « à la manière des nobliaux », avec douceur, élégance, et toutes ces autres conneries. La douceur, Ciri’ ne l’employait qu’à la fin, souvent, quand elle avait bien baisé sa Princesse, et la câlinait. Et il fallait bien admettre aussi qu’Alice avait été formée à bonne école. Une humaine manquant d’expérience en la matière n’aurait clairement pas pu endurer les mouvements puissants et impressionnants que la Drider faisait.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN… !! HNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN… !! » glapissait-elle.
Sa salive s’échappait de ses lèvres. Alice ne contrôlait plus rien, soumise à la terrible sodomie d’Algogia. Et… Et c’était bon ! Autant dire qu’Alice avait été contaminée par les goûts sexuels de ses amants, et, avec la Drider, elle avait droit à du sexe de haute qualité. Rien ne lui était épargné, la femme la baisait avec une force incroyable. La Princesse hurla encore en atteignant un orgasme, qui n’arrêta nullement les deux amantes.
Alice se dandinait d’avant en arrière, et sentit soudain des mains saisir ses poignets, avant de soulever encore son corps, jusqu’à ce qu’Alice ne se retrouve dos contre Algogia, sentant les seins de la Drider s’enfoncer dans sa peau. Elle se redressa ainsi, et s’agrippa d’une main à la nuque d’Algogia, suspendue en l’air, les jambes filant vers l’arrière, montrant à Cirillia la vue de son intimité dégoulinante de mouille, pendant que, dans son cul, Algogia continuait à la pilonner.
« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM… !! GNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN… !!! »
Ciri’ fermait régulièrement les yeux de son côté. Elle était en train de mouiller.
-
Algogia se donnait à coeur joie, à fond, sans retenue et sans aucune pitié pour le corps de la princesse. Ciri ne bougeait plus et la drider sentait une nouvelle odeur agréable dans la pièce, la cyprine de Cirillia. Algogia glissa doucement sa bouche à l'oreille de la blonde.
- Elle a cédé, elle est à nous maintenant... Je la veux... Je veux aussi la féconder. Et je vous traiterai très bien toutes les deux.
L'araignée donna encore trois coups plus profonds dans les entrailles de la blonde et au troisième coup, Algogia poussa un petit cri qui annonça un orgasme puissant qui rempli le cul de Alice. Un orgasme que ne put contenir Alice et trois quart du foutre tomba sur le lit. Après quelques minutes de flottement, Algogia reposa délicatement Alice sur le lit en l'embrassant tendrement.
- Merci beaucoup princesse, je vais m'occuper de votre jolie gardienne maintenant.
L'araignée quitta la noble et le lit pour la gardienne qui avait les yeux fermés. De plus près, l'araignée sentait exclusivement la cyprine de la rousse. Au contact, Algogia attrapa le visage de la gardienne avec sa main droite.
- Suis-je si repoussante que ça? Pourtant... Algogia frappe de sa main gauche l'entre-jambes de Ciri. ... tu es toute humide, c'est que, un peu, je t'excite. Si tu veux être sûre, oui je serais brutale, je te ferais le plus mal possible.
L'araignée frappa encore une fois le vagin de Cirillia. Pour finir, elle tenta le baiser, sans savoir la réaction de la gardienne.
-
Algogia avait touché une sacrée timbale ce soir ! Non seulement elle profitait du corps magnifique d’une Princesse, mais aussi de celui de sa gardienne, une femme puissante et au corps athlétique, qui lui offrirait assurément un beau bébé. Alice se doutait que Ciri’ devait être dans tous ses états. Son amante n’était pas habituée à être ainsi malmenée. Généralement, c’était Ciri’ qui brutalisait les autres, mais là, face à cette puissante Drider, les options étaient plutôt limitées. En tout cas, Alogiga bourrinait furieusement la Princesse, qui continuait à hurler et à se tortiller sur place, gémissant longuement, pleurant même sous l’intensité de cette sodomie. Elle tenait encore à quatre pattes, mais, quand Algogia approcha de l’orgasme, Alice, dans un ultime soupir, s’effondra sur le lit, couchée sur le ventre. Elle était épuisée, de la sueur qui suintait de tout son corps, respirant lourdement et difficilement. Ah, ça, Algogia ne l’avait vraiment pas loupé !
« Haaaa... Pffff... Hnnnn... »
La jeune tête blonde réussit tout juste à relever la tête. Algogia l’enjamba, et commença à défaire les toiles recouvrant le corps de Ciri’, la laissant toutefois encore attachée au mur, et en profita pour la narguer à nouveau, jouant avec le corps de la sorceleuse, la narguant, la titillant, lui annonçant qu’elle allait être brutale. Ciri’, la bouche encore pâteuse, tenta de répondre, mais, au même moment, Algogia s’empressa de l’embrasser. Ses poings se crispèrent alors, et la sorceleuse ferma les yeux, avant de répondre au baiser de la femme, gémissant doucement contre elle.
« Hmmm... »
Ciri’ répondit à son baiser... Et mordilla soudain la lèvre inférieure d’Algogia, tirant dessus, avant de lui sourire, la narguant:
« Tu me prends pour une petite fragile, Algogia ? Je ne suis pas cette chère tête blonde, moi... Tu veux me dresser, hein ? C’est moi qui dresse les femmes comme toi, ma chérie ! »
Autant dire que le comportement de Cirillia allait être extrêmement différent de celui d’Alice !
-
Le baiser fut intense et brutal, les prémices d'une future bataille. Cirillia et Algogia se faisait face et lorsque se contact fut, c'était la gardienne qui ouvrit les hostilités. Elle avait attrapé la lèvre inférieure de l'araignée avant de se targuer d'être la plus intense. Algogia poussa un petit rire, elle adorait déjà Cirillia, sa fierté allait être une chose incroyablement beau à détruire.
- Je t'adore déjà humaine...
L'araignée se retourna et vit Alice dans un état d'épuisement assez prononcé. Elle semblait essoufflée et tremblante.
- Regarde ta princesse, gardienne. N'aimerais tu pas être dans le même état qu'elle?
Algogia revint rapidement sur la rousse et elle commença à défaire l'armure et les vêtements. Laissant une gardienne en petite tenue, la drider se sentait en veine, deux superbes femmes à féconder. Certes, la princesse voulait une drider pour ses mines, elle en aura deux d'ici peu. La main droite de l'araignée passa sous le tissus de la culotte de Ciri et elle atteignait vite la vulve dégoulinante.
- Je vois qu'on est déjà bien lancée ma belle et délicate petite fleure rouge. Je te pensais plus résistante...
Algogia commença un doux massage tout en allant embrasser le cou de la gardienne. Elle se colla à elle et même, elle se permit le luxe de mordre cette dernière.
-
Paradoxalement, chasser les monstres tendait à se montrer plus tolérants envers eux. Cirillia avait parcouru un grand nombre de routes et de sentiers dans les Contrées du Chaos, suffisamment pour voir que le monstre n’était pas souvent celui qu’on croit. Elle avait été embaucher par des villageois, une fois, pour traquer des vouivres qui, selon eux, auraient tué leurs enfants. Mais, en se rendant dans leur nid, Cirillia n’avait vu eu aucun os, aucune trace des enfants capturés. Finalement, en enquêtant dans la forêt, elle était tombée sur une bande d’ékinoppyres, des plantes sauvages carnivores redoutables, qui avaient tendance à pousser au-dessus de corps enterrés sans tombe. Elle avait affronté les plantes, et vu une petite maison à proximité. La maison était tenue par un pêcheur local, et, en inspectant ses vivres, Ciri’ avait compris qu’il était un cannibale, et qu’il avait capturé et dévoré les enfants qu’elle cherchait. Alors, Ciri’ pouvait bien admettre qu’Algogia ne soit pas le monstre qu’elle avait craint. Pour autant, ça ne signifiait pas qu’elle allait s’incliner devant elle.
Algogia semblait s’en amuser, et, après avoir retiré une bonne partie de la toile immobilisant Cirillia, s’empressa de la déshabiller. Elle déchira une partie de ses vêtements, et Ciri’ finit rapidement en sous-vêtements... Soit en portant juste une culotte, puisqu’elle n’avait pas remis son corset tout à l’heure. Elle serra les poings, les joues s’empourprant légèrement quand Algogia vint s’attaquer à son sexe avec ses doigts, et lui mordillant le cou.
« Hmmmm... Je te l’ai dit, ma chérie, je ne suis pas comme Alice, moi... »
Ciri’ se concentra alors, et prononça un simple mot :
« Igni. »
Ses doigts s’enflammèrent alors, enflammant également les toiles retenant ses mains, et elle libéra ces dernières, posant ensuite l’une de ses mains sur la nuque d’Algogia, et retourna lui voler un baiser. Igni était l’un des Signes des sorceleurs, soit un sortilège magique qu’un sorceleur pouvait déclencher en le prononçant, et en concentrant sa mana. Ici, faute de pouvoir former avec ses mains le Signe, Igni, qui permettait de générer du feu, avait été de faible intensité, lui permettant juste de se libérer.
« Hmmmm... »
Ciri’ pressa son corps contre le sien, et rompit à nouveau le baiser, avant de narguer la Drider :
« J’ai déjà couché avec des Minotaures et des Lamias... Je n’ai pas peur d’une petite Drider qui fanfaronne en baisant de jeunes blondes au corps fragile. »
Elle la provoquait, bien sûr, car elle savait que l’époque où Alice était une jeune timide était révolue. En matière de sexe, Alice avait acquis une sacrée expérience, et on ne l’épuisait pas facilement... Mais, puisqu’elle couchait avec une Drider, Cirillia voulait que l’expérience la marque !
-
Algogia fut agréablement surprise par la pugnacité de la chasseuse de monstre. Mais la vraie surprise était sur Ignis, Algogia s'écarta d'un pas car elle savait la finalité de ce terme. Sa toile partie en fumée alors que Cirillia se jeta sur la drider pour lui prendre un baiser.
- Je réitère mes propos gardienne. Je t'adore déjà beaucoup...
Algogia se tourna avec Ciri et elle la projetta sur le lit directement. Elle lui arracha sa culotte et l'araignée se trouva nez à nez avec un vagin dégoulinant.
- Maintenant, nous allons jouer petite prétentieuse.
Le sexe de la drider était à nouveau de sorti et l'araignée se plaça au dessus de la gardienne et de ses mains, elle lui écarta les jambes et avant même de pouvoir commencer les préliminaires, Algogia transpersa de son dard le sexe de la gardienne. Elle y alla sans aucune pitié, s'aidant de ses pattes arachnides pour pousser au plus profond de l'intérieur de Cirillia.
- Aaah, tu es déjà toute à moi petite garce.
-
Épuisée, Alice reprenait des forces. Algogia était quand même une amante redoutable, très énergique, qui vous prenait avec passion, et vous poussait jusqu’au bout. Allongée sur le grand lit, elle avait les yeux dans le vague, et commença à revenir à elle quand elle entendit Algogia revenir. Instinctivement, elle caressait son ventre, s’attendant à devoir bientôt accoucher, sans pouvoir s’empêcher d’en ressentir une pointe de fierté. C’était au moins la preuve qu’elle était bien fertile ! Algogia déposa ensuite Cirillia sur le lit, et arracha sèchement la culotte de la femme, dévoilant une intimité qui n’attendait qu’elle. Ciri’ croisa le regard de la Drider, qui approcha ensuite son gros sexe d’elle, et s’aida de ses pattes arachnéennes pour abaisser son corps. Sa queue s’enfonça alors dans le corps de Cirillia, puis elle commença à remuer, s’écrasant sur elle, les jambes de Ciri’ disparaissant sous son solide ventre.
« Haaaaa... !! »
La sorceleuse se mit à pousser de longs hurlements de plaisir, et caressa avec ses mains les hanches d’Algogia, cherchant quelque chose à quoi se cramponner. Elle griffa involontairement sa peau, et gémit encore, poussant de longs hurlements en sentant la verge d’Algogia venir la pilonner. La redoutable blonde était terrible ! Le plaisir qu’elle insufflait à Cirillia était tout simplement jouissif, amenant la femme à hurler encore en se tortillant.
« HAAAAAAAAAA-PUUTAIN, hmmmm... !! Ouuuiii, haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Cirillia hurlait tellement fort qu’Alice en sortit de sa torpeur, se retournant pour pouvoir les observer. À ce rythme, elle aussi n’allait pas tarder à être de nouveau très excitée...
-
Algogia voulait non seulement la mettre enceinte mais, elle voulait faire jouir Cirillia comme jamais et pour le moment, elle réussissait son job. Ciri semblait comblée et Algogia allait pouvoir donner deux beaux bébés ou alors des centaines d'araignées aux mines de la noble. Mais pour le moment, c'était des multiples orgasmes à la gardienne.
- Alors gardienne... Je t'entends plus...
Mais, l'odorat d'Algogia lui lança l'information que Alice remontait dans les tours car sa cyprine coulait le long de ses cuisses. Cirilia s'aggripait aux hanches de la drider, la griffant au passage, par réflexe, Algogia gifla la gardienne.
- Du calme traînée, laisse moi t'engrosser en paix. Hannn... Mais si tu sais pas quoi faire de tes mains.
En un claquement de doigts, la carapace protectrice se degagea de mon vagin trempé.
-
Cirillia était dans une drôle de posture. Elle avait déjà eu des amantes bizarres, notamment une solide Orc... Une histoire qu’elle n’avait encore jamais raconté à Alice, mais elle sentait bien que sa séance avec Algogia allait renvoyer aux oubliettes son amante verdâtre. Algogia la prenait donc, enfonçant sa grosse queue en elle, faisant hurler Ciri’, qui ne put retenir ses cris. Devant ce spectacle, Alice ne restait pas inactive, bien sûr, retrouvant du poil de la bête, frottant lentement ses cuisses entre elles. Cirillia sentit soudain Algogia la gifler, et grogna en retour. Pour seule réponse, elle posa à nouveau ses doigts sur la nuque d’Algogia, et la griffa encore, avant de l’embrasser, mordillant ses lèvres, tirant sur sa peau.
« Ta... Ta gueule, haaaa... ! Con-Contente-toi de... De me baiser, bordel ! »
Ciri’ grognait encore, et, tout en la tenant d’une main, pinça son sein avec son autre main. Elle aurait pu s’attaquer à son vagin, mais, du fait de sa position, l’accès était, il fallait bien le dire, très difficile à atteindre. Fort heureusement, Algogia sentit rapidement quelque chose à hauteur de son sexe féminin. Et, si elle regardait sous elle, elle pourrait voir, entre ses pattes arachnéennes, une tête blonde se relever.
Alice s’était agenouillée, et, tout en prenant appui sur deux pattes, léchait l’intimité de la femme, sentant la mouille de la Drider glisser entre ses lèvres. Elle en soupirait de plaisir, et, yeux clos, continuait à s’y attaquer, sans relâche.
« Mmmhmmm... !! »
Oui, tout était fait pour rendre Algogia très heureuse...
-
La petite tête blonde avait pas mal de ressources en elle et même après un énorme orgasme, Alice était déjà en piste pour venir titiller l'araignée par un cunnilingus. Algogia poussa un petit gémissement alors que Ciri se redressait pour venir ordonner à l'araignée de la baiser. Algogia répondit favorablement à l'appel de la Sorceleuse en allant encore plus fort dans ses va et viens. La drider se sentait vraiment bien, ses deux sexes occupés et l'une de ses proies était déjà enceinte, que demander de mieux...
- Je vais... Je vais te faire hurler petite garde...
Algogia répondit au baiser et posa une morsure sur le menton de Cirillia qui profita pour pincer le sein de l'araignée. La drider ne savait plus où donner de la tête et elle continua à se concentrer sur l'intimité de la rousse afin de la faire jouir le plus fort possible avant qu'elle même ne craque et se répande en elle. Mais, le travail d'Alice lui rendait la tâche difficile, elle avait deux fois plus de plaisirs et se concentra de plus belle.
- Je... Aaah... Je t'aurais, salope...
Algogia sentit son abdomen arachnéen chauffer de plus en plus fort et elle savait que dans quelque instant, elle explosera dans une jouissance.
-
Alice et Cirillia étaient toutes les deux présentes pour défier Algogia et ses certitudes. La Drider était une amante redoutable, qui était en train de bourrer sèchement Cirillia, mais qui ne s’attendait visiblement pas à la participation aux ébats d’Alice. Or, la tête de la belle blonde était bel et bien en train d’assaillir l’intimité d’Algogia. Soupirant de plaisir, la jeune Princesse se mit à gémir, sentant la mouille de la femme sur elle, ainsi que le corps de Cirillia, qui frottait ses cheveux et le sommet de son crâne. Yeux clos, elle se laissait faire, agenouillée sur le sol, posant ses mains sur l’abdomen d’Algogia, s’attaquant ainsi à la belle Drider. Quant à Ciri’, elle gémissait et couinait, avec l’intime conviction d’avoir rarement eu des amantes aussi énergiques et aussi intensives que la Drider. Algogia ne lui épargnait rien, et ses jambes vinrent s’enrouler autour de la taille de la femme, son corps s’appuyant légèrement deux des pattes d’araignée de la femme.
Ciri’ s’empressa ensuite d’embrasser la femme, conservant sur ses lèvres un sourire moqueur par la suite.
« Haaaa... Tu... Tu vas bientôt jouir, ma chérie... Hmmmm... !! »
Preuve de l’énergie intense que la Drider infligeait à Cirillia, celle-ci avait de la sueur coulant sur son visage, et continua à soupirer. Alice, quant à elle, sentait sur ses cheveux la mouille de la femme, et, tout en continuant à lécher l’intimité de la Drider, se caressa intimement à son tour. Les joues rougies, la tête blonde était indéniablement très excitée par tout ce qui se passait autour d’elle. Algogia avait bien de la chance d’avoir deux femmes avec elle, deux créatures aussi belles et aussi énergiques.
Continuant à frotter son corps, Ciri’ soupirait toujours, embrassant la femme. Algogia n’hésitant pas à la mordre, Ciri’ fit de même, plantant ses dents dans son cou.
« A-Allez... !! »
Ciri’ gémit encore, ferma les yeux, sentant son plaisir s’envoler... Et, comme on pouvait s’y attendre, elle jouit en même temps qu’Algogia, poussant un puissant hurlement en ce sens, sentant le foutre de la puissante Drider se répandre en elle... Et ce, bien entendu, pour son plus grand plaisir !
-
Pour Algogia, c'était le piège ultime et Cirillia et Alice étaient des amantes terribles, sexuellement très puissantes, elles ne laissèrent aucune chance à la drider. Dans un dernier sprint final, Cirillia craqua la première mais Algogia n'avait pas eu le temps de fêter sa victoire qu'elle lacha la pression dans un orgasme tonitruant. Le sexe de l'araignée se déforma pour faire passer tout le foutre et tous les oeufs dans l'utérus de la gardienne.
- Raaaah...
La drider soupira encore plusieurs secondes alors que les dernières salves de foutres prirent possession de l'intérieur de la rousse incendiaire. Une fois terminée, Algogia gifla Cirillia en la narguant de plus belle.
- Alors, petite garce, je te l'avais dit que tu aimerais t'amuser avec moi.
L'araignée poussa un rire si caverneux et si profond que l'on aurait pu croire qu'elle allait les attaquer à tout moment. Mais, les deux humaines portèrent les enfants de la drider, hors de question pour elle de leurs faire du mal. Elle avait envie de voir le résultat de cette fécondation.
-
Face à Alice et Cirillia, Algogia ne pouvait pas lutter, et, tandis qu’Alice la léchait, elle sentit l’énorme queue d’Algogia se contracter. Ses muscles se bloquèrent, et, avec son visage si proche des deux femmes, elle entendit Cirillia jouir, sentant surtout la mouille sur sa tête, mais entendit clairement le foutre remonter le long de la grosse queue d’Algogia. À ce moment, Alice avait d’ailleurs relevé le visage, et posa ses lèvres sur la base de sa verge, tout en la léchant, sentant le foutre ven,ir... Ainsi que de petits objets sphériques, et frémit en se disant qu’Algogia avait également implanté ses œufs en elle. Elle aurait dû être horrifiée à l’idée d’accoucher de créatures arachnéennes, mais, en réalité, la chose tendait surtout à l’exciter. L’instinct maternel, sans doute... Le tout amplifié par les aphrodisiaques et l’aura de stupre qui régnait dans cette pièce.
Cirillia, en tout cas, sentit son corps se remplir, et serra les dents, gémissant longuement en sentant le foutre fuser en elle. La Drider eut un magnifique orgasme, très intense, Alice sentant au plus près les liutres de foutre jaillir, la crème glissant dans les cuisses de la sorceleuse. Ciri’ hurla même pendant un moment, avant que son corps ne se détende. Elle manqua ensuite tomba, et Alice s’écarta, tout en sentant la queue d’Algogia dégrossir. Quand Ciri’ s’écarta, des filets de sperme relièrent encore son sexe à celui de la femme, et, juste après, Alice put voir la queue de la Drider, parcourue de tâches blanches.
Elle sourit, et laissa Cirillia reprendre son souffle, tout en venant se blottir contre le corps en sueur d’Algogia. Alice embrassa ensuite doucement son sein, le mordillant ensuite, une lueur malicieuse dans les yeux, et déplaça sa main, venant masturber la Drider.
« On va sûrement passer plusieurs jours ensemble, Algogia... Et Ciri’ pourra sûrement le confirmer, mais je pense que tes bébés se nourrissent de ton foutre... »
Alice avait une voix chaude. Algogia allait vite comprendre que, sous son petit corps frêle, la Princesse était incroyablement endurante. Le sang du Dragon coulait dans ses veines, et la réputation d’infatigabilité des Korvander n’avait rien d’exagérée. Alice se pinça donc les lèvres, et lui embrassa la peau.
« Est-ce que tu penses pouvoir tenir avec nous deux, ma belle araignée ? En tout cas, maintenant, tu ne pourras pas y échapper... Je te veux à Sylvandell, ma belle. Dans les grottes, tu pourras établir un vaste nid... »
La jeune femme se hissa sur la pointe des pieds, et embrassa la joue de la Drider, avant de poursuivre :
« Et moi, t’offrir plein de bébés... »
-
Algogia était aux anges, deux femmes fécondées avec l'espoir d'avoir deux petites driders en plus dans son entourage. Car en faite, Algogia avait menti à Alice, Algogia avait déjà eu une drider, avec Misty, elle s'appelait Onyx et vivait dans une région reculée sur le territoire de Nexus, Algogia rendait visite à sa fille de temps en temps et elle aussi venait voir sa maman. L'instinct de chasse et les envies d'exploration de Misty avait repris le dessus et Algogia avait marqué son accord pour la laisser faire. Je t'aime fort: c'était sur ces derniers mots qu'elles se quittèrent et Algogia retourna dans son ancien nid. Misty lui manquait de temps en temps mais le temps était passé et elle savait que maintenant, Misty était heureuse et libre de ses bourreaux.
Alice profitait de sa position pour grimper dans les bras de l'araignée alors que Cirillia souffla un peu sur le lit. La princesse donna l'argument ultime pour la convaincre de la suivre à Sylvandell: Lui fournir des bébés. Algogia soupira de plaisirs et l'idée de la noble l'avait rendue toute chose.
- Ah bon, mmmh, expliquez moi cela de manière détaillée et surtout, n'hésitez pas à me montrer des exemples.
La drider attrapa les cheveux de blé d'Alice et tira en arrière afin d'embrasser la noble, elle foura sa langue dans la gorge et joua avec elle pendant un moment. Quand le baiser fut rompu, Algogia mordait le menton d'Alice et ensuite, elle reposa Alice sur le lit.
- Mais que va dire votre peuple? Je vais pas entrer dans Sylvandell à vos côtés... Ah moins, que je passe pour une de vos captures, j'ai tenté de vous attaquer et vous avez réussi à prendre le dessus sur moi...
L'araignée se rapprocha doucement d'Alice avant de poser sa main sur le pubis rouge de la princesse, elle massa délicatement la princesse.
- Je serais une prise et votre peuple sera ravi de voir que sa princesse a battu une drider.
-
Alice se retrouva donc sur le lit, après un solide baiser de la part de la Drider, et bien appuyé. Elle en frémit sur place, savourant le contact de ses lèvres, l’énergie de cette femme, sa puissance... Algogia était une amante reodutable, et là, sur le lit, en voyant le corps arachnéen de la femme, avec ses six pattes qui se déplaçaient, elle se pinça les lèvres. Des exemples, avait-elle demandé... Mais de quoi ? Elle décida de laisser ça pour le côté pour le moment. Cirillia était couchée sur le flanc, et se relevait lentement, pendant qu’Alice, couchée sur le lit, jambes légèrement écartées, donna à Algogia ses explications :
« Si tu viens en tant que prisonnière, tu seras ostracisée, et tu ne pourras pas vivre dans une grotte. Je devrais te capturer, et te mettre dans une prison... Et ça, je m’y refuse !
- Hmmm... »
Cirillia se releva alors, mais resta sur le lit, s’asseyant dessus à son tour, caressant d’une main son ventre.
« Les Sylvandins... Sont des peuples plus ouverts d’esprit que d’autres peuplades, Algogia. Ils vivent quotidiennement avec des dragons. Et ils respectent beaucoup leur Princesse.
- Vous viendrez en ma compagnie, Algogia, et je vous présenterai comme ce que vous êtes : une Drider qui protègera les mines des monstres qui la hantent, en vous attribuant la nationalité sylvandine. Ainsi, nul ne pourra vous faire de mal sans s’exposer à ma colère. »
Aussi douce et aussi gentille puisse-t-elle être, Alice n’en restait pas moins la Princesse de Sylvandell, une femme dotée d’un tempérament de feu. Mais, d’un autre côté, elle savait aussi que les Driders étaient des créatures qui avaient soif de liberté.
« Bien sûr, je ne vous force à rien, Algogia... Vous êtes libres de faire ce que vous voulez. Ciri’, par exemple, passe la plupart de son temps à l’extérieur de Sylvandell.
- J’aime vagabonder, tout simplement... »
La Princesse sourit doucement, puis se déplaça encore. Se relever étant un peu difficile, elle avança à quatre pattes, et se redressa près d’Algogia. Assise sur ses cuisses, elle embrassa à son tour la femme sur les lèvres.
« Je ne te force pas, Algogia, répéta-t-elle. Tu es libre de choisir ce que tu veux faire. Sache juste qu’une place t’attend dans mon royaume, tout simplement. Et, pour ce qui est des exemples... »
Lueur espiègle dans les yeux, puis elle mordilla le creux du cou de la femme.
« Je compte sur toi pour me baiser bien fort pendant la durée de ma grossesse... »
-
Alice et Cirillia rassurèrent la drider sur leur intention, les grottes de Sylvandell seraient un chouette endroit afin de fonder une famille, surtout Alice était partante pour que Algogia l'engrosse souvent. La drider souriait à cette envie mais elle se voyait pas débarquer devant le peuple de Sylvandell torse nue. Elle aurait le temps de trouver un tissus pour se couvrir. Pour le moment, Alice remontait en puissance et elle voulait être comblée pendant sa grossesse. A cela, Algogia répondit avec un brin de violence en déposant la blonde sur le lit et elle se jeta dessus, trique au vent, mais avant de la pourfendre, Algogia plongea sa bouche sur les lèvres vaginales de la noble. Tout en faisant cela, l'araignée passa deux doigts sur les lèvres intimes de la Sorceleuse, fallait pas qu'elle s'ennuie. Algogia s'appliqua pour donner autant de plaisir à l'une et l'autre, elle avait deux futures mères de ses enfants, elle devait se montrait digne d'elles.
- Allez mesdames, j'espère que vous êtes partantes pour un mois de sexe... Moi, j'ai faim.
Les deux doigts qui étaient baladeurs au début, finirent par pénétrer doublement la rousse incendiaire, elle effectuait des vas et vient se plus en plus vite. Quand à Alice, Algogia lechait le bouton magique de la blonde, entre deux coups de langue, la drider mordait les lèvres gonflées, le sexe arachnide sorti de l'abdomen d'Algogia et se plia pour partir vers l'avant. Les heures qui allaient suivre semblaient s'annoncer sous la luxure.
-
Algogia était à l’image de ce qu’on pouvait attendre d’une monster girl : insatiable. Rien ne semblait devoir la satisfaire très longtemps, et elle proposa tout simplement aux deux femmes prostrées devant elle « un mois de sexe ». De la pure vantardise ? Alice était sûre qu’Algogia pouvait tenir ce délai ! Néanmoins, un mois ici, dans cette grotte, c’était quand même beaucoup ! Autant dire qu’il allait falloir calmer les ardeurs de la Drider, et, à tout le moins, prévenir le reste de Sylvandell. Les gardes et les autres pages devaient pour l’heure être dans tous leurs états.
« Je ne crois pas que ce soit raisonnable, les gens me recherchent, ils doivent être inquiets...
- Nous allons les prévenir... D’ici quelques heures.
- Mais... »
Cirillia mit fin aux hésitations d’Alice par un solide baiser planté sur ses lèvres, puis elle la renversa, la couchant sur le dos. Alice gémit silencieusement, remuant des jambes, avant de sentir le buste d’Algogia s’abattre sur elle, puis sentit sa queue caresser son corps, glissant le long de ses jambes. Sa peau en frémit, et elle sentit ensuite la langue d’Algogia se glisser contre ses cuisses, venant lécher son intimité. Alice écarta les jambes en soupirant, et crispa sa main sur ses cheveux, fermant les yeux en soupirant longuement. Cirillia se tortilla aussi sur place en sentant la Drider caresser son sexe de ses doigts, la pénétrant digitalement.
Pour autant, la sorceleuse en herbe n’interrompit pas son baiser, pinçant d’une main l’un des seins d’Alice, balayant progressivement ses doutes sous une vague de plaisir.
« Hmmmm... !! »
Cirillia rompit le baiser, et se délecta des légers soupirs d’Alice, qui, tout en rougissant, se pinça les lèvres.
« A... Algogia, hmmm... »
Dès qu’Algogia lui laissa une seconde, Alice se retourna brusquement, et se mit à quatre pattes, courbant son dos, creusant son corps, et tourna la tête vers la redoutable femme, observant sa queue tendue en se mordant les lèvres, expression assoiffée sur les yeux.
« Allez, viens me baiser, qu’est-ce que tu attends ?! »
-
On ne savait plus trop dire si la drider avait toujours son instinct maternel en marche ou si ce n'était que du plaisir, mais Algogia se laissa enivrer par le moment de luxure. L'araignée avait de mal à calmer cette queue qui fretillait déjà à la vue de Cirillia sur Alice. Elle gémissait d'envie et lorsque la croupe de la princesse lui était offerte, elle poussa un cri arachnéen, elle posa ses deux puissantes mains sur les hanches de la blonde et elle la pénétra puissamment.
- Aaaaah... Mon dieu... Cette chatte...
Algogia se sentait comme aspirée par les entrailles de Alice, alors qu'elle avait déjà subi plusieurs assauts et pourtant ses parois vaginales avaient repris sa forme de départ, la drider en profita pleinement. Son front perlait de sueur et elle se mordait les lèvres de plaisir alors que son dard harponait sèchement Alice.
- Han han... Aaaaah
Algogia se donnait de plus en plus fort, de plus en plus profondément et elle accéléra encore plus fort.
- Ne t'inquiète pas, Sorceleuse, ton tour suit juste après, mais ta princesse m'a provoqué. Je vais la calmer.
Elle se donna même le luxe de battre à nouveau les fesses de la blonde à coup de giffles.
-
Alice pouvait parfois se montrer... Particulièrement surprenante. Elle était là, à quatre pattes, se moquant d’Algogia, l’incitant à venir. Joueuse, sensuelle, moqueuse, elle voulait que cette dernière vienne. C’était particulièrement surprenant, et ce d’autant plus que Cirillia savait combien la jeune Princesse pouvait se montrer nerveuse. Oh oui, elle avait bien changé, cette belle blonde ! Maintenant, elle dandinait du cul devant cette Drider, complètement transformée ! Cirillia ne pouvait s’empêcher d’en ressentir une certaine fierté, car elle savait qu’elle était à l’origine de cette situation... Partiellement, du moins. Algogia, assoiffée, s’empressa de se rapprocher, et la pénétra soudain.
Les yeux d’Alice s’écarquillèrent brusquement en sentant cette grosse matraque se perdre en elle. Son corps se souleva légèrement, et ses mains se crispèrent sur le lit, puis elle poussa un couinement, avant d’hurler encore. Ses yeux se fermèrent, et elle gémit encore, se tortillant sur place, sentant le corps massif de la Drider s’abattre sur elle. Ses genoux se tendirent sur place, ses muscles s’affaissèrent, et elle tint bon, avant de gémir encore lorsqu’elle sentit l’une des mains d’Algogia la gifler sèchement.
« Hmmmm... !! A... Algogia, haaa... !! »
La Princesse rougit encore, et sentit son corps partir en arrière. Ses doigts griffèrent le lit, et elle sentit ensuite Algogia revenir en avant. Son visage tomba en avant, et heurta le lit, sa salive tombant dessus. Incapable de pouvoir faire autre chose, Alice sentit le corps de la Drider continuer à la prendre. La tête de la blonde fila dans tous les sens, et sa salive continuait à couler le long de ses lèvres. Elle cligna des yeux, et elle se tortilla encore sur place.
« En... Encore, haaaa... !! Oouuii, hmmm... ENCOOOREE !! »
Elle hurlait, complètement possédée, traversée par le plaisir. Alice se pinça à nouveau les lèvres, et continua à cligner des yeux.
« Hmmmm... !! »
Oh, que c’était bon !
-
Algogia était en rûte, assoiffée par le corps de la princesse, la drider s'était jetée à corps perdu dans cette bataille assez folle. Elle s'aida rapidement de ses six pattes afin de marteler plus profondément Alice qui couinait très fort. L'araignée aussi poussa des petits cris de douleurs, son sexe était encore rouge des précédentes attaques avec la Sorceleuse, mais elle ne devait pas se plaindre: c'était tous les jours qu'elle avait deux femmes consentantes dans sa grotte.
- Raaaah, Princesse... Aliiiiice.
Pour compléter sa phrase, une nouvelle frappe tomba sur les fesses de la noble, Algogia ne pensait plus que par le sexe et la violence. Elle savait que Alice en demandait, toujours avec modération, et Algogia se sentait l'âme de satisfaire la blonde. Parlant de satisfaire, elle garda un oeil sur la rousse, Cirillia, qui patientait sur le côté tout en fixant Alice. Elle semblait fière mais l'araignée ne comprenait pas la raison, peut être une chose en commun entre elles se disait elle. Elle remua encore plus fort dans un petit sprint avant d'attraper les épaules de la princesse qu'elle tira en arrière, le dos d'Alice se plaqua au torse de la drider qui profita pour embrasser le cou d'Alice.
-
Algogia avait déjà eu l’occasion de baiser la Princesse, et revenait maintenant à l’assaut. D’aucuns auraient pu croire qu’Alice se serait fait à l’idée, que son corps s’accommoderait de la verge monstrueuse d’Algogia, mais, en réalité... Il n’en était absolument rien ! Elle hurla encore, hurla à s’en casser la voix, tant les coups de reins la Drider étaient puissants, et tant elle la baisait fort. Algogia souleva finalement Alice, la tenant par les épaules, puis la serra entre ses bras, l’écrasant contre elle. Alice couina encore, sa bouche s’ouvrant en grand dans un hurlement silencieux, la bave coulant de ses lèvres... Puis elle sentit la main de la belle Drider se serrer sur ses cheveux, et sa bouche se plaquer à la sienne. Gémissant de plaisir, Alice ferma les yeux, et répondit au baiser de la femme. Elle se tortilla sur place, ses jambes flottant dans le vide, tapant parfois contre l’abdomen d’Algogia, qui la baisait littéralement debout, s’aidant de ses multiples pattes arachnéennes et de ses bras pour pouvoir coucher au mieux avec la Princesse.
« Hmmmm... A... Aaaaa... »
Rien d’autre n’arrivait à sortir de ses lèvres, tant Algogia la malmenait, la martyrisait, la baisait avec fureur. Ses coups de reins étaient tout simplement terribles, mettant la Princesse dans tous ses états. Elle continuait à se dandiner sur place, savourant avec une joie immense les intenses coups de pilons de la femme. Un orgasme la traversa d’ailleurs, et sa mouille glissa sur le sol, tombant sur quelques-unes des pattes d’Algogia. Sans s’interrompre, la Drider continua ses coups de reins, ne ménageant pas une seule seconde Alice, dont la tête partit encore en arrière.
Après son orgasme, elle commençait à aller un peu mieux, et enroula ses bras autour de la nuque de la femme, venant l’embrasser.
« Tu... Haaa... Tu es si... Si bonne, A-Al... Hnnnn... !! »
La Princesse gémit encore, continuant à soupirer longuement. Ciri’, elle, observait la scène avec grand plaisir. Il fallait bien admettre que cette Drider était fascinante, et qu’Alice était particulièrement endurante ! Un spectacle qui ne manquait pas de fasciner la sorceleuse, admirant la scène avec joie...
-
Algogia se donnait de plus en plus, poussant encore plus fort sur ses pattes, elle voulait réellement malmener la princesse. Ciri restait toujours sur le côté à attendre, observant les deux femmes se donner énormément de plaisir. Alice craqua la première et des quantités de cyprine s'échapèrent de l'utérus, Algogia sentit le liquide noyer son chibre mais elle continua encore son travail en profondeur. Mordant la nuque de la blonde et la tenant fermement contre elle, la drider sentit son sexe devenir de plus en plus douloureux à manier. Elle souffla et ensuite hurla quand elle explosa dans Alice Korvander. La verge se deforma afin de laisser passer la quantité de foutre qui envahissait la noble. Alogiga poussa des cris à chaque contractions et lorsque ce fut fini, elle reposa Alice sur le lit.
- Vous êtes remarquable, Princesse, j'en connais très peu qui ont tenu autant de temps sur me sexe d'une drider...
Mais Algogia n'avait pas oublié Cirillia et elle se tourna vers elle avec un large sourire. Il fallait dire que la rousse, nue, avait une plastique superbe et très agréable à regarder. Un savoureux mélange entre les courbes féminines et la musculature apparente. L'araignée s'approcha doucement d'elle et posa sa main sur la tignasse rouge de Ciri.
- Mais est ce que la Sorceleuse peut tenir autant de temps que sa princesse?
-
Alice avait clairement senti un nœud se former à la base du membre de la Drider. Algogia la bourrait fermement, sans relâche, et la Princesse, elle, en aurait perdu la voix, à force de se faire baiser. Difficile de croire qu’il y a encore quelques heures, elle dormait paisiblement. Maintenant, elle était l’amante d’une Drider assoiffée, insatiable, et très endurante. Autant dire qu’Algogia confirmait en tout point la réputation sexuelle attachée à sa race. La manière dont elle le baisait était tout simplement indescriptible, une vague de puissance et d’énergie qui traversait Alice à chaque coup de reins. Les mains de la Drider se crispaient contre son corps, et la sensation délicieuse de sentir le puissant corps de la blonde s’abattre contre le sien, écraser ses muscles et son corps, était... Délicieuse ! Alice se laissait donc faire, sa salive coulant parfois de ses lèvres, tandis que son amante, imperturbable, la malmenait encore... Jusqu’à avoir un orgasme.
Un très puissant orgasme, en réalité. Alice sentit la queue d’Algogia s’enflammer en elle, et la sensation divine de se faire remplir à ras bord lui arracha un énième orgasme. Les yeux se révulsant, elle partit dans le lointain, et, quand Algogia la reposa sur le lit, Alice respirait lourdement, épuisée, la respiration lourde.
« Aaaaahhh... »
Elle avait bien entendu Algogia la féliciter, mais Alice n’était pas en état de lui répondre. La Drider avait joui copieusement en elle, et, quand sa queue s’était retirée, beaucoup de sperme avait coulé de ses cuisses, tâchant les cuisses d’Alice, mais aussi le lit, qui était en piteux état. Algogia se retourna ensuite vers Cirillia, sa queue trempée. La Drider n’avait aucun temps de repos, et, à voir les plaques rouges sur son corps, ou la sueur qui se formait, Cirillia sentait qu’elle-même était rassasiée, et commençait à sentir la fatigue pointer. Alice avait déjà prouvé aux yeux de Cirillia qu’elle avait, en matière sexuelle, une endurance exceptionnelle.
Ciri’ esquissa un léger sourire devant cette forte femme, et se redressa.
« J’avoue que... Vous m’avez pas mal excité toutes les deux. »
Elle se rapprocha de la Drider, et caressa ses hanches, avant d’aller lécher l’un de ses seins, suçotant et mordillant le téton.
« Et oui, Alice est exceptionnelle dans ce domaine... Mais c’est moi qui l’ai initié au sexe, tu sais. Et je ne crois pas que l’élève ait pu déjà dépasser le maître... »
Mais elle ne faisait que le croire. Même Ciri’ n’en était pas sûre, vu à quel point sa Princesse avait évolué au fil des années...
-
Algogia s'approcha de la rousse, son odeur et son souffle rendèrent Algogia en chasse, même si son corps marquait le pas, Cirillia se vanta que l'élève n'avait pas dépassé le maitre. Algogia approuva de la tête avant de l'embrasser.
- Beaucoup de paroles et j'espère que les actes suivront Sorceleuse. Tu m'excite énormément, ton côté rebelle et cette façon de me tenir tête même quand je suis sur toi... Le bébé que tu portes, j'espère qu'il aura ta fierté. Maintenant, à quatre pattes petite chienne.
Cirillia fixa droit dans les yeux de l'araignée même quand elle se plaça comme ordonna sa vis à vis. Une bonne petite claque sur son dernière outrageusement attirant et Algogia se plaça derrière elle, les mains sur les hanches et d'une coups sec. Algogia rentra quasi la totalité de sa matraque en la rousse qui fut soulevée sous la puissance du coup. Algogia ne voulait pas la ménager et surtout lui faire avaler sa fierté. Algogia donnait de gros coup de reins profonds, sans grande vitesse, et elle pimentait cela avec des claques biens lourdes sur le postérieure de la Sorceleuse. Rien ne lui était épargné, Algogia se déchaînait en elle, savourant chaque pénétration par des gémissement de bonheur.
-
Cirillia savait qu’elle allait se risquer à affronter une sacrée partenaire. Algogia avait prouvé qu’elle était puissante, qu’elle était une amante exceptionnelle. Elle enchaînait les deux femmes sans relâche, sans même jamais vraiment prendre de pause. Après avoir baisé Alice avec énergie, elle se rapprocha de Cirillia, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. L’ancienne sorceleuse sourit lentement, et hocha la tête, avant de se mettre à quatre pattes. Tournant le dos à Algogia, elle vit les pattes de la Drider à droite et à gauche d’elle, et se mordilla les lèvres. Elle sentit ensuite le lourd ventre d’Algogia s’abattre sur son corps, et serra les poings. Ciri’ se mit à soupirer lentement, et grogna en sentant la queue massive de la femme s’approcher de son con.
« Oh putain, t’as une de ces bites, ma sa… »
La sorceleuse ne put terminer, car la queue massive de la Drider s’enfonça en elle. Algogia y alla lentement, s’enfonçant progressivement, mais sans s’arrêter. Ciri’ ferma les yeux, et se mordilla les lèvres, de la salive coulant le long de ses lèvres. Elle cracha de la salive sur le sol, et sentit la queue massive de la femme remonter encore en elle, écartelant ses parois intimes. Cirillia se mit à gémir longuement, et poussa un long soupir, crispant ses doigts sur le lit. Elle savait qu’elle portait dans son ventre l’enfant d’Algogia, et la Drider s’enfonça lourdement, puis se recula, et fila de nouveau en avant, pliant ses pattes, accompagnant ainsi son mouvement. Quand elle se recula encore, le bassin de Cirillia se redressa, puis s’abaissa encore. Algogia poursuivit ses mouvements, accélérant de plus en plus, amplifiant le rythme.
Cirillia poussa alors un long hurlement, en retrouvant peu à peu ses esprits, et accompagna, autant que possible, les mouvements de la Drider. Une tâche difficile, car la femme la prenait vraiment très fort, crispant ses mains sur ses hanches, giflant son cul, faisant gémir Ciri’. Alice, de son côté, observait la scène, et se déplaça alors. Elle ne se mit pas debout, et avança à quatre pattes, jusqu’à rejoindre Algogia, puis se hissa sur ses jambes, et alla embrasser l’un de ses seins.
« Hmmm… Rien ne te fatigue, A… Algogia, hmmm… »
Rien, en effet ! Sa vigueur sexuelle était exceptionnelle, tout simplement !
-
Algogia laissa parler sa force arachnéene sur la Sorceleuse qui gémissait de plaisir. La drider pouvait voir qu'elle gagnait son duel sexuel avec la gardienne qui avait fermé les yeux par plaisir. Inutile de dire que le monstre en riait de bon coeur, Ciri' était à elle et elle allait en profiter un maximum afin de lui passer le goût de lui tenir tête. Et qui sait? Peut être qu'elles deviendront amantes à Sylvandell, peut être même qu'elle lui donnera beauxoup de portées. Pour l'heure, Algogia claqua encore le fessier de Cirillia.
- Raaaah, tu es trop bonne...
Algogia commençait à accélérer le mouvement, elle allait plus profondément en la sorcière pour lui laisser aucune chance dans ce corps à corps. S'aidant de ses pattes d'araignée, la drider donnait toutes ses forces dans la rousse. La jouissance n'était que secondaire, elle devait la marquer par sa supériorité sexuelle. Algogia commençait à hyper ventiler par la bouche, marque qu'elle déplorait une énorme énergie physique pour souiller la Sorceleuse. Même si elle ne ressentait pas le besoin de dormir, elle pouvait sentir la fatigue physique après tant d'effort mais pour l'heure, les réserves d'énergie de l'araignée étaient encore très grandes. Algogia attrapa les cheveux de feu de la femme et elle tira dessus pour lui infliger une douleur en continue.
-
Algogia était bien décidée à les faire souffrir, à les baiser énergiquement. Cette tornade de sexe continuait depuis plusieurs heures. Alice avait le corps brisé, mais elle restait toujours active, ce qu’elle illustra en allant embrasser tendrement l’un des lourds seins de la Drider. Las, celle-ci la repoussa, afin de se focaliser sur Cirillia. Malheureusement, sur Terra, Alice n’avait pas ces objets technologiques évolués qui existaient sur Terre, comme les téléphones portables. Là, elle n’avait que ses yeux pour observer, ce qu’elle fit donc. Une patte arachnéenne d’Algogia manqua alors de la bousculer, et Alice choisit de rester prudemment à distance, pendant que la Drider continuait à bourrer Cirillia.
Prise à quatre pattes, Ciri’ hurla encore, fermant les yeux, tout en suant longuement, et sentit alors l’une des puissantes mains de la Drider se saisir de ses cheveux, tirant furieusement dessus, soulevant le corps de la sorceleuse, qui se mit à hurler encore.
« Pu-PUTAIN, BORDEL !! »
Là, Cirillia se lâchait clairement. Elle prenait violemment son pied à se faire ainsi tringler, et... Oh, que c’était bon ! Terriblement bon, même ! Cirillia était pourtant une solide guerrière, une femme endurcie à l’esprit fort, qui ne se laissait pas facilement dominer... Mais là, elle était bien incapable de lutter. Elle hurlait encore, se tortillant sur place, sentant les coups de reins de la Drider se multiplier dans son dos. Sa salive en jaillit sur le sol, et elle couina encore, ses yeux se révulsant dans ses orbites. La jeune femme n’arrivait même plus à parler, ou même à avoir des pensées cohérentes.
Au lieu de ça, Cirillia bavait abondamment, la respiration venant à lui manquer, tandis que, inlassablement, énergiquement, et sans fin, Algogia continuait à la bourrer, puissamment, goulûment...
...Et Cirillia ne pouvait qu’adorer cela !
-
La drider était lancée dans un sprint final et frénétique dans le seul but de faire jouir le plus fort possible la Sorceleuse. Algogia tira encore très fort sur les cheveux de Ciri afin de lui faire mal, elle était dans un état second et même lorsque Alice voulu faire plaisir, Algogia la repoussa sans ménagement. Le temps avança encore dans cette grotte où la rousse ne touchait plus le lit, les draps se soulevèrent avec elle, l'araignée tapait de toute ses forces dans l'utérus de l'humaine. Aucunes tendresses n'étaient de mises entre elle mais Cirilla était la soumise pour ce tour.
- Raaaaah, je vais te remplir encore sale pute...
Dans ce joli langage, Algogia y plaçait énormément de frustration de son passé et dans une dernière attaque, le chibre énorme de l'araignée se déforma pour laisser une quantité monstrueuse de sperme en direction de l'antre de l'humaine. L'araignée hurla avant de relâcher sa prise et recula quelque peu. Le sperme continua de sortir de son chibre et cela eut pour conséquence que la Sorceleuse fut recouverte de ses fesses à sa nuque d'une grosse couche de foutre. Alice en avait eu aussi sur elle, cela dura une bonne minute de jets de traits blancs. Lorsque cela fut fini, Algogia retombe sur son abdomen arachnéen, ses pattes placées sous son corps massif, cherchant à reprendre son souffle. La drider était vidée pour le moment.
-
Algogia imposait aux deux femmes un rythme surréaliste, témoignant d’une endurance incroyable. Alice était pour le bien contente que Cirillia les ait rejointes, car, si l’ancienne sorceleuse n’avait pas été là, il était clair qu’Alice aurait abandonné, ou qu’elle serait tombée dans les pommes. Mais là, elle avait le temps de se reposer. La Drider continuait à baiser Cirillia, comme si la jeune femme était devenue une sorte de poupée de chair, lui imposant un rythme terrible, et presque hypnotique. Puis, dans un grand râle, Algogia se relâcha alors, déclenchant une phénoménale tempête de sperme, qui déborda du corps de Ciri’, éclaboussa son corps, et atteignit même Alice, qui sursauta en sentant des jets crémeux éclabousser son corps, à hauteur de sa poitrine.
« Haaaa... Haaaaa... !! »
Épuisée, Cirillia ne tenait même plus allongée sur ses bras, et s’effondra au milieu du lit. Alice, de son côté, inspecta son corps. Des projections de sperme la faisaient ressembler à une sorte de curieux sperme, et elle se rapprocha doucement d’Algogia. La Drider semblait épuisée, et Alice resta assise au bord du lit, face à elle, lèvres entrouvertes... Et, après quelques instants, elle finit par parler à son tour, d’une voix calme et tremblotante :
« Alors... Tu es d’accord pour rejoindre Sylvandell, Algogia ? »
-
Algogia était au bout du rouleau, épuisée et essoufflée comme jamais, elle pensa même n'avoir jamais atteint ses limites questions sexe. Elle regarda les dégâts sur Cirilia qui semblait être prise de spasmes post coït et elle poussait encore des petits gémissements de plaisirs. La drider était satisfaite de cela malgré qu'elle avait les poumons en feu par l'effort. Alice s'était assise sur le bord du lit regardant une Sorceleuse couverte de semence et ensuite l'araignée à l'origine de cette douche nacrée. La princesse semblait elle aussi cuite par cette longue partie de jambe en l'air et Algogia devait lui reconnaître une endurance exceptionnelle pour une humaine, après une contemplation longue, Alice posa la question.
- Je pourrais voir grandir mes bébés, je serais folle de refuser ça. Mais expliquez moi mon rôle en dehors de mère.
Il était vrai que l'araignée se demandait dans quel but elle allait servir, allait elle servir juste protection ou juste de créatrice de drider. Une armée de créature arachnides n'était pas anodin, c'était un avantage sur les soldats ennemis effrayés par ces monstres à huit pattes.
-
Alice ne se faisait aucune illusion. Elle risquait sûrement d’avoir des courbatures dans les prochains jours, vu comment Algogia l’avait furieusement baisé. Son corps avait été transpercé de part en part, et elle reprenait maintenant lentement ses esprits. En sueur, elle était couchée sur le lit, les cheveux en bataille, le corps couvert ici et là de plaques rouges. Algogia, de son côté, avait réfléchi à la proposition de la jeune Princesse, et accepta, tout en se doutant bien que la Princesse attendrait des choses d’elle en retour. La jeune femme en sourit doucement, et, reprenant son souffle, se déplaça lentement. Son dos soupira doucement, mais elle réussit à se rapprocher de la femme, restant sur le lit. Elle nota d’ailleurs que les couvertures étaient bien trempées, et sourit doucement, malicieusement, avant de hocher la tête.
« En fait... Tu pourrais être d’une grande aide, Algogia. »
La jeune femme se déplaça encore, jusqu’à se rapprocher encore d’Algogia. Elle n’arrivait pas à se remettre debout, et préférait donc avancer à quatre pattes, ce qui lui permit de rejoindre la puissante Drider.
« Il y a... Hum... Sylvandell dispose de mines que nous comptons rouvrir. Mais ces mines sont dangereuses, car il y a des créatures nécrophages à proximité, des monstres... Alors... Je sais que les Driders chassent ce genre de créatures, donc... Peut-être pourrais-tu t’installer dans les grottes de Sylvandell afin de protéger les mines ? Bien sûr, ce n’est pas une prison, tu pourrais sortir, et on continuera à se voir... Même si je crains pour mon dos avec toi. »
Alice lui sourit encore légèrement, et sa main caressa alors doucement le visage d’Algogia, puis elle se hissa finalement sur ses genoux, et embrassa tendrement la femme sur ses lèvres. Elle était en sueur, et frémit d’ailleurs en sentant ses articulations gémir, et l’embrassa donc.
« Enfin, si tu le souhaites, bien sûr... Mais tu auras un nid, comme ça... »