Les deux femmes restaient encore aux proies des différents hommes... Qui en profitaient. On pouvait presque craindre pour la productivité de ce qu’il devait faire dans le manoir des Rehen. Heureusement, dans les faits, beaucoup de gens venaient et repartaient. Ils ne restaient pas toute la journée comme ça, à se faire les filles. Non, une fois qu’ils avaient fini leur affaires, beaucoup repartaient pour faire leur travail... Et revenait un peu plus tard, histoire de retirer un coup ! C’était l’avatnage, les filles ne pouvaient pas trop bouger. Ce n’étaient pas elles qui allaient aux hommes, mais les hommes qui allaient à elles. C’était plus pratique ainsi, pensaient beaucoup d’hommes à raison. Bref, les fameux hommes continuaient de baiser, tandis que dans des rares moments, l’une des deux femmes pouvaient sortir quelques mots...
- Sexe, encore sexe pour Celania?
Celania venait d’être éloignée... Tant pis pensait les différents Terranides. Que les soldats utilisent un petit peu l’elfe, pendant un moment... Après tout, ils leur restaient Maud. Alors, Maud eut le droit à ses phallus imposant. Le Terranide taureau pénétra d’un seul coup la paladine, qui poussa un grand couinement. Elle n’était pas habituée à de telles tailles de phallus, mais que voulez-vous... Il fallait bien qu’elle s’habitue. Quel jouissance pour les Terranides, de pouvoir se venger de cette raciste maîtresse, de pouvoir la faire tomber plus bas que terre... Elle le méritait bien, elle méritait tout ce qui lui arrivent. Et ainsi, ils se la faisait avec grands plaisirs, et Maud adorait ça. Elle adorait ce traitement.
Et cela continua... On pourrait décrire encore longtemps les sévices que subirent les deux jeunes femmes, pendant ce qui était pourtant que, et uniquement leur première journée de travail, première journée d’une très longue tournée, étant donnée qu’elle allait très certainement travaillée comme ça, 7/7, 365/365 jours. Bref, l’enfer de Marx, quoi. Oui, j’ai réussi à placer du Marx dans un Rp érotique. Et oui, si vous vous posez la question, je ne suis pas peu fière du résultat. Bref, elle continuèrent ainsi comme cela pendant toute l’après midi, sans pouvoir s’arrêter. Tout leur corps y passèrent, les dégradant encore et toujours... Et sans aucun doute, le pire... C’est que les deux femmes en redemandaient, encore et toujours, comme insatiable, comme en voulant toujours plus, plus de sperme et plus de maltraitance ainsi. Finalement, après cette journée amplement remplie, et quand les derniers serviteurs quittèrent les deux sacs à foutre qu’étaient devenues les femmes, Guillaume III de Rehen, revint paisiblement, en déclarant :
« Alors, les files, votre journée s’est bien passée ?
-Oui... »
Maud gémissait encore. Elle avait du mal à se lever, elle était crevée. Elle avait baisée toute la journée, et elle sentait encore tout ses membres être engourdie... Ses trous étaient béants, bien élargies par tout les assauts qu’elles avaient subies, avec un très grands plaisirs... Aussi, il fallait bien préciser que les deux étaient recouvertes, de la tête au pieds, de sperme, encore et toujours, comme deux femmes entièrement blanche. Le sperme était partout sur elles, et cela leur donnait, aux yeux du sadique chef de la famille des Rehen un air... Particulièrement pathétique et amusant. C’était extrêmement drole de voir les femmes dans cet état. Bref, en tout cas, comme promis, le chef des Rehen étaient revenus, car il fallait qu’il s’occupe d’elle pour la nuit. Oh, mais pas comme vous imaginez. Non. Vous allez voir, ne soyez pas trop impatient... Il déclara ainsi, aux deux femmes encore couchée par terre.
« Allez, suivez-moi. Votre soirée vous attends. »
Le chef des Rehen se retourna, et força les filles à le suivre, évidemment à quatre pattes. Il s’en fichait que les femmes allaient sans doute être gênée par leur poitrine imposante. Qu’importe de toute façon ! Elles étaient des esclaves, donc, cela n’allait pas gêner. Très rapidement, elle allait s’habituer à cela. Après tout, elles n’avaient fait que leur première journée de ce qui s’annonçait être leur vie maintenant. Il interdit alors le contact avec lui. Non, il n’était pas là pour les baiser. Bien qu’il les amenait vers sa chambre. Non, il avait d’autres idées en tête, mais pour le moment, il fallait y arriver. Avec des efforts colossaux, finalement, la fameuse Maud de Rehen, enfin, ex de Rehen, vu qu’il était difficile de dire qu’elle portait encore ce titre, avec tout ce qui lui était arrivé, commença à marcher en direction de là où voulait amener son ex-père.