~ Soyez au pied de la divine Maud de Rehen ! Unique héritière des Rehen, envoyée de la divinité suprême, celle qui guérit de tout, venant purger notre beau monde des créatures du Malin ~
Identité : Maud de Rehen.
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin
Race : E.S.P.er
Sexualité : Elle se considère comme hétérosexuel… Mais sans doute que des aventures peuvent changer cela. Pour ce qui est des expériences sexuelles, elle a déjà eu un amour de jeunesse, qui s’est conclut, mais rien de plus.
Physique : Comment osez-vous demander de décrire la beauté de Maud, la magnifique et unique héritière de la grande famille de Rehen ? Bien ! C’est car vous l’ordonnez, qu’elle vous fait l’IMMENSE grâce de pouvoir l’admirer ! Vous en avez de la chance… Me suis-je fais comprendre ? Maud est immensément fière de sa beauté, et estime qu’il faut l’appréciée grandement pour ça… Et ce n’est pas totalement faux, en effet, l’héritière des Rehen est assez belle… Mais, car il y a un mais… C’est une beauté pas si naturelle. Je ne dis pas qu’elle est laide, mais on sent qu’elle est belle, grâce au fait qu’elle a toujours put prendre soin d’elle.
Mais parlons de cette beauté, d’un point de vue objectif, au lieu de juger si elle est vraiment belle, ou si elle fait en sorte d’être belle. Bien proportionnée, la paladin a fait en sorte d’être ni trop grosse, ni trop maigre. L’équilibre est le point d’orgue de la beauté ! L’excès est à proscrire. Ainsi, quand on la voit de loin, on se rend compte d’une demoiselle bien proportionnée, que cela soit dans les chairs, que cela soit en taille. Pas trop grande, ni trop petite, elle est dans le standarts des femmes humaines, environ un mètre soixante-dix.
Approchons-nous de son corps… Et surprise. Son corps est « parfait ». Pourquoi ce « parfait », surtout entre guillemet ? Et bien… Il n’y a aucune imperfection sur son corps. Pas un grain de beauté, pas une cicatrice, pas de tache de naissance, ou quoique ce soit. Là, nous sommes lié à son pouvoir. Sa peau se régénérant au même titre que ses muscles, os, organes et autres, celle-ci est alors presque toujours neuve, et propre. Restons proche de son corps… Peu de muscles, bien qu’elle soit une combattante. Illogisme de manga ? Non, manque d’entraînement. Pour ce qui est de sa poitrine, on peux dire que Maud possède une poitrine assez généreuse, fort sympathique.
Restons toujours à distance… Et admirons ses vêtements. Bien sur, on ne part pas tenter de zigouiller de la créature, avec seulement un bikini ! Sauf quand on est dans un RPG aux armures bizarres ! Bref, si Maud est équipée, il faut bien avouer qu’elle ne brille pas non plus par une armure de plaque intégrale la protégeant efficacement. Ayant trop confiance en ses pouvoir, et au guide de sa divinité suprème, elle se contente bien souvent d’une légère armure sur la poitrine, et à quelques endroits clefs, et sinon, profite de magnifique vêtements. Un short, de très hautes bottes, un bas qui se termine en légère cape… Le tout d’une très bonne qualités. Une de Rehen ne s’habille pas comme une plouc !
Continuons, continuons, et zoomons finalement sur ses cheveux, et son visage. Ses premiers, d’un blanc immaculé, sont finalement coiffée, et soignée avec soin. Jolie répétition, n’est-ce pas ? Bref… Ses cheveux sont mi-long sur le devant, et long sur l’arrière, avec deux jolies tresses qui viennent encadrer son visage. Quittons ses cheveux, et admirons les courbes de son visages… Un très beau minois triangulaire, avec de grands yeux cyan, la jeune demoiselle est charmante. Son nez et ses sourcils restent très discret, tandis que ses yeux sont un peu grand, un peu trop, même au goût de la jeune fille. De part son visage triangulaire, ses joues peuvent être parfois assez prééminent sur l’ensemble de son visage, surtout quand celle-ci est agacée, et gonfle ses joues d’exaspération…
Caractère : Peut-on parler de Maud, sans parler de son racisme évident ? Oui. Sans doute. Mais cela serait oublier peut-être l’une des parties les plus importante de son caractère. En effet, Maud est purement, par le pouvoir du néologisme, anthropocentriste. Pour elle, l’homme est avant tout la principale créature de ce monde, et la seule qui mérite sa place. Toute autre créatures, démon, vampire, terranides, sont au mieux fait pour êtres des esclaves, au pire, être simplement et définitivement éliminée ! C’est le cas par exemple, à ses yeux, des vampires, des monstres à tentacules et autres, qui méritent la mort… Elle est plus clémente envers les terranides et autres créatures innoffensives, qui elle, se contenteront des fers, et de servir les humains.
D’où vient ce racisme fanatique ? De deux choses. Commençons par la première. Ainsi, de par sa nature d’E.S.P.er, qu’elle considère comme humain, -profitons de l’ironie de cette situation, ce ne sera pas la seule-, elle se considère comme l’envoyée d’un Dieu, d’une Divinité suprême, dont elle tait le nom, car elle considère que le nommer est un blasphème en soit. Son culte étant solaire, et estimant qu’elle doit éviter la nuit, on peux supposer que cela serait une personnalisation du soleil -espérons qu’aucun vampire n’est l’excellente idée de la transformer en vampire-. Cette divinité est à ses yeux la seule et unique divinité, mais -autre ironie-, elle éviterait d’aller chercher des noises à une autre divinité. Comme quoi, on peux croire à une divinité unique, et être craintive des autres. Mais j’ai bien parlé de deux choses...
Sa famille… En effet, nous avons affaire à une fille unique, qui a été choyée et chouchoutée par sa famille. En temps que fille unique et unique héritière de la puissante famille noble des Rehan, elle a toujours été traitée comme une fille très puissante, qui avait tout les droits. Cela a fait naître un grand sentiment d’orgueil. Orgueil augmenté par le fait que ses parents l’ont éduqué en lui faisant comprendre qu’en temps que fille de nobles, les Rehan, elle était donc au dessus de la plèbe ! Et surtout, des créatures non-humaines. Bien sur, cet amour familiale est rendue -amour dans le sens platonique-, et notre Maud estime que son Père est extrêmement important. Jamais elle ne le trahirait de son plein gré… De toute façon, elle a peur de lui... Sa mère… Et bien, vu ce qui lui était arrivé… Disons que sa peur de son père, était grandement lié à « cela ».
Quel tableau peu reluisant pour le moment, n’est-ce pas ? La réalité pourtant n’est ni toute noir, ni toute blanche, elle est un mélange de ses deux couleurs. La réalité, « elle est blanche avec des tâches noires, comme les meuh-meuh, d'où la conclusion logique : l'Ushi, c'est la vie » disait un grand penseur de ce forum, Alice, mais ça n’a rien à voir avec ce que je tente de dire. Bref, Maud n’était pas qu’un concentré de défaut. Une fois qu’on arrive à briser son orgueil de façade, on se rend compte d’une jeune demoiselle très sympathique, un véritable moulin à paroles, et qui aime profiter de la vie avec ses amis, boire un coup, aller voir des pièces de théâtres, et draguer des jolis garçons, étant plutôt attiré par les beaux étalons que le « Beau sexe » auquel elle appartient. Ainsi, parfois, on peux être avec elle, et ne pas se faire insulter ! Quel miracle !
Un point est important chez elle, presque tout autant que l’orgueil qu’apporte son appartenance à sa famille noble… C’est sa loyauté. En effet, chose très importante pour elle, comme dit précédemment, elle ne voulait pas trahir sa famille. Hors de question. Mais ses amis… C’était encore pire. Ceux qu’elle estimait comme des gens de confiance, des gens auquel elle pouvait croire… Elle devait rester avec eux, les aider, et les soutenir quoiqu’il arrive. Et attention, pour gagner la confiance et l’amitié de Maud, il ne faut pas être noble. Cela aide, mais surtout, il faut lui montrer sa valeur, et savoir avoir confiance en soi ! Bref, notre nobliau, ainsi, n’a pas que des défauts… Même s’il faut avouer qu’elle est quand même très chiante, hein… Ne nous voilons pas la face, et soyons clair : Elle est horriblement relou… Elle mériterait bien une bonne punition, pour la remettre à sa place ! Histoire : L’histoire d’une enfant, commence toujours par celle de ses parents… N’est-ce pas logique ? Ainsi, l’histoire de Maud de Rehen, commence avec Guillaume III de Rehan, noble fortuné vivant à Nexus, et sa femme, la magnifique Irène de Pernhoët. La femme, magnifique, était sans doute l’une des plus belles femmes, dans la fleur de sa jeunesse, ayant 18 ans, et des plus charmante racontait-on, de Nexus, et ainsi, Guillaume III de Rehan avait décidé d’en faire sa femme. Lui-même n’était pas beau, autant le dire. Ses cheveux blanc, de naissance, était le seul point positif de ce petit homme ventripotant, en comparaison avec la magnifique Irène de Pernhoët. Comment ce mariage fut possible ?
Et bien, une réponse, la réponse la plus classique, arriva : L’argent ! Guillaume III était en effet très très riche. Possédant terre, esclaves, richesses, bijoux, il avait tout pour plaire. Et cela marcha très bien sur Irène. Irène de Pernhoët était magnifique… Mais trainait une très mauvaise réputation. On la disait volage, on la disait multipliant les amants, avant même son mariage. Alors, l’avoir vierge… Je ne vous raconte même pas ! Bref, malgré les rumeurs, l’amour aidant, Guillaume III n’y croyait pas une seule et unique seconde. Il la maria, et ainsi, était à son sens l’homme le plus heureux du monde. Lors du mariage, il fit promettre à Irène que jamais elle n’irait voir d’autres hommes que lui. Elle le promit. Il déclara alors :« Tient ta promesse, et tout se passera bien. »Neuf mois plus tard, naquit Maud. Un adorable bébé ! Quel joie pour le fameux Guillaume III ! Il aurait préféré un garçon, mais bon… Il fallait savoir se contenter ! Cependant, l’accouchement fut éprouvant pour sa jeune femme… Celle-ci demanda alors une chose : Qu’il n’ait pas d’autres enfants, avant qu’elle se sente de nouveau capable de subir les affres de l’accouchement. Pas de soucis, déclara Guillaume III. Il était encore jeune, et plein de fougue. S’il fallait attendre 10 ans, il aurait son garçon. De plus, cela n’empêchait pas de faire quelques galipettes de temps en temps… Tant que pas d’enfants arrivaient de ses même galipettes… Surtout qu’Irène proposa d’autres amusements garantissant la non-naissance d’enfants.
Mais passons un peu à Maud. C’est sa fiche, après tout. Elle naquit ainsi, et vécu une enfance tout à fait heureuse. Elle passa ses premières années, et apprit très vite à lire, écrire, plusieurs langues étrangères… Elle admirait le soleil et le beau temps, étant très morose pendant la pluie, la neige, et les temps nuagueux. Fille un peu lunatique, elle apprenait un peu tout, sauf la magie « chose indigne d’une noble de son rang » selon son père. Très proche de sa mère, cette dernière alors lui apprenait plusieurs trucs, comme la couture, comment bien se coiffer, comment bien se comporter… Elle apprit l’étiquette sur le bout des doigts. Son père, lui, faisait tout pour qu’elle ne rencontre que des gens de sa qualité. Elle devait mépriser les autres ! Surtout les créatures. Ainsi, elle martyrisait particulièrement, sous les bénédictions de son père, ses esclaves terranides.
Mais de cela, arriva le drame. Alors qu’elle avait 12 ans, et qu’elle se promenait tranquillement dans son manoir, elle fut attrapée par l’un de ses esclaves, qui l’amena dehors, une main plaquée sur sa bouche. Celle-ci eut beau se débattre, elle ne pouvait rien faire. Une fois arrivée dans la cour, l’esclave mi-homme, mi-loup, qui servait juste à faire des basses taches aux écuries, attrapa un poignard, et le montra à Maud, terrorisée. Elle voyait la cruauté dans les yeux de l’esclaves… Yeux pourtant qui n’était que rempli de désespoir, de souffrance, de maltraitance, d’abandon. Il montrait le couteau à Maud, pour lui faire comprendre tout ce qu’elle avait fait… Maud était terrifiée… Qu’allait-il faire ? Alors, le mi-loup, mi-homme déclara, furieux, contre les De Rehen, le système de l’esclavage, Nexus, et le monde :« SOYEZ CHÂTIER POUR VOS CRIMES ! MOURREZ ! MOURREZ ! »Il enfonça alors le poignard dans les intestins de la fillette, qui s’effondra. Récupérant le couteau, alors que les gardes et d’autres esclaves fidèles aux Rehen approchaient à toute vitesse pour arrêter le traitre et sauver l’enfant, il laissa échapper un flot de sang du ventre de Maud, et s’égorgea directement, alors qu’un esclave neko venait de l’attraper… Guillaume III et sa femme approchèrent, et pleurèrent, tandis qu’un esclave servant de médecin de la famille était formelle : Elle allait mourir d’une hémorragie. Il pouvait tenter tout ce qu’il voulait… Mais la blessure avait été fait par un couteau acéré… Rien à faire.
Maud, elle, se demandait si elle allait mourir. Elle regardait le ciel. Le soleil. A qui elle croyait tellement. Soleil… Soigne moi. Soigne moi. Soigne moi. Elle pensait cela, en boucle, encore et toujours, désespéramment. Et là, sous les yeux de tout le monde, ils virent la blessure de la jeune demoiselle se soigner. Peu à peu se refermer, disparaître, et ainsi, permettre à la jeune demoiselle de soigner. Tous furent subjuguer : Maud se soignait, toute seule, elle se régénérait. Le médecin, toujours présent, était formelle : la peau était entrain de se refermer, de se cicatrisé toute seule… Finalement, ainsi, la jeune fille se réveilla, et regarda ses parents. Elle était guérie.
A partir de ce jour, deux choses naquirent chez elle. Premièrement, elle décida de haïr pour la peine toute les créatures non-humaine. De mépris, cela devint une haine, et elle regardait d’un très mauvais yeux toutes les créatures qui n’étaient donc pas des humains. Deuxièmement, elle fut convaincue qu’elle avait été sauvée par un Dieu. Le Dieu ! Le Dieu Soleil ! C’était lui qui l’avait sauvée ! C’était le soleil, qui de part ses rayons, lui avaient permit de retrouver la vie ! Ainsi, alors que ses pouvoirs venaient d’elle… Elle fut convaincue d’être l’élue d’un Dieu. Mélangeant alors ses deux choses, elle vu son avenir : une quête de purification ! Elle, elle et son Dieu, contre les créatures non-humaine.
Mais elle devait déjà finir son enfance. L’adolescence arrive, et continua tranquillement. Un autre évènement allait troubler la vie de Maud… La disparition de sa mère. Encore fille unique, un jour, tout simplement, Irène de Rehen disparu complètement. Elle demanda plusieurs fois à son père, mais à chaque fois, il se contentait d’un sourire mystérieux, et de dire qu’elle faisait « ce qu’elle devait faire ». Mécontente de cette réponse plus que vague, on pouvait bien le dire, Maud fit alors son enquête, elle-même. Après tout, elle était l’élue du Soleil ! Elle était la régénératrice ! Celle qui pouvait être blessée, mais ne pouvait pas mourir !
Alors, elle s’introduisit, un jour, dans la chambre de son père, pour trouver des indices… Elle fouillait alors un peu tout, et finalement, s’approcha d’un placard. Quel ne fut pas surprise, en ouvrant le placard… De retrouver sa mère, enchaînée, capturée, transformée en vulgaire objet sexuel, en une sorte d’onahole vivant, sa bouche bloquée par un baillon tube, ses yeux bandés, ses oreilles bouchés… Elle fut choquée, reculant, elle ferma violemment la porte du placard, et regarda le sol véritablement choquée… Que… Que venait-elle de voir exactement… ? Oh mon dieu… Oh mon dieu… Elle regarda par la fenêtre, regardant le Soleil… Qui lui donne la force de… Oh mon dieu…« Alors, comme ça, on fouille jeune fille. »Son père. Elle n’eut le temps de rien dire, que son père lui ordonna, d’un ton sec et brusque de venir vers son bureau. Une fois assit, il déclara :« Pendant des années, on m’a fait croire que ma femme était volage, et que j’étais un cocu. Pendant des années je l’ai défendu, bec et ongle, contre ses accusations. Et un soir, j’ai découvert la sordide vérité. Ta mère, cette catin, au lit avec un serviteur ! »Maud tremblait de peur, devant ce père presque fou, qui lui déclara, avec un grand sourire :« Elle n’a eu que ce qu’elle mérite. Maintenant, elle est mon jouet. Tu n’approuves pas, Maud ? Tu n’approuves pas que ta mère soit devenue comme cela… ? » Maud quitta la salle. Elle ne pouvait pas… Son père était fou… ? Elle tremblait de tout son corps. C’était… bon sang de bonsoir. Et donc, sa mère était condamnée à rester ainsi, comme ça, le reste de ses jours… Bon sang, elle n’osait même pas imaginer… Et pourquoi elle ne pouvait s’empêcher d’être… A sa place ? Elle tentait d’effacer cette idée de sa tête, mais il fallait bien avouer qu’elle trouvait l’idée presque… Bon sang ! Elle devait se reprendre, elle devait se concentrer sur son destin…
Elle resta une fille modèle pendant encore quelques années, mais finalement, à l’âge de vingt ans, fuya se cocon familiale devenu extrêmement malsain. Des rumeurs folles avaient courus sur la disparition, mais aucune n’était à la hauteur de la vérité, pensait Maud. Dire qu’elle la connaissait, mais pour le bien de sa famille, avait décidé de ne rien dire. De toute façon, son Dieu était avec elle, et maintenant, elle allait pouvoir aller de l’avant, et continuer. Elle allait épurger le monde, et ainsi, elle n’avait plus aucune raison de retourner vers chez elle. Elle était une fille libre, maintenant. La prochaine fois qu’elle retournerait chez elle, elle sera une Sainte, et punira sa famille pécheresse pour leurs péchés. Autre :Maud possède un grand mais unique pouvoir, qu’elle considère comme « donné par la divinité suprême », celui de régénération. N’importe quel blessure de Maud se régénère rapidement, suivant la gravité de la blessure, entre 10 minutes et une heure. Maud est même capable de se faire repousser un membre coupé.
Le seul moyen de la tuer, est de couper le lien entre son coeur, et son cerveau. Ainsi, attaquer l’un de ses deux organes, revient à tuer la nobliau...
Cependant, elle n’est pas non insensible à ses blessures. Elle peux s’évanouir par perte de sang, et elle ressent la douleur comme n’importe quel homme. Cependant, elle est extrêmement résistance, et son corps peux ainsi se déformer sans risquer de la tuer. Elle peux gonfler, être mutilée, etc.
Maud maîtrise sinon la lance, son arme de prédilection, et l’épée. Elle possède d’ailleurs une lance ornée, mais capable d’être utilisée. Au contraire, son épée est une pure épée décorative, très belle, certes, mais inutile en combat.
Sinon, petit DC d’une vachette <3