Le temps étaient sans importance, l'espace n'avait plus de sens, marionnette de chaire, au fils tentaculaire, manipuler au bon vouloir du monstre, plonger dans un univers de tentacules. Il n'y avait que des tentacules à perte de vue, si bien que l'ont se croirait dans un monde fait de tentacule, aucune profondeur, aucun mur témoignant d'une salle, des tentacules venant de toute part, laissant à désirer la raison des direction droite, gauche, haut et bas, pas de nord ou de sud, pas de fond ou de surface, rien qu'un univers de tentacule.
Seule trace d'humanité, les soldates de la section Delta-S, lieu de convergence des tentacules, baignant aussi bien dedans que dans les quantités abyssale de foutre, ne se nourrissant que de ça, avalant ce nectar sans fin. En plus d'être les jouets sexuelles du monstre, elles étaient devenues les mères d'une centaines de larmes, chacune ayant mit au moins une ou deux porté au monde, une future armée formienne, une future armée qui les violerait. Des heures s'était écouler, des heures de sexes, de plaisir, de viols, de luxures, mettant à bas leur volontés, brisant les plus faibles, martyrisant les plus fortes. Suffisamment de piqûre d'aphrodisiaque et de nutriment pour les garder en forme leurs furent faites, l'équivalent d'un régiment entier à elles seule.
Mais peut être pour le meilleurs, mais assurément pour le pire, après tout ce temps, le monstre cessa son viol, les relâchant une à une, les déposant sur le sol de la salle, ou le fond de l'océan tentaculaire, recouverte d'une fine couche de fluide, alimenter par tout les éjaculations sans fin du monstre. Elles furent rassembler, plus des monticules de foutre que des humaines, leur ventres saturée de sperme, certaines régurgitant le trop plein, dans un bruit clapotis et de déglutition écœurant, s’écrasant par terre dans un bruit spongieux. Gémissant de concert, méconnaissable, débordant de foutre, leur humanité bafoué et réduite à néant.
Des années de thérapie serait nécessaire pour certaines pour guérir, pour quelqu'une on pouvait même se demander si ce n'était pas trop tard, si elles avaient atteint un point de non retour. Des tentacules les amenèrent dans des conduits, eux même les conduisant vers un lieu afin laver de tout ce sperme et les vider du trop plein de fluide, afin de les préparaient pour la suite.
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Du vide se succéda les images et les sons, incompréhensible, tout aller allait si vide pour leurs esprits plus mourants qu’affaiblit, qu'elles en eurent la nausée. Puis vint une sensations étrange, une sensation de manque, se sentant d'une certaine manière.... vide. Mais elles avaient encore une sensation dans leurs bouche, leur intimité et fesses, comme quand elles touchaient une plaque chaude et en gardé la chaleur sur leur mains quelque secondes.
Comme au réveil après une soirée lourde en boisson, une horrible gueule de bois, complètement déboussoler, perdue, désorienter, traumatiser à vie, atone, lente a la détente,.. les soldates se réveillèrent lentement ne pouvant déterminer depuis combien de temps le monstre les avaient relâcher, engluer à nouveau dans un mur, ne sentant que de l'air frais sur une partie de leur visage, le reste de leur corps, coincer dans une poche organique, chaude et visqueuse, possédant une légère liberté de mouvement, remuant un peu la viscosité de leur cocon, trop affaiblie et assommer pour tenter de ce libérer par la force, se sentant comme dans un lit, malgré la texture.
Ne pouvant parler et leur champs de vision restreint, elles n'arrivaient à percevoir leurs voisine que du coin de l’œil incertaine de ce qu'elle voyait, ne pouvant demander confirmation. De plus le spectacle se passant sous leur yeux, accaparer toute leur attention, ne pouvant que contempler l'horrible vision de leur camarades ayant céder. Aucune horreur, aucune indignation, juste une once de désespoir, de résignation et de découragement.
Pourtant parmi celles dans le mur, certaines pouvaient prétendre à être du mêmes niveaux que Schield, Goya ou Ilinia, certaine qui avait lâcher mentalement, des pulsions se réveillant, leurs esprits les poussant à faire de même, briser et corrompue par les heures passer avec le monstre. Elles étaient toute que l'ombres d'elles mêmes, même les fortes têtes n'avaient plus leur esprit combatif. Une part d'elles étaient briser, plus aucune volonté les animant, certaine déjà sous le joug de la Reine, le reste à reconstruire comme bon lui semblait. Même Engiel qui pourtant n'ayant passer qu'une heure ou deux avec le monstre après être sortie de la salle d'opération, était abattue, plus aucune volonté de se battre et de se rebeller, De même pour Shiranui, ressortant de l'antichambre de la souffrance complétement soigner et traumatiser et déposséder de volonté. Pourtant une seule rester encore debout, une seule n'avait pas céder, une seule voulait encore se battre : Tirch.
Son esprit était en proie à la rage et la tristesse, semblant même en conflit avec autre chose, l'annexiene avait épargné sa vie, elle était toujours vivante. Pourtant elle lui avait dit que les formiens n'auraient pas d'autre choix que de la tuer, qu'ils ne pourraient se servir d'elle. Malgré ça, elle devait maintenant réfléchir à quel protocole elle devait appliquer, en voyant ses soldates passer à l'ennemie et les autres emprisonner, à moins qu'elle ne soit obliger d'appliquer le protocole 0.
Aux centre de la pièce, le troue que seule quelqu'une avait remarquer l’existence, des sons se firent entendre, comme ceux d'une créature remontant, succession de bruits chitineux avant de laissait place à la Reine des Lames, jaillissant des profondeurs de la ruche, impérieuse et dominante, assit sur un trône toisant ses esclaves. Mixim était présente avec elle, fessant une fellation à son auguste Reine, s'appliquant autant à la sucer qu'a se doigter, provoquant des bruits de succions que tous pouvait entendre. De leur côtés, Goya et Schield accélérèrent leur rythme, pénétrant plus durement Ilinia, produisant des gémissements de plaisir, activant sa langue sur la verge formienne de Goya, frustré de ne pas pouvoir participé plus activement !
Les seuls bruits brisant le silence, furent les gémissements et les cries de plaisir, les bruits de succions, les coups de bassin claquant contre les fesses ou les lèvres d'Ilinia. Mixim s'activa avec ardeur, pompant plus qu'aspirant le pilier de chaire de sa Reine, spectacle obscène où rien d'autre ne se passa, laissant les autres contemplaient une part de leur avenir, certaine avec désespoir, d'autre de tristesse, quelques unes avec envie, mais une seule avec l'envie de se battre. Plus de résistance, plus d'opposition, que du désespoir et de la résignation, des esprits et des volontés trop faible ou briser pour s'opposer à leur ennemie. Même Jeanne, celle qui fut la plus enclin à vouloir la tuer de la manière la plus sanglante n'avait plus le même esprit, une part d'elle étant morte auprès du monstre.
Mixim fit une intense gorge profonde, ses bruits de déglutition résonnant avec force durant quelque minute, avant de gober entièrement le pilier de chaire, plaquant ses lèvres contre le bassin et la paire de couille de l'annexienne, qui jouit au plus profond d'elle même, sa gorge gonfler par la verge, ses yeux se révulsant presque. Elle se retira dans un bruit de sucions sonore, la verge quittant la gorge serrer de Mixim, qui toussa, se plaquant contre les jambes de l'annexienne, le visage déformé par l'extase. De leur côté, Shield et Goya finir par se vider dans Ilinia, qui elle même se mit à jouir, avalant goulûment le sperme qui sortait à flot de la verge de Schield, avant de se retirer, les liens d'Ilinia se retirant, alors qu'elle continuer à laper la verge de Schield.
L'annexienne regarda celle coincer dans le mur, t-elle un assortiment de sucrerie dans une boite, tandis que Mixim se mettait à ses pieds, se lovant contre elle, tandis que les autres se dirigeait à quatre pattes vers leur reine.
« Je vous souhaite un joyeux réveil, mes chéries ! Rassurez-vous, vous n’allez pas toutes repasser en entretien individuel avec moi… J’espère que vous avez bien dormi, car il est maintenant temps pour vous de vous intégrer à ma Horde ! » Et tandis que le trio se massait autour de leur Reine, Ilinia léchant ses pieds, celles dans lem urs exprimait des pensées tout aussi varier qu'opposer. Rinko, Miyo et Ania, les plus durement toucher au même titre que Shield et Ilinia, souhaiter la rejoindre prestement, acceptant leur destin. Mis à part Tirch qui voulait se battre, le reste ne rêver que d'une mort douce et rapide en ces lieux.
Et alors que l'annexienne annonçait la suite d’événement et les groupes qui seraient former, toutes étaient sur que Tirch aller goûter au traitement particulier, quelqu'une pensait aussi à Jeanne, Jade ou Mistrial, mais cette dernière n'avait plus la même volonté, le viol et la perte de son bras biomécanique l'ayant traumatiser et perturbé. Jade était au même stade que les autres, Jeanne, qui par un exploit, garder une étincelle de rébellion, mais n'avait plus la force et la volonté pour se battre encore et encore attacher à la promesse, que lui avait faite l'annexienne : la libération de Shiranui contre sa soumission.
La Reine des Lames leur annonça finalement la bienvenue dans son nid, accompagnant sa parole les soldates furent libérer de leur cocon, du moins certaine. Rinko, Miyo et Ania furent les premières, les plus dociles du reste et déjà à la botte de la Reine, glissant du mur et s'étalant par terre, avant de ramper à quatre pattes vers leur Reine, leur visage exprimant aussi bien leur désir que leur esprits leur soumission. Puis vient Shiranui et Engiel, celle qui furent le plus épargnée par le monstre, mais qui avait vécue un océan de douleur dans la salle de chirugie, les plus à même de riposter mais qui ne firent rien, Shiranui se pelotant contre le mur, la peur au ventre, Engiel défiant du regard la Reine des Lames, la peur visible au fond de son regard. Le reste suivit et ne fit rien de plus, Mistrial regardant avec horreur les ruines de son bras biomécanique.
Seule Tirch fut laisser dans le mur, toujours avec l'envie de sa battre, mais la soudaine et brusque disparition de sa colère et rage du fait qu'elle soit encore en vie disparue en un clin d’œil, son esprit redevenant aussi froid et vide qu'avant, tentant de s'échapper par la force et son esprit semblant être entrain d’obéir à quelque chose, quelque chose lui imposant un de ses protocoles, le protocole 0. Cette chose inconnue semblait guider Tirch, car sans raison, elle qui voulait seulement tuer l'annexienne et celle l'ayant trahit, se décida comme sur un coup de tête, de massacrer toute la section Delta S et uniquement cette dernière, oubliant l'annexienne, comme si elle n'avait jamais exister.