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« Suite du RP L’Antre de la Reine (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=14008.0) »
Elles avaient toutes été regroupées, à nouveau, pour l’ultime entretien… Toutes se trouvaient là, ou presque, dans des cocons étouffants dont seule une partie de leur tête ressortait, à savoir leurs yeux, leurs oreilles, et une partie de leurs joues. Autrement, tout le reste de leurs corps disparaissaient dans une excroissance violette qui couvrait également leur bouche et leur nez. Elles étaient collées en hauteur, à un mur, dans une pièce plus étroite que la précédente, avec, en son centre, une sorte de trou menant à une texture lumineuse. Petit à petit, les femmes de la Section Delta-S reprenaient leur esprit, pour constater qu’elles n’étaient plus les jouets impuissants d’un affreux monstre tentaculaire, qu’elles avaient encore leurs combinaisons, et que tout cela n’était visiblement pas un mauvais rêve.
Et, plus elles se réveillaient, et plus elles devraient entendre les gémissements et les halètements. D’où venaient-ils ? Pour cela, il suffisait de pencher la tête, et de regarder en contrebas, afin de voir un singulier spectacle. Comme une sorte de doucereuse promesse pour la suite à venir…
…Schield était en train de pénétrer Ilinia. La femme était à quatre pattes, et une verge violette s’enfonçait dans ses fesses, tandis que les deux femmes portaient toujours leurs combinaisons. Ilinia se faisait baiser avec force, et sa bouche était prise par une autre queue, émanant d’une autre femme capturée par Sarah, Goya. Prise en sandwich, ses poignets et ses chevilles étaient retenus à même le sol par des tentacules, et les trois femmes s’envoyaient joyeusement en l’air. Quatre mains caressaient donc le corps de la femme, remuant sur sa combinaison, sur ses cheveux, tirant dessus, faisant crisser leurs tenues respectives.
Depuis combien de temps est-ce que toutes ces femmes avaient été capturées ? Il était difficile de l’évaluer… Difficile, car, ici, le temps s’écoulait différemment de dehors. Il n’y avait pas de soleil pour indiquer quand le jour finissait, et quand le soir s’entamait. Il n’y avait rien d’autre que du sexe, encore et encore. Il était donc impossible, pour les Tekhanes, de savoir depuis combien de temps, précisément, elles dormaient. Elles pouvaient être assoupies depuis seulement quelques heures, comme quelques jours.
Elles finirent par toutes se réveiller, puis on entendit alors du bruit venant du trou central. Quelques instants plus tard, un trône massif apparut, avec, assise dessus, Sarah Kerrigan… En train de se faire sucer la queue par une autre soldate tombée entre ses tranchantes mains : Mixim. La séduisante beauté aux cheveux blonds avalait goulûment le membre tendu de la Reine des Lames, qui lui caressait les cheveux, jusqu’à finir, au bout de quelques minutes d’une intense gorge profonde, par jouir en elle. Sarah soupira longuement, puis se redressa, laissant Mixim à côté d’elle, couchée et prostrée contre ses jambes.
L’Annexienne regarda ses proies, les Tekhanes qui lui résistaient encore, à des degrés différents, et s’éclaircit la gorge, tandis que Goya et Schield venaient de jouir simultanément dans le corps d’Ilinia, et se calmaient :
«
Je vous souhaite un joyeux réveil, mes chéries ! Rassurez-vous, vous n’allez pas toutes repasser en entretien individuel avec moi… J’espère que vous avez bien dormi, car il est maintenant temps pour vous de vous intégrer à ma Horde ! »
Elle laissa planer quelques secondes, un sourire victorieux sur les lèvres, avant de reprendre, pendant que les Tekhanes soumises se massaient contre elle, certaines venant lui embrasser les pieds :
«
Certaines d’entre vous vont aller faire plaisir à mes Cérébrates, et d’autres deviendront mes concubines personnelles… Et, enfin, les plus téméraires d’entre vous recevront un traitement… Particulier. »
C’était tout un programme qui s’annonçait, et Sarah se mit donc à conclure :
«
Je vous souhaite à toutes un bon séjour au sein de votre nouveau foyer… »
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Le temps étaient sans importance, l'espace n'avait plus de sens, marionnette de chaire, au fils tentaculaire, manipuler au bon vouloir du monstre, plonger dans un univers de tentacules. Il n'y avait que des tentacules à perte de vue, si bien que l'ont se croirait dans un monde fait de tentacule, aucune profondeur, aucun mur témoignant d'une salle, des tentacules venant de toute part, laissant à désirer la raison des direction droite, gauche, haut et bas, pas de nord ou de sud, pas de fond ou de surface, rien qu'un univers de tentacule.
Seule trace d'humanité, les soldates de la section Delta-S, lieu de convergence des tentacules, baignant aussi bien dedans que dans les quantités abyssale de foutre, ne se nourrissant que de ça, avalant ce nectar sans fin. En plus d'être les jouets sexuelles du monstre, elles étaient devenues les mères d'une centaines de larmes, chacune ayant mit au moins une ou deux porté au monde, une future armée formienne, une future armée qui les violerait. Des heures s'était écouler, des heures de sexes, de plaisir, de viols, de luxures, mettant à bas leur volontés, brisant les plus faibles, martyrisant les plus fortes. Suffisamment de piqûre d'aphrodisiaque et de nutriment pour les garder en forme leurs furent faites, l'équivalent d'un régiment entier à elles seule.
Mais peut être pour le meilleurs, mais assurément pour le pire, après tout ce temps, le monstre cessa son viol, les relâchant une à une, les déposant sur le sol de la salle, ou le fond de l'océan tentaculaire, recouverte d'une fine couche de fluide, alimenter par tout les éjaculations sans fin du monstre. Elles furent rassembler, plus des monticules de foutre que des humaines, leur ventres saturée de sperme, certaines régurgitant le trop plein, dans un bruit clapotis et de déglutition écœurant, s’écrasant par terre dans un bruit spongieux. Gémissant de concert, méconnaissable, débordant de foutre, leur humanité bafoué et réduite à néant.
Des années de thérapie serait nécessaire pour certaines pour guérir, pour quelqu'une on pouvait même se demander si ce n'était pas trop tard, si elles avaient atteint un point de non retour. Des tentacules les amenèrent dans des conduits, eux même les conduisant vers un lieu afin laver de tout ce sperme et les vider du trop plein de fluide, afin de les préparaient pour la suite.
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Du vide se succéda les images et les sons, incompréhensible, tout aller allait si vide pour leurs esprits plus mourants qu’affaiblit, qu'elles en eurent la nausée. Puis vint une sensations étrange, une sensation de manque, se sentant d'une certaine manière.... vide. Mais elles avaient encore une sensation dans leurs bouche, leur intimité et fesses, comme quand elles touchaient une plaque chaude et en gardé la chaleur sur leur mains quelque secondes.
Comme au réveil après une soirée lourde en boisson, une horrible gueule de bois, complètement déboussoler, perdue, désorienter, traumatiser à vie, atone, lente a la détente,.. les soldates se réveillèrent lentement ne pouvant déterminer depuis combien de temps le monstre les avaient relâcher, engluer à nouveau dans un mur, ne sentant que de l'air frais sur une partie de leur visage, le reste de leur corps, coincer dans une poche organique, chaude et visqueuse, possédant une légère liberté de mouvement, remuant un peu la viscosité de leur cocon, trop affaiblie et assommer pour tenter de ce libérer par la force, se sentant comme dans un lit, malgré la texture.
Ne pouvant parler et leur champs de vision restreint, elles n'arrivaient à percevoir leurs voisine que du coin de l’œil incertaine de ce qu'elle voyait, ne pouvant demander confirmation. De plus le spectacle se passant sous leur yeux, accaparer toute leur attention, ne pouvant que contempler l'horrible vision de leur camarades ayant céder. Aucune horreur, aucune indignation, juste une once de désespoir, de résignation et de découragement.
Pourtant parmi celles dans le mur, certaines pouvaient prétendre à être du mêmes niveaux que Schield, Goya ou Ilinia, certaine qui avait lâcher mentalement, des pulsions se réveillant, leurs esprits les poussant à faire de même, briser et corrompue par les heures passer avec le monstre. Elles étaient toute que l'ombres d'elles mêmes, même les fortes têtes n'avaient plus leur esprit combatif. Une part d'elles étaient briser, plus aucune volonté les animant, certaine déjà sous le joug de la Reine, le reste à reconstruire comme bon lui semblait. Même Engiel qui pourtant n'ayant passer qu'une heure ou deux avec le monstre après être sortie de la salle d'opération, était abattue, plus aucune volonté de se battre et de se rebeller, De même pour Shiranui, ressortant de l'antichambre de la souffrance complétement soigner et traumatiser et déposséder de volonté. Pourtant une seule rester encore debout, une seule n'avait pas céder, une seule voulait encore se battre : Tirch.
Son esprit était en proie à la rage et la tristesse, semblant même en conflit avec autre chose, l'annexiene avait épargné sa vie, elle était toujours vivante. Pourtant elle lui avait dit que les formiens n'auraient pas d'autre choix que de la tuer, qu'ils ne pourraient se servir d'elle. Malgré ça, elle devait maintenant réfléchir à quel protocole elle devait appliquer, en voyant ses soldates passer à l'ennemie et les autres emprisonner, à moins qu'elle ne soit obliger d'appliquer le protocole 0.
Aux centre de la pièce, le troue que seule quelqu'une avait remarquer l’existence, des sons se firent entendre, comme ceux d'une créature remontant, succession de bruits chitineux avant de laissait place à la Reine des Lames, jaillissant des profondeurs de la ruche, impérieuse et dominante, assit sur un trône toisant ses esclaves. Mixim était présente avec elle, fessant une fellation à son auguste Reine, s'appliquant autant à la sucer qu'a se doigter, provoquant des bruits de succions que tous pouvait entendre. De leur côtés, Goya et Schield accélérèrent leur rythme, pénétrant plus durement Ilinia, produisant des gémissements de plaisir, activant sa langue sur la verge formienne de Goya, frustré de ne pas pouvoir participé plus activement !
Les seuls bruits brisant le silence, furent les gémissements et les cries de plaisir, les bruits de succions, les coups de bassin claquant contre les fesses ou les lèvres d'Ilinia. Mixim s'activa avec ardeur, pompant plus qu'aspirant le pilier de chaire de sa Reine, spectacle obscène où rien d'autre ne se passa, laissant les autres contemplaient une part de leur avenir, certaine avec désespoir, d'autre de tristesse, quelques unes avec envie, mais une seule avec l'envie de se battre. Plus de résistance, plus d'opposition, que du désespoir et de la résignation, des esprits et des volontés trop faible ou briser pour s'opposer à leur ennemie. Même Jeanne, celle qui fut la plus enclin à vouloir la tuer de la manière la plus sanglante n'avait plus le même esprit, une part d'elle étant morte auprès du monstre.
Mixim fit une intense gorge profonde, ses bruits de déglutition résonnant avec force durant quelque minute, avant de gober entièrement le pilier de chaire, plaquant ses lèvres contre le bassin et la paire de couille de l'annexienne, qui jouit au plus profond d'elle même, sa gorge gonfler par la verge, ses yeux se révulsant presque. Elle se retira dans un bruit de sucions sonore, la verge quittant la gorge serrer de Mixim, qui toussa, se plaquant contre les jambes de l'annexienne, le visage déformé par l'extase. De leur côté, Shield et Goya finir par se vider dans Ilinia, qui elle même se mit à jouir, avalant goulûment le sperme qui sortait à flot de la verge de Schield, avant de se retirer, les liens d'Ilinia se retirant, alors qu'elle continuer à laper la verge de Schield.
L'annexienne regarda celle coincer dans le mur, t-elle un assortiment de sucrerie dans une boite, tandis que Mixim se mettait à ses pieds, se lovant contre elle, tandis que les autres se dirigeait à quatre pattes vers leur reine.
« Je vous souhaite un joyeux réveil, mes chéries ! Rassurez-vous, vous n’allez pas toutes repasser en entretien individuel avec moi… J’espère que vous avez bien dormi, car il est maintenant temps pour vous de vous intégrer à ma Horde ! »
Et tandis que le trio se massait autour de leur Reine, Ilinia léchant ses pieds, celles dans lem urs exprimait des pensées tout aussi varier qu'opposer. Rinko, Miyo et Ania, les plus durement toucher au même titre que Shield et Ilinia, souhaiter la rejoindre prestement, acceptant leur destin. Mis à part Tirch qui voulait se battre, le reste ne rêver que d'une mort douce et rapide en ces lieux.
Et alors que l'annexienne annonçait la suite d’événement et les groupes qui seraient former, toutes étaient sur que Tirch aller goûter au traitement particulier, quelqu'une pensait aussi à Jeanne, Jade ou Mistrial, mais cette dernière n'avait plus la même volonté, le viol et la perte de son bras biomécanique l'ayant traumatiser et perturbé. Jade était au même stade que les autres, Jeanne, qui par un exploit, garder une étincelle de rébellion, mais n'avait plus la force et la volonté pour se battre encore et encore attacher à la promesse, que lui avait faite l'annexienne : la libération de Shiranui contre sa soumission.
La Reine des Lames leur annonça finalement la bienvenue dans son nid, accompagnant sa parole les soldates furent libérer de leur cocon, du moins certaine. Rinko, Miyo et Ania furent les premières, les plus dociles du reste et déjà à la botte de la Reine, glissant du mur et s'étalant par terre, avant de ramper à quatre pattes vers leur Reine, leur visage exprimant aussi bien leur désir que leur esprits leur soumission. Puis vient Shiranui et Engiel, celle qui furent le plus épargnée par le monstre, mais qui avait vécue un océan de douleur dans la salle de chirugie, les plus à même de riposter mais qui ne firent rien, Shiranui se pelotant contre le mur, la peur au ventre, Engiel défiant du regard la Reine des Lames, la peur visible au fond de son regard. Le reste suivit et ne fit rien de plus, Mistrial regardant avec horreur les ruines de son bras biomécanique.
Seule Tirch fut laisser dans le mur, toujours avec l'envie de sa battre, mais la soudaine et brusque disparition de sa colère et rage du fait qu'elle soit encore en vie disparue en un clin d’œil, son esprit redevenant aussi froid et vide qu'avant, tentant de s'échapper par la force et son esprit semblant être entrain d’obéir à quelque chose, quelque chose lui imposant un de ses protocoles, le protocole 0. Cette chose inconnue semblait guider Tirch, car sans raison, elle qui voulait seulement tuer l'annexienne et celle l'ayant trahit, se décida comme sur un coup de tête, de massacrer toute la section Delta S et uniquement cette dernière, oubliant l'annexienne, comme si elle n'avait jamais exister.
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Elles avaient été mises au pas. Cela, maintenant, ne faisait plus l’ombre d’un doute, et, peu à peu, les cocons les libérèrent… Toutes, sauf Tirch. Tirch était la seule à se rebeller, mais il y avait, en elle, quelque chose d’anormal, quelque chose qui allait nécessiter plus que des agressions sexuelles ou des attaques télépathiques. Il allait falloir pratiquer de la chirurgie, et ce en passant par le biais d’Abathur. L’opération était prévue et programmée, mais, avant cela, Sarah voulait s’occuper du reste de l’escouade. Toutes ces femmes constituaient une importante plus-value pour la Horde, car les soldates tekhanes étaient très bien entraînées, très résistantes, et pouvaient donc produire de nombreux bébés. Certes, elles avaient tué beaucoup de Formiens, mais, en seulement quelques jours, elles avaient déjà produit suffisamment de larves pour compenser les pertes. La vie, au sein de la Fourmilière, surpassait totalement la mort, et, maintenant qu’elles étaient placées face au fait accompli, toutes ces femmes allaient devenir de magnifiques pondeuses et amantes. Sarah, autrement dit, venait de se constituer un harem, et elle sentait, contre ses jambes, les Tekhanes les plus soumises, s’accumulant autour de leur Maîtresse comme ce qu’elles étaient devenues : des chiennes en manque dans des combinaisons moulantes. Sarah avait encore sa queue à l’air libre, et, malgré sa jouissance dans la bouche de Mixim, sa queue était toujours érigée.
Observant les Tekhanes, elle se déplaça un peu, laissant ses mains filer le long des corps, recevant moult baisers et soupirs, comme autant de gestes supplémentaires pour marquer la soumission de ces femmes. Elle observa ensuite à nouveau les femmes, puis prit sa première décision :
« Ilinia, Rinko, et Ania… Comme vous le savez, j’aime le rose et le violet. Par conséquent, et dès maintenant, vous serez mes concubines personnelles. »
Elle leur fit signe d’approcher, et, très bientôt, Rinko et Ania se retrouvèrent lovées contre leur Reine, un bras autour de chaque femme, les mains de Sarah pelotant leurs belles fesses moulées, faisant délicieusement crisser leur combinaison. Ilinia, elle, était toujours aux pieds de l’Annexienne, embrassant et léchant son sexe.
« Ceci signifie que vous serez mes sacs à foutre privilégiés, même si, bien sûr, je n’oublie aucune de mes autres petites putes… Cependant, là où d’autres seront affectés à d’autres services, comme à mes Cérébrates, vous trois, vous resterez à mon service. »
C’était un choix purement partial, reposant sur leur simple couleur de combinaison. Jadis, Ilinia avait porté une combinaison grisâtre, mais, maintenant, il s’agissait d’une belle tenue violette, qui était comme une déclaration d’amour envers sa Maîtresse. Comment pouvait-on rester insensible à un tel message ?
« Toi, Ania, tu contribueras à entretenir tes beaux cheveux, et, tant que tu seras obéissante, tu éviteras les tentacules. Toi, Rinko, tu pourras sodomiser n’importe laquelle des membres de ton escouade par l’arrière. Et toi, Ilinia, j’ai récupéré ton chat, qui se trouve dans l’appartement que vous partagerez à trois. »
Une nouvelle qui allait sans doute faire plaisir à Ilinia. Sarah voulait leur montrer qu’elle récompensait la soumission et la fidélité.
« Vous devrez toutes vous faire l’amour au moins trois fois par jour. Ceci vaut, non seulement pour vous trois, mais aussi pour l’ensemble de mes esclaves. Vous étiez jadis une escouade militaire répandant la mort, maintenant, vous serez mon harem, répandant la vie par vos ventres fertiles. »
N’était-ce pas là un programme jouissif ?
« Maintenant, mes trois chéries, jurez-vous, entre vous, un amour éternel, et de vous faire l’amour ensemble, et sans relâche. »
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Ses yeux n'avait rien d'humain, son esprit se cristallisant sur ce protocole 0, ses yeux fixant ses anciennes soldates comme si elles étaient formiennes, aucune pensées, aucune émotions, une machine devant obéir à un programme. Tirch n'avait pas de réelle différence avec une machine en cet instant.
Les autres du moins celle n'étant pas obnubiler par l'annexienne, ignorant le danger pesant sur elles, ne fessait rien, contemplant leur camarades s’écraser devant la Reine des Lames, caressant ses jambes, léchant ses pieds ou son sexe. L'annexienne se dirigea vers elles, suivit des soumisses, voulant recevoir l'auguste membre de leur Reine en elles. Elles attendaient, elles avaient pourtant le nombre, les capacités et la possibilité d'affronté ensemble la reine, mais leurs esprits n'étaient plus le même. Elles étaient dans l'attente de connaître afin l'avenir qui leurs étaient réservé, n'ayant même plus assez de volonté pour désespérer complètement.
« Ilinia, Rinko, et Ania… Comme vous le savez, j’aime le rose et le violet. Par conséquent, et dès maintenant, vous serez mes concubines personnelles. »
Les trois femmes eurent le visage rayonnant, les autres furent dépité, même jalouse pour certaine, mais gardèrent l'esprit perdue dans le plaisir et la soumission, acceptant leur sort. Rinko et Ania se lovérent dans les ras de l'annexienne, allant léchant son cou et ses joues, fessant glisser leur lanque avec amour, dandinant du cul sous la mains de l'annexienne et Ilinia lapant son sexe, embrassant le gland.
« Ceci signifie que vous serez mes sacs à foutre privilégiés, même si, bien sûr, je n’oublie aucune de mes autres petites putes… Cependant, là où d’autres seront affectés à d’autres services, comme à mes Cérébrates, vous trois, vous resterez à mon service. »
Le plaisir et la satisfaction pouvaient se lire sur le visage des trois favorites, se collant un peu plus contre leur Reine. Le reste agglutinaient à ses pieds, fut rassurer de pouvoir toujours servir de vide-couille à leur Maîtresse et tout aussi ravie de pouvoir être les jouets des cérebrates, les filles de leur Reine. Le reste n'avait que peu de réaction, Tirch plus occuper à essayer d'arracher ses bras à force de tirer dessus.
La Reine leur annonça ses faveurs à ses favorites, accentuant leur sourire et leur plaisir, la remerciant de sa générosité. Ilinia fut ravie, mais les éclats que furent son esprit, se revirèrent raniment des souvenirs et des émotions, trop faible pour qu'elle le ressente pleinement, juste une sensation étrange, de la tristesse et un petite pointe de regret, son chat, cadeau de ses mères, les personnes les plus importantes à ses yeux et dans sa vie, avant que le reste de son esprit corrompue étouffe ces petits éclats.
« Vous devrez toutes vous faire l’amour au moins trois fois par jour. Ceci vaut, non seulement pour vous trois, mais aussi pour l’ensemble de mes esclaves. Vous étiez jadis une escouade militaire répandant la mort, maintenant, vous serez mon harem, répandant la vie par vos ventres fertiles. Maintenant, mes trois chéries, jurez-vous, entre vous, un amour éternel, et de vous faire l’amour ensemble, et sans relâche. »
Ilinia se releva, masturbant et se collant à sa Reine, écrasant sa poitrine sur celle de l'annexienne avant de l'embrasser, suivit de près par Rinko et Juliette, partageant sa salive, se tripotant entre-elles, avant de s'embrasser entre elles.
-Nous le jurons ma Reine ! Répondirent t-elles d'une même voix.
On pourrait presque croire à un mariage, les amants se jurant fidélité et amour pour le restant de leur jours. Mais une voix brisa ce moment, possédant le ton caractéristique d'une personne qui n'avait plus rien à perdre et empreint d'inquiétude.
-P...pourquoi Shiranui est là ? Croassa Jeanne, en se relevant, tremblante, semblant presque sur le point de tomber à terre au vue des ses jambes tremblante. Tu.. tu m'avais promis de la libérer si je t’obéissais ! Siffla Jeanne, l'indignation et une colère naissante dans la voix.
Dans les cendres que furent sa rage, sa haine, sa colère, une braise se mit à rougeoyer, alimenter par les vents brûlant de sa vision. Elle venait juste d'apercevoir Shiranui, ce qui lui avait fais un choc, l'horrifiant et l'indignant, combustible latent pour qu'elle puise réussir l'exploit de réanimer sa rage passée. À ses mots Shiranui réagit aussi, horrifier par le geste de sa sœur, elle savait son amour pour elle fort mais pas à ce point.
-Pourquoi !? Rajouta Jeanne, se rapprochant de quelque pas de l'annexienne, ses reflexes d'antant la fessant prendre une position d'attaque.
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Toutes ces femmes n’avaient, mentalement, rien d’exceptionnel, en ce qu’elles n’étaient, ni des magiciennes, ni des télépathes. Dès lors, Sarah n’avait éprouvé aucune gêne à les briser mentalement sous une surdose de sexe et d’attaques mentales pour en faire des petites concubines dociles. Elles étaient toutes vaincues, et voir ces dernières se jalouser entre elles pour avoir les faveurs de leur Reine était particulièrement alléchant, et ce d’autant plus que ces jeunes femmes n’auraient jamais cru se soumettre un jour à ce point envers leur Reine. Et, pourtant, mis à part quelques irréductibles, il suffisait de voir comment le trio des femmes roses se pressait contre elle pour réaliser à quel point elles avaient été soumises. Ilinia l’embrassa goulûment, puis, jalouses, Rinko et Ania tentèrent aussi de lui voler un baiser, amenant la queue de Sarah à se durcir contre le ventre de la Tekhane, et ses mains à se crisper contre les fesses des deux autres.
Sarah se faisait plaisir quand Jeanne sembla sortir de sa léthargie en voyant que Shiranui était toujours là... Ce qui l’amena à devenir nerveuse, se retournant vers Kerrigan. Agacée à l’idée de se séparer de ses trois nymphettes, Sarah regarda la femme. Elle avait aussi conscience que son contrôle sur les Tekhanes était encore jeune, et donc fragile. Il suffisait d’une étincelle pour le faire éclater, la preuve en était avec Jeanne, qui était prête à se battre.
« Oserais-tu remettre ma parole en doute, Jeanne ?! »
Sarah s’avança vers elle, et enchaîna rapidement :
« J’honore toujours ma parole... Mais je voulais la libérer en ta présence. Alors, calme-toi, et libérons Shiranui ensemble. »
Les tentacules libérèrent Shiranui, qui peinait à marcher. Elle semblait comateuse, et Sarah laissa Jeanne se précipiter vers elle.
« Elle est encore un peu sonnée, elle est assez grande, alors j’ai dû augmenter les doses de tranquillisants... Mais nous allons la ramener, toutes les deux, à l’entrée de la Fourmilière. Ensuite, je retournerai m’occuper de vous, mes chéries. »
Cette dernière phrase était tout naturellement adressée aux Tekhanes.
Un mur se forma alors à côté de Shiranui et de Jeanne, et Sarah s’y approcha.
« Ce couloir nous mènera à la sortie... Quand tu veux, Jeanne. »
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Malgré les tortures mentales, Jeanne pensait encore à sa sœur et l'espoir de pouvoir la sauvée. Les autres, celle qui ne mouiller pas en pensant à leur Reine et qui ne voulait pas commettre un carnage, n'en avaient que faire, certaine voyant Jeanne au bord du gouffre, ce rattachant à une racine presque pourrie sortant de la parois pour ne pas tomber. On voyait son acte futile et idiot, quel intérêt d'espérer quand il n'y a plus d'espoir ? Et puis elles n'avaient pas de toute sur le fin mot de l'histoire : Shiranui finira dans les main de l'annexienne. L'annexienne délaissa le trio de soumises, à leur regret arrivant même à en vouloir à Jeanne pour ça et qu'elle se rebelle contre leur Reine.
« Oserais-tu remettre ma parole en doute, Jeanne ?! »
-Je... commença Jeanne.
« J’honore toujours ma parole... Mais je voulais la libérer en ta présence. Alors, calme-toi, et libérons Shiranui ensemble. »
Effet immédiat, Jeanne délaissa rapidement sa position d'attaque son visage radieux et heureux, au point de donner envie de l'achever tellement qu'elle fessait pitié, son visage marquer par les stigmates du désespoir. Elle se dirigea rapidement au près de Shiranui, pleurant presque de joie, ne fessant pas attention au visage de Shiranui qui montré explicitement qu'elle était choqué par cette nouvelle et qu'elle n'était pas à son goût.
« Elle est encore un peu sonnée, elle est assez grande, alors j’ai dû augmenter les doses de tranquillisants... Mais nous allons la ramener, toutes les deux, à l’entrée de la Fourmilière. Ensuite, je retournerai m’occuper de vous, mes chéries. »
-D'accord ! Répondit Jeanne, en soulevant sa sœur, servant de support pour qu'elle puises se lever.
La braise de sa rage s'était éteinte pour toujours, sa sœur allait être libérer, son sacrifice sauvera au moins une personne. Les premières ayant cédé ne souhaiter plus que Shiranui disparaisse rapidement pour que leur Reine revienne pour elles, tout en se demanda pour quoi Jeanne voulait que Shiranui parte. Les autres voulaient que cela se termine au plus vite, l'attente douloureuse, voulant être briser complètement au plus vite pour les libérer de leur souffrance. Le mur s'ouvrit devant Shiranui et Jeanne, cette dernière s'y engagea avant même que l'annexienne ne l'invite à passer.
CLACK
Jeanne vacilla sur place suite au coup, Shiranui lui ayant donner une claque. La rage, la tristesse et les larmes déformant son visage.
-Comment... COMMENT T'AS PUS FAIRE ÇA ! Hurla Shiranui, choquant ses camarades. JE SUIS TA GRANDE SOEUR C'EST À MOI DE FAIRE ÇA !
Jeanne fut si choquer qu'elle resta clouer sur place, bégayant sur place, une succession de « jejejeje » sortant de sa bouche, avant qu'elle n'arrive reprendre ses esprits et à répliquer de manière hasardeuse.
-On... on a qu'un ans de différence et t'as toujours voulue une grande sœur ! Je fais que remplit mon rôle ! J'ai pas envie que tu vives dans cet enfer ! Tu dois rejoindre maman et vivre une vie normale !
-ET MOI ! T'as pensées à moi ? Comment tu crois que je vais pouvoir vivre sans toi et les autres ? Et tu crois que maman sera heureuse de savoir ça ? Répliqua Shiranui, pleurant à chaude larmes. Tu m'a promit que tu serais toujours à mes côtés. Tu crois que je pourrais supporter ça ?
-Je... émit Jeanne, réalisant qu'elle n'avait pas penser à ça.
Leur mère avait toujours été sensible et fragile, le choc serait bien plus lourd pour elle de savoir qu'une de ses filles est au mains des formiens, que de savoir que ses deux filles sont mortes en héroïne. Mais pourtant elle ne pouvait pas supporter l'idée que Shiranui vivent dans cette enfer, elle l'avait déjà tirer d'un enfer, elle ne pouvait pas le laisser dans un autre. Mais Shiranui ne s'en sortirait pas indemne, savoir que ça sœur c'est sacrifier pour elle, elle ne pourrait le supporter. Elle fragile de ce côté, agissant comme une petite fille dépendante de sa grande sœur.
Cela lui rappela de vieux souvenir, en voyant le visage de Shiranui, le même visage sur une petite fille de 8 ans, déjà plus grande qu'une fille de 13 ans. C'était à l'époque où Jeanne était orpheline et avait 7 ans, déjà bagarreuse et d'un caractère violent, fuguant une énième fois de l’orphelinat. Elle avait croiser Shiranui sur la route d'une école, entourer de filles se moquant de sa taille, l'insultant alors qu'elle était en pleure et crier de la laisser tranquille. Sur un coup de tête, elle l'avait aider, en tapant les autres filles, causant des coquarts et pétant une dents, ramassant des griffures et se perçant une lèvre. Quand elle les avaient mit en déroute, Shiranui était ramasser sur elle pleurant à chaude larme, en la ragardant.
-Mer...
CLACK
Shiranui pleura encore plus, Jeanne lui avait donner une claqua.
-Pourquoi tu fais ça ? Bredouilla t-elle.
-Pourquoi tu défend pas ? T'aurais pus leur casser le nez ! Cria Jeanne en colère terrorisant encore plus Shiranui.
-Ma... ma...maman ma dit de ne jamais faire de mal...
-Idiote ! Si tu te défend pas on fera que t’embêter ! Gronda Jeanne. Si tu peux pas, je le ferais pour toi ! Considère moi comme ta grande sœur !
Shiranui avait les yeux rouge à force de pleurer et pleura d'avantage en s’écrasant sur Jeanne, la serrant dans ses bras. Jeanne n'avait jamais sue pourquoi elle avait dit, peut être parce qu'elle n'avait pas de famille, ni de mère et de sœur. Elle savait juste que ce fut les plus belle années de sa vie, la mère de Shiranui l'ayant accepter et la considérait comme sa fille depuis toujours, ravit d'en avoir une de plus, allant même jusqu'à créer des photos de Jeanne nourrisson ou de ses précédant anniversaire pour l’intégrer entièrement dans sa famille et sa vie. Shiranui avait été sa clés pour le paradis, ayant eu ce qu'elle avait toujours voulue avoir, une famille.
Famille que l'annexienne voulait détruire, famille qu'elle avait toujours protéger, famille qui était tout pour elle, famille qu'elle ne pouvait briser ou quitter. Même si elle se sacrifier, Shiranui n'aurait pas à subir à ça, l'annexienne ne briserait pas sa famille ! Elle serait sauver et même si leur mère serait attrister, elle reverrait au moins une de ses filles. Siranui devait comprendre et devait partir. Même si les conséquences pouvait être terrible, Jeanne ne pouvait pas laisser Shiranui ici, maman serait entièrement d'accord et aurait fait pareille pour ses filles, elle comprendra.
-Shiranui, j'ai jurer de te protéger ! Scanda Jeanne. Tu dois partir, fait le pour moi et maman !
-Je suis grande, j'ai le droit de choisir. Répliqua Jeanne. Et j'ai fais mon choix !
Sans crie égard, sans prévenir, elle se retourna violemment, tentant de donner un coup de pieds circulaire retourner (http://warriortkwdo.weebly.com/uploads/1/3/7/6/13768638/6035273.jpg) à l'annexienne, visant la tête. Mes n'étant pas au sommets de sa forme et l'annexienne bien plus rapide, parer son attaque fut facile, mais Shiranui parvint quand même à la déstabiliser. Son visage et son regard, n'avait rien n'a voir avec ce que l'annexienne avait vue, un visage sombre, trop sérieux, emplit de haine, ses yeux la transperçant d'un regard à faire froid dans le dos. Rien à voir avec les Shiranui enfantine et naïve. Pas de rage mais pleine de haine et de carnage, un mot pouvait être lut dans ses yeux : génocide.
-J'ai choisit de me battre ! Grogna Shiranui. C'est à moi de le faire.
Shiranui n'est pas une lumière, mais elle savait très bien que l'annexienne ne la laisserais pas partir, que d'une manière ou d'une autre, elle finirait entre ses mains. En plus, elle voulait à son tour protéger sa sœur, l'annexienne ne la laisserais pas partir, elle voulait enfin lui être utile. Jeanne observa sa sœur, tétaniser, ne sachant comme réagir.
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Sarah, malgré toute sa manipulation, n’avait qu’une parole… Mais il est vrai que délaisser Shiranui n’était pas ce qu’elle souhaitait. Dans l’idéal, elle voulait avoir toutes ces femmes, et, si elle avait fait à Jeanne un accord, elle avait bien l’intention, non pas de le trahir, mais de le rendre caduc. En effet, son accord incluait la proposition d’un sauf-conduit pour Shiranui, mais rien n’obligeait, dans cet accord, Shiranui à l’accepter. Jusqu’à quel point est-ce que les deux Tekhanes agissaient vraiment par elles-mêmes, et jusqu’à quel point étaient-elles manipulées par Kerrigan ? La réponse sembla s’imposer quand, au milieu de leur discussion, Shiranui écarta précipitamment Jeanne, et tenta de frapper Sarah, à l’aide d’un coup de pied retourné… Mais le corps de la femme était encore engourdi par les tranquillisants, et, si elle parvint effectivement à surprendre la Reine des Lames, elle ne porta pas le coup fatal, le bras de Sarah se relevant pour intercepter ce pied. Elle observa ainsi le bassin de cette géante, voyant, au-delà de la douceur, de la candeur et de l’innocence, un visage froid et dur.
Devant l’incompréhension et le désarroi de Jeanne, Shiranui se mit alors en position de combat, décidée à prendre son destin par elle-même. Surprise en ce moment, Sarah sourit alors. La Reine des Lames, comme d’habitude, s’habituait rapidement à l’imprévu, y compris quand il était composé par une géante décidée à refuser sa fuite. Le couloir menant vers la sortie se referma alors, et des tentacules en profitèrent pour s’enrouler autour de Jeanne, plaquant fermement cette dernière contre le mur, l’empêchant ainsi de participer au combat.
« Je dois admettre que ton courage m’impressionne, Shiranui. Je t’imaginais en pleureuse qui n’hésiterait pas à retourner chez elle avant de pleurer et de regretter d’avoir abandonné son escouade. »
Kerrigan avait joué là-dessus, et son tour avait marché nettement mieux que prévu. Elle avait en effet escompté profiter de ce sentiment de culpabilité et de cette fierté propre à un soldat. Une escouade, c’était une seconde famille, et Sarah, en tant qu’ancienne militaire, y songeait en connaissance de cause. Shiranui n’avait pas pu se résoudre à être la lâche, celle qu’on verrait, à Tekhos, comme une paria, parce qu’elle avait honteusement fui, et peut-être même trahi pour pouvoir s’enfuir.
Sarah souriait donc, et reprit alors :
« Viens te battre, si tu veux… Si tu gagnes, tu auras droit à une faveur, mais, si tu perds… Je considérerai que ton sauf-conduit est caduc, et tu deviendras l’une de mes concubines. »
Elle n’aurait aucun remords à avoir vis-à-vis de Jeanne, car les règles étaient clairement posées. Comme preuve de bonne foi, Kerrigan ferma alors les yeux, et reprit alors une apparence humaine, puis, sortant du décor, des tentacules apportèrent sa combinaison de Ghost. Elle se l’enfila, tout en nouant ses cheveux, puis se tint face à Shiranui… La version humaine de Sarah (http://img90.xooimage.com/files/2/a/0/humaine-2-3d125f7.jpg), une forme qui rappelait des souvenirs, même si, compte tenu de ses modifications génétiques, elle avait perdu sa chevelure rousse.
« Je te combattrais sous mon apparence humaine, pour que le combat soit plus juste, et que Jeanne ne m’accuse pas d’avoir triché. Maintenant, viens, ma chérie… »
Il ne fallait pas oublier que Kerrigan avait subi de rudes entraînements militaires, afin de devenir une Ghost. Si ses capacités psioniques étaient indéniables, il en allait de même pour ses capacités physiques, qui étaient très élevées, et qui tendaient à faire d’elle une guerrière d’exception.
Autant dire que le combat entre les deux femmes promettait d’être intéressant !
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Shiranui avait des yeux qui pourrait ôter l'âme d'une personne, un visage si sombre et si haineux, qu'elle ferait peur à la Mort elle même. Comme si quelqu'un avait prit possession de Shiranui, elle n'avait rien en commun avec celle qu'elle fut il y'a quelque minutes, que le corps. Une autre Shiranui semblait s'être réveiller, un autre esprit semblait s'être déclarer. En position d'attaque, les mains comme des serres, le regard verrouiller sur cette créature, se déplaçant comme une prédatrice. Jeanne, à nouveau dans le mur, était complètement désemparer, sur le point de craquer et de pleurer. Elle tenta d'implorer sa sœur, qui ne semblait même pas l'entendre. Les autres regardèrent avec un œil surprit et curieux leur camarade, première fois qu'elle réagissait comme ça avec ça sœur.
« Je dois admettre que ton courage m’impressionne, Shiranui. Je t’imaginais en pleureuse qui n’hésiterait pas à retourner chez elle avant de pleurer et de regretter d’avoir abandonné son escouade. »
-Me compare pas à cette idiote... souffla silencieusement Shiranui, avec une voix étrange, sombre, inquiétante et avec un timbre... différent, plus sérieux et dur.
Si Sarah s'amusait à sonder son esprit, elle verrait à peu près le même état d'esprit que Tirch, avec plus d'émotion... sanglante. Elle voulait faire payer à l'annexienne, tout ce qu'elle avait fait, à sa sœur, à ses amie et à sa mère. De plus elle voulait lui montré qu'elle n'était pas ce qu'elle croyait, qu'elle n'était pas qu'une gamine naïve, enfantine et peureuse. Celles qui n'était pas encore totalement sous le joug de la Reine, sourire de manière dépressive, la part d'ombre de Shiranui ne se réveillant que maintenant, se remémorant une boucherie dans une planque de trafiquant. Sans doute cela aurait changer son destin. Les soldates soumisse à la Reine, craignaient pour elle, certaine demandant à Shiranui de reprendre ses esprits et de laisser leur Reine s'occuper d'elle. Elles s'étaient regroupées en même temps, ne pouvant s’empêcher de se doigter, tandis que Tirch disparue à nouveau dans le mur, sans doute partie dans une autre salle.
« Viens te battre, si tu veux… Si tu gagnes, tu auras droit à une faveur, mais, si tu perds… Je considérerai que ton sauf-conduit est caduc, et tu deviendras l’une de mes concubines. »
-Tu crois à un combat ? N'oublie pas ce que je suis. Souffla Shiranui, avec un sourire, qui n'avait rien de rassurant, rien de gentil ou de plaisant. Un sourire sadique et sombre, à en faire froid dans le dos.
Shiranui aurait pus très bien l'attaquer de suite, mais elle n'était pas sa sœur, elle ne fonçait pas à l'aveugle. Shiranui ne fessait qu'évaluer la situation, les risques qu'elle encourait en cas d'attaque frontale ou si elle tentait une feinte. Bien que puissante soldate (elle à tué un xénophorme à main nue), elle restait avant tout un assassin et elle se devait d'agir de la sorte. Elle ne cilla même pas en la voyant changer de forme et se rhabiller, reprenant une apparence humaine, ce qui n’empêchait pas Shiranui de vouloir la tuer. Dommage qu'elle n'a pas sa lance, ça aurait très avantageux pour elle.
« Je te combattrais sous mon apparence humaine, pour que le combat soit plus juste, et que Jeanne ne m’accuse pas d’avoir triché. Maintenant, viens, ma chérie… »
-Impatiente d'aller dans les bras de la mort ? Susura Shiranui, d'une voix basse et glaciale, au ton meurtrier et... impatient.
Plus rien à voir avec la Shiranui d'avant, même le ballottement de ses seins au grès de ses mouvement ne ridiculisait pas la scène, dominant l'annexienne de sa taille, la toisant et lui jetant un regard dédaigneux. Shiranui recula lentement, se mettant en position, comme si elle allait sauter. Mais... elle ne fit rien, regardant l'annexienne, restant sur place, face à face, en position de combat, respirant lentement. Shiranui était une assassin, le premier coup se doit d'être décisif, elle avait eu l'avantage avec les xénophormes, son premier coup avait permit de mettre l'un d'eux hors jeux et de déstabiliser le groupe, lui permettant d'abattre le deuxième. Si elle avait rater, elle aurait été battue et maîtriser. L'annexienne était d'un autre niveau, le premier coup dans ce duel pouvait décider de l'échec ou de la réussite de l'un des combattant.
Après une minutes, Shiranui fit un mouvement brusque de la jambe, décochant une attaque. En réalité c'était un leurre, après ce temps passer à être immobile, Shiranui était sur que l'annexienne réagirait et se focaliserait par réflexe sur sa jambe, en position de défense ou d'esquive. Elle se servit de cette soudaine attaque et de la surprise de l'annexienne pour avancer rapidement. Si l'annexienne se mettait en position pour parer l'attaque de la jambe, Shiranui comptait sur son avance et son allonge pour la frapper au coup avec sa main, espérant briser la trajet. Si l'annexienne réagissait assez rapidement pour éviter ou parer, Shiranui utiliserait sa jambe pour porter une vrai attaque, tout en utilisant ses mains pour bloquer ceux de l'annexienne.
Si cela échouait, Schiranui se dégagerait prestement. Elle tenterait une approche latéral, dans le but de la frapper avec sa jambe droite, bien qu'elle comptait frapper de son bras droit en même temps et si elle ratait encore, elle tenterait un coup de pied retourné, avec plus d’élan et de force.
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Sarah n’aurait jamais cru qu’un tel potentiel de rage pouvait exister en cette grande femme timide et nerveuse. Quelque chose avait dû se réveiller en elle, et Sarah ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. Comme elle avait négocié la libération de cette géante, elle ne s’était pas intéressée à Shiranui outre mesure, et découvrait en elle une nouvelle facette... Mais pourquoi pas, après tout ? La Tekhane observa la femme. Sarah avait confiance en ses capacités martiales, en l’entraînement draconien de guerrière qu’elle avait reçu. Les Spectres formaient un corps d’élite de l’armée tekhane, des soldats d’élite triés sur le volet, formés pour être compétents dans tous les domaines. Elle se mit donc en position de combat, et Shiranui chargea alors, bondissant vers elle à une vitesse particulièrement impressionnante, malgré sa taille.
La main de Shiranui fila vers son cou, et Sarah la para, puis vit alors l’autre jambe de Shiranui partir vers le côté, et la frappa sur le flanc. Le coup déstabilisa Sarah, qui tomba vers le sol, mais se rétablit rapidement, en posant une main sur le sol, et s’en servit pour frapper la femme avec les jambes, la fauchant. Shiranui tomba également et Sarah tenta de se relever rapidement, et alla se mettre à califourchon sur elle, cherchant à l’étouffer... Las, Shiranui s’avéra résistante, car quand Sarah se posa sur elle, le corps de la Tekhane partit en avant, sa masse musculaire jouant en sa faveur, inversant ainsi les rôles.
Sarah heurta le sol avec son dos, et, sans se laisser démonter, choisit de retourner la taille de Shiranui contre elle, en utilisant sa haute stature pour enfoncer son genou dans son ventre, avant de donner une traction. Ainsi, plutôt que de se retrouver sous le corps de cette géante, Sarah la déplaça, et la femme passa par-dessus d’elle.
Kerrigan se releva alors, et attaqua, se mettant à courir, mais, plutôt que d’aller au contact, à un ou deux mètres de la femme, elle bondit brusquement, et opta pour une redoutable prise d’arts martiaux. En l’air, elle envoya ses pieds en avant, les joignant ensemble dans un coup qui frappa la femme à la poitrine. Malheureusement, Shiranui était une femme puissante, et, si ce coup aurait pu envoyer au tapis n’importe quelle autre femme, chez Shiranui, ça la fit juste reculer un peu. Sarah atterrit ainsi sur le sol, et, avant de pouvoir faire quoi que ce soit, l’une des grosses mains de Shiranui la saisit à la cheville, et la tira en arrière, avant de décrire un mouvement circulaire, pour la balancer contre le mur.
Sarah gémit en atterrissant contre ce dernier, mais vit Shiranui la foncer, comme une sorte de bœuf, avant de tendre le genou en avant.
*Oh non !*
Prudente, la Reine des Lames bondit sur le côté, et évita de justesse le coup de genou, puis en profita pour frapper la femme au bas du dos avec sa jambe, avant de se recevoir un revers de la main de la géante, qui l’envoya reculer de quelques mètres, du sang s’échappant de ses lèvres.
« Tu es douée, ma chérie... Quelle énergie ! J’aurais été bien sotte de te faire sortir, tu m’offriras tant de si beaux bébés, Shiranui... »
Sarah fanfaronnait, provocante comme à son habitude, mais, dans les faits, elle ne s’en sortait pas très bien pour le moment...
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Tue, brise, tue, fracasse, massacre.... t-elle était les mots animant Shiranui, résonnant dans son esprit comme une litanie impie, issus d'une secte sanglante. Elle n'était pas Shiranui, mais son autre elle, une part sombre se dévoilant quand elle enrage, quand elle veut à tout prit protéger quelqu'un... ou faire du mal à quelqu'un. D'aucun dirait que cette troupes de soldates étaient des plus étranges, un mélange instable de plusieurs personnes, aux mentalités multiples, certaines peu adapté ensemble, pour une section de soldate à l'existence nébuleuse. De simple femme ayant une mentalité enfantine et naïve. Shiranui passe à une femme à la mentalité presque psychopathe et meurtrière.
Le début du combat commença mal, bien que Shiranui put porter le premiers coup, elle aurait souhaiter pouvoir frapper le cou que la hanche, l'annexienne semblant avoir anticiper sa ruse, parant son bras. Elle put au moins la mettre à terre, mais qui fut une bien piètre réussit, d'autant plus que l'annexienne put se rétablir et faucher Shiranui, qui s’écrasa de tout son long, sans pouvoir se rétablir. Elle repoussa l'annexienne qui tentait de la maîtriser au sol, la fessant à nouveau tomber vers le sol.
Détruit, tue, brise... ses pensées abreuver de verset de la violence Shiranui, qui ne voulait que la mort de cette créature. Bien que l'annexienne lui mit son genou dans le ventre et la bascula en arrière, Shiranui ne fut pas perturbé et fit une roulade, se relevant à la fin de celle-ci et se retournant à temps pour subir le nouvelle assaut de l'annexienne. Elle accusa le choc, ignorant la douleur et son souffle coupé, gardant l'équilibre, reculant d'un pas. Elle agit prestement et chopa l'annexienne à la cheville et fit une démonstration de force plutôt surprenant de sa part, soulevant l'annexienne du sol et l'envoyant comme un sac contre le mur et de lui foncer dessus sans attendre qu'elle ne soit relever. Ce coup pouvant lui assurer la victoire.
Mais l'annexienne l'évita et Shiranui heurta le mur avec son genou, un crie de douleur s’échappant de ses lèvres tandis que la douleur irradia dans tout sa jambe, la sentant presque plus, suivit d'un autre quand elle fut frapper au dos. Elle balança son bras droit, parvenant à toucher l'annexienne. Elle se releva en grognant et boita alors qu'elle
« Tu es douée, ma chérie... Quelle énergie ! J’aurais été bien sotte de te faire sortir, tu m’offriras tant de si beaux bébés, Shiranui... »
-Que je prendrais plaisir à leur arracher le cœur ! Siffla Shiranui, les yeux exorbitées, une lueur de folie au fond de son regard meurtrier, d'une voix inquiétante et sifflante. Les arrachaient et les écraser dans ma main, dégoulinant de sang, sous leurs cries d'agonies.
Elle chargea à nouveau, ignorant la douleur de son genou, bras tendue sur les côtés et les mains plates. À porter de coup, Shiranui frappa de son bras droit du tranchant de la mains, un coup latéral droit, avant d'user de son autre bras pour porter un coup d'estoc. Elle ne put que pousser l'annexienne à reculer, lui donnant l'espace nécessaire pour lui donner un autre coup de pied circulaire, mais l'annexienne para l'attaque, avant de remonter le long de sa jambe, prenant Shiranui de vitesse et la frappa dans le ventre. Le choc remua ses intestins et lui fit perdre l'équilibre, le fessant tomber vers l'arrière.
Sous un grognement sourd, elle se laissa tomber en remonta sa jambe pour chasser l'annexienne, tentant un high kick. Cela marcha à moitié, parvenant à repousser l'annexienne, mais sans la frapper à un endroit sensible. Elle plaqua ses mains sur le sol, s'en servant comme bascule, soulevant son corps jusqu'à faire le poirier, pour faire retomber sa masse de l'autre côté, atterrissant sur son genou intact dans un bruit sourd. Elle grogna et releva, recevant un coup un plein dans le thorax, mais elle parvint à saisir la cheville de l'annexienne et de la lancer sur le côté, lui fessant perdre l'équilibre, lui laissant le temps de se relever complètement.
Le combat semblait à égalité, les deux combattants n'arrivant pas à prendre l'ascendant, mais Shiranui le savait perdue. Ses tout premier coups devaient être le seul moyen d'en finir rapidement, sans sa lance, elle ne pourrait pas remporter ce combat si il s'éternisait. Même si elle était une bonne combattante, l'annexienne avait plus d'expérience et surtout elle était sous sa forme humaine. D'un moment à un autre elle pourrait très bien user de ses pouvoirs mettre fin à ce combat ou user de son antre. En s'use de cela, Shiranui n'avait plus vraiment de plan d'action, se contentant de frapper le plus vite possible et fort possible quand elle percevait des ouvertures ou qu'elle parvenait à en créer un force de courir et de faire des acrobaties autour de l'annexienne, fessant mouche parfois ou elle même recevant des coups, le combat se transformant en un duel d'usure.
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Alors qu'un furieux combat se mener, ailleurs, dans l'antre d'Abathur, Tirch était installer sur une table d'opération, nue et à moitié enfoncer dans la table, ses mains et ses pieds engloutit par le creep, ainsi qu'une partie de sa tête. Elle ne pouvait plus bouger et ne tenter même pas de se libérer, des drogues lui ayant été injecter pour la calmer afin de pouvoir retirer son armure et de l'installer sur la table. Dé son arriver elle avait tenter d'arracher les tentacules et de s'en prendre à Abathur, se qu'elle avait presque réussit, jusqu'à ce qu'elle soit drogué avec une dose de cheval, la mettant K.O.
Maîtriser et installer, l’immonde créature était libre d'ausculté la soldate comme il l'entend. Mais il pouvait d'ors et déjà contempler la pâleur affligeante de Tirch, une poitrine presque plate et un corps recouvert de cicatrice en tout genre, issus d'arme blanche, de balle, plus ou moins importante, témoin d'un passé plutôt lourd, est d'un corps parfaites muscler et calibré. Il pouvait aussi constater que ses cheveux était trop blanc pour son âge, mais que ses racines était noire. Passé l'aspect physique, si il lui prenait l'envie d'écouter les battements de son cœurs : cela lui semblerait intriquant, bien trop fort pour quelqu'un à moitié dans les vapes, malgré le rythme tout à fait normale.
Mais cela n'était que la partie immerger de l’iceberg. Une étude plus poussée, par ses tentacules ou autre, lui permettrait de découvrir un cœur beaucoup plus gros que celui d'un humain, en plus d'avoir l'impression d'être la fusion de deux cœur, ses battements plus fort et des artères plus grosse. Son foie était plus petit, mais plus efficace qu'un foie classique. Ses muscles étaient d'origine... inconnue. Elle avait une densité musculaire plus importantes, chaque muscles possédant des fibres musculaires plus gros que la normale et en plus grand nombres. Comparer à une humaine de la même stature, sa densité musculaire est moins importante que celle de Tirch. Mais cela ne valait pas ses os, composer de fibre de carbone, soit quelque chose d'introuvable et improbable chez un autre humain. Seules ces modifications techniquement impossible, expliquait la force et l'endurance de Tirch.
Mais rien de tout ça n'égalait ce que le formien découvrirait : la tête de Tirch. Rien que le code barre, un implant coller à son crane et les deux étranges tubes métalliques sortant de sa tête. Rien qu'en surface, la peau semblait avoir fusionner avec ses choses, rien n'indiquant la fin de la peau ou le début du métal. Si il avait un moyen de visualiser l'intérieur du crane : il verrait quelque chose défiant toute logique ! Les tubes métalliques étaient plantés dans le cerveau, deux aiguilles de quelque centimètres planté dans le cerveau, de même que le code barre, des câble traversant le crane, relier à ce qui semblait être un réseau de câble, traversant le cerveaux dans tout les sens : le cortex, le lobe frontale, le systèmes nerveux.... des dizains de cables dans toute les zones spécifique du cerveaux qui gerer les humeur, le sytèmes digestifs, la respiration, le peur, la raison, les souvenirs etc... etc... . N'importe qui serait mort suite à un t-elle traitement. Mais Tirch était vivante.
Mais les tubes, souder entre eux, n'avaient pas fusionner avec le crane comme avec la peau, des attaches de fers le retenant, donnant l'impression de pouvoir être enlever, de même que les tubes semblaient pouvoir être retirer du cerveau, car les tubes semblaient être attacher à une basse détachable.
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SARAH KERRIGAN
Face à Shiranui, le combat était très intense. Cette femme était un véritable grizzly quand elle se battait, et Sraah, pour le coup, admettait qu’elle ne l’avait pas vue venir. La timide géante se transformait en monstre de guerre, et contraignit Sarah à devoir jouer sur la défensive, bondissant en retrait, esquivant, feintant, les rares coups qu’elle donnait semblant rebondir sur le corps épais de Shiranui… Qui, en revanche, parvint à lui décocher un violent uppercut. Le coup sonna Sarah, et du sang s’échappa de ses lèvres, tandis qu’elle tombait au sol. Une main empoigna alors ses cheveux, la soulevant férocement, et Shiranui envoya ensuite son genou frapper l’estomac de Sarah, pour la balancer ensuite sur le sol.
La femme s’abattit ensuite sur elle, écrasant son corps contre le sien, joignant ses deux mains à hauteur de la gorge de Sarah, et se mit à serrer, et à serrer fort, le visage déformé par une rage primaire, animale. Sarah se mit à hoqueter, en sentant l’air lui manquer. Cette puissante femme l’étouffait sur place, et Sarah réagit plutôt rapidement. Elle leva ses mains, et les abattit, en usant le tranchant de sa main, sur les côtes de Shiranui, frappant à un endroit bien précis. Le choc fut immédiat, heurtant le système pulmonaire de la Tekhane, ce qui permit à Sarah de la repousser en posant ses mains sur ses épaules. Elle retourna ainsi le colosse, et se mit à califourchon sur elle, puis la frappa au visage.
Un bon vieux coup de poing à l’ancienne, qui provoqua un craquement à hauteur des narines de la Tekhane. Usant néanmoins de sa force surhumaine, Shiranui se redressa vers l’avant, agrippant les hanches de Kerrigan, et la souleva, la repoussant sur plusieurs mètres. La Reine des Lames roula sur le sol, et se redressa rapidement, juste à temps pour voir Shiranui se ruer vers elle, et tenter de la frapper au visage avec son pied. Accroupie sur le sol, Sarah bondit sur le côté, et, prenant appui sur une jambe, pivota sur place, et frappa Shiranui dans le dos avec son autre jambe. Ce fut comme heurter un mur, mais l’impact repoussa Shiranui sur quelques centimètres.
«
Une baston entre deux séances de baise sur tes copines, c’est exactement ce qu’il me fallait, Shiranui ! »
Elle respirait lourdement, et Shiranui chargea encore, tentant de la frapper. Sarah fléchit les genoux, évitant son attaque circulaire du bras, et vit un genou fuser vers elle. Ses deux mains se posèrent alors, et elle utilisa ça comme un appui, et s’en servit pour bondir en l’air. Une position très acrobatique, qui envoya le talon de son pied heurter la tête de Shiranui. Ses pieds se déplacèrent alors, et s’agrippèrent à la nuque de la femme, puis elle s’en servit pour se redresser, et se retrouva ainsi assise sur ses épaules, encerclant la tête de Shiranui par ses cuisses. Une position qui, en d’autres circonstances, aurait pu être très sexuelle, car son intimité se retrouvait contre le visage de la femme.
Sarah serra alors, bandant ses muscles, comme si elle cherchait à écraser la tête de cette femme entre ses jambes. Shiranui sembla un peu déstabilisée, avant que ses grosses mains ne se saisissent des cuisses de Sarah, et elle tournoya alors rapidement sur place. Sarah commença à se sentir déstabilisée, et, au bout de quelques instants, ses jambes se desserrèrent… La Tekhane en profita alors pour la balancer sur le sol. Sarah heurta donc à nouveau ce dernier, et rampa légèrement, un peu sonnée.
Elle avait beau ne pas employer ses capacités formiennes, sa régénération cellulaire fonctionnait quand même. Sarah se releva donc, juste à temps pour voir Shiranui la charger comme un taureau. Inépuisable, la Tekhane donnait tout ce qu’elle avait, mais Sarah, réactive, réussit à éviter de se faire ceinturer en bondissant par-dessus Shiranui, posant une main sur sa tête pour s’y appuyer… Et poussa un peu dessus. Le geste déséquilibra son adversaire, qui se vautra sur le sol.
La Tekhane atterrit contre le mur, et, jaillissant de ce dernier, des tentacules surgirent alors, et encerclèrent ses bras et ses jambes, la maintenant sur place.
«
Tu ne comprends pas, Shiranui ? Tu es un jouet pour moi… Comme toutes tes petites copines. »
Sarah lui sourit alors, et les tentacules relâchèrent Shiranui.
«
Allez, ma chérie, viens encore te battre, j’aime ton agressivité, ton… Ton énergie. »
Et son sourire devint narquois, moqueur et amusé.
ABATHUR
Loin du combat entre les deux femmes, Abathur se livrait à un autre combat, beaucoup plus subtil, beaucoup plus instable : l’étude du corps de cette femme. L’ingéniosité des humains l’avait toujours fasciné, et c’était visiblement le cas ici. Abathur avait totalement immobilisé cette femme, et elle était même plongée dans le coma artificiel, grâce à de puissantes drogues. Il déplaça ainsi ses multiples et fins tentacules, et s’en servit pour ouvrir son crâne. Le concept de surprise, d’étonnement, chez Abathur, était très relatif. Il ne raisonnait pas comme les autres, ayant un strict point de vue scientifique, froid, amoral, détaché.
«
Fascinant… Mélange de tissus organiques et synthétiques… Créature d’exception… »
Abathur inspectait ce corps, cherchant à comprendre son organisme. Ses pattes caressaient les tubes, puis heurtèrent les multiples câbles qui entraient et ressortaient de son cerveau, formant un spectacle unique. Le Technogénéticien explorait davantage, tout en essayant de comprendre. Les câbles devaient permettre d’envoyer des impulsions électriques, de manière à pouvoir annihiler, ponctuellement, certaines zones du cerveau. Une expérience, un prototype… Voilà ce que cette créature était.
«
Retrait des câbles périlleux pour survie du sujet… Retrait possible des tubes, mais conséquences à envisager… »
Que se passerait-il s’il ôtait les tubes ? Est-ce que ces derniers ne contribuaient pas à l’équilibre de ce corps ? Abathur devait en savoir plus, et, à cet effet, s’attaqua au reste du corps de la femme. Un scalpel fila de la gorge de la femme, entaillant sa chair jusqu’à son nombril, puis il écarta lentement la peau, avant de la retenir, ouvrant délicatement la femme.
Histoire de voir ce qu’elle lui cachait encore…
-
Malgré la douleur de son genoux et l’handicape que cela lui causait, Shiranui ne s’arrêtait pas. Néanmoins la douleur avait eu le mérite de lui refaire reprendre ses esprits, assez pour avoir les pensées plus clairs, sortant de l'esprit sanglant et détraquer, mais restant toujours cette autre elle même. Elle combattait en occultant la douleur des coups, se montrant stoïque, encaissant sans broncher et répliquant de toute ses forces. Ainsi elle put porter un uppercut à son adversaire, enchaînant avec un coup de genoux dans son estomac, mais restant sur sa jambe endolorie par le coup dans le mur, elle manqua de se dérobé, agissant rapidement afin de ne pas être en position de faiblesse. Elle accompagna l'annexienne, l’écrasant sous son son poids, avant de se mette à califourchon sur sa proie, en essayant de lui écraser la trajet avec ses doigts.
Mais cela ne suffit pas à stopper la Reine des lames, qui parvint à la mettre hors d'état de nuire quelque instant en la frappant à un point sensible, la fessant hoqueter violemment, respirant par à coups. Ainsi déstabiliser, l'annexienne réussit à inverser les rôles, répliquant sauvagement, lui fracassant le nez, le brisant sous le coup. Shiranui fut sonnée, mais parvint à rester lucide, malgré la douleur, qui eu le mérité de lui remettre un temps soit peu les idées en place, restant toujours aussi dangereuse, mais perdant le côté psychopathe. Elle réussit donc à répliquer, l’adrénaline et son état lui permettant de soulever et de jeter l'annexienne sur 3-4 mètres. Ainsie fait, elle put se relever et charger l'annexienne, soufflant comme un bœuf, malgré les élans de douleur que lui causait ses hématomes.
Mais son état influencer son efficacité, anticipant trop tard l'attaque de l'annexienne, qu'elle aurait au moins pus s'en protéger ou atténuer le choc. Elle se prit donc complètement la jambe dans le dos, qui lui fit courber le dos et perturba sa course, déviant de sa trajectoire et s’arrêtant en dérapant presque, manquant de trébuchet.
« Une baston entre deux séances de baise sur tes copines, c’est exactement ce qu’il me fallait, Shiranui ! »
Un grognement sourd s'échappa des lèvres de Shiranui, alors qu'elle se mit à charger, tendant ses bras comme pour faire un plaquage, du sang s'écoulant de ses narines meurtries badigeonnant sa bouche de sang. Ses bras se refermèrent sur le vide, mais elle eu le reflexe de lever le genoux, s'en servant comme levier. Mais les prouesses physique de l'annexienne était les meilleurs, évitant les deux attaques et décochant un coup de pied, cognant le front de Shiranui. Elle stoppa net sa course et partie en arrière, mais par chance elle était assez pencher pour que le tout s'équilibre. Sonnée, elle recula d'un pas secouant la tête, l'adrénaline filant toujours en elle, des étoiles dans les yeux. L'annexienne l'attrapa par la nuque et parvint à se hisser à l'aide de ses pieds, l'état d'esprit et l'adrénaline de Shiruina l'aidant, évitant de la tirer à terre.
Shiranui réagit qu'une fois ses yeux obscurcie par l'annexienne et qu'elle sentie une pression menaçant de lui écraser la tête. Elle leva ses bras, chopant les cuisses de son adversaire et commençant à se secouer comme un chien, la déstabilisant, desserrant la prise sur sa tête, lui permettant de soulever et de balancer l'annexienne. Shiranui tituba un peu en arrière, secoua sa tête et regarda l'annexienne, déboussoler, mais réussit à ce ressaisir et chargea à nouveau. Mais n'importe qui verrait qu'elle se forçait et semblait plus lente.
Et inévitablement, l'annexienne contra facilement, sautant pardessus elle, attrapant sa tête, avant de l'envoyer vers le sol d'un impulsion. Shiranui réagit trop tard pour se protéger le visage, elle se cogna la tête contre le sol, rebondissant un peu, avant de glisser vers le murs. Elle n’eut même pas le temps de faire quoi que ce soit, que des tentacules jaillirent du sols, la maintenant à terre.
L'annexienne se mit à lui parler, mais Shiranui n'était plus vraiment en mesure de l'écouter, regagnant peu à peu ses esprits, les chocs multiples et répéter à la tête semblant l'avoir assommer. Les tentacules la relâchèrent, et mit un long moment avant de se relever, forçant sur ses bras et ses jambes, écoutant d'une oreille sourde l'annexienne
Elle se releva, tituba et se cogna contre le mur, avant de s'appuyer dessus pour se relever. On voyait bien qu'elle allait mal, embrouiller et déboussoler, les multiples coups à la tête semblaient l'avoir rendue à la normale, plus de regard sanguinaire et remplit de carnage, le visage sérieux et inquiétant laissant place à une expression hagard, la vrai Shiranui semblait être revenue. Elle s'éloigna du mur, chancelant un peu, la mains sur son nez casser, étouffant des plaintes, comme si elle ressentait que maintenant la douleur.
Mais elle repartie quand même à l'attaque, en courant, toujours aussi déterminer, mais cela ne pouvait la sauver. L'adrénaline avait disparue et sa seconde personnalité s'était rendormit, elle avait tenue grâce à ça, le doute n'était pas permit. Bien qu'encore sonnée, un peu vaseuse et ses pas quelque peu hésitant, Shiranui était encore en bonne condition, elle avait apprit à dissocier la douleur de son corps, bien qu'en l'état c'était quelque peu difficile.
A quelque pas de l'annexienne, Shiranui sauta, droit devant l'annexienne emporter par l'élant, tentant un coup de pied aérien, l'obligeant à esquiver. Shiranui passa devant l'annexienne, sa vitesse l'emportant un peu loin en avant, 2-3 mètre après l'annexienne. Elle réussit à se retourner en l'air, se réceptionnant tant bien que mal, atterrissant plutôt mal sur sa cheville qui émit un craquement. mais qu'elle réussit à ignorée le craquement et la douleur, lui arrachant presque un crie et repartie à l'assaut, se propulsant en avant, cherchant à attraper sa jambe. Au vue de sa taille, de son poids et de sa force, il y avait de chance pour que Shiranui parviennent à lui briser le genoux à l'aide de son poing
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Les conclusions d'Abathur, n'était qu'a moitié juste. Tirch n'était pas le prototype d'une nouvelle technologie, mais le résulta final d'une longue expérience à l'histoire lourde et sombre. Pour sa créatrice, Tirch était le résulta final de plusieurs années d'expérimentation et la porte vers d'autre projets. Le fonctionnement des câbles allez bien plus loin que de simplement supprimer quelque fonction du cerveau de temps en temps, de même que les tubes qui étaient le centre même du fonctionnement de cette étrange création.
L'auscultation du corps lui ferait assurément poser une question : comment ? Il n'y avait aucun imperfection, les os semblaient ne pas être les orignaux au vue de leur composition et l'absence cicatrice ou indice montrant une intervention chirurgicale lourde portait à croire que c'était naturelle. Est même si elle avait subit une opération de ce genre, elle ne s'en serait pas sortie indemne. Aucune trace d'implant bio-mécanique et une analyse de son ADN montrerait qu'elle est humain, malgré les marque évidente de modification chimique, cela était fait de manière si parfaite, que ça passer pour naturelle. Son système digestif était plus petit mais plus efficace, créant moins de matière fécale, sûrement pour réduire ses besoins naturelles, et limiter le risque que ses organes ne soit s'en doute gravement atteint. Le bloque de métal dans son intimité, ne fusionnaient pas entièrement avec la chaire. Le métal ne fessait que frotter la chaire sur des cercles de quelque millimètre placer de manière régulière sur son long, comme pour facilité une extraction sans trop faire de dégâts.
Mais les modifications s’arrêter là, les poumons, le diaphragme et les autres organes étaient normale. Son corps semblait avoir été améliorer dans le but de faire la guerre, mais en améliorant seulement ce qui semblait être utile, pour perfectionner ses capacités et son efficacité. Rien ne pouvait expliquer la vrai raison du réseau de câble. Il pouvait tout aussi bien réguler les fonctionnement du cerveau, que les émotions, hors ce n'était qu'une partie de ce qu'il fessait. La seule chose qui aurait des conséquences serait de retirer les tubes.
-
SARAH KERRIGAN
Aussi grande que puissante, Shiranui était un véritable ours aux gros seins. Défier cette femme était un véritable challenge, même pour Sarah, qui se plaisait néanmoins à ce combat. Elle jouait avec Shiranui, bien entendu, car l’Annexienne disposait de capacités surnaturelles par rapport aux humains, et ce sans même compter le fait qu’elle soit dans sa Ruche, et qu’elle puisse modifier à loisir le décor. Autrement dit, elle ne craignait rien de Shiranui, mais cette dernière, tenace et obstinée, s’élança à nouveau vers elle. La timide et faible femme que Sarah avait connu s’avérait être plus nuancée qu’une simple victime. Furibonde, et redoutable, elle opta pour un redoutable coup de pied aérien, que Sarah esquiva en bondissant sur le côté.
Shiranui, emportée par son élan, réussit néanmoins à surprendre Sarah, en bondissant sur place, filant droit vers elle.
*
Quoi ?!*
Impossible d’esquiver ! Alors, plutôt que de fuir, Sarah choisit de parer. La chitine autour de son genou sembla alors durcir, et une seconde couche d’armure vint protéger cette partie de son corps, prouvant, encore une fois, combien le corps de Sarah était malléable. Elle se recouvrit donc d’une seconde carapace chitineuse, ce qu’elle ne faisait que rarement, car, quand elle se recouvrait de cette armure, elle était beaucoup plus lente. Le poing de Shiranui heurta ainsi son genou, se heurtant dessus, et faisant probablement plus mal à Shiranui qu’à Kerrigan.
Cet ultime coup d’éclat agaça néanmoins Sarah, et le sol sous Shiranui se bomba alors, puis se redressa brusquement, comme s’il était devenu tout flasque, et souleva Shiranui, plaçant son corps à hauteur de celui de Kerrigan, qui la frappa alors de volée, à hauteur du ventre, en usant d’une force surnaturelle.
«
Haaaa... !! » hurla-t-elle.
L’attaque heurta violemment Shiranui, qui s’envola comme une fusée, malgré son corps massif, et s’écrasa violemment contre le mur au fond. Il y eut un choc douloureux, mais la femme ne tomba pas, le mur venant en effet s’enrouler autour de ses membres, l’immobilisant sur place.
«
Keuf... Foutue salope ! »
La Reine des Lames serrait nerveusement les dents, et se rapprocha. Shiranui était cependant toujours en vie, ce qui, en soi, était un exploit. En effet, un tel coup aurait pulvérisé le dos d’une autre personne, à la constitution plus fragile. Ici, Shiranui resta juste sonnée, mais toujours consciente. Sarah s’avança lentement sur elle, en reprenant son calme.
«
Oui, tu es vraiment très forte, Shiranui... Je dois admettre que tu m’as impressionné. Une telle force, une telle résistance... J’aurais vraiment fait une erreur en te laissant partir d’ici. »
Sa voix se faisait maintenant plus douce, tandis qu’elle s’approchait de la femme.
«
J’admire ta combativité, même si ce combat était sans issue... Toutes tes amies sont maintenant miennes, tu te réveilles après le combat, Shiranui... Et tu seras une magnifique pondeuse. »
Sarah s’était rapprochée d’elle, caressant ses hanches, esquissant un léger sourire sur ses lèvres.
«
Je crois d’ailleurs qu’il est temps de t’engrosser, ma chérie... »
ABATHUR
Abathur n’avait jamais vu une telle chose de la part des Tekhanes, et, s’il avait été capable d’être surpris, il aurait indéniablement écarquillé les yeux. Au lieu de ça, il observait le spécimen comme un fascinant sujet d’étude, et envoya sur son corps plusieurs sangsues. Les Formiens avaient leurs techniques de prélèvement d’ADN, et il s’agissait, pour Abathur, d’utiliser des sangsues qui absorbaient un peu de sang, le stockant dans des poches intestinales aseptisées, et permettant ensuite de les étudier. Abathur étudiait donc ce corps, des tentacules filant en elle, remuant le long des organes, observant ce mélange impressionnant entre texture organique et texture synthétique.
«
Hypothèse d’une créature cybernétique présentant un habillage organique rejeté suite à un examen avancé de son organisme... Créature hybride, mais indéniablement humaine, d’après résultats génétiques... »
Ce n’était pas une machine, mais une humaine ayant subi d’étranges opérations. Abathur essaya de comprendre comment une telle opération avait pu avoir lieu en explorant la peau, mais ne repéra aucune cicatrice sur le corps de la femme.
«
Difficile de déterminer comment les éléments artificiels ont été greffés sur ce corps... »
Le technogénéticien ne désespérait pas, car il ne connaissait pas ce sentiment. Il inspecta ensuite le vagin de la femme, et constata que la plaque métallique se trouvait à hauteur du vagin, et se terminait dans l’endomètre, et pouvait facilement se retirer. Un tentacule s’enfonça dans le vagin de la femme, se heurtant rapidement à la paroi.
«
Extraction possible sans détérioration des tissus organiques... »
Abathur stimula ensuite ce corps, à l’aide d’impulsions électriques, et vit le corps réagir, les pompes et les câbles se mettant en marche, provoquant des réactions musculaires beaucoup plus fortes que chez des spécimens humanoïdes ordinaires.
«
Raison d’être des tissus synthétiques révélée, servant à améliorer les performances de combat du spécimen... »
Peut-être un prototype de combat ? Restait encore la question de
comment ces constructions avaient été faites, puisque, d’après les informations génétiques qu’il avait obtenu, le spécimen était une femme à la base, comme n’importe quelle personne. Ses pinces s’approchèrent ensuite des tubes à hauteur du cerveau, et il en attrapa un, décidé à prendre un risque... Et le retira.
-
Son attaque ultime, celle qui pourrait sûrement lui donner un avantage certain et une des blessures les plus grave après le combat entre Tirch et l'annexienne. Elle se heurta malheureusement une carapace aussi du que la l'acier, si bien qu'elle se brisa quelque phalange, son poids et sa force, écrasant ses doigts contre le genou. Ce qui stoppa aussi son élan, l'obligeant à user de son autre bras pour, finissant entre les jambes de l'annexienne, s'en suivit du sol qui l'envoya en l'air. Elle reçu dans la seconde suivante, un puissant coup de poing, la fessant vomir, lui coupant sa respiration, brisant une paire de côtes et l’envoya valser dans les airs. Elle lâcha un crie proche de l'agonie en heurtant le mur, sentant le choc se répercuter dans tout ses os, l'engourdissant, tandis que des points blanc apparue dans sa vision. Des tentacules l'attrapèrent et la fixèrent contre le mur.
Elle se forçait presque à respirer, la douleur irradiant sa cheville, ses doigts, son nez et ses côtes brisaient, lui fessant presque perdre contact avec la réallité. Elle criait faiblement, par à coup, comme un programme ayant un bug. Elle était dans un état pitoyable, sous le regard horrifier des autres, quelque soit leur état et leur camps. C'était le prix de son choix, elle ne le regrettait pas, elle avait voulue choisir et s'affirmer une dernière fois.
L'annexienne se rapprocha d'elle, alors que Shiranui reprenait difficilement son souffle, à demi-consciente de ce qu'il l'entourait. Elle ne comprenait même un tiers de ce que lui disait l'annexienne, mais sa partie encore consciente sut qu'elle parlait de leur combat. Elle regardait d'un œil vaseux l'annexienne, ayant du mal à estimer clairement sa position, jusqu'à ce qu'elle recouvre pratiquement sa conscience, réalisant son immobilité et comprit pleinement les dernières phrases de l'annexienne :
« -Et tu seras une magnifique pondeuse. Je crois d’ailleurs qu’il est temps de t’engrosser, ma chérie... »
La vrai Shiranui réapparue clairement, commençant à pleurer et voyant l'annexienne comme un monstre, à l'inverse qu'elle n'avait plus vraiment peur et était... résigner, abattue, vaincue.
-Pourquoi... pourquoi on peut pas gagner ? Souffla pitoyablement Shirannui.
C'était une question naïve, la posant plus pour elle même et ses camarades, dignes d'une enfant qui ne comprenait pas très clairement ce qui lui arrivait. Un déclic retentit, Mistrial retirant ce qui restait de sa prothèse, jusqu'à dévoiler une épaule presque coupé à ras, une base métallique avec divers prise et câble.
-Parce que. Répondit Mistrial, d'un ton sans réplique.
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Le retrait d'un des mystérieux tube, prit assez de temps, car rattacher au crane par des attaches de fer. Mais rapidement, la peau fut transpercer par des pointes de métal, les attaches libérant les tubes, et l’extraction fut plus faciles, arrachant un peu de peau, le sang commençant à couler, recouvrant une étrange structure, cachant le cerveau, semblables à une prise relier au cerveau. Les tubes, qui semblaient ne faire qu'un, avaient chacun une fine pointe de métal permettant le contact avec l'étrange prise, qui devait servir que d'attache, le cœur du système étant ces tubes, qui semblait plus lourd que laisser présager son gabarit. Mais brusquement, une voix entre féminin et masculin désincarnée et clairement synthétique retentit.
-Retraite forcé du système CCE. Retraite non programmer.
L'engin créa plusieurs laser, partant du haut des tubes, parcourant rapidement la salle et Abathur, comme une analyse.
-Danger. Sujet 0 Tirch en danger. Projet SP compromit. À tout les membres de la SRS présent, suppression immédiate du Sujet 0 Tirch. Danger. Projet SP en danger. Danger. Suppression des sujets principaux de la Delta S. Danger. Danger. Dang....
La voix se tut, s'en suivit de crépitement et d'étincelle, la machine se mettant hors service, grillant ses systèmes. Elle avait envoyer ce message sur toutes les fréquences militaires, ainsi qu'un signal de géolocalisation, mais elle avait parler dans le vent, bien loin de tout centre ou appareille de communication. Un système plutôt simplet et peu évoluer, n'ayant même pas saisit la véritable nature de l'endroit ni la nature de la créature, juste que rien ne correspondait à sa base de donnée, ni capter que son message de détresse ne pouvait être reçu de personne, le signal se perdant très rapidement en route. Voilà que le formien se retrouva avec des mystères en plus, des initiales inconnue et des ordres étranges. Qu'elle était le vrai lien entre Tirch et les membres de la section Delta S ?
Et suite à cela, il pouvait voir que le fameux Sujet 0, eu des mouvements brusques, du moins ce que laissaient penser les tremblements de son corps à chaque coup et son rythme cardiaque s'accéléra rapidement. Elle semblait paniquer, se mettant à trembler, murmurant même des paroles incompréhensible. Malgré les drogues l'ayant plonger dans le comas, elle semblait émerger, se réveillant lentement, mais sûrement. Le fait d'avoir retirer le fameux CCE, semblait avoir bouleverser tout le fonctionnement de Tirch, enchaînant des réactions étranges, serrant le plus fort possible ses poings, respirant comme si elle avait faillit se noyer, tremblant de manière épileptique, criant parfois, de douleur, de rage ou sans raison. Elle riait et pleurer, clignant des yeux de manière incontrôlée, ses yeux allant d'un point à un autre.
Elle semblait faire n'importe quoi, comme si son cerveau était détraquer, cherchant à remettre tout le système en fonctionnement, mais qu'il ne savait pas comment faire, testant des combinaisons aléatoires pour réveiller le système. En faite, c'était presque le cas, toute les fonctions du cerveau se réactivaient brusquement et ce dernier chercha à reprendre les commandes d'un système devenue fou, avec un esprit briser. Après quelque minutes, Tirch se calma, redevenant normale, reprenant un rythme cardiaque normale et une respiration plus calme. Elle semblait repartie dans son coma, les drogues agissant encore et suffisamment puissante pour empêcher un réveille impromptue. Les réponses à toute ses questions se trouvait sûrement dans les souvenirs de Tirch, désormais libérer de leur entrave.
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SARAH KERRIGAN
Était-ce enfin fini ? Cette furieuse résistance, cette lutte acharnée ? Sarah pouvait les comprendre. Jadis, elle s’était battue pendant des mois, elle aussi, quand elle n’était encore qu’une humaine, avant de subir sa transformation. Elle vit dans le regard de Shiranui sa combativité disparaître, au profit d’une insondable tristesse, alors qu’elle réalisait ce que son destin allait maintenant être. Une froide résiliation se lut dans ses yeux, et Sarah, caressant son ventre, sourit, avant de tourner sa tête vers Mistrial, qui, après ce combat, mais à l’issue prévisible, donna une morne réponse.
«
Allons, allons, ne soyez pas si déprimées, mes chéries... Ce que vous allez vivre, en réalité, est à bien des égards considérée par beaucoup de Tekhanes comme un véritable paradis. Si vous saviez le nombre de personnes qui, chaque jour, se rendent d’elles-mêmes aux Formiens. Nous sommes l’accomplissement suprême de toute votre philosophie, un rêve d’unité et d’harmonie. Ici, vous ne souffrirez plus. Vous ne connaîtrez qu’un bonheur infini et éternel, où les mâles ne serviront qu’à vous obéir. »
Sarah pensait sincèrement ce qu’elle disait. Elle ne se voyait nullement comme une figure maléfique, mais, au contraire, comme une libératrice. C’était ainsi que l’Overmind avait fait d’elle sa redoutable agente, en brisant son esprit, et en lui faisant comprendre que les Formiens n’étaient pas mauvais. Comme toute espèce, ils se contentaient de se développer. Quelle différence y avait-il entre un Formien et un humain ? Les humains eux-mêmes n’avaient-ils pas conquis tout ce qu’il était possible de conquérir, massacrant les espèces leur étant hostiles, asservissant les autres, polluant et détruisant la nature ? Les Formiens exploitaient les ressources naturelles pour les magnifier, et faisaient éclore la vie là où il n’y en avait pas.
La Reine des Lames se déplaçait donc, observant ses magnifiques proies.
«
C’est à cause du libre-arbitre que vous pensez être spéciales. Mais, en réalité, mes chéries, vous n’êtes rien. Croyez-vous donc que votre état-major enverra des renforts pour sauver vos jolis culs ? Vous n’êtes que des quantités négligeables, à l’égard de votre pays, ou même à l’égard de l’Histoire. Un grain de poussière qui redeviendra poussière, à l’image de Terra, un petit bout de roche perdu dans l’immensité du Cosmos. Depuis votre tendre enfance, on vous apprend que vos pensées sont importantes, qu’il faut se développer, s’affirmer, avoir des émotions... Mais tout ça, ce ne sont que des illusions ! Le libre-arbitre est un mensonge que vous dressez pour masquer la vacuité de vos existences. La liberté ? Ah ! Une belle fable ! La seule différence entre mon peuple et le vôtre, c’est que nous ne sommes pas hypocrites. Nous formons une société utopique, et vous le réaliserez. »
De fait, elles seraient continuellement assaillies, télépathiquement, par la propagande de Sarah, et ce surtout en dormant, où Sarah bombarderait leurs psychés de messages subliminaux. Il ne faisait aucun doute que ce mécanisme marcherait. La seule incertitude, c’était la durée, car elle dépendait de bon nombre de critères.
«
Sur ce, mes beautés, vous avez toutes à faire... »
Sarah dispersa alors les membres, qui furent englouties dans les murs, et emmenées dans des sections différentes. Shiranui, par exemple, fut déposée dans un cocon pour être soignée. La Reine des Lames, de son côté, se rendit ensuite vers sa salle de trône, et, une fois là, alla dans une petite pièce latérale, où trois femmes l’attendaient. Trois femmes qui s’étaient soumises à elle avant le combat avec Shiranui, et que Sarah avait écarté avant le début des hostilités.
Elle retourna ainsi voir celles qui auraient l’immense honneur d’être ses concubines privilégiées, en grande partie parce qu’elles portaient des combinaisons aux couleurs rosâtres : Ilinia, Ania (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1699002), et Rinko (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1392400).
«
Bien ! Comment allez-vous, mes chéries ?! »
ABATHUR
Le technogénéticien de la Horde ne comprit pas grand-chose à ce qui se passait. Il était un spécialiste en biologie, pas en technologie informatique ou électronique. Les Formiens n’avaient pas une culture synthétique, mais constituaient une véritable civilisation organique, puisque, chez eux,
tout était vivant, y compris les outils. Ce qui se passa donc était incompréhensible pour Abathur, qui augmenta, en vain, ses injections, de manière à calmer le corps de la patiente. Au lieu de ça, le spécimen continuait à s’agiter frénétiquement.
Puis, au bout d’un moment, la femme sembla se calmer, et s’écroula sur place, inconsciente, mais toujours en vie. Abathur l’observa longuement, sans rien dire, plongé dans ses réflexions.
«
Incapacité d’examiner plus attentivement le fonctionnement du spécimen... »
Il allait devoir confier cette dernière à Irina, qui était une ancienne scientifique tekhane, et qui en savait donc plus que lui sur elle. Abathur se contenta donc de la recoudre, en préparant son rapport à la Reine quand elle reviendrait le voir.
-
« Allons, allons, ne soyez pas si déprimées, mes chéries... Ce que vous allez vivre, en réalité, est à bien des égards considérée par beaucoup de Tekhanes comme un véritable paradis. Si vous saviez le nombre de personnes qui, chaque jour, se rendent d’elles-mêmes aux Formiens.
D’étrange frissons parcoururent certains membres. Elles savaient très bien que des Tekhanes voyaient en ce lieu une sorte de paradis... pour en avoir tuer. La section Delta S avait régulièrement des missions de ce genre, mais seules quelque unes était habilité, comme Engiel, Jade ou Mistrial, qui avaient vécue l'horreur des combats, contempler impuissante des camarades mourir sous les griffes formiennes, et donc les plus à même de tuer des soldates dissidentes ou des « terroriste » voulant plonger Tekhos dans le chaos. Surtout Engiel, ancienne soldate de l'escouade Rhino, qui avait faillit se coller une balle en pleine bataille après le massacre de plusieurs camarades. Ceux qui n'avait pas affronter les formiens, qui était aveugler par la propagande, ignorait réellement ce qu'était les formiens.
Nous sommes l’accomplissement suprême de toute votre philosophie, un rêve d’unité et d’harmonie. Ici, vous ne souffrirez plus. Vous ne connaîtrez qu’un bonheur infini et éternel, où les mâles ne serviront qu’à vous obéir. »
-Ah... c'est... sympa et gentil. Ironisa Jade, après tout le calvaire qu'elles avaient endurer.
-C'était pas le cas à Tekhos ? Souffla Mistrial.
Engiel eu un très léger rire et forcer et Mistrial un sourire triste. Même au fond du gouffre, on peut toujours faire un peu d'humour. Ça pouvait être déconcertant, mais à leur cœur défendant, elles se permettaient un peu de liberté d'expression, elles n'auront sûrement plus l'occasion de se moquer un peu de l'annexienne pour les années à venir.
« C’est à cause du libre-arbitre que vous pensez être spéciales. Mais, en réalité, mes chéries, vous n’êtes rien. Croyez-vous donc que votre état-major enverra des renforts pour sauver vos jolis culs ? Vous n’êtes que des quantités négligeables, à l’égard de votre pays, ou même à l’égard de l’Histoire. Un grain de poussière qui redeviendra poussière, à l’image de Terra, un petit bout de roche perdu dans l’immensité du Cosmos. Depuis votre tendre enfance, on vous apprend que vos pensées sont importantes, qu’il faut se développer, s’affirmer, avoir des émotions... Mais tout ça, ce ne sont que des illusions ! Le libre-arbitre est un mensonge que vous dressez pour masquer la vacuité de vos existences. La liberté ? Ah ! Une belle fable ! La seule différence entre mon peuple et le vôtre, c’est que nous ne sommes pas hypocrites. Nous formons une société utopique, et vous le réaliserez. »
C'était un bon discours, mais adresser au mauvais public. La moitié était lassée de vivre, leur volonté briser, noyer de désespoir et dont le seule fais d'avoir une pensée pour leur vie passer leur donner envie de se pendre pour mettre fin à leur tourment. L'autre était complètement détraquer, briser, soumit à la volonté de la Reine, ne voulant que vivre pour le sexe et son plaisir. Elles ne pouvaient réagir à ce genre d'argumentation, plus aucune volonté propre, plus aucune haine ou bribe de combativité, ce discours renforçant le fait qu'elles n'avaient plus d'avenir propre, ni de choix. Elles étaient mortes pour Tekhos, personne pour les plaindre ou les sauver, isoler de tout ce qui fessaient partie de leur vie. Elles avaient abandonner le combat, renoncer à résister. Même leur parole ironique n'était qu'une façade pour se donner l'illusion de résister, juste pour garder un brin de d'humanité et de liberté.
« Sur ce, mes beautés, vous avez toutes à faire... »
Et sans cérémonie, le mur et le sol engloutirent la défunte section Delta S, chacune se demandant où elles finirent, entres les mains des cérébrates ? Du montre à tentacule ou d'une autre surprise ? Aucune ne se débattit, aucune ne cria d'injure, aucune n’eus de réaction, quasiment. Sauf Shiranui qui paniqua, la douleur toujours aussi forte, Mixim, Schield, Miyo, Julieete et Goya, absolument ravie de leur destin. Cela dit, à part être plonger dans le noir, Shiranui n’eus pas à se plaindre, progressant sans se faire encore plus mal, pour atterrir dans la même cuve où elle s'était réveiller. L'idée de s'évader à nouveau traversa son esprit, avant de disparaître dans les limbes de l'oublie.
Durant le combat trois membre furent écarté, guider par des tentacules, dans une pièce adjacente, alors qu'elles voulaient soutenir leur Reine. Ilinia, Ania et Rinko, le trio heureux, les élues parmi les membres de la section, celle devenue les favoris de leur Reine. Le trio était au pieds du trône, entrain de se faire plaisir, Ania coucher entre Ilinia et Rinko. Ilinia lécha l'intimité d'Ania, qui doigtait allégrement Rinko tout en l'embrassant, cet dernière qui frotter son inimité contre ses doigts, tandis qu'elle enfonçait énergétiquement ses doigts dans l'intimité d'Ilinia.
« Bien ! Comment allez-vous, mes chéries ?! »
L'arrivait de la Reine stoppa leur ébat, Ania et Rinko brisant leur baiser, un filet de bave les reliant. Ilinia releva la tête, la lèvre maculer le bave et de mouille. Elle se dégagea de la main d'Ania qui malaxer ses fesses, marchant à quatre vers sa Reine, se mettant à ses pieds, les yeux emprunt de soumission et de désir. Elle s'agenouilla, remontant la jambe de sa reine en la léchant et frottant sa poitrine dessus, se mettant à auteur de son intimité.
-Merveilleusement bien ma Reine... souffla avec passion Ilinia.
Rinko et Ania rejoignirent rapidement Ilinia, Ania fessant comme Ilinia, tandis que Rinko se colla contre sa Reine, l'embrassant fougueusement, bien plus intrépide que ses camarades, une mains ses fesses, l'autre sur son intimité se masturbant allégrement, près du visage d'Ilinia.
-Que voulez vous de nous maîtresse ? Demanda Rinko, en détachant ses lèvres de celle de l'annexienne.
Ania frotta sa tête contre la hanche de maîtresse, comme un chat réclamant de l'attention, tandis que Ilinia, se toucher discrètement fessant pareille. Soumisse, libéré de tout tabous, dévouer et prête à tout, la réussite de la Reine des Lames.
-
Sarah avait surpris les trois femmes en pleine activité, à se donner mutuellement du plaisir. Rinko, Ania, et Ilinia, étaient heureuses, car elles avaient conscience d’avoir un statut extrêmement privilégié au sein de la Horde. Sarah, néanmoins, ne se faisait aucune illusion. Contrairement aux autres Annexiens, elle ne voulait pas briser ses pondeuses pour le simple plaisir de les briser. Elle voulait les remodeler, leur faire réaliser qu’elles étaient heureuses ici. Elles étaient ainsi bien plus productives, mais, pour comprendre ça, il fallait avoir quelques notions d’humanité. Or, parmi tous les Annexiens de la Horde, seule Sarah en était capable. Les autres raisonnaient comme des monstres, sans grande finesse, et, si la Horde de Sarah était devenue l’une des hordes principales de la Fourmilière, c’était bien parce qu’elle était capable de réfléchir. C’était cela, cette capacité de corruption et d’influence, qui faisait d’elle l’ennemie numéro un de tout Tekhos.
Le discours que Kerrigan avait fait à ces femmes reviendrait les hanter dans leur sommeil, et, peu à peu, s’imposerait en elles comme la vérité pure. En réalité, pour l’heure, il n’y avait qu’avec une seule personne que Sarah butait, et ce depuis des mois, une autre Ghost comme elle, la puissante et séduisante Nova. Sarah n’utilisait pas ses pouvoirs psychiques sur elle, car elle ne voulait pas endommager son esprit par ce biais, mais la transformer en Cérébrate était difficile. Ici, fort heureusement, avec les membres de la section Delta-S, elle pouvait user ses talents, et avait, de surcroît, des ambitions moindres.
Les trois femmes se rapprochèrent d’elles, Ilinia et Ania à quatre pattes, se frottant contre ses cuisses, Rinko venant l’embrasser goulûment. Sarah ne put s’empêcher de sourire, posant l’une de ses mains sur les fesses de Rinko, les pinçant, utilisant son autre main pour caresser les visages des deux autres Tekhanes.
« Ah, mes petites chéries, c’est un vrai régal de vous avoir, ici, dans ma chambre... »
Plus aucun signe de rébellion dans leurs yeux, mais un amour fou, teinté d’une soumission féroce, ce qui ne pouvait que faire plaisir à voir. Kerrigan embrassa encore Rinko, puis invita Ania à se relever à son tour, Ilinia étant entre les deux. Sa seconde main rejoignit ainsi la position de la première, en se posant sur les fesses d’Ania, pressant ainsi les deux femmes contre son corps.
« Vous avez un statut particulièrement spécial ici, vous savez. Vous êtes mes concubines, ce qui signifie que personne ne vous touchera sans votre consentement. Vous pouvez vous déplacer partout dans ma ruche, mais ne pensez pas pour autant que vous allez pouvoir vous reposer. J’ai injecté en vous des gènes formiennes, qui vous rendent... Sexuellement très gourmandes, et aussi très fertiles. »
L’un n’allait pas sans l’autre, en réalité, et Sarah, tout en parlant, embrassait régulièrement Ania et Rinko, tout en ayant écarté ses plaques chitineuses, permettant ainsi à Ilinia de lécher son intimité.
« Je vais commencer par vous faire l’amour à toutes les trois, puis vous pourrez ensuite vous déplacer librement, et coucher avec qui vous voulez. Vous êtes maintenant des hermaphrodites, alors, voilà votre quotidien... Coucher avec moi, et engrosser toutes mes autres pondeuses. Nul ne se refusera à vous, c’est aussi simple que ça. »
Ce que Sarah leur offrait était merveilleux, mais aussi très exigeant. Elles ne pourraient guère tenir plus d’une heure sans avoir envie de faire l’amour. Kerrigan se retourna vers Rinko, et lui sourit, l’embrassant encore.
« Pas de jalouses, cette fois... »
Elle ferma les yeux, et se concentra un peu, puis les murs se mirent à bouger, à remuer, et, peu à peu, deux autres Kerrigan en sortirent. Des clones du modèle original, mais bien membrées. Elles se rapprochèrent ainsi d’Ania et d’Ilinia, bien décidées à leur faire l’amour, tandis que Kerrigan, avec son corps originel, se concentra sur Rinko, massant ses fesses avec ses mains, et faisant sortir son chibre de son intimité trempée.
« Je vais adorer vous baiser, toutes les trois... »
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Méconnaissable, des filles autrefois plutôt prude, n'ayant pas que le cul en tête, des rêves et des envies. Elles ne vivait que pour deux choses, le sexe et servir leur Reine. Elle était leur bienfaitrice, naturellement supérieur, elles ne voulaient plus que la servir pour le restant de leur vie. Coller à elle, mouillant presque rien qu'a l'idée qu'elle leur fasse l'amour.
« Ah, mes petites chéries, c’est un vrai régal de vous avoir, ici, dans ma chambre... »
-Et nous d'y être ma Reine. Minauda Rinko, en haletant doucement, excité par la proximité de sa Reine.
Ania se laissa guider par la main de sa Reine, se mettant à sa hauteur, tremblant d'envie, se mastrubant sans aucune gêne. Rinko poussa doucement du pied Ilinia, l'incitant à se placer entre les deux. Joueuse, elle enfonça ses doigts dans leurs intimités, les masturbant avec vigueur, leur provoquant des gémissements et des haletements, alors que leur Reine les pressa contre elle. Rinko et Ania se pressèrent d'avantage, pressant leur poitrine contre leur Reine, rougissant et haletant, le plaisir tordant leur visage lui offrant un beau tableau. Elles dandinaient légèrement du cul, sous la mains de leur Reine.
En les embrassant chacune à leur tour, la Reine créa une petite jalousie de la part d'Ilinia qui s'activa encore plus comme pour se venger de ses camarades. Elles gémirent plus, soufflant avec ardeur, embrassant avec gourmandise leur Reine. Elle se mit à énumérer leur avantage, leur fessant dont de gêne formiennes accentuant leur libido et leur fertilité et une liberté de mouvement incongrue, ne s'y attendant pas. En même temps, Ilinia eu la possibilité de lui faire un baiser plus intime, embrassant puis léchant l'intimité de sa Reine, suçotant son clitoris.
-Merci ma Reine ! Soufla Ania, qui trembler sur place, serrant les jambes, mouillant fortement, au plaisir d'Ilinia.
« Je vais commencer par vous faire l’amour à toutes les trois, puis vous pourrez ensuite vous déplacer librement, et coucher avec qui vous voulez. Vous êtes maintenant des hermaphrodites, alors, voilà votre quotidien... Coucher avec moi, et engrosser toutes mes autres pondeuses. Nul ne se refusera à vous, c’est aussi simple que ça. »
Ce fut peut être ce grand honneur et ce plaisir que de l'aider dans la longue tache d'engrosser ses pondeuses, la surprise d'être hermaphrodites, ce qui expliquer cette étrange sensation en elles, que Rinko et Ania jouirent généreusement, poussant un léger crie emprunt d'extase, sous les attaques traites et efficace d'Ilinia, qui se lécha vite fait les doigts, avant de retourner faire plaisir à sa Reine. Rinko se promit de faire subir la même chose à Ilinia plus tard, alors que sa Reine l'embrassait une énième fois. Dans leur dos, deux autres Sarah sortirent du murs, mais trop obnubiler par leur Reine, elles ne les virent pas. Du moins, jusqu'à ce qu'Ania soit légèrement tirer en arrière, l'obligeant à se retourner, pour se faire embrassait par le clone de sa Reine, qui glissa son mandrin sous son intimité, fessant de petit allée et venue, lubrifiant sa queue par la mouille et la cyprine s'écoulant de ses lèvres intimes.
Ilnia fut tirer à terre, plaquer contre le sol tirer en arrière, son visage se mettant sous celui de l'autre clone qui l'embrassa, partageant la mouille et la cyprine qu'elle avait sur les lèvres et en bouche. Rinko fut le centre d'attention de sa reine, sa queue frappant son ventre, comme un appel à la débauche, tremblant d'excitation.
Ania fut tirer dans un coin, avant que le clone n'agrippe ses cuisses et la soulève, avant de la faire glisser sur son gourdin, qui glissa aussi facilement que dans du beurre, tellement Ania était tremper. Étant plus petite, ainsi empaler, Ania devait se mettre sur la pointe des pieds pour rester à la bonne hauteur, sa maîtresse arrivant à la soulever sans aide. Néamoins, elle attrapa Ania par les, qui enroula le cou de sa maîtresse de ses mains l'aidant à la soutenir, tout en enroulant ses jambes autour de son bassin. Il s'écoula très peu de temps pour qu'Ania se fasse culbuter dans les règles de l'art, claquant son bassin contre le sien, encourager par les gémissements et cries de plaisir de sa soumisse, dont les yeux partaient vers les yeux, se révulsant presque, la bave coulant de ses lèvres.
Ilinia gouta au mandrin de sa reine, qui s'était mit au-dessus d'Ilinia, lui fessant avaler sa queue, qui ne se gêner pour suçoter, lécher et mordiller doucement sa queue, la recouvrant de salive. Agenouiller ainsi, abaissant et relevant lentement son bassin, baissant la gueule d'amour d'Ilinia, qui avaler goulûment sa queue, qui déformait la gorge d'Ilinia sous sa taille. Le sol se modifiant, afin qu'Ilinia puisse baisser la tête ne arrière, avalant plus facilement cette sucette de chaire, en même temps que ses mains massaient les fesses de sa Reine.
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Sarah savait qu’elle ne pouvait pas s’occuper d’une concubine sans gérer les deux autres. Elle avait donc choisi de créer des clones d’elle-même, afin de bien leur montrer que, à ses yeux, elles se valaient toutes... Même si, en ce moment, elle avait malgré tout une légère préférence pour Rinko. Sans doute ce petit air de lubricité perverse qui brillait dans ses yeux, ou la manière dont sa combinaison brillait et épousait ses formes. Quiconque connaissait la Reine des Lames savait que, malgré sa nature, elle n’avait jamais vraiment abandonné totalement son humanité, qui subsistait encore à travers des éléments inattendus de sa personnalité ou de ses fantasmes. Il y avait cette étrange forme de compassion dont elle faisait preuve envers ses pondeuses, en cherchant à leur faire aimer ce qu’elle leur faisait (et c’était bien de la miséricorde, par rapport à ce qui se passait dans les autres nids), et, surtout, sa passion pour les combinaisons moulantes, qui ne pouvait être qu’un héritage tekhan. Elle aimait les femmes aux tenues moulantes, et c’était bien pour ça que, dans son nid, elle fabriquait régulièrement des combinaisons moulantes pour les pondeuses qui avaient le droit de circuler librement. Ses concubines auraient ainsi accès à toute une garde-robe, car il y avait fort à parier que leurs belles combinaisons ne resteraient pas intactes longtemps.
Chacune des femmes avait adopté des positions différentes, et, même si Sarah avait généré des clones, ces derniers étaient reliés à elle. Ainsi, elle ressentait le plaisir de ses clones, prodiguant des sensations extrêmement jouissives, et difficiles à décrire. Un orgasme était déjà, en soi, impossible à décrire, tant l’intensité dépassait ce qu’on pouvait concevoir, alors, ressentir plusieurs orgasmes d’affilée... Quand on ressentait cette sensation, on ne pouvait que mieux comprendre pourquoi les Formiens aimaient tant le sexe. Et c’était bien une chose que Sarah comptait faire en ce moment.
Ilinia suçait son clone, Ania se faisait prendre en levrette par un autre, et Sarah, elle, pénétrait Rinko en la plaquant contre un mur, les jambes de la femme filant à droite et à gauche de son corps. Rapidement, Kerrigan caressa ses cuisses avec ses mains, les griffant, faisant délicieusement crisser le latex de la combinaison, ce qui ne manqua pas de l’émoustiller tout particulièrement.
« Hmmmm... Oh ouiii... !! »
Un long soupir s’échappa de ses lèvres, et elle laissa Rinko l’embrassa, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant sans aucune hésitation avec la sienne. Il n’y avait aucune pudeur, aucune retenue chez elle. Rinko était tout simplement follement heureuse d’être ici, et s’évertuait à le montrer en chaque instant. Sarah adorait cet entrain, ce corps parfait, et, pendant qu’elles s’embrassaient, sa queue alla ainsi se perdre en elle, remontant jusqu’à la garde. Elle sentit Rinko soupirer tout contre elle, et Sarah remua sa langue avec la sienne l’unissant, tout en filant d’avant en arrière, les jambes de la Tekhane allant se crisper autour de sa taille. C’était tout ce que l’Annexienne aimait, et elle remonta rapidement ses mains, en posant chacune sur l’un de ses seins, et les pinça à travers la combinaison, s’attaquant aux tétons, tout en coulissant encore en elle, multipliant les coups de reins.
Autour des deux femmes, le spectacle était un peu similaire. Les mains de l’autre Sarah serraient la tête d’Ilinia, et elle remuait son corps d’avant en arrière, soupirant longuement en lui baisant, non seulement la bouche, mais aussi sa gorge. Et Ania, elle, subissait également de féroces assauts, ses cris et ses gémissements venant remplir toute la pièce, une pièce qui suintait le stupre et la luxure la plus sauvage...
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De leur ancienne vie, nul ne pourrait les reconnaître. Rinko se donnait joyeusement à sa Reine, acceptant sa divine trique en elle, se fessant pénétrer à grand coup de burin, l'ardeur et la passion comme moteur, le plaisir comme récompense. Plaquer contre un mur, frotter contre la matière organique, s’agrippant à sa Reine, ses jambes formant un étau sur son bassin, la ceinturant et forçant sur sa prise, comme si elle ne voulait pas qu'on puisse arriver à la retirer. Une de ses mains était coller contre le mur, l'autre sur la poitrine de sa Reine, titillant, pinçant et tirant sur un de ses tétons, gémissant comme la dernière des putains, lâchant parfois un crie de plaisir, alors que la bave couler de ses lèvres et que ses yeux se révulsait presque. Complètement perdue dans un flot de plaisir, accentuer par les modifications de la Reine et le plaisir qu'elle avait de se faire limer l'intimité par cette dernière.
Elle l'embrassa, fougueusement, inondant sa bouche de sa bave, entraînant leur langues dans une salsa endiablé, se tordant, se léchant, s'enroulant ou se frappant. Une dépravé nymphomane, jouissant tellement qu'elle était noyer de plaisir et d'être avec sa Reine. Elle n'avait d’œil que pour sa Reine, sa maîtresse, celle qui fut responsable de sa perdition, de sa volonté et esprit briser. Elle était heureuse, nageant dans le plaisir, la corruption et la soumission. De même que pour ses camarades qui étaient dans le même. Sa Reine lui offrit une délicieuse torture, emprisonnant ses tétons entre ses doigts, les pinçant, tirant dessus ou les roulant entre ses doigts. Rinko joua du bassin, accompagnant sa Reine dans son dur labeur, alors qu'elle enfonçait son mandrin dans un flot de mouille et de cyprine, heurtant avec ardeur et force, son col de l'utérus.
De leur côté, les deux autres n'étaient pas en reste, Ania fessant pareil que Rinko, à l'inverse qu'elle s'amusait à titiller la rondelle du clone de sa Reine, enfonçant parfois brièvement son doigt. Son autre mains était occuper à frotter frénétiquement entre ses doigts son clitoris, s'offrant de fulgurant et puissant orgasme, noyant son intimité de fluide, comme si elle voulait faire nager le braquemart de sa maîtresse dans son antre. Son visage se tordait de plaisir, on pourrait même croire à de la douleur, car quelque larme couler, à moins que ce ne soit des larmes de joies ou de tristesse due à part peut être mourante de son esprit briser, difficile à dire, tellement que ce même esprit était plein de confusion, perdue par le flot de plaisir, agissant instinctivement.
Pour Ilinia, celle-ci avait la joie de goûter à la texture de la verge de sa maîtresse, léchant avec avidité ce mat de chair qui rapper sa gorge, la déformant par ses passages, délimitant parfaitement cette sucette de chair, jusqu'à la base du cou, l'étroitesse des lieux moulant au mieux le vit de l'annexienne. Les coups étaient forts, les couilles cognant contre son nez, un claquement régulier, respirant par à coup, parfois fessant une pause avant de reprendre. En même temps, Ilinia se masturba avec vigueur, son autre main caressant les fesses de sa Reine, sans pour autant atteindre le divin orgasme, la frustrant, mais ce qui ne l’empêcha pas de pomper joyeusement le pilier de chair dans sa bouge, pressant ses lèvres et ses dents dessus.
Détraquer, soumisse, corrompue, briser... la Reine de Lames ne pouvait qu'être ravie, d'avoir d'aussi belles femmes qui lui vouaient une admiration et un amour sans borne grâce à ses traitements.
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Loin d'ici, au fond d'un cocon pour être soigner, Shiranui ne pouvait que contempler la pénombre de son cocon, flottant d'un liquide épais, respirant par un quelconque artifice dont les formiens avaient le secret, laissant son esprit vagabondé dans ses souvenirs, lui causant autant de douleur que ses blessures, dont elle avait presque déjà entièrement guérie. Elle se fessait du mal, mais elle ne voulait pas oublier, ni mettre de côté ses souvenirs, quand bien même ils la fessaient souffrir. Elle se raccrochait au passée, fuyant la réalité plutôt que de la regardé en face.
Mais elle fut tirer de ses pensées, quand elle sentit le liquide disparaître peu à peu, l'obligeant à se mettre debout, jusqu'à flottant comme un corps à la dérive. Le liquide fut aspirer rapidement, laissant Shiranui debout qui tâta son nez, voyant qu'il était intact. Elle avait finit d'être soigner. Qu'aller donc être son destin ? Au même moment qu'elle allaient tomber à genoux, le sol s’ouvrit en iris, la fessant tomber dans toboggan, avant qu'elle ne se retrouve coincer, puis aspirer. Elle sentit des contraction et des sortes de mains qu'il la fessait avancer. Elle se laissa guider, tantôt palper, tantôt masser, le tout intimement, mais qui la laissèrent indifférent.
Après un long moment, qui lui parut être une éternité, mais qui furent qu'une poignet de minute, elle fut larguer dans une salle, plutôt sombre, qui semblait vaste et des sortes de structure, comme si cela imité une grotte ou quelque chose de naturelle. Elle resta contre le pur, la peur s'emparant de ses tripes, remontant jusqu'à son cerveau. Elle s'était habituer à la pénombre depuis un moment, une étrange lumière semblait venir des parois organiques, donnant des tons plutôt ocre, offrant une vision limité, mais suffisante pour s’orienter. Ce qui inquiétant Shiranui, car elle ne voyait rien, où elle ne voyait aucune créature, mais ce sentait épier, observer et en danger. Des ombres fugaces passèrent dans le coin de son champs de vision, puis d'autre, s'en suivit des formes sombres qui disparaissaient dé qu'elle les regardait.
La panique s'empara d'elle, la tétanisant, impuissante et déposséder de ses moyens, Shiranui ne pouvait rien faire. Subtilement, quel que chose s'agrippa à sa cheville et tira. Shiranui glissa à terre, poussant un crie d'horreur, se retournant sur le ventre et cherchant à s'agripper par réflexe. Elle fut trainer sur quelque mètre avant que quelqu'un ou quel que chose ne s'agrippe à ses bras, les ramenant sur le côté et qu'un grognement sourd ne retentisse à ses oreilles et qu'enfin, une chose ne commence à se coucher sur elle avant de plaquer, ce qui de tout évidence était sa verge, contre son intimité.
Shiranui déglutit, les larmes lui montant au yeux, sachant qui elle avait sur le dos et qui s’apprêter à la violé, ainsi que d'autre créature qui se rapprocher d'elle, elle avait été donner en pâture au xénophormes. La pénétration fut si brutale, malgré le fait que la verge semblait lubrifier, raclant ses parois à force, cognant contre l'entré de l'utérus. Shiranui se crispa, ses larmes gagnant en intensité, louchant sous le coup, serrant les dents, ses joues se gonflant, avant de lâcher un crie de douleur.
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SARAH KERRIGAN
Avec ses trois concubines, Sarah se régalait. Rinko, Ilinia, et Ania... Ensemble, elles formaient un magnifique trio de salopes roses, que Sarah prenait grand plaisir à baiser. Même si elle avait utilisé ses clones, chacune de ces Kerrigan était reliée à elle, de telle sorte qu’elle ressentait en ce moment d’immenses vagues de plaisir. Tout son corps en frémissait, et elle continuait à les prendre, jusqu’à retourner Rinko, et par la prendre entre ses bras, l’embrassant tout en la pénétrant, s’appuyant avec ses pattes arachnéennes pour pouvoir la prendre contre un mur. Le joli corps de la Tekhane se frottait contre le sien, sa combinaison crissant. Ania et Ilinia eurent également droit à des verges dans leurs vagins, car Sarah approchait de l’orgasme, et alla donc se répandre en elles, remplissant leurs délicieux ventres, les abreuvant de sa chaude semence, terminant en embrassant furieusement Rinko, fourrant sa langue dans sa bouche pendant de longues secondes, son corps s’aplatissant contre le sien.
Quelques instants plus tard, Sarah se retrouvait à nouveau assise, avec Rinko à sa droite, une main de Kerrigan sur ses fesses, Ania à sa gauche, et Ilinia dans la position qu’elle préférait, entre ses cuisses, à sucer son sexe.
«
Bien, mes chéries... Hummm... Je vais vous rappeler un peu votre quotidien... N’oubliez pas que j’ai fait de vous des nymphomanes, ce qui veut dire que votre corps a besoin de sexe au moins une fois toutes les heures. Si vous attendez trop, la soif de sexe sera très forte, et... Hmmm... Hmmmm... Vous deviendrez des affamées du sexe. Haaaa... »
Si elle avait du mal à parler, ce n’était pas qu’à cause d’Ilinia, qui enchaînait les gorges profondes, mais aussi d’Ania et Rinko, qui se pressaient pour recevoir des caresses, des câlins, et, surtout, des baisers. Oh, ça, elle en donnait beaucoup, surtout à Rinko. Même si elle adorait ses trois concubines, on pouvait sentir qu’elle avait une légère préférence pour Rinko. De fait, elle l’embrassait parfois assez longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, ce qui permettait à Ania d’embrasser et de suçoter l’un des seins de sa Maîtresse, ou son cou.
Kerrigan soupirait sous le poids de ses concubines, s’avérant beaucoup plus perverses que ce qu’elle pensait. Chaque fois qu’elle réussissait à récupérer ses lèvres, son visage faisait l’objet d’assauts. Elle voyait les magnifiques seins de Rinko sous son nez, sentait leurs langues glisser sur ses joues, amoureusement.
«
Toutefois, vous continuerez aussi à vous entraîner. Hmmm... Je ne souhaite pas que vous perdiez vos capacités martiales, mes concubines doivent aussi... Savoir se battre pour... Mmmhhmm... Mon amusement personnel... »
Sarah essayait encore de se calmer, mais sentit la pression des deux femmes la clouer sur son lit, tandis qu’Ilinia la poussait vers un nouvel orgasme.
Indéniablement, Sarah allait passer de longs moments avec elles...
THORNE (http://img92.xooimage.com/files/c/3/1/thorne-3b99ea1.jpg)
Il n’y avait pas que la Reine qui comptait s’amuser avec leurs nouvelles proies. Ses filles avaient également, en effet, des comptes à régler avec plusieurs des membres de cette escouade. Thorne, en l’occurrence, comptait s’occuper de la solide de la bande, la puissante Shiranui, qui avait été soignée dans un cocon. Et, quand elle fut prêt, elle envoya un tentacule la drainer, l’envoyant dans une sorte de grande pièce sombre, avec, dans les coins, des cocons chauds, où elle se retrouva, nue, harcelée par un monstre. Il s’agissait d’un
Zergling (http://img110.xooimage.com/files/f/2/7/zergling-4e30251.jpg), qui pénétra sans ménagement Shiranui.
La femme était une géante, ce qui fit que le Zergling avait du mal à la dominer, alors, pour l’aider, des tentacules jaillirent du sol, immobilisant ses poignets et ses chevilles. Shiranui pouvait entendre la bête grogner contre son oreille, sa salive glissant sur sa nuque, tandis que le corps du Formien ondulait d’avant en arrière, son épais phallus se plantant en elle, le Zergling grognant et grondant. Il la pénétrait rudement, et des bruits de pas se firent entendre...
Shiranui put voir trois paires de jambes, ainsi qu’une étonnante combinaison noire tenue par l’une de ces paires, pendant que le Zergling approchait de l’orgasme, après de longues minutes. Les mains de la femme au centre sde posèrent alors sur son visage. Des mains noires, fortes,
griffues, appartenant clairement à une Cérébrate.
«
Ne m’en veux pas trop, Shiranui, je me devais d’accueillir ton arrivée ici comme il se doit... »
Le Zergling venait de jouir, et se retira un peu, l’intimité de Shiranui dégoulinant de foutre. La bête alla quémander quelques caresses sur son crâne monstrueux de la part de la Cérébrate, tandis que, reprenant ses esprits, Shiranui pouvait voir les deux femmes qui accompagnaient la redoutable Formienne. Cette dernière s’amusa alors à les lui présenter, caressant leurs corps.
La première s’appelait
Sasha (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=3411729), et était une belle neko blonde, qui avait été capturée alors qu’elle errait dans les forêts sauvages entourant le
Containment Point. Kerrigan lui avait inculqué la capacité de parler, et avait fait d’elle une magnifique esclave. La seconde était bien une humaine, qui s’appelait
Myra (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=3409643), et était une ancienne Tekhane, plutôt jeune, qui avait, elle aussi, été capturée.
«
Tu peux les saluer, elles t’aiment déjà beaucoup... -
Bonjour, Shiranui ! s’exclama Myra.
-
Salut, Shiranui ! On va bien s’amuser, ensemble ! »
Les tentacules immobilisant Shiranui la libérèrent soudain, et d’autres vinrent l’attacher, la soulevant, et permettant aux deux femmes de lui mettre la combinaison noire qu’elles avaient amené.
«
Tu vas voir, ma chérie, elle t’ira comme un gant... Il faut bien célébrer ton statu de chienne avec un look plus... Sexy. »
Elles l’habillèrent consciencieusement, avant de finir par la relâcher, et Thorne admira son œuvre, pendant que les tentacules libéraient Shiranui.
Magnifique... Shiranui était tout simplement magnifique (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=3321005) !
-
Prise par leur Reine, culbuter avec ardeur, criant leur bonheur, le trio était au paradis. Ilinia avait jouit, un jet de cyprine jaillissant de ses lèvres intimes, alors qu'elle pompait avec ardeur le dard du clone de sa Maitresse, se masturbant frénétiquement, jusqu'à ce que cet dernière ne décide de remplacer ses doigts par son vit. Elle glissa dans l'intimité d'Ilinia, avec autant de facilité que dans du beurre fondue, glissant rapidement, rien ne la ralentissant, écartant les parois sans aucune résistance, plongeant dans la mouille. Ania était toujours coincer contre le mur, prise par le clone de sa Reine, qui semblait vouloir briser le col de l'utérus, tellement ses coups étaient puissant et rapide, redoublant d'ardeur depuis que Ania avait jouit avec générosité et intensité, maculant les jambes de sa Reine. Pour finir Rinko fut retourner est prise par derrière, l'originale lui culbutant avec force son intimité, claquant contre ses fesses rebondit, tirant sur ses bras, l’empêchant de partir en avant, l'obligeant à ressentir toute l'intensité du choc et son braquemart s’écraser contre son col, donnant l'impression de déplacer l'utérus sous le choc, limant au passage son clitoris. Rinko hurlait autant de plaisir qu'elle réclamait, noyant l'air avec ses camarades, de la symphonie de l'orgie, finissant par jouir.
Après d'intense minute, leur Reine se vida en chacune d'elles, libérant les vagues de fluides qui s’écrasèrent au fond de l'utérus, remplissant ses concubines de son précieux nectar, encore et encore, vagues après vagues, un flots ininterrompue de sperme. Pour finir, elle embrassa Rinko, qui ne réagit que par réflexe, dévorant les lèvres de sa Reine, sont esprit perdue dans les méandres de l'extase. Les esprits se calmèrent, mais les pulsions toujours aussi forte. Les clones se fondirent dans les murs, tandis que la Reine des Lames, après avoir relacher Rinko qui s'étala par terre, haletante et se dirigea vers son trône rappelant à elle ses jouets. Les trois rampèrent et se traînèrent jusqu'à leur Reine, leur vagin débordant de foutre et de mouilles, laissant une traîné blanche sur leur parcours, leur regard remplit de plaisir et de soumissions.
Rapidement, Ilinia fut entre les jambes de sa Reine, léchant et avalant goulûment l'auguste membre de sa maîtresse, mordillant parfois, un légère pression de ses dents, raclant de long en large. Ania et Rinko, étaient de par et d'autre de leur Reine, enchaînant les baisser, léchant le cou ou la poitrine de leur Reine, cet dernière profitant de leur beau cul, qui se dandinaient sous ses doigts.
« Bien, mes chéries... Hummm... Je vais vous rappeler un peu votre quotidien... N’oubliez pas que j’ai fait de vous des nymphomanes, ce qui veut dire que votre corps a besoin de sexe au moins une fois toutes les heures. Si vous attendez trop, la soif de sexe sera très forte, et... Hmmm... Hmmmm... Vous deviendrez des affamées du sexe. Haaaa... »
-Je.... mmh... le ferais rien que pour vous ma Reine. Susurra Rinko, en finissant de lécher sa joue.
Rinko et Ania, étaient presque sur leur Reine, leur poitrine encadrant presque son visage, se frottant à elle, embrassant continuellement leur Reine, sans lui laisser le temps de faire autre chose, alternant avec une séance de nettoyage, tellement qu'elles léchaient avec amour les joues, la poitrine et le cou de leur Reine.
« Toutefois, vous continuerez aussi à vous entraîner. Hmmm... Je ne souhaite pas que vous perdiez vos capacités martiales, mes concubines doivent aussi... Savoir se battre pour... Mmmhhmm... Mon amusement personnel... »
-Comme vous le souhaitez ma Reine. Répliquèrent Ania et Rinko d'une même voix, leur ton dégoulinant de plaisir, d'obéissance et de respect.
Rinko avait en même temps, appuyer sur la tête d'Ilinia, l'obligeant à faire une gorge profonde et l’empêchant de pouvoir répondre. Rinko voulait sans doute qu'elle n'arrête pas son devoir pour répondre à leur Reine, ou pour la taquiner.
-Ma Reine, vous nous avez rendue hermaphrodite. Soupira Ania. Comment on fait pour les sortir ?
-Pouvez nous appendre à nous en servir ? Renchérit Rinko, le ton aussi pervers qu'elle.
Elles pourraient apprendre d'elles mêmes, mais cela serait moins marrant que d'être guider par leur bienfaitrice.
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Shiranui pleurait en silence, le visage déformer par la douleur, la honte, la tristesse, et la peur. Ce court calvaire, bien moindre comparer à ce qu'elle avait vécue avec le monstre tentaculaire, lui était un supplice, car elle était consciente et dans un état de faiblesse mentale. Un rien lui semblait être une torture. Sa vue s'habitua vite à la faible luminosité des lieux, lui permettant de mieux voir son environnement et de constater autant avec soulagement qu'effroi, que ceux qui se rapprocher n'était apparemment pas des xénophormes. Rapidement, sans doute due à certain souvenir où elle fut mutiler par ces créatures, passer à tabacs puis porter aux soins abominables d'Abathur, que naquit en elle cet peur de ces montres noirâtres. Depuis le début elle pensait être tomber dans leur antre.
Des mains agrippèrent son visage, avant de le relever, forçant Shiranui à regarder le visage de la nouvelle venue. Elle reconnue entre ses larmes, le visage de la cérébrate qui les avaient capturer, elle, juliette, Rinko et Mistrial. Ses larmes coulèrent sur les griffes, tandis que de la morve couler de son nez, reniflant avec tristesse, offrant un image pitoyable de sa personne. Elle sentit le monstre jouir en elle, elle poussa un gémissement pitoyable, offrant un spectacle affligeant.
« Ne m’en veux pas trop, Shiranui, je me devais d’accueillir ton arrivée ici comme il se doit... »
-Snirfl... buuuuhh... émit Shiranui.
La cérébrate se déplaça et tourna la tête de Shiranui, afin qu'elle puise mieux voir les deux autres personnes. Sûrement deux pauvres créatures qui n'avait pas eu de chance, comme elle et ses amie, ne put t-elle s’empêcher de pensée. Elle ne put s’empêcher de pleurer d'avantage, ses yeux baignant dans les larmes, n'arrivant pas à distinguer clairement les deux personnes, n'ayant même pas l'esprit à les détailler. Cela dit elle put remarquer qu'elles étaient habiller et l'une d'elle n'était pas vraiment humaine, mais pour que ça changer à sa situation.
« Tu peux les saluer, elles t’aiment déjà beaucoup...
- Bonjour, Shiranui ! s’exclama Myra.
- Salut, Shiranui ! On va bien s’amuser, ensemble ! »
Des gémissement pitoyables, un reniflement et des larmes leurs répondirent. Des tentacules la remirent debout, la mettant en croix, l’empêchant de tomber. D'autres tentacule vinrent enlever sa combinaison, laissant le chambre libre pour les deux femmes d'enfiler à Shiranui sa nouvelle tenue, tout en profitant de ses courbes, palpant ses formes. Avec doigter, elles enfilèrent Shiranui dans sa combinaison, serrant les lanières sans trop forcer, afin de na pas trop couper la circulation du sang, mais suffisamment pour bien coller à sa peau et la mouler à la perfection.
Cela ne dura que quelque minute, le plus long et dure fut sa taille et sa poitrine. Les tentacules relâchèrent Shiranui une fois habiller, elle s'effondra presque sur elle même, se mettant assis, ses jambes replier sur les côtés, ses fesses entre ses mollets. Elle pleurait toujours, mais moins qu'avant. Isoler, faible et affaiblie, physiquement et mentalement, ne pouvant rien faire, ne pouvant que subir.
-Et... snirfl... maintenant ? Bredouilla Shiranui en releva lentement la tête, reniflant un bon coup, mais des larmes coulant encore.
-
SARAH KERRIGAN
Rinko, Ilinia et Ania s’avéraient être aussi belles qu’insatiables. Sarah avait fait disparaître ses clones, et les trois se pressaient moelleusement contre elle, faisant crisser leurs combinaisons, gémissant et soupirant contre ses oreilles. Ilinia était occupée à la sucer, et, pour la motiver, Rinko avait posé sa main sur sa tête, contraignant ainsi la jeune femme à devoir la sucer, sans pouvoir retirer sa tête. Elle devait donc respirer par le nez, tandis que Rinko et Ania demandèrent à leur Reine comment utiliser leur hermaphrodisme. Devant de telles motivations, et de si délicieuses promesses, Sarah leur sourit, les embrassant régulièrement, l’une après l’autre, chacune de ses mains posées sur leurs fesses respectives, les massant tendrement, tout en leur souriant.
«
Ce n’est... Ce n’est pas très compliqué, mes chéries... Pose aussi ta main sur la tête d’Ilinia, ma Ania-chérie... Veillez à ce qu’elle me suce bien, je sais combien Ilinia adore le contact de ma queue. »
Les options étaient plutôt limitées pour les trois beautés, et Ania obéit, une seconde main venant se poser sur la tête d’Ilinia. Sarah exultait. Ces femmes avaient été si rebelles ces dernières semaines, si décidées à refuser leur destinée, à se battre contre l’inévitable... Kerrigan avait peu à peu réussi à les faire toutes basculer, à leur faire changer d’avis, les unes après les autres. Certaines étaient toujours plus têtues que les autres, mais la Reine des Lames voyait cette séance comme la consécration de sa victoire définitive sur toutes ces femmes rebelles en combinaison moulante. Elles étaient vaincues,
à elle, et rien qu’à elle ! Cette perspective était
forcément particulièrement alléchante. Sa queue violette continuait à remuer dans la bouche d’Ilinia, et elle continuait à les observer.
Elle pouvait sentir le latex de leurs combinaisons se frotter contre sa peau chitineuse. Un contact très excitant, tandis qu’elle entama ses explications :
«
Ce n’est pas très compliqué. Il vous suffit juste d’y penser, et de contracter les muscles du bassin, de pousser comme si vous étiez enceinte. Plus vous êtes excitées, et plus vos chibres sortiront aisément, mes poupées. Vous n’avez qu’à essayer... Mais ouvrez la fermeture de vos combinaisons à hauteur de vos bassins, par contre... »
De cette manière, leurs sexes sortiront à l’air libre. Sarah allait sentir leurs queues taper contre ses cuisses, et elle devait bien admettre que cette idée la rendait... Légèrement
impatiente. Elle allait sentir ses chéries la pénétrer... Qui ne serait pas excitée à cette idée, après tout ?
THORNE
Dire que c’était elle qui s’était battue comme une lionne contre sa Mère... Et maintenant ? Maintenant, il fallait la voir, effondrée sur elle-même, ratatinée dans son coin, soumise et écrasée. Un spectacle pathétique. Sasha et Myra avaient enfilé une belle combinaison noire, très moulante et brillante, et, dès que Shiranui fut habillée, elle s’effondra sur place, se mettant en boule dans un coin. Loin de sentir une quelconque forme de pitié, Thorne était surtout agacée par les pleurs de Shiranui.
Pathétique, tout simplement ! Et, si Shiranui espérait susciter la pitié de Thorne, c’était bien mal parti, dans la mesure où la Cérébrate était bien moins gentille que sa Mère.
Poussant ainsi un grommellement, la Cérébrate à la peau sombre se rapprocha d’elle, et fléchit le genou, posant une main sur le menton de la jeune femme, venant relever son visage, afin que son regard croise le sien.
«
Que signifie cette crise, Shiranui ? Mes servantes te donnent une nouvelle tenue, tu es bien nourrie, traitée, choyée, et tu te mets à geindre ? Tu ne réalises pas la chance que tu as... Mais je vais t’y aider, ne t’en fais pas. »
Thorne lui offrit ensuite un sourire très malicieux, et des tentacules jaillirent alors du mur, saisirent les poignets de Shiranui, et les tirèrent en arrière, la forçant à se coucher sur le dos. Le sol se déforma alors, et des tentacules enserrèrent les chevilles de la femme, la coinçant sur le sol. Un énième tentacule, en forme de seringue à son bout, se rapprocha également, et se planta dans le cou de la femme, venant diffuser un puissant aphrodisique.
La Cérébrate sourit. Contrairement à sa Mère, elle n’allait pas perdre son temps en de vaines palabres, et attendit quelques secondes. L’aphrodisiaque agissait très rapidement, et, de la tête, elle fit signe à Sasha et à Myra de se rapprocher. Les deux esclaves obtempérèrent rapidement, et se mirent à genou, à droite et à gauche de Shiranui, et vinrent masser et embrasser ses seins, les attaquant sans aucun problème à travers sa combinaison très moulante.
«
Laisse le plaisir se diffuser en toi, Shiranui... Puis je viendrais te baiser, ma chérie... »
-
« Ce n’est... Ce n’est pas très compliqué, mes chéries... Pose aussi ta main sur la tête d’Ilinia, ma Ania-chérie... Veillez à ce qu’elle me suce bien, je sais combien Ilinia adore le contact de ma queue. »
Ania obéit sans discuter, joignant sa main celle de Rinko, enfonçant encore plus le chibre de leur Reine dans la gorge d'Ilinia, qui se mit à tousser faible, sa respiration se coupant, révulsant des yeux, le plaisir l’entraînant, ses mains sur les cuisses de sa Reine, se crispant. Rinko et Ania tirèrent la tête de Ilinia, lui permettant de respirer, avant de nouveau la forcer à avaler cette sucette de chair, provoquant quelque bruit de déglutition sonore. Ils étaient clair qu'un certain plaisir malsain animer Rinko et Ania, en forçant Ilinia à faire des gorges profondes, elle même animer d'un plaisir malsain à subir ce manège, sa langue s'activant du mieux qu'elle pouvait, le mandrin plaquant cette dernière. Les deux autres continuèrent à se frotter contre leur Reine, lubrique et libertine, continuant à lécher et embrasser le cou et les lèvres de leur maîtresse.
« Ce n’est pas très compliqué. Il vous suffit juste d’y penser, et de contracter les muscles du bassin, de pousser comme si vous étiez enceinte. Plus vous êtes excitées, et plus vos chibres sortiront aisément, mes poupées. Vous n’avez qu’à essayer... Mais ouvrez la fermeture de vos combinaisons à hauteur de vos bassins, par contre... »
Elles s’exécutèrent immédiatement, obéissant instinctivement, sauf Ilinia, bien trop obnubiler par la verge qui s'aventurer dans sa bouche et sa gorge, et il faut le dire, pas en état d'écouter, sans parler de ses camarades qui jouer avec sa tête, comme un sextoy entre leur mains, l’empêchant de ce concentré sur autre chose. Leur fermeture déjà ouverte, laissant leur intimité à l'air libre et surtout libre pour n'importe qui, Ania et Rinko se masturbèrent légèrement, et poussèrent comme le dicter leur Maîtresse, laissant entendre de petit gémissement, se cramponnant à leur Reine, fermant les yeux et visualisant une verge qui sortait de leur intimité. Les deux femmes sentirent quelque chose remuer dans leur intimité, même glisser. Brusquement et sans prévenir, une belle verge jaillirent de leur intimité, écartant leur parois brusquement, en érection, accompagner de mouille et de reste de sperme et de cyprine, tandis que les deux futa lâchèrent un crie de surprise teinter de plaisir.
Leur nouveau membres se cognèrent contre les cuisses de leur Reine, avant que Rinko et Ania retire leur mains de la tête d'Ilinia, pour aller tenir leur nouveau jouer. En pleine extase devant la preuve de leur virilité, elles oublièrent momentanément leur Reine, touchant délicatement leur verge tendue, le caressant doucement, tremblant face à ces nouvelles sensations. Ilinia releva la tête ne gardant en bouche que le gland, le suçotant et le léchant, avant de se stopper et de faire les gros yeux, en voyant les belles queues tendues de ses comparses. Une pointe d'excitation et surtout de jalousie traversa son regard et son visage, devenant un peu boudeur, le gland de sa sucette toujours à moitié en bouche.
-M...mmhlpgorlp... émit Ilinia, Rinko lui remit sa main sur sa tête, lui fessant gober plutôt violemment la verge qu'elle avait retirer de sa bouche, une cascade de bave dégoulinant de ses lèvres et la coupant dans son élan
-T-t-t-t-t-t... fit Rinko. Pas avoir d'avoir finit !
Ania se masturbait allégrement, coucher à côté de sa Reine, lentement puis frénétiquement, complètement détraquer par ses nouvelles sensations, n'arrivant pas à s’arrêter, perdant contact avec la réalité, tellement que c'était nouveau et jouissif. Rinko ne céda pas aussi facilement, veillant d'avantage à ce que Ilinia finisse, cette dernière s'activant ardemment, pompant avec ardeur le pilier de chair, l'étouffant entre ses parois et l'imbibant de bave et le lapant avec intensité, comme se pardonner ou rattraper le temps perdue. Rinko retourna son attention sur sa Reine, allant l'embrasser, collant bien son braquemart contre sa cuisse, lui montant presque dessus, collant sa poitrine contre la sienne.
-Voulez vous que j'encule Ilinia pour votre plaisir ? Souffla Rinko, en brisant le baisser.
Entre Ania qui était perdue dans sa masturbation, Ilinia qui ne penser qu'a sucer sa Reine pour la satisfaire et pour pouvoir avoir le même privilège que ses copines, Rinko semblait être la seule à pouvoir répondre au désir de sa Reine pour le moment, et aussi sans doute celle qui garde le plus la tête sur les épaules.
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« Que signifie cette crise, Shiranui ? Mes servantes te donne tune nouvelle tenue, tu es bien nourrie, traitée, choyée, et tu te mets à geindre ? Tu ne réalises pas la chance que tu as... Mais je vais t’y aider, ne t’en fais pas. »
Shiranui ne pouvait pas arrêter ses larmes de couler, ni même la morve qui s'écouler lentement de son nez. Elle renifla. Une nouvelle, bon elle était juste plus serrer, ça aller bien que cela la gêner, de même que la texture qui n'était pas pareille. Nourrie ? La seule chose qu'elle se souvint d'avoir avaler après des jours, était des litres de fluides, ce qui lui donna des frisons et la nausée. Traitée ? Les souvenir de leur combat dans la forêt et leur réveille dans des alcôves, le sexe puis le passage au monstre tentaculaires, lui donna des sueurs froide. Choyée ? Le passage chez leur chirurgien, le monstre et tout le reste, n'entrait pas dans sa définition de choyée, elle ressentit un pique de panique. En effet, elle n'avait à geindre. Deux mondes différent, deux cultures différentes, Shiranui ne pouvait que s'adapter.
Des tentacules l'attrapèrent au poignet et la tirèrent en arrière, la couchant sur le sol, en fessant remonter ses mains au dessus de sa tête, tentant ses bras, tandis que le sol engoultit en partie ses pieds, des excroissances emprisonnant ses chevilles. Une tentacule vint piquer son cou, enfonçant une fine aiguille, Shiranui lâcha un petit crie de surprise et de douleur, tandis que la tentacule vint à diffuser son produit. Rapidement, Shiranui ressentit des bouffées de chaleur, son esprit s'engourdit, la chaleur montant. Elle trembla nerveusement, s'agitant un peu, des images et des souvenirs obscènes naissant et envahissant son esprit tandis que son intimité se mit à mouiller et qu'elle commençait à avoir des démangeaisons à ce niveau là.
-Aaah. Émit faiblement Shiranui tandis que son visage se plaquait de rouge.
Ses pensées étaient trouble, elle avait chaud et son intimité ne demandait qu'a être soulager. On l'avait encore droguée. Les larmes cessèrent de couler, tandis que son esprit céder rapidement aux vagues de plaisir. Elle sentit deux personnes se coller à elle, alors qu'elle fixait le plafond plonger dans l'obscurité, alors que le plaisir se diffusait rapidement. Pas de résistance, pas de supplication, à en croire de l'acceptation et de la soumission.
Les deux esclaves s’attaquèrent à son opulente poitrine, dons les tétons étaient dur et pointer, deux petites bosses qui ressortaient de la combinaison. Les doigts et les langues, Shiranui les ressentait très bien, et même encore plus, la fessant trembler. Des gémissements sortirent en cascade de la bouge de Shiranui, suivit de « Aaah » et de « Mmmh ». Le plaisir noyer ses pensées, ne laissant plus la place pour des sentiments de hontes, pour la tristesse, pour sa sœur ou quoi que ce soit d'autre. Un esprit bien faible, cédant rapidement et acceptant rapidement ce désir, même ses pires craintes.
Les deux femmes enchaînaient les coups de langues, les suçons et les massages sur les seins et les tétons de leur nouvelle copine. La néko se dirigea vers l'intimité de Shiranui, allant lécher amoureusement sa vulve qui ressortait, sentant sous sa langue la mouille qui s'en échapper. L'autre se mit à cheval sur Shiranui, tenant à pleine mains ses seins, les sous pesant et leur offrant un malaxage digne de son nom, les pétrissant tendrement, alors qu'elle suçait l'un après l'autre les tétons. Shiranui enchaîna les gémissements, pontuer de cries, n'arriva pas aligne trois mots, plus de tristesse ou de peur dans sa voix ou son esprit. L’aphrodisiaque fessait des merveilles.
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-Tu m'appartient....
-Tu mourra... promit...
-Assez..
-Protocole 3 engager : exécution de la cible.
-Je...je suis désoler... je pensais pas que...hein... n..non.... NON !
-Pas ça...
-... étudie les cibles qui...
-... pour la guerre....
-.... pour tuer...
-Stop... arrêter..
-Protocole 0 engager : annihilation total, aucun survivant.
-NON !
Tirch se réveilla en sursaut, en plein sommeille paradoxale, plonger dans des paroles, des images, des souvenirs, formant un cauchemar. Et ils continuèrent à la harceler, sa tête semblant sur le point d'exploser, son regards assaillie d'illusion, perdant ses points de repérer, ne pouvant plus définir l'espace. Elle se sentie tomber, lâchant un crie de peur, mais n'arriva même pas à savoir si elle avait effectivement crier, elle heurta le sol avec sa tête, mais le sol était mou. Elle tenta de se relever, mais n'avait plus d’équilibre, sa tête un véritable champs de guerre, les souvenirs, des images, des sons, se mélangeant et s'affrontant, cherchant à l'informer, comme si son esprit se forcer à tous se souvenir d'un coup. Elle avait la nausée, elle tenta de se relever, mais trébucha et finit par vomir. Elle trempa un moment dans son vomit, abandonnant la tentative de se relever, laissant son ignoble et puissant mal de tête passer, laissant le flot de souvenir, d'image et de son se tarir. Qui était-elle déjà ? Elle se concentra du mieux qu'elle put, cherchant à retrouver les plus mieux souvenir qu'elle avait. Par la force de sa volonté, ou le hasard, son esprit put retrouver, les plus vieux fragment de sa mémoire.
« La porte s'ouvrit sans un bruit, alors qu'elle était pelotonner dans un coin, occuper à se ronger les lèvres. La porte s'ouvrir dans un glissement feutré, tandis qu'une femme apparue dans son encadrement.
-La voilà... Son dossier. Clamât une voix derrière celle qui venait d'entré. Et oublier l'idée de parler de son passée avec elle, elle à réussit à se flinguer la mémoire avec des drogues. .... Et puis de toute façon, c'est pas plus mal pour elle.
-Merci. Répondit la première.
Cette femme resta dans la pièce tandis que la porte se referma, une caméra les surveillant. Elle fit un signe à la caméra, celle-cit pivota de haut en bas, avant d'ouvrir le dossier.
-Bien le bonjour... Tirch. Lui dit-elle en consultant le dossier, un sourire mesquin au lèvre, en la regardant. 45 tentative de suicide, dont 5 scarification ratée, 20 pendaisons sans réussite, sans parler des drogues et du reste. Trouble psychique, détérioration de la personnalité, amnésique, maniaco-dépressive, sociopathe, hémophile, maladie cardiovasculaire... mon dieu que c'est horrible. Conclue la femme, un sourire sardonique au visage et un regard d'un plaisir morbide. On te garde en vie malgré ça, ... ma pauvre enfant. Désoler pour ta mémoire, tu à due tomber sur une de mes expériences à cet époque. Vois tu ça me désole de te voir comme ça. Dit-elle sur un ton détacher, sans une once de compassion qui confirme ces dires, ça serait pareille si elle lisait à voix haute le journal sur un fait divers sans grand intérêt. Je t'offre donc le choix : rester ici pour toujours sans espoir de mourir, le temps qu'on arrive à te réhabilité ou donne moi ton existence et je t’offrirais la mort, après t'avoir soigner de tout tes problèmes. Un simple signe de tête suffira.
À cet instant, elle avait ressentit de l'espoir, et un soulage. Elle avait secouer frénétiquement la tête pour dire oui, et la femme avait sourit à pleine dents.
-Ravit de ton consentement, tu ne le regrettera pas.
La dernière image qu'elle eu, fut la femme qui repartie, puis deux personnes, en armure intégrale rouge ou bien des robots venir vers elle. »
Tirch se releva, son mal de crane bien moins intense et douloureux. Elle réussit à analyser l'endroit où elle était, une sorte de chambre, à la texture organique, et un lit. Elle s'y assit, obnubiler par sa quête d'identité, et ravit de se remémorer son prénom, bien que triste de ce qu'elle fut jadis. Combien de temps s'était écouler, que c'est t-il passer ? Elle continua à puiser dans ses souvenirs. Elle se revoyait, installer dans un machine, dans un laboratoire, cette étrange femme lui parlant d'un projet révolutionnaire pour la guerre, au cour du quel elle trouvera la mort. Se fut le dernier concret, le reste n'était qu'une suite d'image et de son, comme si elle regardait un film, sans avoir l'impression que c'était les siens. Elle se voyait abattre une femme, qui apparemment avait échouer à un objectif dans une mission, compromettant la réussite de cette dernière. En même temps des noms lui apparurent, familier mais en même temps inconnue. Shiranui, Ilinia, Mixim, Ania et Jeanne. Pourquoi ces souvenirs lui montrait très souvent ces 5 femmes et ces 5 noms ? Pourquoi elle les espionnait? Pourquoi elle fessait ça ? Pourquoi elle à autant de troue noir et de doute ?
Le tresse et la panique prenaient lentement de l'ampleur. À qui était ces souvenirs ? Qui était-elle ? Elle se mit à rire nerveusement, tandis qu'elle découvrait que maintenant son corps, recouvert de cicatrices, muscler, fortifier, grand et puissant. Ce n'était pas le sien, ce n'était pas son corps, ce n'était pas ses souvenirs. Elle hurla, en s'agrippant la tête, avant de se jeter au sol et de se fracasser la tête contre le sol, avant de se mettre à genoux et de rire comme une démente, des larmes coulant sur sa joue et de nouveau frapper sa tête contre le sol. Elle s'arracha des cheveux, déchirant sa peau, arrivant à faire couler le sang, avant de regarder un de ses poignet. Ce c'était pas ses souvenirs, mais elle voulait clairement mourir. Elle mordit son poignet, jusqu'au sang, cherchant à s'arracher la peau avec ses dents.
-
SARAH KERRIGAN
Sarah s’amusait beaucoup avec ses concubines. Rinko, Ania, et Ilinia formaient un magnifique trio. Sarah ne cessait de se le répéter, mais elle ne pouvait qu’en dresser le constat à chaque fois. Elle avait réussi à soumettre ces soldates rebelles, et, maintenant, elle en profitait très largement. Ses concubines étaient toutes trois des perverses, et voir Rinko et Ania empêcher Ilinia de se retirer de sa fellation, c’était un spectacle particulièrement excitant. La Reine des Lames en souriait de plaisir, avant de voir les deux filles sortir leurs verges. Comme Sarah l’avait promis, la chose n’était guère compliquée, et elles contemplèrent, toutes heureuses, leurs membres dressés. Un phallus, c’était quelque chose de très particulier, qui avait une soif beaucoup plus vive qu’un con, beaucoup plus forte, en une certaine manière. Ce membre les dominait, et ne tarda pas à emporter Ania, qui s’étala sur le lit en se masturbant, pendant que Rinko, frémissante, se frottait contre sa Maîtresse, caressant sa cuisse avec sa queue, qui glissait contre la peau chitineuse de Kerrigan.
Rinko proposa alors à Sarah de fourrer Ilinia pendant que cette dernière continuait à la sucer. Un sourire perla sur les lèvres de la Reine, qui posa sa main sur la croupe de la femme, et l’embrassa ensuite, fourrant sa langue dans sa bouichye, appréciant la saveur du corps de la Tekhane.
«
Tu as envie de l’utiliser, hein ? Je suis sûre que ce membre doit te démanger... »
Quant à Ania, Kerrigan s’occupa aussi d’elle. De stentacules poussèrent sur le lit, et s’enroulèrent autour des jambes de la femme, puis autour de ses bras, l’empêchant de se masturber, venant plaquer ses bras sur ce lit. Pour autant, Sarah ne comptait pas se montrer cruelle, et un tentacule jaillit entre les jambes de la belle femme, et avala la queue d’Ania, se plaquant sur sa combinaison, sa bouche s’étalant dessus. À l’intérieur du tentacule, un liquide se répandit le long de la verge, et de multiples langues vinrent lécher son vit, tandis que les parois du tentacule se refermaient sur la queue de la Tekhane rose, avant de se relâcher, puis de serrer encore, la masturbant donc.
Sarah avait une main sur la tête d’Ilinia, et plaquait sa bouche. Une femme normale aurait depuis longtemps vomi, à cause du phénomène de haut-le-cœur. Néanmoins, Kerrigan avait amélioré les performances de ses concubines, de telle sorte qu’Ilinia ne sentait rien, rien d’autre que le plaisir. La Formienne les maintenait donc en son pouvoir, et hocha finalement la tête vers Rinko.
«
Oui, ma chérie... Baise-là fort, mais sachez bien que, ensuite, vous me baiserez toutes les trois... »
La précision était importante. Toutes les
trois... Ce qui impliquait donc Ilinia !
THORNE
Bras croisés, Thorne observait la scène avec un léger sourire sur les lèvres. Shiranui était comme assommée, se calmant peu à peu, et Sasha et Myra, ses deux esclaves, en profitaient, pétrissant avec leurs mains et leurs bouches sa généreuse poitrine. C’était un magnifique spectacle, que la Cérébrate observa sans rien dire, jambes légèrement écartées. Elle savourait l’intensité du moment, en se pinçant les lèvres, attendant encore un peu. Shiranui était son dû, sa proie, son butin après la rude bataille que Sarah et ses filles avaient mené. Elle ne comptait pas la laisser partir si facilement.
Néanmoins, dans un coin de sa tête, elle était impressionnée par le talent de sa mère, qui avait manipulé les Tekhanes, faisant croire à la libération de Shiranui... Comme si une seule de ces belles salopes en latex méritait autre chose que de leur servir de concubines et de sacs à foutre. Un sourire malicieux se dessina progressivement sur les lèvres de la Cérébrate, qui finit par se racler la gorge.
Sasha et Myra, obéissantes, s’écartèrent alors, et les tentacules retenant Shiranui se desserrèrent un peu. Les deux esclaves attrapèrent ensuite Shiranui, et se débrouillèrent pour la mettre à quatre pattes. Là, de nouveaux tentacules vinrent immobiliser Shiranui aux poignets et aux chevilles, puis, comme pour confirmer qu’elle était bien posée, un tentacule vint fouetter son fessier.
«
Ne t’inquiète pas, Shiranui, je vais prendre soin de toi... C’est le rôle de ta Maîtresse, après tout ! »
Thorne caressa à nouveau son fessier, et ouvrit ensuite sa combinaison, ayant un accès à son intimité. Sourire aux lèvres, Thorne approcha ensuite son phallus, et, sans véritablement attendre, la pénétra, se glissant en elle.
«
Hmmm... Enfin, haaaa... Enfin, tu es à moi, hmmm... !! »
IRINA
La surveillance de Tirch n’avait pas été dévolue à Abathur. Le technogénéticien était trop froid, trop impersonnel, pour pouvoir surveiller l’état de santé de leur prisonnière si particulière. Quand il s’agissait de faire des diagnostics, des croisements génétiques, des expériences scientifiques, Abathur était exceptionnel d’efficacité, mais, pour le reste, Sarah avait préféré confier à sa dernière fille, la Cérébrate
Irina (http://img110.xooimage.com/files/8/8/6/irina-5188dc0.jpg), la surveillance de Tirch.
Irina était une Cérébrate particulière, une ancienne scientifique novaquienne qui travaillait au
Containment Point. En étudiant les Formiens, elle avait considéré qu’ils représentaient une perfection génétique, et, inconsciemment, avait appelé Kerrigan, afin qu’elle la transforme en Formienne. Tout ce que Sarah avait eu à la faire, c’était de la convaincre de venir. Ses Formiens avaient récupéré Irina, et avaient fait d’elle sa plus jeune Cérébrate. Irina était d’une beauté incroyable, mais était aussi la plus faible des Cérébrates, ayant peu de talents psychiques. Sarah ne la déployait jamais sur le terrain, et ce de telle sorte qu’Irina restait continuellement dans la Fourmilière, où elle surveillait essentiellement la bonne activité des Ruches, tout en supervisant le travail d’Abathur, et en portant les bébés de sa Mère et Reine.
Aujourd’hui, elle observait avec une étonnante fascination Tirch. Qui était-elle ? Elle avait écouté le rapport d’Abathur, et était maintenant sûre que cette femme était le fruit d’un programme militaire.
*
Reste maintenant à en savoir plus...*
Quand Tirch se réveilla, émergeant dans la cellule où on l’avait stocké, et commença à vouloir se scarifier, la réaction fut immédiate. Depuis les murs, des tentacules jaillirent, et saisirent la femme par les bras et les jambes, venant la redresser et la plaquer au fond de sa cellule, serrant fort pour comprimer ses muscles, et l’immobiliser. Par prudence, Irina ordonna néanmoins à un autre tentacule de répandre un tranquillisant dans son cou.
Une fois la chose faite, la porte de la chambre s’ouvrit, et Irina entra, répandant autour d’elle un délicieux parfum de sensualité.
«
Eh bien, eh bien, ma douce pensionnaire... Quel réveil brutal ! Tu ne pensais tout de même pas quitter notre grande famille si facilement, non ? »
Pour autant, Irina restait intriguée...
Qu’est-ce qui justifiait une telle réaction ?
-
« Tu as envie de l’utiliser, hein ? Je suis sûre que ce membre doit te démanger... »
-Pas autant qu'Ania, mais je meure d'envie de m'en servir ma Reine. Souffla Rinko.
L’intéresser se masturbait frénétiquement, des tentacules attrapèrent ses chevilles et ses poignets, stoppant ses mouvements frénétique et détachant sa main de son vit, avant de la plaquer sur le lit. Respirant lourdement et bruyamment Ania semblait se remettre de ses nouvelles sensations, une nouvelle tentacule vint gober sa verge turgescent, aspirant goulûment sa trique avant de commencer son office. Un liguide visqueux et consistant noyant le membre, tandis que de multiples langues, de toute forme et de toute taille, léchèrent, masturbèrent et massèrent la virilité d'Ania n'épargnant aucun millimètre carrée de peau, insistant bien sur le gland, tandis que la tentacule elle même semblait faire des mouvement de vas et viens avec ses muscles. Ania lâcha un râle de plaisir, secouer de spams et de tremblement, s'agitant et perdant raison, les sensations décupler et plus intense que jamais, lâcha gémissement et crie, alors que sa tête partait en arrière, ses yeux se révulsant, posséder par le plaisir et perdue dans l'extase.
« Oui, ma chérie... Baise-là fort, mais sachez bien que, ensuite, vous me baiserez toutes les trois... »
Rinko embrassa une dernière fois sa Reine, un sourire enjouer et émerveiller.
-C'est splendide ma Reine ! S'exclama Rinko, au nom du trio, les deux autres peu disposer pour écouter et comprendre.
Elle se sépara de sa maîtresse et Reine, se glissant derrière Ilinia, une lueur mesquine dans le regard et une envie dévorante, toisant même sa camarade. Elle fit glisser son mandrin contre la croupe d'Ilinia, frottant son barreau de chaire contre la rondelle de sa partenaire, laisser à l'air libre, sa combinaison déchirait depuis son passage avec le monstre. Elle bava sur sa tige, la mélangeant avec sa mouille, avant de pénétré lentement Ilinia, gémissant en chœur avec cette dernière, au fur et mesure qu'elle enfonçait son nouveau jouet jusqu'à se retrouve bassin contre cul. Fasse à ses nouvelles sensations, Rinko avait rejeter la tête en arrière en gémissant, soufflant bruyamment et par à coup. Elle fit ensuite des allées et venues, doucement, ensuite rapidement puis frénétiquement, claquant son bassin contre les fesses de sa cobaye pour sa nouvelle acquisition, un sourire d'extase, limite effrayant sur son visage, sans compter son regard qui donner l'impression d'être une psychopathe.
Quand à Ilinia, cette dernière ne pouvait pas faire grand chose, soumisse à au plaisir des autres, forcer à garder en bouche et le plus profond possible l'auguste braquemart de sa Reine, en apnée, n'arrivant pas à respirer. Sans ses entraînements avec Kakashi, leur ancienne commandante, elle serait sûrement en train de s'évanouir et que ça Reine avait améliorer ses performances, mais cela fessait un moment, son visage virant au rouge, la bave s’écoulant à flot, les yeux révulser, des larmes coulant, par réflexes sans doute, et que le plaisir semblait se mélanger à la douleur, le plaisir se lisant dans le regard. Prise en sandwich, Ilinia ne pouvait rien faire que subir, ses mains sur les cuisses de sa Reine, serrant les doigts léchant au mieux et bavant presque en continue. Elle finit par forcer à remonter la tête, afin de respirer à nouveau, aspirant des bouffées d'air, avant de ravaler la verge, gardant presque le même aspect, alors que Rinko pilonnait son corps comme une posséder, prise dans le plaisir de domination.
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Un torrent sans fin, une brèche impossible à colmater, c'est ainsi que l'esprit de Shiranui se brisa, bien trop mit à l'épreuve et trop peu expérimenter, miracle qu'il est tenue devant l'annexienne, mais maintenant se fut l'assaut de trop. Plus proche des ses plus bas instincts, plus enclin à ses pulsions primaire, plus rien ne pouvait la sauver. La luxure prenant le pas sur la raison, le plaisir sur la peur, la perdition brisant la volonté.
En prise avec deux autre consœurs désormais, Shiranui n'exprimer plus que plaisir, son corps géant tremblant sous les assauts des doigts et des langues des deux autres, caressant ses courbes, suçotant ses tétons, pétrissant avec envie les seins opulents de leur nouvelle camarade, qui gémissait de plaisir à chaque coup de langue sur ses tétons. Une mains se déplaça vers sa vulve, caressant tendrement son intimité à travers le latex, tandis que la mouille s'écoulait lentement et généreusement.
D'une seconde à l'éternité, Shiranui n'avait plus conscience du temps, seule le plaisir compter. Elle se tortillait sur elle même, cherchant à ne plus être une simple soumisse à qui ont fessait subir les délices du plaisir, voulant participé, voulant en donner.
Mais doucement, le plaisir cessa, les relents de sensation durèrent un moment, avant que la frustration ne fasse de faible apparition. Assommer de plaisir, son nouvelle état d'esprit encore dans les brumes d'une semi-conscience, elle fut prise de vertige, tout allant trop vite à son goût, pas encore habituer, à moitié vaseuse et drogué, son esprit peinant à suivre le cour des choses. Elle ne put que sentir son déplacement dans l'espace, se sentant libérer d'entrave, avant qu'elle ne soit retourner et guider à se mettre à quatre pattes et que d'autre pressions, à ses poignets et ses chevilles se fassent sentir. Elle perdit cet sensation de vertige, sa vue se fit moins brouiller et tout devin plus net et précis. Juste à temps pour sentir quelque chose claquer contre ses fesses, une douleur fulgurante traversant son corps. Pas de plaisir, mais de la douleur, mais pas assez pour lui retirer cet envie de drogue répondant par plaisir. Les yeux hargards, la langue pendante, la bave coulant, Shiranui tourna sa ça tête, un regard de braise et d'envie, se posant sur la cérébrate. Encore un peu de formation et elle comprendra sa place et ce qu'elle doit faire.
« Ne t’inquiète pas, Shiranui, je vais prendre soin de toi... C’est le rôle de ta Maîtresse, après tout ! »
Malléable et sans volonté, Shiranui ne put que l'accepter comme étant normale. Et rapidement, sans douceur, mais avec ardeur et brutalité, Shiranui fut pénétré durement, sa maîtresse enfonçant son impérieux membre dans sa nouvelle soumisse, qui ne put que émettre un râle emprunt d'extase et de plaisir. S'en suivit de long et délicieux coup de pilon, fessant trembler son corps, ballottant ses seins, limant ses parois intimes, diffusant le plaisir de cette pénétration, le plaisir dans chacun de ses gémissants ou cries. Plus aucune barrière, complètement détraqué et soumisse.
Plus proche de ses plus bas instincts, plus enclin à ses pulsions primaire, bien prendre garde à ses pulsions sanglantes, d'une part sombre ne cherchant que le sang.
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Un grognement sourd, des bruits de bêtes, un animal s'acharnant sur un morceau de viande particulière dur à mâcher. Tirch sentait sa chaire céder, ses dents perçant sa peau et le sang qui commençait à couler, alors qu'elle essayer de mordre jusqu'à l'os. Mais sans qu'elle s'en aperçoive, des tentacules jaillirent des murs et l'attrapèrent par les membres, bien que certaines durent jouer les pieds de biche et tirer avec force, pour détacher Tirch de son poignet, arrachant quelque lambeaux de peau. Elle fut plaquer à un mur, de multiple tentacules s'enroulant autour de ses membres, qui s'enfoncèrent dans le mur, l’empêchant de bouger et de continuer à vouloir déchiqueter son poignet. Un tentacule à tête de seringue, se planta dans son cou et diffusa un calmant, afin d'éviter qu'elle ne s'agite et cherche à se faire plus de mal. Elle baissa lourdement la tête, son menton heurtant son torse, ses cheveux glissant sur le devant.
En rentrant, la cérébrate pouvait voir un corps sans vraiment de beauté : blanc, couvert de multiple cicatrices, de balles, de lames ou de griffure et à son cou les traces d'une tentative de s'ouvrir la gorge. Peu, pour ne pas dire pas, de courbe, des muscles brutes et dur, tailler pour tuer, et des seins se confondant avec ces pectoraux, et plutôt large d'épaule pour une femme, autant qu'un homme de bonne carrure. Si elle était bien moins pale, plus entretenue et moins recouverte de cicatrice et des cheveux d'une couleur autre qu'un blanc-gris, elle serait relativement belle, voir appréciable, pour les amatrices de femmes muscles, proche du physique d'un homme.
« Eh bien, eh bien, ma douce pensionnaire... Quel réveil brutal ! Tu ne pensais tout de même pas quitter notre grande famille si facilement, non ? »
Tirch leva la tête d'une manière assez mécanique et verrouilla son regard sur la nouvelle venue, ses cheveux cachant en partie son visage, ne laissant voir que son regard, une lueur de folie au fond de ce dernier.
-Vous allez me tuer ? Demanda Tirch, le visage défigurer entre l'espoir de mourir et le désespoir d'être en vie. N'est ce pas hein ? Elle... elle m'a dit et jurée que vous le ferrez ! Son visage se figea, comme si elle avait fait une découverte macabre. A... a... qui ? A.. m... moi ? Je... je...J'SUIS QUI PUTAIN ! Hurla t-elle, un trait de démence barrant son visage. RRAAAAAHHH !!! IlS SONT A QUI SES SOUVENIRS ! ET CE CORPS ?? PUTAIN !!!! JE... JE SUIS QUI ?!? OU SONT MES SOUVENIRS !!! DITES LE MOI BORDEL !
Tirch essaya de s'arracher les bras plus que de vouloir ce libérer de ses entraves, le tranquillisant ne semblait pas avoir fait effet, ou bien trop peu efficace.
-REND MOI MA VIE ! Hurla t-elle, ses yeux se remplissant de larme, la rage au cœur et la voix transpercer par le désespoir.
On comprenait rapidement que cette phrase était adresser à la responsable de son état, comme si elle était face à elle, ne distinguant plus le réelle de ses souvenir, se revoyant dans une salle d'opération face à cette femme, dont elle ne pouvait voir le visage. Rapidement, son visage se vida de toute rage, son regard perdit de son éclat de folie, avant de baisser la tête et de pleurer à chaude larme.
-Pitié... je.... je veux mourir.... Bafouilla Tirch en relevant la tête vers la cérébrate, l'air pitoyable, la tristesse et le désespoir défigurant ses traits.
Où est donc la machine de mort vide de vie et d'émotion ? Incapable d'exprimer des sentiments et de dire autre chose que des ordres ou des promesses de morts ? Qui était cette femme, qui ne savait plus qui elle était, qu'elle était ses souvenirs, en proie à une crise d'identité et d'envie de mourir ? Qu'avait elle subit ? Qu'avait elle vécue ? Un pauvre femme perdue, à qui on avait arracher le seule moyen de ne pas tomber dans la démence et d'être un outil parfait, mais aussi le seule moyen de redevenir humain. Une bien sombre affaire, qui ne peut avoir que de mauvaise révélation.
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SARAH KERRIGAN
Sarah jouait avec ses trois concubines. Elles étaient aussi gourmandes que belles, et elle veillait à les entretenir toutes les trois, en vue du moment où elles viendraient inverser les rôles, et se défouleraient toutes sur elle. Le sexe, chez les Formiens, était fondamental, et il était tout simplement impossible que Sarah vienne s’en lasser. C’était son carburant, et, à voir ces trois beautés qui l’entouraient, sa vigueur sexuelle était interminable. Ne pouvant pas s’occuper des trois à la fois, elle avait laissé Ania entre les « mains » de tentacules. Ils s’étaient enroulés autour de ses poignets et de ses chevilles, avant qu’un plus gros tentacule ne vienne engloutir sa verge. Il s’ouvrit en quatre, se posant sur sa combinaison, l’extrémité ressemblant à une sorte de grosse bouche florale, et pompait la queue d’Ania, la faisant plonger dans un état second.
Des trois, il était difficile de dire qui était la plus perverse, car, tout en étant proches, elles avaient aussi des différences. Ania, par exemple, était indéniablement la plus gourmande, celle qui avait toujours envie, dès qu’elle sortait sa verge, de pénétrer des gens, ou, inversement, de se faire sauvagement baiser. Sarah soupçonnait que c’était là une conséquence de l’ancienne Ania, qui avait peur des tentacules. Depuis qu’elle avait été transformée, cette peur refoulée s’était muée en un profond fantasme, comme en ce moment, où le gros tentacule continuait à la pomper. Le spectacle était assez joli à voir, en réalité. Le corps d’Ania remuait lentement d’avant en arrière, rythmé par les mouvements du tentacule qui la pompaient en avant, avant de la repousser, tout en la masturbant furieusement, serrant contre sa verge une multitude de langues, qui agissaient comme autant de doigts longs, fins, et sensuels.
Et, face à elle, Rinko agit de sa propre initiative, en contraignant Ilinia à se mettre à quatre pattes, et en venant la sodomiser. Un spectacle magnifique, qui amena Sarah à jouir... Ce qu’elle fit quand Ilinia retira ses lèvres pour reprendre sa respiration. Elle devait bien déplacer la tête, car le membre de Sarah, particulièrement gros, s’enfonçait jusque dans sa gorge. Sarah posa alors une main sur la tête d’Ilinia, et utilisa son autre main pour se masturber.
«
Tiens... Ta récompense, petite pute... ! »
Ses doigts griffus caressèrent activement sa verge, et elle envoya un filament de sperme éclater abondamment sur le visage de la jeune Tekhane. Sarah jouit généreusement contre elle, et, juste après ça, souleva le visage d’Ilinia. Rinko fut bloquée dans ses mouvements pendant quelques secondes, juste le temps qu’Ilinia se relève, et Sarah s’enfonça ensuite dans son vagin, qui dégoulinait de mouille.
«
Lààà... Baisons-là ensemble, ma Rinko ! »
Kerrigan s’enfonça en elle, et commença à remuer en harmonie avec Rinko. Deux grosses queues labouraient le corps d’Ilinia. Sarah n’avait jamais caché que, parmi tout le groupe de Tekhanes en combinaisons moulantes qu’elle avait récupéré, Ilinia avait toujours eu un statut assez particulier. Sarah se glissa donc en elle avec joie, et frotta son visage sur celui de la femme, le sperme venant couler le long de sa combinaison.
La Reine l’embrassa alors profondément, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, après avoir léché son visage pour y recueillir du foutre, qu’elles partagèrent donc ensemble dans un baiser à hauteur de toute la luxure qui régnait ici.
THORNE
La Cérébrate était tout de même gentille. Sa passion était les sodomies brutales, sans préparation. C’était par le sexe que les Formiens soumettaient leurs esclaves, et quoi de mieux pour faire ça qu’une bonne vieille sodomie des familles ? La Cérébrate, en optant pour un coït, faisait donc preuve envers Shiranui d’une étonnante empathie...
Toute proportion gardée. Il s’agissait en effet quand même d’un viol particulièrement violent, et le membre de Thorne s’enfonçait sans pitié dans sa chatte, sentant les parois internes de Shiranui se détendre difficilement, tandis que sa proie gémissait et se tortillait.
Prise en levrette, Shiranui était la proie de la fureur de Thorne, qui se mit à sourire, tout en continuant ses coups de reins, son fessier se déplaçant d’avant en arrière, le plaisir se ressentant peu à peu dans toute la pièce. Les tentacules restreignant Shiranui se serraient davantage, tandis que Sasha et Myra disparurent, absorbées par d’autres tentacules.
«
Allez, allez... Hmmmm... !! »
Des tentacules continuaient à fouetter le corps de la femme.
«
Laisse-toi aller, Shiranui, haaaa... Tu appartiens à la Horde, maintenant !! Sois notre vide-couilles, salope !! »
Car ce serait là sa seule raison d’existence, maintenant !
IRINA
Personne ne viendrait seconder Irina face à Tirch. Elle était seule face à cette mystérieuse Tekhane qui était en train de péter un câble. Malgré le tranquillisant, elle rentra dans une crise folle, tirant sur les tentacules. Instinctivement, Irina renforça ces derniers. Elle ne craignait rien, certes, mais mieux valait un excès de prudence que l’inverse. Tirch se mit à parler, plus pour elle-même que pour Irina, mais la Cérébrate sentait un grand trouble en elle.
*
Bizarre... J’ai le sentiment qu’une digue vient d’exploser, et que le trop-plein d’émotions est en train de surcharger ma jeune amie...*
Irina ne savait pas trop comment interpréter ça. Que lui arrivait-il ? Visiblement, les expérimentations d’Abathur et son travail avaient fini de réveiller quelque chose chez Tirch. Irina l’observait donc, songeuse, et, quand Tirch sembla se calmer, finit par se rapprocher. Un doigt sur les lèvres, sourcils froncés, elle était en train de réfléchir. Mère était occupée, et c’était, après tout, à elle qu’elle avait confié le soin de percer le mystère Tirch.
Après quelques secondes de réflexion, Irina se mit à parler :
«
Comment t’appelles-tu, jeune femme ? De quoi te souviens-tu ? »
-
Son visage déformer par un ahego intense, sa bouche et sa langue dégoulinant de bave, son corps crisper, des spams la parcourant, gémissant et criant. Ania était perdue dans son plaisir intense et sans pause, son corps devenue beaucoup plus sensible, la tentacule lui offrant plus une fellation sans pareil, sur un tout nouveau membre encore plus sensible plonger dans un liquide qui augmenter sa sensibilité, avant qu'elle ne jouisse, puissamment et en quantité dans un long râle de plaisir, alors que la tentacule continua à pomper son dard, qui ne perdait pas de sa vigueur. Des sensations décupler, presque insupportable, à vous en faire perdre la tête.
Rinko se fessait une joie de culbuter Ilinia, cette salope avec un corps qui ne demander qu'à être pilonner encore et encore. Alimenter par le plaisir de cette sodomie, enhardie par sa position de dominante, chaque coup claquer les fesses de Ilinia, les fessant trembler, l'enfonçant à chaque fois sur la verge de leur Reine. Y mettant toute sa force, toute son ardeur, toute sa passion, bourrant le cul de sa camarade, envahit de désir et de plaisir, la domination décuplant ces sensations, claquant les fesses de sa consœur. Qu'elle joie d'être une devenue une hermaphrodite, bien mieux que les jouets high-tech de Tekhos.
La dernière, Ilinia, ne pouvait que subir et ressentir l'appétit dévorant des deux autres, se mettant à jouir, un long jet s'échappant de ses lèvres intimes. Engloutit par des vaques de plaisir, coulant dans l'extase, Ilinia était perdue dans des flots sans fin de sensations, son orgasme lui en provoquant un deuxième, fulgurant et puissant, un pics de plaisir à en perdre l'esprit, ce qui était déjà le cas. Sa Reine commença à se vider en elle, remplissant sa bouche alors qu'elle remonta la tête pour respirer un peu, manquant de l'étouffer, avant de se retirer. La bouche grand ouverte, sa langue pendante, le sperme glissant de ses lèvres, souffle puissant et rauque, avant qu'elle ne le ravale et ne ré-ouvre en grand sa bouche.
« Tiens... Ta récompense, petite pute... ! »
Puissant jet de crème blanche, s’écrasant contre son visage, le recouvrant presque d'un masque de fluide collant et chaud, alors que Ilinia peina pour remercier sa Reine. Elle lécha ses lèvres, avalant quelque gouttes de fluides, alors que sa Reine entreprit de la relever, aider de tentacule, Ilinia un peu trop sonnée pour y penser. Rinko du stopper ses mouvements, le temps que Ilinia soit debout, avant que sa Reine n'enfonce son impérieux membre dans son antre inondé de mouille et de cyprine, nageant dedans.
« Lààà... Baisons-là ensemble, ma Rinko ! »
-Oh oui ma Reine ! Clamât Rinko, sourire démentielle aux lèvres.
-Avec... mmmh... force... gémit Ilinia.
À peine ces sortirent de sa bouche, que les deux autres enfoncèrent leur trique d'un coup et d'un même mouvement, arrachant un crie d'extase à Ilinia, prise en sandwich fourrée avec intensité, labourant ses troues avec vigueur, ardeur et une certaine rage de la part de Rinko, respectant la volonté de son amie, allant le plus fort possible. Ilinia enchaîna les gémissements et les cries, pelotant les fesses de sa Reine, alors que Rinko massait sa généreuse poitrine, pinçant et frottant ses tétons. Sa maîtresse léchant sa joue, récolant son foutre, avant de le partager avec Ilinia, un baiser torride et intense, long et langoureux, passionné et amoureux. Leur langue mélangeant leur bave et le foutre, partant dans une gymnastique intense.
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« Comment t’appelles-tu, jeune femme ? De quoi te souviens-tu ? »
-TIRCH ! TIRCH ! J 'en suis sur.... c'estc'est mon prénom... c'est le mien ahahahah.... Beugla Tirch, une pointe de folie dans la voix.
Un moment de flottement passa, où Tirch enchaîna les « j'en suis sur, c'est le mien » faiblement, comme un enregistrement audio, après avoir baisser la tête. Elle finit par relever la tête dévisageant l'inconnue.
-De... de quoi je me souviens ? Je... je sais pas, je sais plus, j'en sais rien, je...je.... . Bégaya t-elle, avant d'éclater en sanglot. Je sais plus quels sont mes souvenirs ! Ils... ils... ont l'air faux ! Je ressent rien, c'est comme si je regardais un film sans émotion ! Je... enfin... j'en ai quelques uns de vrai... Souffla t-elle.
Elle ne connaissait pas la femme face à elle, mais elle semblait disposer à vouloir l'aider, mais pas à la tuer, en tout cas Tirch avait besoin de parler et elle seule était là. Elle se mit à lui parler d'une salle couverte de mousse, attacher à un lit, relier à des machines médicales, tout en plastique, couvert de mousse, chétive et faible. Des personnes venaient la voir, lui poser des questions, mais tout ce qu'elle voulait c'était mourir. Puis elle vint à parler du premier souvenir qu'elle sut se rappeler à son réveille, il y a quelque minute maintenant. Elle parla de l'êtrange femme qui lui avait rendue visite, mais impossible de décrire son visage, ce dernier... noir, comme si son cerveau n'avait pas put l'enregistré. Elle énuméra la liste de ses problèmes mentaux et de santé et apparemment ses tentative de suicide, son amnésie, et son étrange demande : son existence en échange d'une mort certaine et de la soigner de tout ces maux. S'en suivit des deux étranges personnes ou robots puis du noirs.
Elle continua, en disant qu'elle se réveilla dans un laboratoire, nue, un masque respiratoire sur la bouche attacher à une table d'opération, tandis que des bras robotiques lui fessant des injections, mais qu'elle ne ressentait pas de douleur. Puis de la femme qui refit son apparition et toujours son visage entièrement noir, comme un vide. Elle le lui raconta dans les moindres détails a toute dernière discutions et vrai souvenir avant l'apparition des faux :
« -Comment vas tu ? Bien dormit ? Lui demanda t-elle sur un ton faussement amicale
-Assez...
-J'en suis ravie ! Lui dit la femme, alors qu'on pouvait comprendre aisément qu'elle s'en moquait. Tu m'appartiens maintenant, et tu as le privilège d'être le point d'orgue finale de mon projet et le début d'un nouveau. Tu vivra pour m’obéir et pour la guerre, je ferais de toi la meilleurs soldates pour tuer. Et tu mourra, promit, lors des missions que je te confierais. Je ne te cache pas que tu n'aura plus de libre à arbitre et que tu ne sera plus jamais là même. Une dernière chose ?
-Oui... pourquoi moi ?
-Qui irait s'inquiéter et pleurer la disparition d'une inconnue ?
Puis ce fut le noir complet. »
Tirch cessa ainsi son récit, ses derniers réelles souvenirs tenant sur même pas une dizaine de minutes, des larmes coulant sur son visage.
-Je sais pas qui je suis... personne ne me connaît... personne me pleure... je vous en supplie... tuez moi...
-
SARAH KERRIGAN
Ania était comblée par ce traitement. Même si Sarah ne s’occupait pas personnellement d’elle, les tentacules jouant avec son corps devaient être considérés comme une extension de son corps et de sa propre volonté. Elle était retenue contre le mur, son corps filant d’avant en arrière, et elle fut rapidement rejointe par un tentacule supplémentaire, qui jaillit du mur, et caressa ses fesses, avant de s’enfoncer ensuite en elle. Les hurlements d’Ania jaillirent alors, accompagnant les mouvements frénétiques du trio. Avec Sarah, le sexe n’était nullement doux, il était toujours brutal, violent, s’accompagnant de gros membres phalliques. Elle avait fait de ces trois femmes des nymphomanes terribles. Même si les Tekhanes réussissaient à les récupérer, il faudrait assurément un très long traitement pour que leurs pulsions sexuelles redeviennent normales. Elles étaient, pour le dire simplement, de superbes perverses, insatiables.
Ilinia en était aussi l’illustration. Elle répondait avec ferveur au baiser de Kerrigan, qui poursuivait leurs élans, leurs ébats fougueux. La Reine la pénétrait rudement, et, même en l’embrassant, ses mouvements restaient pusisants. Tandis que les mains de Rinko pressaient les seins d’Ilinia, Sarah, elle, avait agrippé le beau cul de la Tekhane, et s’enfonçait ainsi en elle, multipliant les coups de reins, en harmonie avec Rinko. Elles se débrouillaient en effet pour, régulièrement, s’enfoncer simultanément en elle, déclenchant chez Ilinia des sensations exquises, inouïes, et renversantes.
«
Hmmmm... !! »
Sarah termina le baiser, et continua à la prendre, pendant que son foutre continuait à couler sur la combinaison violette de la femme. Ilinia avait une lueur de profonde perversion dans le firmament de ses yeux. Rien ne semblait devoir réfréner les ardeurs de Kerrigan. La Reine des Lames continua ainsi à lui imposer ce rythme soutenu, se régalant désormais des gémissements et des hurlements de la femme. Ilinia couinait et soupirait sur place.
Au bout de plusieurs minutes, les deux femmes qui la baisaient aussi sèchement finirent néanmoins par atteindre le point de rupture... Soit au bout d’un quart d’heure. Quinze minutes à se faire ainsi tringler ! Autant dire que, à l’arrivée, quand les deux femmes s’abandonnèrent en Ilinia, la jeune Tekhane s’écroula ensuite sur place, avec l’impression de devoir errer, quelque part, au Paradis.
Sarah souriait en la regardant... Et se concentra, puis rangea sa verge en elle.
«
Ne te repose pas trop vite, Ilinia... Il faut encore que tu t’occupes de moi, ma chérie. »
Et pas seulement elle... Mais aussi Rinko et Ania. D’ailleurs, la Tekhane à la combinaison rose fut relâchée par les tentacules, avec son membre bien dur.
«
Je sais que vous me vénérez... Mais, maintenant, vous allez devoir laisser parler votre bestialité et votre perversion. Ce que je veux, c’est que vous me baisiez très fort. Montrez-vous dignes d’être mes concubines ! »
IRINA
Les explications vinrent. Quelque chose avait définitivement changé chez Tirch. Difficile de dire comment ce procédé avait eu lieu, qu’est-ce qui avait fini par briser le blocage et le conditionnement mental de Tirch. Si silencieuse auparavant, la femme se mit à parler abondamment, comme si elle en avait été privée pendant des mois. Elle lui parla d’expériences réalisées sur elle dans ce qui ressemblait à un complexe de recherche.
*
Un prototype de super-soldate... Sans doute une ancienne vagabonde, ou une délinquante... Les Tekhanes en trouvent toujours beaucoup comme ça.*
Tirch finit par pleurer, en suppliant qu’on la tue.
«
Te tuer ? Ah ! Tu crois qu’on s’est embêtés à ce point à faire sauter ta programmation et ton conditionnement pour te tuer, ma chérie ?! »
Irina se mit à rire devant l’absurdité de cette proposition, et prit ensuite une décision... Délicate. Sa mère la lui en aurait sûrement reproché, mais elle sentait que Tirch n’était plus dangereuse, mais juste...
Désorientée. La Cérébrate était, après tout, une ancienne Tekhane, une scientifique qui avait fait des expériences de ce type, notamment sur des cobayes humains en leur injectant des gènes formiennes.
Tirch tomba au sol, et Irina se dressa devant elle.
«
Tu as un but, maintenant, Tirch... Une famille qui t’aime et qui prendra soin de toi, et te témoignera toute l’affection dont tu as besoin... »
Depuis les murs, des spores aphrodisiaques se libéraient ici et là. Si Irina y était insensible, ce n’était pas le cas de Tirch, qui les inhalait à pleins poumons. Irina caressa alors ses cheveux, et fléchit les genoux, son autre main venant caresser sa joue, son pouce glissant sur ses lèvres.
«
Tu seras notre tueuse... »
Irina se pencha alors, et l’embrassa sur les lèvres pendant quelques instants.
«
...Voilà ta cause, Tirch. Ta raison de vivre... Nous. »
-
Burinant le corps svelte et délicieux de Ilinia, frappant son cul et son bassin de leur hargne et de leur ardeur, ballottant son corps au grès de leur coups de butoir, enhardie par ses cries d’allégresse et de plaisir, comblant ses désirs au rythme de leur pénétration, fendant ses parois internes, de leur glaive impérieux, pourfendant ses envies de leur présence. Prise entre deux feux, subissant les assauts dévorants de sa Reine et de son amie, Ilinia ne pouvait que se réjouir et jouir, de l'intensité de ces assauts, fort et rapide, insatiable. Répondant qu'au nom de sa Reine et maîtresse, et de la luxure, Ilinia n'était qu'une créature de sexe, d'envie et de passion, pareille pour Rinko et Ania, fameux trio de délicieuse créatures, ardentes et dévoué, dévorer par le plaisir, le sexe et leur Reine.
Le temps n'était plus qu'une notion désuète et inutile. Intense et bon, au point d'en prendre l'esprit, elles ne pouvaient plus se situer, 15 minutes, 1 heure ou 3 heures, c'était du pareil au même désormais, cela ne sera au final toujours pas suffisant et parfois trop courts. Ainsi d'un moment aussi long que court, pour Rinko et Ilinia, vint afin pour la première et pour leur Reine, de se vider en Ilinia, la Reine honorant Ilinia de son foutre et Rinko remplissant son cul dans un long râle de plaisir, donnant quelque coup, se sentant se vider, sensation nouvelle, curieuse et au combien satisfaisante. Ilinia fut relâcher, glissant le long de sa Reine, tombant à terre, haletante l'esprit vaseux et envahit de plaisir, sur ses fesses, jambes replier, suivit de Rinko, qui s'affala sur elle, l'enlaçant et allant l'embrasser.
« Ne te repose pas trop vite, Ilinia... Il faut encore que tu t’occupes de moi, ma chérie. »
Ilinia brisa le baiser avec une sonorité mouillé.
-Oh oui ! Oh oui maîtresse ! Clamât Ilinia.
Ania, fut relâcher, alors qu'elle finit de jouir un énième fois, ne tenant plus debout, se traînant à quatre pattes, l'appel de sa maîtresse la forçant à venir, la langue pendante, de la mouille s’écoulant de ses lèvres intimes, glissant le long de sa verge. Rinko se relevant, aida Ilinia, avant de glisser ses mains vers ses lèvres intimes et de les écartés, tout en lui soufflant dans l'oreille ce qu'il fallait faire pour devenir un futanari. Elle s’exécuta et bout de quelque seconde, une belle verge jaillit de ses lèvres intime, lâchant un petit crie de surprise et de plaisir, projetant quelque filament de sperme, de mouille et de cyprine. Ania, qui reprenait ses esprits, se releva et se dirigea vers elles, alors que Rinko frottait sa queue contre celle d'Ilinia, un petit sourire vicieux au lèvre, fasse au gémissement de vierge et au visage rouge de Ilinia, face à sa nouvelle constitution, et au fait que Rinko frottait son gland contre le sien. Ania les rejoignit, Rinko l'informa .
-Qui s'occupe de quoi ? Demanda Ania.
-Je me suis réserver l’intimité de notre Reine ! Répondit Rinko
-Je prend son cul ! Annonça haut et fort Ania. J'ai eu ma fellation avec la tentacule.
-Bah je m'occupe de sa bouche dans ce cas ! Conclue Ilinia.
Les trois se dirigèrent vers leur Reine, démarche sensuelle et provocante, mais dont l'impatience, l'excitation, la joie et une certaine appréhension, se lisaient facilement, du fait qu'elles devaient baisé leur Reine, ce qui n'était pas rien ! Un honneur et une source d'excitation, les mettant quelque peu mal à l'aise. Tout juste futanaris et ayant reçu leur place de favorite que depuis peu de temps, maintenant le droit de prendre dans tout les sens leur Reine, y'a de quoi être un peu nerveuse.
Rinko prit sa maîtresse par les mains, l'invitant sur le lit qui venait de se former et plus exactement, à se coucher sur elle tout et à s'empaler sur sa belle trique. Gardant ses mains sur les fesses de sa Reine, Rinko les écarta, dévoilant sa rondelle à Ania, qui ne se fit pas prier, s'enfonçant brutalement dedans, lâchant un gémissement de plaisir, avant de suivre Rinko, qui avait commencer ses allées et venues. Mains sur ses hanches, Ania commença de manière vorace et sauvage, pilonnant le cul de sa Reine, fessant claquer bruyamment son bassin contre les fesses, serrant les dents, soufflant et gémissant de plaisir sauvage à travers, rapidement, de la bave se mit à couler de ses lèvres, alors qu'elle se lâcher. Rinko, y aller plus soft, même si le lit s'était adapter pour lui permettre de faire d'assez grand coup de bassin, elle le fessait plus lentement, savourant son le délice que d'écarter les parois humides de l'intimité de sa Reine, soupirant de plaisir et d’extase, profitant de chaque centimètre de pénétration.
Quand à Ilinia, elle s'était mit face à sa Reine, rouge, un peu intimité, respiration lourde, et peut être timide.
-Vous... vous pouvez me sucer ma Reine ? Dit-elle assez maladroitement.
La tekhane timide, un peu honteuse et mal assuré, avait la peau dure, peut être due à ça nouvelle constitution et le fait d'inverser les rôles sans doute. Mais Ilinia était plus entreprenant, présentant tout de même son tout nouveau membre aux lèvres de sa Reine, le pressant même jusqu'à ce que le gland passe sous les lèvres de sa Reine.
-Gyaaahhh... Gémit faiblement Ilinia.
Vierge de ce côté, ses gémissement et sa manière de se comporter, était pratiquement ceux découvrant le sexe pour la première fois, ce qui était le cas, le plaisir masculin étant tout nouveau pour elle. Elle tremblait et gémissait, tandis qu'elle glissait lentement son sexe dans la bouche de sa Reine, gémissant et tremblant à chaque coup de langue, effet de succion ou pression. Elle avait basculer la tête en arrière, yeux presque révulser, louchant vers le haut, en pleine extase, ses mains sur sa poitrine, se pinçant les tétons, laissant sa Reine faire le travail, bien trop perdue dans ses nouvelles sensations et plaisir d'une nouveau genre, bien qu'elle fit inconsciemment de petit mouvement de bassin.
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« Te tuer ? Ah ! Tu crois qu’on s’est embêtés à ce point à faire sauter ta programmation et ton conditionnement pour te tuer, ma chérie ?! »
-Je... de quoi vous parlez ? Demanda faiblement Tirch.
Mais elle fit rapidement le rapprochement, cela coïncidé avec son « retour », quand elle découvrit ses faux souvenirs. Mais une chose la dérangea, « programmation », « conditionnement ». Elle avait été manipuler et éduquer ? Cela voudrait donc dire que tout ces souvenir étaient ce qu'elle avait vécu et fait, suite à cela ? Qu'a cause de cette programmation et de ce conditionnement, qu'elle avait l'impression de tout regarder à travers une vitre, sans une once d'émotion ou de sentiments ? Elle ne fit pas attention qu'elle fut libérer de ses liens, mue par une seconde nature, elle se rattrapa intinctivement, sans s'en rendre compte. Tout ce qu'elle avait fait été réelle, parce qu'elle fut programmé et conditionné ? L'horreur dépeignit ses traits.
« Tu as un but, maintenant, Tirch... Une famille qui t’aime et qui prendra soin de toi, et te témoignera toute l’affection dont tu as besoin... »
La cérébrate lui caressa les cheveux, des spores aphrodisiaques émanant du mur, remplissant la salle d'une odeur douce et agréable, parvenant à adoucir les trait déformer de Tirch, ses pulsions bien trop longtemps mis à l'écart s'éveillant d'un sommeil très long, mais trop faible face à d'autre.
« Tu seras notre tueuse... »
L'embrassade laissa Tirch indifférente, perdue dans ses pensées.
« ...Voilà ta cause, Tirch. Ta raison de vivre... Nous. »
-Non... non... NON ! Hurla Tirch, la terreur dans la voix.
Trop rapide, d'un mouvements brusque Tirch balaya la cerebrate d'un mouvement du bras, la jetant sur le côté, hurlant non à répétition, la voix déchirante, saccadé et d'une tristesse. Elle se releva, mais tomba rapidement à genoux, hurlant, pleurant, se tenant la tête avec les mains, de toute ses forces, ce mettant en boule, tombant sur le côté.
-C'EST PAS MOI ! C'EST PAS MOI ! J'AI RIEN FAIT !
Les meurtres, les corps, le sang, les innocents et les criminels, des femmes, des hommes, des vieux, des enfants, civils, soldates, morts, tuer par elle, à la balle ou au couteau, égorger, tuer, exécuter, par elle, défilant devant ses yeux, un flots ininterrompue de souvenir de ses meurtres. Chez eux, dans leur lit ou devant leur proches, avent de les tuer aussi, en pleine rue, dans une salle blanche, attacher. Elle vomit, toussant et crachant, des filets s'écoulant de sa bouche, lui brûlant la gorge. Ce n'étaient pas de faux souvenirs, ce sont les les siens. Elle se vit même face à elle même, pas face à un miroir, une personne qui lui ressemblait et qu'elle savait que cette personne était elle même, une copie. Elle l'es avait combattue et tuer, s'était tuer elle même. S'en suivit de sa présence de la section Delta S, leur faire vivre le même cauchemar à ses pauvres femmes.
-C'est pas moi... sanglota Tirch, perdant tout moyen, cherchant à s'en convaincre. C'est faux... c'est pas moi...
Elle tremblait, parcourue de spam, sanglotant, murmurant en boucle ses paroles, comme une prière pour la délivrer de sa souffrance.
-
SARAH KERRIGAN
Sarah avait été claire avec ses trois concubines. C’était maintenant à elles de profiter de son corps, de jouer avec elle, mais elle leur laissait l’embarras du choix. Comment se positionner pour être les trois à la prendre, par exemple. Que de questions, que de choix ! Sarah était impatiente de voir comment elles allaient se décider, et, sans trop de surprise, Rinko, la fonceuse, aida Ilinia à faire sortir sa verge. Plus soumise, Ilinia suivait et lui obéissait, se retrouvant rapidement dotée, elle aussi, d’une belle trique tendue, qui se dressa fièrement. Rinko prit ensuite naturellement les initiatives, tandis qu’Ania se rapprochait également. La première intuition de Sarah était la bonne. Parmi ses trois concubines, Rinko serait toujours la meneuse, Ania une force tranquille, qui ne contesterait pas le leadership de Rinko, et Ilinia une soumise. Comme quoi, même en étant ses ferventes servantes, ces trois femmes continuaient à obéir à des schémas prédéterminés, à leur nature profonde, qui s’exprimaient désormais, puisqu’elles n’avaient plus aucune raison de la dissimuler. Là, plus personne ne les jugerait, elles n’avaient plus à porter un masque, à se conforter à des codes sociaux ou moraux, mais juste à vivre libres. Paradoxalement, le fait de servir Sarah leur permettait de s’épanouir.
Ayant rétracté sa verge, Kerrigan laissa Rinko la rapprocher du lit, où sa concubine se coucha sur le dos, offrant ainsi un accès à sa verge, qui se dressait fièrement sous le nez de Sarah. Cette dernière ne put que sourire, les yeux brûlant d’appétit, tout en voyant, dans son dos, Ilinia se mettre en position, l’une de ses mains gantées mastiquant sa verge. C’était la première fois qu’elle faisait appel à ses gènes hermaphrodites, et, partant de là, Sarah pouvait comprendre qu’elle ait du mal à se faire à la présence de ce membre.
«
Bien... Vous vous répartissez les rôles comme il faut, mes amours, c’est parfait ! »
Sarah avait de quoi être fière de ses petits anges. Rinko n’attendait plus que sa présence, et, sans guère la faire davantage patienter, Sarah se positionna. Elle sentit la verge de la femme caresser ses cuisses, et soupira légèrement, fermant les yeux, comme pour pouvoir apprécier davantage la présence de ce membre... Puis elle s’empala dessus, donnant un coup de reins. Un soupir s’échappa de ses lèvres, quand elle sentit cette belle verge remonter en elle, s’insinuant dans ses entrailles, et la faisant doucement vibrer.
«
Haaa... Ouiii... !! »
Han, quel plaisir ! Quelle vague, quelle énergie ! Elle ferma les yeux en gémissant, sentant cette vague l’emporter, et sentit, dans son dos, Ilinia se rapprocher. La jeune Tekhane n’attendit pas longtemps, et posa ses mains sur les hanches de sa Reine, avant de la bourrer également. Une vague supplémentaire éclata dans le corps de la Reine des Lames, qui en soupira encore, et sentit les deux femmes s’attarder en elle, avant de voir Ania se rapprocher.
Plus timide, elle demanda à sa Reine l’autorisation de se faire sucer, et cette dernière sourit malicieusement, avant de poser sa main sur la hampe de chair de la beauté. Son membre pulsait chaudement entre ses doigts, et elle le masturba légèrement, avant d’en approcher ses lèvres, et de le lécher, déposant également plusieurs baisers dessus.
«
Que je te suce, hein ? Tu en meurs d’envie, ma chérie... »
Difficile de le nier, quand on avait une telle trique ! Sarah sourit encore, pendant que sa tête glissait le long de cette queue, poussée par les deux amantes brutales qui lui faisaient joyeusement l’amour... Du moins, surtout Ania, puisque Rinko, du fait de sa position, était cantonnée à un rôle plutôt statique. Sarah prit ensuite, finalement, ce membre en bouche, et commença à la sucer, déplaçant ses mains pour les crisper sur les belles fesses d'Ilinia, et fila d’avant en arrière dessus...
IRINA
Quand Tirch se mit à paniquer, et repoussa Irina, les tentacules qui se trouvaient dans la pièce réagirent en conséquence. Un stimulus nerveux sembla les traverser, comme un réflexe d’autodéfense, et les tentacules se déplacèrent, prêts à fondre sur Tirch… Mais Irina les suspendit. L’humaine ne cherchait pas à se montrer violente envers elle, mais devait se confronter à son passé. Sous les ordres de l’état-major tekhan, elle avait accompli quantité d’actes horribles. L’armée ne cherchait pas qu’à éliminer des terroristes ou des espions. Parmi la liste des victimes de Tirch, il y avait aussi eu des civils, allant de
whistleblowers ayant envie de dénoncer les pratiques scandaleuses de leur entreprise, travaillant en partenariat avec l’armée, ou de journalistes désireux de révéler les implications du complexe militaro-industriel. Tirch avait dû tuer, sous bien des manières, et sous bien des façons, parfois en simulant un accident, parfois en torturant, parfois en s’immisçant dans la maison de ses cibles, abattant toute la famille afin de faire croire à une attaque de gang.
Elle avait été une tueuse très efficace, et sa conscience s’abattit sur elle. Elle se mit à pleurer, pendant qu’Irina, se remettant de son choc initial, se redressa, lui faisant face. En réalité, ce rebondissement offrait à Irina une opportunité tout à fait intéressante, et qu’elle ne comptait pas négliger stupidement. Elle se rapprocha donc lentement d’elle.
«
C’est bien toi qui as fait ça, Tirch. Tu es une meurtrière, et très douée dans ce domaine. »
Il était inutile qu’elle cherche à le nier, à contester son efficacité indéniable dans le meurtre et dans le massacre.
«
Alors… Es-tu prête à vivre avec le poids de ta culpabilité sur les épaules, Tirch ? Ou est-ce que… Si on t’offrait l’opportunité d’effacer de ta mémoire de tels souvenirs, tu accepterais ? Tu pourrais mener une autre vie, une vie tout à fait différente, et ce ne serait que justice. On t’a arraché à ton ancienne vie, Tirch, celle que tu menais avant de devenir la tueuse de l’armée. Alors… Ce que j’en dis, en toute honnêteté, c’est que tu mérites une seconde chance, pour avoir été la victime de leurs traitements et de leurs manipulations. Tu ne trouves pas ? »
-
Leur Reine offrait un merveilleux cadeau à ses concubines, si tôt alors que cela fessait que seulement quelque heures, sans doutes, qu'elles étaient officiellement ses concubines. Prise en sandwich par Ania et Rinko, qui se défoulaient sur elle, comme elle leur avait demander, mettant toute leur force et leur ardeur. Ania claquait par moment ses fesses et Rinko, à défaut de pouvoir embrasser sa Reine, lécher son coup, ses oreilles et ses mains s'amusant avec ses tétons. Si bon de ne pas être limité à servir que de sac à foutre, bien que cela leur plaisaient énormément, l'idée de pouvoir jouer les dominantes et d'avoir le privilège de pouvoir enfanter d'autre congénère, étaient d'une jouissance exquise. Claquement de bassin, souffle dur et rapide, gémissement et crie de plaisir, épopées des concubines de la Reine des Lames, odes de leur plaisir et de leur pulsions.
Mais la plus prolifique en gémissement et en crie de plaisir, était Ilinia. Elle recevait sa toute première fellation, avec sur son tout nouveau membre, fessant face à de toute nouvelle sensation, tenant mal en place, tremblante et parcourue de spams, ses mains crispaient dans la coiffure de sa Reine, qui lui pomper généreusement sa virilité, généreuse dans ses coups de langues et ses mouvements de têtes, dévoilant à Ilinia un tout nouveau monde de plaisir et de fantasme.
-Aaah... mmmh... par...pardon ma Reine... mais...AAAAH... je.... Bégaya Ilinia.
D'un ample mouvements du bassin, forçant un peu sur la tête de sa maîtresse, elle enfonça entièrement sa verge dans la bouche de sa Reine, glissant dans sa gorge, la déformant. Elle expira brusquement et respira par à coup, fortement et puissamment. Une gorge profonde, voilà donc les sensations que ressentait sa Reine ! C'était si bon, si exquis, si jouissif. Devant cette brusque arriver de sensations, et d'entre les bruits de succion de sa Reine, Ilinia jouit ainsi, directement dans la gorge de sa Reine, par à coup, donnant parfois un coup de bassin. Elle se retira un peu, sa verge perdant de sa viqueur, avant qu'elle ne ressente une figure au niveau de son mollet et que rapidement, sa verge se regonfle, reprenant sa dureté et sa stature, au plaisir de Ilinia, qui entraîner par cette vague, bougeant d'avant en arrière son bassin, baissant la gueule de sa Reine, le plaisir fort et intense, oubliant sa place, voulant qu'une chose : se faire plaisir.
Ilinia perdait de sa timidité de vierge et de pucelle pour sa première fois, agissant comme une perverse habituer à baiser maintenant, rattrapant ses camarades, mais pas aussi vorace et intense que ses amies. Elle avait encore de la route à faire pour être à leur niveau. Comblant leur Reine, autant de leur trique, de leur coups, que de plaisir, le trio de concubines fessait trembler son corps sous ses assauts, sans relâche. Ania, tellement plonger dans son office, ne stoppa même pas quand elle jouit, continua à être aussi bourrine et sauvage, une petite piqûre pour empêcher que sa vigueur ne pointe le sol. Rinko, pour sa part, quand elle vint à jouir, elle se contentât de petit coups à chaque gicler, gémissant puissamment, et la piqûre à sa cuisse, se mélangeant au plaisir. Mais elle stoppa, une idée traversa son esprit, esquissant un sourire malsain, venant même à émettre un petit rire vicieux, prêt de l'oreille de sa Reine.
Alors qu'elle enlaçait sa Reine, pelotant aussi ses fesses, elle fit signe à Ania, qui captiver par les fesses de sa Reine, ne put l'ignorer. Elle jeta un regard à Rinko, baissant ainsi la puissance de ses coups. Rinko, fit un rond avec sa main, puis fit entré et sortir son index de l'autre main. Signe très compréhensif, surtout quand elle désigna ensuite les fesses de la Reine, car Ania arqua un sourcil et leva les épaules en signe d'incompréhension. Elle refit le même geste, à l'inverse qu'elle rajouta son majeur et son pouce, avec un énorme sourire malicieux. Elle tapota la cuisse de Ilinia, qui baissa son regard vers elle.
-Arrête toi, je dois faire quelque chose.
-Mais j...
-Fais ce que je te dis. Intima Rinko. Tu ne le regrettera pas.
-D'accord. Abdiqua Ilinia.
Rapidement, Rinko alla embrasser sa Reine, l'invitant en même temps à se relever, quittant le lit et poussant Ania à se retirer. D'un même effort, Rinko et Ania soulevèrent par les cuisses et les fesses leurs Reine.
-Vous n'allez pas le regretter ma Reine. Ilinia aide nous pour son cul !
Ania enfonça son braquemart, à moitié, contre le qu'elle Rinko plaça le sien. Ilinia comprit rapidement ce qu'elle voulait faire et aida donc Rinko à enfoncer sa trique dans le cul, écartant la rondèle et poussant la verge. En quelque instant, le gland pus être enfoncer, s'en suivit du reste. D'un même mouvement, Rinko et Ania abaissèrent la Reine et remontèrent leur bassin, offrant une double sodomie à leur Reine.
-Bien Ania écarte toi un peu vers la droite. Ilinia place toi, ça sera plus facile pour y mettre la tienne. On ne sera pas trop à l'étroit à trois. Clamât Rinko, offrant un sourire vicieux et pervers à sa Reine ainsi qu'un regard envieux.
Obéissante, surprise et terriblement excité, Ilinia s’exécuta, et plaçant son gland contre la rondelle déjà bien déformer par les deux verges. Elle força et s'aida avec ses doigts, jusqu'à pouvoir difficilement mettre et enfoncer sa verge. À la hauteur de leur soumission, de leur plaisir et de leur admiration pour leur Reine, elles lui offraient une triple sodomie.
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« C’est bien toi qui as fait ça, Tirch. Tu es une meurtrière, et très douée dans ce domaine. »
C'était clairement dénuer de subtilité, ce qui fut pour Tirch, semblable à une lame plus aiguiser qu'un rasoir et recouvert d'acide qui s'enfoncer dans son cors, aggravant son désespoir, pleurant et criant encore plus fort. Les images se repassaient en boucle, comme un film sans fin, son esprit tétanisé dans l'horreur et le désespoir.
« -Tu est une machine de guerre.
-La meilleur soldate pour tuer.
-...»
Ses vérités et insinuations, se compléter aux images, plantant encore plus d'aiquilles dans son esprit torturé. Le plus troublant restant le fait qu'elle avait tuer des personnes qui lui ressembler en tout point. Elle se rendit compte que la femme lui parlait, en temps normale, son état ne lui aurait pas permit d'entendre et de comprendre tous les mots qu'elle lui disait, sans doute son esprit qui avait garder cette capacité à ce dissocier, d'isoler les sentiments et les émotions, pour garder un esprit froid, calculateur et réfléchit.
« Alors… Es-tu prête à vivre avec le poids de ta culpabilité sur les épaules, Tirch ? Ou est-ce que… Si on t’offrait l’opportunité d’effacer de ta mémoire de tels souvenirs, tu accepterais ? Tu pourrais mener une autre vie, une vie tout à fait différente, et ce ne serait que justice. On t’a arraché à ton ancienne vie, Tirch, celle que tu menais avant de devenir la tueuse de l’armée. Alors… Ce que j’en dis, en toute honnêteté, c’est que tu mérites une seconde chance, pour avoir été la victime de leurs traitements et de leurs manipulations. Tu ne trouves pas ?
-Non...nonnonnonnonnon. NON ! Hurla Tirch.
Elle se releva, et se mit face à la femme, tremblante, de la morve s’écoulant de son nez, les yeux rouges, les joues traverser par ses sillons de larmes. Bien piètre image de ce qu'elle était avant. Son visage, tordue par l'horreur et la tristesse, prit de nouveau trait, ceux de la rage et de la haine. Tout ce qui pouvait témoigner de son choc, de la tristesse et de l'horreur, avait disparue, comme si ça n'étaient jamais arriver.
-JE VEUX CREVER PUTAIN ! Je veux en finir avec tout ça ! Pourquoi tu veux que je vive ?! TU VEUX ME FAIRE LA MÊME CHOSE C'EST ÇA?! Tu..tutu tu veux me renvoyer dans cette salle hein ?! HEIN ?! Me faire souffrir, me transformer en automate, me mentir, me manipuler ! COMME ELLE ! Qu'elle seconde chance ?! Qu'elle justice ? Tu veux me faire la même chose.
Plus elle parlais, plus une lueur de folie percer son regard et plus sa voix prenaient des tons accusateur, fou et hystérique. Soudain, elle se paralysa sur place, avant de tituber en arrière, de regarde avec des yeux ronds la cérébrate, comme si elle découvrait quelque chose de choquant.
-Je... je suis chez les formiens.... ahahah... Émit Tirch. AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH ! Ria t-elle, un rire hystérique, fou, désespérer, avant de se remettre à pleurer et de tomber à genoux, son visage, mélangeant les trait du désespoir et de l'humour, fixant celui de la cérébrate. Je comprend mieux tes paroles... tu veux me transformer en pondeuse... vous m'avez libérer de mes chaînes pour mettre les vôtres. Je peux pas mourir ! Je peux pas...je peux pas... mourir ? Pourquoi... pourquoipourquoipourquoipourquoiPOURQUOI !? Hurla t-elle, le désespoir, la rage et l'incompréhension se mélangeant.
Puis brusquement, la cérébrate, pouvait clairement sentir une puissante soif de sang venant de Tirch, dont le visage devint déformer par l'envie de tuer. Elle allait l'attaquer, si la cérébrate ne réagissait pas vite... elle allait sûrement mourir. Mais elle disparue aussi vite, Tirch s'affaissant sur elle même, prenant un visage déconfit et abattue.
-Pourquoi on s'acharne sur moi...
-
SARAH KERRIGAN
Comme preuve de la confiance qu’elle leur accordait, Kerrigan avait laissé à ses trois concubines le soin de faire ce qu’elles voulaient à son corps, la seule condition étant de lui faire plaisir. Elles disposaient donc d’une grande marge de manœuvre, qu’elles utilisèrent en commençant par la prendre dans tous les trous. Qu’elles ne craignent surtout pas d’atteindre les limites de leur Reine, Kerrigan leur avait déjà montré qu’elle pouvait baiser à un rythme intense pendant des heures, voire des jours, sans se lasser. Elle n’était pas la redoutable Reine des Lames pour rien. Ilinia, surtout, découvrait avec joie de grands plaisirs. Elle en était si excitée qu’elle en bavait, ne retenant plus sa salive, tout en enfonçant sa grosse trique dans ses lèvres, faisant doucement soupirer Kerrigan, qui sentait sa verge glisser longuement et lourdement en elle.
«
Hmmmmmm... !! »
Sexe, sexe, sexe,
sexe ! Un maître-mot qui les définissait toutes les quatre. Elles succombaient à leurs vils instincts sans aucune honte. Plus aucune velléité de résistance, rien d’autre que l’appel du sexe, de la plus profonde luxure. Leur vie ne se résumerait désormais plus qu’à ça : du sexe intensif. Sarah les sentit s’abandonner en elle, et, rapidement, Rinko vint donner des instructions. Sarah resta silencieuse, mais, télépathe, elle savait déjà ce que Rinko avait en tête, et esquissa un léger sourire.
*
Le plus beau, c’est que je n’ai même pas eu besoin de lui implanter cette idée dans son esprit...*
Ania et Ilinia eurent un peu plus de mal à comprendre, et cette petite scène confirma le fait que, dans ce trio de salopes roses, Rinko serait la meneuse. Aucun souci pour Sarah, qui voulait juste s’assurer que le trio ne se disputerait pas. Mais, visiblement, les deux admettaient, au moins pour l’heure, très facilement le leadership de Rinko. Kerrigan se redressa donc, et se concentra. Elle allait leur faciliter un peu la vie en rétractant les pattes arachnéennes dans son dos.
Ce faisant, la jeune femme rejoignit ensuite la position qu’on lui demandait, et se mit à quatre pattes, pendant que les trois Tekhanes se déplacèrent, avec leurs verges trempées et dures. Le fondement de leur Reine les attendait, mais encore fallait-il trouver une bonne position. Rinko donna des ordres, Sarah sentit une main s’appuyer sur ses cheveux, une femme se mettre sous elle, pendant qu’une autre se plaçait dans son dos, et la troisième s’asseyait sur elle, guidant son sexe vers elle.
«
A-Allez... Ve-Venez, mes chéries... »
Peu à peu, les verges s’enfoncèrent en elle, et la triple sodomie (http://img110.xooimage.com/files/7/3/5/32793ef1-5288644.jpg) put commencer.
«
Hnnnnnnnnnn... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Sarah ne tarda pas à hurler, les yeux écarquillés. Ilinia était la plus en hauteur, une main s’appuyant sur sa Reine, et glissait en elle de haut en bas. Rinko, elle, se trouvait dressée derrière elle, et Ania, enfin, était couchée contre le corps de sa Reine. Ainsi, leurs trois queues pouvaient s’enfoncer en elle, labourant furieusement le cul de Kerrigan, qui hurlait, tant de souffrance que de plaisir. Elle pouvait l’endurer, certes... Mais ça ne signifiait pas qu’elle ne ressentait rien.
Au contraire, cette séquence était particulièrement intense, terrible à bien des égards.
Rien ne lui était épargné, et elle raffolait de cette scène
«
O-oui, pu-Putain, hmmmm... Gnnnnn... En-Encore, haaaaaaaaaaa... !! DÉFONCEZ-MOI, MES SALOPES !! »
Difficile de faire plus clair, non ?
IRINA
Nerveuse et instable, Tirch commençait à comprendre ce qui allait lui arrivera. Elle voulait tout simplement mourir, et, en comprenant qu’elle allait devenir une pondeuse, s’énerva. Irina se mit sur la défensive, prête à se défendre en faisant appel à ses tentacules... Mais, finalement, la colère de Tirch s’évanouit aussi vite qu’elle était apparue, et un long silence s’instaura entre les deux. Irina savait que la situation était tendue, mais elle n’avait pas non plus envie de gaspiller tout ce qu’elle avait fait jusqu’ici.
Finalement, quand Tirch sembla s’être suffisamment calmée pour l’écouter, Irina parla. La Tekhane était alors prostrée au sol.
«
Nous avons travaillé sur toi pendant des heures, et dépensé quantité de ressources pour te libérer de ton conditionnement tekhan. Alors, on peut faire de toi une pondeuse... Mais je pense que ce serait du gâchis, tu ne trouves pas ? »
Question purement rhétorique, mais qui était destinée à montrer à Tirch que plusieurs options s’offraient à elle.
«
Un autre Annexien t’aurait tué dès qu’il aurait constaté qu’il ne pouvait pas t’engrosser. Mais ma Reine a choisi de t’épargner, et de te soigner. Tu es une tueuse terriblement efficace, Tirch. Et on ne veut pas que tu perdes tes capacités. »
Irina manquait sans aucun doute d’empathie, mais, en même temps, elle en avait toujours été dénuée. Elle avait toujours été une scientifique froide et relativement détachée, qui n’avait connu la passion qu’en devenant une Formienne. La Cérébrate marcha un peu, et précisa le fond de son idée :
«
On ne va pas te tuer. Tu n’as plus rien, plus de proches, plus d’amis... Tu n’as plus que nous... Nous, et ta vengeance. Ce sont les Tekhanes qui ont fait de toi un cyborg, pas nous. Nous, nous t’offrons le choix. Souhaites-tu que ton passé soit réécrit, ou rester comme tu es ? Souhaites-tu être une pondeuse, et ne plus jamais avoir à te poser de questions, ou rester comme tu es, et te venger de celles qui t’ont fait ça ? »
La Cérébrate se déplaça un peu, fléchissant les genoux devant elle, se rapprochant de la femme.
«
Les Formiens ne sont pas plus monstrueux que les humains, et sont même bien plus honnêtes. Nous t’offrons une nouvelle raison de vivre, une grande famille à rejoindre, mais on ne te tuera certainement pas. Tu n’as plus rien maintenant, Tirch... Mais tu peux encore en récupérer beaucoup. Tu peux te reconstruire, te venger, faire payer à celles qui t’ont mis dans cet état leurs actes. »
Et quelle aubaine ce serait pour Kerrigan ! Tirch n’étant pas infectée par des spores formiennes, et étant, de surcroît, très douée, elle pourrait réellement s’avérer être une arme fatale pour le compte de la Reine des Lames.
Ne restait plus qu’à la convaincre que c’était la meilleure option possible pour elle.
-
Même avant qu'elle ne soit briser et son esprit remodeler, Rinko à toujours était une perverse, mais dans une moindre mesure bien évidemment. Sa nouvelle vie en temps que concubines de la Reine des Lames, avait fais grandir de manière exponentielle sa perversité (ce qui pouvait expliquer sa position de dominante face au deux autre et Ilinia de soumise pour le trio, au vue de son absence de perversité avant), s'exprimant par cette triple sodomie et d'autre idée fourmillant dans son nouvelle esprit, que se soit pour ses deux camarades ou pour les autres filles, qui au passage n'était plus vue que comme inférieur à elle. Une pointe d'orgueil parmi la luxure.
Pour l'instant, ayant de nouveau basculer sur le lit et changer de position, les trois camarades luttant pour faire entré leur sexe dans le fondement de leur Reine, gémissant sous les frottements, la douleur qui en résulter, mais surtout de l'étroitesse des lieux. Rinko ne put que se félicité de son idée, devant le plaisir qu'elle en tirer. Ce fut leur Reine qui leur donna le départ, s'enfonçant longuement de tout leur long, Ilinia étant la plus rapidement due à sa positon, tout son poids reposant sur sa verge, s'enfonçant lourdement dans sa Reine, suivit de Rinko, en pole position pour s'enfoncer, tirant sur les fesses de sa Reine pour s'aider et Ania qui fessait au mieux.
Une fois au maximum, les choses sérieuses purent commencer ! Rinko, parvenait à aller et venir rapidement, limant tout sur son passage, donnant de grand coup de bassin, lâchant des gémissements et des cries de plaisirs, cherchant la brutalité, sortant parfois intentionnellement, pour s'y enfoncer avec plus de force. Ilinia, alla plus lentement, mais ses coups ne manquait pas de panache, s’écrasant de tout son poids sur sa Reine, son manque de pratique ne ce fessant pas sentir, frappant l'intérieur de sa Reine pour lui donner le plus de plaisir, cherchant à lui faire honneur. Ania, donnait des coups sec, ne sortant qu'a moitié, gardant un rythme soutenue et rapide, peut être plus que Rinko, malgré sa position.
« O-oui, pu-Putain, hmmmm... Gnnnnn... En-Encore, haaaaaaaaaaa... !! DÉFONCEZ-MOI, MES SALOPES !! »
-AAAAHH... avec plaisir MMMMH.. ma Reine ! Répondit Ilinia.
-AAANNNHH... vous...oouuuh.... ne... pourrez...AANH... Plus vous... asseoir maîtresse ! Souffla au mieux Rinko.
Ania se contenta d'aller l'embrasser de force, dévorant ses lèvres, et d'avaler la salive de Reine, pour toute réponse. Ilinia gagna en rythme, s'enfonçant toujours aussi lourdement, mais aussi plus rapidement, fessant trembler le corps de sa Reine. Rinko changea de tactique, allant le plus fort possible, perdant en vitesse, mais fessant bouger les trois autres, Ania garda son rythme, pénétrant le plus vite sa Reine. Le plaisir n'était pas le seul résultat, se confondant avec la douleur, leur queue se frottant vigoureusement, bien qu'une tentacule y avait glisser un peu de lubrifiant pour les aider.
Elles gardèrent le rythme une quinzaine de minute, leur passé de soldate et les avantages de leur Reine les aidants, mais elles ne purent retenir l'orgasme fulgurant, qui les clouas sur place, s’écrasant au plus profond de leur Reine, hurlant de plaisir, ne pouvant formuler de mots, larguant leur jets de foutre, se vidant une longue minutes. Leur crème blanche, chaude, épaisse et visqueuse, glissa du fondement, profitant des espaces vides entres les trois sexes et les parois rectales. Ilinia s’écrasa sur sa Reine, haletant profondément et puissamment, les deux autres pareils, Rinko s'appuyant sur les fesses douces et généreuse de Ilinia et Ania profitant des seins de sa Reine et une nouvelle fois de ses lèvres. Aucune des trois ne se retira, restant encore planter ainsi.
La fatigue les tenait, restant des humaines, mais une piqûre s'occupa de leur apporter des nutriments et de les maintenir en forme, repartant à l'assaut du cul de leur Reine, mais Rinko imposa le rythme y allant plus doucement, continuant à donner des coups, mais moins intense.
-Souhaitez vous que l'ont continue ma Reine ? Ou que nous changions de jeux ? Demanda Rinko, comme une servante.
-C'est possible de jouer avec vos filles aussi ma Reine ? J'aimerais leur faire autant plaisir qu'a vous ! Demanda Ania.
La perspective de servir de jouet à la Reine et à ses filles, faillit la faire jouir une deuxième fois, et ne manqua pas de suscité l'envie chez les deux autres, bien que Rinko eu une penser pour leurs autre camarades, voulant leur rendre une visite et profité d'elles, et mettre à profit plusieurs fantasmes. Mais ce n'était qu'une penser, le reste de son esprit partageant l'avis de ses consœurs.
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Après les tirades de la cérébrate, Tirch se contenta de la regarder sans émotions, comme déposséder de ces derniers, changeant radicalement de ce qu'elle était il y a quelque minute.
-Vous m'avez... libérés. Mais tu me menace ensuite de faire de moi un pondeuse et de me lobotomiser, si je refuse de devenir celle que j'étais avant, une machine à tuer. Clamât Tirch, gagnant peu à peu une voix fébrile et las. Mais qu'es qui vous as empêche de me reprogrammé ? La pitié ou la compassion ? Ou ça t'amuse de me faire souffrir ? Crachat Tirch sur un ton haineux et triste. Tes belles promesses sont juste là pour me torturer et me faire désespérer, ce monstre s'est servir de mon vœux le plus chère pour faire de même ! Tu me menace de me faire passer de mon conditionnent de machine à tuer à celui de machine à pondre et tu te dis meilleur ? Tirch continua de parler, sa voix prenant des teintes de démence et de peur, changeant parfois pour l'ironie ou l’exaspération. Vous me parlez de trifouiller mon cerveau et ma mémoire, comme elle et elle l'a fait sans se soucier de moi. Un gâchis, elle m'a dit la même chose. Vous voulez vous servir de moi comme d'une arme, m'utiliser pour vos besoins. Comme elle ! Laisse moi deviner : à tes yeux je serais un atout profitable et très utile pour ta Reine des Lames, et qu'elle aurait peut être plus à gagner en me gardant. J'étais un atout profitable et très utile pour l'armée, et elle avait plus à gagner en me gardant. Tu veux juste me faire revivre les mêmes choses, la conscience en plus.
Tirch se mit au niveau de la cérébrate, qui pouvait comprendre aisément en plongeant son regard dans le sien, que Tirch n'était qu'un esprit faible et sans volonté, qui avait abandonner depuis longtemps toute idée de vivre ou de se reconstruire. Trop longtemps user et abuser, Tirch n'était qu'une coquille vide, en proie à des saut d'humeurs et d'émotions, détraquer et briser. Elle l'attrapa par les épaules, des larmes se mettant à couler et la secoua assez brusquement, avant de s'écrouler, tombant à genoux, ses bras restant accrocher à la cérébrate, au niveau des coudes, parlant d'une voix briser, faible et désespérer.
-Comment... comment je peux penser me reconstruire... tu l'a dit toi même, je n'ai plus rien et plus que vous... mais vous êtes comme elle... et là-bas c'est la même chose... tu parle de famille, de vengeance, mais je sais même pas ce que ça signifie et représente pour moi... c'est uniquement parce que j'ai ce corps que tu t’intéresse à moi... alors...
Tirch tira brusquement la cérébrate vers elle, venant cogner violemment sa tête contre la sienne. Les tentacules jaillirent et agrippèrent Tirch, mais sa prise était un étau d'acier, qui aurait sans doute briser l'articulation d'un humain normale, les empêchant de les séparer. Plongeant sont regard animé par la colère et la rage dans celui de la cérébrate, avant de parler d'une voix forte et colérique, rageuse et teinté de désespoir profond, sur un fond triste.
-Alors pourquoi tu me bassine avec tes histoires de famille et de vengeance !? Tu en a rien à foutre de ce que je peux penser ou vouloir ! Tu crois que ça me fais plaisir de me savoir libérer de mon conditionnement ? Et de réaliser ce qu'on à fait de ma carcasse et ce qu'on m'a fais faire ? Tu croyais que j'allais sauter de joie, te remercier et me soumettre ? Au moins je souffrais pas, je ne pensais pas... t'es presque plus ignoble que cette salope. Vous m'avez fais souffrir et continuer encore. J'suis juste un pantin pour vous... ait au moins la décence de ne pas me laisser dans les tourments d'être encore en vie, consciente et d'essayer de me faire croire à qu'il y a autre chose pour moi !
La cérébrate pouvait aisément comprendre que rien ne ferrait changer Tirch et que son esprit était bien trop fort sur sa volonté de mourir, comme un instinct et une chose innée de son inconscience et que, paradoxalement, même sa volonté facile à modeler ne pouvait détruire. Son approche était mauvaise et devant elle s'ouvrait qu'une manière pour soumettre Tirch à la Reine des Lames et réaliser ses desseins, Tirch étant quasiment d'accord à ce qu'on la reprogramme, enfin de la sauver du fait d'être consciente de ce qu'elle est devenue.
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SARAH KERRIGAN
Sarah s’était longuement amusée avec ses magnifiques concubines, aussi perverses que délicieuses. Elle ne cessait de se le répéter, mais elle était vraiment bluffée par le travail accompli par Abathur. Il n’y avait plus aucune once de velléité en elles, mais, au contraire, une profonde acceptation de leur sort, avec un enthousiasme qui faisait plaisir à voir. Leur triple sodomie avait été terrible, et Sarah avait bien besoin de repos… Pendant quelques minutes au moins. Les trois l’avaient baisé avec passion et envie, et, maintenant, il fallait penser à d’autres réjouissances. Elles proposèrent alors de rencontrer les filles de Sarah, et la Reine des Lames acquiesça lentement, un léger sourire sur le coin des lèvres.
«
Ma foi… Pourquoi pas ? L’une est proche, en plus… Et avec l’une de vos amies, qui plus est. »
Après tout, Sarah avait dispersé les Tekhanes capturées à travers la Fourmilière. Elle s’avança alors, et s’appuya contre le mur, avant de soupirer lentement. Elle avait encore très mal aux fesses, et se pinça les lèvres.
«
Vous ne m’avez vraiment pas loupé, les filles… Ça… Ça se paiera ! »
Mais pas tout de suite… Pour l’heure, Sarah sortit de sa chambre, et s’avança à travers une pièce beaucoup plus grande, son nid, spectacle de luxure permanente. Il y avait ici quantité d’œufs et de femmes en train de se faire baiser par des tentacules, accrochées aux murs, à moitié ensevelies dedans, ou à même le sol, des Formiens les prenant vigoureusement. On pouvait généralement voir des Zerglings, des espèces de gros chiens violets, mais il y avait aussi des créatures plus originales (http://img110.xooimage.com/files/8/9/d/89df53f76ca6fb5d8...94b9d787-52f970f.jpg), comme de longs vers luisants avec des tentacules qui baisaient les femmes sans relâche.
Sarah laissa les trois belles Tekhanes observer tout ça, comme autant de prémices pour ce qui arriverait ensuite, et rejoignit un couloir, délaissant son nid principal, pour s’aventurer au cœur de sa colonie, de sa grande Ruche. Tout, ici, bourdonnait de vie et d’activité. Il y avait des créatures partout, tout simplement. Sarah s’avança à travers un couloir latéral, longeant de multiples alcôves menant à des nids, où on entendait des couinements, des soupirs, voire parfois des hurlements de douleur. Partout, du sexe, sauvage, débridé et intense.
C’est ainsi que Sarah s’approcha d’une pièce au fond du couloir. Le mur s’ouvrit devant elle, et elle invita Ilinia, Rinko et Ania à entrer. À l’intérieur, une femme était prise en levrette, avec une belle combinaison blanche, et le visage recouvert en partie par un
Facehugger rose qui s’était plaqué sur elle, et enfonçait dans sa bouche une queue énorme, véritable trompe qui s’enfonçait dans sa gorge, et pondait directement des œufs dans son estomac.
Les Tekhanes ne pourraient que la reconnaître, puisqu’il s’agissait de
Shield (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2077376). Et, pendant qu’elle se faisait ainsi prendre par la bouche, dans son dos,
Elvennya (https://orig11.deviantart.net/54c9/f/2013/205/e/7/elvennya_by_sade75311-d4d0hqj.jpg), l’une des magnifiques Cérébrates de Kerrigan, la bourrait furieusement.
Un ravissant spectacle pour les concubines de la Reine…
IRINA
Les choix qui s’offraient à Irina étaient plutôt limités. Elle savait que le destin de Tirch n’était pas d’être une pondeuse. Certes, des opérations supplémentaires pourraient permettre de la rendre fertile, de la féconder, mais, vu son potentiel, ça aurait été un gâchis. Tirch représentait une opportunité rare pour Sarah, l’occasion de lui permettre de disposer d’une arme spéciale, d’une tueuse à déployer en territoire ennemi. Un cadeau beaucoup trop précieux pour que les Formiens la négligent, mais, en libérant Tirch, en la sortant de son conditionnement, ils l’amenaient à affronter la vacuité de son existence. Et ça, Tirch le refusait. De sa crise de colère, c’est tout ce qu’Irina retint : sa volonté… De ne plus avoir de volonté. Tandis qu’elle se crispait contre Irina, comme paniquée, Tirch perdit peu à peu de sa force, surtout quand un tentacule se rapprocha, et planta dans sa nuque un anesthésiant.
«
Soit… Comme tu veux. »
Affaiblie, Tirch ne put rien faire contre d’autres tentacules, qui s’enroulèrent rapidement et fermement autour de ses poignets et de ses chevilles, et la plaquèrent contre le mur, la suspendant au-dessus du sol.
«
Tu vas donc subir un traitement maximal, ma chérie… Un traitement qui effacera toute trace de ce que tu étais. Plus de conditionnement robotique, mais un conditionnement basé sur le sexe, sur la sécrétion d’endorphine dans ton corps… Un traitement qui te fera comprendre que le sexe est une forme d’aliénation, et que, à force de vivre dedans, ton esprit en finira définitivement fracassé. »
D’autres tentacules se rapprochèrent, déchirant la combinaison de la femme, dévoilant l’accès à ses seins, et plantèrent des seringues à hauteur de ses tétons, chaque tentacule diffusant un puissant aphrodisiaque, pendant que d’autres caressaient et se masturbaient contre son corps, grouillant autour d’elle. De multiples tentacules roses et gluants, qui allaient placer Tirch dans un état de désir lancinant.
«
Sexe… Sexe… Sexe. Plus rien que le sexe pour toi. »
Tirch allait subir un entraînement optimal, elle allait être baisée sans relâche, pendant des jours entiers, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien d’elle. Pour l’heure, les tentacules la caressaient, la pressaient, afin de développer en elle un sentiment profond de frustration…
-
« Ma foi… Pourquoi pas ? L’une est proche, en plus… Et avec l’une de vos amies, qui plus est. »
-Super ! Je voulais les voir aussi ! Lança Ania, toute contente, sa queue se durcissant à cette simple idée.
-La sextion Delta Sexe. Ironisa Rinko, en se léchant les lèvres, en imaginant des orgies avec leur Reine et ses filles.
-Elles seront ravie. Souffla Ilinia, partageant les mêmes visions visiblement.
« Vous ne m’avez vraiment pas loupé, les filles… Ça… Ça se paiera ! »
Rinko regarda sa Reine avec défis, comme si ça lui donnait envie de faire plus, voulant jouer avec le feu, Ania avait hâte de voir ça et Ilinia avait une certaine crainte, craignant d'avoir froisser leur Reine, mais en étant aussi excité. Le trio suivit leur Reine, sexe à l'air, plein de vigueur, sentant faiblement le manque de sexe faire sont apparition. Sur le chemin, Ania se masturba en marchant, son visage crisper par l'impatience ; Rinko s'amusa à balancer son sexe à droite et à gauche, marchant de manière vulgaire et exagérer, le regard fulgurant et Ilinia jouait plus ou moins inconsciemment la prude, rougissant et un peu honteuse. Chacune commençait à créer son rôle, influencer par leur ancienne manière de vivre : Rinko, la meneuse et la plus intrépide ; Ania, la folle de sexe et constamment en manque ; Ilinia, la soumisse et la plus prude.
Ainsi, la Reine et sa suite, traversa son nid, le trio jetant plusieurs regard, surprit, curieux et envieux, mais en aucun cas rebuté. Il n'y avait pas de place pour autre chose que la luxure et le sexe, parfaite vitrine de la vie formienne, sexe, sexe et encore sexe. Et cela en n'était qu'une partie, attisant en les seules femmes libre de leur mouvement, la frustration, le manque et la curiosité. Mais elles ne pouvaient rien satisfaire, car leur Reine ne leur avait donner la permission et qu'elles avaient déjà à faire. Et puis elles avaient tout le vie devant elles pour en profiter.
Elles suivirent donc leur Reine, passant dans un couloir, guidant ses concubines dans la colonie, leur fessant découvrir de nouveau lieu, laissant leur esprit imaginer d'où pouvaient devenir ses cries. Elles en perdaient presque la tête, tout étant promesse de luxure et de baise ! Enfin, le groupe prit un ultime couloir, arrivant devant mur qui s’ouvrir en deux, les laissant passer, sous l'invitation de leur Reine. Ainsi elles purent contempler la délicieuse fille de leur Reine, la reconnaissant presque d'instinct, plus facile pour Ilinia et Ania, car c'était celle qui l'avait capturer avec Mixim, Shield et Ania. Une sorte de retrouvaille familiale, seule Mixim manquant à l'appel.
Ensuite vint la découverte de l'heureuse élue de cette levrette, qui malgré l'étrange créature, le trio n'ayant jamais vue quelque chose de ce genre, purent identifier leur camarade Shield, reconnaissable entre mille avec sa combinaison blanche. Par pure plaisir malsain, Rinko resta sur place, se masturbant en regardant le spectacle, une expression vicieuse et malsaine sur son visage, accompagnés d'un sourire tout aussi malsain. Ania, plongea plus ou moins sur la cérébrate, venant se frotter contre elle, allant l'embrasser goulûment, insatiable et impatiente, venant prendre en mains ses seins, tandis que Ilinia se mit de l'autre côté et en fit autant.
-Ravie de vous revoir maîtresse. Souffla t-elle.
Et alors qu'elle était occuper à culbuter Shield, la cérébrate avait deux plantureuse créature pour s'occuper d'elle, la caressant, se frottant contre elle, prête à répondre à tout ses désirs.
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« Soit… Comme tu veux. »
Alors que le calmant commencer à faire effet, Tirch releva la tête, fixant étrangement la cérébrate, le doute et la suspicion dans le regard. Des tentacules l'agrippèrent et vinrent la plaquer au mur, empêchant tout mouvement de sa part, fixant d'un regard vide la cérébrate.
« Tu vas donc subir un traitement maximal, ma chérie… Un traitement qui effacera toute trace de ce que tu étais. Plus de conditionnement robotique, mais un conditionnement basé sur le sexe, sur la sécrétion d’endorphine dans ton corps… Un traitement qui te fera comprendre que le sexe est une forme d’aliénation, et que, à force de vivre dedans, ton esprit en finira définitivement fracassé. »
-Arrête de parler et fais le. J'ai déjà vécu ça, t'a beau changer la forme, ça reste pareil, pour ce que ça me change. Lâcha Tirch, dans l'indifférence total.
Néanmoins, le ton de sa parole, trahit un profond soulagement, et son regard... du bonheur et un remerciement, interprétable à souhait. En même temps, des tentacules commencèrent leur office, attaquant ses zones érogènes, glissant, frottant et bavant dessus. Des tentacules lui infligèrent des piqûres dans ses tétons, diffusant leur aphrodisiaque. Pour autant, Tirch ne changea pas, sans doute trop éprouver et endommager par son conditionnement, ne pouvant pleinement ressentir ses sensations, ravivant des fonctions morte jusque là, son esprit et son cerveau ne pouvant interpréter ces sensations comme il fallait.
« Sexe… Sexe… Sexe. Plus rien que le sexe pour toi. »
Tirch commença à disparaître dans le mur, écoutant cette dernière parole. Elle n'en serait sans doute rien, elle sera à nouveau morte d'ici là, et puis elle savait à quoi elle allait servir réellement. Une fois dans le mur, des dizaines et des dizaines de tentacules grouillèrent sur son corps, enfermer dans une bulle de vapeur aphrodisiaque, baignant dans la bave et rapidement dans le sperme, des tentacules jouissant contre elle, la recouvrant d'un voile blanc, avant que les premières tentacules, plus épaisse que les autres, ne commences à la pénétré, commençant son traitement.
Elle n'avait pas d’identité, pas de vécue, une machine, dénué de vie et de sens. Son esprit et son cerveau, deux entités habituer à être programmer. Tirch ferma les yeux, laissant la tentacule pénétrer en profondeur, se laissant aller, oubliant tout, ne pensant plus par elle même, laissant la programmation l'effacer. Si forte pour mourir, si faible pour résister, quelque jours suffiront pour la conditionner, tout son être étant si malléable. Comme si déjà programmer, son esprit et son cerveau feront le vide, et se laisseront manipuler pour leur nouvelle fonction. Ou bien es cette infime partie de celle qu'elle fut jadis, celle ne voulant que mourir, qui fessait tout pour ce faire oublier, entraînant sa conscience, ce qui fessait son humanité et son libre arbitre, disparaissant peu à peu dans les méandre de son esprit, laissant le loisir à celui qui veut de créer sa Tirch à la fin, cédant à l'oublie, à l'ignorance, pour ne pas affronter ce qui reste d'elle.
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Que serait une Reine sans ses concubines, pour l’accompagner, la soutenir, la chérir, et l’aimer ? Sarah adorait déjà Rinko, Ilinia, et Ania. Trois beautés, trois perverses, et, pourtant, trois femmes avec des tempéraments très différents. C’était la grande force du lavage de cerveau formien. Il ne transformait pas les gens en zombies décérébrés, mais les rendait plus dociles, et infiniment plus pervers. Une véritable réussite ! Et, sur ce point, les trois concubines étaient une perfection complète. Fort heureusement, les traitements d’Abathur avaient aussi été très efficaces sur les autres, notamment sur Shield. Elle était actuellement enceinte, portant dans son joli ventre de beaux petits œufs qui étaient en train de pousser. Le Facehugger venait justement de les répandre en elle. On avait pu voir des poches grossir à hauteur de son corps, avant de se dégonfler quand il avait balancé l’œuf dans la gorge de la femme. Il se retira ensuite, tombant au sol. Cet ultime geste avait provoqué sa mort, mais il ne serait pas mort en vain, ca,r sous peu, Shield donnerait naissance à un magnifique Xénomorphe !
Pour l’heure, il fallait s’occuper d’elle. Pour Sarah, c’était l’occasion de voir si les concubines ne risquaient pas de rémission. C’était inconcevable, bien sûr, mais il valait mieux éviter les mauvaises surprises. Rinko observait la scène, et Ilinia et Ania, elles, rejoignirent Elvennya. La Cérébrate avait jadis été une elfe guerrière tekhane (https://orig00.deviantart.net/1f3d/f/2015/278/0/6/elvennya_by_sade75311-d8toytk.jpg), qui combattait les Formiens, et menait au profit des Tekhanes sons avoir elfique pour mener à bien des expériences contre les Formiens. Une scientifique-guerrière assez douée, qui avait mené une expédition tekhane dans les profondeurs d’une profonde forêt de Terra, à la recherche d’une Bio-ruche. C’est là que Sarah avait affronté Elvennya. L’elfe s’était battue vaillamment, mais Sarah l’avait vaincu, et l’avait violé à même le sol, au milieu de leur camp, avant de la confier à Abathur. Et, comme à chaque fois, le technogénéticien avait fait des miracles, pour aboutir au résultat actuel.
En voyant les deux concubines, Elvennya retira son sexe du corps de Shield, et Sarah incita Rinko, visiblement impatiente, à y aller. Shield était en sueur, reprenant difficilement ses esprits, le visage parcouru de traces blanchâtres et crémeuses. Kerrigan se déplaça devant Shield, et serra ses cheveux d’une main, plaquant son bassin contre sa tête, écrasant sa queue contre son nez.
« Suce-moi, sale pute. »
Pendant ce temps, Elvennya rentra ses tentacules, prenant une forme plus élégante (https://orig00.deviantart.net/0041/f/2013/205/e/1/elvennya_by_sade75311-d3ekv54.jpg), terriblement sensuelle, avant d’embrasser à pleine bouche Ania, ses mains se crispant sur les fesses des deux Tekhanes.
« Les concubines de Maman... Vous êtes superbes, toutes les deux, des vraies chiennes ! »
Elvennya était sincèrement ravie, et continua à les embrasser à tour de rôle, avant de leur donner ses instructions.
« Venez me baiser... Venez montrer à Elvennya combien vous êtes fécondes, mes deux salopes ! »
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Elle ne pouvait penser, elle ne pouvait réfléchir. Il lui était impossible de se souvenir exactement ce qui lui était arriver, après avoir été congédier par sa Reine. Elle avait finit au main de tentacules, coincer dans un mur, se fessant prendre dans tout les sens, sans relâche, les tentacules se vidant en elle jusqu'à la faire vomir du sperme tellement qu'elle débordait, si bien qu'elle ne pouvait même pas voir son environnement. Après un temps qui aurait pus être infinie, elle fut relâcher, les tentacules la soutenant, incapable de la tenir. Une des filles de sa Reine était venue pour elle, la reconnaissant vaguement, lâchant un « maîtresse » étouffer et faible, sa bouche pleine de sperme et ayant du mal à parler, tellement que sa bouche fut pénétré. Elle lui avait mit une de créature sur le visage qui s'était aggriper à sa tête, pour enfoncer une queue épaisse pour sa taille dans la bouche entrouverte de Schield, sans aucune délicatesse, la fessant gémir sous le coup, et de commencer à baiser sa bouche. Elle fut ainsi plonger dans le noir, puis mise à quatre à patte avant de ce faire sodomiser pour une longue durer, le tout dans la béatitude et le plaisir, gémissant d'extase. La créature sur son visage, posséder des poches à œufs et régulièrement, il en expulser dans la gorge de Shield, dans un flot de sperme, déformant sa gorge, la fessant gémir de toute les façons possibles, produisant des sons humides étouffer, tremblant sous cette chose qu'elle avalait lentement, sentant pendant une longue minute, l’œuf glisser jusqu'à son estomac, jusqu'à ce sentir pleine. Elle avala ainsi 7 œufs, remplissant son estomac, déformant ce dernier, au point d'être palpable au toucher.
Après un long moment perdue dans la luxure, n'arrivant pas réaliser que des personnes venaient d'arriver, les entendants mais sans enregistrer le sons, la créature expulsa son dernier œuf, forçant Shield à avaler de force ce dernier présent, rejoignant les 7 autres. Il relâcha la pression et se retira, tombant à terre, une fois l’œuf au chaud dans l'estomac. En même temps, la cérébrate se retira. Shield ne put retenir un flot de sperme remontant de sa bouche, vomissant quelque filets de fluide, son corps cherchant à expulser le trop plein dans son estomac, et fut un peu éblouit par la lumière, plutôt douce. Elle respirait lourdement, les yeux et l'esprit hagard, son cerveaux droguer de fluide, de luxure et de soumission, peinant à retrouver un fonctionnement normale. Ainsi quand l'annexienne se dressa devant elle, il fallut qu'elle attrape Shield par les cheveux, la plaque contre son auguste verge et lui intime un ordre directe, pour que Shield achève de réaliser qu'il s'agissait de son impérieuse maîtresse.
*Gorlp*
Ce fut le seule bruit que réussit à émettre Shield en avalant d'un seul coup jusqu'à la garde la colonne de chaire dans sa bouche emplit de fluide, déformant sa gorge ainsi, à défaut d'avoir réussit à émettre « oui maîtresse ». Elle eu un haut de cœur, assez fort pour commencer la remonté d'un œuf, qui retomba dans l'estomac, à peine sortie de ce dernier, qui barbouilla Shield, se sentant mal, nauséeux et bizarre devenant un peu pâle. Cela pouvait ce ressentir dans sa fellation hasardeuse et lente. Il lui faudra un moment pour s'habituer à cet état de fait.
Entre temps, leur Reine absolue avait incitait Rinko à rejoindre ses consœurs et sa fille. Rinko opina du chef, étant donner que la cérébrate se détourna de Shield et qu'il aurait été malheureux de rester à l'écart en se masturbant juste. Elle voulue se diriger vers la fille de sa Reine et rejoindre Ilinia et Ania, mais à voir ainsi placer Shield, la fit hésiter, avant qu'elle ne se dirige vers elle, alors que cette dernière avala d'un coup la verge de sa maîtresse. Rinko plaça ses mains sur les fesses de Shield la caressant, les malaxant avant de les gifles doucement. Des fesses douces, mais plutôt ferme. Elle fit glisser ses mains le long du corps, suivant ses courbes fines et douce, passant sur son ventre, constatant le renflement créer par les œufs, appuyant dessus, fessant gémir Shield, remonta vers ses seins, en même temps qu'elle se coucha sur elle. Elle finit entièrement couche sur elle, ses mains sur ses seins, son sexe entre la croupe de Shield et son ventre.
Elle plaça son visage à côté du sien, regardant son travail, avant d'appuyer avec force sur l'arrière de son crane, l'obligeant à avaler brusquement la lance de chaire. Rinko l’empêcha de revenir en arrière, lui léchant la joue avant de lui susurrer dans le creux de l'oreille.
-Allons, tu appel ça une fellation ? Fais un effort pour notre glorieuse Reine !
Appuyant ses mots, elle appuya un peu plus sur sa tête, un large sourire sardonique au visage, au point d'arracher une larme à Shield, avant de la tirer doucement en arrière, puis de l'enfoncer à nouveau avec force. Elle continua comme ça un moment, manipulant sa tête pour varier les mouvements, jusqu'à ce que Shield le fasse seule et avec une meilleurs application. Ravie, Rinko l'embrassa et se releva, revenait au niveau de ses fesses. Mais plutôt que son cul, elle glissa son sexe contre la vulve luisante de Shield et se contenta de frotter un moment, jusqu'à la pénétré durement, puis de prendre un rythme soutenue, claquant ses fesses, se déchaînant, commençant gémir bruyamment.
En même temps, Ania parvint à rentré sa verge en elle, regagnant son sexe féminin, pour ensuite s'empaler férocement sur le dard pulsant de sa maîtresse Elvennya, un peu sur la pointe des pieds, car un peu plus petite que sa délicieuse maîtresse, se mettant à jouir à cette simple pénétration, lâchant un long soupir de satisfaction. Ilinia profitait des lèvres de cet dernière, un baisé tendre et passionné, une main sur son sexe, se masturbant lentement, l'autre sur le seins libre de sa maîtresse. Elle resta ainsi quelque instant, avant de ce déplacer, laissant Ania reprendre la suite, alors qu'elle ondulait frénétiquement du bassin. Ilinia se mit timidement dans son dos, plaçant ses deux mains sur les fesses de sa maîtresse, un peu tremblante devant l'audace de son geste.
Elle écarta les fesses, dévoilant sa rondelle, avant d'y placer son sexe et de l'enfoncer lentement, après l'avoir lubrifier avec sa bave. Elle mit quelque seconde pour s'y enfoncer pleinement, soupirant timidement et un peu honteusement, respectant son rôle de timide et prude, pas sur d'elle. Cela ne l’empêcha pas d'onduler gracieusement du bassin, fessant de lente pénétration, avant de prendre du rythme, commença à gémir sensuellement, alors que la claquement de son bassin contre les fesses se fessait de plus en plus.
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Dire qu’elles avaient jadis été des femmes rebelles... Ces Tekhanes avaient combattu autant que possible l’autorité légitime de Kerrigan, elles avaient tout tenté pour la vaincre, pour lutter contre l’endoctrinement et le conditionnement. Une bataille indéniablement perdue d’avance. Si les Formiens avaient réussi à transformer Sarah Kerrigan, une Ghost légendaire, en Reine des Lames, cette escouade n’avait pas eu la moindre chance. Leur combativité avait néanmoins été très admirable, succulente et délicieuse pour Sarah, qui s’en était régalée du début à la fin. Maintenant, elle profitait de ça, de sa victoire, de son contrôle sur ces femmes, allant jusqu’à leur ordonner, et ce sans aucun problème, qu’elles s’envoient en l’air entre elles. C’est ainsi que Rinko se glissa dans le dos de Shield (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2077376), et vint la prendre en levrette, enfonçant sa verge dans son corps. À bout, Shield ne pouvait toutefois pas s’endormir. Les drogues formiennes dans son corps y veillaient, l’empêchant de trouver le sommeil, la mettant dans un état second, névralgique, où elle n’avait sans doute plus vraiment conscience de ce qui l’entourait. Un spectacle délicieux, typiquement formien, qui ne pouvait que ravir Sarah... Même si deux autres poupées de latex venaient davantage occuper ses pensées.
Ilinia et Ania étaient pressées contre Elvennya, et la Cérébrate se redressa lentement, maintenant Ania par les hanches, avant de sentir son membre disparaître en elle, s’enfouissant dans son sexe. Ania se dandina sur place, avant de se retrouver collée contre le corps d’Elvennya. Cette dernière remonta sa main pour saisir ses cheveux, tout en déplaçant son autre main, la posant sur le délicieux cul moulant d’Ania.
« Là, ma belle, hmmm, profite, ma beauté... C’est la queue de ta Maîtresse qui est en toi ! »
Elles étaient droguées au bonheur, nourries au plaisir. C’était la plus terrible des drogues. Pourquoi se révolter ? Jour après jour, elles vivaient au Paradis. Plus besoin de se battre, ni de souffrir, le sexe les dominait entièrement, les aliénant, niant leur ancienne existence. Leurs personnalités en étaient même imbriquées, sans pour autant être effacées. Il suffisait de voir la manière dont Rinko agissait, autoritaire et dirigiste, allant jusqu’à décider d’elle-même de pénétrer Shield. C’était là un magnifique exemple de ce que Sarah cherchait à faire. Ses méthodes étaient très différentes des autres Annexiens, qui ne s’embarrassaient guère de la psyché humaine, et broyaient les esprits. Sarah fonctionnait différemment, sans aucun doute parce que, en elle, il subsistait des substrats de sa personnalité humaine, de la femme qu’elle avait jadis été.
Se sentant visiblement délaissée, Ilinia se déplaça dans le dos d’Elvennya, et se serra davantage contre elle. Ses lourds seins s’appuyèrent contre le dos de la Cérébrate, qui sentit la combinaison d’Ilinia crisser, rejoignant ainsi celle d’Ania, qui crissait de la même façon.
« Oh, mes bébés, mes petites chéries... »
Elvennya embrassa encore Ania, et crispa ses mains sur elle, manquant déchirer sa combinaison, quand elle sentit Ilinia la pénétrer. C’était bien là la preuve que Sarah n’était pas comme les autres Annexiens, car elle laissait à ses pondeuses une certaine initiative, ce qui, à terme, les rendait bien plus productives. Ilinia s’enfonça donc en elle, et, très rapidement, les parois anales d’Elvennya se dilatèrent. Elle soupira lentement, et retourna embrasser Ania, jouant de sa langue avec la sienne.
La Cérébrate se retourna ensuite vers Ilinia, et embrassa la femme sur les lèvres, tournant la tête sur le côté pour ça.
« Hm, tu oses... Haaaa... Me sodomiser ? Crois bien que ton cul va le sentir passer, ça, ma petite chienne... »
Et, maintenant qu’Ilinia avait commencé, elle n’avait plus d’autres choix que de finir. Elle pouvait sentir sa queue grossir encore, commençant sans doute à lui faire mal, tandis qu’un nœud se formait à sa base. Impossible de retirer son sexe sans jouir auparavant, et, pour ne rien arranger, un tentacule jaillit du mur, et vint fouetter le postérieur d’Ilinia, pour mieux la motiver.
Sarah, de son côté, observait tout cela avec un sourire malicieux sur les lèvres, sa main serrant les cheveux de Shield, occupée à sucer sa grosse queue, observant du coin de l’œil, ses magnifiques concubines à l’œuvre...
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Ilinia se sentait comme une véritable hors la loi : prendre par derrière sa maîtresse, un être supérieur ! Rinko ou Ania l'aurait fais sans problème, mais pour Ilinia c'était comme un plaisir interdit. Ce dont sa maîtresse ne manqua pas de le lui faire remarqué et ajouta une menace, qui fessait trembler Ilinia d'un plaisir coupable. Sa punition commença tout de suite après, Ilinia sentit sa queue nouvelle acquise grossir, la chair se dilaté et les vaisseaux se multiplier, ce qui ne manqua pas de lui faire mal, lâchant un gémissement étouffé, avant que ne sente une bosse ce former à la base de sa verge, lui causant plus de mal, la bloquant dans le cul de sa supérieure. Puis vint une tentacule, qui fouetta le cul généreux de Ilinia, les fessant bouger et fessant lâcher à Ilinia, un crie de surprise mélangé à de la douleur. Ainsi martyrisé, Ilinia finit par y trouver du plaisir, bougeant son bassin au mieux pour faire plaisir à sa maîtresse, se devant de faire honneur à son divin cul.
De son côté, Ania contractait au mieux ses muscles vaginaux, tentant de rendre son vagin étroit, mais il était tellement lubrifier, débordant tellement de mouille, que sa maîtresse entrait et sortait, comme dans un pot de confiture, provoquant un claquement régulier et humide, provoquant un orgasme fulgurant à Ania, qui hurla de plaisir une longue minute, alors que les coups ne faiblissaient pas, pilonnant sans vergognes l'intimité de Ania dans un océan de cyprine. Aux pieds de la cérébrate, une flaque de cyprine commencer à prendre forme, tandis que douce mélodie de cries de plaisirs et de gémissement accompagner son propre plaisir.
Du côté de l'autre trio, Shield n'avait pas le temps de soufflé, tellement que sa Reine lui occupait la gorge avec son braquemart impressionnant, déformant de manière important la gorge de son esclave, formant une bosse imposante. Rinko finit par changer de troue, pénétrant donc le cul de son amie avec hargne et fougue, avant de se pencher sur elle, caressant de ses doigts, la gorge déformé à chaque coups, tout en lui léchant et suçant l'oreille. Une de ses mains alla au ventre déformé de Shield, caressant les œufs à travers la combinaison et la chair, avant d'appuyer doucement, fessant gémit Shield alors que les œufs se déplaçaient un peu dans l'estomac. Rinko continua son manège, donnant des petits coups rapides et sec, tandis qu'elle jouait avec le ventre gonfler de sa camarade, tout en caressant sa gorge.
Torride spectacle. De magnifique salope décérébré au bon vouloir de la Reine des lames, laissant cour à leur pulsions sexuel. Terrible spectacle. De triste victime décérébré au bon vouloir de la Reine des Lames, abrutie par leur plus bas instinct charnel. Mais il n'y avait là, que plaisir, joie et extase, forcer et contraint, mais elles étaient ravie de leur situation, pourquoi iraient-elles se plaindre
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Date et lieux inconnue.
-La cinquième tentative de recherche à donner les mêmes résulta : aucune trace de corps, et aucune confirmation de leur mort. Annonça Kakashi. Le feu à détruit tout trace, on à rien.
-Et le centre de recherche ? Demanda une femme, assit dans un fauteuil, lui tournant le dos, derrière un bureau charger de papier.
-Les équipes de nettoyages on tout purifier par les flammes, mais on a relever des traces de luttes, des douilles et des armes fondues, mais rien prouvant leur mort. Cela à été relever par la première équipe de recherche. Et tout ce qui pouvait être exploitable à été détruit.
-J'aurais du laisser quelque sujet ratée la bas. Souffla l'inconnue. Je croyais pourtant avoir donner mes indications sur les sujet S.
-Le haut commandement n'a rien voulue savoir. Répondit Kakashi. Elles ont jugé préférable de voir sur le terrain celles qui était disponible, après tout ce temps.
-Et on a perdue deux sujets S. Bravo. Lança la femme de manière sarcastique en applaudissant 2 fois. Excepter Tirch, Shiranui à peu de chance face à un annexien, même si il aura des difficultés à la maîtriser. Et la présence de sa sœur ne change rien, malgré ses modifications. Elles n'ont toujours pas comprit mes travaux. Soupira t-elle. Mon travail prend un coup dur, ça été dur de la développer. Pire encore j'ai perdu l'original ! Votre traitement aura un peu de retard, veillez à ce que cela ne se reproduise plus jamais.
Kakashi déglutit, alors que des sueurs froide coulèrent dans son dos, alors que sa mains alla au niveau de son utérus instinctivement et se serra.
-B... bien madame. Souffla Kakashi d'une petite voix blanche, avant de se retirer.
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Sarah Kerrigan était en train de s’amuser. Elle observait ses partenaires en train de sombrer. Ces Tekhanes arrogantes étaient maintenant ses salopes, et la Reine des Lames se plaisait à les baiser longuement. Avec les Formiens, le sexe était toujours une séance qui s’étalait sur la durée, et c’était le cas ici. Sarah avait ramené Elvennya (https://orig11.deviantart.net/54c9/f/2013/205/e/7/elvennya_by_sade75311-d4d0hqj.jpg), l’une de ses Cérébrates, une ancienne elfe qui était depuis lors une superbe Formienne, et qui se faisait sodomiser par Ilinia, tout en pénétrant Ania. C’était un singulier spectacle, très agréable à voir pour Sarah, pendant que Rinko, elle, continuait à sodomiser Shield. Ensemble, les Tekhanes s’étaient totalement abandonnées au vice, au plaisir, en oubliant tout ce en quoi elles avaient cru. Ce spectacle était donc très excitant, faisant sourire Sarah à plusieurs reprises.
« Mes chéries, vous formez un tel spectacle... »
Sarah les observa encore. Ilinia était la plus en souffrance, car sa queue, bien grosse, l’empêchait de profiter pleinement. Elle devait sûrement avoir très mal, et continuait à sodomiser furieusement Elvennya, pour le plus grand plaisir de la Cérébrate, qui appréciait totalement cette séquence. Elle n’avait envie que d’une seule chose : poursuivre dans cette voie avec elles. La Reine des Lames pencha la tête sur le côté, et se racla la gorge.
Au bout de plusieurs minutes, Rinko se relâcha alors subitement. Sarah venait de l’influencer à se relâcher brusquement, et lui sourit ensuite.
« Approche, Rinko... »
La Tekhane avait méchamment bourré le corps de Shield, à tel point que la jeune femme gisait encore un peu au sol. La verge de Rinko se rétracta, et elle grimpa donc sur les cuisses de Sarah, qui posa une main sur son cul, le palpant doucement, et avança son autre main, malaxant son sein, puis l’embrassa.
« Toi, Ilinia et Ania, vous êtes mes préférées... Mais, de ce joli trio de salopes, c’est toi qui les diriges, Rinko... Tu es donc très importante à mes yeux. »
Sa main pinça à nouveau son sein. En arrière-plan, Elvennya continuait à prendre Ania, et hurlait de plaisir, ses tentacules palpant le corps d’Ilinia. Sarah, elle, embrassa Rinko sur les lèvres.
« Je tiens donc à faire de toi la Capitaine de cette escouade, Rinko... Vous étiez la Section Delta-S. Maintenant, toi et tes salopes serez ma section... La section Kerrigan-S. »
La Reine des Lames lui sourit encore, et l’embrassa plus longuement, amenant le corps de Rinko à se lover tendrement contre le sien, sa délicieuse combinaison venant frotter et crisser contre son corps...
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La douleur et le plaisir se mélangeaient, fessant autant souffrir que plaisir à Ilinia, limité dans ses mouvements, fouetter comme une salope, remuant avec mal, bien qu'elle fessait de son mieux. Son sexe, en plus du nœud à la base, avait pris du volume, encore plus profonde, plus sensible et douloureux, fessant tourner la tête à Ilinia, qui se perdait dans le blizzard de sensations, de douleur et de plaisir. Elle avait plus de notion de temps et d'espace, ne voyant que le dos et es cheveux dorée de sa maîtresse, l'enculant de tout son désir, oubliant le reste, ne voulant que jouissance et extase. Elle déplaça ses mains vers les seins de sa maîtresse, attrapant ses tétons, les pinçant doucement, tirant dessus, les roulant entre ses doigts, avant de prendre en pleine main ses seins pour les masser, amoureusement et sensuellement.
Ania, plongée dans une maelstrom de bonheur et d'extase, hurlait à l'envie à chaque pénétration, bave aux lèvres, langue pendante, main derrière la nuque de sa maîtresse, yeux hagard et perdu, parfaite représentation de la luxure et du plaisir, le temps et l'espace disparut pour elle. Chaque coup frappait son col de l'utérus, menaçant de le traverser, t-elle un bélier contre les portes d'une forteresse de désir. Chaque coup fessait voler Ania, tant physiquement que mentalement, son corps tremblant à chaque coup, ses seins ballottant de manière obscène, d'avant en arrière, sur les côtés ou s'enfonçant. Ses jambes remontèrent sur les hanches de sa maîtresse, avant de les autours de son bassin, repoussant un peu Ilinia, qui eu un peu de moins de marge, tirant doucement sur sa verge, ajoutant un peu plus de délice.
Rinko, lancinante et sadique, burinait le cul de Shield de pénétration lourde et pleine d'ardeur, à grand goût de bélier, prenant de l'élan et frappant le cul de sa camarde le plus fort possible avec son bassin et le plus loin possible avec sa verge, fessant trembler son corps, son cul et ses seins, l'enfonçant sur la bite de sa maîtresse, le fessant gémir. Elle alternait parfois par des pénétrations rapide, claquant à grande vitesse le cul de son amie, et claquant son cul de sa main, susurrant des insultes amoureusement. Dominante de sa position, révélant sa nature perverse et dominatrice, dominé par ses pulsions et ses envies, maîtresse de ses pénétrations, esclaves des sensations qui en résulte. Elle ne voyait que le cul de sa camarade, ne voyant le décors, oubliant tout notion de temps, seule celle de passion dominant.
Shield n'était qu'une victime, étouffer par la luxure et la bite impérieuse de sa Reine, son esprit perdue dans un ouragan de plaisir, de sensations et de luxure. Subissant les assauts avec délectation, plus rien ne pouvait l’empêcher de sombrer, Shield n'était qu'une poupée subissant les désirs et les pulsions des autres. Elle gémissait, alors qu'elle étouffait quand la verge impérial s'aventurant profond dans sa gorge et son œsophage, haletait quand elle n'avait que le gland en bouche, le suçant, le léchant avec avidité et envie, comme une droguée en manque. Son corps ne fessait que subir, trop droguée et dépravé pour participer, se laissant devenir une réceptacle des pulsions de sa Reine et de sa camarade. A chaque pénétration de sa Reine, elle enchaînait les bruits humides, mou et dérangeant, mélodie de la dépravation.
Au final, la Reine finit par se vider, longuement, obligeant Shield à avaler à grand lampé et bruyamment, le fluide sacrée, abondante, chaud et crémeux, noyant les œufs dans un cocon blanc, parvenant à intensifier un peu les dimension du ventre gonfler par les œufs, bénissant la porté de Shield, la nourrissant de son fluide. Rinko continua encore à pénétré durement sa camarade, avant qu'elle ne lâche elle aussi, fulgurante et intense, continuant ses vas et viens, alors qu'elle jouissait, lachant des cries intense, perdant la notion d'espace, son esprit assommer par un puissant plaisir. Elle se vida pendant une minute, avant de s'écrouler contre sa camarade, sonné par cette extase intense et puissant. Devant la joie et l'intensité de son plaisir, jouissant dans un crie étouffer, Shield exprima l'intensité de son plaisir par une cascade de cyprine, avant de s'effondrer.
En même temps, Ania avait jouit aussi, inondant sa maîtresse d'une cyprine brûlante et abondante, une vrai femme fontaine, giclant de partout, lâchant encore plus de hurlement bestial. Seule Ilinia fut priver de cette extase infinie, payant encore son insolence par une frustration incisive, l'obligeant à se voué encore plus à la débauche pour pouvoir accéder à la libération.
« Approche, Rinko... »
Rinko se releva, usant des fesses de sa camarade sonné comme support. Elle se redressa, haletante mais restant fière pour sa Reine, son vit avait perdu de sa vigueur et se rétracta, avant qu'elle ne s'avance, roulant du cul, un déhanché provoquant une jambe devant l'autre, jusqu'à rejoindre sa Reine et qu'elle ne s'assoie sur ses augustes cuisses, levant une jambe pour les enjamber ses cuisses, offrant une belle vue sur son intimité, avant de s'y asseoir doucement, avec une joie non dissimuler, avant de s'avancer pour coller son intimité contre la puissante verge de sa Reine, tandis que cette dernière glissa ses mains contre sa combinaison, remontant vers ses fesses et ses seins, lui offrant une douce caresse, avant de masser un de ses seins. Elle finit par lui offrir un tendre baisé, auquel Rinko y répondit avec passion.
« Toi, Ilinia et Ania, vous êtes mes préférées... Mais, de ce joli trio de salopes, c’est toi qui les diriges, Rinko... Tu es donc très importante à mes yeux. »
-C'est un grand honneur ma Reine. Répondit Rinko, ses yeux brillant de plaisir, honoré de cette marque d'affection particulière à son égard. Je ferais tout pour me montré digne de votre attention !
« Je tiens donc à faire de toi la Capitaine de cette escouade, Rinko... Vous étiez la Section Delta-S. Maintenant, toi et tes salopes serez ma section... La section Kerrigan-S. »
-Merci ma Reine, merci ! La section Kerrigan-S vous est entièrement dévoué, corps et âme, quelque soit vos désirs et envie.
Elles partagèrent un nouveau baisé, et cette fois Rinko ne se retint pas, glissant sa langue contre celle de sa Reine, partageant sa bave et l’entraînant dans une danse sensuelle, y mettant toute sa fougue et sa passion. De ses mains, elle fit crisser sa combinaison contre les fesses de sa Maîtresse, palpant et massant sa croupe généreuse avant de glisser, fessant en sorte de bien faire criser sa combinaison, sur ses hanches, puis de remonter vers les seins, les prenant en pleine mains, puis elle pressa, doucement, fortement, jouant avec, sans jamais briser le baisé.
Elle se dandina sur place, frottant sa vulve contre la hampe de chair de sa Matriarche. Elle brisa le baisé et lécha les lèvres de sa Reine, de long en large, avant de se lever lentement et déplaça une main vers le sexe érigé de sa Reine, afin de la placer contre sa vulve. Son rôle était de lui faire plaisir, de la servir, elle se devait de faire plus. Elle se laissa descendre lentement, enfonçant peu à peu la lance de chair divine dans son sanctuaire de plaisir, soupira d'aise et de plaisir, jusqu'à atteindre la base, forçant un peu, accueillant toute la queue, cognant son utérus contre le gland. Elle roula du bassin, frottant la verge de ses parois vaginaux, levant un peu le bassin et redescendant lentement. Elle plongea à nouveau ses lèvres contres celle sa Reine, avant de les séparer après une longue minute.
-Que désirez-vous de plus, ma Reine ? Demanda humblement Rinko, le regard soumis, emprunt de respect et de désir.
Derrière elle, Shield se mit péniblement sur le dos, avalant le sperme dans sa bouche, haletant, perdu, le regard vide, sur un point inexistant, sa main allant machinalement vers sa vulve, commençant à se masturbé, l'envie et le manque commençant à naître. Autrefois une femme fière et forte, maintenant une femme bafoué et brisé.
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Sarah frémit doucement quand Rinko la provoqua, et s’assit à califourchon sur elle. Très sensuelle, la Tekhane se frotta contre son corps, et Sarah la caressa, faisant crisser sa combinaison. En sentant les lèvres intimes de la belle femme frotter contre son sexe, elle soupira encore, et son membre s’enfonça ensuite dans son vagin, s’y glissant doucement. La Reine des Lames y alla calmement, sans même chercher à la pénétrer, juste à savourer le con de cette femme, et à offrir à Rinko la sensation de son phallus en elle. La belle Tekhane avait reçu la magnifique récompense d’être désignée Capitaine de sa nouvelle escouade. Elle gémissait contre elle, et Sarah observait avec plaisir ce corps. Comment regretter son ancienne vie dans ces conditions ? Comment regretter quoi que ce soit quand on avait une telle femme, en combinaison rose moulante, qui dansait sur vous, qui s’offrait à vous sans aucune résistance ? Sarah vivait continuellement une sorte de rêve éveillé, de stupre permanent.
Elle lui sourit donc, et caressa encore le cul de la jeune femme, faisant encore crisser sa combinaison, savourant cette sensation, le contact de sa queue se perdant en elle, remontant dans son corps, tandis que, instinctivement, sans même en avoir attendu l’ordre, Rinko commençait à danser sur le corps de sa Reine.
« Ce que je désire de plus ? Et bien... »
Il y avait effectivement quelque chose que Sarah voulait encore. La femme était très gourmande, et, pendant que Rinko dansait, ses ordres mentaux se diffusèrent. Ilinia et Ania apparurent ainsi, à droite et à gauche de Rinko, et vinrent soulager leur capitaine. Ilinia l’embrassa en pelotant l’un de ses seins, Ania la rejoignant pour s’attaquer à l’autre sein, leurs queues trempées venant caresser les cuisses de la jeune femme, qui alternait les baisers, sous les yeux ravis de leur Maîtresse. La Reine le observait avec une belle érection, appréciant le sentiment de joie induit par l’érection même, par ce membre tendu et durci.
Sarah les observa toutes les trois, déplaçant ses mains pour caresser les fesses d’Ilinia et d’Ania.
« Capitaine Rinko, je te présente tes deux adjointes : les Lieutenants Ilinia et Ania. Elles te seconderont dans la difficile tâche de mener l’Escouade Kerrigan-S pour vos futures missions. »
Car Sarah prévoyait de relâcher ces femmes. Elle n’envisageait pas de les laisser à vie comme pondeuses au sein de la Fourmilière, mais, avant de les relâcher dans la nature, il fallait qu’elles soient prêtes, qu’elles soient bien formées, afin d’éviter tout risque de rechute, de trahison. Sarah ne prendrait aucun risque de perdre ses concubines, et elle ne relâcherait l’Escouade Kerrigan-S qu’avec la certitude absolue qu’elles accompliront leur mission.
« Vos corps ne sont pas injectés par beaucoup de gènes formiennes, ce qui vous permettra d’échapper à bon nombre des détecteurs... Et de me ramener de nouvelles camarades pour les intégrer à votre escouade, hmmm... »
Le plaisir commençait à se diluer en elle. Comment résister à la vue exquise de ces trois femmes se frottant ensemble, et s’embrassant goulûment et sans relâche ? Pour la puissante Kerrigan, c’était tout simplement un spectacle exquis et indescriptible !
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Tandis que Rinko offrait une petite danse à sa Reine, le temps qu'elle se décide, Ilinia, qui n'avait toujours pas eu l'orgasme divin, continua à se repentir de son audace par sa hargne, commençant à se montré moins timide, devenant plus brutale, la frustration ma poussant dans ses retranchements. De son côté Ania était au ange, toujours prise par la fille de leur Reine, après un orgasme des plus fulgurant, gémissant sans retenue, alors que les pénétrations provoquaient des bruits obscènes et presque glauque.
Finalement, Ilinia eu son orgasme libérateur, poussant un long crie de jouissance et d'extase, déversant un flot de foutre dans le cul de sa maîtresse, s'agrippant à ses seins pour tenir le coup, alors qu'elle jouit longtemps et généreusement. Au final son sexe reprit sa forme normale, libérant Ilinia, qui embrassa avec Ania, leur maîtresse, partageant un intense triple baiser. Jusqu'à ce qu'elles reçoivent un ordre de leur Reine. Elles délaissèrent Elvennya, après un dernier baiser, et se dirigèrent vers leur Reine.
Shield, tendit un bras vers eux, réclamant de l'attention ou un réflexe de son humanité voulant de l'aide auprès d'allier, se masturbant de l'autre, gémissant pitoyablement. Elle attira Elvennya, qui s'occupa d'elle à nouveau, remplaçant ses doigts par sa queue, qu'elle enfonça d'un coup, avant de jouer les marteaux piqueurs, renvoyant Shield dans un monde de plaisir, de crie et de gémissement.
Le trio se reforma, Ilinia et Ania de par et d'autre de Rinko, commençant à parcourir son corps de leur mains baladeuses, massant ses seins et ses fesses, l'embrassant de toute part. La Reine explora leur corps de son côté, passant ses mains sur leur fesses bombés.
« Capitaine Rinko, je te présente tes deux adjointes : les Lieutenants Ilinia et Ania. Elles te seconderont dans la difficile tâche de mener l’Escouade Kerrigan-S pour vos futures missions. »
-Nos... nos missions ? Répondit Rinko, perplexe.
Ses deux camarades furent tout autant interloqué. Elles n'avaient plus que de raison de vivre servir la Reine des Lames, tout n'était que ordre et luxure. Servir leur Reine n'était pas une mission, mais un devoir et une raison de vivre désormais. Ainsi parler de mission était curieux pour elles.
« Vos corps ne sont pas injectés par beaucoup de gènes formiennes, ce qui vous permettra d’échapper à bon nombre des détecteurs... Et de me ramener de nouvelles camarades pour les intégrer à votre escouade, hmmm... »
Si la Reine des lames fut ravie de la vision lubrique que lui offraient ses concubines, la suite fut moins plaisant. Elles cessèrent, regardant bizarrement leur Reine, leur esprits... en proie à plusieurs sentiments. La possibilité de quitter la Fourmilière, de rejoindre Tekhos. C'était une chose impensable, inimaginable et ça depuis le début. Elles s'étaient faite corrompre et avaient céder leur libre arbitre, leur esprit, leur vie à la Reine des Lames, parce qu'elle avait détruit toute forme d'espoir, de rebellions et de résistance, leur imposant sa volonté. Leur annoncer, après tout ce qu'elles avaient subit, qu'elles avaient la possibilité de rejoindre Tekhos... fut comme une bouffé d'air frais, les esprits se libérant des brumes dont ils avaient décider de s'y perdre. Revoir leurs familles, leurs amies, le soleil, l'air, la liberté ! Tout cela les terrifièrent, les perturbèrent, leur firent plaisir, les inquiétèrent, que ce soit d'y retourner, ou de partir d'ici, mais aucun espoir. Comment elles pourraient espérer ?
-Pou...pourquoi ? Demanda Rinko d'une voix étrange, qui n'était pas la sienne, mais qui perdit ses mots, perdue.
La question n'était pas pour les raisons, elle le savait : ramener d'autres femmes. Ce que Rinko voulait dire sans trop le savoir c'était : pourquoi vous nous torturez avec ça ? Mais son esprit divisé entre sa soumission et sa nouvelle vie, voulant servir sa Reine, se heurtait à son reste d'humanité, qui avait resurgit, ne voulant plus souffrir. Pareil pour Ilinia, qui vint même à pleurer, sans trop savoir pourquoi, es que c'était le fait de pouvoir revoir ses mères ? Ou parce que le fond de son âme hurlait face à cette ignominie que lui infligeait la Reine ? Ania s'éloigna un peu, une main sur sa tête, tenant Rinko par l'épaule, un peut pâle comme si elle allait tomber, à force d'imaginer son retour à Tekhos. Outre leurs parents, leur vie, leur amies, quelque chose les inquiétaient : le reste de la Section Delt S à Tekhos. Que ce soit leur ancienne commandante Kakashi ou leur autres camarades, les revoir ne leur donner aucune envie comme si elles redoutaient quelque chose.
Elles n'étaient pas encore prêtes, même si très bien soumisses, cela ne faisaient pas si longtemps, qu'elles avaient changer... de vie. Des débris de leur ancienne vie étaient encore présent.
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Plongée dans une sorte de demi-cocon, immerger dans un tas de protubérance molle, gluante et suintant de l'aphrodisiaque, collant chaque parcelle de sa peau, ses bras sur les côtés, avaler par une masse grouillante ce tentacule, ses jambes écartés. Son regard perdue, son esprit noyer dans les vapeurs aphrodisiaque et la luxure, ne respirant que le stupre et la luxure, son corps parcourue de très léger choc électrique, mettant ses nerfs à vifs, décuplant ses sensations et sa sensibilité, incapable de pouvoir faire quoi que ce soit avec un corps aussi sensible à la moindre caresse. Shiranui était plonger dans un état de dépravation, ayant jouit de nombreuse fois, alors que ses nouvelles camarades, s'occuper chacune d'un de ses seins, aussi gros que leur tête, les malaxant, les léchant, les caressant, les suçant, fessant tout ce qui était possible avec, fessant perdre la tête à Shiranui. De leurs côtés, elles étaient pénétré par des tentacules.
Et alors que ses deux camarades n'avaient de cesses d'abuser du corps de Shiranui, la plongeant dans un maelstrom de sensations, Thorne, leur maîtresse, pilonnait l'intimité de la géante, fracassant son bassin contre celui de Shiranui, fessant trembler son corps et son esprit, la submergeant de sensations extrêmes, lui arrachant des cries et des gémissements à chaque coup, les sensations et le plaisir si puissant, à la limite de la douleur, surpassant ce que pouvait ressentir un humain normale. Le visage de Shiranui, gardait une trace d'innocence, malgré la grimace de plaisir qu'elle fessait, ses yeux presque révulsés, sa bouche ouverte en O, lui donnant un charme et un merveilleux vice.
Cela durait depuis quelques heures des heures de luxure profonde, plongeant Shiranui dans un univers de sensations intense et sans fin. Elle rattrapait des années d'abstinence, sa nouvelle famille s'assurant de lui faire son éducation. Mais c'était si intense, si puissant, que Shiranui avait tournée de l'œil plus d'une fois, et on abusant de son corps, la réveillant avec une piqûre d'adrénaline quand il le fallait. Son corps était au-delà de ses capacités sensitives, Shiranui ne pouvait le supporter. Après un énième orgasme puissant, lui arracha un puissant crie d'extase, transperçant son esprit d'un plaisir intense et puissant, alors qu'elle était déjà a vif avec ses comparses qui s'occupaient de sa poitrine, elle lâcha prise, tournant à nouveau de l'œil. Son corps, malgré tout le plaisirs, réclamait une pause, une partie de sa conscience forçant le repos.
-Ooh elle s'est encore évanouie !!! Se plaignit Myra.
-Hihi, il lui faut plus d'entraînement ! Enchaîna Sasha.
En même temps, un tentacule sortie du fond du cocon et se planta dans le cou de Shiranui, lui injectant une nouvelle dose d'adrénaline pour la réveiller. Shiranui se réveilla brusquement, haletante, et différente. Elle arracha ses bras du cocon et saisit ses comparses au cou, et serra, les étranglant et chercha à libérer ses jambes. Son visage, ce n'était pas Shiranui. Un grand sourire démoniaque, un regard de haine et d'envie de meurtres, une soif de sang et un air fou.
-Tellement…. Plus.... Facile… . Souffla t-elle à la cérébrate. Ma sœur te plaît ?
-
SARAH KERRIGAN
Prenait-elle un risque en agissant ainsi ? Celui de voir les trois femmes se retourner contre elle… Ce qui se produisit rapidement. La perspective de retourner à Tekhos Metropolis suscitait en elles des émotions contradictoires, mélange de peur, de surprise, d’angoisse, d’incompréhension… Et peut-être même d’espoir. Comme si, sous cette couche de perversion et de soumission, leurs anciennes personnalités de guerrières refaisaient surface. Pourquoi se risquer ainsi ? C’était en réalité assez simple à comprendre, quand on connaissait le fonctionnement de Kerrigan. Elle était une femme aventureuse, une femme qui aimait le risque. Et elle voyait en ces femmes un défi personnel. Elle avait réussi à les briser, et elle aurait sans doute pu s’en contenter, faire d’elles uniquement des pondeuses, ses délicieuses concubines… Mais Kerrigan en voulait
plus, toujours
plus. Son ambition était à la hauteur de ses talents, de nature à la propulser comme Reine de toute la Fourmilière.
Pour ça, il fallait de l’ambition, et c’était pour ça qu’elle avait fait aux trois femmes cette proposition insolite. Devant leur refus, Kerrigan réagit bien rapidement, en revenant les prendre dans ses bras.
«
Allons, allons, mes petites, que craignez-vous ? Que je vous abandonne ? Vous m’êtes bien trop précieuses pour ça. »
Avec un peu de télépathie et de suggestion mentale, Sarah pouvait tout à fait les amener à obéir. Elle ne pouvait pas totalement les briser, totalement les soumettre, mais elle y allait progressivement, faisant preuve d’un mélange de psychologie et de télékinésie pour obtenir ce qu’elle voulait. Il fallait y aller avec parcimonie, distiller doucement l’idée, puis rassurer ensuite ses protégées.
«
Tout ce que je veux, c’est que vous fassiez partager votre bonheur auprès de vos anciennes camarades, qui vivaient comme vous dans l’illusion. N’êtes-vous pas heureuses ici ? Ce que vous vivez, mes chéries, c’est une utopie. Vous n’avez plus à vous préoccuper des soucis financiers, matériels, juste à profiter d’une vie jouissive, à vous vautrer dans le stupre et dans le sexe. N’est-ce pas là tout ce que vous souhaitez ? Votre définition du paradis ? Une félicité éternelle à vous complaire dans le sexe et les loisirs… »
Elles n’étaient pas encore suffisamment mûres, mais elles le deviendraient. Sarah misait beaucoup sur ces trois-là, car elles étaient ses premières concubines. Elles allaient devoir motiver les autres, et, peu à peu, Sarah continuait à les corrompre. Pour l’heure, elle ne comptait pas insister davantage, et retourna les embrasser, les palpant encore. Les trois se pressaient contre elle, entraînant une série de crissements et de frottements, les combinaisons moulantes se collant les unes aux autres. Un délicieux concert qui résonna très agréablement aux suaves oreilles de Kerrigan.
Elle n’allait pas précipiter inutilement les choses, car Kerrigan souhaitait encore rester proche des trois femmes. Sarah embrassa Ania, qui semblait être la plus affectée par ses déclarations, et lui adressa un léger sourire rassurant.
«
Je vous aime, mes beautés, ne l’oubliez jamais. Rien ne pourra jamais nous séparer. Vous avez rejoint ma famille, et vous en ferez partie à jamais… »
THORNE
De son côté, Thorne était aux prises avec Shiranui, et la situation était beaucoup moins câline et affectueuse qu’avec Sarah. Thorne droguait et bourrait sans ménagement cette puissante femme. Dans sa combinaison noire moulante, celle-ci était une vraie poupée de latex, chacun des coups de reins de la dangereuse Cérébrate faisant crisser et remuer dans tous les sens le corps de Shiranui. Ce corps luisait furieusement et sensuellement à la lueur des cristaux et des plantes lumineuses des lieux, sans offrir aucun répit à la Tekhane. À chaque fois qu’elle tombait dans les pommes, un tentacule la plantait, libérant en elle un puissant stimulant, une drogue forte et intensive.
«
Là, voilà… Tu ne crois quand même pas que j’en aurais terminé si facilement avec toi, hum ? »
Et le bourrage se poursuivit. Suspendue par des tentacules, le corps massif de Shiranui subissait aussi les attouchements des deux esclaves de Thorne. Myra et Sasha léchaient et embrassaient sa combinaison, mordillant régulièrement ses tétons, gloussant sur place, frémissant et notant à chaque fois les orgasmes successifs de Shiranui, dont la mouille commençait à couler abondamment le long de ses cuisses, se déversant sur le sol.
Thorne griffait ses hanches en s’y appuyant fermement, amplifiant ses coups de reins, et grogna sur place. Elle se pinça les lèvres en jouissant encore, se relâchant dans le corps de Shiranui… Et c’est à moment, alors que sa queue noire était bien plantée en elle, que Thorne sentit le changement chez Shiranui. Celle-ci frémit doucement, avant de lui parler sur un ton… Inhabituel.
«
Qu’est-ce que tu racontes encore ? Mais oui, ma chérie, je ne me lasse pas de ton corps, tu feras une magnifique pondeuse, avec ta constitution… Hmmm… »
Comme irrésistiblement attirée, Thorne continua donc son viol tout en se méfiant de ce subit changement dans l’allure de Shiranui, changement qui n’était peut-être que temporaire…
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Devant leur réaction, l'annexienne les prit dans ses bras, comme une mère avec enfants, les rassurant, usant un peu de ses pouvoirs, réveillant leur nouvelle personnalités.
« Allons, allons, mes petites, que craignez-vous ? Que je vous abandonne ? Vous m’êtes bien trop précieuses pour ça. »
Les trois s'allongèrent et se blottir contre elle, comme des enfants en recherche de repères. Oui, c'est vrai, elles lui étaient précieuses, pourquoi craindre d'être abandonnée ? À moins qu'elles craignent autre chose ? Elles ne savaient plus, seule leur Reine comptait.
« Tout ce que je veux, c’est que vous fassiez partager votre bonheur auprès de vos anciennes camarades, qui vivaient comme vous dans l’illusion. N’êtes-vous pas heureuses ici ? Ce que vous vivez, mes chéries, c’est une utopie. Vous n’avez plus à vous préoccuper des soucis financiers, matériels, juste à profiter d’une vie jouissive, à vous vautrer dans le stupre et dans le sexe. N’est-ce pas là tout ce que vous souhaitez ? Votre définition du paradis ? Une félicité éternelle à vous complaire dans le sexe et les loisirs… »
-Merci maîtresse. Susurra Ania.
-C'est un honneur ma Reine ! Renchérit Rinko.
-On vous remerciera jamais assez. Répondit timidement Ilinia.
Elles ne purent qu'acquiescer, murmurant des remerciement, se frottant de manière obscène contre elle, reprenant leur doux rôles de douces concubines, soumisses et dociles, ne vivant que pour leur Reine. Leur esprits dépravés refit surface, et leur mains allèrent sur ses cuisses, ses hanches, ses seins ou son sexe. Et le couvrir le baisser de caresse, écrasant leur opulentes poitrines contre elle, de gros coussins moelleux. La pensée de s'en servir comme oreiller pour leur Reine traversa l'esprit de Rinko. Elle verra ça plus tard.
« Je vous aime, mes beautés, ne l’oubliez jamais. Rien ne pourra jamais nous séparer. Vous avez rejoint ma famille, et vous en ferez partie à jamais… »
-Ma Reine, vous ne pouvez pas nous faire plus grand plaisir. Minauda Rinko.
Tour à tour, elles embrassèrent leur Reine, se couchant sur elle, léchant sa langue et ses lèvres, avant de se coller à nouveau contre elle, se blottissant amoureusement contre son corps.
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« Qu’est-ce que tu racontes encore ? Mais oui, ma chérie, je ne me lasse pas de ton corps, tu feras une magnifique pondeuse, avec ta constitution… Hmmm… »
-Je crois que t'a pas comprit. Répondit Shiranui.
Ce fut rapide. Elle brisa la trachée de deux autres, rien de mortel, mais de quoi les étouffer si on ne les prenait pas en charge rapidement et elle parvint à ce dégager, déployant brusquement une force suffisante pour. Elle saisit la cérébrate au cou, et chercha, non pas à l'étrangler, mais à briser sa trachée.
-Je te parle de cette idiote de Shiranui ! Souffla Shiranui, un voix de haine et un regard de démence.
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SARAH KERRIGAN
La Reine des Lames avait inquiété ses concubines, ce qui était le signe qu’elles n’étaient pas encore prêtes. Rien de surprenant en soi, car elles étaient encore jeunes, et Sarah ne comptait pas les envoyer sur Tekhos sans s’être pleinement assurée de leur soumission et de leur fidélité. En les ramenant en l’état à Tekhos Metropolis, il y avait un risque pour qu’elles la trahissent, qu’elles se rappellent leur ancienne vie, et l’abandonnent. Pour éviter cela, il n’y avait pas cinquante manières de faire, et, tout en étant allongée, et en les sentant se frotter contre elle, Sarah libéra à nouveau sa verge. Les plaques chitineuses recouvrant son sexe s’écartèrent, et elle poussa un peu, faisant jaillir une verge violette, un phallus qui se dressa fièrement, et heurta les cuisses des concubines lovées contre elle.
Sarah leur sourit doucement, et caressa leurs visages.
«
Pour vous témoigner mon amour, mes chéries, je vais vous engrosser toutes les trois. Vous allez fièrement porter nos bébés… Pas de simples larves, mais de vrais bébés ! »
Elle embrassa l’une des femmes. Des tentacules remuaient autour d’elles, et elle les observa toutes les trois, puis planta son regard sur
Rinko (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=4530526). Elle était la chef de la nouvelle section Kerrigan-S, et il semblait donc normal de commencer par elle. Pendant ce temps, autour des quatre femmes, le décor changeait encore, prenant une apparence plus humaine. Leur lit se transforma en un grand lit humain circulaire, avec de la fine couverture en soie, tandis que des craquements de bois témoignèrent de la construction de murs, de poutres, d’une ossature bois… Puis il y eut des plaques de placo, et des murs en peinture rose qui se formèrent.
«
Voilà votre chambre, mes beautés, là où nos enfants naîtront… »
N’était-ce pas merveilleux ?
Magique ? Sarah les embrassa encore, puis fit signe à Rinko de s’allonger.
«
Je vais commencer par toi, ma belle… » susurra la Reine.
Sur un ton mielleux, doucereux, elle se rapprocha de la femme. Ses mains glissèrent sur les résilles à hauteur des hanches de Rinko, et elle alla l’embrasser tendrement, goulûment, glissant ensuite sa main contre sa combinaison, libérant l’accès à son intimité, puis fourra son sexe en elle, venant la pénétrer, sans rompre son baiser, pressant fermement son corps contre le sien.
THORNE (http://img92.xooimage.com/files/c/3/1/thorne-3b99ea1.jpg)
L’imprévisible réaction de Shiranui surprit Thorne. En quelques secondes, cette monstrueuse créature docile se transformait en une sorte de femme hystérique, et serra ses solides mains sur sa gorge, tout en ayant attaqué les deux esclaves de Thorne. Immédiatement, la pièce se mit sur la défensive, et des tentacules jaillirent, s’enroulant autour des bras de la femme, cherchant à les retirer. Las, Shiranui avait une force phénoménale, et résistait donc à la pression, tandis que Thorne sifflait et crachait sur place, sentant la respiration lui manquer. Elle chercha à s’immiscer dans l’esprit de Shiranui, mais n’y vit que rage et fureur.
*
Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!*
Sa Mère avait passé des jours à les soumettre, les unes après les autres. Shiranui avait été l’une des plus faciles à soumettre, et, visiblement, la Tekhane avait quelques surprises qui avaient échappé aux détecteurs formiens. Se pinçant les lèvres, Thorne cherchait à reprendre le contrôle, et siffla encore, puis posa ses mains sur les poignets de Shiranui, cherchant à la repousser, à la retenir, lacérant sa chair.
«
Lâ-Lâche-moi !! » haleta-t-elle.
Des créatures apparurent sur le mur, des monstres noirâtres et filandreux, des Xénomorphes (http://img110.xooimage.com/files/b/d/2/xenomorphxx121-54a3c7b.png). Devant la menace, l’un d’eux alla dans le dos de Shiranui, et attaqua rapidement… En enfonçant sa longue queue tranchante.
Celle-ci transperça violemment Shiranui, ressortant à hauteur de son estomac. Même avec sa force herculéenne, Shiraui écarquilla les yeux, et relâcha Thorne, qui tomba au sol, tandis que le Xénomorphe, en hurlant rageusement, souleva avec sa queue le corps massif de Shiranui, puis la balança contre le sol. Elle roula à terre, un trou dans le corps, laissant des filaments de sang. Thorne éternuait douloureusement en se relevant.
«
Amenez les esclaves… Au bassin génétique… »
Thorne soupira encore, et se redressa laborieusement, la gorge toujours endolorie, et contempla Shiranui. Elle était bien tentée de la laisser mourir là… Mais se rappela que sa mère tenait à cette femme monstrueuse.
«
Conduisez-là chez Abathur, il la soignera… »
À sa manière…