Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une élève studieuse dans le dortoir d'une squatteuse [ PV Saïka]

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Kiniro

Humain(e)

Je fut accueillit comme-ci ma présence allait un temps soit peu donner de vie à l'internat. Nul doute qu'il y aurait de l'ambiance, mais cela serait plus sensuel que festif. Pourquoi je suis ici ? Très simple, Mitsy m'avait fait la remarque qu'une maîtresse devait être instruite et cultivée si je voulait embobiner les dames et les messieurs de  la cour. J'avais déposée mon dossier d'inscription en retard, j'avais prit un parcours littéraire et en avait profité pour m'inscrire pour l'internat, on ne sait jamais, il y aurait sans doute des filles qui voudraient bien me servir de servante dans l'établissement. Je put voir le dortoir qui serait la mienne dans la semaine. Misty se chargerais des intrus dans la manoir.

Les murs étaient bleu pâle, c'était toujours mieux que du blanc. Il y avait le minimum pour vivre, mais pas de quoi se plaindre. Je jeta mon sac sur le lit de droite et mit mes affaire dans la plus petite armoire, la grande, avec une penderie, ne me servait à rien, je n'avait pas de robe à pendre. Cela me prit dix minutes pour faire le rangement. C'est fou ce qu'une femme peu prendre comme matériels pour ce faire belle, bien que je n'en avait pas vraiment besoin. J'ai eus un téléphone portable qui pouvais utiliser une brèche pour communiquer avec Misty si besoin ai. Mais je ne savait pas m'en servir, si j'avais la chance d'avoir une compagne de chambré, je lui demanderais comment ça marche. Je m'affaissa sur mon lit et finit par m'ennuyer

- C'est trop silencieux, je vais aller voir les autres.

Je laissa mon sac sur le matelas, l'armoire ouverte, je ne risquais d'être volée et partie en laissant la porte ouverte.

Je me balada en faisant connaissance avec les autre humaine et les quelques terranide, dont une se nommant Muchuu, je discuta un peu avec cette dernière et me dit que même les créatures étaient acceptées tant qu'elles n'engendraient pas de problème.

Il n 'y avait aucun moyen, légal, pour que les filles aient des garçon dans leurs dortoir, au grand damne de ces derniers qui mataient les plus jolie fille. Je me fit expliquée par une déléguée  de l'internat le fonctionnement :

*Primo pas de comportement pouvant nuire aux autres, ensuite, les attouchement et tous ce qui se suivait pouvait se faire sans gêner les autres et avec l'approbation du ou des compagne(s).
*Tous ce qui est outils informatique doit être accepter par le conseil de discipline  ou la directrice. Les téléphones et les console portables sont autorisés.
*Tout infraction aura une punition décidée par le corps de l'enseignement et sera modifier,si nécessaire et ratifier par la directrice.

Il y eut tout une liste comme celle-ci, je n'en avais vraiment rien à faire des lois, tant que je ne me faisait pas prendre je n'aurais rien. Je retourna dans mon dortoir et entra sans frapper. J'eus un flash mais je le scella dans mon esprit. Avec du temps j'avais apprit à bloquer ces souvenirs pour prendre le temps de les assimiler en douceur. Je portait toujours mes boucles d'oreille écarlate et ma tenue était celle que je portais tous le temps(c'est celui de l'avatar), mes ailes cachés sous la peau de mon dos (encore une nouvelle découverte avec le temps, mais qui a de facheux inconvénient), bon j'allais peut être changer la tenue demain pour ne pas trop me faire remarquer. Je sentit l'odeur d'une humaine, une voleuse ? Je me faufila en douceur et vit une demoiselle en train de regarder mon sac en semblant se demander si quelqu'un ne l'avait pas oublier, j'eus un sourire et m'approche tous doucement de la nouvelle et lui souffla à l'oreille.

- T'es aussi une nouvelle ?
« Modifié: vendredi 12 juin 2009, 22:13:10 par Succubus »

Saïka

Ca fait à peine quelques jours que j’ai reçu une chambre, dans laquelle je suis toute seule, et on m’a demandé de passer au secrétariat aujourd’hui, je me demandais bien pourquoi, parce que je n’ai pas fais de bêtise je crois, alors j’y suis allée, et il semblerait qu’ils m’aient mise dans la mauvaise chambre, elle est déjà réservée pour un frère et une sœur qui devaient eux aussi finir l’année à l’internat, et qui devaient être ensemble.

La raison était bonne et j’aurais eu du mal à m’y opposer, de toute façon. Et du moment que j’ai un endroit où dormir, le reste importe pas vraiment, il me faut juste un lit pour me reposer, et pouvoir retourner le lendemain en cours, et en forme. De toute manière, je n’en profite pas de cette chambre que j’avais, à souvent rentrer tard à cause de mes rencontres lors de mes nettoyages, ou de mes nombreux passages à la bibliothèque.

Rien de grave, je me dirige vers ma nouvelle chambre, les cours viennent de finir, c’est par là je crois, deux plus loin, encore une, et… la porte est ouverte ? Je rentre, je regarde s’il y a quelqu’un, on dirait que non. Juste ce sac sur le lit, je m’approche, je le regarde en me demandant ce qu’il peut bien faire là, alors que je suis toujours dans mon uniforme de lycéenne. Perdue dans mes réflexions, je n’entends pas quelqu’un m’approcher, par derrière, et me souffler quelques mots dans l’oreille, je sursaute !

« Iiiiiiiiiiiiiik !!! »

Quelle peur, je suis sûre qu’elle va rire celle qui m’a fait cette blague, c’est certain même ! Et moi je suis toute rouge, comme si je venais de faire une grosse bêtise ! Je balbutie une réponse de mon mieux.

« Je… heu… non ! Je, j’ai juste changé de chambre, c’est tout ! C’est à toi ce sac ? »

Je n’osais même pas me retourner, j’avais pris une toute petite voix, un peu timide, et surtout gênée, peut-être qu’elle pensait que j’avais voulu la voler, j’étais très embarrassée !!!

Kiniro

Humain(e)

La visiteuse émit un petit cri de surprise. Je ne rigola pas, mais un petit sourire naquit sur mon visage. Elle semblait être belle, vue de dos en tous cas. L'humaine expliqua, enfin expliquer est un grand mot pour la petite phrase qu'elle sortie, la raison de sa présence. Elle me demanda si se sac était à moi, j'allais la répondre en montrant un minimum de courtoisie, qui sait sans doute voudra-t-elle devenir plus tard une des mes servante.

- Effectivement ce sac est à moi.

Je me plaça devant le visage tout rouge de la demoiselle et continua ma phrase.

- J'ai eus quelque ennui avec mon dossier ce qui fait qu'il a été traité en dernier. C'est la première fois pour moi que je suis dans un établissement scolaire et aussi dans un dortoir. Mais je ne vais pas raconter ma vie. Je me présente Morgane de la Rosiaire, mais tu peu m'appeler Succubus.

Je prit le temps de la voir sous toute ces couture. Je n'aurais pas espérée avoir une humaine aussi appétissante dans mon dortoir. Son corps était parfait, avec tous ce qu'il faut au bonne endroit. Ce qui m'interpela surtout fut la taille de sa poitrine. Pour résumer un corps d'adulte avec, apparemment, l'esprit d'une jeune fille timide. Au vue de sa tenue elle n'était pas vierge, sinon elle ne se mettrait pas en valeur. L'armoire où j'avais mit mes affaires était encore ouvert dévoilant surtout des tenue légère et cachant un minimum tout en dévoilant ma beauté naturel. Ma tenue devait d'ailleurs aussi faire un peu tape à l'œil.

- Puis-je savoir qui est la jolie demoiselle qui partage mon dortoir.

Vous l'aurez vite comprit, j'avais déjà considéré ce dortoir comme le début de mon territoire de chasse sur Terre. Manque de pot pour cette humaine qui serait sans aucun doute la première proie, mais autant commencer à allez en finesse, histoire de ne pas encore se trouver sous la domination d'un chasseuse. A cette idée je pensa à la marque que Sinclaire m'avait infligé à mon sein gauche. Elle n'étais douloureuse que pendant la douche ou la piscine. Ma blessure à la jambe laissait une petite marque mais était guérit.


Saïka

Je ne bouge pas, mais je la sens qui bouge autour de moi, je baisse le regard, les joues rougies, c’est gênant, cette impression d’être prise en faute alors que je n’ai rien fait ! Enfin c’est son sac et j’y ai pas touché, c’est au moins ça, elle ne pourra rien me reprocher ! Son visage est devant le mien, et comme je regarde vers le bas, je bois un peu sa poitrine et je rougis encore plus !!! Ah heu… elle se présente, Morgane… Succubus, je heu…

« Heu… enchantée… Morgane… moi c’est… je m’appelle Saïka… »


Je la sens qui m’observe, me détaille, me déshabille du regard, et ça m’embarrasse encore plus ! Décidément, c’est pas si bien que ça de vivre ici je crois, en tout cas ça commence mal, depuis que je suis interne ! Je relève un peu le visage, et je regarde un peu partout, mais pas elle, tout gênée que je suis ! Et heu, elle a l’air un petit peu plus âgée, ou un peu pareil, j’en sais rien, mais elle est presque nue !!! Je dois être bientôt violette moi, haaa qu’est-ce que j’ai fais pour mériter ça ? Ah oui… je me souviens, mon cadeau d’anniversaire, quel cadeau, vraiment !

Je recule un petit peu, et je me retourne, me dirigeant vers ce qui semble être mon lit, puisqu’elle semble avoir choisit le sien, comme si elle était chez elle, alors j’y pose mes affaires, et, pour me reprendre un peu, déjà je dis rien, je pense à tout sauf à cette situation, et je commence à ranger les affaires que Naïka m’a données dans mon armoire, que des jolies tenues, et je sens le regard de Morgane qui me surveille, je me suis vraiment pas à l’aise… elle aura déjà pu voir toute ma jolie lingerie et mes tenues un peu limites, pourquoi fallait-il que j’aie une sœur qui aime jouer les provocatrices aussi, hein ?!

Kiniro

Humain(e)


Elle était vraiment timides, comme c'est mignon. Elle me faisait penser à la première esclave capturée quand je pouvait jouir de mes droits. Elle avait aussi une belle collection de tenues tous plus amusantes les unes que les autres.

Je me leva et donna une petite tape sur le dos de Saïka, pas bien fort bien sur, il était hors de question de brutaliser cette petite, enfin pas encore. Je prit une attitude de gamine.

- Relaxe mistinguette. Il ne faut pas être timide comme ça, je vais pas te manger. Je préfère les fille sportive.

A ces mots mon ventre gargouilla. Cela enclencha un rire nerveux.

- J'ai faim, je te fais quelque chose ? Je sais je vais te faire un de mes plats favoris.

Je fouilla dans mon armoire et trouva cr que je cherchais, des boulettes de  bœufs congelées et des spaghetti. Je fouilla dans le tiroir de la cuisine et sortie une poêle et une casserole. Je constata que le  système était électrique, étant habitué aux gaz je me trouva comme une conne devant la gazinière. Je pianota en essayant de comprendre, j'y arriva au bout de deux minutes.

Je mit l'eau des pâte à bouillir et fit cuire lentement les boulettes en faisant attention à leurs cuisson. Vous me direz que je devrais porter, normalement un tablier et ben non, cela me gratte et ils sont généralement moche. L'odeur de la viande commençait à envahir un peu le dortoir, aussi j'ouvris une fenêtre, histoire de faire un peu partir l'odeur.

J'aimais cuisiner, c'était souvent Misty ma cobaye, au début elle tombais malade après chaque test (petit rire), maintenant elle n'en laisse plus une miette. Que voulez-vous, il faut bien se garder des activités à faire.

Saïka pouvait m'entendre chantonner, la faim m'avait fait un peu oublier l'humaine, mais pas complètement. Si je voulais profiter d'elle je devait avant tous avoir sa confiance et  après, seulement après, je pourrais lui faire ma proposition et tant pis pour elle si la réponse ne me convenait pas.

HS-  Il est mimi ton perso ;D -HS-

Saïka

Je n’avais pas perdu ce pourpre qui m’était monté aux joues, ni cette gêne, ni ce malaise, ni rien du tout ! Je l’entendais qui s’approchait, puis elle me tapota amicalement le dos, et moi j’ai sursauté ! Je sais pas pourquoi, je sens que ça va pas être facile à vivre ce partage de chambre, ou alors… peut-être que si, j’en sais vraiment rien !

« Relaxe mistinguette. Il ne faut pas être timide comme ça, je vais pas te manger. Je préfère les fille sportive. »

Je l’avais pas senti arriver, mais elle avait raison, Morgane, après tout… oui, je dois me relaxer un peu, je suis trop tendue, alors qu’elle semble pas dérangée que j’aie été si proche de son sac, ce qui me soulage, je soupire légèrement d’ailleurs ! Par contre elle gargouille, j’évite de rire, à vrai dire je ne sais pas comment je dois le prendre après ce qu’elle vient de me dire, et si elle allait me manger, pour combler cet estomac qui criait famine ?!!? Quelle idiote je fais, déjà elle me rassure, mais pourquoi je vois tout en mal et j’ai peur de tout ?? D’accord, rien ne va très bien depuis que je suis interne, enfin si, mais c’est juste bizarre…

« J'ai faim, je te fais quelque chose ? Je sais je vais te faire un de mes plats favoris. »

Heu je… c’est je sais pas ! C’est vrai que je commence à avoir faim moi aussi, mais bon !

« Heu… si ça te dérange pas… oui… d’accord… »

J’étais pas du tout rassurée à en croire ma voix tremblante, alors ça pas du tout, mais j’ai faim, et puis je n’ose pas lui dire non, elle est assez gentille on dirait, ça ira peut-être mieux, il faut que je respire, que je me calme, que je… fiou ! Elle est sortie, elle est dans la petite pièce qui sert de cuisine, enfin je l’entends là-bas en tout cas. J’en profite pour discrètement aller au petit coin, je fais un looong pipi, j’avais trop besoin, et puis je me rafraîchis le visage, ça ira sûrement mieux après ça ! Mais déjà je sens toute peur s’en aller, attirée par cette bonne odeur qui commençait à envahir la chambre et le couloir, puisqu’elle n’avait pas refermé la porte, voilà, je vais refermer la porte ! Tient, Morgane elle chantonne, ça sera bientôt prêt, j’en profite pour finir de ranger mes affaires, en attendant la suite qui ne me rassure pas non plus complètement !

Kiniro

Humain(e)

Chaque mouvement de l'humaine m'avais été rapportés par mes petite lianes, qui étaient planquées dans mon armoire et qui pouvaient disparaître si besoin ai. Elle était donc encore tendue, encore une proie qui me fera longuement patienter. L'eau bouillante me fit rappeler que j'avais encore les pâtes à faire. J'éteignis sous la viande et mit un couvercle pour conserver la chaleur et entama les spaghetti. Il fallait attendre dix minute et cela passa vite.

J'en profita pour préparer la table, bon c'était une table-basse carrée, on pouvais étendre les jambe sous la table sans que les pied des personnes d'en face se touche, sauf si on avait de grande jambe. Je mit les assiettes face à face, comme ça elle serait obligée de me regarder et de vaincre sa timidité. Il était prouvé que deux personne l'une en face de l'autre augmentais de manière significative le dialogue entre eux.

Je passa les pâtes dans un égouttoir et servi les assiettes, la touche final dans l'art de la cuisine c'est l'esthétisme et j'étais très douée dans ce domaine. Je plaça des cloche sur les assiettes, encore une fois pour que cela ne refroidisse pas, il aurait été effectivement dommage de manger froid.

Je passa  dans la chambre, prit une tenue et partie dans la salle de bains pour me préparer. La tenue était celui que les serveuse utilisaient dans des restaurant, en faite c'était plus soubrette que serveuse. Bien que je n'aime pas trop les vêtements couvrant de trop mon corps je m'amusait, nul doute que cela ferait un peu rire Saïka. Je sortie de la pièce et me dirigea vers la chambre où était encore l'humaine. Je me présenta devant la porte et inclina le buste.

- Le repas de madame est servie.

Pour une fois être dans une position de servante ne me gênait pas, sans doute du au fait d'avoir été trop proche de Misty.

Saïka

« Le repas de madame est servi. »

Je sursaute, je ne l’avais pas entendue arriver, encore une fois ! Et je rougis encore plus, je ne suis pas une madame moi, je suis juste une jeune fille toute gentille, enfin je crois… enfin peu importe, je viens tout juste de finir de ranger mes affaires, alors je me retourne, toujours rouge, et je me sens surtout idiote… c’est pas très drôle mais bon, c’est comme ça je pense, je suis définitivement une idiote !

« Huuuuu ! »

Ah oui j’étais surprise de voir sa tenue, même si je n’avais vu que le bas de ce qu’elle portait, je n’avais toujours pas relevé mon regard ! Elle était habillée comme si elle était à mon service, je ne sais plus du tout où me mettre, j’ai juste envie de fondre comme neige au soleil !!! Je finis par avancer, plus par politesse qu’autre chose, et je vais m’assoir à la place la plus éloignée de la cuisinière, laissant cette place à Morgane qui avait fait la cuisine, le regard rivé sur la cloche, les mains jointes sous la table, les jambes croisées, j’étais même nerveuse en plus d’être embarrassée maintenant, et Morgane devait s’en rendre compte, j’en suis certaine !

Je ne sais pas si je dois soulever ma cloche, si je dois relever le regard, si elle s’est assise, je suis juste perdue dans cette situation si commune, pourquoi est-ce que je me sens si mal, qu’est-ce que je pressent, c’est pas très normal comme attitude !

« Je… merci… c’est bizarre… merci… je… »

Si j’avais voulu simplement dire que je trouvais très gentil de sa part d’avoir préparé à manger, et pour moi aussi, mais que c’était d’habitude à moi qu’incombait cette tâche, on peut dire que j’ai totalement raté, c’est plus qu’évidente ! Je balbutie, j’ai une toute petite voix très timide, je ne sais pas du tout ce que j’ai, pourtant tout semble assez normal, enfin je crois, c’est juste que… ben que j’en sais rien, mais il doit y avoir anguille sous roche pour que mon corps réagisse comme ça, m’empêchant d’agir un peu normalement, mais je ne sais pas ce qu’il y a et ça m’agace vraiment !


Kiniro

Humain(e)

Voilà qu'elle était encore plus timide, une preuve que tous plan à toujours beaucoup  de faille. L'humaine se plaça à la place prévue. Cela montrait un certain respects envers mon boulot. Mais  elle semblait intimidé, je prit le haut de la cloche et dévoila le plat.

- Spaghetti cuit aldente, avec boulette de bœuf le tous sur une sauce fait maison.

Je me plaça à ma place et retira la cloche, toute les saveurs de ce plat était comme il fallait. La sauce n'était rien d'autre que le liquide d'une de mes lianes. Elle avait un goût propre à chaque individu, de tels sorte, à ce que la personne apprécie cette sève.

Elle avait des effets pour le moins intéressants, elle permettait à la personne qui le consomme de devenir moins nerveuse et détendait aussi l'esprit. Bon cela n'allait pas la rendre comme un zombie, mais l'humaine serait moins timide et plus franche. Je pouvait en consommer comme je le désirais, cela ne m'affectais pas.

La plus grande surprise est que les souvenir après la consommation sur une période trois à cinq heure serait falsifiés. Un avantage important, mais les souvenirs seraient aléatoire bien qu'ayant quand même un minimum de réalisme. J'attendis que Saïka commence à manger, comme une cuisinière attend les commentaire de son client, dans ce cas la , sa cliente. Restais à savoir comment agirais la sève sur cette demoiselle.

Vous pensez sans doute que c'est méchant et oui, mais que voulez-vous je suis une esclavagiste, pas un petit ange et cela ne fait que commencer.

Saïka

Je sens une bonne odeur qui arrive à mes narines, ça à l’air drôlement bon, et en plus j’ai faim, ça tombe bien… mais je ne vais pas me jeter sur le plat non plus. Elle me décrit le menu, et j’ai un petit peu sourit, en la remerciant dans les éternels bafouillages d’idiote, rougissant un petit peu, puis je l’entendit s’assoir.

Puis rien après qu’elle ait retiré la cloche de son plat, elle attendait que je fasse quelque chose, que je goûte sûrement ? Ah ben oui, évidemment ! Suis-je sotte ! Alors voilà, je goûte à la viande, aux pâtes, puis à la sauce évidemment, n’en prenant qu’un petit peu, par politesse, et j’ai relevé mon visage en souriant un peu, je me sens bien mieux, je me sens enfin calme, comme s’il y avait de la magie dans ce plat !

J’en ai repris un peu encore, pour bien sentir le goût, avant de sourire plus normalement à mon hôtesse, et je lui ai même parlé presque sans bafouiller, c’est plutôt surprenant, je m’étonne moi-même, mais c’est mieux, c’est certain, et puis c’est très bon ce qu’elle a préparé !

« Je… j’aime beaucoup Morgane, tu devrais goûter aussi, c’est délicieux ! »

Et puis je me suis mise à manger, sans hâte, juste normalement, sans craindre de relever la tête, comme si ce n’était plus la moi d’avant, mais une moi plus normale dans une situation aussi banale, en tout cas, ch’est cro bon !

Kiniro

Humain(e)

L'humaine prit une petite bouchée et me complimenta sur la cuisine. Elle était vraiment plus calme et d'un autre côté moins timide, bien, la sève commençait à agir. Saïka me fit remarquer que je devais aussi le gouter, je n'en avais pas besoin, je savais qu'elle goût cela avait.

Pour une proie cela aurait un goût délicieux, pour moi cela avait le goût du sang. Un goût qui reste dans la gorge, heureusement que j'avais mit les boulette de bœufs, qui cachait à mon palais celui de la sève. Manger ne me posais aucun problème, c'était un luxe que je pouvais me permettre.

Il n'y eut pas de parole pendant une minute, puis je décida d'essayer de voir si ma sève avait complètement agit.

- Tu as de la famille ? Des frères et sœurs ?

La sève saurait délier sa langue et si elle était sensible à ce liquide, elle pourrait me dire des choses fort intéressante. Les personne prédisposer à ce liquide était comme sous  l'effet d'un sérum de vérité, mais la chance de voir ce cas se produire était de une sur cent.

Pendant ce temps, mes lianes dans mon armoire se faufilaient pour voir précisement ce que cette fille avait comme tenues dans la sienne. Connaitre un peu mieux sa proie permettait de ne pas avoir de mauvaise surprise.

Saïka

« Tu as de la famille ? Des frères et sœurs ? »

Elle s’intéresse un peu à moi, c’est vrai que je me sens de lui répondre, là comme ça, je me sens bizarre, pas comme d’habitude, mais ce n’est pas pire à vrai dire, je vais peut-être rester un peu plus comme ça après, je l’espère en tout cas !

« J’ai une grande sœur et un grand frère, et toi ? »

C’est si drôle de parler normalement, il faudra vraiment que je continue comme ça, mais je me contrôle relativement bien, je suis juste une nouvelle moi, un peu plus sûre d’elle, qui a moins l’impression de déranger, c’est amusant… de voir la vie ainsi, même si je ne sais pas pourquoi je la vois comme cela maintenant ! Hm c’est trop bon… presque fini mon assiette mine de rien !

« Tu as des questions puisque tu viens d’arriver ? Je peux sûrement y répondre. »

Et en plus je suis souriante, et je pourrais porter sans problème les tenues de Naïka je crois, même si elle sont un peu limites, mais très jolies tout compte fait. Des sous-vêtements raffinés ou carrément indécents, quelques tenues toutes provocantes, parfois juste un peu, parfois beaucoup plus, certaines étant juste indécentes…


Kiniro

Humain(e)

Elle avait donc de la famille. J'eus une expression de surprise quand elle me demanda si j'en avais. Vu qu'elle allait oublier ce qui serait dit je pouvais dévoiler un peu de mon passé sans problème. Elle semblait apprécier l'Eau de la sirène, c'était le nom de cette sève, elle apaisait l'esprit par son chant et effaçais les souvenir par son son doux sourire

- Je ne sais pas, je retrouve des souvenirs de temps à autre. Je sais que j'avais un père et une mère, je suppose que j'avais un petit frère ou une petite sœur, mais c'est encore trop flou, trop imprécis. Je croit que c'est une petite sœur.

Elle me demanda si j'avais des questions sur le lycée. Une me vint tous de suite à l'esprit.

- Comment est la directrice ?

J'avais entendu des rumeurs selon quoi elle aurait aidée de élèves sans rien demander d'autre, cela était trop beau pour être vrais, elle devait avoir un secret, une combine, tous le monde en avait une. Même l'humaine devant moi. D'ailleurs la seconde question serait assez personnel et cela me tira un sourire sur le coin des lèvres d'avance.

Saïka

Ca y est, j’ai fini mon assiette, je me lève et débarrasse mes couverts, et vais commencer la vaisselle, tout en écoutant sa réponse qui est curieuse, elle n’a pas l’air de se souvenir de tout. D’ailleurs, je me demande pourquoi je me sens si « normale », et surtout si ça va durer, parce que je me plairais presque comme ça, moi !

« J’espère que tes souvenirs te reviendront vite ! Comment ça se fait que tu ne t’en souviennes plus ? Tu as eu un accident, une maladie ? »

C’est vraiment bizarre de me sentir si bien, je discute en faisant la vaisselle, sans être gênée d’être trop curieuse, et sans commettre de maladresse pour une fois, j’apprécie vraiment cette situation !


« Comment est la directrice ? »

« Je ne sais pas trop, je ne l’ai jamais rencontrée, et je n’en ai pas beaucoup entendu parler non plus… Désolée. »

C’est vrai que j’entends peu de choses, à toujours m’être empressée de rentrer à la maison pour y assurer les tâches ménagères, entre autres. J’attends qu’elle me tende ses couverts pour finir la vaisselle, et puis après, et bien après…

« C’était délicieux en tout cas, tu es une sacrée concurrente en cuisine ! »

J’ai ri un peu, ça ne me ressemble pas trop, mais c’est sympa, vraiment sympa !


Kiniro

Humain(e)

L'humaine semblait vraiment apprécier cette sève, c'était assez déroutante, car si l'on m'avait dit que la fille à l'instant serais une fille timide, je n'en croirait pas mes oreilles. Et elle se montrait curieuse en plus. De toute façon j'avais trois heures, non deux heures et demi minimum avant qu'elle n'ai des chances de se rappeler quelque choses. J'allais donc sustenter sa curiosité, de toute façon le temps qui me restait était largement suffisant pour appliquer mon plan. Vu l'heure les autres personnes des dortoir devaient se préparer à dormir ou à faire autre chose que vouloir espionner les autres dortoirs, au pire les fouineur auraient le droit de dire bonjour à mes lianes qui leurs feraient prendre une petite douche froide.

- Tout ce que je sais c'est qu'il s'agit d'une sorte de rite familial. Ma mère m'a posée sur mon cœur un sort qui me bloque mes dix première années, j'ai réussit à briser se sort, mais en échange je dois toujours portée ces boucle d'oreille et ne laisser personne me les détruire. Sinon je perd tous mes souvenir aussi bien passée que présent. Je récupère de temps à autres mes souvenir par flash, au début je ne pouvait pas les contenir et plus d'une fois cela à faillit me tuer. Maintenant je les enfermes et tous les soir je les laisse couler dans mon esprit en douceur. Cela dit quand un souvenir est trop important il arrive à passer ma barrière et c'est douloureux.

Comme-ci le simple fait d'en avoir parler, m'avais apporte le malheur un flash justement important apparut, mon assiette et mes couverts tombèrent au sol pendant que moi j'étais au sol, recroquevillé tremblant comme une feuille, les  yeux dans le vide. Je vit une journée sombre où les nuage dégageait une mauvaise impression, comme les ténèbres de la nuit. Nous étions dehors et ma mère me prit par la manche et se plaça devant moi, mon père était dos à nous deux.

- Miha ! Reste derrière ta mère.

Je ne rêvais pas mon père m'avais appelé Miha. C'était mon prénom. Mais une série d'éclair touchèrent le sol, faisant apparaître des monstre similaire à celui de mes précédent souvenirs. L'un deux parla avec une voix à faire froid dan le dos.

- Donnez nous la petite et nous vous laisserons la vie sauve.

Comme réponse ma mère éradiqua la moitié de la troupe de démon avec des lianes de lumières. Elle eut un rire mauvais et dit avec une vois dédaigneuse.

- Le premier cafard qui touche à ma fille ira voir les anges de près. Ils adoreront vous montrer tous le respect qu'il se doit.
 


Les démons allaient attaquer quand une lumière entoura mon père. Il marmonnait une incantation.

- Du vent du nord fut née les tourments, de la terre de l'ouest la douleur, de l'eau du sud la terreur et de la flamme du nord le néant. Milles Flamme Purificatrice.

Des oiseau de flammes se jetèrent sur les démon, les réduisant en cendres. Il n'en restait plus un seul. Mon père s'effondra d'épuisement, ma mère se porta à son secours et c'est là qu'un démon s'étant caché voulut me prendre, à cette instant là une liane apparut et le transperça, puis son corps brula.

Mes parents me regardèrent et voulurent dirent quelque chose, mais le souvenir s'arrêta aussi vite qu'il était venu.


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