Ah, voilà un autre moment qu’elle attendait impatiemment ; se faire sodomiser. Mithra s’en donna à cœur joie et accepta pleinement la position qu’avait adopté Myala. De cette façon elles allaient toutes les deux pouvoir s’admirer de face, tout en savourant cette belle et prometteuse sodomie. Jambes en l’air, bien écartées, la sorcière accueillie chaleureusement la trique de son amante dans son fondement. Elle glissa tendrement en elle, s’enfonçant dans ses entrailles en lui arrachant à un grand râle de plaisir. « Hmmm ouiii ! » Soupira Myala, étant particulièrement sensible à la sodomie. Sa muse lui fit un petit commentaire sur ses fesses, lui faisant comprendre qu’elle aimait son cul. En toute modestie, Myala savait qu’elle possédait une belle paire de fesses qui ferait pâlir d’envie n’importe qui. Elles étaient si généreuses et tendre, si accueillantes … Qui pouvait résister ? Personne.
Ainsi, sa chérie entreprit d’aller et venir en elle, tout en lui donnant une belle gifle sur sa fesse pour entamer le tout. Cette claque qui trembler son fessier comme un bon bloc de gelée et fit surtout soupirer Myala. Elle ne put se retenir de crisper ses mains contre les draps et d’ouvrir grand sa bouche quand son amour se mit à la besogner. Oui, OUI ! Voilà tout ce qu’elle aimait, tout ce qu’elle attendait ; se faire prendre ! Sauvagement, fortement, puissamment … Et ça, seule Mithra y parvenait. Car seule Mithra savait comment satisfaire au plus la sorcière, qui couina et trembla sur place. « Haaaa – HAAAAAANNN ! » S’écria-t-elle, se faisant méchamment bourrer les fesses par l’archère qui ne la ménageait pas. Et c’était tout ce qu’elle désirait ! Sa tête bascula en arrière, s’enfonçant dans le moelleux du lit, mais elle tenta de se ressaisir afin de poser son regard sur son amour.
Un regard fiévreux, désireux et terriblement affectif. Elle la regardait, la dévorait du regard, l’incitant à la prendre toujours plus férocement. Après quelques bonnes minutes, l’archère y mettait son cœur et sa trique pilonnait hargneusement ses entrailles, qui se faisaient écarteler. Les deux amantes ne décollèrent point leur regard de l’une comme de l’autre, s’admirant dans leur plus sensationnel moment. Myala gémissait et couinait sa douleur, s’assimilant à un plaisir immense. La verge de l’archère était monstrueuse, avide, assoiffée, et elle détruisait ce fondement avec une puissance hors-norme. D’interminables minutes s’écoulèrent pendant lesquelles Myala se faisait sodomiser, encore et encore. Le plaisir était fou, immense, et les deux femmes perdaient la tête. La langue de la sorcière se mit à pendre et elle faillit même s’étouffer avec sa propre salive. Ses doigts s’enfonçaient dans les draps, qu’elle serait de toute ses forces pour tenter de canaliser le surplus de sensation. « HAAAAAAANNNN OUIIIIII ! HAAAAAAA-HAAAAAANNN PU-PUTAAIIINNNNNNNNN OUIIIIIII !!! ENCORE – ENCOOOOOOOORE ! » Hurla-t-elle, perdant complètement la raison tellement Mithra lui faisait du bien entre ses fesses.
Elle sentant son gland taper contre son fond, et vu la puissance et la rapidité de ses coups … Myala n’allait pas mettre plus longtemps à craquer. Sa propre verge s’était raidie, et se balançait d’avant et d’arrière, suivant les mouvements de queue de Mithra. La trique de la sorcière était joufflue, massive, comme sur le point d’exploser sur place. Le temps s’égraina encore, et Mithra finit par lui apporter le coup final, le coup qui acheva la sorcière. « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! !!! !!! » Hurla-t-elle de toute ses forces, s’abandonnant complètement, totalement. Sa verge se mit à éjecter violemment un énorme jet de foutre, qui retomba sur son propre corps. Ce n’était pas qu’un ; par à-coup, plusieurs jets aussi denses les uns que les autres se firent cracher, éclaboussant complètement ses seins, son bassin, les draps, etc.
Elle sentit surtout la chaude crème de son amour remplir à ras-bord ses intestins. Elle jouit généreusement en elle, la fourrant à bloc, faisant même gonfler sensiblement son ventre, qui devint légèrement rond. Cela lui rappela ses premiers mois de grossesse, d’ailleurs. Un final magnifique et incroyable, qui arracha tellement de cri à Myala qu’elle en perdit souffle. Elle finit toutefois par se calmer, et reprit lourdement sa respiration. Sa poitrine montait et descendait fortement, comme si elle venait de faire un marathon. « Haaa – Haaa … » Soupirait-elle, reprenant douloureusement son souffle. Son regard se posa à nouveau sur celui de son amante ; un regard terriblement amoureux, désireux et mordant. « Ohh, ma Mithra … C’était, c’était … PARFAIT BON SANG ! T’as pas perdu en poigne mon amour … Tu m’as détruit le cul comme jamais auparavant … » Lui déclara-t-elle.
Elle se redressa, faisant donc sortir le délicieux appareil de Mithra de ses fesses, puis se mit à genoux, devant elle. Elle la prit fortement dans ses bras, lui faisant un gros et chaleureux câlin, et l’inonda de remerciements. Myala, en grande amoureuse, finit tout de même par l’embrasser fougueusement, voracement, en prenant sa langue en otage pour jouer hargneusement avec. Si Mithra était prête à lui offrir de pareils moments chaque jour, la sorcière allait être une femme comblée, et heureuse … Il ne manquait plus qu’une seule chose, mais elle devait attendre le bon moment pour lui en faire part. En attendant, elle l’embrassait, en y mettant tout son cœur et son âme, comme pour lui déclarer avec des gestes la puissance et l’étendue de son amour pour elle.
Et pendant ce temps, sa petite rondelle laissait lentement couler le trop-plein de foutre que Mithra avait déverser dans ses intestins, éclaboussant d’avantage les draps, qui allaient être surement changés après coup … Myala finit par interrompre son baiser et regarda amoureusement son amante, posant son front contre le sien, frottant son nez au sien. « Je t’aime … Par Sha, je t’aime à la folie Mithra … Je t’aime jusqu’à en perdre la raison … Nous deux, c’est pour la vie. » Lui susurra-t-elle, d’une voix un peu fatiguée, mais suave. « Merci pour ce moment Mithra. Et je peux te garantir que, tant que nous serons réunies … On se fera joyeusement l’amour chaque jour ! Voire même plusieurs fois par jour. On rattrapera le temps perdu, et on s’aimera enfin au plein jour, à tout moment. Mais … En attendant notre prochain câlin, je dois te parler de choses plus sérieuses, mon cœur. Je vais te laisser te reposer un peu, te remettre en état … Viens me voir sur notre terrasse quand tu seras prête. Je t’attendrai … » Lui déclara-t-elle, ponctuant son discours par un dernier baiser sur ses douces lèvres, puis par un autre, sur la pointe de son petit nez. Elle lui sourit tendrement, puis s’écarta d’elle, de sa chaleur, de son corps, pour finalement quitter le lit.