Pour une simple femme, Shiro avait une fougue exceptionnelle, et un appétit sexuel impressionnant. Mélinda, néanmoins, ne se faisait pas spécialement d’illusions. Elle était sûre que Tessia devait, à sa manière, former la petite femme. Mélinda avait déjà pu constater, en faisant l’amour avec la femme, que, si Tessia aimait prendre son temps, et bien frustrer ses partenaires, elle pouvait faire preuve d’une vigueur sexuelle qui était très impressionnante, et n’avait rien à envier à quiconque. Ce fut donc sans ménagement que Mélinda retourna visiter le corps de Shiro, mais avec, cette fois-ci, outre l’envie bien légitime de baiser cette petite femme, d’offrir à Alice, silencieuse observatrice, un spectacle qui soit digne de ce nom.
La vampire alla donc s’enfoncer en elle, crispant ses mains sur ses fesses, et donna de magnifiques claques. Le latex, encore, se mit à crisser, à couiner, avec ce son si caractéristique, et si agréable à entendre. Mélinda sodomisait cette fille et Alice depuis des heures, mais elle n’arrivait définitivement pas à s’en lasser. Oh, quel spectacle ! La vampire regardait la femme, voyant ses longs cheveux roses qui remuaient sur son corps. Elle soupirait de plaisir, se mordillant les lèvres, pinçant les moelleuses fesses de l’infirmière.
« Ah, Shiro, hmmm... !! »
Cette fille avait vraiment un cul magnifique. La verge de Mélinda s’y enfonçait voracement, filant dedans, pour repartir en arrière, et à nouveau devant. Et, tout en la prenant, elle pouvait sentir l’impatience d’Alice. Elle se dandinait sur place, la pauvre, couinant et gémissant, salivant abondamment. Même avec le gag ball sur ses lèvres, la salive réussissait à passer. Elle soupirait lentement. Oh, ce n’était pas la première fois que Mélinda faisait ça. Son amie était terriblement perverse, et, quand Alice était plus jeune, il y a quelques années, la vampire s’était amusée à l’attacher très souvent, développant sa perversion en la forçant à regarder de longues séances de sexe, pour qu’elle rejoigne ensuite son amie et ses esclaves. Le traitement était atypique, mais non moins efficace, et avait plutôt bien marché sur la Princesse.
Seulement, Mélinda y avait pris goût, et Alice subissait à nouveau ce spectacle horrible. Han, qu’elles étaient belles, toutes les deux ! Alice ne pouvait s’empêcher de les observer avec passion, une passion dévorante, car elle sentait son sexe flamber sur place. Papillonnant des yeux, la tête blonde couinait encore, tentant, vainement, de défaire ses liens. Elle n’y arrivait tout simplement pas, et gémit encore, essayant de les appeler, mais, en retour, n’entendait rien d’autre que leurs gémissements éhontés, leurs profonds soupirs de plaisir.
« Hmmmm-hmmmm...
- Ah, Shiro !! Mmmhmmm, ma chérie... !! Ton cul est vraiment magique ! »
Et elles continuèrent, encore et encore, pendant des minutes qui lui semblaient insupportables. Impossible de tourner la tête, alors elle fermait les yeux, mais les gémissements étaient encore pires, explosant dans ses oreilles. Alice sentit même des larmes de frustration rouler le long de ses joues, avant que les deux femmes ne finissent par se rapprocher. Mélinda, dans un ultime soupir, venait de jouir joyeusement en elle, et, une fois ceci fait, ne tarda pas à se rapprocher d’Alice, venant caresser son visage, son corps en sueur proche du sien.
« Haaa... Alors, ma chérie, hmmm... Tu es toute chaude, dis-moi...
- Hmmmm-hmmmmhmmm... !! »
Mélinda sourit malicieusement, et commença par ôter le serre-tête, puis glissa ses doigts contre la boucle retenant le gag ball, à l’arrière. Elle allait le retirer, mais retint ses doigts, en souriant à nouveau.
« Il va falloir être très convaincante, ma petite Alice... Sois la plus vulgaire possible, et je laisserai à Shiro le soin de déterminer si ta conviction pour te faire prendre comme une chienne est suffisamment convaincante pour que nous venions te soulager de ton tourment... »
Alice couina encore, semblant déglutir, tandis que la vampire, elle, se régalait de ce sang en fusion, qui bouillonnait à toute allure dans le corps de la jeune femme. Oh, quel sang délicieux ! Mélinda retira alors la boule, qui tomba sur les cuisses d’Alice, rebondissant dessus pour tomber ensuite par terre. Déglutissant sur place, la Princesse releva la tête, soupira, puis se lâcha alors :
« Pi... Haaa... Baisez-moi... Baisez-moi comme une grosse chienne, car... Haaa, j’ai envie de vos queues, j’ai envie de vous sentir me baiser comme une grosse salope ! Hmmm... »
De tels mots dans la bouche d’Alice étaient terriblement excitants. Elle se mordilla les lèvres, et reprit :
« Je vous en supplie, baisez-moi ! Prenez la pute que je suis, et fourrez vos grosses bites en moi, défoncez-moi, haaa... ! J’en peux plus, je... Je veux que vous me baisiez comme si j’étais la Reine des chiennes, pitié ! »