Starfire venait d’une planète où les gens adoraient s’embrasser, et où tout était beau et voluptueux. Très naturellement, le sexe était donc, pour elle, quelque chose d’inné, de naturel, de bienvenu, et il n’y avait, en réalité, absolument aucune raison de se sentir gênée face à ça. Pour elle, coucher avec ses amis ne présentait aucun problème d’ordre moral. La religion n’avait pas développé le concept de péché originel à Tamaran, et, si la religion existait bien, elle était beaucoup plus libre qu’ailleurs. Les Tamaraniennes se considéraient avant tout comme des femmes libres, et la société était à grande dominance matriarcale. On faisait l’amour librement, sans pour autant que ce ne soit un signe décadence, ça faisait tout simplement partie de la culture locale. Koriand’r n’avait donc aucune raison de négliger Veronika, ou de ne pas lui faire l’amour, car Veronika était une chatte-cyborg très belle, très agréable, une héroïne doublée d’une justicière…
…Et qui se mit à lentement, très lentement, la déshabiller, émoustillant la belle Princesse, qui se mit à gémir et à soupirer de plaisir, serrant et pinçant ses lèvres, tout en sentant les multiples attouchements de la femme. Elle prenait tout son temps, sans aucun doute pour émoustiller davantage Starfire, qui se mit à gémir en sentant le corps de Veronika s’aplatir contre le sien, avec sa main qui se mit lentement à descendre, glissant entre ses cuisses, pour venir caresser ses zones intimes.
« Haaa… »
Se mordillant les lèvres, Kori’ se mit à gémir, soupirant de plaisir, ondulant lentement, de gauche à droite, son bassin. Oh oui, elle aimait beaucoup qu’on s’occupe de son corps ! Ce dernier était très tactile, ce qui expliquait pourquoi les Tamaraniennes adoraient les câlins et les baisers. En réalité, c’était fort simple à comprendre ; s’il devait exister une planète de la beauté, alors elle ne pouvait s’appeler que Tamaran. Koriand’r gémissait et soupirait sous les délicieux attouchements de la femme, qui finit par lui ôter sa combinaison, cette dernière glissant le long du corps nu de la femme, dans un crissement, glissant délicieusement sur sa peau.
Kori’, elle, ignorait qu’une odeur s’échappait de son corps sous le plaisir sexuel, mais… Et bien, pourquoi pas ? Elle trouvait ça plutôt amusant, en réalité, et elle laissait Veronika l’embrasser, avant de commenter sur le fait que, sous sa combinaison, elle soit nue.
« Je n’ai pas besoin de porter de sous-vêtements avec, la combinaison moule à la perfection mes formes… »
Veronika n’était cependant pas trop intéressée par ses explications, et elle finit par retourner Starfire. Toutes les deux nues, Kori’ se mordilla les lèvres, amusée de voir son amante rougir. Oui, elle avait un très beau morceau devant elle, une superbe femme à la peau orange, avec de longs cheveux flamboyants, et un regard magnifique, sans parler de sa silhouette de rêve. Une véritable mannequine, qui alla répondre avec envie au baiser de Veronika. La tenant ainsi contre elle, elle entreprit de la déplacer, et leurs corps heurtèrent le rebord du lit, puis elles se retrouvèrent finalement couchées dessus.
Rapidement, la bouche de Starfire se déplaça, allant de celle de Veronika à ses seins, qu’elle se mit à suçoter et à embrasser, avant de les pincer à son tour, comme son amante le lui avait fait, à hauteur des tétons. Elle tira ainsi sur ces derniers, les écartant, jouant goulûment avec eux.
« Hmmm… Toi aussi, tu es merveilleuse, Veronika… Je suis très heureuse de pouvoir te faire l’amour… »