Identité : Sauron
Âge : Physiquement 18 ans … mais il est plus jeune, bieeennn plus jeune que cela …
Sexe : Le sexe fort enfin ! Mâle !
Race : Terranide
Sexualité : Hétérosexuel
Physique : Etrangement, son corps semble jeune, plein de vitalité et surtout de force. Loin de son âge réel, on peut dire que Sauron s’en sort pas mal avec sa taille se rapprochant fortement des deux mètres de haut. Chaque muscle se dessine à la perfection sur son corps de combattant, de guerrier aguerrit. Il n’a aucune cicatrice à part sur les mains, et encore, trop fine pour réellement être aperçues. Ses mains sont épaissent, montrant qu’il travaille énormément, qu’il est habitué à soulever des charges lourd. D’un point de vue anatomique, Sauron se démarque par l’héritage paternel : il n’a pas un mais deux cœurs qui permettent de réguler parfaitement le sang dans son corps, et convient même … si l’un des deux cœurs est détruit, le second prendra le relais alors que le premier, détruit, se régénérera.
Son visage peut sembler féminin pour certain, typique des hommes pour d’autres. Ce petit coté androgyne lui à été légué par sa mère. Il possède des cheveux courts, une toute petite queue de cheval se fait voir à la base de sa nuque. Ses cheveux sont de couleur gris, terne et pourtant en plein soleil, les mèches de cheveux peuvent avoir ce bel éclat argenté voir platine. Ses yeux sont d’un bleu pure, aussi pure que le ciel même. Pourtant il y a ce petit éclat au fond de sa pupille noir, un léger éclat blanc ne laissant rien présager de bon. Mais fallait-il encore le regarder droit dans les yeux pour réellement se rendre compte de ce détail. Son menton est garni de quelques poils de la même couleur que sa crinière, un beau petit bouc présent, fin, sans plus. Aussi, il y a présence d’une petite boucle d’oreille dont la couleur est entre le bronze et le or, au niveau de son oreille gauche ; rien de très particulier. Cela donnait juste un léger coté classe.
En dehors de son corps battis pour les travaux lourd et le combat rapproché, dans son dos se présentent des choses qui font de lui un Terranide. Une paire d’ailes s’y trouve, au niveau de ses omoplates. Des plumes pures, brillante entre le blanc immaculé et ce petit soupçon d’argent, héritage maternel. Juste en dessous se trouve 6 appendices gluants, tièdes, ondulants et malléables : des tentacules. Ces derniers sont essentiellement sombres, un léger reflet entre le rouge et le magenta, une couleur plus sombre que la chair même ; leur extrémité sont plus clair, plus gris mais la texture gélatineuse est pareille. Un petit détail hors du commun était là aussi : sur ses tentacules se trouvent, à la base comme aux extrémités, de petites plumes insignifiantes…
Hors ces détails corporels, le jeune homme porte une armure qu’il a forgé lui-même. Une armure faite de bronze et de Strathilme, une pierre très rare qu’on ne trouve que sur les terres glacées des Terranide. Il est possible de le voire se balader avec une épée à deux main sur son dos faite du même métal que son armure, attachée sur son dos.
Caractère : Le jeune Terranide est une personne qui n’a pas peur des défis qu’on lui impose, il sait se débrouiller, contourner les problèmes et trouver des solutions … enfin quand le sujet n’est pas trop dur. On ne peut pas dire qu’il soit très cultivé … L’histoire, la politique, les problèmes actuels, ce n’est pas pour lui ! Il a l’esprit libre, préfère penser à lui, à sa famille et à son entourage que de savoir si le chocolat va mieux avec la vanille ou la fraise …
Sauron adore s’entrainer, se battre, démontrer sa force. Se prouver d’une certaine manière qu’il est le plus fort. Après tout vu son gabarie … cela n’est pas étonnant. Serait-il capable de sauver une pauvre femme en détresse ? Hm … possible comme il pourrait passer sans rien faire. S’il ne se sent pas impliqué dans les problèmes, il peut se montrer insignifiant et neutre.
Maintenant, sauron est une personne qui aime faire rire son entourage, le peu de famille qui lui reste que ce soit aussi bien sa famille adoptive que la mère qui vient rarement le voir. Sa mère qui est une des personnes qu’il respecte le plus … il ne la connait pas plus que ca en réalité. Il sait juste que c’est grâce à elle qu’il peut vivre aujourd’hui, grâce à elle qu’il a prit goût au combat, à se battre. Grâce aussi à elle qu’il désire voir et découvrir le monde. Et puis une des questions qui lui trotte en tête est … qui est son père ? Une question que tout enfant n’ayant qu’un parent se demande. Maintenant ce n’est pas cela qui anime réellement sa vie. Ce qui le motive ? Découvrir le monde dans lequel il est né. Cependant, vu l’âge très jeune du terranide, il lui arrive parfois de raisonné comme un enfant et de foncer tête baisser …
Histoire : Si serré, si coincé … les yeux bleuté de l’enfant s’ouvrirent quelque peu de temps avant sa propre naissance. Il faisait sombre à l’intérieur … pourtant il pouvait voir, par moment, un éclat de lumière. Enfin de lumière … vous savez, la lumière qui vient se heurter contre le ventre maternel, l’intérieur se retrouvant un peu éclairer comme la couleur des paupières fermés face au soleil. Cela permettait au jeune enfant de regarder autour de lui. A ses cotés, son frère jumeau … mais il était différent. Une chose rougeoyante rayonnait sur son front, comme un symbole … un sombre symbole, mauvais, maudit, démoniaque. Son frère semblait en souffrir en plus d’être, comme lui, extrêmement coincé. Sauron, comme son frère, étaient dans une position pas des plus agréable : droit, tendu et non rétracté sur lui-même comme les autres nourrissons encore dans le ventre de leur mère. Les yeux bleus de l’enfant tournaient autour de lui quelques instants, ses sens déjà en éveil. Les sons causés par le cœur de sa mère l’apaisait et le réconfortait. Le moment était proche … il le sentait. Puis vint la toute première contraction, celle qui annonçait leur prochaine venue. Le bébé ferma ses yeux sous une légère douleur. L’utérus s’était brièvement contracté. La mère s’arrêta, se demandant ce qui lui arriva. Elle pensa à une simple douleur intestinale avant de reprendre sa route comme si de rien n’était.
Les heures passèrent, les contractions se firent de plus en plus violente. Les deux enfants souffrant autant que la mère même. Puis soudain, les oreilles de l’enfant furent tiquées par un bruit soudain, un léger craquement. Doucement, l’enfant sentit une sensation désagréable. Le liquide amniotique venait de quitter la poche contenant les deux jumeaux. La perte des eaux s’était faite. Le travail allait commencer. La mère horrifiée et comprenant ce qui se passait, se mit alors dans de bonne condition. Elle allait donner la vie. C’est alors que, doucement mais surement, le frère de Sauron passa premier. Des cris éclatèrent, ceux de sa mère pendant le travail. Sauron, lentement, ferma ses poings et attendit patiemment son tour.
D’autre bruits se firent, les pleurs de son frère, les hurlements de sa mère … des ricanements sombres puis … plus rien. Tout se passa rapidement, une vingtaine de minutes peut-être ? Puis des pleurs se refirent mais pas ceux de son frère … ceux de sa mère … Les cœurs de Sauron se serrèrent, ressentant la perte d’un lien : celui de son frère. Il ne comprenait pas tout. Il était trop jeune pour ça … Puis son tour arriva, il s’engagea et sortit peu de temps après. La mère coupa le cordon avec difficulté avant de la prendre contre elle et le serrer contre sa poitrine doucement.
-Mon bébé … toi … tu me resteras … Mais je serais incapable … de te garder seule … Sauron ne comprenait pas ses paroles mais se serra contre sa mère avant de se mettre à pleurer sous le manque d’oxygène. Ses petites ailes, pas plus grande que des ailes de poulets, battirent en cœur sur son dos. Les petites pointes noir et gluant sur son dos s’allongèrent un peu … dévoilant ses petits tentacules. La mère attendit la délivrance de l’accouchement avant de se lever et se mettre en marche. Elle regarda l’enfant qui lui rappelait tant son père. Doucement elle murmura.
-Sauron … Tel sera ton nom mon trésor …Sa mère avait finalement trouvé un bâtiment religieux sur les terres d’Ashnard. La mère trouva quelques hommes à l’intérieur et leur demanda si elle pouvait leur confier l’enfant qu’elle venait de mettre au monde, le dernier qui lui restait … Un des humains, âgé, regarda le Terranide et fut de suite intriguée par ses caractéristique angéliques et … tentaculaires. Il accepta à une seule condition : que la mère reste les premiers mois, que l’enfant soit sevré avant que la mère puisse repartir. La jeune femme soupira et approuva … Sauron ouvrit doucement ses yeux et regarda le monde qui l’entoura pour la première fois. Il ne voyait pas bien … tout était encore un peu flou mais il pouvait voir clairement sa mère : une femme qui semblait avoir dans la vingtaine, habillée de noire, les cheveux long et brillant comme de l’argent, la couleur de ses yeux ressortant dans l’obscurité, un beau turquoise. Le visage de l’enfant se tourna sur l’interlocuteur de sa mère. C’était un homme qui avait beaucoup d’âge, de rides, des cheveux court et dont la couleur était poivre et sel, comme sa barbe taillé. Il ne semblait pas spécialement fort. Des yeux marrons clair … L’enfant bailla puis se rendormit contre sa mère.
Les mois passèrent ; la mère comme les hommes du couvent restaient étonné par la croissance rapide de l’enfant. Il semblait prendre 1 an toutes les une à deux semaines. L’enfant grandit vite, son intellect aussi … à 6 semaines, la croissance de l’enfant semblait déjà diminuer. Il était sevré, mangeait de tout : du fromage, de la viande, de la laitue, des fruits, des légumes et … même des pierres. Etonnement, il n’en mourut pas, cela lui semblait même comme essentiel mais permit aussi de freiner sa croissance exponentielle.
Tous les jours, l’enfant se levait au levé du soleil et partait attendre dans la cours du couvent. Il attendait patiemment le retour de sa mère chaque matin … Mais bien entendu, elle ne revenait pas tout le temps. Cependant, Sauron espérait, sa mère c’était tout ce qui lui restait. Il se remémorait étrangement sa naissance, ou du moins peu avant, quand il voyait son frère. Ses pensées allaient pour lui … le frère qu’il ne connaitrait surement jamais. Telle était la vie … injuste, cruelle et ingrate.
Son regard se tourna sur le côté, le vieillard était là, celui qui l’avait accepté. L’homme se considérait comme un père pour le jeune garçon. Sauron sourit en le regardant.
-Maman va arriver, Deckart ? L’homme le regarda doucement, tendrement et répondit calmement.
-Je ne sais pas Sauron, vient avec moi. Il est l’heure de déjeuner … tu ne veux pas prier avec nous après ? L’enfant grimaça, qu’il n’aimait pas entendre tous ces long discours interminables ! Il rit.
-Non ! Je veux aller jouer avec Lyr dans la forge ! Deckart ne put s’empêcher de sourire d’avantage. Il tendit sa main doucement. Sauron lui sourit en retour, prit sa main pour se redresser et ensemble ils retournèrent dans le couvent pour aller se nourrir.
Les semaines, les mois suivirent alors. La jeune mère venait de plus en plus rarement mais elle chercha alors, pour le peu de fois où elle venait, d’entrainer son jeune garçon. Elle voulait qu’il puisse se débrouiller le jour où il pourra voler de ses propres ailes. Sa croissance, certes, diminuait mais il grandissait encore… Il était grand maintenant … il devait bien avoir douze ans physiquement alors qu’il était né il n’y a que deux ans et six mois … Ils s’entrainaient alors avec des épées en bois, l’enfant adorait se battre avec sa mère et le sentiment était réciproque. La jeune mère regardait son fils avec admiration, heureuse de voir qu’il était en quelque sorte son héritage mais elle était à la fois triste de le voir grandir, de ne pas se sentir capable de rester près de lui jour pour jour … il lui rappelait trop son père. Il était Terranide lui aussi, elle l’avait aimé, le coup de foudre mais jamais cela n’avait été pareil pour lui enfin c’est ce qu’elle s’est dit durant tout le temps de sa grossesse … n’ayant aussi jamais pensée qu’elle tomberait enceinte le seul soir qu’ils ont partagés ensemble. Sauron s’arrêta et regarda sa mère. La nuit tombait, elle allait bientôt repartir comme d’habitude …
-Maman ? Avant que tu repartes je … je voudrais te poser une question. La mère sourit, prit alors deux chaises et les posa l’une près de l’autre. Elle s’assit, le fils aussi. Les yeux turquoise de la mère se tournèrent vers son fils et lui demanda alors avec toute la gentillesse et la tendresse qu’une mère pouvait avoir pour son enfant.
-Oui Sauron ? -Père … a quoi ressemblait-il ? La jeune platine se tut alors. Elle regarda le ciel, songeuse … elle cherchait comment le décrire. Elle ne l’avait pas oublié, même si les détails de ses habits eux s’étaient fait oublié de son esprit.
-Ton père … est comme toi : un Terranide. C’est un forgeron qui manie la magie des runes. Il était fort … grand, très grand même, encore plus que moi. Elle le regarda doucement.
Comme tu le seras surement toi aussi mon poussin. Ses cheveux étaient cours avec une queue de cheval et de couleur gris, comme ses yeux. L’un de ses bras était brulé à force de manier les armes dans le feu, je pense. L’enfant sourit, imaginait la carrure de son père. Il serait alors aussi grand que lui ? Il n’avait pas encore de la taille de sa mère même si il la rattrapait vite. Sa tête devait déjà être à hauteur de sa poitrine. Inutile de dire que quand il aura sa taille adulte, il dépassera facilement sa mère … Sauron tentera de dessiner une esquisse de ce que à quoi son père ressemblait afin de ne pas l’oublier ! La mère se leva alors, embrassa la tête de son fils avant de le regarder.
-Je te laisse mon grand, je dois partir … soit sage mon poussin. Elle sourit tendrement avant que ses longues ailes noires n’apparaissent et la portent dans les cieux.
Sauron l’observa s’envoler, il regarda ses ailes ensuite qu’il déploya doucement … lui aussi volera aussi haut dans le ciel. Il apprendra !
Les mois passèrent encore. Ses quatre printemps avaient été fêtés il y a cinq mois. Il avait atteint sa taille adulte depuis trois mois, il ne vieillissait plus … enfin. Il n’avait plus vu sa mère depuis deux ans … plus aucune nouvelle, rien. Il comprenait que sa mère avait beaucoup à faire mais surtout qu’il y avait comme une gêne. Il adorait sa mère, il respectait ses choix … il était grand de toute façon à présent. Il était venu le temps pour lui de faire ses choix. Deckart sentait que le départ de Sauron serait pour très bientôt. Le jeune Terranide s’étaient renseignée un minimum sur le monde via la bibliothèque qui était présente dans le bâtiment. Il passait aussi de longue journée à la forge où le fameux Lyr lui avait appris à forger le métal. C’est ainsi que Sauron forgea sa première lame: c’était une épée à deux mains faite d’acier, peu affutée. Il avait entendu parler des différents métaux de Terra et une l’intéressait plus particulièrement : un métal rare qu’on ne trouvait que sur la terre même des Terranide. Le Strathilme. Des livres faisaient mention de cette pierre bleuté dans les montagnes du nord, aussi résistante que l’adamentium et qui affrontait sans problème la magie des élémentaires, un parfait isolant thermique aussi. Le problème était la force qu’il fallait pour manier ce métal … Mais Sauron s’en moquait. Il avait une force herculéenne de naissance et il s’entrainait sans cesse pour la développée. Ses divers services dans le couvent l’avaient aidé aussi: soulever des charges lourdes de livres, de nourritures et même de pierre et de métal pour réparer les quelques imperfection dans la structure du bâtiment.
Le temps pour lui était venu de partir. Il avait prévenu le couvent, il avait prit un sac à dos qu’il avait remplit de nourriture et divers chose comme des couvertures et un manteau. Il agrippa le tout sur son dos, entre ses ailes et les tentacules, précieusement cachées sous ses vêtements de lin. Son regard bleuté observa Deckart qui lui souhaita bonne chance. Le jeune Terranide dit simplement :
-Si vous voyez ma mère, dites lui que je l’aime et que je pars à l’aventure ! Et c’est ainsi que le jeune homme partit pour les contrées froides et mordantes du nord, la terre même des Terranide. Ses ailes se déployèrent alors et, ensemble, ils le soulevèrent au dessus du sol pour rapidement partir vers le nord. Il mettrait des jours pour y arriver mais il atteindrait son but. Il partit ainsi, longtemps … très longtemps pour arriver à destination au bout de plusieurs semaines de vol. Il chercha alors durant des jours dans ce froid glaciale après la dites pierre. Il rencontra de colossale créature qu’il n’eut pas de mal à tuer pour le peu de cervelle qu’ils avaient. La nourriture ne manquait pas, c’était le cas de dire !
Après multiple jours à chercher, il trouva ce qu’il souhaitait. Il sourit, posa sa main sur cette belle pierre bleuté sur les parois d’une grotte. Il prit alors une pierre pointu qui semblait solide et se mit à récolté la pierre bien qu’avec beaucoup de difficulté. Une fois la pierre récupérée, il partit pour la ville la plus proche, trouva une forge inoccupée et les outils présents. Il se mit à frapper la pierre durant de longues heure, la rentre malléable à une des températures les plus haute et c’est ainsi qu’en plusieurs longues heures dans la nuit il se forgea d’abord une arme, une autre épée … plus résistante, plus belle que l’ancienne qu’il avait. Il sourit, se forgea ensuite une armure qu’il revêtit fièrement.
Une fois prêt, il regarda le ciel dont le jour se levait. Ses longues ailes blanches s’étirèrent et d’un grand battement d’ailes, l’homme s’éleva dans les cieux pour partir à la recherche d’aventure, à la conquête de ce monde qu’il voulait voir de ses propres yeux …
Autre :Le jeune Terranide possède une force surhumaine depuis sa naissance et fera tout pour l’agrandir encore.
Sauron est capable de manger de tout mais surtout peut digérer tout ce qu’il ingère que ce soit vivant ou non ! Maintenant il n’est pas à l’abri des indigestions.
Le gris possède deux cœur, vous en crever un … pas de bol, si l’autre est pas touché, il vivra encore !
Les capacités en forgeage du terranide valent la forge des humains cependant … il pourrait en apprendre d’avantage ?
C’est une des rares créatures a pouvoir se régénérer au fils du temps … mais il prendra plusieurs heures pour une plaies superficiel et jours pour une plaie profond