SHIRO
Sakura est contente, ça ne fait aucun doute pour Shiro. Elle est totalement à l'aise en se faisant fesser par l'infirmière et elle n'oublie pas de compter un seul coup en ajoutant un gémissement avant chaque compte. La jeune femme jubile d'avoir trouvée une partenaire si obéissante et si friande de fessées. Bien qu'Iku soit une parfaite masochiste, elle a souvent tendance à désobéir quand elle est un peu trop emballée. Par exemple, quand elle était dans la salle de bains et qu'elle avait mis un doigt à Ayako. Ici, la victime est à la fois contente de son sort et sait contrôler son plaisir pour ne pas faire n'importe quoi. Dommage que cette jeune fille soit déjà prise par Tessia, sinon elle aurait fait une patiente régulière de premier choix.
Au bout de la quatorzième fessée, Shiro sent que Sakura tremble sur ses genoux. Elle est peut-être déjà à ses limites ? Mais puisqu'elle n'a pas dit en avoir assez, l'infirmière continue de la punir. Au dix-septième coup, la jeune fille oublie de compter et son bourreau lui met immédiatement une deuxième fessée, qu'elle n'oublie pas de compter cette fois. Elle refait le même coup encore deux fois puis, au bout du vingt-et-unième coup, elle arrête de compter même après deux fessées de rappel. Là, la jeune femme est inquiète.
« Sakura ? Ça va ? »Elle fait se redresser sa partenaire, qu'elle sent tendue et tremblante à cause de la douleur, et s'étonne de voir qu'elle a les yeux complètement vitreux et qu'elle semble être ailleurs. Elle secoue sa main devant ses yeux, espérant obtenir une réaction, mais toujours rien. Sakura présente les mêmes symptômes que si elle était... droguée ? Mais elle n'a rien pris depuis le début de la soirée et, si elle s'était droguée avant, Shiro et Tessia l'auraient remarqué. L'infirmière met son cerveau en mode ''analyse médicale'' et reconstitue la chaîne des événements ainsi que les symptômes, pour finalement arriver à la seule conclusion qui lui semble logique.
Chez certaines personnes, qui ont généralement une tolérance à la douleur plutôt faible, il arrive que l'endorphine, l'hormone sécrétée par le corps pour lutter contre la douleur, soit diffusée en très grande quantité, jusqu'à ce que la personne soit shootée par son propre organisme. Et ce ce qui arrive à Sakura : son endorphine est en train de la faire planer.
Deux minutes plus tard, elle finit par redescendre sur Terre. Ses premiers mots sont pour complimenter son infirmière adorée avant de se pelotonner contre elle comme si elle était une grosse peluche. Mais Shiro n'est pas très contente.
« Tu aurais pu me prévenir que tu pouvais partir en vrille en cas de douleur trop intense. »Sakura ouvre la bouche pour répondre quand elle décide de s'arrêter et de se tourner vers sa maîtresse Tessia. Pas un mot n'est prononcé, mais quand la jeune fille fait à nouveau face à sa maîtresse actuelle, elle a le sourire aux lèvres.
Dans l'instant qui suit, Shiro observe avec stupeur les seins de sa soumise se gonfler et tendre pendant que cette dernière gémit tout en lui expliquant que sa poitrine est maintenant remplie de lait aphrodisiaque. Et quand elle relève la tête, elle vient demander très gentiment si sa maîtresse peut la traire parce que ses seins lui font mal, et demande aussi si elle pourra en avoir un peu. Shiro est tellement attendrie par sa petite voix et son visage rouge proche de l'écarlate qu'elle ne se sent pas capable de lui refuser quoi que ce soit.
« Oui ma belle, je vais te soulager. Et tu auras droit à du lait, mais pas qu'un peu. Je veux que tu sois aussi chaude et tressaillante qu'une goutte d'eau sur une plaque de cuisson. »L'infirmière a longtemps rêvé de pouvoir tirer le lait d'une adolescente, mais son ancienne vision de la réalité lui faisait comprendre qu'une adolescente avec du lait était une adolescente enceinte, ce qui n'était pas bon. Mais maintenant, grâce aux pouvoirs de succube de Tessia, elle allait avoir droit à son lait, qui plus est un lait aphrodisiaque.
Sans se faire prier plus longtemps, elle colle sa bouche au téton gauche de Sakura et se met à sucer si fort que le doux liquide ne tarde pas à couler. La jeune fille gémit de plaisir en se faisant vider les seins, la jeune femme gémit de plaisir pour le goût sucré du lait et la chaleur qu'il répand en elle. Son bas-ventre est en train de prendre feu, et c'est une sensation si bonne qu'elle ne se lasse pas de pomper. En plus, elle éprouve un certain amusement à voir comment les choses ont tourné : elle est censé être la maîtresse, mais elle est en train d'agir comme une soumise, tétant la mamelle de celle qui la nourrit. Et c'est assez drôle à vivre.
Au grand dam de Shiro, le sein se vide trop vite à son goût. Cependant, son intimité s'est transformée en brasier et ses tétons pointent tellement qu'elle croit sentir l'air les frôler. Il est temps maintenant de donner à sa soumise sa part de bon lait.
« Prépare toi à ouvrir la bouche. »L'infirmière prend le téton droit entre ses lèvres, aspire jusqu'à ce que sa bouche soit pleine de lait, puis approche son visage de Sakura. La jeune fille ouvre la bouche et la jeune femme l'embrasse dans un délicieux baiser lacté, par lequel elle déverse le lait qu'elle amène et force sa partenaire à tout avaler. Elle répète l'opération environ une dizaine de fois, rendant chaque baiser plus torride que le précédent, jusqu'à ce que le deuxième sein soit lui aussi vide. Elles se retrouvent toutes les deux en chaleur, prêtes à se jeter sur la première venue. Mais puisque c'est Shiro qui mène la danse, c'est elle qui prend l'initiative : elle fait allonger sa soumise sur le canapé, puis se met au-dessus d'elle et lui bloque les poignets avec ses mains. Son regard est empli de perversion et d'une sorte d'animalité presque attirante.
« Maintenant que j'ai bien bu, il faut que je mange. Et j'ai décidé que c'est toi que j'allais manger. Mais crois moi, tu vas adorer ça. »
AKENO
Akeno se débrouille bien dans son rôle de maîtresse. Rin est très obéissante et, même avec les chevilles près du visage, un gode dans la chatte et un plug dans le derrière, elle arrive à remercier sa maîtresse après chaque fessée qu'elle reçoit. La jeune fille aux cheveux roses garde quand même un œil sur sa soumise, au cas où elle aurait surestimé ses limites. Tout ce temps passé avec Shiro l'a rendue extrêmement sensible aux souffrances physiques d'autrui.
Les premières fessées se passent sans problème. Puis, à partir de six, la victime commence à s'agiter, les yeux fuyants. Au bout de neuf, sa maîtresse à du mal à la retenir à cause des spasmes qui la secouent. Mais alors qu'elle pense à arrêter, l'orgasme arrive enfin, au bout de treize coups. Rin expulse un petit jet de cyprine qui nettoie bien le gode, puis retombe toute molle sur le futon. Un dernier remerciement et Akeno lui retire le gode, ainsi que le plug. C'est là qu'elle se rend compte que ce dernier n'a pas été lubrifié avant d'être utilisé.
Ah, la gaffe !Une telle erreur n'a rien de critique, mais l'insertion n'a pas du être agréable pour sa soumise. D'ailleurs, la pauvre ne semble pas être en état de poursuivre immédiatement.
« Rin, est ce que ça va ? »En réponse, elle donne tous les endroits où elle est sensible aux chatouilles. Akeno hésite à attaquer maintenant, mais Rin la rassure en lui disant qu'elle a juste des orgasmes fatigants, mais qu'elle sera bientôt prête à reprendre. Akeno la laisse donc se reposer un peu avant de se mettre en place pour les chatouilles.
Elle décide d'attaquer sa victime point par point, en commençant par les pieds et en remontant peu à peu jusqu'en haut de son corps. Pour la première partie, elle se met sur le ventre de Rin puis se penche en avant et passe un bras autour de ses cuisses pour les bloquer. Si jamais elle se mit à gigoter, mieux vaut éviter un coup de genou dans l'estomac. Elle approche ensuite lentement la plume des pieds de sa victime, lui laissant le temps de se préparer pour son supplice... puis se met à la chatouiller. Immédiatement, Akeno est impressionnée par les rires qu'elle entend ainsi que de voir comment sa partenaire se débat. Et histoire d'en rajouter, elle utilise sa main libre et vient la chatouiller sous ses cuisses, en glissant parfois jusqu'à sa fente intime. Avec deux points sensibles attaquées en même temps, c'est la débandade pour la pauvre petite chatouillée. Comme quoi elle ne mentait pas sur sa sensibilité.
Après deux bonnes minutes, Akeno laisse ces deux points d'attaque pour changer de position : elle s'assied au niveau des seins de Rin, hors de portée de ses jambes, et dirige la plume vers ses reins tandis que son autre main va lui caresser la peau juste sous ses seins. Encore une fois, sa victime se tortille comme un asticot et rit beaucoup, mais rien ne pourra lui permettre d'échapper à son calvaire. Elle sera chatouillée jusqu'à en jouir, sa maîtresse s'en est fait la promesse.
Quand elle cesse de s'en prendre à cette zone, Rin est au bord de l'explosion. Il est temps de l'achever. Akeno se déplace encore et vient s'asseoir sur ses avant-bras pour l'empêcher de les remuer. Elle entame alors la phase finale : la plume sous l'aisselle droite, sa main libre sous l'aisselle gauche et, avant que la soumise ne se mette à rire à gorge déployée, sa maîtresse l'oblige à l'embrasser et à faire jouer leurs langues ensemble. Ses fous rires sont étouffées et ne peuvent plus être entendus que par elle et celle qui l'embrasse. C'est une drôle de sensation pour Akeno d'embrasser une fille morte de rire, mais ce n'est pas désagréable.
Rin finit enfin par se lâcher et libère un nouveau flot de cyprine, mais plus important que le précédent, qui laisse une tache sur le matelas. Après ça, elle s'étale de tout son long, visiblement épuisée, avec encore de légers sursauts dus à sa crise de rire. Akeno se relève et s'allonge à côté d'elle, lui souriant.
« Tu as été une bonne soumise Rin. Maintenant, que dirais tu d'inverser les rôles ? »L'adolescente n'a pas l'air pas contre, mais elle voudrait peut-être savoir ce qu'elle pourrait lui faire.
« En tant que soumise, j'aime qu'on me passe des glaçons sur le corps. S'il y en a ici, tu verras l'effet que ça me fait, surtout sur mes zones érogènes. Puisque tu es capable de te faire apparaître une bite, j'aurais aussi une autre suggestion : je pourrais m'occuper de ton pénis jusqu'à ce que tu déverses toute ta crème sur mon sale corps de chienne. Et bien sur, je n'ai rien contre une bonne fessée ou des godes dans la chatte.
Mais ce ne sont que des suggestions, c'est à toi de décider... »Elle l'embrasse rapidement sur la joue.
« ...maîtresse Rin. »
KAEDE
Après avoir présenté ses excuses, Kaede espère qu'Ayako sera plus amicale, mais ce n'est pas le cas. Elle l'oblige à ouvrir les yeux et à la regarder, son langage devient de moins en moins fleuri au fil des minutes, mais la jeune fille à lunettes ne le prend pas personnellement. Elle sait bien que ce n'est qu'un jeu, que sa maîtresse se montre méchante parce qu'elle a besoin de se faire respecter et de rappeler que c'est elle qui commande. Et elle lui obéit parce que c'est son rôle en tant que petite chienne de faire tout ce qu'on lui demande.
Kaede couvre les pieds d'Ayako d'attentions, léchant partout du talon à la plante et suçotant les plus petits orteils, déposant des baisers légers comme des papillons sur tous les endroits qu'elle peut atteindre, le tout sans oublier de complimenter sa maîtresse.
« Vous avez vraiment des pieds splendides maîtresse Ayako. Waf. C'est un honneur pour une sale chienne comme moi de pouvoir les lécher. Waf. »Finalement, au terme de ses efforts, Kaede voit la capitaine du club de tir à l'arc retirer son pied et la faire redresser sa tête. Elle dit à sa soumise qu'elle a mérité une récompense et, sous ses yeux captivés, la jeune fille à lunettes voit une verge humide sortir du vagin de sa maîtresse. Il lui est ensuite ordonné de supplier pour avoir le droit de sucer cette merveilleuse queue.
« Une vilaine fille comme moi ne devrait pas avoir le droit de toucher votre pénis. Waf. Néanmoins, si vous me donnez l'autorisation de sucer votre belle queue, je vous promets de vous faire très plaisir. Waf. Je vous soulagerai de toute cette semence qui remplit vos boules. Waf. »En réponse à sa supplique, Ayako hoche la tête. Kaede se laisse amener jusqu'à son pénis encore mou, avec l'ordre de le lécher pour le durcir avant de le sucer.
« Oui maîtresse Ayako. Waf. »La jeune fille à lunettes lèche le membre de la futa jusqu'à ce qu'il se dresse bien haut et soit assez dur pour rester droit. Après quoi elle le met dans sa bouche et l'enfonce le plus loin possible jusqu'à faire une gorge profonde. Et quand elle débute ses mouvements tout en léchant le membre de tout son long, en insistant bien sur le gland, sa maîtresse ne peut que reconnaître son talent à faire des pipes. Un talent qu'elle a gagné à force d'efforts et d'entraînement.
Depuis qu'elle est assez grande pour savoir ce qu'est le sexe, Kaede a exploré ses fantasmes jusque dans leurs plus profonds recoins, mais elle n'avait jamais osé les réaliser avant sa rencontre avec Shiro. En perdant sa virginité, elle avait aussi perdu ses anciennes inhibitions et avait envie de passer du simple fantasme à la réalité. Par chance, elle pouvait s'entraîner sur Iku autant qu'elle le voulait. Et de toute son exploration, aucune sensation provoquée par la réalisation de ses fantasmes ne lui avait fait plus d'effet que de se mettre un membre long et dur dans la bouche. Bien qu'ayant exclusivement expérimenté sur des godes car elle n'avait jamais eu de relation avec un garçon, elle savait comment faire pour s'occuper d'un vrai pénis car elle avait étudié la morphologie du membre dans des livres de biologie. Combiné à son expertise pour le sexe oral, elle avait vite appris à bien sucer un pénis. Mais maintenant, il fallait voir ce que ça allait donner en vrai.
Trois minutes après le début de la pipe, Ayako gémit plus fort pour signaler qu'elle va jouir. Kaede ne décolle pas sa tête car elle veut sentir le fluide poisseux de sa maîtresse lui remplir la bouche. Malheureusement, il y en a bien plus que ce qu'elle supposait, et elle ne peut pas tout avaler sans risquer de s'étouffer. Les derniers jets finissent sur son visage. Elle se met ensuite à genoux devant la futa, le regard tout penaud comme un chien demandant une caresse.
« Est ce que ma maîtresse est contente de moi ? Waf. »Un mot gentil. C'est tout ce qu'elle espère.
IKU
Même avec le visage coincé entre les cuisses de Tessia, Iku peut sentir la queue de la succube bouger près d'elle sans la toucher. Et d'un seul coup, elle l'entend claquer dans le vide. Elle glapit de surprise et a envie de tourner la tête pour voir ce qui se passe, mais elle ne peut pas faire ça tout en continuant son cunni, alors elle y renonce. C'est là que sa maîtresse lui dit qu'il est temps de la punir. Et même si elle ne peut pas parler, l'adolescente jubile intérieurement.
Tessia commence par lui caresser doucement les fesses avant de se mettre à les pincer en certains endroits, dont elle peut sentir la peau chauffer et devenir rouge, ce qui la fait couiner d'excitation. Cependant, elle ne s'arrête pas pour autant de faire ce qu'on lui a demandé. Même quand les coups commencent à pleuvoir sur son petit derrière, elle ne cesse jamais de s'activer avec sa langue, bien que ce soit dur de lécher tout en gémissant.
Tessia fesse Iku avec un rythme régulier, à tel point que la soumise peut même prévoir quand va tomber le prochain coup. Cette punition n'a rien d'impressionnante et la jeune fille se demande pourquoi une démone du sexe se montre aussi ramollie. Néanmoins, elle sent bien la peau de son petit cul virer au rouge et devenir toute chaude.
Soudain, Iku sent la queue de sa maîtresse la relever pour la remettre la tête en haut. Elle sent le sang redescendre de sa tête pour retourner dans son corps, ce qui lui donne de légers vertiges. Heureusement que Tessia s'y est prise lentement, sinon elle aurait pu tourner de l'œil.
- Dis-moi Iku, Shiro t'a-t-elle déjà fait essayer le fouet ? Me laisseras-tu jouer de ma queue comme tel sur ton petit corps ?« Non, je n'ai jamais essayé le fouet, mais j'avoue que c'est tentant. Mais pourquoi me poser la question ? Après tout, en tant que maîtresse, c'est à vous de décider. »- Pourquoi je te pose la question ? Sache que dans ce genre de jeux, la confiance est primordiale, et que même si c'est toi qui est en position de faiblesse, je ne suis pas ici pour te torturer, mais bien pour te faire prendre ton pied. Sur un mot de toi, tout s'arrête. Alors si tu sens que je commence à dépasser les limites de ce que tu peux tolérer, donne-moi maintenant un mot de sécurité qui signifie "on arrête tout" si tu t'en sers. Tu peux aussi m'en donner un autre qui signifie "ça va encore, mais il faut calmer le jeu" si tu veux… Comme c'est la première fois que je joue avec toi, ces mots sont importants. Je ne connais pas encore tes limites et même avec mes millénaires je ne suis pas à l'abri d'une erreur d'appréciation. Alors si tu veux continuer à jouer, j'attends mes mots de sécurité. Et de grâce, choisit quelque chose qui ne peut pas être mis dans une phrase normalement dans ce genre d'activité. Un truc qui n'a rien à voir avec le sexe, comme une couleur par exemple, serait bien.La jeune fille réfléchit un peu, et trouve vite des couleurs pour le code.
« Je propose ''Violet'' pour dire ''Un peu plus fort, s'il vous plaît'', en hommage à maîtresse Shiro, ''Rouge'' signifiera ''Un peu moins fort, s'il vous plaît'' et ''Noir'' sera pour dire ''On arrête''. Et si je ne dis aucun de ces mots, c'est que tout va bien. »Une fois le code établi, la jeune soumise vient se pelotonner à sa maîtresse démoniaque et frotte sa tête entre ses seins.
« Ai-je le droit d'être punie maintenant ? »Elle sent la queue de Tessia s'approcher de ses petites fesses, les piquer et les frotter. La chitine sur sa peau sensible la fait couiner d'excitation. Puis, d'un seul coup, la queue s'abat sur sa fesse droite. La soumise sursaute et gémit fortement. Le coup est bien plus brutal qu'elle ne l'imaginait.
« Aahh... Rouge... Rouge... »Le coup suivant se fait avec un peu moins de force, si bien qu'il en est supportable pour Iku. Et à mesure que les coups s'enchaînent, elle sent le plaisir commencer à monter en elle. Tressaillant à chaque coup de queue, elle utilise parfois le code pour bien rester au niveau idéal de force. L'excitation se répand en elle comme une délicieuse noyade. Elle ne pensait pas pouvoir autant apprécier le fouet, mais son derrière lui montre qu'elle se trompait lourdement.
Au final, tous ces coups finissent par la rendre folle de plaisir : son corps gigote dans tous les sens, ses gémissements se transforment en cris et ses mains griffent la peau de Tessia. Quand l'orgasme arrive enfin, c'en est presque une déception pour elle, parce que cela veut dire qu'elle ne va plus être fouettée. Néanmoins, l'expulsion importante de mouille et le soulagement ressenti compense cette déception. Elle s'effondre alors contre le corps de la succube, complètement ramollie.
« Ah... Ah... C'était... génial... mais... je crois... que mes... pauvres fesses... ne supporteront... pas... une autre... punition... »C'est bien la première fois, de mémoire de Shiro et de ses patientes, qu'Iku demande de son plein gré à ne plus être punie. Heureusement, le reste de son corps est encore en état de recevoir les attentions de sa maîtresse. Une fois qu'elle a repris son souffle, elle pose à nouveau sa tête sur les seins de Tessia pour les utiliser comme oreiller.
« Maîtresse Tessia... vous voulez bien me montrer un autre tour de magie rose ? »