Dans la chambre, les cris du soumis d'Ishtar résonnaient plus fort que n'importe quel autre son ainsi que ses suppliques car Classa prenait un réel pied à passe à tabac son matériel génital. En un sens, le pauvre Terranide-hyène payait pour tous les autres hommes avec qui elle avait dû coucher depuis que Tyria avait créé son Harem pour se venger d'eux. Classa n'avait rien contre le sexe à la base, mais servird es hommes qui ne passaient qu'une fois ou deux, la traitaient comme de la merde et ne prenaient même pas la peine d'essayer de lui faire du bien l'avait profondément frustrée. Ça plus le comportement de tyran de sa propriétaire. Alors elle en profitait pour cogner ces testicules grotesques et cette queue ridicule.
De son côté, Sodoka prouvait qu'elle était capable de faire des merveilles d'ouïe sélective en ignorant les cris du client dont elle ramonait sans pitié le fondement avec son poing en jelly en guise de gode-ceinture. Sodoka était une Neko, et comme toutes les Neko, elle adorait la crème. La seule chose qu'il fallait prendre en compte était que dans son cas, en tant qu'esclave fille de parents déjà esclaves, la seule "crème" qu'elle avait apprise à aimer était celle qui sortait des pénis qu'on lui présentait depuis toute petite. Et même si elle n'aimait pas trop Korus car elle le trouvait arrogant et peu fiable sur ses promesses, au moins lui il produisait de grosses quantités de crème qu'il lui donnait parfois. Alors comme il venait de lui en promettre, elle s'en donnait à cœur joie sur le fondement de ce client décevant.
Ce fut Korus justement qui cette fois vit le panneau holo d'appel. Il sorti sa bite de la bouche à Lirinëlle qui gémit et le suivit à quatre pattes tant elle était excitée et voulait encore d'une belle queue pour la satisfaire. Elle se glisse d'ailleurs à genoux entre le mur et lui pour recommencer à le sucer pendant qu'il lisait. Ce qu'il vit lui fit hausser très haut des sourcils. Depuis un petit moment déjà, il se doutait que d'une manière ou d'une autre, ce n'était plus Tyria qui était aux commandes. Car non seulement les jeux étaient pervers à souhait, mais en plus ils s'enchaînaient aisément en se montrant sans pitié pour le soumis. Une débauche de moyen que sa propriétaire eut sans doute répugné à employer. Il se mit à sourire et décida que c'était peut-être l'occasion de tirer son épignle du jeu. Pendant que l'elfe lui prodiguait une gâterie, il commanda quelques accessoire en plus dans le stock.
L'amercian great challenge arriva bien, énorme gode en silicone pourpre foncé moulé aux dimensions d'une bite démentielle. Mais avec lui virent quelques ajouts. Un rouleau de gros scotch gris, trois œufs vibrants et cinq seringues déjà préparées avec des doses de liquide clair comme de l'eau.
Korus emporta tout le barda vers le lit, se séparant à nouveau de Lirinëlle qui gémit une nouvelle fois en suivant l'esclave. Celui-ci se pencha ensuite à l'oreille de la Neko pour lui murmurer quelque-chose et celle-ci se retira subitement de l'anus du soumis tandis que Classa cessait ses coups pour lever un regard intrigué sur l'esclave roux. Il leur expliqua les instructions qu'il avait reçue, ajoutant son plan étant donné que personne d'autre que lui n'avait vu le contenu de l'affichage. Les filles hochèrent la tête et lubrifièrent à grand renfort de gel le gode pour le soumis d'Ishtar que Classa enfonça lentement mais sans aucune merci pour les cris et les suppliques du soumis qui affirmait que ça allait le déchirer en deux.
Puis quand il fut en place, Korus prit les trois oeuf vibrant et avec un peu d'aide de Sodoka qui avait retiré son gode-ceinture pendant ce temps, les scotcha contre le pénis de soumis bleui par les coups, le faisant gémir et crier quand les œufs appuyèrent contre ses bleus en formation. Pous terminer, l'esclave distribua les seringues et les filles reprient position en demi-cercle autour du soumis. Alors, chacune son tour piqua le matériel génital du Terranide-Hyène et y injecta la dose d'aphrodisiaque qui y était contenu. Lirinëlle piqua la testicule gauche. Quelques secondes plus tard pour permettre à Théorem de bien sentir les aiguilles les unes après les autres, Sodoka piqua dans la hampe du pénis. Puis Classa piqua dans l'autre testicule. Et enfin, ne résistant pas à la tentation, Korus piqua dans le gland du soumis roux, malgré ses supplications.
Tous les cinq se retirèrent ensuite et Korus recommença à baiser Sodoka sous les yeux de Théroem pendant que Lirinëlle et Classa se changeaient pour arborer elles aussi une minijupe de latex. Quelque minutes plus tard, quand elle furent sures que l'aphrodisiaque faisait effet les filles se mirent à jouer avec les télécommandes des œufs vibrants fixés au pénis de Théorem. Impossible de prédire ce qu'allait donner ce cocktail. Le soumis, les bourses et l'appareil génital en feu, hurlant dans son cerveau son envie, non son besoin, de jouir et ce à son corps défendant et incapable.
- NYAAAAHHH !!! OUI KORUS !!! PLUS VITE !!! Cria la terranide-Neko déjà toute excitée par l'attente tandis que l'humain la prenait.
Il aurait probablement besoin d'une dose d'un quelconque dopant pour tenir à baiser chaque fille jusqu'à l’orgasme.
Tyria, pour sa part, n'en menait vraiment pas large. Face à son premier refus de l'accompagner sur sa masturbation, sa cliente s'était levée et s'était approchée, déployant ses charmes littéralement sous le nez de la jeune fille. Cette fois elle déglutit en détaillant le pénis largement piercé de son interlocutrice. Il était à son sens baucoup trop gros. Elle n'avais jamais rien introduit de plus qu'un doigt dans son intimité, en encore, pas complètement. Alors envisager d'avoir une chose aussi énorme en elle, la terrifiait. Et pourtant, ça semblait l'exciter au même point que ça lui faisait peur.
Je dois vraiment être détraquée, c'est pas possible...
Elle senti alors la dragonne prendre délicatement ses mains et la dernière des Stukov pâlit sensiblement. Elle avait les moyens de se défendre à mains nues et n'aurais pas hésité dans n'importe quel autre cas. Mais là, non seulement c'était une cliente, mais en plus elle lui faisait de l'effet. Et quel effet ! Sans sa lingette dans sa culotte, elle était gentiment sûre que la tache qui s'y formait serait visible jusque sur son pantalon. La dragonne posa ensuite les mains de Tyria sur son corps de shemale, dont l'une vraiment très proche de la base de son énorme verge. Elle lui parla ensuite étrangement. Lui parlant de l'épauler, de l'aider... De devenir son amie...
Elle hésita un long instant, n'osant pourtant pas retirer ses mains. Puis elle déglutit à nouveau.
- Je... N'ai jamais entendue parler... d'amis... qui le proposent après avoir posé les mains de la personne qu'elles souhaitent avoir pour amie sur leurs parties intimes... Commenta-t-elle un peu surprise et légèrement songeuse.
Elle resta immobile encore un peu, puis se surpris à vouloir essayer de caresser ce corps qui l'attirait tant. Elle avit ses mains sur Ishtar, mais ceux-ci étaient gantés de cuir. Cependant, elle s'essaya quand même à bouger un peu les pouces contre le ventre de sa cliente. Peut-être de sa future nouvelle amie... Une caresse au fond très anodine mais qui eu sur Ishtar juste assez d'impact pour la faire réagir. Alors, à la fois curieuse et craintive, Tyria essaya de bouger toute la mains. Une à la fois, puis les deux en même temps, caressant doucement le ventre de la dragonne.
- Je vais réfléchir à votre proposition et vous ferait parvenir la réponse adéquate dans les meilleurs délais... Souffla-t-elle tandis qu'elle sentait sa respirations s'accélérer.
Ce n'était pas la première fois qu'elle s'essayait à caresser une femme. Elle avait déjà tenté sur Lirinëlle et Sodoka pour voir si cela attisait chez elle un quelconque désir. Mais à chaque fois, chacune était tellement terrorisée par le nombre de robots de garde présents autour du lit qu'aucune des deux n'avait pu se lâcher. Tyria parce qu'elle était trop incertaine à son sujet et l'esclave parce qu'elle craignait pour sa vie. Au final, ces tentatives de câlins avaient été des échecs.
Mais là, sans robots ni contrainte, cela semblait tellement plus naturel. Tellement plus spontané... Et quelque part, tellement plus... Beau ? Doux ? Elle n'en était pas sûre.
La porte s'ouvrit alors et les deux robots de garde entrèrent, pistolets à chocs au poing. Tyria grommela en comprenant immédiatement pourquoi. Avec son souffle qui s'accélérait, ses fonctions vitales avaient dues s'emballer. Et donc, son détecteur de constantes vitales implanté avait dût mettre les robots en mode d'alerte.
- Arrêt d'intervention, autorisation Tyria Stukov B-K-F-8-9, dit la jeune femme d'un ton agacé.
- ARRÊT PROCÉDURE CONFIRMÉ... Déclara l'un des robots tandis que tous deux rangeaient les pistolets dans leurs holsters.
- Désolée... S'excusa Tyria en soupirant. L'ennui des systèmes de garde implanté dans le corps. Dès que mon cœur part un peu en vrille, toute la sécurité de la maison panique... Enfin je voulais dire... Dès que les paramètres ne sont plus dans la norme... Heu... Qu'ils augmentent un tant soi peu quoi...
Et chier ! Je lui ai balancé à la figure qu'elle me fait de l'effet ! Chiotte ! Bravor Tyria, tu ne veux pas l'inviter à visiter ton lit aussi tant qu'à y être ?
Heureusement qu'elle avait ordonné la fin du protocole d'intervention, car les pensées qui lui traversèrent la tête après cette idée, si elles n'avaient rien de bien extraordinaire au niveau perversion, suffirent à lui rôtir subitement les joues qui se tintèrent d'une rougeur fort malvenue de l'avis de la principale intéressée.