Pensent que mes bruit de sussions et de léchage allait l'exciter, ce fut l'effet inverse alors que je venait juste de commencer, je sent sa main m'empoigner fermement ma chevelure à l'arrière de mon crane avant de me tirer la tête vers l'arrière.
Le regard pleins de détresse je fixe ces yeux alors qu'il me lance.
« Gaffe à ce que tu fais comme bruit, je suis sur que tu serais désolée d'être sur internet et dans le journal parce que tu es pas foutu de sucer comme il faut… non, pardon, ce n'est pas ça… parce que tu ne veux pas sucer comme il faut… alors gobe et commence le vrai boulot... »
Apparemment les bruit que je fait ne lui plaisent pas du tout, et il me le dit directement, il me demande de le gober, mais je ne sais même pas si je vais pouvoir. Tout en maintenant toujours fermement l'arrière de ma tête, il approche sa verge de mes lèvres m'indiquant ce que je doit faire mais j'hésite encore, pourtant je ne devrais pas.
S'en doute parce que je ne vais pas assez vite, son autre mains viens me pincer le nez me coupant toute respiration par celui ci, j'ouvre alors la bouche et sans douceur il enfonce brusquement son membre jusqu'au fond de ma bouche, son gland venant taper ma glotte.
Sur le coup, j'écarquille les yeux et de nouvelles larmes coules sur mes joues, son introduction ma forcer à ouvrir la bouche vraiment en grand, je suis à la limite de la rupture, du moins les muscles de ma mâchoire me tire à m'en faire mal, poussant un gémissement plaintif quand il viens buter au font de ma bouche.
Ne bougeant plus, il retire ces mains, je lève les yeux vers lui alors qu'il prend des photos de moi avec son énorme queue dans la bouche avant de me dire.
« Tu vois, ce n'est pas difficile de se montrer chienne. D'ailleurs j'ai un cadeau pour toi... »
Ce salop en profite parce qu'il sait que je ne peux rien dire, qu'il peux faire pressions sur moi, et il continue d’agrandir sa collection de preuves dégradante contre moi. Ma mâchoire s’étant quelques peux habituer à cette intrus dans ma bouche, je commence à faire de petit vas et viens avec ma tête sur celui ci alors que ma langue caresse son méat et son gland.
Fermant les yeux quelques instant, je sent que l'on me met quelques chose autour du cou, j'ouvre à nouveau les yeux, j'amène mes mains à cette chose et constate au touché que c'est un collier en cuir avec des anneaux métalliques, mon regard affoler reviens sur mon maitre chanteur qui me regard tout sourire au lèvres avant de me lancer à nouveau.
« Tu vois, j'avais tout prévu… tu es une petite chienne bien salope. Ma petite chienne… allez, applique toi davantage pour me remercier... »
Ce pervers me prend pour son animal de compagnie à me mettre un collier autour du cou? Je continue de le sucer du mieux que je peux au vue de la grosseur de son braquemart, je creuse mes joues, aspire fortement en accélèrent progressivement les aller et venue de mes lèvres sur son barreau de chair, amenant son gland buter ma glotte à chaque fois en poussant de petit gémissement, mais ça n'a pas l'air de le satisfaire, il en veux plus.
Alors que sa main viens caresser ma chevelure, je sent part la suite celle-ci maintenir ma tête alors qu'il avance son bassin, pensent qu'il voulait m'imposer le rythme je lève les yeux vers lui et le laisse faire, le sourire au lèvres, il investie entièrement ma bouche venant taper ma glotte, mais une fois atteint, je le sent continuer de forcer.
Le regard paniqué, j'amène mes mains sur ces cuisses et essais de le repousser, mais il n'y à rien à faire, tout en me regardant paniquer le sourire toujours au lèvres il continue de forcer, je pousse des gémissement plaintif, mais très vite ceux-ci sont étouffé alors que son gland imposant commence à investir ma gorge, je le sent s'enfoncer centimètre par centimètre, j'ai mal alors que ma gorge est distendu de force, j'ai des renvois qui remonte mon œsophage mais qui ne peuvent pas sortir c'est horrible, malgré mon regard en larmes l'implorant d'arrêter il continue de forcer, le manque d'air commence à se faire sentir, mon regard se trouble, je tape de mes mains sur ces cuisses, mes yeux commence à se révulser, quand d'un coup il se retire, me laissant enfin respirer, l'air qui rentre dans mes poumons me rassure, alors que je tousse et recrache toute la bave accumuler , de long filet de baves relie d'ailleurs mes lèvres à cette queue couverte de bave gluante.
Le fait de ne plus avoir cette queue dans ma bouche soulage ma mâchoire, du revers de la main j’essuie la bave qui à dégouliné sur mon menton.
« Allez, gobe encore et on recommence… »
"tousse" Attendez... "tousse" Je doit... Il faut que je reprenne... blurrppp...
je n'ai pas le temps de me remettre de cette assaut qu'il me remet sa trique en bouche et qu'il reviens à l'assaut de ma gorge, j'ai juste le temps de remplir mes poumons d'air qu'il s'enfonce brutalement dans ma gorge pour revenir se placer à l'endroit ou il en était rester et il continue de forcer le passage telle un bélier écartant sur son passage les douces mais étroites membranes canneler de ma gorge, gagnant du terrain au fil des secondes, je vois son bas ventre se rapproche de moi malgré ma vision flouté par mes larmes.
Il se retire une nouvelle fois, je tousse encore et recrache le surplus de bave que j'ai dans la bouche et dans la gorge, celle-ci me fait mal d'ailleurs, mais il n'a pas l'air de se soucier de ce que je ressent, puis encore une fois il réinvestie ma bouche et ma gorge brutalement et il pousse à nouveau, il pousse, il pousse encore, il veux me la faire avaler en entier et il y est presque, mes lèvres ne sont plus qu'à deux trois centimètres de son bas ventre, mais il faut qu'il me laisse respiré, ce qu'il fait, mais il sais que le prochain coup il va y arriver.
Mais pour pousser le visse plus loin , il m'explique que je vais devoir le faire toute seule, je ne sais même pas si je vais être capable de mettre son machin énorme dans la gorge toute seule alors l'avaler toute entière...
« Alors, ma petite chienne lili, tu aimes le goût de ton maître ? Attends que je te gicle dans la bouche… à moins que je ne m'amuse à te refaire la façade… oh, je verrai, aller, maintenant je veux que tu la gobe jusqu'au bout, je veux sentir ton menton contre mes couilles, ma salopes… et je veux que tu te doigtes en même temps ! Trois doigts, pas moins, en écartant bien les cuisses je devrai pouvoir admirer le spectacle... »
Il me demande en plus de me doigter, quel pervers... je ne sais pas si j'arriverais à faire les deux en même temps, mais bon il ne faut pas le désappointer.
Vous me dégouté... et vous êtes dégoutant sale pervers...
sur ces mots, ne pouvant pas aller contre sa volonté, je récupère de la bave sous mon menton avec ma main gauche et amène celle-ci à mon entrejambe alors que j'écarte largement les cuisses comme il me la demander pour qu'il puisse tout voir, j’enduis mes lèvres intimes de bave et je commence à insérer un doigt sans m'en rendre compte cette fellation forcer avait excité mon petit abricot et celui-ci était déjà tout moite à l'intérieur, j'enfonce alors un deuxième puis un troisième doigt facilement avant de les mouvoir en de lent vas et viens tout en poussant de petit gémissement.
Je ferme les yeux et me penche alors sur son chibre, que je prend à la base de ma main droite pour le guider jusqu'à mes lèvres, j'ouvre grand la bouche et gobe seulement son gland pour commencer, que je suce avec attention, passant ma langue dessus, aspirant et creusant mes joues pendant une longue minute, avant de commencer à faire de lent vas et viens de mes lèvres sur cette queue, de plus en plus ample, poussant de petit gémissement du à mes doigt dans mon vagin,l’amplitude de ma tête augmente encore un peut plus à chaque minutes amenant peut à peut sa queue dans ma gorge, jusque là inexistant des gloussement sorte de ma gorge alors que son barreau de chair vas et viens dans ma gorge de plus en plus profondément, ma mâchoire me fait moins mal, mais ma gorge n'est pas encore suffisamment habituer à cette imposante intrusion, d'ailleurs mon maitre chanteur doit bien sentir l'étroitesse de ma gorge cannelé.
au fur et à mesure que je fait coulisse ce gros morceau de viande dans ma gorge, sans m'en rendre compte mon nez viens s'écraser sur le bas ventre et les poils pubiens de mon agresseur, mon mentons viens quand à lui à la rencontre des lourdes, chaude et imposante bourses de ce maitre chanteur, sans le vouloir j'ai réussis son épreuve avalant entièrement cette queue monstrueuse dans ma gorge, je fait plusieurs aller et retour en venant bien écraser mon nez contre sont bas ventre avant de m'arrêter quelques instants pour reprendre mon souffle, le regard en larmes, des larmes d'effort dégoulinant du mes joues, je lui lance.
Vous êtes satisfait j'espère?...
Le temps de reprendre mon souffle, je viens léchouiller et suçoter ces bourses pleines.