Quête du Vampire [Fujiwara no Tomo]

Tomoe continuait de trembler délicieusement, étant comme une petite fille effarouchée par l'expérience de Mélinda. L'humaine pouvait sentir la langue de la vampire jouer à posséder sa bouche, sentant les mains de sa maîtresse toucher son corps. Tomoe était bluffée par la tenue qui semblait quasiment inexistante, la pressions des doigts, leurs chaleurs étaient transmise sur son épiderme, ne faisant la l'exciter. L'aura de lubricité qui émanait de l'humaine ne faisait que croitre au fur et à mesure de son excitation. Tomoe pouvait observer dans les yeux de la maîtresse des lieux une lueurs qu'elle connaissait très bien, celui de l'envie, pas aussi forte que celle de sa déesse, mais déjà bien grande après quelques palpations et quelques minutes de voyeurisme. La jeune femme vint à légèrement rougir en écoutant Mélinda dire qu'elle était frissonnante, ayant l'impression que la créature de a nuit lisait en elle comme dans un livre ouvert.

Elle fut conduite à se comporter comme une chienne, ce qui était facile lorsque dans une quête avec sa déesse, elle avait dû prendre le rôle d'une chienne dans un chenil. La tenue était presque en trop pour Tomoe, mais si elle était obligée de porter une telle tenue c'est que sa maîtresse avait une vision différente et sans doute une attente tout aussi distincte à cette vision spécifique. L'esclave sexuelle put admirer de près les doigts d'Ayumi et lança un regard sur les siennes, voyant que le corps nouvellement obtenu était très soigné. Elle vint à faire quelque signe quand Ayumi serra un peu trop fort, la faute aux trous du collier qui étaient trop éloignés les uns des autres. Tomoe ne voulait pas trop abîmer ce corps. La servante modifia le serrage pour que cela serre sans l'étrangler ou marquer durement le cou divinement tentant. L'humaine poussa un petit jappement de surprise en sentant la fessée d'Ayumi, se cambrant quelques seconde avant de lancer un petit regard vers la servante.

Vint alors l'objet manquant, chose que Tomoe n'avait pas pensé à vrai dire et elle put observer l'objet en question sentant son corps se réchauffer à l'idée de sentir cet objet s'insérer en elle, ce qui fut fait sans réelle difficulté. Elle gémit légèrement en sentant l'objet faire vibrer son intérieur, sans parler de la tenue qu'elle portait, massant de ce fait aussi bien l'intérieur que l'extérieur.

Puis Mélinda vint à marcher, tirant un peu sur la laisse pour que Tomoe débute sa marche, cette dernière faisait attention à ne pas trainer les genoux, pour éviter des rougir et pouvait sentir sa poitrine se dandiner en fonction de sa marche, ses tétons ne cessant de pointer à cause de l'objet infernal fiché en elle. Si l'air avait été un peu frais l'humaine aurait expiré des nuages de vapeurs, tellement son corps était réchauffé. Tomoe put admirer une partie du harem, lançant des regard suppliants aux femmes qui venaient la caresser, désirant que l'une d'elle s'occupe de soulager ce désir qui ne cessait de croitre sans pouvoir se relâcher.

Vers la fin Mélinda pu voir que cette humaine n'avait que l'esprit forgé dans la lubricité, son corps vierge étant un point faible intéressant à exploiter.  Tomoe fut conduite dans une étrange salle éclairé par de faibles sources de lumière, ce qui ne rendait cette salle que plus inquiétante, mais l'humaine savait que ses chaines et ses sangles n'étaient pas là pour faire jolie, s'imaginant entrer dans une salle de la lubricité. 

La vampire vint à poser deux questions, question qu'elle répondit en se couchant sur le côté, dévoilant son corps transpirer de désir, prenant une attitude de chienne soumise en manque. Elle avait le visage rouge de plaisir, ne cachant pas l'excitation en elle, ayant la bouche ouverte et la langue tirée pour essayer de refroidir ce corps brulant de l'intérieur.

- Mon corps veut goûter à leurs chaleur et mon esprit souhaite s'abreuver de leurs envies, maîtresse. Je brûle de plaisir !

Les trois femmes se tenaient maintenant dans une nouvelle pièce, et la pauvre Tomoe n’en pouvait plus, se penchant sur le côté, comme pour montrer toute sa soif, toute son impatience, toute son envie de se faire baiser. Mélinda lui sourit doucement, tout en se demandant qui avait bien pu lui envoyer une telle femme. Pour le coup, elle songeait à un cadeau de la Déesse Lust. Déesse de la Luxure et de la perversion, Lust était une Déesse qui, manifestement, s’intéressait à Mélinda... Suffisamment pour que cette dernière héberge Sya, l’un des Anges de Luxure de Lust, une créature très importante au sein du culte de Lust. Peut-être bien que Tomoe était un cadeau envoyé par Lust, ou par une autre Déesse... Dans tous les cas, Mélinda acceptait volontiers ce cadeau, et regardait Tomoe supplier de se faire baiser.

« Très bien, très bien... »

Elle se mordilla les lèvres. La pièce était assez grande, ayant la taille d’un petit gymnase, et elle sourit à nouveau, une lueur profondément malicieuse dans les yeux. Si cette fille était bien envoyée par Lust... Elle méritait un traitement divin. Il y avait plusieurs salles à côté, des dépendances abritant des objets divers et variés. C’était une pièce que Mélinda utilisait parfois pour des orgies ou pour des évènements impliquant de nombreuses personnes.

« Nous allons te préparer un peu mieux, Tomoe... Ayumi, tu vas aller dire aux filles de se rassembler ici... Moi, je vais aller choisir de nouvelles tenues pour nous...
 -  Très bien, Maîtresse ! »

Enjouée, Ayumi s’empressa de sortir, et Mélinda, de son côté, tira sur la laisse, amenant ainsi Tomoe dans l’un des vestiaires, où elle s’empressa de lui masquer la vue avec un bâillon autour des yeux. De cette manière, en la privant de la vision, la jeune femme ne serait qu’encore plus excitée par tout ce qu’elle allait subir. Mélinda lui retira ensuite son justaucorps, puis enfila sur elle d’autres vêtements.

« Ne bouge pas, ma belle... Laisse-moi faire... »

Elle lui mit un corset noir en latex, découvrant ses seins, tendus, les tétons pointant devant eux, puis enfila de longs gants noirs en latex le long de ses bras, une culotte noire, des collants noirs, avec des sangles et des attaches, et, finalement, des talons aiguilles... En définitive, Tomoe était terriblement belle dans cette nouvelle tenue, et Mélinda lui laissa la queue de chien plantée en elle.

C’était maintenant à son tour de se changer, et elle se déshabilla totalement, optant pour une nouvelle tenue, se composant d’un long corset noir en latex, et de longs collants en résille, avec des gants assez courts. Elle les fit claquer contre sa peau, et, pendant tout ce temps, pendant que les deux femmes s’habillaient, dehors, on pouvait entendre des bruits de pas et des murmures.

« Bien, bien, bien... Ne t’inquiète pas, Tomoe, ma petite pute, je vais te soulager bien comme il faut... »

Toute sa frustration ne serait pas vaine. Mélinda s’observa devant le miroir, un sourire satsifait sur les lèvres, puis sortit à nouveau, tirant sur la laisse. Ayumi était toujours là, avec un sourire, et Mélinda la chargea d’attacher Tomoe, tandis qu’elle observa les filles. Il y avait une belle assemblée de poulettes, incluant aussi bien des filles venant de la Terre, comme des lycéennes, que de Terra. Ayumi, quant à elle, tira sur la laisse de Tomoe.

Pendant ce temps, on pouvait surprendre quelques bribes échangées entre les filles :

« C’est qui ?!
 -  Une nouvelle... Elle est venue avec une enveloppe, pour voir Maîtresse... Je l’ai vue dans le couloir !
 -  C’est une nouvelle esclave spéciale, Maîtresse n’a jamais fait ça pour moi...
 -  C’est une vraie chienne...
 -  Est-ce qu’on va pouvoir la baiser ? »

Des chaînes métalliques s’agrippèrent au niveau du corps de Tomoe, et Mélinda les regarda en souriant.

« Mesdames, Mesdames, calmez-vous... Je vous présente Tomoe, qui nous est envoyée par... Hum... Une divinité quelconque. La demande cette Déesse est claire. Elle veut que Tomoe soit traitée pendant tout ce week end comme la pire des putes, la Reine des salopes... Alors, Mesdames, je compte sur vous pour la torturer sexuellement pendant toute la durée de son séjour... »

Entre-temps, Ayumi utilisait le treuil, soulevant Tomoe, qui se retrouva la tête en bas, dans une position magnifique. Mélinda sourit, et se rapprocha un peu d’elle, se plaçant face à elle, son sexe à hauteur de sa bouche. Avec ses mains, elle alla ensuite jouer avec l’intimité de la femme, enfonçant un ou deux doigts à l’intérieur, un sourire sur le coin des lèvres.

« Et bien, et bien, ma belle, comme tu es en manque... Regarde-moi toute cette mouille qui coule de tes cuisses... Je vais te baiser méchamment, Tomoe... Moi, puis toutes mes filles ensuite... Quand ce week end sera terminé, tu en auras oublié jusqu’à ton propre nom, tant nous allons te défoncer le corps... »

Mélinda y allait franchement.

Tomoe perçut les mimiques de Mélinda, qui trahissait ses envies et ne fut pas déçue d'entendre la maîtresse de maison commander à la servante d'aller rassembler les autres occupantes, tout comme elle frémissait à l'idée des fameuses tenues qu'elle allait porter. Elle suivit donc la vampire dans les vestiaires, toujours telle une simple chienne et put voir un sorte de grand ruban se placer devant ses yeux. Devenue temporairement tombé dans l'obscurité  des aveugle, elle essaya de se porter sur ses autres sens. Même les indicateurs dans son champs de vision avait disparu, n'ayant aucune idée de ce qui pouvait se passer. Tomoe sentait l'excitation monter quand Mélinda vint à faire glisser ses doigts sur son corps, l'obligeant à se lever pour rendre l'habillage plus facile.

L'esclave put sentir le corset serrer sa taille et relever un peu sa poitrine, sans parler des lanières qui passèrent entre ses seins et entouraient leurs bases. Le choix des vêtements permettait de serrer un peu la jeune blonde, ce qui était une expérience nouvelle et était visiblement apprécié, le côté aveugle ne rendant que l'habillage plus excitant. Tomoe pouvait sentir tout le poids de sa poitrine à chaque respiration, cette dernière se soulevant légèrement à chaque inspiration. Elle sentit la vampire l'inciter à se remettre à quatre pattes, profitant d'avoir ainsi son fessier offert pour replacer le jouet. Tomoe attendis dans cette position pendant que Mélinda se préparait pour la suite des évènements.

La vampire put admirer par la suite la démarche plus hésitante de Tomoe, devant marcher à l'aveugle et ne pouvant qu'à ses autres sens. Elle se reprit plusieurs fois, se sentant un peu pencher d'un côté ou de l'autre, ayant le souffle lourd du fait de l'objet en elle qui maintenait son envie à un niveau intéressant. Tomoe put sentir la passation de la laisse. Ayumi semblait beaucoup plus joueuse, comme amusée de tirer plus ou moins fortement sur la laisse pour obliger Tomoe à changer son rythme. Puis la servante vint à attacher l'esclave.  Cette dernière semblait de plus en plus excitée en entendant autant de voix de femme parler sur elle et ne pas cacher leurs envies. La maîtresse de maison vint à faire les présentations, Tomoe rougit un peu devant des propos aussi cru et aussi en se faisant appeler reine, même s'il y avait le mot salope tout de suite après.

Elle pouvait se sentir attaché par des chose, mais ne comprit les attache qu'une fois qu'Ayumi activa le treuil, Tomoe ayant cru entendre un petit rire amusé, sans doute du fit que l'esclave allait être surprise et ce fut le cas. La jeune femme avait put sentir ses pieds se faire tirer vers le haut, suivit sur reste du corps, ses bras étant ausi tiré, mais placé dans son dos. Elle avait une jolie courbure du dos et avait poussé un petit cri de surprise, se sentant la tête en bas, sa chevelure s'étalant sur le sol, alors que sa tête était en suspension.

Tomoe avait le souffle qui s'accélérait, c'était bien la première fois qu'elle était ainsi et l'excitation se mêlait à une légère sensation de tomber, n'étant que le fruit de son imagination. De l'extérieur elle était plus mignonne ainsi exposée, terriblement mignonne même, le côté prisonnière et son corps semblant pure faisait visiblement grand effets au vue des murmures qu'elle pouvait percevoir. C'est alors qu'elle pouvait sentir un corps s'approcher d'elle. Mélinda vint à faire couler la mouille de Tomoe, cette dernière ruisselant sur sa peau pour se glisser sous le corset. C'était une sensation excitante, Tomoe ne se doutait pas que cela pouvait être aussi plaisant d'être traité ainsi. Elle gémissait quand les doigts de la vampire ne faisait que jouer, n'allant pas loin et ne découvrant pas le plus beau de ce corps.

Tomoe se sentait si chaude qu'elle avait la langue légèrement sortie, essayant de se refroidir un peu, étant quelque peu hésitante à essayer de pencher sa tête pour lécher l'intimité de Mélinda, même si elle ne lécherait que le latex de la tenue. D'une mignonne voix, entre deux gémissement elle vint à dire que Mélinda et ses suivantes pouvaient la baiser jusqu'à la mort. Bien sûr elle ne disait ça que sur l'excitation et ne savait pas que le harem de Mélinda , maîtresse comprise, pouvait aisément briser la jolie blonde qu'était Tomoe.

Tomoe était maintenant bien positionnée, et elle allait maintenant affronter toute la perversion de Mélinda Warren. La belle invitée n’était pas au bout de ses peines, mais, puisque c’était ce qu’elle voulait, la vampire comptait bien y aller à fond. Le public autour d’elles admirait le spectacle avec envie. Il était fréquent que Mélinda s’amuse parfois à ce genre de choses. Elles savaient leur Maîtresse fétichiste, exhibitionniste, avec un amour profond et sincère pour les gang bangs, les orgies, et le sexe forcé. Ligotée ainsi, Tomoe était réduite à son plus simple appareil, celle d’un jouet sexuel, offerte aux envies lubriques et perverses de sa propriétaire. La tête en bas, sa langue approchait des cuisses de Mélinda, et, quand la vampire se déplaçait en effet, elle pouvait sentir la langue de Tomoe contre son corset en latex.

Ce qui se passait ici n’était rien de plus que le fruit d’une intense et magnifique perversion, celle entre plusieurs êtres. Il n’y avait aucun autre plan général qu’une envie de sexe, aucune autre concertation que celle, jouissive et magnifique, du cul et des envies de coucher ensemble. Mélinda laissait libre cours à ses envies, laissait toute sa perversion et toute sa créativité s’exprimer, sans le moindre problème. Sa main remuait dans l’intimité de la belle Tomoe, glissant d’avant en arrière, faisant gémir la mouille de la belle beauté. Tomoe remuait et couinait, et sentir tout ce latex vibrer et remuer autour d’elle était, pour Mélinda, particulièrement exquis. D’une main, elle continuait à remuer ses doigts dans sa petite chatte, et, dans l’autre, elle agrippait la tête de Tomoe, veillant à la plaquer contre ses cuisses.

« Lèche, ma salope, lèche... Tu mouilles tellement, j’ai du mal à croire qu’une pute comme toi peut exister... »

Elle sourit à nouveau, et ses doigts continuèrent à jouer, d’avant en arrière, sa main s’enfonçant parfois en elle, déformant les lèvres intimes de la pauvre femme. Tomoe était bel et bien sa prisonnière, et elle ne pouvait rien faire d’autre que subir, tandis que les filles discutaient entre elles, gloussant doucement. Mélinda continuait à remuer ses doigts dans l’intimité de Tomoe, pendant de longues minutes, et sa main glissait de la tête de la femme pour simplement caresser ses jambes, pour simplement sentir ce latex, pour le frotter et le caresser. La tête en bas, Tomoe devait sentir le sang remonter dans son cerveau, et Mélinda savait que ce n’était pas très agréable. Ce faisant, cette position se voulait, et était, intermédiaire. Avec ses doigts, Mélinda jouait, lentement, joyeusement, et finit par retirer ses doigts gantés, pour les approcher de la bouche de Tomoe.

« Suce ta mouille, ma salope... »

Elle la laissa faire, et, pendant ce temps, Ayumi tira à nouveau sur le treuil, ce qui eut pour effet de relever Tomoe, afin de la coucher à la verticale, le corps au-dessus du sol, membres tirés vers le bas.

« Passons aux choses sérieuses... »

Mélinda caressa tendrement le visage de Tomoe, qui se trouvait à hauteur de ses cuisses, et Ayumi, toute excitée se rapprocha alors, écarta les jambes de la belle esclave... Et la pénétra rudement*.

« HAAAAAAAAAAA... PUTAIN, OUAIS !! » hurla joyeusement Ayumi, en crispant ses mains sur le bassin de Tomoe, et en donnant de puissants coups de reins.

Un rodéo du sexe interminable s’abattait sur la belle Tomoe...

* : Par rapport à l’image d’illustration, il faut imaginer que la main est remplacée par un bon gros chibre xD !

Tomoe gémissait d'une voix si délicieuse que l'on aurait presque envie de la garder, mais la quête était très claire sur la durée de cette épreuve. Sa nouvelle langue n'attendit pas que la maîtresse donne des ordres pour essayer de lécher l'entre-jambe de la vampire. Cette dernière pouvait voir que la belle était vierge en ce qui concernait son intimité, comme si la potion avait considéré que ce sexe féminin ne prenait pas en compte ses précédentes expériences avec son ancien membre. Tomoe n'avait pas le temps de se poser ce genre de question, goutant à de nouvelles sensation, comme  la pénétration des doigts en elle et la main, qui ne vint pas à déchirer la fine membrane. Chance ou amusement, là était une question que seul Mélinda pouvait répondre.

La jeune blondinette ne put remercier la vampire de la traiter de salope et aussi de la complimenter sur son existence. La pauvre créature ne pouvait savoir que sa proie était souvent entrainée par une déesse particulière dont les apparences et les membres pourraient faire pâlir et tuer bon nombre de personne. Mais la bienveillance de la divinité ou son intérêt pour son jouet avait permit à Tomoe de développer une bonne compétences dans des pratiques violentes nécessitant une bonne gorge et une résistance interne. Mais la prisonnière restait tout de même humaine et la maîtresse des lieux en avait pleinement conscience, voyant que Tomoe commençait à montrer des signes qui incitait la vampire à mettre son invité dans une position plus confortable, laissant perler des gouttes de fluide intimes suspendus sur ses jambes.  L'esclave sexuelle vint à lécher avec application les doigts de la vampire, comme si sa vie en dépendait, rajoutant un aspect totalement soumis qui ne serait pas pour déplaire.

Tomoe put apprécier une autre posture qui obligeait la belle à courber légèrement le dos, ne rendant que la position que plus difficile à tenir pour elle qui était habituée à des postures plus conventionnelles. C'est alors qu'elle sentait ses jambes saisi et écartées sans ménagement avant qu'une énorme tige chaude s’engouffre en elle, la faisant pousser un gémissement de surprises. C'était la première fois pour elle et elle jouit presque immédiatement que le membre se soit enfoncé bien dans son antre humide.

Ayumi devait se douter qu'elle venait de dépuceler la vierge, Mélinda n'ayant guère à voir pour sentir une odeur de sang mélangé à de la cyprine. Tomoe continuait de gémir étant rendue très sensible à son premier orgasme, le plaisir ressentit occultant totalement la possible douleur de cette défloration.  L'esclave avait l'impression qu'un immense pieu s'enfonçait en elle jusqu'à la poitrine. Cette sensation n'était que le fait que le cerveau de Tomoe ne savait pas comment analyser la pénétration vaginale, étant habitué à un corps d'homme.

- Vous Ha!  Je vais mourir !!!! JE VAIS MOURIR !!

Tomoe se sentait presque partir, mais essayait de faire son mieux pour rester encore consciente. Il s'agissait d'une expérience unique qui allait apprendre à cette blondinette toute les ficelles d'un corps féminin.

Les repères et les points d’ancrage de Tomoe étaient jetés au loin dans cette position. Couchée en suspension, le corps maintenu par des chaînes, elle était plongée ailleurs. Était-elle proche du sol ? Éloignée ? À quoi ressemblait l’ensemble ? Mélinda sentit le sang virginal de la femme, tout comme Ayumi,c e qui électrisa énormément cette dernière. Cependant, Mélinda ne se faisait pas trop d’illusions. Cette Tomoe était une femme particulière, et il était plus que certain qu’elle avait été envoyée ici avec une expérience sexuelle accumulée, ce qui expliquait pourquoi elle se faisait si bien au traitement qu’elle avait reçu dès son arrivée au manoir. Ce faisant, elle laissa à sa belle et fougueuse Ayumi le plaisir de déflorer une vierge. Tout comme son hymen fut brisé, Mélinda sentit également le sang de cette femme s’emballer à hauteur de ses cuisses. Un orgasme vint très rapidement, et n’était que le premier, annonciateur d’une longue série. Tomoe, en jouissant, hurla qu’elle allait mourir à ce rythme, et Mélinda sourit lentement, voracement. Le latex dégageait une odeur délicieuse, de fraîcheur, qui se mélangeait à toutes les odeurs de cette pièce. Surtout, Mélinda adorait le bruit du frottement provoqué par le latex, en plus de cette vision magnifique de corps moulés dans cette texture particulière. Une fois qu’on goûtait au latex, on comprenait mieux pourquoi les Tekhanes y étaient accrocs.

« Si tu meurs maintenant, petite Tomoe, ce sera la plus belle des morts pour une salope de ton genre... »

Mélinda ne comptait nullement s’arrêter dans ce qu’elle faisait. Voir cette petite femme gémir et gesticuler dans tous les sens était un plaisir bien trop grand pour pouvoir le gâcher par des remarques inutiles. Ayumi continuait à la prendre, remuant d’avant en arrière, s’engouffrant dans les lèvres vaginales de leur victime mutuelle.

« Hunn... ! Elle... Elle mouille tellement, Maîtresse... Haaaa... ! Une... Une vraie salope ! »

Ici, au manoir de Mélinda, Tomoe faisait connaissance avec du sexe intense et perpétuel... Et, pourtant, Mélinda était sûre qu’elle avait déjà dû avoir son lot d’expériences sexuelles hardcore. Le passé de cette femme lui était inconnu, mais elle était persuadée que, si Tomoe l’avait avoué au confessionnal, il y aurait eu de jolis rougissements. En l’occurrence, Ayumi continuait à la prendre, et Mélinda à la caresser. Ses mains se déplacèrent du visage de Tomoe pour palper et pincer ses seins, et elle se laissa peu à peu aller, venant, au bout de quelques minutes, écarter le bas de sa combinaison, afin de faire pointer sa verge, et de l’enfoncer dans la bouche de Tomoe. Une main se posa sur les cheveux de Tomoe, à hauteur de sa nuque, afin de bien plaquer sa bouche contre son bassin, et ainsi pouvoir enchaîner les gorges profondes sur elle. Elle se délectait de l’entendre soupirer et gémir. Prisonnière, Tomoe ne pouvait que suivre, et Ayumi, elle, jouissait régulièrement en elle, faisant couler le long de leurs cuisses foutre et mouille. Elle donnait de solides coups de reins en soupirant et en gémissant, sous le regard conquis d’une assemblée impatiente. Certaines femmes hermaphrodites se masturbaient déjà doucement. Tomoe était à elles, leur esclave... Et ce qu’elle vivait sur ces chaînes n’était qu’un début, qu’une simple ébauche.

Mélinda ne tarda pas à jouir également dans sa bouche, et, pendant plus d’un quart d’heure, Tomoe était ainsi prise dans les deux sens, son corps remuant d’avant en arrière, ou se contractant encore un peu plus. Les chaînes cliquetaient, le latex crissait, des bruits se mêlant aux gémissements absolument délicieux que la pauvre petite poussait. De la main, Mélinda invita plusieurs hermaphrodites à se rapprocher, et ces dernières obtempérèrent, se masturbant autour de Tomoe, jouissant sur son corps, ou approchant leurs sexes de ses mains ballantes.

« Allez, Tomoe... Masturbe tes Maîtresses... »

Un petit attroupement se formait tout autour de Tomoe, et, régulièrement, une ou deux femmes jouissaient sur elle, éclaboussant son corps de foutre. Plusieurs traînées filèrent ainsi à hauteur de ses seins, ou sur son estomac. Tomoe était en train de prendre cher... Après tout, Mélinda ne voulait pas qu’on pense qu’elle ne s’occupe pas bien de ses invitées. Elle honorait son devoir d’hôte, tout simplement.

Les propos de la vampire n'était pas pour la réconforter, la petite Tomoe ayant la bouge ouverte, la langue légèrement sortie, tellement le plaisir ravageait sont corps de bas en haut. Les entraves cliquetèrent bruyamment de temps à autre quand la prisonnière jouissait, ne pouvant qu'entendre le bassin de la servante buter contre elle et crier qu'elle était une vraie salope.  L'esclave perdait au fur et à mesure la raison, ne laissant que la luxure s'exprimer, si bien qu'elle ne réagit pas vraiment quand la vampire pointa son sexe et l'enfonça dans la bouche de Tomoe qui machinalement vint à dévorer le sexe de Mélinda. Tomoe ne pensait plus vraiment à ce qu'elle faisait, bien que se sentant remplir de plus en plus. La sensation d'être remplit comme une femme était beaucoup plus excitant qu'effrayant, ne pensant même pas une seule seconde que sous cette forme elle pouvait potentiellement tomber enceinte, heureusement la potion était temporaire et évitait ce genre de désagrément.

Tomoe fini par s'habituer à la sensation de pénétration et détendit son corps pour que les deux dominantes puissent jouer avec elle. Après tout n'était-elle pas là pour servir de divertissement à la maîtresse des lieux et ses résidentes. La blondinette gémissait et ne cachait pas le plaisir qu'elle prenait, agissant comme une simple trainée avide de sexe, elle était habituée à agir ainsi avec sa déesse, même si cela était sous la forme d'une soumission totale. La vampire ne semblait pas indifférente à la qualité de la fellation, bien qu'étant passive du fait que la prisonnière ne pouvait bouger.  Tomoe ne pouvait compter le nombre de fois qu'Ayumi avait lâcher son petit lait dans son antre qui semblait avide, mais sentait son bas-ventre continuer d'être brulant, comme suppliant que cela continue. 

Elle eut un mignon sursaut quand certaine hermaphrodite se mirent à jouir très près de son visage, si elle avait put anticipé le sexe de Mélinda, rien n'avait signalé l'éjaculation des autres participantes. Les ordres de la vampire fusèrent et elle saisit deux membres à porter pour les masturber, la main tremblante sous le plaisir qui ravageait son corps, ce qui n'était pas pour déplaire aux dominantes qui semblaient aimer le traitement.  Le tout en portant encore le bandeau sur les yeux, démontrant qu'elle avait tout de même une bonne expérience pour faire cela à l'aveugle.

Les traits chauds et crémeux ne descendirent pas la lubricité qui envahissait Tomoe, cette dernière bavant énormément alors qu'elle accueillait toujours le sexe de la vampire, tout con corps en demandait plus, beaucoup plus, elle désirait sans doute plus que ce que sont corps ne pourrait supporter. D'un geste de la tête, elle retira de sa bouche le membre de la maîtresse des lieux et supplia, la langue légèrement sortie, d'en avoir plus.

Les personnes envoyées par des Dieux (c’était maintenant la théorie que Mélinda avait, la seule qui puisse expliquer la situation actuelle) étaient souvent des individus extrêmement résistants. Elle le voyait régulièrement avec Sya, l’Ange de Lust, qui était un puits sexuel sur pattes, et elle le voyait en ce moment avec Tomoe. Maintenue en suspension, le corps retourné, elle s’accommodait peu à peu à ces grosses queues qui la labouraient, et à ces femmes qui se refusaient à jouir. Ayumi était une femme expérimentée, et elle adorait tant défoncer de belles petites putes qu’elle se refusait à se lâcher trop vite. Elle voulait prendre son temps, et c’était aussi le cas pour Mélinda, qui, faisant l’amour régulièrement et intensivement depuis plusieurs siècles, était devenue une véritable experte en matière sexuelle. Elle pouvait donc se retenir, et elle multipliait les gorges profondes, amenant Tomoe à se tortiller. Les chaînes cliquetaient le long de son corps, soutenant difficilement et laborieusement ses membres. Tous ses muscles étaient tendus, son corps se relevant en l’air, son estomac partant en avant. Un sourire sur les lèvres, Ayumi continuait à haleter, à gémir, et à insulter copieusement Tomoe.

Entre-temps, les hermaphrodites entourant le trio jouirent, balançant de chauds filaments de sperme sur le corps de Tomoe, sur son ventre, ses cuisses, et même sur ses joues. Les sexes qu’elle masturbait ne tardèrent également pas à jouir dans ses doigts gantés, des filaments de sperme fusant pour éclabousser son corps. C’était sale et pervers, un gang bang intense, mais Tomoe arrivait à suivre… Ce qu’elle prouva en retirant sa bouche du sexe de Tomoe, et en suppliant, d’une voix faible, sa Maîtresse, d’en faire plus. Enchantée, Mélinda surprit franchement, ses mains gantées retournant caresser le visage, attrapant un peu de sperme, qu’elle suçota entre ses doigts.

« Quelle fougue, Tomoe… J’apprécie cet enthousiasme débordant dont tu fais preuve en ce moment… »

Oui, c’était sincère. Les deux femmes continuaient à la prendre, et le corps de Tomoe se balançait maintenant de droite à gauche, encore retenu par les chaînes. Ce que la vampire lui offrait en ce moment devait avoir quelque chose de magique pour elle, et il était dès lors très aisé de comprendre tout le bonheur que Tomoe ressentait, comme une sorte d’overdose qui éclatait dans son corps. Rien à faire, elle se contentait de subir, encore et encore, le sminutes défilant à toute allure. Mélinda avait à nouveau enfoncé son membre dans sa bouche, et posa une main sur le menton de Tomoe, au début, afin de s’en servir comme soutien, enfonçant sa queue profondément en elle, l’enfonçant si loin que ses testicules se posèrent sur son nez, claquant contre son corps. Elle se recula ensuite, puis recommença, encore et encore, avant de déplacer ses mains pour agripper la tête de Tomoe, la prenant alors, avec une force terrifiante, les dents de Tomoe et sa langue raclant son sexe, la douleur que Mélinda en ressentait ne faisant que la galvaniser davantage, l’incitant à pénétrer cette femme encore plus forte. Elle lui baisait littéralement la bouche, et Ayumi finit par jouir entre-temps.

Une autre Futanari la remplaça bien rapidement, une femme qui n’avait pas encore joui, et qui avait laissé une autre femme la masturber. C’était une femme très particulière, car elle s’appelait Cynthia, et était une neko. Une neko grande, ayant la taille d’un être humain, ce qui était morphologiquement assez rare, et qui portait une tenue très élégante de maid. Elle enfonça son sexe, non pas dans le vagin de Tomoe, mais délivra l’accès à ses fesses, et choisit de pénétrer sa rondelle, utilisant pour ça le treuil afin de relever les jambes de Tomoe.

En somme, plutôt que d’être dans la position couchée, avec les jambes vers le bas, Tomoe se redressa, les jambes filant vers le haut, la tête en arrière, toujours prise par le sexe de Mélinda, qui remuait douloureusement et fortement en elle, malmenant et faisant souffrir la belle Tomoe.

« Mraaawww, ce joli cul… »

De l’intimité de Tomoe, du foutre dégoulinait, et le membre de Cynthia s’enfonça alors dans ses fesses, ses mains s’appuyant sur ses chevilles. Elle continua alors à remuer, et c’est ainsi que, longuement, pratiquement sans fin, le gang-bang se poursuivait…

Tomoe était clairement aux anges où était-ce dans les tréfonds de l'enfer de la luxure. Quoi qu'il en soit elle laissait son corps onduler sous les assauts et se détendre quand la vampire enfonçait profondément son membre dans cet antre dégoulinant et serré qu'était sa gorge, les hermaphrodites autours devaient apprécier de voir le chibre de la maitresse des lieux se dessiner sensuellement sous la peau, formant une petite bosse qui allait et venait. Tomoe ne pouvait retenir une légère fermeture de sa mâchoire, la rouvrant quand elle sentant sa dentition frotter contre le membre de la créature, son sens du touché était le plus sollicité et elle ne put retenir un petit cris étouffé de surprise, sentant ses jambes être tirée vers le bas, tout ses cheveux étant à présenta dans le vide, certains s'étalant sur le sol, sa poitrine vint à s'approcher légèrement de son visage. 

La nouvelle position n'était pas désagréable et vint à sentir sa petite entrée ouverte par une nouvelle partenaire au vue du "mraawwww" que la neko vint à pousser en sentant les anneaux de la blonde enlacer avec vigueur son membre. Tomoe ne pouvait dire si le sexe de Cynthia était plus proche de l'humain que de l'animal, une chose était certaine, le membre faisait ressortir le lait d'Ayumi, aidant la chibre de la neko à mieux entrer dans ce petit trou bien serré. L'esclave pouvait sentir les mains gantés de la terranide saisir ses chevilles, tirant apparemment un peu dessus pour amplifier ses coups de butoir.

L'apparition de la terranide vint à faire fantasmer la blondinette, qui se demandait ce que le harem de Mélinda pouvait bien cacher, l'excitant davantage. La maîtresse des lieux n'avait guère mentit en disant qu'elle allait être bien servit pendant les deux jours. Tomoe ne pouvait dire combien de temps était passé, aveugle à cause du tissus sur ses yeux et le plaisir reçu altérait totalement sa perception du temps, croyant être prise depuis plus d'un jour.

Prise toujours entre deux femmes, Tomoe restait la captive qu’elle était venue prétendre être. Impossible pour elle de se défaire de l’étreinte qui s’était emparée d’elle. Son corps appartenait à ses Maîtresses, il appartenait à toutes ces femmes qui étaient en train de jouir en elle, de la pénétrer, de s’unir avec elle… Une esclave sexuelle, voilà ce qu’elle était, et ce week end passerait pour elle à la vitesse d’une fusée. Mélinda espérait bien que, après ce séjour, la belle Tomoe serait marquée, et reviendrait peut-être même d’elle-même pour subir à nouveau les exquis traitements de la vampire. Le chibre de Mélinda s’enfonçait dans sa bouche, tapait contre sa gorge, et sa « victime » ne pouvait rien faire d’autre que subir leurs élans fougueux. Cynthia, elle, était très heureuse de pouvoir sodomiser une humaine.

En tant que Terranide, elle avait toujours été un peu inférieure aux êtres humains, mais Mélinda avait toujours senti quelque chose de particulier en elle. Est-ce que ça venait de sa grande taille ? De sa nature hybride ? Elle l’ignorait. Ce dont, en revanche, elle était sûre, c’était que Cynthia était une dominatrice un peu particulière. Elle adorait avoir un chibre, et, depuis qu’elle savait que Mélinda avait des contacts avec des cliniques tekhanes pour obtenir des hermaphrodites, elle ne cessait de vouloir s’y rendre. Cynthia avait eu son cadeau il y a quelques années, maintenant, et elle adorait s’en servir, généralement sur d’autres nekos. Voir une neko défoncer une autre neko était quelque chose de fascinant, surtout que, comme à l’image de sa Maîtresse, Cynthia avait développé un certain talent pour la sodomie… Talent dont elle faisait preuve en ce moment avec la belle Tomoe, en se crispant sur ses chevilles, et en donnant de forts coups de reins.

Son sexe s’engloutissait dans son cul, et sa queue caudale se déplaçait pour frotter la pointe contre le corps de la femme. Est-ce que Tomoe pouvait sentir les griffes de Cynthia ? Sous l’effet de l’excitation, ces dernières sortaient légèrement, tirant sur les gants blancs de la neko, mais sans les déchirer. Elle savourait cette poupée de latex, ce contact sur sa peau, cette tenue agréable et fraîche. Sa maîtresse savait très bien comment habiller ses poupées, et cette invitée était un magnifique petit cadeau offert par Mélinda.

« Hum… Vas-y, vas-y, soupirait Mélinda pendant ce temps, suce bien, Tomoe, suce bien la belle queue de ta Maîtresse… »

Et Tomoe suçait, n’ayant pas d’autres choix, le sexe de Mélinda disparaissant en profondeur dans sa bouche.

« Humm… Hmmmm… Rrrrrrr… !! Quel… Quel joli cul, Maî… Maîtresse-mrraaaawwww… !! »

Cynthia était comblée, tout comme Mélinda, et, au bout d’un certain temps, la vampire finit enfin par jouir. Elle se déversa dans la bouche et dans la gorge de Tomoe, en s’enfonçant bien profondément, et en se vidant généreusement en elle. Son corps se courba en arrière tandis qu’elle s’abandonnait, balançant des filaments de bouche dans sa gorge chaude et généreuse, manquant presque l’étouffer, puis elle se retira. La tête de Tomoe bascula en arrière, et, sans l’appui de Mélinda, elle se retrouva pour de bon avec la tête en bas. Cynthia, elle, ne tarda pas également à éjaculer, puis se retira à son tour, après avoir lâché des filaments de foutre dans les fesses de Tomoe.

Mélinda, le corps en sueur, sentait le latex mouler son corps, et observa le spectacle magnifique provoqué par la vision du corps de Tomoe, la tête en bas. Mélinda la laissa là pendant une petite minute. Sous l’effet des chaînes, le corps de leur esclave se dandinait légèrement, puis elle fit signe à Ayumi, et cette dernière abaissa le treuil. Tomoe s’affala sur le sol, et on lui retira ses chaînes, ainsi que son bandeau.

« N’essaie pas de te mettre debout, Tomoe… Reste à quatre pattes si tu veux te déplacer… »

On aurait pu croire que Mélinda en aurait fini avec Tomoe, mais ce serait bien mal la connaître. Non, la vampire avait encore des plans pour elle. Elle lui sourit tendrement. Tomoe était couchée sur le dos, et la vampire lui caressa le visage, plein de sueur, aux joues rouges.

« Nous allons manger dans une bonne demie-heure, Tomoe… Pour l’heure, je ne veux pas que tu perdes une seule minute dans ce harem… Alors… »

Sa voix était douce et fluette, mais ce qu’elle proposait n’avait rien de doux. Ayumi avait ramené une queue caudale avec un gode, et cette dernière retrouva le fondement de Tomoe, s’y enfonçant sans problème, après la visite de Cynthia. Mélinda allait montrer à la belle Tomoe qu’elle n’avait pas que des hermaphrodites, et elle désigna du doigt un homme qui venait de se coucher sur la moquette.

« Rejoins Kailec, petite pute, et empale-toi sur son sexe… Ensuite, mes filles et mes garçons viendront se faire sucer par ta belle bouche à tour de rôle… »

Kailec était un esclave que Mélinda avait récemment récupéré, et il s’avérait être un homme particulièrement assoiffé et appréciant la chair humaine. Un homme qui avait volontairement choisi de devenir un esclave, afin de pouvoir plus facilement coucher avec le beau sexe… Un esclave parfait, autrement dit.

Tomoe pouvait se rendre compte que si sa déesse était sans doute la meilleure en tant que partenaire, il existait des formes de lubricité qu'elle ne pouvait combler, comme par exemple se dédoubler et la prendre comme Mélinda et Cynthia le faisait à l'heure actuel. Sentir ses deux membres entrer de temps à autre de façon harmonique et donner la sensation qu'ils vont pour se rejoindre, sans pour autant y arriver. La gorge de Tomoe continuait de ses déformer légèrement aux assauts de la vampire, tandis que sa rondelle devenait de plus en plus accueillant au fur et à mesure qu'elle subissait le déhanchement de la neko, qui pointait ses allez et venues par de légère pressions de ses griffes, dont l'esclave sentait les extrémité s'enfoncer légèrement dans son épiderme. Vu l'étant dans laquelle Tomoe était, elle n'aurait pas dit non à sentir ses griffes égratigner sa peau, le plaisir dans son corps était suffisant pour permettre de la faire souffrir sans que cela ne baisse.

La vampire et la chatte pouvaient sentir chez Tomoe une légère fatigue, elle avait de plus en plus de mal à déglutir et sa rondelle perdait en vigueur pour retenir ce membre en elle. Elle était toute dégoulinante de sueur, avec une expression de plaisir, mais aussi des signes signalant qu'elle approchait de sa limite mentale avant de se briser. Heureusement le sévices ne dura pas plus longtemps, recevant sa récompense pour avoir enduré les préliminaires. Tomoe n'était clairement retenu que par les chaines, sont corps ne pouvant tenir. La preuve fut bien plus flagrante, quand l'esclave fut mise au sol, s'étalant de tout son long et avait une lourde respiration, Tomoe eut les yeux plissés en subissant l'aggression de la luminosité, sa vue étant brouillée par des larmes étant la conséquence des préliminaires.

La vampire pouvait dire que la blondinette n'était pas autorisée à se mettre debout, elle ne pouvait sans doute pas prendre une telle posture, devant la faiblesse physique qui commençait à grignoter sa vigueur jadis démontrée. Tomoe vint à entendre qu'elle allait bientôt manger, elle ne cachait pas que c'était plus de la soif que de la faim qu'elle ressentait. L'esclave vint à gémir quand le gode fut placé. Lorsque Mélinda vint à désigner son prochain maître, Tomoe vint à pencher son corps sur le côté pour observer ce dernier, écoutant les ordres de la maîtresse de maison.

La blondinette vint à se mettre à quatre patte, bien qu'ayant légèrement des difficultés du fait de sa fatigue, elle vint à trainer la patte vers Kailec. Tomoe vint à tout d'abord lécher le membre pour le rendre plus rigide, mouvant sa tête et sa langue pour que Kailec soit légèrement excité. La blonde vint par la suite à se poser à califourchon, se plaçant de telle sorte que la tige titille son antre intime. Ne pouvant résister à la luxure, elle vint à écarter davantage ses cuisses, glissant sur le sol et laisser le membre de Kailec la pénétrer. La sensation restait impressionnante pour Tomoe qui ne put retenir des gémissements, posant ses mains sur le torse de l'homme et mouvant légèrement ses hanches. La luxure était très présente chez Tomoe et cela se voyait, malgré la fatigue, elle désirait sentir ce membre continuer de grossir en elle.

Tomoe s’était dépensée solidement aujourd’hui, et la belle semblait... Épuisée. Mélinda admirait sa dévotion. Elle était l’objet de désir et de convoitise de tout un harem, ce qui, mine de rien, représentait un sacré challenge. Tomoe était endurante. Cela, Mélinda l’admettait volontiers. Son ardeur faisait plaisir à voir, et elle continuait à l’observer, en souriant, tandis qu’elle se rapprochait lentement de Kailec. Kailec, qui attendait, et qui avait le bambou. Son sexe était déjà bien dur, et, en voyant cette belle femme se rapprocher, et toutes les autres qui l’entouraient, il eut l’intime conviction de ne pas s’être trompé dans son choix de parcours.

Kailec était un esclave volontaire, quelqu’un qui avait volontairement choisi de devenir un esclave. Un transfuge venant d’un partenaire commercial de Mélinda, Lenn Silvercoat, un Nexusien. Il avait remis à Mélinda plusieurs esclaves, dont le beau Kailec. Ce bel éphèbe était couché sur le sol, et avait décidé de devenir un esclave sexuel, afin de pouvoir coucher avec des femmes sans problème... Ou avec des hommes. Kailec adorait le sexe, et, pour lui, rejoindre le harem Warren, connu pour son luxe, sa beauté, et les charmes de ses esclaves et de ses prostituées, c’était une chance rare, et une grande opportunité. Pour rien au monde, Kailec ne comptait la gaspiller,  et se retrouver dehors... La liberté l’effrayait, car, pour coucher avec des femmes, il fallait les séduire. Ici, il avait juste à se rapprocher. Les esclaves s’offraient très facilement, la Maîtresse n’était pas contre, et ses seules obligations étaient de coucher avec les clients... Ce qui, pour Kailec, était bien évidemment loin, très loin, d’être un problème.

*Tomoe, tu es bien chanceuse...*

Cette jeune fille était forcément envoyée par une divinité, vu sa résistance, son endurance... Elle lécha le sexe de Kailec, jusqu’à ce qu’il soit bien dur, puis s’empala dessus.

« Aaaahhh... !! »

Kailec posa ses mains sur les hanches de la femme. Son sexe disparut dans son intimité, à sa place, bien au chaud, fourré dans son antre intime. C’était l’endroit parfait pour n’importe quel phallus, comme le sien. Kailec cligna des yeux à plusieurs reprises, sa poitrine se soulevant et s’abaissant sous le rythme du plaisir qu’il ressentait. Son membre était englouti dans le corps de cette femme, là où il fallait, là où c’était nécessaire. Les mains de Tomoe finirent par se poser sur le torse de l’homme, un torse glabre et propre. Ce dernier soupira à nouveau, et remua ses mains sur les hanches de la femme, afin de l’aider à remuer sur son membre. Elle avait été bien prise auparavant, ce qui faisait que son con glissait sans problème sur son sexe, disparaissant dans ce dernier. Soupirant longuement, Kailec était comblé.

Cependant, le duo n’allait pas rester seul très longtemps. En souriant, une autre femme se rapprocha du duo : Kimiko. Une femme assez âgée, et très expérimentée, avec un goût immodéré pour la jeunesse et pour les adolescentes. Kimiko faisait partie des prostituées âgées du harem, qui n’hésitaient pas à torturer, sexuellement parlant, les autres. Elle s’avança lentement vers Tomoe, et tira sur la fermeture Éclair de sa combinaison, libérant ainsi sa verge. Posant ensuite ses mains sur la tête de Tomoe, elle approcha son sexe de sa bouche.

« Là... Viens sucer, ma belle, viens sucer Maman... »

Et hop ! Sans plus attendre, Kimiko viola la bouche de Tomoe, optant rapidement pour une longue gorge profonde, en soupirant longuement de plaisir.

Tomoe eut un frémissement en sentant les mains de Kailec se poser sur ses hanches. Elle pouvait sentir le chibre glisser à l'intérieur, frottant contre les parois, allant plus moins loin, suivant les gestes que l'homme désirait avoir. Même si la blonde avait une peau luisante sous la sueur et transpirait de fatigue, elle se dévouait à sa tâche. Tomoe se permettait de temps à autre de tomber lourdement, faisant claquer la peau et enfonçant assez loin le membre qui tapait contre une autre porte plus difficile d'accès.  La jeune femme se donnait du mal pour satisfaire Kailec, ayant noté qu'il n'était pas humain du fait de ses oreilles, mais cela importait peu pour l'esclave qui se contentait de l'information que c'était un mâle et qu'il fallait combler sa soif de sexe.

La femme d'âge mûre vint à venir de plus en plus près, Tomoe lançant un petit regard vers cette nouvelle arrivante et suivant le geste de sa main qui libérait un autre membre. La blonde trouvait de nouveau bâton tout aussi appétissant et laissa Kimiko s'approcher pour déposer le gland sur ses lèvres qu'elle entrouvrit légèrement pour enlacer le bout, donnant de petit coup de langue. La dominante n'eut qu'à s'avancer davantage, mettant la blondinette à pencher légèrement la tête en arrière quand Kimiko s'enfonça sur toute la longueur, savourant cette gorge. Tomoe se trouvait dans une position qui n'était pas des plus confortable, creusant son dos et sautant de temps à autre pour gober le membre de la femme, se laissant par la suite tombée pour donner un puissant plaisir à l'homme.

L'esclave jouait des hanches pour exciter Kailec et usa de ses mains pour caresser Kimiko. Tomoe tremblait sous l'effort demandé, alors qu'elle était fatiguée, mais désirait se faire prendre avec plus de fougue de violence. Cette excitation se traduisait par un renforcement de son aura, qui allait certainement pousser les deux partenaires à devenir plus bestiale, plus dominante et violer l'esclave jusqu'à ce qu'elle soit pleine ou qu'ils n'en puisse plus, tout dépendait de la réceptivité de Kimiko et de Kailec.

L’appétit de cette femme était fascinant. Mélinda en venait encore à se demander si elle ne travaillait pas pour Lust. Cette énergie, véritablement, était bluffante. La vampire la voyait se dandiner sur la verge de Kailec, comme toujours ravi d’être ici. Butiner des cons et des culs était la grande passion de l’esclave. Cet homme métis, mi-elfe, mi-humain, bénéficiait de la beauté légendaire des elfes, et de la forte perversion des humains. La vampire les observait donc, et fut ravie de voir Kimiko les rejoindre. Une esclave de carrière, qui avait déjà accouché de plusieurs enfants, leur prenant leur virginité en compagnie de Mélinda quand ils avaient atteint l’âge requis. Kimiko était une terrifiante perverse, et elle adorait faire des fellations sur de jeunes femmes. Elle n’allait donc pas passer à côté de l’occasion de coucher avec cette femme, qui se faisait donc prendre mutuellement par Kailec et par Kimiko. Le spectacle valait le détour. Mélinda s’était rassise, et, jambes croisées, regardait ça. Malgré sa fatigue, Tomoe en redemandait toujours plus, elle pouvait le sentir.

Les mains de Kimiko se crispèrent sur ses cheveux, et elle remua un peu plus fort, toujours plus fort. Sa queue s’enfonçait dans sa bouche, violant sa gorge, revenant en arrière, avant de repartir à nouveau. Elle s’enfonçait si loin que les testicules de Kimiko giflaient sa nuque. Elle restait alors plantée en elle, basculant son corps vers l’arrière en soupirant longuement, et revenait ensuite d’avant en arrière.

« Oui, ouuiiii… Haaan… Ta bouche… Humm… C’est celle d’une parfaite salope, ma chérie… Oh, je peux le sentir, tu adores sucer des queues ! »

Elle adorait, et Kimiko comptait bien continuer à la prendre ainsi. Kailec, de son côté, avait les mains posées sur les hanches de la femme, et il les déplaçait pour venir peloter ses fesses, les écartant l’une de l’autre, remuant faiblement ses jambes sur le sol. Ah, qu’il aimait ça ! Sentir une belle femme sur lui, sentir le latex entre ses doigts, la sueur et les courbes d’un corps féminin, les gémissements et les soupirs. Cette femme était tout simplement magnifique, et le temps défilait, aucun des deux esclaves ne voulant jouir vite… Et Kimiko avait une énorme expérience sexuelle, qui lui permettait de prolonger longuement cette fellation. Tomoe pouvait ainsi sentir sa grosse queue remuer en elle, dans les tréfonds de sa gorge, lui coupant parfois la respiration. Le cuir et le latex crissaient, et, quand Mélinda fermait les yeux, elle avait droit à un concert de soupirs et de gémissements, de couinements et de petits cris.

Kailec finit par venir, soupirant longuement, en balançant dans le con de la femme un long chapelet de sperme. Il n’avait pas l’expérience de Kimiko, son endurance. Elle continuait à venir en elle, un sourire sur les lèvres, en donnant des coups de reins de plus en plus forts, de plus en plus prononcés.

« Haaaaaaaa… »

En soupirant longuement, Kimiko se retourna alors, son sexe gros et tendu. Il semblait sur le point d’exploser, tout rouge, mais elle n’avait pas encore joui, et cette maîtrise d’elle-même… Kimiko souriait, et agit rapidement. Soulevant Tomoe par les aisselles, elle la plaqua contre elle, comme pour lui faire un gros câlin en restant debout… Sauf que sa verge alla s’engouffrer dans le vagin de la femme.

« Là, ouiii, hummmm… Je sens le foutre de Kailec, hihi… Ce petit cochon… Hummm… Soupire, Tomoe, hurle contre mes oreilles, fais-moi entendre la délicieuse symphonie de la pute en manque de queues… »

Kimiko n’avait pas encore dit son dernier mot, et sa résistance était magnifique.

La blondinette n'offrait aucune résistance, contrôlant de rare nausée quand le membre de la femme,  ayant tout à fait l'âge d'être sa mère, vint à sombrer dans les tréfonds de sa gorge, elle restait soumise à la rudesse de Kimiko, qui rendait les actions de Kailec bien moindre. Tomoe prenait beaucoup plus son pied entre les mains de l'hermaphrodite que de l'homme, bien qu'il ne restait pas en reste se mettant à faire des aller et venues assez faible. Heureusement que l'esclave voulait faire plaisir et au deux et bougeait ses hanches de bas en haut. Tomoe ne fut pas réactive au compliment de Kimiko, la pauvre avait presque l'esprit totalement envahit par la luxure, désirant éprouver l'ivresse du plaisir encore plus longtemps, avec toujours plus de bestialité. Les épreuves de la déesse Hana avait apporté une grande quantité de rapport animal, se traduisant maintenant par ce désir d'être prise plus fortement, de se faire remplir jusqu'à ce que son corps demande grâce.

Tomoe ne fut pas peinée d'avoir la respiration coupé, émettant des gargouillis lorsque le membre de Kimiko restait vraiment trop longtemps, reprennant une profonde inspiration lors du dégagement pour ne pas avoir à besoin d'un trop long temps de récupération. L'humaine était forgée pour le sexe sous beaucoup de forme, il suffisait de voir la liste de ses compétences sexuelle, mais ça seul des divinités pouvaient l'observer. Tomoe poussa un petit gémissement quand Kailec vint à jouir, sentant le liquide épais réchauffer davantage son bas-ventre.

La blonde vint à sentir le membre sortir de sa bouche et allait supplier de l'avoir encore lorsque Kimiko vint à soulever le poids plume et sentir le membre de cette dernière s'enfoncer dans son antre dégoulinant. Tomoe ne put retenir d'avoir un orgasme, Kailec l'ayant laissé au bord et le membre de la femme ayant achevé le travail du fait qu'il était plus gros et plus long, procurant ce qu'il suffisait pour la faire jouir une première fois. Elle poussa un petit râle, se crispant sur Kimiko avant de l’élancer les hanche de ses jambe. Encore toute tremblante de plaisir, elle fit bouger ses hanches, gémissant et même devint suppliante.

- Faite donc hurler d'agonie cette vulgaire chienne que je suis.  Transpercez ce vulgaire sac de votre lance.