Le traitement que l’esclave subit en ce moment n’était rien de plus qu’une forme de torture sexuelle, tout simplement. Les deux femmes lui avaient défoncé le cul en long, en large, et en travers, le prenant pendant de longues minutes. Maintenant, l’esclave gisait sur le sol, et Talon était un peu plus épuisée. Sa respiration était lourde, des gouttes de sueur filant le long de son corps. Elle ne ressentait aucune pitié pour l’homme qui gisait au sol, aucune forme de compassion ou d’empathie pour la manière dont elle l’avait défoncé. Davinel lui dit alors qu’elle allait préparer une cuve de bacta, probablement pour se soigner… Ou pour soigner les partenaires sexuels. Talon, elle, hocha lentement la tête. Elle n’avait nul besoin de bacta, et sa main vint machinalement caresser le ventre et les hanches de Davinel, avant de la laisser filer. Elle se reporta ensuite vers l’esclave, prostré sur le sol, et tendit son pied vers lui, caressant l’une de ses joues, avant d’amener à elle, par la Force, un fauteuil, sur lequel elle s’assit.
Elle prit la
pose, soulevant l’une de ses jambes, et, de la main, amena l’esclave à relever son buste légèrement.
«
Ne t’endors pas trop vite, petite pute… Lèche-moi les pieds… »
Talon se découvrait une véritable passion pour le fétichisme, et elle était heureuse de pouvoir l’expérimenter à foison. L’esclave trembla lentement, mais, n’ayant visiblement guère envie de contrarier une Sith, il se pencha vers elle, et alla lécher ses doigts de pied, puis remonta le long de sa peau rouge, sa langue glissant sur les tatouages noirs ornant son corps. Elle le laissa ainsi s’approprier son doigt de pied, et, pendant ce temps, déplaçant ses doigts, elle jouait avec le sexe de l’homme, le relevant et l’abaissant. Du fait de l’excitation sexuelle intense qu’elle ressentait, Talon expérimentait de nouvelles choses, des figures et des situations qu’elle n’avait encore jamais eu l’occasion d’utiliser avec la Force. Elle contractait l’air autour de son membre, le frottant et l’appuyant, faisant couiner et gémir le petit esclave.
«
Non… Ne te masturbe pas… » ordonna-t-elle, en percevant quelques pensées de l’esclave.
Malgré sa vive douleur aux fesses, il sentait le désir sexuel, se traduisant, chez lui, par une forte envie de se caresser, de se masturber, de laisser le plaisir aller, et de ne penser à rien d’autre. Elle le contrôlait donc, à l’aide de la Force, et la langue de l’homme montait de plus en plus, tandis que sa verge se durcissait. Malicieuse, elle l’empêchait de jouir, et finit par se redresser, se mettant face au jeune homme, un sourire sur le coin des lèvres. L’un de ses
lekkus fila vers sa tête, et alla la caresser, se glissant sur son menton, l’amenant à redresser cette dernière, tandis que Talon s’appuyait contre le mur, écartant ses jambes, mettant ainsi en valeur son postérieur.
«
Lèche-moi le cul, petit pervers… »
Les ordres étaient donnés, et Talon pouvait sentir l’excitation du bel esclave, qui se hissa sur les genoux, et posa ses mains sur les fesses rondes de Talon, faisant gémir cette dernière… Qui sentit sa langue filer dans sa croupe, s’approchant de sa rondelle.
Oh, si c’était bon !