Un Impondérable [Irina Tarkovskaya - Gabriel Valmy]

[Protocole d'activation de l'agent 2501 effectué avec succès]
[Protocole de franchissement de faille activé dans 5... 4... 3... 2... 1... ]

Vidéo d'arrivée:
https://www.youtube.com/watch?v=KgnY7BmOVQU
(Elle ne tue pas cette pauvre automobiliste de la vidéo, elle a prise sa tenue de camouflage pour cette mission.)

Irina marche dans les rues décrépies et malfamées et pendant une fraction de seconde elle se sent chez elle. Les taudis et les coupes gorges dans lesquelles elle avait organisée sa rébellion contre BIOGENIX ressemblaient énormément à ceux-ci. Sauf qu'il leur manquait bien entendu deux ou trois mille ans d'évolution technologique.
Elle s’arrête au milieux de la rue, ferme les yeux et hume l'odeur de cet endroit, le goudron, le vieux béton défraichi, et l'urine, aucun doute, cela la rendait nostalgique, et cette émotion était une des seul que ses implants de contrôle ne bloquaient pas systématiquement.

Petite frappe - Wèch [sifflement] ho... ho mamoiselle... [sifflement sifflement] mamoiselle va y contre tes trop bonne...

Elle ne bouge pas, tentant d'ignorer les paroles de l'importun qui s'approche d'elle sur sa droite, à la périphérie de son champ de vision.

Petite frappe - [sifflement] ho... ho... je te parle la sale pu...

Il n'a pas le temps de finir sa phrase, le bras d'Irina se dresse et son poing lui enfonce ses mots d'amour au fond dans la gorge. Il s'effondre dans un gargouillement. Elle ne se tourne même pour regarder sa victime.

Irina - [murmure] Excusez moi ? Vous disiez ?

Le regard perdu dans le vide elle ce concentre pour  retrouver les sensations qu'elle était en train d'éprouver. Mais en vain, le moment d'humanité était terminé... la mission reprenait le dessus. Elle n'était plus qu'a quelques mètres de l’hôtel ou la cible devait séjourner en théorie, elle avance à pas de loup et escalade une gouttière pour atteindre les fenêtres dans chambres du 5ème étage. Mais alors qu'elle avance de balcon en balcon, d'étranges sensation de picotements et de fourmillement s'emparent d'elle, les informations qui défilent devant ses globes oculaires défaillent...

Gabriel était de planque ce soir… ouep, de planque, vous savez, quand un flic attend dans sa bagnole pour surveiller un mec ou une nana quoi est soupçonné d'un crime ! Bah là pareil sauf que Gabriel surveillait les caméras vidéos de la chambre d'à côté où il devait se passer un échange de pognon contre drogue. ET quand il les verrait, il devrait intervenir…

IL y était depuis le matin et la relève ne devrait pas tarder, et heureusement, car l'image était mauvaise, comme si les ondes étauient perturbées – sans blagues, Gabriel se doutait vraiment pas de la raison… -  et donc, l'image sautait régulièrement…. Epuis le matin, il avait assisté à quatre pornos amateurs et franchement peu engageant, notamment un qui aurait pu passer pour de la pédophilie… c'était vous dire si ça l'emmerdait pas ! Surtout que c'était vraiment dégueulasse…. Le seul point positif était qu'il pouvait fumer à l'intérieur, et heureusement, car ça lui calmait les nerfs ! Sinon, il n'aurait eu aucune manière de se calmer et il aurait dévasté la chambre qui était – il faut le reconnaître – sale et miteuse comme les chambres de motel bas de gamme peuvent l'être….

 Excédé, Gabriel ouvrit la porte fenêtre qui donnait sur le mini balcon pour regarder un peu à l'extérieur. La nuit était assez chaude et il pouvait profiter d'une légère bise, même si celle-ci faisait monter l'odeur des immondices de la rue… pour peu, il se serait trouvé dans des chiottes publics que ça ne l'aurait pas plus choqué que cela, niveau fragrances… Il alluma une cigarette et commença à fumer, retournant dans l'appartement le temps de prendre une bouteille de bière. La dernière du pack qu'il avait amené… chier… l'autre avait intérêt à se ramener vite fait pour qu'il ait un peu le champ libre…

IL cracha sa cigarette par dessus le balcon, décapsula la bouteille de bière et savoura celle-ci en quelques gorgées longues  avant de la finir rapidement. Il eut un rot sonore avant de regarder la bouteille vide d'un œil quelque peu exaspéré, elle était encore plus mauvaise que les autres… il soupira et leva le bras qui tenait le cadavre au dessus dessus du vide pour lui faire subir le même sort que la clope quand il vit quelque chose bouger dans sa vision périphérique…

Il s'agissait de quelque chose qui avançait de balcon en balcon, vers lui… bordel, quelqu'un se mettait à monter jusqu'au quatrième étage ouù se tyrouvait le flic, par l'extérieur, et il devait s'étonnaer que ça lui tombe sur la gueule, non, certainement pas !  IL commençait à savoir que la chance n'était pas franchement son meilleur allié…

Il s'accroupit pour se dissimuler derrière la rambarde, et, sans réfléchir vraiment à ce qu'il faisait, il attendit que la silhouette passe à portée, et alors qu'elle arrivait au quatrième étage, sans pourtant vouloir s'arrêter pour autant, Gabriel, habitué qu'on en veuille à sa peau, utilisant la boutelle qu'il tenait par le goulot, la frappa. Vers l'intérieur, pour qu'elle tombe sur le balcon…

« Saloperie de ninja à la con ! »

Irina, toujours perturbée par les interférences et les sensations étranges qui fourmillaient dans ses membres, continue de sauter de balcon en balcon, utilisant le flux électrique de son épiderme pour coller au fer des balustrades. Elle n’eut pas le temps de voir venir le coup et le verre de la bouteille fit un "poc" sec contre son crâne sans exploser.

Elle tombe en avant sur le large balcon, entrainant la bouteille dans sa chute et s’étalant de tout son long. Gabriel peut alors voir la "ninja" en pleine lumière. Elle était svelte et voluptueuse en même temps, ses bras et ses jambes étaient musclées et elle portait une étrange combinaison blanche qui moulait à la perfection chacune de ses formes jusqu'au courbes parfaite de son fessier.

Le silence se fait. Elle commence à se relever de manière mécanique, elle empoigne la bouteille à pleine main et se dresse de toute sa haute devant sa nouvelle cible, révélant son visage parfait et lisse. Son regard d'un bleu glacial crépite d'énergie alors que des stries luminescent bleu cyan parcourent sa peau et sa combinaison.

Sans le moindre effort apparent elle broie la bouteille jusqu'à ce qu'elle éclate. Sa respiration est forte et saccadée et la colère se lis dans chaque inflexion de son corps sculptural. Elle laisse tomber les débris sans y prêter attention et avance vers Gabriel d'un pas lent et félin, les poings serrés.

Irina - Impondérable... mise en suspens de la mission

Le bruit du choc entre la tête du « ninja » et la bouteille fut étrange, il s'attendait à un bruit  peut être un peu plus mate… en effet, là, sans résonner, il ne s'agissait pas d'un bruit normal… mais ça, il n'allait pas franchement le relever, non par manque d'envie, mais plutôt parce que le spectacle était beaucoup plus distrayant, en effet, elle était allongée de tout son long, en pleine lumière et ce qu'il voyait lui plaisait beaucoup :  elle avait un derch' à damner un saint !  Et en plus la tenue était si moulante… il s'étonnait presque qu'il ne puisse, pendant qu'elle était au sol, distinguer son anneau rectal, tant c'était moulant… mais franchement, ce genre de cul, ça appelait clairement à quelques coups de reins, et dans d'autres circonstances, il ne se serait pas privé, mais là, elle se relevait et elle semblait fumasse…

Tellement fumasse qu'elle péta la bouteille d'une main, même si geste était un peu saccadé, il nota qu'il devait peut être éviter de lui laisser lui tenir les couilles, sans quoi les broyer ne serait pas trop difficile… ouais, il allait éviter de les lui confier… il plongea son regard dans le sien quand elle  fut de nouveau debout…. Ah, non, ce n'étaient pas les yeux, il l'avouait…  ouais, mais là ça allait au-delà des fantasmes, il y avait une telle paire, qu'il n'osait pas imaginer toutes les possibilités… mais il doutait de pouvoir en profiter…

Elle serrait les poings et prononça quelques mots, impondérable, mise en suspend d'une mission, elle parlait de quoi, bordel ? Il soupira et regarda la jeune femme qui avançait les poings serrés… elle voulait se battre ? Ça lui posait pas de soucis !  Qu'elle vienne… ça le détendrait… il serra les poings, les décontracta et  les plaça devant lui.

« Bah quoi ? Tu comptes me frapper, ninja zarb ? Viens, je t'attends ! »

Il eut un regard à la fois amusé et belliqueux. Alors qu'il y avait un léger arc de courant qui  glissait le long de ses doigts avant de disparaître… mais c'était dans ses yeux électriques que cela se voyait de la manière la plus flagrante. En effet, ses yeux pétillaient de malice, mais plus encore, ils avaient un côté électrisé, électrisant  aussi, d'une certaine manière…

« Parce que moi, j'ai bien besoin de me défouler ! »

La véritable Irina n'avait absolument rien contre cet humain audacieux. Au contraire, il ressemblait beaucoup aux hommes qu'elle avait aimée avant de devenir la monstruosité qu'elle était devenue... Elle se souvenait de ce gangers qu'elle avait repoussée toute son adolescence, si elle avait sue à l'époque ce que BIOGENIX ferait de sa virginité, elle le lui aurait donné avant d'être capturé. Mais tout cela était du passé, et son beau gangers était mort de ses propres mains.

C'est un témoins, et le code de la compagnie est très clair au sujet des témoins... Je suis désolée...

Elle le regard avec mépris et lui répond avec une morgue et une politesse surprenante:

Irina - A votre guise...

Elle arme sa main droite, mais contre toute attente, et sans que son regard ne laisse présager de la fulgurance de ses coups, la cyborg déploie la trame musculaire renforcée de sa jambe gauche pour frapper la clavicule. La vitesse avec laquelle elle exécute son coup est surhumaine, son membre en devient presque flou. Cela faisait limite penser à une scène de Matrix, aucun homme normal n'aurait pu esquiver un tel coup.

Mais quand son pied entre en contact avec son adversaire, Irina ressent comme un violent engourdissement dans toute sa jambe.
Décontenancée, elle recule en boitant mais conserve sa garde. Elle toise l'étrange humain avec un mélange de surprise et de peur alors que l'engourdissement gagne du terrain et touche son bassin, la vidant de ses forces, non, pire, lui rendant une force tout simplement humaine...

Gabriel surprit dans ses yeux un regard qu'il n'aimait pas du tout. N'allez pas croire qu'il n'était pas capable de le reconnaître. Le mépris. Il l'avait vu trop souvent, beaucoup trop souvent pour être en mesure de le tolérer encore de nouveaux Jamais son connard d'alcoolique paternel n'avait eu un regard différent quand il se posait sur lui. Ça avait été pareil avec les flics quand il était devenu chef d'un gang de bikers, ça avait été pareil pour les autres matons de la prison, et même depuis, ses collègues flics le regardaient ainsi. Et ça lui faisait mal… toujours autant…. Aussi, ce fut le regard courroucé que le flic attendit la rémonse à sa harangue, une harangue qu'il aurait pu continuer s'il n'avait pas lu dans son regard que c'était amplement suffisant.

Il ne la vit pas vraiment bouger, en effet, ses réflexes et sa vue avaient beau être bons, il n'avait pas vu la jeune femme bouger, tout ce qu'il sentit, ce fut la violence de l'impact dans sa clavicule. Déporté par le coup, il fut projeté contre la rambarde du mini balcon et se retint à elle, basculant à moitié dans le vide… il parvin,t de justesse à revenir sur le balcon, non sans un grincement sinistre en provenance de celle-ci. Il tituba et vit le regard de la kjeune femme. Il était ravi…

Il était ravi que le regard de la jeune femme ait changé et il sourit, car  il voyait une expression qui donnait du baume à son égo meurtri par le regard de la « ninja ». IL ne savait pas pourquoi, mais lire la peur chez elle lui faisait le plus grand bien, et lui offrait le plus grand plaisir. Il s'approcha d'elle alors qu'il la voyait reculer, sous l'emprise de la peur.

« Putain, tu frappes fort, ma garce ! »

Il frappa sa paume de son poing avant de finalement, sans se presser, il chargea son poing avec une bonne dose de courant, et c'est seulement après qu'il s'élança pour lui frapper l'abdomen aussi fort qu'il pouvait, elle devait avoir des abdos d'acier, mais tant pis pour sa gueule ! Mais avec le choc, il allait lui faire voir les 36 chandelles ! Et il n'allait pas se priver d'un tel avantage…

« Bouffe ça, salope ! »

Son corps aurait dû répondre plus vite que lui. Ses système de détection auraient dû lui permettre de voir le pouvoir qu'il canalisait dans ses poings. Et sa musculature modifiée aurait dû encaisser le choc sans qu'elle ne bronche.

Mais l'engourdissement avait fini par gagner tout son corps, et quand elle reçoit le coup de poing chargé dans le ventre, elle fait un véritable vol plané dans la pièce et s'écrase contre un meuble qui éclate sous le choc.
Le courant électrique contenu dans la chaire de son ennemi parcoure alors librement la sienne. Un humain normal se serait contracté instantanément avant de s'immobiliser aussi sec.
Mais le corps d' Irina, bourré d'implants et câblé de long en large de matériaux conducteurs se met à convulser frénétiquement. ( Luke Skywalker dans Le Retour du Jedi pour se faire une idée)
Des éclair crépitent entre ses membres, perforant sa combinaison comme une armure de papier, la réduisant en lambeaux épars et révélant sous bien des coutures sa plastique généreuse.
Elle pousse une série de cries déchirants de souffrance, à fendre l'âme, entrecoupés de sons étranges ressemblant au son d'un vieux modem en train de griller.

Après plusieurs secondes de ce spectacle insoutenable, les crépitements se raréfient et elle retombe inerte sur le tapis brulé du salon, le corps fumant comme un moteur de voiture de course.

Houlà, il avait du frapper sacrément fort… il l'avait vu faire un viol planer, et plus encore, elle avait hurlé à en déterrer les morts… normalement, il ne s'agissait que d'un coup de poing bordel…. Il ouvrit et ferma son poing à plusieurs reprises, presque indifférent à la souffrance de la jeune femme, un peu abasourdi par les effets qu'il avait eu… il n'avait pas chargé en électricité autant son poing que cela, ou du moins il n'aurait pas cru. C'était cela ou alors elle avait un truc louche alors qu'elle était là, comme agonisante contre le meuble complètement défoncé… il regarda le résultat et s'approcha de la jeune femme pour observer le résultat de plus près.

Les vêtements étaient en bonne partie déchirée et le regard qu'il avait sur son anatomie était plus qu'intéressante… Il ne put s'empêcher  de reluquer malgré tout en voyant les volutes de fumée s'échapper de son corps… Comme quoi, fumer nuisait gravement à la santé… au propre comme au figuré. Il regarda son paquet de clope…. Ouais, bon bah merde, il aimait vivre dangereusement ! Il regarda la jeune femme allongée et se dit que quand même, ça aurait été dommage de ne pas en profiter, même si elle semblait pas en état…. Ce serait con de ne pas en profiter avant qu'elle ne clamse, si jamais elle cassait sa pipe…

Il se saisit de la jeune femme  et, non sans peine, la souleva pour l'installer sur le lit une place et demie, comme il pouvait. Il lui saisit les bras et les lui attacha avec sa jolie paire de menottes aux barreaux du lit et se contenta de virer les lambeaux. De vêtements qui traînaient de-ci de-là… jusqu'à découvrir tout ce qui était intéressant à voir…. Mais ce fut quand il vit cela qu'il tiqua, il manquait quelque chose… merde… elle était inconsciente, aussi, elle ne pouvait assister à rien…

« Putain, ce serait une belle connerie... »

Il soupira et lui mit une paire de claques.

« Allez, la belle au bois dormant, assez dormi ! Réveille toi sinon, ça va être chiant d'en profiter ! »

IL lui remit une nouvelle paire y mettant juste une pichenette de courant.

« Allez, réveille-toi ma garce ! »

La peau d' Irina est brulante au toucher quand il la prend dans les bras pour l'installer sur le lit.
Une fois déshabillée, l'humain découvre non sans surprises les mensurations et les formes extravagantes que BIOGENIX avaient imposé à sa chose. Ses seins, bien que gros, n'étaient ni tombants ni flasques, pourtant aucune trace de chirurgie ne striait sa peau diaphane, et un tel résultat naturel tenait du mythe plutôt que de la réalité. Ses tétons étaient eux même énormes et le courant électrique les avaient contractés à l’extrême.
Quand il lui retire l’étoffe qui cache encore son entrejambe il remarque avec stupéfaction que ses lèvres pubiennes sont elles aussi grosses et charnues, elle ne baillent pas, leur chaire semble extrêmement ferme. Enfin un clitoris de belle taille orne le tout et quand il se penche pour mieux voir cet étrange morceau de chaire, il remarque que de nombreux petits nerfs le parcourent, trop en vérité, comme si un chirurgien fou s'était amusé à augmenter la sensibilité de cette zone. Le tout surmonté d'une ravissante petite toison dorée taillée en tiquer de métro.

Une fois son examen terminé il tente de la réveiller.

Au bout de quelques instants Irina reprend connaissance. Ses yeux roulent dans ses orbites et elle voit l'étrange humain penché sur son corps nu. Elle pousse sur ses bras de toute ses forces pour briser le fer de ses menottes, mais elle ne réussit qu'à ce faire mal. Entre les doigts de cet homme, le corps d' Irina était devenu aussi faible et vulnérable que n'importe quelle femme normale.

Elle le regarde, interdite, elle ne comprend pas. Elle ressent de la peur de la crainte, alors que ses implants devraient l'en prémunir. Mais pas là, elle comprend l'aspect désespéré de sa situation et croise pudiquement les jambes pour cacher sa vulve, le rouge de la honte lui colore les joues.

Gabriel observait le corps au galbe incroyable de la jeune femme, tout semblait tellement faire exagéré qu'il avait du mal à en revenir… il regarda la jeune femme attachée… elle avait de vraies pastèques avec des tétons aberramment gros et durcis par le courant électrique… putain, à ce niveau là elle aurait pu faire une branlette espagnole à Godzilla !  IL en restait assez sur le cul… et le reste de son corps était tout aussi incroyable : ses lèvres intimes étaient sii marquées qu'il aurait cru qu'elle aurait déjà crevé d'envie ! Et son clitoris, on aurait di un pénis miniature…

quand enfin elle revint à elle, elle semblait assez inexpressive, comme si elle ne savait pas exactement ce à quoi il fallait s'attendre et ne même temps comme si elle s'en ficher un peu…. Elle se débattit sans grand succès : la police faisait des menottes solides après tout ! IL regarda la jeune femme et lui sourit alors qu'elle se trouvait donc bien à sa mercie et qu'elle le constatait, allant, dans un moment de pudueur stupide, croiser les jambes pour cacher son intimité…

« Allez, fais pas ta timide, j'ai déjà tout vu… et on pote pas une tenue aussi moulante en étant autre chose qu'une vraie salope... »

Il sourit et se déshabilla avant de venir à califourchon sur elle, trouvant d'un seul coup sa verge particulièrement petite pour le corps hypradéveloppé de la jeune femme, comme si il avait un micro pénis, un court instant, il se sentit un peu miséarble, dans son physique et finalement, il saisit les tétons de la miss et les tordit violemment et tirant dessus de temps à autres….

« Non mais t'es abusée… t'es pas réelle et je fantasme en fait... »

Il lui mit une claque  sur les cuisses et les lui écarta de force avant de « gifler » son clitoris sans la moindre retenue...

La première remarque du grand blond remplace la hante qu'elle éprouve par une véritable fureur, elle se redresse en avant et essai de lui mettre un coup de tête. Mais entre ses mains elle se sentait si faible, ses gestes sont lents et prévisibles, comme si son corps s'était endormi.
Mais plus que son corps c'était aussi ses implants qui ne fonctionnaient plus, et libérée de leur contrôle, l'esprit de la rebelle qu'elle avait été pouvait enfin s'exprimer de nouveau.

Irina - Va te faire foutre Blondi !

Irina se surprend elle-même en prononçant ces mots. C'était elle, la vrai Elle qui venait de parler, pour la première fois, depuis que BIOGENIX l'avait brisée.

Je suis Irina, Irina Tarkovskaya, et je suis libre, je suis une femme li...

Elle aurait voulu jouir de sa liberté de penser, mais au moment où elle réalise qu'elle réfléchie à nouveau normalement, Gabriel lui attrape les tétons entre ses doigts électriques. Il les tire, les tourne, il joue avec et le courant passe de ses doigts au système nerveux d' Irina, aiguillonnant son centre du plaisir.

Irina - Haaa !

Submergée par une vague de plaisir et de douleur, Irina constate que si le travail des cybernéticiens de la firme était en sommeil, celui des neurochirurgiens qui avaient sur-développés ses sensations fonctionnait toujours...
Elle ne peut se retenir, et au moment où son tortionnaire lui claque la cuisse et lui écarte violemment, un petit jet de cyprine gicle sur ses lèvres pour les lubrifier et tache le bas ventre de Gabriel.

Je suis Irina... je suis... non pas ça...

Il lui gifle le clitoris et là tout son corps se cambre d'avant en arrière, sa tête se redresse et elle pousse un crie silencieux en écarquillant les yeux. Le coup provoque un véritable séisme de sensation incontrôlée, au point qu'elle en joui presque, elle ne parvient plus à maitriser son corps, ses hanches et son bassin se cambre doucement d'avant en arrière.

Irina - Hhhh !

La lueur dans ses yeux changea, et cette nouvelle lueur, gabriel la connaissait, il s'agissait de la colère, elle était fumasse, et étrangement, Gabriel était ravi, en effet, il aimait cette lueur de combat, de défi que l'on lisait dans ses yeux, cela promettait un peu de sport, un peu d'action !  Il en salivait d'avance, et d'ailleurs, il éclata de rire devant sa provocation… qu'il aille se faire foutre ? Très bien trouvé ! C'était elle qui allait se faire foutre, au sens propre comme au figuré ! C'est d'ailleurs pour cela qu'il ne prit même pas la peine de répondre à sa provocation, elle le sentirait passer de toute manière, alors à quoi bon…. Surtout quand on pouvait voir sa réaction après juste une claque sur son clitoris surdimensionné… il savait très bien que non seulement, il pouvait jouer, mais en plus, il savait quoi frapper désormais !

« Tu vois, c'est ça qui est amusant, tu peux dire ou faire ce que tu veux, cela ne change rien ! Je sais où tu es sensible et je sais aussi que je peux te donner autant un plaisir infini qu'une douleur éternelle, alors je crois que quoique tu puisse dire ou faire, ça changera rien ! »

Il se redressa, se tournent, exposant à sa vue ainsi son fessier musclé. Il avança le bien et le ramena brutalement en arrière sur son bouton de chair, ni une, ni deux fois, mais trois fois. Très brutalement… avant de la regarder de nouveau…

« Alors, sale chienne, tu penses quoi de ça !  Hein ! Pétasse ! »

Il regarda les draps où perlaient de la cyprine… et se retourna avec les doigts  humidifiés par ça… il la gifla avec avant de finalement lui sourire, un brin mauvais.

« Et t'en mouille en plus… c'est pas ninja que tu aurais du faire, c'est putain... »

Il saisit ses seins et commença à jouer de nouveau avec, les malaxant, les pinçant, tirant dessus, les maltraitant de toutes les manières qui lui venait à l'esprit… A certain moment, on aurait même pu croire à ses mouvements qu'il espérait tirer du lait d'une poitrine si opulente… Il alla même les téter et les mordiller, voir les mordre vraiment, comme si tout cela faisait partie d'un jeu…

« Et bien tu vas être la mienne, ma putain, mon sac à foutre…. Puisque mon collègue semble pas particulièrement pressé de me remplacer ! »

A chaque coup qu'il lui porte elle se cambre de plus en plus jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus retenir ses cris de douleur et de plaisir mêlés.
La stimulation sexuelle intense qu'il lui impose mélée à la perte de contrôle totale de son corps à chaque fois qu'il la touche lui fait perdre pied, elle en devient folle. Elle gémis à nouveau quand il lui malaxe les seins, cris à nouveau quand il lui tire dessus et qu'il joue à la traire comme une vache laitière. L'esprit embrumé par le plaisir et les sensations orgasmiques, elle le regarde faire, les yeux mis clos et les jambes écartés alors qu'elle pousse de petits feulement de jouissance.

Irina - ho... ho... mmhh...

Il lui mord profondément le sein, Irina se contracte et écarquille les yeux, elle rougit instantanément de honte alors que de sa vulve gicle un nouveau trais de cyprine.

Gabriel la regarda se cambrer, se démener comme prise de convulsion pour chaque coup qu'il lui portait… putain, il n'avait jamais vu une femme – si c'était bien un truc humain, ce dont il commençait à douter – aussi réceptive à la douleur pour la changer en plaisir, cela en faisait la catin par excellence pour tout ce qui était des plus hards et des plus violents…

Il la regarda alors qu'elle jouissait une nouvelle fois après qu'il lui ait mordu le sein, aux anges devant sa réaction, malgré le fait qu'elle salopait vraiment les lieux… il n'avait pas loupé la moindre trace de plaisir qu'elle avait laissé allé depuis son intimité… il plongea son regard dans le sien. C'étrait désormais lui qui avait une nuance de mépris dans le regard.

« Et bah ma salope, tu es une vraie fontaine dis moi... »

Il lui caressa la vulve complètement trempée de plaisir, il mit une petite claque entre ses cuisses et il inséra un doigt dans son intimité et pencha son visage vers son puits d'amour pour aller mordre son on excroissance clitoricienne… il n'alla pas jusqu'au sang et s'arrêta bien vite pour reprendre la parole, d'un ton amusé et narquois qui trahissait le plaisir qu'il prenait à la situation.

« Alors, c'est qui la salope à bibi, et c'est qui qui réclame davantage hein ! »

Il lui gifla les cuisses sans ménagement, ménageant à contrario son intimité…

« Allez, supplie-moi d'en avoir  encore, ma belle ! »

Il lui tordit le clitoris avec une main alors que dl'autre plongeait plusieurs doigts dans son intimité...

Elle soupire profondément et empoigne les draps quand la main du flic passe sur sa vulve trempée et brûlante, soulageant son désir pour le faire renaitre plus fort encore.

Puis elle le sent s’immiscer en elle, elle sent son doigt écarter ses lèvres pubiennes et s'enfoncer doucement dans son vagin. Gabriel constate que les parois de son vagin sont extrêmement fermes et musclées, même son doigt y pénètre difficilement et la sensation d'écrasement et intense, qu'es ce que cela devait être en y enfonçant un  pénis qui faisait plusieurs fois le diamètre d'un doigt.

Elle se redresse en sursaut en le sentant entrer son doigt.

Irina - Non je... HA !

Il vient de lui mordre le clitoris et la jouissance qu'elle ressent recloue littéralement sa tête au lit pendant que son bassin lui se contracte et convulse de plaisir. Incapable de se défendre, elle sent alors plusieurs doigts s'enfoncer en elle et lui écarter progressivement les lèvres et le vagin, pendant que son clitoris est soumis à une exquise torture qui sape toute ses forces. Cette fois si la pression que Gabriel ressent sur ses doigts est écrasante, au poing qu'il en à mal au phalanges.

Irina - Je... je suis... Irina... T...

Tu es Irina tarkovskaya, et tu es une femme comme les autres, tu as donc autant de force dans les jambes qu'avant qu'ils ne te transforme !

La voix de la rebelle éclate dans sa tête et lui donne un coup de fouet, un désir de liberté, et quand il l'insulte, la traite de salope, et qu'elle retrouve en cet hommes tout ce qu'elle hait chez les clients qui l'abuse, sa fureur explose et éclipse pendant quelques secondes la colère.

Elle profite qu'il se soit tans approcher pour la pénétrer de ses doigts, elle envoi ses jambes en avant et attrape son coup entre les muscles de ses cuisses. Même sans ses implants et ses améliorations, Irina restait une humaine entrainée et forte, et elle essai de l'étrangler.