Alice en tenueNexus, capitale du commerce (n'en déplaise à Ashnard).
Encore et toujours, Alice Cyan se promène de sa démarche féline, ayant récemment appris l'intérêt des "vêtements" elle en a trouver, ou plutôt s'est servie, optant pour un débardeur noir et un pantalon de la même couleur près du corps, lui laissant une libertés de mouvement absolue, sa chevelure rouge au vent elle jette de furtifs coups d’œil. Cherchant quelque chose d'une importance capitale pour elle. Vitale même.
Comment font ces résidents de "villes" pour manger ?
Elle déambulent, fixant les passants, les propriétaires. Notant tout ce qu'elle peut, elle voit des échanges de petites pièces de métal...serait ce ça? Ils se nourrissent avec ça donc...Surprenant ! Elle s'approche de clients d'un étal de babioles magiques, écopant de regards tantôt intrigués, tantôt envieux, tantôt suspicieux, ceux ci rangeant leur bourse ou ils cachent leurs précieuses valeurs. Elle souffle par le nez avant de se détourner, sa démarche déjà lente ralentissant encore, ayant apparemment repérer un point d'intérêt.
Un groupe qui l'aurait fait hurler de rire si elle n'était pas en ville. Deux Teranides et une elfe. Bon, l'elfe elle s'en moque un peu au premiers abords avant de se raviser, voyant à sa ceinture une de ces fameuses poches qu'utilisent les autres clients... Non, sa première attention se portait sur une lapine, grande, musclée et armée d'une rapière...Taillée pour le combat, ce qui la fit sourire, ne retenant pas un petit grognement bref mais pas forcément discret.La seconde étant...une renarde ? Ou une louve ? Elle l'ignore mais sa tenue l'intrigue, et l'odeur de ce qu'elle porte au cou l'attire. une odeur de blé...Mais le blé ne la nourrira pas asser vu son collier !
Non, ce qu'elle veut c'est l'elfe. Ou du moins sa bourse. Elle semble occupée à fixer un bête bout de papier. Ce qui ne lui a pas échapper, elle s'avance avec discrétion dans la foule, avant de fuser, slalomant entre la renarde et la viéra avant de se saisir à la vitesse qui lui est propre, glapissant en sentant une main manquer de l'attraper par la nuque, accélérant avec la peur au ventre, fuyant ventre à terre allant d'allée en allée avant de se cacher dans une ruelle sombre, entrouvrant la bourse pour y plonger la main, en tirant une pièce qu'elle observe quelques secondes...avant de la glisser entre ses lèvres pour la mâcher tranquillement, grommelant de perplexité...
Vraiment ces citadins ne savaient pas ce qui était bon.