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[FINI] L'Antre de la Reine [Ilinia]

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Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 30 dimanche 17 août 2014, 02:01:53

« Mais... j'ai pas envie de devenir maman moi ! J'ai pas envie d'être enceinte ! »

Les rires moqueurs des quelques soldates furent récompensées par la colère passagère de Sarah, qui serra davantage ses tentacules pendant quelques instants, les étouffant. La Reine des Lames ne voulait pas qu’il y ait une insubordination aussi grossière, pas alors qu’elle était en train d’éduquer cette petite poupée... Sarah peinait toujours à croire que cette femme puisse être aussi ignare, aussi... Naïve. Elle trouvait ça touchant... Ce qui lui donnait encore plus envie de la baiser. Sarah esquissa un léger sourire. Toujours allongée sur le corps de la femme, elle posa rapidement un doigt sur ses lèvres.

« Ne dis rien d’idiot, ma belle... Tous les êtres humains aspirent à donner la vie, c’est quelque chose d’ancré dans notre patrimoine génétique. C’est pour ça que les rapports sexuels sont aussi bons. Préfères-tu semer la mort et la dévastation, sans rien donner en retour ? L’univers fonctionne ainsi... Tout ce que nous prenons, nous le rendons, et c’est de cette manière que l’équilibre est préservé. C’est ce que les Formiens font... C’est ce que ton peuple fait. Prendre. Construire. Améliorer. Perfectionner. »

Sarah parlait sur un ton doux, bas, et retira son doigt, se rapprochant à nouveau des lèvres de Shiranui, continuant à parler, de sa voix velours, de cette délicieuse voix sensuelle et envoûtante. La jeune femme était sensible, fragile. Elle, il ne fallait pas la soumettre par la violence, ou elle risquait de la briser pour de bon, et de n’avoir plus qu’une poupée de chiffon qui accomplirait tout ce que la Reine des Lames voudrait sans jamais y mettre la moindre passion. Non, il fallait la convaincre autrement.

Par les mots.

« Nous ne voulons pas détruire ce monde, tu sais... Juste le préserver, l’insérer à un plus grand ensemble. Nous sommes là pour vous aider à accepter ce que vous êtes : des créatures sociales, des créatures qui s’insèrent dans un corps, pour se transcender. L’individualisme que vous prônez tant est une erreur. »

Elle l’embrassa à nouveau, tendrement, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, l’une de ses mains retournant pétrir l’un de ses énormes seins. Toutes ces Tekhanes étaient déjà ses Tekhanes. Elles résisteraient de bien des façons, mais c’était une résistance vaine, vouée à l’échec. Sarah n’acceptait pas la défaite, pas après tout le mal qu’elle avait eu à soumettre ces jeunes femmes. Maintenant qu’elle les avait, elle comptait les bichonner un peu.

Le baiser dura un certain temps, s’étalant sur plus d’une minute. Sarah gémissait lentement dans la bouche de la femme, tandis que sa verge titillait son sexe. Elle aurait pu la prendre comme ça, et elle était sûre que Shiranui aurait adoré ça... Mais Sarah voulait vraiment que cette première fois soit inoubliable chez Shiranui.

Ayant terminé le baiser, elle sourit à la jeune Tekhane puis descendit alors, son visage se retrouvant rapidement entre les cuisses de la femme, tout en ayant embrassé ses seins, puis son ventre. Quand elle atteignit cette partie de son corps, Sarah, sans perdre son temps, la lécha, sa langue filant le long de la combinaison, heurtant son intimité. Elle aimait bien les combinaisons tekhanes pour une simple raison : elles étaient très moulantes. La langue de Sarah s’enfonça à travers, heurtant son clitoris, et la femme se mit à sourire, relevant ses yeux vers la Tekhane.

« Naïvement, on pense que la torture ne fonctionne que par la douleur... Mais, crois-moi, Shiranui, le plaisir peut aussi être une forme de torture insoutenable. »

Elle recommença alors à la lécher pendant quelques secondes, et poursuivit :

« Implore-moi de te prendre ta virginité, et je m’arrêterais. »

En attendant, elle continua à lécher, ses mains filant sous le corps de la femme, se cramponnant à ses fesses... Et elle lécha, encore et encore.

Sarah avait tout son temps.
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 31 lundi 18 août 2014, 21:15:40

   Shiranui regarda la femme, se demandant si elle l'avait comprit. L'annexienne devrait voir quelqu'un d'autre, parce que Shiranui n'était pas prête de vouloir être enceinte. Elle ignorait le temps de gestation vue qu'elle ferait ça avec une race extra-terrane et elle voulait pas perdre son temps à s'occuper d'un enfant, ça ne l'intéresser pas et elle se sentait pas prêtre. Mais la pauvre ignorait le véritable sens du mot sexe et ce que voulait réellement l'annexienne. Cette dernière lui esquissa un sourire et posa un doigts sur sa bouche. Shiranui comprit que l'annexienne allait lui expliquer des choses ses amies fessaient pareil pour l’empêcher de parler, afin elle pouvait, mais c'était une manière de lui dire de ne plus parler et d'écouter.

« Ne dis rien d’idiot, ma belle... Tous les êtres humains aspirent à donner la vie, c’est quelque chose d’ancré dans notre patrimoine génétique. C’est pour ça que les rapports sexuels sont aussi bons. Préfères-tu semer la mort et la dévastation, sans rien donner en retour ? L’univers fonctionne ainsi... Tout ce que nous prenons, nous le rendons, et c’est de cette manière que l’équilibre est préservé. C’est ce que les Formiens font... C’est ce que ton peuple fait. Prendre. Construire. Améliorer. Perfectionner. »

   Shiranui lui lança un regard interloquait, elle ne voyait pas où elle voulait en venir, elle lui parlait de choses dont elle avait presque déjà entendue parler, mais ses mots à elle semblait cacher quelque chose et cela ne la rassurer pas. La femme retira son doigt et rapprocha à nouveau ses lèvres des siennes. Elle lui parla cette fois du but des formiens, mais elle s’adressait plutôt à la mauvaise personne, car Shiranui se demandait se qu'elle voulait à la fin : se reproduire ou préserver Terra ? Elle était vraiment indécis ! Puis elle lui parle de sociabilité... elle est très sociable ! Et puis comment insérer une personne dans le corps d'un autre personne ? Et que vient faire l'individualisme dans ses paroles ? T-elle était les pensées de Shiranui.

   Elle n'est pas une attardé, c'est une personne comme une autre, mais qui n'est pas une lumière quand on parle de chose compliquer ou qu'elle ne connaît pas ou qu'elle ne comprend pas, Shiranui parlera et pensera de manière différente que l'on voudrait. Dans ce cas là, elle ne comprenait pas où voulait en venir l'annexienne avec ses besoins de reproductions, ses envies de préservations et l'individualisme des humains. Pour faire plus simple elle comprend rien.

   L'annexienne l'embrassa à nouveau, mettant sa langue dans sa bouche et jouant avec la sienne, mettant fin à ses pensées. Shiranui sentit à nouveau la mains de l'annexienne sur son sein, le pétrissant, le malaxant, lui fessant pousser des gémissement, étouffer par le baiser. Ses gémissement n'était que du plaisir pur, mais elle avait toujours ce sentiments de sensations inconnue et étrange, lui fessant pousser des gémissement timide, un peu honteux. Le baiser dura une minute, ce qui fut le double pour Shiranui, un baiser doux et plein de passion, lui fessant pousser des gémissement d'aises, mellait à ceux de plaisir, provoquer par le massage de son sein par l'annexienne. Devait-elle encore la considère comme une ennemie ? Malgré tout ce qu'on lui avait dit sur elle et ce qu'elle avait fait ? Elle ignorait encore la réponse.

   Quand l'annexienne mit fin au baiser, Shiranui gémissait et soupirait encore d'aise et de plaisir, les joues rouge de plaisir. Elle regarda d'un œil interrogateur l'annexienne, qui s'éloignait de son visage pour aller vers son entrejambe, après avoir embrasser ses seins et son ventre. Elle poussa un petit crie de surprise et d'une légère peur, quand elle sentie la langue de l'annexienne passait sur son intimité, avant d'y pénétrer et de heurtait son clitoris. Shiranui poussa un autre crie, cette fois un peu plus fort et de plaisir, mais Shiranui était en émois : que fessait l'annexienne et qu'es qui lui avait provoquer une telle sensations de plaisir ? Elle ignorait que c'était son clitoris qui en était responsable et encore plus qu'il soit aussi sensible !

   L'annexienne la regarda et lui sourit, mais Shiranui lui lança un regard inquiet : première fois qu'elle voit quelque faire ça et qu'elle ressente une pareil sensation au niveau de son clitoris, elle savait ce qu'était un clitoris, du moins elle sait qu'elle en possède un, mais ne s'en ai jamais préoccuper.

« Naïvement, on pense que la torture ne fonctionne que par la douleur... Mais, crois-moi, Shiranui, le plaisir peut aussi être une forme de torture insoutenable. »

   Que voulait t-elle dire ? Shiranui voulait comprendre de quoi elle parlait. Elle eu un spam lorsque l'annexienne recommença, de plaisir ou de dégoût ? Elle ne savait pas, mais sa respiration se fit plus rapide, ses gémissement plus nombreux et que de plaisir, d'unn plaisir qu'elle ne comprenait pas.

« Implore-moi de te prendre ta virginité, et je m’arrêterais. »

   Sa virginité ? Shiranui en avait déjà entendue parler, mais ne savait plus trop à quoi cela correspondait. Toujours est-il que l'annexienne se remit à lécher son intimité. Cette fois Shiranui se mit à trembler par moment, après une longue minute. À chaque coup de langue, elle gémissait de plus belle, lâchant parfois un petit crie de plaisir sans que ne s'y attente. Le plaisir qu'elle ressentait, ne fessait que prendre de l'ampleur, manquant de la submerger, si son inquiétude n'était pas aussi fort.

   Inquiète, inquiète de se plaisir grandissant qu'elle éprouvait pour la première fois, inquiète du brasier qui naissait dans son intimité, ignorant si elle ressentait de la douleur ou du plaisir tant que cela était intense et inquiète de ce que lui fessait l'annexienne. Son visage se tordait sous le plaisir, elle rejeta sa tête en arrière lâchant un crie de plaisir. Les yeux hagard, la bouche entrouverte, respirant avec force et mal. Qu'es qui lui arrive? Pourquoi elle réagit comme ça ? Elle ne savait pas, elle voulait savoir. Elle voulait qu'elle arrête, mais elle ne trouvait pas les mots, ni la parole, ses gémissements et cries l'en empêchant. A force de tenter, elle parvint à articuler quelque mot.

-A....mmmh... arrêter.. haaaannn... s'il...s'il-vous-plaît...

   L'avait t-elle entendue ? Allait t-elle arrêter ? Malgré tout ce qu'elle ressentait, tout ce plaisir, elle voulait qu'elle arrête, c'était trop pour elle, elle n'arrivait pas à contrôler ce plaisir, ni à contrôler son corps, seule son esprit était encore lucide. Son souffle rapide, chaud et incontrôlé caresser sa poitrine, son regard fixait l'annexienne, espérant que celle-ci cesse sa torture comme elle avait dit. Son corps imposant, avait encore des spams de plaisirs et elle avait très chaud, son corps commençant à être en sueur.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 32 jeudi 21 août 2014, 02:46:34

La langue de Sarah ne cessait de remuer contre l’intimité de cette femme, trempant son uniforme, moulant le plus possible sa tenue. Ces Tekhanes avaient d’affreuses combinaisons. Elles étaient tellement sexy qu’il était impossible de se retenir de ne pas les violer sur place. La Reine des Lames avait envie d’elles, de toutes ces femmes. Elle les prenait absolument toutes, sans exception, en adaptant son comportement à la personne qu’elle avait en face d’elle. Shiranui baignait par son innocence et par sa naïveté. Ce plaisir-là lui était inconnu, et Sarah comprit alors qu’elle n’avait jamais du se masturber, ni même imaginer que le sexe puisse être aussi agréable, aussi intense, et aussi ardent. Elle n’avait du voir ça que comme une sorte de câlin, et, comme toute jeune fille, en était légèrement dégoûtée, voyant dans le rapport sexuel l’expression d’une violence primaire et sanglante. Sarah allait l’aider à grandir, elle allait l’aider à devenir une femme, à accepter tout ce que sa part de féminité impliquait. Elle se tortillait sur la table organique, ses poignets entravés par des tentacules, suppliant Sarah d’arrêter ça.

Un sourire malicieux glissa sur les délicieuses lèvres de la violette Reine des Lames, qui releva lentement la tête, posant ses mains sur ses hanches. Télépathe, elle percevait l’incompréhension de Shiranui. Même le concept d’« innocence sexuelle » lui était inconnue. S’humectant les lèvres, la Reine des Lames esquissa un léger sourire.

« M’arrêter ? Ma chère, je ne fais que te lécher... »

L’Annexienne se pencha à nouveau vers son visage, amenant l’une de ses mains pour caresser son visage, glissant le long de sa joue. Son autre main, elle, resta à hauteur des cuisses de la femme, et la femme glissa un doigt en elle, l’enfonçant contre sa combinaison, devenue tellement molle que son doigt pénétra sans peine la femme. Elle continua à pousser un peu, tendant la combinaison au maximum, son doigt remuant en elle, sentant toute cette mouille en train d’accroître, heurtant son clitoris, le frottant à travers la tenue de la femme.

Pendant ce temps, Sarah se mettait à nouveau à parler :

« Il ne faut pas avoir peur de ce que tu ressens, Shiranui... C’est le plus grand des plaisirs qu’un être vivant puisse s’accorder. Celui du sexe...  C’est ta première fois avec moi, Shiranui, et c’est normal que tu aies peur. On a toujours peur la première fois, mais je peux te garantir que tu n’en ressentiras que du plaisir. »

Elle retourna l’embrasser, à nouveau, pendant une bonne minute, son doigt continuant à jouer en elle, à la pénétrer, à sortir, puis à revenir en elle, pour ressortir ensuite. Sarah répéta ce manège pendant un petit moment, avant de finalement se redresser, et coupa la tenue de Shiranui, dessinant une ouverture à hauteur de son intimité. Elle nota que Shiranui s’était épilée... Sans doute un réflexe tekhan, qui permettait ainsi de ne pas voir de poils pubiens ressortir de sa combinaison serrée. Elle avait de plus en plus de mal à croire que cette femme, avec une telle tenue, et d’aussi grandes formes, puisse être aussi ignare de ce genre de choses. C’était presque un défi à la logique et au bon sens !

Sarah sentit sa verge l’élancer, encore et encore. Son appétit sexuel était presque infini, aussi grand que si elle était une succube. Ses mains serraient les épaules de la femme, leurs seins se frôlaient. Les doigts de l’une de ses mains dégoulinait de cyprine, et elle les amena contre la bouche de Shiranui, les enfonçant entre ses lèvres.

« Goûte donc, Shiranui... Sens à quel point tu es bonne. »

Elle remua un peu ses doigts pendant quelques secondes, puis les retira, caressa à nouveau la joue de la femme, reposa sa main sur son épaule... Et la pénétra sèchement. Son intimité étant bien mouillée, Sarah ne pouvait décemment plus attendre, sentant contre sa verge le jus intime de Shiranui, formant comme un irrésistible appel à la débauche sexuelle et à la dépravation. Elle la pénétra donc, s’enfonçant en elle d’un bloc, et poussa un soupir en brisant son hymen, ses ongles s’enfonçant dans sa peau généreuse.

Oh, si c’était bon !! Elle remua son corps d’avant en arrière, sa verge glissant en elle, pénétrant lourdement Shiranui en écrabouillant son clitoris. La Reine se mit à soupirer et à gémir. Parfois, un acte valait mille discours, et c’est précisément ce que Sarah était en train de faire. Shiranui était prête.

Pourquoi attendre plus longtemps ?
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 33 samedi 23 août 2014, 22:23:53

   Shiranui la regarda l'annexienne levait la tête et qui lui esquissa un léger sourire. Elle espérait qu'elle accepte d’arrêter, elle n'en pouvait plus.

« M’arrêter ? Ma chère, je ne fais que te lécher... »

   Shiranui ne trouva rien à dire, méduser. Elle lui avait dit ça d'une manière qu'elle trouvait un peu surprise, comme si cela était normale de lécher son intimité. Pour Shiranui, cela était déviant et sale, mais pour les autres cela était une pratique normale dans le sexe. Elle la regarda revenir vers son visage, tout en amenant sa mains caresser son visage. Shiranui frémit, elle venait d’arrêter, mais elle sentie un autre contacte sur son intimité, elle devina que c'était l'autre main de l'annexienne. Et quand l'un des doigts de l'annexienne forçat sa combinaison, pénétra son intimité et cogna son clitoris, Shiranui étouffa un crie de plaisir et de surprise.

   S'en suivit des gémissement, quand le doigt remplaça ce que fessait la langue. Shiranui le sentait remuer dans son intimité, frottant son clitoris, lui arrachant parfois de léger cries. Son corps trembla une nouvelle fois, ses joues déjà rouge, gagnèrent en intensité. Sa bouche était entrouverte, son souffle intense et ses yeux remplit de confusion et de plaisir.

« Il ne faut pas avoir peur de ce que tu ressens, Shiranui... C’est le plus grand des plaisirs qu’un être vivant puisse s’accorder. Celui du sexe...  C’est ta première fois avec moi, Shiranui, et c’est normal que tu aies peur. On a toujours peur la première fois, mais je peux te garantir que tu n’en ressentiras que du plaisir. »

   Shiranui leva les yeux vers son visage, elle avait l'air sincère et encore une fois elle ne trouva rien à dire. L'annexienne revint l'embrasser, sans cesser d'enfoncer et de retirer son doigt de l'intimité de Shiranui, dont les gémissement était étouffer par le baiser et ses yeux témoignaient d'un profond plaisir honteux. Son corps tremblait légèrement, son esprit commencer à légèrement s'embrumer. L'annexienne mit fin au baiser au bout d'un long moment, cessant par la même occasion de remuer son doigt dans l'intimité de Shiranui, avant de couper sa combinaison au niveau de l'intimité.

   Shiranui sentie sa combinaison être coupé, elle sentie l'air frai caresser son intimité, d'ailleurs elle sentie à se moment un liquide coulait de son intimité. Bien qu'il s'agisse de sa mouille, elle crue qu'elle s'était pisser dessus, mais elle comprit rapidement qu'il s'agit d'autre chose dont elle ignorait l'origine. Elle vit l'annexienne se repencher sur elle, mettant ses mains sur ses épaules et sentit leur seins se caressaient légèrement. Sans comprendre le geste de l'annexienne, Shiranui la vit enfonçait quelque doigts entres ses lèvres entrouverte, se posant sur sa langue et elle ne comprit pas plus le sens de la parole que prononça l'annexienne.

   Tous ce qu'elle comprenait est que l'annexienne lui fessait goûter une chose qu'elle trouvait... dégouttant. Elle n'arrivait pas à deviner le goût, ni rien d'autre. Elle voulait juste qu'elle retire ses doigts, elle sentie les doigts remuer dans sa bouche, commençant à être écœurer. Finalement elle retira ses doigts, mais elle avait encore le goût dans la bouche. Elle évita le regard de l'ennexienne, tentant d'enlever se goût dans sa bouche. Mais le temps qu'elle fasse ça, l'annexienne la pénétra d'un coup.

      Shiranui fit les gros yeux et cria. C'était un crie de douleur, la pénétration fut sans douceur, et quand bien même son vagin était lubrifier par sa mouille, il n'était pas aussi bien dilater pour accepter le sexe imposant de l'annexienne. Elle sera les dents, respira avec force et elle pleura légèrement de douleur. La pénétration était rapide, puissante et était la représentation de l'ardeur et de l'envie de l'annexienne. Shiranui subissait la même chose que ses amies, elle n'avait jamais que serait douloureux, et qu'une fois la douleur passer a bout d'un long moment, elle ressentait les mêmes sensations étrangères du débuts, en plus intense.

   Son corps tremblait sous les coup, sa poitrine était ballotter d'avant en arrière, ses yeux exprimer autant la douleur que le plaisir et sa respiration devint beaucoup plus intense que les autres fois. Ses gémissement étaient plus court, plus intense, plus fort. Tout comme ses cries, qui était tout aussi court et intense. Elle découvrait ce qu'était vraiment le sexe, elle en découvrait son véritable sens et elle le vivait dans sa meilleurs représentation.

   Mais une n'était pas de le même état, une qui entendait les doux murmures de la rage et de la colère et celle plus sombre du reproche. Jeanne n'arrivait pas à se résigner qu'elle ne pouvait rien faire, ses liens s'étaient renforcé et multiplier. Elle ferait payer cette annexienne, Shiranui méritait mieux, une vrai personne et pas une saloperie de formiens. Cette annexienne regrettera d'avoir violer Shiranui.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 34 mardi 26 août 2014, 01:29:21

La douleur explosa dans le corps de Shiranui quand Sarah la pénétra... Ce qui était prévisible. Elle ne s’attendait pas à une telle charge, et Sarah, pour être honnête, n’arrivait tout simplement plus à se retenir. Le besoin de son corps en matière de sexe était tout simplement trop fort, trop intense pour qu’elle puisse encore la former. Et puis, Shiranui était sa prisonnière, après tout. Sarah ne pouvait pas non plus la laisser mariner trop longtemps, et, comme elle le pensait elle-même, en matière sexuelle, le mieux était la pratique. Toute la théorie du monde ne servait à rien si on n’expérimentait pas par soi-même ces sensations. Sa verge s’enfonça donc dans le corps de la femme, dans son intimité lubrifiée, et, comme elle s’y attendait, le plaisir ne tarda pas à venir. Les tentacules retenaient toujours les poignets de la pauvre Tekhane, et Sarah retourna l’embrasser, tirant sur sa lèvre inférieure, la mordillant, ses mains venant pétrir les seins de la femme, pinçant ses tétons. Ses pattes arachnéennes, une fois n’est pas coutume, servirent à Sarah de soutien pour lui permettre de remuer son corps d’avant en arrière, sa longue verge s’enfonçant en elle, défonçant le corps de Shiranui, remontant de haut en bas sans la ménager.

Shiranui aimait ça, Sarah le sentait dans son esprit, ainsi que dans la manière dont son corps réagissait à ses pénétrations. La Reine des Lames remuait d’avant en arrière, donnant de grands coups de reins, optant pour un coït de plus en plus brutal, sentant autour d’elles les regards des autres Tekhanes... Notamment le regard haineux de Jeanne. Elle avait probablement du voir Shiranui comme sa petite sœur, sa protégée... Et elle devait voir ça comme un viol, même si Shiranui était maintenant pleinement consentante. Son innocence se retournait contre elle. Elle était totalement désarmée face aux sensations qui envahissaient totalement son corps, la remplissant et la maîtrisant, sans qu’elle ne puisse rien pouvoir véritablement y faire. Shiranui avait juste à se laisser aller.

« Hooo, ma belle, tu es... Si étroite, tellement... Haaaannn... »

Elle avait brisé son hymen, et le sang intime de Shiranui disparaissait sous sa mouille, parfaite allégorie du plaisir intense qu’elle était en train de ressentir. Les tentacules immobilisant ses poignets se retirèrent, car il n’y avait plus vraiment besoin de retenir cette femme, maintenant.

« Tu... Tu peux m’enlacer, hum... Caresser mes fesses... Me frotter le cul, haaann... Laisse parler... Ce désir refoulé en toi qui ne demande qu’à s’exprimer... »

Ses coups de reins étaient de plus en plus forts, défonçant l’intimité de cette femme, arrondissant ses parois intimes. Personne ne l’avait encore jamais pénétré, et sa fleur intime était donc étroite, peu habituée à un tel coït. Sarah devait forcer, redoublant d’ardeur, et, loin de la réfréner, cette situation ne faisait que l’exciter davantage. La Reine des Lames la prenait donc, mais ne comptait pas jouir avant elle. Leurs seins se heurtaient, et elle retourna embrasser Shiranui, optant pour un long et intense baiser... Car sa langue se mit à grossir, et s’enfonça dans la bouche de la femme, s’enroulant autour de la propre langue de Shiranui, la pressant avant de la relâcher, le baiser se poursuivant ensuite entre les deux femmes. Sarah lui roulait une pelle magnifique, et, pendant un bref instant, son corps cessa de remuer, sa verge s’enfonçant le plus loin possible... Puis sa queue retourna à l’assaut, d’avant en arrière, continuant à la prendre.

« Jouis, ma chérie... Ton premier orgasme, ta première fois... Déverse-toi ici, allez !! »

Son vit commençait à lui faire de plus en plus mal, sous l’effet du plaisir.
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 35 jeudi 28 août 2014, 23:01:09

   Du plaisir intense et sauvage. Un plaisir qui c'était emparé de son corps sans qu'elle n'est rien pus faire, sans qu'elle sache comment y résister et sans même en connaître l’existence. Ce plaisir dominait Shiranui, dont le corps en était devenue l'esclave. L'esclave de son propre plaisir qu'elle n'arrivait pas à contrôler, ni à en échapper. Son corps était soumit à ce plaisir, soumit à l'annexienne et son esprit peinait à rester stable. Première fois que son esprit fessait face à ce sentiment, plus intense que la colère qu'il avait sut domptée durant son enfance, plus profond que la tristesse qu'il avait endurer durant cette même enfance, mais pas plus fort que son amitié avec Jeanne qui l'a apaiser durant cette enfance.

   Shiranui était totalement vaincue, laissant son corps à la merci de ces sensations, mais elle essaya de garder son esprit lucide, fasse à ce plaisir qui prenait place. Elle haletait de plaisir, elle gémissait de plaisir et elle criait de plaisir. Ses yeux, témoignant autant le plaisir que son esprit perdue, regardaient un point inconnue, sa bouche entrouverte laissait passer un souffle ardent et rapide, ses lèvres étaient perlé de bave, coulant de sa bouche, serrant parfois les dents au coup les plus forts. L'annexienne ne la ménageaient pas, s'enfonçant rapidement et avec force. Que pouvait elle faire ? Shiranui ne voulait pas s'avouer vaincue, mais elle n'avait plus la force de le faire et sa volonté était devenue trop faible. Elle voulait montrer son envie de résister, mais elle ne pouvais qu'afficher un visage remplit de gêne et de honte. Et chaque minutes qui passaient, son visage exprimait le plaisir qu'elle ressentait, mais un plaisir un peu coupable.

   Elle subissait les coups de reins de l'annexienne, fessant trembler son corps, lui provoquant  du plaisir et des spams de plaisir et ces coups devenaient plus fort et rapide avec le temps. Ses parois vaginales ne s'étaient pas encore adapté à la présence massive de la verge, chose que lui fit remarqué l'annexienne en parlant de son étroitesse. Mais assez pour lui éviter des élans de douleur.

   Shiranui sentie que ses poignets étaient libéré d'une pression, preuve que ses liens était partie , mais ceux de ses chevilles étaient toujours là. Elle ne pouvait pas fuir, mais ses bras était libre de leur mouvement. Mais elle ne fit rien, elle ne savait plus quoi faire et n'y quoi penser. L'annexienne lui donna des indications sur ce qu'elle pouvait faire. Durant les quelque secondes où Shiranui se décida à attraper l'annexienne par la taille, les bras tremblant en peu, les coups de reins de l'annexienne gagnèrent en force et le plaisir devint plus intense.

   Shiranui se crispa fasse au pénétration plus forte, resserrant ses bras autour de l'annexienne. Les coups heurtèrent son cols de l'utérus, lui arrachant plus de cries que de gémissement. Pour Shiranui, l'annexienne semblait vouloir redoubler d'ardeur, lui provoquant d'avantage de plaisir. D'ailleurs elle ressentit quelque chose en elle, une chose qui semblait prendre de l’ampleur, elle se rapprocher de l'orgasme, son tout première orgasme, le premier d'unu longue séries que lui provoquera l'annexienne.

   Tandis que ses seins heurtaient ceux de l'annexienne, ses tétons se frottant à ceux de l'annexienne, lui arrachant d'autre gémissement et crie de plaisir, l'annexienne l'embrassa une nouvelle fois. Shiranui sentie la langue de l'annexienne qui se frottait contre la sienne, elle y répondit timidement. Elle poussa un gémissement de surprise, quand la langue de l'annexienne prit de l'ampleur dans sa bouche, avant de s'enrouler autour de la sienne. C'était une expérience très bizarre pour Shiranui, de sentir sa langue se faire enrouler par une autre plus longue que la sienne.

   L'annexienne mit fin au baisser, libérant sa langue et ses lèvres.

« Jouis, ma chérie... Ton premier orgasme, ta première fois... Déverse-toi ici, allez !! »

   Shiranui connaissait le verbe jouir, mais pas la référence sexuelle, ce qui fait qu'elle ne comprit pas où voulez en venir l'annexienne. Mais elle n'avait guère la force de parler et de trouver ses mots. Cette sensation, qui était l'orgasme, prenait plus d'ampleur, accélérant sa respiration. Shiranui crut que cela était le plaisir qui prenait une forme et qui finirait par engloutir son esprit. D'une certaine manière elle n'avait pas tort. L'orgasme vint au bout d'une dizaine de seconde, noyant son intimité et la verge de l'annexienne, avant de s'échapper lentement de ses lèvres intime. En même temps, Shiranui poussa un râle d'un plaisir intense et profond, atteignant l'extase, tout en se plaquant contre l'annexienne.

   Shiranui avait ressentit un pic intense de satisfaction et de plaisir, une chose qu'elle n'avait jamais ressentit jusqu'à maintenant, une chose qui fut la plus savoureuse de sa vie. Elle fut plonger dans une extase profonde. Son esprit était loin, perdue dans une terre lointaine. Il lui fallut un longue minute pour savourer se moment, avant de revenir à la réalité. Son corps était en ébullition, son intimité en feu, entant ce qui sa cyprine coulait hors d'elle.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 36 dimanche 31 août 2014, 01:51:15

Elle ne pouvait plus lutter. Elle était faite, à la merci de Sarah, son innocence retournée contre elle. Ce « viol » n’avait plus rien de forcé, Shiranui étant comme anéantie par le plaisir. Elle était comme un message sans équivoque pour tous les autres membres de cette escouade infernale : une future maîtresse au service de la Reine des Lames. Sarah comptait lui faire longuement l’amour, sans relâche, elle comptait la défoncer sauvagement, elle, ainsi que toutes les autres, les faire plonger dans un monde uniquement dominé et rythmé par le plaisir sexuel... Quelque chose de simple, d’enfantin, d’efficace, de facile à comprendre. Le sexe n’était pas bien compliqué, et était la preuve vivante que la Nature était bien faite.

Shiranui venait de jouir, et, pour un premier orgasme, il était très prometteur. Elle avait tellement éjaculé que Sarah avait également balancé sa crème, se déversant en elle en jouissant généreusement, balançant de longs chapelets de foutre chaud qui filèrent dans son corps, l’engrossant à coup sûr. La Reine des Lames s’étala ensuite contre ce corps gros et doux, frottant son visage dans le creux de la nuque de la femme, appréciant sa chaleur, savourant les rondeurs et les formes douces et généreuses de son corps. La Reine en frissonnait, sa verge toujours plantée en elle, et embrassa tendrement Shiranui sur les lèvres.

« Tu étais magnifique, ma belle... Quelle magnifique performance. »

Elle l’embrassa à nouveau, et retira sa verge de son corps en soupirant, ce qui eut pour effet de libérer une tonne de mouille. Sa cyprine glissait entre les jambes de Shiranui, s’égouttant aussi de la verge de la Reine, qui se redressa lentement, son sexe violet venant frotter contre le corps de la femme. Shiranui n’était plus vierge... Et elle avait même un cadeau, en prime.

« Tu es enceinte, Shiranui... D’ici quelques temps, ton corps va produire une larve qui viendra enrichir notre grande famille. »

La période de gestation des Formiens était nettement plus rapide que celle des humains. Leur incubation n’était pas celle d’une race appelée à conquérir l’univers et les galaxies. Elle était trop lente. Certes, elle permettait de produire des créatures d’une grande beauté, mais elle n’était pas rentable, du point de vue de la quantité. Or, si on voulait conquérir l’univers, il fallait être nombreux. Elles formaient en tout cas de très bonnes pondeuses, ce qui expliquait pourquoi Sarah les choyait.

Des tentacules se rapprochaient lentement, afin de saisir Shiranui par les bras et par les jambes. Sarah lui sourit alors, caressant ses lèvres.

« Il est temps de parfaire ton éducation Shiranui. Ne t’inquiète pas, nous nous reverrons. »

Quand bien même aurait-elle protesté que ça n’aurait eu aucune utilité ; les tentacules la soulevèrent. Ils étaient plus nombreux que pour les autres femmes, vu la corpulence de leur pensionnaire, mais parvinrent malgré tout à la soulever, la tractant le long de la paroi, pour l’envoyer dans le même conduit que les autres, l’amenant dans la tanière du Monstre.

Sarah, de son côté, se releva lentement, une main sur la hanche, un sourire moqueur sur le coin des lèvres. Son assemblée commençait à se réduire, mais il restait encore bien du monde... Et sa soif semblait toujours être aussi inépuisable.

« Alors, alors... Qui veut coucher avec moi, maintenant ? »

Pour le coup, elle admettait volontiers d’être comparée à une grosse nymphomane perverse... Car c’était exactement le cas !
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 37 lundi 01 septembre 2014, 17:36:41

   Shiranui ressentait encore des sensations de plaisir, un plaisir qui continuer à la faire soupirait d'aise, un plaisir qui disparaissaient lentement, laissant place petit à petit à la fatigue et l’épuisement. Elle se rendit compte seulement après à quelle point elle avait chaud, qu'elle était pleine de sueur et que le... sexe était intense et éprouvant. Elle avait l'impression d'avoir fait du sport durant toute une journée ! Elle avait encore ses mains autour de la taille de l'annexienne, elle reprenait son souffle, ses joue était encore rouge et son cœur avait encore un rythme rapide, son esprit redevenant lucide. Son premier orgasme lui a fait ressentir des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginer. C'était plus intense que quand elle devint amie avec Jeanne. C'était le deuxième événement qui l'avait rendue dans un état qu'elle ne connaissait pas.

   L'annexienne avait arrêter de donner des coups de bassin et s’étala sur Shiranui, qui regardait toujours un point inexistant, dont les yeux étaient toujours rempli de l'extase qu'elle avait ressentit lors de son orgasme. Elle fut tiré de sa transe quand l'annexienne se frotta à elle, caressant son corps, profitant de ses courbes. Shiranui se rendit compte que l'annexienne avait toujours son... machin en elle et ce fut à ce moment là que l'annexienne l'embrassa une nouvelle fois, collant ses lèvres contre les siennes.

« Tu étais magnifique, ma belle... Quelle magnifique performance. »
-Euh...merci. Bredouilla faiblement Shiranui, ne sachant pas trop comment prendre la remarque.

   L'annexienne l'embrassa à nouveau, ce qui ne fut plus une Surprise pour Shiranui, après le nombre de fois où elle la embrassait. L'annexienne retira son sexe, ce qui ne déplut pas à Shiranui, qui était un peu soulager. Elle sentit qu'elle que chose couler de son intimité, ce qui lui d'étrange impression. Mais quand l'annexienne lui annonça qu'elle était désormais enceinte, Shiranui fut surprise et en même temps choquer !

-Mais... j'avais dit que je ne voulais pas être enceinte ! Dit elle, la voix remplit de mécontentement.

   Ses yeux n'exprimaient plus le plaisir, mais la contrariété ! Même si l'annexienne lui à montrer ce qu'est en réalité le sexe, Shiranui se souvint qu'elle lui avait dit que le sexe était une forme de reproduction. Pour Shiranui, l'annexienne semblait l'avoir oublier ou bien parce que elle une prisonnière et qu'elle na pas le choix. Dans tout les cas, cela n’empêcha pas que des tentacule l'attrapèrent par les bras et par les jambes, une fois que les liens la retenant à la table organique s'enlevèrent.

« Il est temps de parfaire ton éducation Shiranui. Ne t’inquiète pas, nous nous reverrons. »
-Mon éducation ? Quelle éducation ?

   D'autre tentacules vinrent l'attraper et la soulevèrent dans les airs, avant de l’amener dans le même conduit où ses amies avaient disparue. Elle oublia ses questions, essayant de se libérer de l'entrave tentaculaire, mais fut au final jeter dans le conduit rejoignant l'antre du monstre et ses amies.

   Jeanne regarda son amie partir. Quand elle avait entendue l'annexienne dire que Shiranui était enceinte, son envie de vengeance vira brusquement en une rage meurtrier, rage qui atteint son paroxysme quand elle la regarda disparaître dans le conduit. Les tentacules la retenant étaient tendue, Jeanne, quitte à s'étouffer pour de bon, forçait sur ses liens de toute ses forces, mais cela ne servait à rien. Ses bras et ses jambes avait complètement disparue dans le creep, des tentacules la retenait par les épaule, la taille et la poitrine, impossible pour elle de bouger.

   Quand l'annexienne se remit face à elles et qu'elle demanda qu'elle serait la suivante, certaine avait de grande envie de lui faire passer l'envie de recommencer, mais la majorité avait perdue leur combativité, surtout une qui c'était complètement résigner : Juliette. Elle savait qu'elles n'avaient aucune chance, quand bien même même si Jeanne, Tirch ou Mistrial sont forte, elles n'ont pas une seule chance de réussite, elles sont condamnées.

   Juliette n'a jamais était une fille pessimiste, seulement réaliste. L'idée de ne plus revoir ses mères avaient été une raison pour qu'elle n’abandonne pas l'espoir de se libérer, mais au furent et à mesure qu'elle voyait ses camarades se faire violé, puis envoyer vers le monstre sans rien pourvoir faire, ont finit par détruire cette espoir et envie de liberté. Les autres tenteront sûrement quelque chose, pour accomplir un dernier geste pour leur liberté.

*Je me dévoue* Pensa t-elle, d'une voix qu'elle voulait neutre.

   Elle voulait en finir vite, ses camarades la comprendrons sûrement. Les liens la retenant s'enlevèrent et des tentacules vinrent l'attraper par les bras et elle se laissa guidée par les deux tentacules vers la tables organique, sous les yeux effaraient de ses camarades qui ne savaient plus quoi penser.. Elle s’installa sur la table et attendit l'annexienne.
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   Quand Shiranui fut lâcher dans le conduit, elle eu de désagréable sensations en se frottant contre la texture organique du toboggan. Elle glissa sur plusieurs mètres, cherchant à ralentir avec ses mains, mais c'était peine perdue. Une fois arriver au bout, elle sortie du conduit en se réceptionnant sur les fesses. Elle se releva en massant son fessier endolorie par la chute.

   Quand elle leva les yeux, un haut de cœur la saisit, passant à deux doigts de vomir. Devant elle se dressait une montagne de tentacules ! Cette agglomération de tentacules produisaient un son horrible et dégouttant aux oreilles de Shiranui. Des tentacules jaillirent de la masses, l'attrapant pare les membres, avant de la soulever et de la plonger au cœur de la masse, là où les autres étaient en train de se faire pénétrer de toute part.

   Shiranui se débattit et cria son refus. Mais quand une tentacule plus épaisse que la verge de l'annexienne pénétra son intimité heurtant son col de l'utérus avec force, avant de commencer de violent allés-retours, que d'autre filèrent sous sa combinaison, se faufilant partout répandant une substances gluante et qu'une tentacule s'occupa de son fondement, elle comprit qu'elle allait subir sans doute quelque chose de plus dure que le sexe.

   Ses seins furent comprimés, malaxer par deux tentacules qui s'enroulèrent autours, dont les têtes emprisonnaient ses tétons dans une multitude de petites langues. Une tentacule se pressa contre ses lèvres, voulant entrer et une tentacule finit par percé sa combinaison et de la pénétrer son fondement une fois celui-ci bien lubrifier. Ça première sodomie lui arracha autant un crie de stupeur que de crainte, la tentacule commença une profonde pénétration, avant de commencer des vas et viens à grande vitesse et à avec beaucoup de force. La tentacules près de ses lèvres s'y enfonça quand Shiranui ne put retenir son crie, allant profondément dans sa gorge, lui arrachant un haut de cœur, puis il commença comme les autres de puissant et rapide vas et viens.

   L'angoisse de Shiranui se transforma en panique, panique qui prit de l'ampleur, lui arrachant des larmes qui coulèrent à flot. Elle chercha à se libérer, gigotant comme elle pouvait. Elle s’épuisa au bout d'un moment et inutilement, elle sentait toutes les tentacules sur son corps, recouvrant chaque parcelle de sa peau, la tentacule dans sa gorge, lui offrant sa première félation avait choisit une intense gorge profonde tout en remuant voracement. Celle dans son intimité heurter avec force et rage son col de l'utérus, menaçant à chaque fois de le traverser. La dernière, celle qui pénétrait sont fondement, remuer ses entrailles, défoncer son rectum et martyriser ses parois rectales.

   Sa panique se transforma en détresse, détresse qui devint de la peur et la peur évolua en terreur. Terroriser, Shiranui s'agitait avec l’énergie du désespoir le plus profond. Et encore, elle ne fessait pas attention à son environnement, elle ne voyait pas ses amies qui était devenue que de vulgaire sex-toy humains pour ces tentacules. Mixim dont l'esprit était à la limite d'être briser, Rinko dont l'esprit n'était pas mieux que celui de Mixim, prêt à craquer, les deux se donnant corps et âmes à la luxure. Seule Miyo et Jade avaient l'esprit encore intacte, esprits qui cherchaient à reprendre le contrôle de se corps qui n’obéissaient plus qu'a l'aphrodisiaque qui leur était injecter.

   Ce fut quand Shiranui perdit finalement l'espoir de se libérer qu'elle les vit, ses amies, ou plutôt ce qu'étaient devenue ses amies. Ce fut un choc, un gros choc, assez pour que sa terreur devienne plus intense. La tentacule l’empêchait de crier, mais elle poussa un gémissement entre la terreur et l'agonie.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 38 mercredi 03 septembre 2014, 01:58:34

SARAH KERRIGAN

Après Shiranui, il y eut rapidement une volontaire. Mis à part Jeanne, qui bouillonnait sur place, la plupart des autres femmes de l’escadron semblaient comme abattues. Elles n’avaient aucun espoir de sortie, et le comprenaient petit à petit. Toutes y passeraient, et Sarah se promettait d’être suffisamment endurante pour pouvoir toutes les pénétrer. Elles n’en laisseraient sortir aucune. Juliette se dévoua alors, et les tentacules l’apportèrent. C’était une belle poulette, avec une longue chevelure brune, et une veste militaire noire recouvrant une armure moulante jaune et noire, mettant en valeur sa généreuse poitrine. Elle se retrouva sur la table organique, là où ses autres consœurs étaient déjà passées à la casserole, attendant sa tortionnaire de manière atavique, sans chercher à se rebeller, à la tempérer, ou à la menacer. Juliette semblait juste pressée d’en finir, et Sarah la rejoignit rapidement, faisant à nouveau pointer sa verge violette.

« Vos combinaisons sont un vrai appel au viol... Comment une femme comme moi est-elle censée se retenir quand elle voit de si jolis lots ? On me demande l’impossible... »

Si ces femmes étaient laides et mal habillées, Sarah ne se serait peut-être pas amusée à vouloir toutes leur faire l’amour. En un sens, elles étaient aussi coupables qu’elle dans ce qui leur arrivait, si tant est que Sarah puisse se sentir coupable de leur faire l’amour. Le viol était une notion typiquement humaine, que les Formiens ne reconnaissaient pas. Comment pouvait-on faire un viol ? N’y avait-il rien de plus naturel qu’une relation sexuelle ? N’était-ce pas là l’expression même, insouciante et pleine d’énergie, de la vie elle-même ? Non, le viol n’existait pas pour Kerrigan, et elle se rapprocha de la femme, venant caresser l’une de ses joues, avant de descendre pour pincer l’un de ses seins à travers sa combinaison. Elle s’attaqua à sa généreuse poitrine, avant de se mettre à califourchon sur elle, dominant le corps de Juliette par toute sa stature, son corps violet se dressant au-dessus du sien.

Juliette se tortillait sous elle, et l’autre main de la Reine des Lames s’attaqua à son autre sein. Chez Shiranui, qui avait des mamelons énormes, ça avait plutôt bien marché, et Sarah s’amusa à les pétrir et à les malaxer pendant de longues secondes, sans rien dire. Les tétons ressortaient de cette combinaison noire, et les tentacules immobilisaient encore les poignets de Juliette.

« Tu as vraiment une belle poitrine, Juliette... Et, puisque tu n’as pas envie de parler, il faut bien que ta bouche serve encore à quelque chose. »

Un tentacule jaillit du mur, en forme de verge, et Sarah pinça alors le nez de Juliette, contraignant son organisme à devoir ouvrir les lèvres pour obtenir un peu d’oxygène. Le tentacule en profita pour s’enfoncer en elle, et fut rapidement rejoint par un second, qui s’enfonça alternativement dans les lèvres de Juliette, venant ainsi lui baiser sa belle petite gueule, les deux tentacules remuant nerveusement et intensivement dans sa bouche.

« Voilà... Savoure, ma petite Juliette, je vais m’occuper de ta bouche du bas. »

Sarah se pencha, et se glissa entre les jambes de la femme, commençant à lécher son intimité, à travers cette combinaison moulante. Les deux tentacules qui lui baisaient la bouche, de leur côté, libéraient régulièrement une sorte de liquide aphrodisiaque destinée à impatienter Juliette, et à l’exciter. Sarah, elle, attendait qu’elle se mette à mouiller avant de passer à la suite.



LE MONSTRE

Quand une cinquième femme vint el rejoindre, le Monstre s’occupe d’elle sans se poser de questions, lui appliquant la même procédure. Des tentacules jaillirent de la masse, et saisirent la femme, avant de l’envoyer dans une forêt de tentacules gluants, énormes et petits. Il y en avait partout, car la cyprine des quatre femmes en train d’être pénétrées répétitivement par le Monstre le nourrissaient, durcissant ses tentacules et les multipliant. Mixim était un choix merveilleux, et son corps était à peine reconnaissable, dispararaissant sous une montagne de tentacules s’agglutinant autour d’elle. Le spectacle était surréaliste, semblant aussi grotesque qu’effrayant. Parfois, quelques doigts dépassaient de cette masse, et, pourtant, elle avait encore la majorité de ses vêtements. Le Monstre ne les déchirait que quand les vêtements le gênaient à atteindre les parties intimes de ses amantes. Les trois autres invitées, Rinko, Jade, et Miyo étaient droguées aux aphrodisiaques. Rinko et Miyo continuaient à se faire l’amour, tandis que Jade était ponctionnée de partout, au-dessus des deux femmes, dans une drôle de configuration, les filaments de mouille que le Monstre n’avalait pas tombant sur les têtes des deux femmes. Le Monstre contrôlait tout, chacun de ses tentacules étant une terminaison nerveuse de son propre corps. Impossible de s’échapper sans son aval ou son consentement, et, en l’état, seule la Reine des Lames pourrait le stopper.

Il sentit chez Shiranui une sorte de résistance quand il la pénétra, enfonçant ses tentacules dans sa bouche, ses fesses et son vagin. Un autre s’approcha, en forme de seringue, et se planta dans la nuque de la femme, déversant un aphrodisiaque intense. Les tentacules redoublèrent d’intensité, jouissant régulièrement. Jade en avait déjà fait les frais, car on avait le sentiment qu’elle était enceinte. Trois tentacules pénétraient régulièrement son vagin, l’un se retirant pour être remplacé par un autre, chacun des trois lui offrant ainsi une jouissance continuelle. Si le regard de Shiranui se tournait vers Mixim, quand les tentacules se retiraient, elle pourrait voir un corps intégralement maculé de sperme, une vingtaine de tentacules jouissant en et sur elle, maintenant le sperme sur son corps. Un monstrueux bukkake, qui n’était pas pire que ce qui se passait entre Rinko et Miyo. Elles étaient au milieu de tentacules, s’appuyant dessus, et le sperme était en train de remplir leur bassin improvisé, leur arrivant à hauteur de l’estomac. Leurs trous étaient toujours remplis, mais elles pouvaient s’embrasser entre elles, remuer leurs bras, et s’embrasser.

En d’autres termes, le Monstre contrôlait intégralement la situation, et comptait encore continuer à se faire plaisir.
« Modifié: jeudi 18 décembre 2014, 11:17:34 par Sarah Kerrigan »
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 39 samedi 06 septembre 2014, 13:21:13

   Juliette attendait son sort, après avoir perdue son envie de combattre, sa haine, sa peur, l'espoir et l'envie de liberté. Elle s'était donner d'elle même, sans que l'ont n'ait besoin de la forcer ou autre, sacrifiant d'elle même sa fierté au profit de cette annexienne qui décidait de leur vie. D'ailleurs, une partie d'entre elles avaient du mal à admettre que l'annexienne avait tout pouvoir sur leurs destins, leurs avenirs et leurs vie, les effrayants plus qu'autres choses. Le refus de cette situation était pour certaine, une raison de ne pas se laisser faire.

   La tentacule empêchant Juliette de parler se retira, mais elle ne dit rien soupirant juste. Elle regarda l'annexienne qui se mit à ses côtés, sa verge pointant fièrement le plafond organique, impatient de pénétrer une nouvelle caverne humide, d'en racler les parois de toute ses forces pour en libérer le fleuve et d'y mêler son jus sacré. L'annexienne fit pare de son incapacité de se retenir fasse à elles, en raison de leur combinaisons qui moulaient à la perfection, chaque courbe de leur corps, à la qu'elle Jeanne lui répondit par une vision d'elle entrain de lui arracher son service trois pièces à mains nue.

   L'annexienne vint finalement se rapprocher plus de Juliette, déplaçant sa main sur sa joue, la caressant, puis elle offrit une caresse moins douce à l'un de seins, avant de commencer à le malaxer à travers sa combinaison, commençant une douce torture pour Juliette, mais qui cacha plutôt bien les élans de plaisir qui la prenait, mais elle ne pouvait pas maîtriser les tremblement de son corps, qui lui répondait timidement au caresse. L'annexienne se mit en amazone sur elle, après quelque seconde, avant de s'en prendre à son autre seins, où il fut plus difficile pour Juliette de cachait pleinement le plaisir grandissant qu'elle ressentait... et qu'elle appréciait.

   Il faut savoir que Juliette apprécie grandement le sexe, s'envoyant en l'air parfois avec un membre de l'escouade, comme Mixim ou une inconnue lors d'une de ses nombreuses sortie en boite. Ce n'est pas une nymphomane ou autres, mais elle aime le sexe dans sa forme la plus pur, à savoir sans sextoys ou tout produit donnant du plaisir, ce qui est pour elle une aussi détestable que les formiens, voulant qu'avoir son corps pour avoir du plaisir.

« Tu as vraiment une belle poitrine, Juliette... Et, puisque tu n’as pas envie de parler, il faut bien que ta bouche serve encore à quelque chose. »

   Juliette lui lança un regard interloquer, mais au qu'elle on pouvait voir le plaisir qu'elle ressentait. Elle aperçue une tentacule qui sortie du mur, et remarqua sa particularité, comprenant tout de suite, où voulait en venir l'annexienne. Elle sentie les doigts de l'annexienne boucher son nez, l’empêchant de respirer. N'ayant pas put inspirer assez d'air et ne pouvant lutter contre les reflexe de son corps, elle ouvrit la bouche au bout d'un moment et ne fut pas assez rapide pour aspirer de l'air et refermer sa bouche tout de suite après car la tentacule fut plus rapide, s'engouffrant dans sa bouche frottant le font de sa gorge.

   Au même moment, l'annexienne retira ses doigts, libérant le nez de Juliette qui respira à nouveau, en même tant qu'un seconde tentacule ne se colle à l'autre et force le passage pour entré dans bouge. Juliette fut contraint d'ouvrir sa bouche le plus grand possible, car la première tenta de faire levier pour ouvrir en grand sa bouche. Quand ce fut fait, la deuxième entra dans sa bouche avec force, heurtant elle aussi le fond de sa gorge, puis les deux tentacules commencèrent de furieux allées venues. Sa première double fellations, ce qu'elle avait fait un jour avec une futanari n'était rien comparer à ça ! La table organique se modifia afin de changer la position de la tête de Juliette, afin que sa gorge soit bien droite, permettant au tentacules de faire de profonde et intense gorge profonde.

« Voilà... Savoure, ma petite Juliette, je vais m’occuper de ta bouche du bas. »

   Le visage face à ses coéquipières, Juliette ne pouvait lui jeter un regard noir. On voyait sur son visage et ses yeux un certain malaise. C'était la première fois qu'elle fessait une fellation contre son grée et avec des choses pareilles. Les tentacules baissaient sa bouche avec force et rapidité, allant aussi profondément. Ses amies pouvait voir sa gorge qui se gonfler et se dégonfler a chaque pénétration. Elle regrettait son geste, elle regretteait de s'être donner, sans compter que l'annexienne avait commencer à lécher son intimité à travers sa combinaison depuis un moment.

   Malgré ça, elle ressentait des bouffer de chaleurs, des pic de plaisirs et son intimité commençait à la démanger de plus en plus. Elle comprit lentement qu'on lui avait injecter de l'aphrodisiaque, sûrement le liquide qui remplissait sa bouche et qui glisser dans sa bouche. Et ce fut après un moment, qu'elle mouilla et pas qu'un peu.
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   Nageant dans une mer de terreur, son esprit peinait à ne pas se noyer. Shiranui était terroriser, elle n’arrivait pas réaliser que tout ceci était réelle, elle croyait à un cauchemar, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, rien de réelle et qu'elle allait se réveiller. Mais le bruit gluant des tentacules, leur texture dans sa bouche, les pénétrations sauvages des tentacules en elle, les dizaines de tentacules sous sa combinaisons partout sur son corps, l'emprise tentaculaire sur ses seins, la vision de la dépravation de ses camarades, l'odeur du sperme et de la cyprine, et enfin les cries et gémissement de ses amies lui prouvaient le contraire.

   Même l'aphrodisiaque peinait à faire ressentir à Shiranui des pics de plaisir et d'envie, étouffer par sa terreur bien plus intense. Ses yeux étaient remplit d'une terreur et d'un désespoir profonde et intense. Elle pleurait de peur et de désespoir. Elle gémissait de terreur et gesticuler inutilement cherchant à fuir. Des tentacules à perte de vue, de taille et de diamètre différent, chacune lui semblant être doué de vie et d'envie de la faire souffrir.

   De nouvelle tentacules la tête surmontés d'une aiguille, se rapprochèrent d'elle, avant de se planter dans son cou injectant cette fois des calmants afin de calmer sa terreur et de la remettre à un état plus stable. Cela prit un long moment, sans arrêter les pénétrations, pour que la terreur de Shiranui baisse considérablement et profitant que Shiranui soit sous l'effet des calmants, les tentacules lui injectèrent de bonne doses d'aphrodisiaques concentrés, afin d'être sur qu'elle soit sous l'emprise du plaisir une fois que les calmant auront finit d'agir, pour éviter qu'elle ne rechute dans la terreur.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 40 dimanche 07 septembre 2014, 16:19:57

SARAH KERRIGAN

Juliette était comblée, maintenant. La tête basculée en arrière, ses yeux pouvaient voir ses collègues, toujours blotties dans leurs cocons, immobilisées et incapables de pouvoir se libérer. Leur rang se réduisait progressivement, s’amincissant au fur et à mesure qu’elles passaient toutes sur la table. Les deux tentacules s’enfonçaient lourdement dans la bouche de Juliette, et Sarah continua à lécher son intimité pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Juliette en vienne à mouiller franchement. La Reine des Lames se releva lentement, un sourire sur le coin des lèvres, et les tentacules dans la bouche de Juliette continuèrent à remuer, jusqu’à jouir toutes les deux en elle, gonflant sa gorge, en jouissant violemment, crachant de nombreux filaments de sperme avant de se retirer, laissant sa bouche pleine, débordante de leur jus intime. Sarah souriait lentement, et le fauteuil remua à nouveau, surélevant la tête de Juliette. Ses lèvres dégoulinaient de sperme, et Kerrigan se pencha vers elle, tendant sa main pour caresser son menton, relevant un peu son visage.

Sarah lui souriait tendrement, et sa verge venait de pointer, frottant contre les cuisses de la femme.

« Tu es très belle ainsi, avec ce sperme dans ta bouche... Je vais te baiser maintenant, ma petite puce, d’accord ? »

Elle adoptait un ton doux, mais qui ne laissait pas entendre autre chose. C’était comme si elle annonçait une vérité inexpugnable. Elle posa sa griffe sur l’intimité de la femme, ouvrant sa combinaison, révélant ainsi l’accès à son sexe. Encore une fois, Sarah allait s’en taper une. Elle était encore suffisamment humaine pour se féliciter de son endurance, et suffisamment formienne pour apprécier la beauté de cette femme, pour savourer sa plastique magnifique, et son corps langoureux, tout en charmes et en volupté. Les aphrodisiaques avaient bien agi, titillant la partie de plaisir inconsciente qui sommeillait dans le corps de cette femme. C’était une partie de son esprit qui était devenue on ne peut plus consciente quand Sarah était devenue une Formienne, et elle n’avait aucune hésitation.

Ses mains se saisirent des hanches de la femme, et elle s’enfonça en elle, les glissant pour les appuyer sur sa combinaison. Sarah restait debout en la prenant, et donna des coups de reins, les jambes de Juliette filant à gauche et à droite de son corps. Elle avait l’habitude de s’allonger sur ses partenaires pour les prendre, mais, avec cette Juliette, elle voulait diversifier un peu son activité. Elle la prenait donc, s’enfonçant en elle, remuant de plus en plus fort, un sourire vorace sur les lèvres.

« Hum... Putain, ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Elle continuait à la prendre, sans ménagement, la baisant sauvagement.



LE MONSTRE

Le Monstre disposait de nombreux outils supplémentaires pour arriver à ses objectifs. Il sentait quelque chose de différent avec cette nouvelle femme. Elle était grande, oui, mais il y avait, dans sa mentalité, dans sa personnalité, une sensation qu’il n’avait pas perçu chez ses autres amantes. Le Monstre n’était pas assez développé pour comprendre clairement ce sentiment, mais il savait qu’il l’agaçait. Il voulait des femmes consentantes, car sa philosophie était typiquement celle des Formiens. Pour lui, le sexe ne pouvait tout simplement pas être forcé, car elle n’était que l’expression du plaisir. Son aphrodisiaque n’avait pas eu l’effet escompté, et il opta désormais pour d’autres substances, y voyant là un défi supplémentaire.

La redoutable créature envoya une autre tentacule-seringue, et enfonça un psychotrope dans les veines de la femme, tout en continuant à la bourrer avec ses trois tentacules plantés dans son corps. Ils remuaient en elle comme des serpents, dans son vagin, dans son cul, et dans sa bouche, se tortillant en la pénétrant lourdement. D’autres tentacules l’enlaçaient à hauteur du ventre, et d’autres allèrent s’attaquer à ses seins, s’enroulant autour de leur poitrine en les pressant, des tentacules avalant ses tétons, leurs multiples langues glissant dessus pour les titiller et les presser, afin de diluer le plaisir dans le corps de la femme. Le Monstre faisait ce qu’il fallait, sans hésitation.

Rien ne pouvait l’arrêter, de toute manière.
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 41 samedi 13 septembre 2014, 13:44:04

   Le bruit de succion des tentacules entrant et sortant de la bouche et de la gorge de Juliette, ponctuer par ses gémissement de plaisir et de protestation, formait une ambiance malsaine, allant parfaitement avec la texture organique des murs. Celles qui étaient toujours coincer dans leurs alcôves, ne pouvaient que regarder avec dégoût la double fellation de Juliette et de sa gorge qui prenait du volume à chaque allé retour des tentacules et de la bace mélanger au liquide visqueux que libérer les tentacules, coulant de sa bouche, glissant de ses lèvres. La pauvre pensait que l'annexienne ne ferrait que la baiser, avant de la jeter en pâture au monstre, mais cette dernière ne fessait que varier ses plaisirs.

   Ce fut au bout d'un moment, les deux les tentacules éjaculèrent de concert, inondant la gorge de Juliette, remplissant sa bouche, gonflant ses joues, avant de gicler telle des vaques brisaient par les récifs, s'écrasant sur son visage, avant de couler de sa bouche comme du magma d'un volcan en éruption. Sa gorge était gonflé par les flots de sperme d'une tentacule situer à la pomme d’Adam, se vidant dans l'estomac, avant de se retirer avec l'autre de la bouche de Juliette, tout en larguant quelque gicler de sperme. Juliette ferma du mieux qu'elle put sa bouche, empêchant le sperme de se déverser sur elle, manquant de s'insinuer dans ses narines. Elle se résolue à avaler le surplus, afin de pouvoir contenir plus facilement le sperme dans sa bouche.

   La table organique se manifesta une nouvelle fois, mettant sa tête dans une meilleurs positions, face à l'annexienne. Juliette recracha le sperme dans sa bouche, coulant quelque seconde de sa bouche, coulant le long de son menton et de sa gorge, avant de couler sur le côté. Mais sa bouche était encore tapisser de sperme et sa langue baigner encore dedans. Juliette usa de sa langue afin de racler sa bouche de font et comble afin de réunir le sperme. L'annexienne affirma qu'elle était plus belle comme ça, en même temps elle annonça qu'elle allait la baiser. Si Juliette n'était pas occuper à récurer sa bouche du sperme encore présent et que son intimité ne la démangeait pas autant à cause de l'aphrodisiaque en elle, elle l'aurait insulter tout en lui lançant un regard assassin. L'annexienne libéra l’accès à son intimité, posa ses mains sur ses hanche et....

Gurlp

   Juliette avala sans le faire exprès le sperme dans sa bouche, sous la pénétration de l'annexienne, qui se frayait un chemin dans vagin plein de mouille, jusqu'à heurter son col de l'utérus, avant de le pilonner, cherchant à entré de force dans son utérus. Julietta eu du mal à retenir ses cries et gémissement de plaisir, et aussi de douleur, mais moins fort. Elle serrait les dents, mais c'était inutile face au coup de rein de l'annexienne, qui parvenait à la faire crier et gémir. Les autres étaient de plus en plus habituer à cette scène, espérant de passer la dernière. D'ailleurs certaines ne purent s’empêcher de penser de ce que fera l'annexienne à la prochaine qui y passera, après la double félation de Juliette.

   Cette dernière se rapprochait à pas lent de l'orgasme, son corps tremblant sous les coups et le plaisir, l'aphrodisiaque encore présent. Elle avait beaucoup mouiller, permettant une lubrification de ses parois vaginaux efficace et parfaite, laissant glisser le membre viril de l'annexienne sans résistance, tout en étant étroit. Et cela dura encore de longue minute, de longue minutes à se faire lourdement baiser par l'annexienne qui, comme pour les autres, ne lui laissa aucun répit. Juliette n'était pas tomber dans l'état de Mixim, mais elle y était proche, son visage exprimant le même plaisir, mais ses yeux témoignant toujours de sa lucidité. Après quelque instant, Juliette finit par jouir, recouvrant la verge de sa cyprine, noyant le tout. Son visage exprima un intense et profond extase , suivit d'un long crie de plaisir et de satisfaction, s'abondonnant dans ce même plaisr que lui provoqua son orgasme.

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   Qu'es qui ce passe ? Shiranui avait été posséder par une terreur indescriptible, et maintenant elle avait disparue et elle se sentait... apaiser, perdant contact avec la réaliser quelque instant, elle se sentait bizarre, elle n'arrivait plus à se situer, les tentacules continuaient de la pénétrer, avec force et rapidité. Elle ressentait les sensations que l'annexienne avait appeler plaisir, pourtant il semblait... faible, ses sensations était faible, à cause des calmants que lui avait injecter le monstre. Les effets du calmant se diluèrent au bout de quelque minutes et ce fut l'aphrodisiaque que le monstre avait injecter avec les calmant qui prirent le relais, la prenant de vitesse l'empéchant de retourner dans une terreur abyssale. Cette fois Shiranui ne put rien faire fasse à la déferlante de plaisir qui s'abattait sur elle. Le plaisir semblait avoir été multiplier par cent, son corps céder et son esprit aussi, mais les deux régissaient comme le ferrait une vierge lors de sa toute première fois, timidement, gêner et pas sûr.

   Les deux tentacules qui s’occuper de ses seins, et plus précisément de ses tétons, leur têtes c'étaient ouverte en des bouches, avant de gober ses tétons, les enfermant à l'intérieur, les recouvrant de mini-tentacule et les noyant dans une substance gluante. Shiranui ressentit la même sensations lors de sa première fois avec l'annexienne, si intense qu'elle ne savait pas si elle ressentait de la douleur ou du plaisir. Vaincue, Shiranui ne pouvait que céder au plaisir et de se laisser guider, ayant pour « aides » les tentacules qui la guider sur le bon chemin, continuant à entretenir son plaisir et à l’amplifier.

   La tentacule qui s'occupaient de sa bouche, jouit à grand dose, la bouche de Shiranui se remplit d'un coup, le sperme coula en cascade sur sa poitrine, la recouvrant entièrement avant de tomber dans le vide et sortie aussi de son nez. Le sperme fila de force dans sa gorge manquant de l'étouffer, remplissant son estomac. La tentacule se retira et Shiranui toussa avec force, elle respirait avec force, elle releva la tête et avant qu'elle ne put dire quelque chose ou fermer sa bouche, la tentacule retourna dans sa bouche et reprit son travail. Les deux autres tentacules jouirent à leur tour, remplissant à ras bord son cul et son utérus, le surplus coulant le long de ses jambes. D'autres jouirent sur elle, la recouvrant et d'autre sous sa combinaison, fessant flotter ses seins dans le spermes. Ce fut pour Shiranui son entrée dans une longue et et intense orgie.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 42 mercredi 17 septembre 2014, 01:41:04

SARAH KERRIGAN

Le coït était toujours aussi bon, comme une sorte de délicieuse libération, électrisant tout son corps. Sarah s’y abandonnait pleinement, jusqu’à ne faire plus qu’un avec la petite Juliette. Du sperme continuait à filer le long de sa bouche, salissant le bas de son visage, ainsi que le haut de son torse, glissant le long de ses seins. La Reine des Lames la pénétrait durement, sans relâche et sans ménagement, défonçant son corps d’avant en arrière, toujours dans les mêmes mouvements, de plus en plus frénétiques, de plus en plus forts et rapides. Ses pattes arachnéennes dans son dos se contractaient et se relâchaient, accompagnant les mouvements rapides et puissants de son corps. Ce qu’elle faisait était tellement bon, tellement jouissif ! Encore et encore, toujours la même chose, toujours ce plaisir vertigineux et intense qui s’emparait d’elle, remuant dans tout son corps, la dominant. Elle se sentait revivre, là, en pénétrant cette femme, elle en oubliait tout le reste, au profit d’un intense sentiment de bonheur, d’un intense sentiment d’accomplissement personnel.

Sa queue défonçait le petit vagin de cette salope qui était en train de jouir, ayant un bel orgasme. Encore une autre femme convaincue, encore une autre future amante. Les mains griffues de Sarah serraient ses cuisses, tenant le haut de ses jambes, s’enfonçant contre sa combinaison. Les liens qui retenaient Juliette se libérèrent brusquement, et Sarah, suivant son inspiration, l’attrapa par les cheveux, et la souleva, venant la plaquer contre son corps. L’une de ses mains se déplaça pour s’appuyer sur ses fesses, et elle l’embrassa, enfonçant sa langue dans cette bouche pleine de sperme, partageant ainsi avec Juliette le goût de ce liquide intime, tout en continuant à bourrer son corps. Ses pattes arachnéennes vinrent en effet se déplacer pour se glisser dans le dos de la femme, et s’appuyèrent dessus, aidant Kerrigan à pouvoir mieux la pénétrer.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Ses aphrodisiaques avaient aidé Juliette à se détendre, et cette dernière était maintenant subjuguée, s’empalant le long de cette grosse verge qui lui défonçait joyeusement la chatte. Elle tapait contre les profondeurs de son intimité ruisselante de mouille, cette dernière filant le long de leurs jambes. Sarah haletait et gémissait, fermant parfois les yeux, avant d’aller lécher la joue de Juliette, ses doigts se crispant à ses cheveux. Son plaisir explosait, se focalisant le long de son membre turgescent, et ce qui finit par arriver arriva : l’orgasme explosa en elle, et elle s’y abandonna, déversant dans le corps de Juliette un foutre chaud et dégoulinant, jouissant à de longues reprises, balançant plusieurs giclées en elle. Elle jouit pendant plus d’une vingtaine de secondes, balançant son sperme par à-coups, une main sur les fesses de la femme, le pressant.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

Elle lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, comme pour la féliciter.



LE MONSTRE

La créature se faisait singulièrement plaisir, continuant à bourrer les corps de ces femmes. Dans sa mare à sperme, elles étaient en train de s’embrasser et de se câliner sans relâche, incapables de se fatiguer. Les drogues formiennes permettaient d’accroître leur endurance, et elles ne pourraient s’arrêter que quand il ne resterait plus aucun souffle d’énergie en elles. Oh, non, elles ne mourraient pas, mais elles subiraient un coma instantané... Pour elles, le Paradis leur était déjà offert : sexe, sexe, sexe, et sexe... Plus elles jouissaient, plus elles avalaient de sperme, et plus leurs bébés se renforçaient, donnant ainsi naissance à de beaux Formiens. Leur quotidien se résumerait désormais uniquement à du sexe, sauf si la Reine en décidait autrement.

Il venait de généreusement jouir dans la bouche de la nouvelle arrivée, qui se laissait faire, peu à peu, s’abandonnant au plaisir. Il se conduisait délicatement avec elle... Pour autant qu’une créature formienne dénuée de réelles émotions puisse faire preuve de délicatesse. Il la déplaçait lentement, la faisant se tortiller dans tous les sens, afin d’entretenir les muscles de son organisme, tirant sur ses jambes, les étirant en arrière, faisant de même avec ses bras, tout en continuant à la baiser dans tous les sens possibles. Sodomie, coït, fellations, se mélangeaient aux frottements lascifs des tentacules sur et dans sa combinaison, étirant cette dernière, mais sans jamais voir à la rompre, afin que le plaisir reste toujours au rendez-vous.

Le Monstre prenait soin de ses invitées. C’était bien la preuve que c’était un bon hôte.

Non ?
DC d’Alice Korvander.

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Ilinia

Humain(e)

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 43 dimanche 28 septembre 2014, 21:02:57

   Elle avait prit plaisir à se faire prendre comme ça, la vitesse et la force ne prenant que de l'ampleur, jusqu'à la porter à l'extase, un extase exquis parvenant à mettre à bas sa résistance au plaisir qui n'avait fait que prendre de l'ampleur avant d'exploser, t-elle un barrage cédant à la pression de l'eau, noyant son esprit. Le corps secouait par les pénétrations, tremblant de plaisir t-elle un navire prit en pleine tempête ! La langue pendante, les yeux vers le ciel, la bave et du sperme sur les lèvres, gémissant comme une locomotive. Elle n'avait pas put résister, cédant comme Mixim, pourquoi ? Parce qu'elle adorait ce faire prendre comme ça, ajouter à ça l'aphrodisiaque qui l'avait pousser a ses retranchement et la double pénétration qui avait entamer sa résistance.

   Mais elle avait encore l'esprit assez lucide, assez pour être surprit par la suite des événement quant elle avait finit par jouir, répandant sa cyprine, quand ses liens la libérèrent et que l'annexienne la souleva par ses cheveux, la plaquant contre son corps, l'empalant de force sur ça verge et de recommencer à pilonner le font de son vagin, s’écrasant sur son col de l'utérus, cherchant à le briser, à pénétrer le lieu qui l’empêche d'atteindre. L'annexienne partagea avec elle un baiser fougueux, mélangeant leur langues, leur salives et le sperme encore présent dans sa bouche, le partageant. Elle sentie les excroissances de l'annexienne se mettre dans son dos, se refermant sur elle telles des mains squelettiques, la soutenant l’empêchant de tomber et elle sentit les mains de l'annexienne sur ses fesses, les pressant, ce qu'elle fit de même. Elle ne pensait pas, se lassant aller, laissant ce qui est pour elle une des meilleurs chose que puisse ressentir son corps l'envahir : le plaisir et l’extase.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

   N'arrivant pas à parler convenablement, elle agit par ses pulsions, lui roulant une pelle, mélangeant à nouveau sa langue avec la sienne. Sous les coups puissant de l'annexienne, du plaisir intense qu'elle ressentait et de l'aphrodisiaque encore présent dans son organisme, elle jouit de nouveau, libérant une nouvelle vaque de cyprine, se répandant à nouveau sur la verge de l'annexienne, avant de couler de ses lèvres intimes, glissant le long de ses jambes, pendant mollement dans le vide, retenue que par les excroissances et les bras de l'annexienne ainsi que part sa verge qui remuer furieusement en elle. Et enfin, après de longue minutes à se faire prendre sauvagement, de sentir la verge remuer ses entrailles, menacer d'entrée dans son utérus, de gémir et de crier de plaisir, d'exprimer le plaisir que Juliette ressentait, l'annexienne finit par jouir, se déversant dans l'intimité de Juliette, remplissant l'utérus de son sperme. En même temps que les coup s’arrêtèrent, Juliette mit son front contre celui de l'annexienne, respirant avec peine, reprenant son souffle.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

   Elle ne dit rien, il lui fallut plusieurs seconde pour que son esprit embrumer par le plaisir, ne parvienne à comprendre le sens des paroles de l'annexienne, encore quelque seconde pour qu'elle réalise de ce qui venait de se passer : elle s'était laisser aller à ses pulsions et qu'elle venait d'être mise enceinte. Elle voulue parler, lais elle ne trouvait pas les mots : la surprise ? Le dégoût ? La colère ? Difficile de comprendre ce qu'elle ressentait, partager par les trois envers elle même, surprise d'avoir laisser ses pulsions prendre le dessus, dégoutter par le fait qu'elle venait de prendre plaisir et qu'elle était enceinte et en colère car elle n'avait rien fait, elle s'était laisser avoir.

   Rien ne c'est passer comme prévue, tout fut diffèrent, elle aurait put se maîtriser si l'annexienne l'avait prise comme Rinko ou Miyo, mais elle avait sans doute anticiper ce cas là. Elle ne savait pas, le mal était fait et elle subissait les conséquences de son geste. Elle baissa la tête de honte et de dégoût, voulant disparaître. Comme pour exaucer son souhait, des tentacules l'attrapèrent et elles l'emportèrent dans le conduit, menant au monstre et à ses camarades d'infortune.

   Les autres ne la regardèrent pas, en ayant marre de regarder chacune de leur amies se faire amener sans rien pouvoir faire que de contempler leur viol et les tentacules les amener dans ce conduit. Maintenant une autres aller être choisit avant d'être violer puis donner au monstre, aucune ne se proposa, soit par peur, soit par dégoût, soit parce qu'elle ne voulait pas. L'annexienne devra faire un choix entre : Tirch, qui depuis le début était rester aussi calme et inexpressif qu'une statue, Mistrial qui semblait avoir un plan d'action, Jeanne qui était posséder par une rage meurtrier, Engiel qui ne rêvait que d'une chose, lui enfoncer un fusil dans le cul et de réduire ses boyaux en bouilles et les autres qui soit avaient envie de mourir soit qui cacher bien leur jeux et donc leur vrai intention.
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   Son corps répondait au plaisir qu'elle ressentait, mais son esprit peinait à agir fasse à ce plaisir. C'était trop pour elle, trop fort, trop intense, ne parvenant pas à agir en conséquence, laissant son corps tremblait de plaisir et de jouir abandonnement, elle ne fessait rien, écrasait par se plaisir. Elle ne savait pas comment agir, le plaisir occultait toute ses capacités, l’empêchant d'agir, se laissant écraser par l'intensité du plaisir qui la traverser. Elle n'était qu'une poupée pour le monstre, elle n'arrivait pas à répondre à ce plaisir. Par moment elle avait l'impression d'avoir mal a force d'avoir plaisir, tant par son intensité, que par le temps qu'elle le ressentait, ou parfois elle avait l’impression de sombré, que son esprit la quitter, remplacer par le plaisir. Shiranui était perdue, aussi bien dans le temps, que dans son esprit. Le sexe, une chose qu'elle venait de découvrir et qui se montrer dans sa toute puissance, elle n'était pas habituer à un t-elle état.

   Le monstre se vida une nouvelle fois en elle, remplissant son utérus et ses boyaux, larguant des doses gargantuesques, débordant de ses troues, coulant de ses orifices. Celle dans sa bouche fut plus généreuse, mais Shiranui ne put qu'être forcer d'avaler ce liquide chaut et visqueux, collant à sa bouche et a ses parois buccales pour ne pas être étouffer. Le sperme coula de son nez, mais sortie principalement de sa bouche, le trop plein qu'elle ne pouvait avaler, la recouvrant une nouvelle fois de sperme.

   Peut après, Juliette sortie à sont tour du toboggan organique, qui contrairement au autres, atterrie normalement, sans s'écraser part terre. Quand elle vit le monstre, ce n'est pas ça qui la choqua mais les innombrables tentacules qui gigotaient dans tout les sens et qui se rapprochait d'elle. Elle ne s’entendait pas du tout à un nombres aussi imposant de tentacule, croyant juste qu'ils y'aurait que trois ou quatre tentacule par fille, mais elle était très loin de la réaliter.

   Les tentacules l'attrapèrent, elle se laissa faire, car sa position n'avait pas changer, ça ne servait à rien de lutter. Comme pour les autres, des dizaines de tentacules envahirent sa combinaison, répandant leur liquide gluant, avant que deux tentacules ne s'occupe de sa poitrine, titillant ses tétons, pressant ses seins. Une tentacules pénétra son intimité, une autre sa bouche et la dernière déchira sa combinaison au niveau de son fondement avant de le lubrifier et d'y pénétrer.

   A son tour, Juliette expérimenta la vitesse, la force et le rythme des tentacules ! Des choses qu'elle ne pouvait concevoir aux niveau humain, cela dépasser largement ce qu'elle avait put expérimenter avec des partenaires lors d'une soirée. Elle ne pouvait suivre le rythme, ni s'y habituer cela dépasser son expérience. Le plaisir grimpait, mais elle avait du mal à l'apprécier à sa juste valeur. Le monstre lui injecta de l'aphrodisiaque, l'affaiblissant à ce plaisir qui prit plus d'ampleur. Et comme les autres, elle apprécia son traitement petit à petit.

Sarah Kerrigan

Créature

Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]

Réponse 44 mercredi 01 octobre 2014, 13:01:00

Après s’être abandonnée dans le corps de Juliette, et la voir être emportée par les tentacules dans un monde meilleur, Sarah pouvait désormais affirmer avoir perdu le fil, non seulement des heures depuis lesquelles elle baisait avec cette escouade, mais également du nombre. L’Annexienne était en train de justifier ses galons en forniquant avec toutes ces femmes. Elle releva la tête vers elles, les voyant trépigner d’impatience, de fureur, ou de dégoût. Aucune ne restait totalement indifférente, et, cette fois, il n’y en avait aucune pour se dévouer. Sarah laissa donc planer quelques minutes de repos. Elle méritait bien une petite pause, et elles aussi. Elles y passeraient toutes, mais Sarah voulait les regarder, elle voulait sentir leurs pensées, voir leur rage, ou l’inavouable désir qui, peut-être, commençait à perler en certaines d’entre elles. Son regard glissa sur Ilinia, lui rappelant la manière dont elle avait sodomisé cette dernière à Tekhos il y a plusieurs mois, et elle caressa brièvement l’idée de l’appeler... Avant de rejeter cette idée dans un coin de sa tête, de la conserver pour plus tard.

Dans le fond, ce qu’elle faisait était comme d’aller au marché. Elle avait un marché gratuit de belles femmes fortes en combinaison moulante en latex. Un fantasme de jeune garçon qui était en train de se réaliser. Impossible pour elles de s’évader, car elles étaient dans son antre, là où le pouvoir de Kerrigan était le plus fort, un pouvoir immense et névralgique qui s’abattait sur elles avec la force d’un ouragan. Son regard finit finalement par se porter sur Jeanne. Elle lui en voulait à mort depuis qu’elle avait pris la virginité de Shiranui, et sa rage ne cessait de s’accumuler, en se mélangeant probablement à une sorte de frustration inconsciente. Sarah, en tant que pure Formienne, ramenait toujours tout au sexe, car elle considérait que le sexe était la pulsion primale la plus partagée au sein de l’univers et de toutes les espèces vivantes du monde, la pulsion de vie et de plaisir fondamental.

« Très bien... Un peu de combat ne pourra pas me faire de mal... »

Elle savait que Jeanne n’avait qu’une envie : l’affronter. Kerrigan allait donc la maîtriser, puis la violer, et, avec un peu de chance, cette action suffirait à réfréner les ardeurs des autres Tekhanes ici présentes. Elle savait les humains têtus, et elle se doutait bien que certaines de ces femmes devaient encore naïvement penser avoir une chance d’échapper aux tentacules de la Reine des Lames. C’était un espoir qu’elle devait tuer dans l’œuf pour éviter des actes de rébellion insensés pendant qu’elle se faisait plaisir avec toutes ces femmes.

Après quelques secondes, elle prononça donc le nom de l’heureuse élue :

« JEANNE !! »

Les tentacules renforcés se retirèrent peu à peu, mais Jeanne ne fut pas conduite sur la table organique. Elle fut tout simplement relâchée, et tomba sur le sol, face à Kerrigan... Qui, pour le coup, avait replié sa verge, refermant ensuite ses plaques de chitine autour de son intimité.

« Tu vas voir que je suis gentille, Jeanne..., commença Sarah en lui souriant. Je vais te donner ton arme. »

Des tentacules supplémentaires déposèrent devant Jeanne sa lourde hache. Comme ça, le combat serait plus juste. Elle avait compris qu’un lien fort unissait Shiranui et Jeanne, et que Jeanne lui en voulait pour ça. Sarah esquissa un léger sourire amusé, moqueur, en croisant les bras.

« Je te comprends... Tu voulais la virginité de Shiranui pour toi, Jeanne ? Je te comprends, son intimité était vraiment étroite... Étroite comme seules les pures vierges peuvent l’être... Je continuerai à la baiser pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’elle en oublie son propre nom... »

Les mots étaient comme la morsure d’un serpent, et Kerrigan savait les employer au mieux. Elle voulait surtout provoquer Jeanne, tout en soulevant l’ironie de leur relation. Shiranui n’avait jamais fait l’amour, mais elle avait appris à tuer, à massacrer, à éviscérer, à torturer, tout en ignorant absolument tout des choses de l’amour...

...Et c’était elle la cinglée ?
DC d’Alice Korvander.

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