Elle avait prit plaisir à se faire prendre comme ça, la vitesse et la force ne prenant que de l'ampleur, jusqu'à la porter à l'extase, un extase exquis parvenant à mettre à bas sa résistance au plaisir qui n'avait fait que prendre de l'ampleur avant d'exploser, t-elle un barrage cédant à la pression de l'eau, noyant son esprit. Le corps secouait par les pénétrations, tremblant de plaisir t-elle un navire prit en pleine tempête ! La langue pendante, les yeux vers le ciel, la bave et du sperme sur les lèvres, gémissant comme une locomotive. Elle n'avait pas put résister, cédant comme Mixim, pourquoi ? Parce qu'elle adorait ce faire prendre comme ça, ajouter à ça l'aphrodisiaque qui l'avait pousser a ses retranchement et la double pénétration qui avait entamer sa résistance.
Mais elle avait encore l'esprit assez lucide, assez pour être surprit par la suite des événement quant elle avait finit par jouir, répandant sa cyprine, quand ses liens la libérèrent et que l'annexienne la souleva par ses cheveux, la plaquant contre son corps, l'empalant de force sur ça verge et de recommencer à pilonner le font de son vagin, s’écrasant sur son col de l'utérus, cherchant à le briser, à pénétrer le lieu qui l’empêche d'atteindre. L'annexienne partagea avec elle un baiser fougueux, mélangeant leur langues, leur salives et le sperme encore présent dans sa bouche, le partageant. Elle sentie les excroissances de l'annexienne se mettre dans son dos, se refermant sur elle telles des mains squelettiques, la soutenant l’empêchant de tomber et elle sentit les mains de l'annexienne sur ses fesses, les pressant, ce qu'elle fit de même. Elle ne pensait pas, se lassant aller, laissant ce qui est pour elle une des meilleurs chose que puisse ressentir son corps l'envahir : le plaisir et l’extase.
« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! » N'arrivant pas à parler convenablement, elle agit par ses pulsions, lui roulant une pelle, mélangeant à nouveau sa langue avec la sienne. Sous les coups puissant de l'annexienne, du plaisir intense qu'elle ressentait et de l'aphrodisiaque encore présent dans son organisme, elle jouit de nouveau, libérant une nouvelle vaque de cyprine, se répandant à nouveau sur la verge de l'annexienne, avant de couler de ses lèvres intimes, glissant le long de ses jambes, pendant mollement dans le vide, retenue que par les excroissances et les bras de l'annexienne ainsi que part sa verge qui remuer furieusement en elle. Et enfin, après de longue minutes à se faire prendre sauvagement, de sentir la verge remuer ses entrailles, menacer d'entrée dans son utérus, de gémir et de crier de plaisir, d'exprimer le plaisir que Juliette ressentait, l'annexienne finit par jouir, se déversant dans l'intimité de Juliette, remplissant l'utérus de son sperme. En même temps que les coup s’arrêtèrent, Juliette mit son front contre celui de l'annexienne, respirant avec peine, reprenant son souffle.
« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. » Elle ne dit rien, il lui fallut plusieurs seconde pour que son esprit embrumer par le plaisir, ne parvienne à comprendre le sens des paroles de l'annexienne, encore quelque seconde pour qu'elle réalise de ce qui venait de se passer : elle s'était laisser aller à ses pulsions et qu'elle venait d'être mise enceinte. Elle voulue parler, lais elle ne trouvait pas les mots : la surprise ? Le dégoût ? La colère ? Difficile de comprendre ce qu'elle ressentait, partager par les trois envers elle même, surprise d'avoir laisser ses pulsions prendre le dessus, dégoutter par le fait qu'elle venait de prendre plaisir et qu'elle était enceinte et en colère car elle n'avait rien fait, elle s'était laisser avoir.
Rien ne c'est passer comme prévue, tout fut diffèrent, elle aurait put se maîtriser si l'annexienne l'avait prise comme Rinko ou Miyo, mais elle avait sans doute anticiper ce cas là. Elle ne savait pas, le mal était fait et elle subissait les conséquences de son geste. Elle baissa la tête de honte et de dégoût, voulant disparaître. Comme pour exaucer son souhait, des tentacules l'attrapèrent et elles l'emportèrent dans le conduit, menant au monstre et à ses camarades d'infortune.
Les autres ne la regardèrent pas, en ayant marre de regarder chacune de leur amies se faire amener sans rien pouvoir faire que de contempler leur viol et les tentacules les amener dans ce conduit. Maintenant une autres aller être choisit avant d'être violer puis donner au monstre, aucune ne se proposa, soit par peur, soit par dégoût, soit parce qu'elle ne voulait pas. L'annexienne devra faire un choix entre : Tirch, qui depuis le début était rester aussi calme et inexpressif qu'une statue, Mistrial qui semblait avoir un plan d'action, Jeanne qui était posséder par une rage meurtrier, Engiel qui ne rêvait que d'une chose, lui enfoncer un fusil dans le cul et de réduire ses boyaux en bouilles et les autres qui soit avaient envie de mourir soit qui cacher bien leur jeux et donc leur vrai intention.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Son corps répondait au plaisir qu'elle ressentait, mais son esprit peinait à agir fasse à ce plaisir. C'était trop pour elle, trop fort, trop intense, ne parvenant pas à agir en conséquence, laissant son corps tremblait de plaisir et de jouir abandonnement, elle ne fessait rien, écrasait par se plaisir. Elle ne savait pas comment agir, le plaisir occultait toute ses capacités, l’empêchant d'agir, se laissant écraser par l'intensité du plaisir qui la traverser. Elle n'était qu'une poupée pour le monstre, elle n'arrivait pas à répondre à ce plaisir. Par moment elle avait l'impression d'avoir mal a force d'avoir plaisir, tant par son intensité, que par le temps qu'elle le ressentait, ou parfois elle avait l’impression de sombré, que son esprit la quitter, remplacer par le plaisir. Shiranui était perdue, aussi bien dans le temps, que dans son esprit. Le sexe, une chose qu'elle venait de découvrir et qui se montrer dans sa toute puissance, elle n'était pas habituer à un t-elle état.
Le monstre se vida une nouvelle fois en elle, remplissant son utérus et ses boyaux, larguant des doses gargantuesques, débordant de ses troues, coulant de ses orifices. Celle dans sa bouche fut plus généreuse, mais Shiranui ne put qu'être forcer d'avaler ce liquide chaut et visqueux, collant à sa bouche et a ses parois buccales pour ne pas être étouffer. Le sperme coula de son nez, mais sortie principalement de sa bouche, le trop plein qu'elle ne pouvait avaler, la recouvrant une nouvelle fois de sperme.
Peut après, Juliette sortie à sont tour du toboggan organique, qui contrairement au autres, atterrie normalement, sans s'écraser part terre. Quand elle vit le monstre, ce n'est pas ça qui la choqua mais les innombrables tentacules qui gigotaient dans tout les sens et qui se rapprochait d'elle. Elle ne s’entendait pas du tout à un nombres aussi imposant de tentacule, croyant juste qu'ils y'aurait que trois ou quatre tentacule par fille, mais elle était très loin de la réaliter.
Les tentacules l'attrapèrent, elle se laissa faire, car sa position n'avait pas changer, ça ne servait à rien de lutter. Comme pour les autres, des dizaines de tentacules envahirent sa combinaison, répandant leur liquide gluant, avant que deux tentacules ne s'occupe de sa poitrine, titillant ses tétons, pressant ses seins. Une tentacules pénétra son intimité, une autre sa bouche et la dernière déchira sa combinaison au niveau de son fondement avant de le lubrifier et d'y pénétrer.
A son tour, Juliette expérimenta la vitesse, la force et le rythme des tentacules ! Des choses qu'elle ne pouvait concevoir aux niveau humain, cela dépasser largement ce qu'elle avait put expérimenter avec des partenaires lors d'une soirée. Elle ne pouvait suivre le rythme, ni s'y habituer cela dépasser son expérience. Le plaisir grimpait, mais elle avait du mal à l'apprécier à sa juste valeur. Le monstre lui injecta de l'aphrodisiaque, l'affaiblissant à ce plaisir qui prit plus d'ampleur. Et comme les autres, elle apprécia son traitement petit à petit.