Le Grand Jeu

Plan de Terra => Territoire de Tekhos => Fourmillière galactique => Discussion démarrée par: Sarah Kerrigan le dimanche 01 juin 2014, 01:56:44

Titre: [FINI] L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 01 juin 2014, 01:56:44
Remarque. – Ce RP est la suite du RP « Des retrouvailles inattendues... Et très tendues ! (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=13634.0) ».



La Fourmilière... Probablement l’un des endroits les plus militarisés de la planète. L’armée tekhane, première armée du monde, y avait massé l’essentiel de son armée et de sa technologie. La Fourmilière s’étalait comme un énorme et gargantuesque cocon au milieu d’une énorme plaine aride ravagée par les bombardements incessants menés par les Tekhanes, qui s’étalaient tout el long du cocon, formant un périmètre se voulant impénétrable de bunkers souterrains, de bases fortifiées, de casemates lourdes, de supers-tranchées hérissées de tourelles automatiques. Le long des montagnes et des falaises escarpées entourant cette structure organique, toute une artillerie de pointe avait été installée, mitraillant farouchement la surface quand les Formiens entreprenaient de souffrir. Bombes à phosphore, napalm, gaz corrosifs, tout était bon pour supprimer la saloperie formienne. Les Formiens, cependant, avaient évolué. Passer par la terre ou par l’air était impossible, et les Formiens filaient donc par les profondeurs de la roche, parvenant à contourner l’essentiel des défenses tekhanes. Depuis que les Tekhanes le savaient, elles exploraient les galeries et les cavernes filant le long de la Fourmilière, envoyant de nombreuses patrouilles, ainsi que des espèces de chars lance-flammes qui étaient extrêmement efficaces dans ce genre d’endroits. Leur ligne de défense avait des failles, des trous et des poternes que Kerrigan savait exploiter au mieux pour servir ses intérêts, ainsi réussir à échapper à cet épais maillage.

Sarah Kerrigan revenait d’une longue mission qui avait duré plusieurs mois, le temps de préparer la jungle à sa petite opération. Elle revenait avec beaucoup de Formiens, et, surtout, des prisonnières. Un bel échantillon qui avait été enfermée et plongée en stase dans les profondeurs de son ver de Nydus. Elle évita les patrouilles tekhanes, en filant très profondément sous la terre,e t rejoignit ensuite la Fourmilière, atterrissant dans son territoire. Sans être l’une des Annexiennes les plus influentes de la Fourmilière, Sarah avait tout de même un certain pouvoir. Elle avait su concevoir des alliances juteuses avec d’autres Annexiens, comme Irina Aliev*, des alliances qui avaient su renforcer son influence, et ses multiples incursions sur Terra avaient également contribué, soit à attiser la colère d’autres Annexiens, soit à lui permettre d’étendre son influence. La Reine des Lames méritait ainsi son surnom, et commença par s’occuper de ses invitées.

Goya la suivait, évidemment. La belle Tekhane n’avait pas chômé en cours de trajet, et, pendant le trajet, qui avait duré quelques jours, elle n’avait cessé de se faire prendre de partout. La Tekhane n’avait pas vraiment eu le temps de se reposer, car elle avait du endurer la soif sexuelle des Formiens, une soif galvanisée par toutes ces belles femmes en combinaison moulante que Sarah se refusait de toucher avant d’arriver à bon port.

Une fois sur place, elle emmena les femmes dans une grande pièce cylindrique, et les attacha chacune à une sorte de trou dans le mur, où leurs bras et leurs jambes furent immobilisés par des tentacules jaillissant du mur, un mur organique. On leur bâillonna également la bouche, et, maintenant qu’elles étaient sorties du champ de stase, ce n’était plus qu’une question de minutes avant qu’elles ne se réveillent toutes. Sarah, bonne joueuse, leur laissa volontiers le temps de se remettre d’aplomb. Elles étaient prisonnières dans une sorte de grande arène cylindrique, et des créatures remuaient le long des parois, observant la scène. En contrebas, il y avait Kerrigan, avec quelques Zerglings, mais aussi des Chasseurs xénomorphes, ces belles créatures noirâtres. Goya était aussi là, observant les femmes immobilisées. Impossible, pour elles, de se défaire de leurs entraves.

« Je m’appelle Sarah Kerrigan, Mesdames ! finit par clamer Sarah, quand elle fut assurée d’avoir leur attention. Vous me connaissez comme étant la Reine des Lames, et vous êtes ici chez moi ! En intégralité ! Celles à qui vous juriez allégeance vous considèrent comme mortes ! Votre ancienne vie est terminée, et une nouvelle s’offre désormais à vous... À mes côtés ! »

Dit comme ça, le programme ne paraissait guère réjouissant. Sarah s’avança un peu. Toutes ces femmes l’entouraient, dans leurs combinaisons moulantes.

« Que celle d’entre vous qui veut faire le premier pas y pense... Et j’entendrais son appel. Et, si vous êtes trop timides pour oser... »

Sarah caressa la tête de Goya.

« C’est votre chère Goya qui désignera elle-même celle qui aura l’honneur d’être la première à goûter de ma vigueur. Vous y aurez toutes droit, l’une après l’autre... Ensuite, les festivités pourront commencer ! »

Le programme était en effet très chargé, mais, à son corps défendant, il fallait bien dire que Sarah avait, pour le coup, toute une assemblée à contenter !



* : Cf. RP « L’alliance des Annexiennes (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=13232.0) ».
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 01 juin 2014, 15:11:08
   La fourmilière, l'équivalent de l'enfer pour Tekhos. Le dernier endroit que souhaiter voir une soldate. Malheureusement, c'est l'endroit où les soldates de la Section Delta S se dirige, sans le savoir. Vaincue par un ennemie supérieur en nombre et par une ennemie qui c'était déterminer à toutes les capturer. Cette endroit sera désormais leur tombeau, l'endroit où une page de leur vie vient de se fermer et qu'une autre vient de s'ouvrir.

   Plonger dans un sommeille profond, les membres de la section Delta S était tomber dans un sommeille sans rêve, déconnecter de la réalité, ne ressentant rien et rien ne semblait pouvoir briser leur doux sommeil, préférable que d'être au main des formiens. Elles avaient été toutes soigner, plus de membre casser, de blessure, d’hématome ou autre. Elles paraissaient comme neuf. Il pourrait s'écouler un millénaire ou que Tekhos est anéantie la menace formienne, qu'elles n'en seraient rien.

   Après qu'elles furent installer dans une pièce, elles se réveillèrent lentement. Leur esprit et sens embrouiller, elles ne remarquèrent pas tout de suite le lieu où elles étaient, ni ce qui les entouraient, essayant d'abord de se souvenir de ce qui c'était passer avant leur long sommeille, elles obtenaient qu'un flot d'image et de son confus, mais elles savaient qu'elles avaient dormit longtemps, très longtemps.

   Elles ne prirent conscience de l'ampleur de leur situation, que quand les images nettes de leur mission leur revint en mémoire, avant qu'elles soient mise hors course et quand elles remarquèrent enfin l'endroit où elles étaient, les créatures les entourant et qu'elles ne pouvaient ni bouger, ni parler. Leur membres emprisonnaient par des tentacules et une sur leur bouche, les empêchant de parler, ne pouvant que gémir.

   La peur était l'émotion dominante, elles se répétaient mentalement que c'était un cauchemar, que bientôt elles allaient se réveiller et se demandaient « pourquoi nous ? ». Quelqu'une essayèrent de rester calme et de ne pas laisser la peur les dominer, de rester maîtresse d'elle même. Mistrial (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1874510) chercha a libéré son bras bionique, mais les tentacules n'étaient pas prêt de la lâcher. Jeanne (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1695243) usa de sa force amélioré pour se libéré, mais d'autre tentacules vinrent s'ajouter à celle bloquant déjà ses bras, lui rendant impossible toute tentative. Tirch (http://1e.img.v4.skyrock.net/4574/87884574/pics/3173667283_1_17_9FigXsM7.jpg), était d'un calme olympien, réfléchissant déjà à un plan, Shiranui (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1392418) était la plus apeuré et Mixim (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1695240) était partager entre la peur et l'envie. Le reste ne ressentait que de la peur et du désespoir.

   Mais le pire était celle qui les avait capturer, celle qui était désormais leur geôlière, leur bourreau et maîtresse du reste de leur vie. Les membres de la section Delta S la regardaient, comme on regardaient un monstre. De plus, la désagréable sensation d'être un buffet gratuit dans leur position, n’arrangeait rien. Quand l'annexienne leur adressa la parole, elles ne s'attendaient pas du tout à un discours de se genre, mais en rien cela les rassurèrent. Elles la regardèrent avancer, s'attendant qu'elle donne le feu vert à ses formiens pour qu'ils laissent libre court à leur pulsion.

« Que celle d’entre vous qui veut faire le premier pas y pense... Et j’entendrais son appel. Et, si vous êtes trop timides pour oser... C’est votre chère Goya qui désignera elle-même celle qui aura l’honneur d’être la première à goûter de ma vigueur. Vous y aurez toutes droit, l’une après l’autre... Ensuite, les festivités pourront commencer ! »


   Déjà, elle reçu des insultes de la part de Jeanne, Mistrial et Engiel (http://s108.photobucket.com/user/Tyjos/media/Anime%20Images/92ad1bc06f1f3be1e5d9418c39948775.jpg.html), Mixim hésitait, Ilinia, Rinko (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1392400) et Miyo (http://images.forwallpaper.com/files/thumbs/preview/22/222786__futuristic-warrior_p.jpg) regardèrent avec crainte Goya, craignant qu'elle le fasse vraiment et le reste ne se prononça pas, la peur au ventre. Mais dans tout les cas, elles allaient se faire violer, mais aucune ne voulaient faire le « premier pas », même si Mixim était tirailler entre son fantasme qui allait être réaliser et l'envie de ne pas être rejeter des autres, qui verraient d'un très mauvais œil le fait qu'elle y prenne grand plaisir : le second choix étant plus fort. Le pire cauchemar pour une Tekhane était entrain de se réaliser pour elles.

   La seule qui n'exprimait aucune pensée à part celle de tuer, qui se préoccuper pas des parole de l'annexienne et qui était concentrer sur autre chose, était Tirch ! Elle fixait Goya, voulant lui faire payer sa traîtrise et sa collaboration avec l'ennemie. Elle était habiter par un désir de vengeance, en plus par de la rage. Mais elle était impuissante, ne pouvant rien faire à part attendre.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 02 juin 2014, 00:57:43
La peur était le sentiment dominant, entraînant l’incompréhension, la surprise, la frustration, et la couleur. Elles ne comprenaient pas pourquoi elles étaient là. Qu’avaient-elles bien pu faire pour mériter une telle situation ? Kerrigan leur laissa le temps de réfléchir. Certaines laissaient s’exprimer leurs fureurs, leurs haines. La seule qui n’exprima rien à son égard fut Tirch, ses pensées semblant plutôt se focaliser sur Goya. La vengeance la dominait, avec une envie furieuse de se venger de cette femme, de la faire souffrir. Sarah sourit, ne sachant pas où donner de la tête. Elle avait envie de réconforter Shiranui, mais Mixim la tentait aussi. Mixim était une proie facile, mais Sarah voulait la faire patienter, pour qu’elle finisse par demander à se faire prendre. La Reine des Lames leur laissa le temps d’agir, mais aucune n’osa se dévouer. Elles se débattaient faiblement, leurs actions ne faisant qu’exciter davantage Kerrigan, qui sentait cette tenue moulante, ce latex, se frotter aux tentacules organiques de son antre. Sa main finit par caresser la tête de Goya, glissant tendrement dessus.

« Et bien, ma chère Goya, je crois qu’il va falloir compter sur toi. »

Avant que Goya ne se prononce, Sarah avait cependant encore quelques éclaircissements à leur faire. Un sourire mauvais éclairait ses lèvres. Un sourire pervers.

« Quand j’aurais joui en vous, Mesdames, vous serez envoyées dans une salle d’attente, jusqu’à ce que toute votre escouade soit prête. Rassurez-vous, vous ne serez pas seules dans cette salle d’attente. J’ai appelé une créature qui se fera un plaisir de veiller à ce que vous ne vous ennuyiez pas. Je vous en prie, regardez... »

Sarah imposa à elles une image mentale. Une image mentale dans laquelle elles purent voir une abominable créature violette (http://fc07.deviantart.net/fs71/i/2013/265/e/9/dark_young_of_shub_niggurath_by_dloliver-d4edrpw.png) faisant une dizaine de mètres, et qui n’étaient qu’un amas de tentacules, de gueules, et de yeux. Une pure créature formienne. Elle sentit les pensées des femmes évoluer à nouveau, et laissa l’image dans leurs têtes pendant encore quelques secondes, avant de la retirer.

« Cette créature, reprit-elle, est inépuisable. Elle s’occupera de vous le temps que je termine avec votre escouade, et puis, nous passerons aux choses sérieuses. Mes filles ont également très envie de profiter de vos corps, et je serais une bien mauvaise mère de le leur refuser. Vous voyez bien que vous n’avez aucune raison d’avoir peur. Tous vos fantasmes seront accomplis ! À partir de maintenant, vous n’êtes plus que des soldates sans cervelle prêtes à vous sacrifier pour un État corrompu suivant une idéologie ridicule. Vous êtes mes femmes, et vous serez, dans un futur proche, mes gardes du corps et mes concubines ! »

Elle avait réussi un magnifique coup de filet, et toutes ces femmes fortes et endurantes allaient pouvoir lui fournir un nombre élevé de beaux bébés formiens. Oui, c‘était vraiment magnifique. Goya, entretemps, avait réfléchi, et son doigt se tendit vers une fille. Elle regarda ensuite Sarah, et, d’une voix impassible, prononça son nom :

« Rinko, Ma Reine. »

Sarah sourit. Il fallait dire que la combinaison rose moulante de Rinko était un vrai régal, et les tentacules se déplacèrent, la retirant de son alcôve. Au centre de la place, il y avait une sorte de lit organique, et, quand bien même Rinko chercherait à se débattre, elle finit sur le lit, où d’autres tentacules s’enlacèrent fermement autour de ses poignets et de ses chevilles. Sa bouche était toujours immobilisée, et Kerrigan se pencha lentement vers elle, caressant l’une des joues de Rinko, avec une tendresse qui ne laissait entrevoir que la violence de leurs rapports prochains à venir.

« J’adore vraiment ta combinaison violette, Rinko... »

Sarah déplaça sa main pour pincer l’un de ses seins. Les plaques de chitine recouvrant son intimité s’écartèrent alors, laissant pointer son sexe. Sa verge jaillit, en érection, et tapa dans l’entrejambes de Rinko. Elle était la première choisie, et Sarah se pencha vers elle. Elle posa une main sur sa nuque, et le tentacule obstruant ses lèvres se retira alors. Cependant, avant même que Rinko ne puisse parler, Sarah alla l’embrasser, posant son autre main sur les délicieuses fesses de Rinko. Son érection explosa, et elle enfonça son membre dans l’intimité de Rinko, crevant sa combinaison à cet endroit-là, et commença à la faire remuer en usant sa main sur les fesses.

C’était la première sélectionnée, la première chanceuse, la première à pouvoir bénéficier de la queue magnifique de Kerrigan.

« Hum !! Tu es délicieuse, Rinko ! »

La baiser était un vrai régal !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 07 juin 2014, 14:19:21
« Et bien, ma chère Goya, je crois qu’il va falloir compter sur toi. »

   Leur rythme cardiaque s'accéléra, leur souffle devient plus fort, la peur se lisait dans leur yeux. En plus savoir que ce sera une personne qu'elles connaissaient et qui était leur amie, allait en choisir une pour la donner en pâture a cette femme les dégoûtaient. Elle était donc réellement passer sous la coupe de cette femme ? Ilinia était triste pour elle et triste de sa condition : ce n'était plus la Goya qu'elles connaissaient.

« Quand j’aurais joui en vous, Mesdames, vous serez envoyées dans une salle d’attente, jusqu’à ce que toute votre escouade soit prête. Rassurez-vous, vous ne serez pas seules dans cette salle d’attente. J’ai appelé une créature qui se fera un plaisir de veiller à ce que vous ne vous ennuyiez pas. Je vous en prie, regardez... »

   Elles n'eurent pas de réaction, juste des envies de mourir. Elles savaient déjà qu'elle ne leur laissera aucun repos, ni aucun moment de liberté, pas même une seconde et que leur vie ne sera que des viols à la chaîne. Les prévenir, c'était comme pour bien leur rappeler qu'elles étaient une situation plus que désespérer. Quand l'annexienne leur transmit l'image de la créature : toute, excepté Tirch qui voyait juste une créature à tuer, eurent un haut de cœur, Shiranui était à un doigts de vomir et l’excitation latente de Mixim en prit un coup. Aucune ne souhaiter le voir en vrai et surtout pas se faire violé par cette chose. Se faire prendre par l'annexienne ou autre, était largement préférable. Et quand l'image disparue, elle resta quand même graver dans leur mémoire, n'arrivant pas à s'en défaire.

   La suite du discours n'arrangea rien. Se faire violé en continue par cette créature jusqu'à la dernière d'entre elles arrivent a lui, pour ensuite se faire violé par les filles et l'annexienne et sûrement d'autre formiens, pour finir comme servante de la Reine des Lames : n'avait rien de joyeux, ni de super. Shiranui commença à avoir les larmes au yeux et Mistrial l'insulta de tout les noms quand l'annexienne insista sur « mes femmes ». Aucune ne voulait l'être, mais apparemment elles n'auraient pas le choix.

« Rinko, Ma Reine. »

   La voix de Goya les sortie de leurs pensées noir, déprimer et désespérer. L’intéresser poussa un gémissement rauque, facilement traduisible par « pétasse ». Les tentacules bougèrent, libérant ses membres, la sortant de son alcôve. Elle voulue se débattre, se libérée, mais les tentacules n'étaient pas près de la lâcher. Elle finit sur une table organique, telle une sacrifiée sur un autel pour une divinité.

   Solidement attacher et les jambes écarté, Rinko regarda impuissante l'annexienne se mettre en amazone sur elle. Rinko secoua sa tête pour dire non, mais rien a faire. L'annexienne se coucha sur elle, avec une caresse informant à Rinko sur la suite. Le compliment sur sa combinaison, n'était sûrement pas pour la flatté. Rinko gémit et rougit lentement quand l'annexienne commença a s'attaquer a ses seins et poussa un gémissement de surpris quand elle sentie quelque chose taper sur son entre-jambe, sa respiration accéléra. La tentacule sur sa bouche partie et Rinko s’apprêta a l'insulter, mais le baiser de l'annexienne fut plus rapide. Rinko ne pouvait que subir, obliger d'être embrasser et de se faire toucher, mais le pire fut la pénétration sans douceur de l'annexienne, lui arrachant un crie de douleur, brisant le baiser par la même occasion.

   Les coups de bassins de l'annexienne fessait gémir Rinko, elle tarda pas à mouiller, lentement, après plusieurs coup de bassin. L’excitation et le plaisir grandissant. L'annexienne pinçant toujours son téton, pouvait sentir ce dernier durcit, ainsi que pour l'autre. Rinko voulue répliquer quand l'annexienne lui dit qu'elle délicieuse, mais un nouveau coup de bassin l’empêcha. Son corps répondait plutôt positivement, malgré son dégoût, ses tentatives pour se libéré ou la faire partir.

   Elle aurait souhaité crier, hurlé sa rage et son désespoir, mais elle ne fessait que gémir et étouffé des cries de douleur et elle ne voulait surtout pas la supplier. Elle ne voulait pas lui donner un sentiment de supériorité  tant par ses supplications qui ne ferrait que l’excité et qui ne serviraient a rien, que part ses cries qui ne ferrait que montré son impuissance. Ses yeux ne montraient que du dégoûts et de la honte et ses pensées aussi, elle montrait à l'annexienne son refus et qu'elle devra attendre longtemps pour voir autre chose dans ses yeux.

   Le reste, ne pouvant que contemplé le viol d'une des leurs, ne pouvait que ruminer leur pensées et assisté malgré elles à cette scène, de voir leur camarde se faire violé et cette annexienne qui en profitait. Savoir qu'elles allaient y passer n'avait rien d'heureux, surtout quand on sait qu'un monstre tentaculaire immonde les attendait après. C'était comme assister à un tournage d'un film porno, mais dans ce cas, elles en sont les participantes. Mixim commençait à en avoir envie, malgré elle, elle se mit à mouiller. C'était presque comme une torture, Mixim peinait à rester calme et à ne pas vouloir être a la place de Rinko.

   Mais si l'annexienne pensait qu'elles seront toutes facilement à violé, elle se trompe : une partie d'entre-elles étaient déterminé à lui faire passer l'envie de recommencer ! Jeanne, Mistrial, Jade et Tirch sont les seuls membres qui peuvent se battre sans armes contre les formiens, du moins tant que ça reste dans leur corde, grâce à leur particularité. Ce qui est sûr, l'annexienne aura bien des difficulté avec elles !

   De plus, Jade était la seul à pouvoir se libéré grâce a sa magie ! En effet celle-ci était en train de faire deux ondes de chocs, cherchant le bon dosage pour exploser ses liens et de ne pas toucher ses voisines. Pour ça, elle se devait de rester concentré le mieux possible. Pour l'instant elle ignorait la scène devant elle, les gémissement et les cries étouffaient de Rinko... elle s'en sortait bien.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 08 juin 2014, 02:18:43
« Hum... Hum... Tu es si étroite, ma belle petite... Il était temps que quelqu’un s’occupe de toi, ma chérie... »

Sarah Kerrigan tenait Rinko entre ses bras, des bras puissants et solides. Se débarrasser de cette emprise était impossible, car la Reine des Lames avait une force surhumaine. Toutes les Tekhanes observaient ce spectacle, et Sarah sentait leur frustration, leur colère, leur profond dégoût. Elle avait néanmoins aussi senti que, dans l’absolu, elles préféraient se faire prendre par elle, plutôt que par le monstre tentaculaire. Tout ceci lui donnait des idées, et de telles pensées constituaient déjà, en soi, un aveu d’échec de la part des Tekhanes. Rinko ne pouvait que subir, et Sarah sentait sa colère, sa fureur, sa souffrance... Mais aussi son plaisir, une excitation qui grandissait et explosait, comme un torrent ardent. Les rapides montaient, au fur et à mesure que Kerrigan la labourait.

Un sourire vicieux et moqueur éclaira le visage de la Reine des Lames. Elle comprenait l’hésitation de ces femmes, leur peur. Elle était compréhensible, cette peur, mais, tôt ou tard, elles comprendraient toute la chance qu’elles avaient d’avoir été choisies par la Reine des Lames. Pour l’heure, cette dernière assouvissait enfin ses fantasmes. Elle avait reçu un véritable exploit, même pour les plus puissants Annexiens de la Fourmilière : réussir à capturer toute une escouade de soldates tekhanes ! Elles étaient fortes, endurantes, et leur jus intime parviendrait bientôt à compenser les pertes subies par Sarah pour les avoir. Toute une assistance les regardait. Le membre de Sarah remuait dans le corps de Rinko, et, si la Tekhane s’était attendue à ce que Sarah jouisse rapidement, elle en eut pour son argent. Ce fut une longue pénétration, qui dura une vingtaine de minutes.

Vingt minutes entre les bras de Kerrigan, vingt minutes à sentir cette dernière labourer son délicieux corps, vingt minutes à la sentir s’enfoncer, à la sentir remuer en elle, sans jamais devoir s’arrêter, sa verge ne semblant que grossir au fur et à mesure. Elle la prenait sans relâche, un sourire sur les lèvres.

« Humm... Tu peux mentir à tes amies, Rinko, tu peux même... Haaann... Mentir à toi-même, mais... Pas à moi. Ton corps apprécie ce traitement, alors... Accepte-le. Cesse... Haaaaannn... Cesse d’être influencée par la propagande de tes dirigeantes... »

Les tentacules avaient relâché les membres de Rinko, mais ce n’était pas comme si cette dernière pouvait faire grand-chose. Sarah continuait à la prendre, sans relâche, une main sur ses fesses, l’autre sur sa nuque. Rinko était ainsi contre elle, et Sarah déplaçait son membre en elle, d’avant en arrière, déplaçant aussi le corps de Rinko en rythme. Elle finit ainsi par se déverser généreusement en elle, poussant un long soupir de plaisir en basculant sa tête en arrière. Elle ignorait si Rinko avait joui ou non, mais ce n’était, dans le fond, pas bien grave.

Rinko resta contre le corps de Sarah pendant quelques secondes supplémentaires, Sarah ayant déplacé sa main pour empoigner les cheveux de la Tekhane, la plaquant ainsi contre son corps.

« Ne t’en fais pas, ma belle, lui susurra ensuite Rinko en caressant tendrement ses cheveux et sa joue, nous nous reverrons... »

Des tentacules jaillirent ensuite du plafond, et s’enroulèrent autour de la nuque de Rinko, ainsi que de ses poignets et ses chevilles. Un autre s’enroula autour de sa taille, et, même si cette dernière protesterait, les tentacules la soulevèrent. Sarah lui souffla un baiser, et Rinko fila ensuite dans un conduit organique. Les tentacules la tirèrent, et la balancèrent ensuite dans une sorte de grande fosse organique. Elle glissa le long d’une paroi lisse, jusqu’à s’étaler sur le sol. Une sorte de brume régnait dans cette pièce, et on pouvait apercevoir, dans les coins, des œufs... Ainsi qu’une silhouette massive, gigantesque, qui se rapprochait de Rinko.

Les tentacules jaillirent pour la prendre.

Pendant ce temps, Sarah, son sexe à l’air, observa son assemblée.

« Bien ! Quelle est la suite du programme, Goya ? »

Goya, qui semblait toujours aussi insensible, regarda autour d’elle. Elle aussi était en train de mouiller, car elle avait envie de se faire sauvagement prendre par sa Reine, mais elle se retenait, et ne tarda pas à prononcer le nom de la prochaine candidate à subir les assauts fougueux de Kerrigan.

« Miyo, Ma Reine. »

Les tentacules se rapprochèrent de cette dernière, afin de la placer sur la table organique, où Kerrigan l’attendait.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 21 juin 2014, 20:22:56
   Combien... combien de temps ce fessais t-elle pénétrait ? Trop longtemps pour elle, chaque coup fessait bouger son corps, chaque coup la rapprocher de l'orgasme, chaque coup lui donnait encore plus de raison de la détesté. Le corps tremblant sous le plaisir, l'esprit tremblant de colère, les yeux commençant à se remplir de tristesse, le souffle ardent, gémissant à chaque allée et venue, étouffant ses cries sous les coups les plus fort. Son visage rouge de honte et de plaisir, évitant le regard moqueur et victorieux de celle qui la pénétrait.

   Rinko espérait que cela prendrais fin le plus vite possible, mais cette fin ne venait jamais. Elle subissait, en plus de la pénétration, l'endurance de l'annexienne, mettant la sienne à rude épreuve. Sans pause, sans repos, la Reine des Lames la pénétrait, sans fatigue, d'une fougue sans égale et d'une envie dévorante. Rinko se fatiguait, cette partie de sexe était presque aussi éprouvante qu'un des entraînements de Kakashi

   Plus les minutes s'écoulaient, plus elle ressentait le plaisir, pas son corps, mais elle ! Son esprit commençait a céder, son visage était rouge de plaisir, mais pas assez pour qu'elle y cède entièrement et ses yeux ne trahissait qu'une faible prise de plaisir, qui augmentait lentement, mais sûrement. Si elle se fessait prendre encore plus longtemps, elle finirait sans doute par cédé a cette vaque de plaisir.

   Perdue dans tous ses états, n'arrivant à se concentré normalement, elle n'écoutait qu'a moities l'annexienne, ne comprenant pas ce qu'elle disait. Elle ne chercha pas à frapper cette femme, quand ces membres furent libres, mais juste tenté de la repousser, cherchant à ralentir le rythme. Mais cela ne servait a rien et elle finit par jouir, une minute avant que l'annexienne ne se vide en elle et la remplisse de sa semence. Dégoûter par ce flot de sperme dans son intimité, inquiète par le fait qu'il y ait des risques qu'elle tombe enceinte de cette femme, terrorisé par ce qu'elle va subir ensuite, essoufflé et fatigué par cette longue séance de sexe sans repos ni pause : Rinko avait due mal à gérer tout ça, ne fessant que la tresser. Elle se laissa faire par l'annexienne, quand celle-ci l'attrapa pour la coller contre elle, n'ayant pas assez de force pour la repousser.

« Ne t’en fais pas, ma belle, nous nous reverrons... »

   Rinko voulant lui dire d'aller se faire mettre, ne parvint qu'a pousser un murmure. Elle ne chercha pas à se débattre quand les tentacules vinrent la prendre, avant de l'amener dans un conduit organique, d'aspect gluant et visqueux. Elle lâcha un petit crie de peur, quand les tentacules la jetèrent dans une fosse. Elle glissa contre une parois comme un toboggan, ressentant à travers sa combinaison la texture gluante et le bruit tout aussi gluant qu'elle fessait en passant dessus. Elle ne fit pas attention à l'arriver, elle s'étala de tout son long avant de se mettre debout, chancelant sous la fatigue.

   Elle observa l'endroit rapidement, avant que son regard ne soit remplit d'une peur indescriptible quand elle observa le monstre qui se tenait face a elle. Elle ne pouvait déterminer sa hauteur, ni sa largeur, tellement que l'amas de tentacule était grand et bouger. Tétaniser, elle ne parvint pas échapper aux tentacules qui l'attrapèrent et la menèrent au monstre, la plongeant dans cette marre de tentacules.

   À peine qu'elle arriva aux premières tentacules, l'une d'elle pénétra de force son intimité déjà violé par l'annexienne, heurtant son col de l'utérus avec force, lui arrachant un crie de douleur, une autre en profita pour entrer dans sa bouche grande ouverte, raclant sa gorge, si épaisse que sa bouche était maintenue grande ouverte. Au niveau de ses fesses, une tentacule perça sa combinaison et pénétra lentement dans son fondement, prenant le temps d'entrée et de recouvrir d'un liquide facilitant sa pénétration, dilatant sa peau et ses parois rectale.

   Quand celle-ci parvint à entrer dans son fondement, allant le plus loin possible, d'autres tentacules entrèrent dans sa combinaison, se collant a sa peau, caressant ses formes, allant dans tout les endroit possible . Deux tentacules, qui étaient entrée sous sa combinaison, s'enroulèrent chacun autour de ses seins, les pressant et les malaxant, caressant ses tétons. Rapidement, tout son corps fut parcourue par des tentacules, recouvrant l’intérieur de sa combinaison d'un liquide gluant et visqueux, lui donnant l’impression de baigner dans un bain de ce même liquide.

   À ce stade, Rinko ne pouvait que subir, sans rien pouvoir faire, ses membres bloquaient, subissant les assauts des tentacules sans même pouvoir crier sa douleur, elle ne pouvait que pleurer, la seule chose qu'elle pouvait faire. Chaque tentacules qui la pénétraient, mettaient du cœur à l'ouvrage, la pénétrant sans pause, d'un rythme rapide, soutenue et avec force.
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   Durant ce même moment, Miyo venait d'être choisit pour être la prochaine à subir les assauts de la Reine des Lames. Comme Rinko, elle fut retiré de son alcôve et amener à la table organique. Contrairement à Rinko, Miyo se débattit avec plus de hargne, si bien qu'il fallut plus de tentacule pour l’empêcher de bouger, afin de permettre a l'annexienne de la baiser sans qu'elle ait à la maîtriser. Mais si elle a avait put percé facilement la combinaison de Rinko, celle de Miyo était une autre histoire : moins souple, plus rigide et bien plus épaisse que certaine, en plus de porter une légère armature de fer. Mais cela n’empêcher pas le fait qu'elle pouvait être percer et découper avec une lame ou des griffes bien solide et affûté.

   Ce qui ne tarda pas arriver, sa combinaison fut promptement découper au niveau de son intimité, laissa la voie libre à l'annexienne. Miyo serra les dents, se préparant à la pénétration, qui ne tarda pas. Elle poussa un gémissement d'une profonde douleur quand la verge de la femme heurta avec force son col de l'utérus, ne pouvant crié avec la tentacule bouchant sa bouche. La suite ne fut pas mieux, quand les allées et venues commencèrent, la femme la pénétrant avec force et vigueur et Miyo ne pouvant que gémir sa douleur et son impuissance. Elle était rouge de honte, son corps commençant à répondre timidement au plaisir, humidifiant lentement son vagin afin de rendre les allées et venues moins dure et facile ! Miyo avait les larmes au yeux, mais ce refusa de pleurer ni de céder, ses yeux témoignant de sa détermination à ne pas céder.

   Au bout de quelque minute, qui correspondait à une éternité pour Miyo, son vagin était parfaitement mouiller, rendant les allées et venues bien plus facile, permettant ainsi d'aller plus vite et plus fort. Son corps ne céder pas aussi facilement au plaisir, et même si Miyo le ressentait elle le repoussait comme la peste. Qu'importe les paroles de l'annexienne, cela ne changeait en rien Miyo, refusant de céder à ce plaisir qu'elle voyait comme ça comme la pire chose au monde.

   Le temps passait, les autres assistaient toujours avec le même esprit de colère et de résignations pour certaines. Tirch était toujours focaliser sur Goya, commençant a imaginer le meilleurs pour lui faire regretter son geste, mais la disparition de son champs de vision de Rinko l'amena à devoir s'occuper aussi d'elle. Mais dans le lots, une des femmes ne pensait plus à rien, se concentrant le plus possible, oubliant tout de l'endroit qui l'entourait : Jade. Celle-ci venait de trouver ce qui lui semblait le bon dosage, mais elle préféra ne pas se libérer tout de suite, elle ne ferait libérait ses bras, car n'était pas sur la trajectoire de la puissant de ses ondes chocs. Elle se devait donc de trouver le meilleurs moyen pour que ses ondes de chocs puissent la libérer d'un coup, mais le moment était proche, encore un peu et ça sera bon.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 22 juin 2014, 01:51:58
Miyo se débattit vainement, avant de se retrouver, comme sa congénère, pénétrée par Kerrigan. Miyo était une têtue, comme ces autres femmes. Sarah Kerrigan avait du la capturer en personne, au milieu d’un combat ayant impliqué de redoutables araignées géantes. Miyo portait encore son foulard, ainsi que son espèce de monocle de visée, et même sa capuche quand Sarah vint à la pénétrer. La Reine des Lames la prit dans la même position que Rinko, en restant de bout, ses pattes se glissant dans le dos de Miyo pour la maintenir, une patte sur la tête, et l’autre sur le reste de son corps. Comme pour Rinko, ce ne fut pas un court coït, mais quelque chose de long, encore plus long qu’avec Rinko, car Sarah avait eu le temps de s’échauffer avec la première Tekhane. Ces pauvres femmes allaient vite comprendre que Kerrigan était une Annexienne terriblement endurante, et que le sexe ne parvenait tout simplement pas à l’épuiser. Miyo allait donc devoir l’endurer un petit moment, ce qui n’était évidemment pas pour déplaire à Kerrigan, dont le regard brillait de lubricité.

Goya, de son côté, ne restait pas totalement inactive. Sous sa combinaison, la Reine lui avait offert un cadeau : un gode formien spécial, qui s’alimentait de sa mouille pour grossir, formant deux longues verges s’enfonçant dans son vagin et dans son anus. Elle soupirait silencieusement, jouissant sur place, s’appuyant contre le rebord de la grande pièce circulaire. Elle observait ce spectacle avec délice, ayant attendu depuis si longtemps que ses anciennes camarades se trouvent ici, avec elle. Goya ne les avait jamais trahis. Elle les considérait toujours comme sa famille, et, bientôt, ces Tekhanes comprendraient aussi ce qui était le mieux pour elles. Elles comprendraient toute la chance qu’elles avaient d’être là, qu’elles avaient d’être choisies par cette femme, par la Reine des Lames. Comment ne pas l’aimer, comment ne pas la trouver attirante ? Dire qu’il fut un temps où Goya avait pu haïr cette femme, et rêver de lui coller une balle en pleine tête... Elle était maintenant bien loin de ça, dans un autre monde.

Kerrigan la prenait, encore et encore, remuant ses hanches. Il se passa un bon quart d’heure avant qu’elle ne finisse par jouir, écrasant le corps de Miyo contre le sien. Elle jouit longuement, pendant une minute, déversant son sperme sans relâche, crachant de nombreuses giclées en elle. Elle jouissait en soupirant, la tête basculée en arrière, se vidant contre Miyo. Elle se moquait alors bien de savoir ce que Miyo éprouvait, si cette dernière était, comme Rinko, en train de sombrer, ou si seule l’indignation restait en elle. Tôt ou tard, elles finissaient toutes par sombrer, et par admettre la chance qu’elles avaient d’être ici.

Venant de jouir, Kerrigan remua lentement, et des tentacules s’approchèrent.

« Tu es très agréable, ma belle... Allez, prépare-toi à rejoindre ta camarade... »

Sa voix était mielleuse et douce, et les tentacules saisirent Miyo, l’entraînant dans la fosse du monstre. Ce dernier était en train de pénétrer Rinko rudement, suivant les instructions de sa génitrice : éviter de trop déchirer les combinaisons des Tekhanes. Les tentacules pénétraient Rinko dans tous les sens, ses tentacules enlaçant son corps, la pressant, la comprimant. Même si Miyo aurait voulu fuir, la paroi était trop lisse pour qu’elle grimpe, et les tentacules la saisirent à son tour. On pouvait voir que des tentacules supplémentaires jaillissaient du corps du monstre, et même depuis les tentacules, formant un épais ensemble qui grouillait dans les airs, une véritable forêt tentaculaire.

Dans l’autre pièce, Sarah Kerrigan observa ses autres proies. Son sexe était toujours redressé, avec des traces de mouille et de sperme dessus, et elle observait ses proies. Goya venait d’avoir un orgasme, et avançait lentement.

« Shiranui a très peur, ma Reine... »

Effectivement. La géante tremblait sur place, et Sarah se mit à sourire.

« Alors, je crois qu’il est temps de la rassurer... Vous n’êtes pas en Enfer, mes chéries. Cet endroit-ci est le paradis, et, quand vous serez prêtes, vous comprendrez à quel point votre nouveau territoire est magique. »

Elle leur sourit généreusement, un sourire pervers sur les lèvres. À moins qu’une autre Tekhane ne se dévoue, Shiranui allait être la prochaine, mais, avec elle, Sarah serait plus douce. Elle ne voulait pas les détruire, après tout.

Simplement les former.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 22 juin 2014, 21:49:30
   Ce fut plus long pour Miyo, elles le remarquèrent toutes, mais l'inverse aurait été bien meilleurs, à savoir que cela devenait de plus en plus cour. Hélas, fallait croire cela serait de plus en plus long à chaque fois qu'elle en prendra une autre, l'annexienne ne devait que s'échauffer et s'y ça se trouve, ce n'est qu'une partie de ce qu'elle peut faire. Pour Miyo, juste de longues minutes à espérer la fin de ce tourment. Même si elle était fermement attacher, elle se débattait avec ses liens,
voulant se libérer, mais les tentacules se resserraient sur ses membres, les comprimant. Elle se sentait souiller, comme pour le fiasco dans les égouts et même si elles avaient permit de faire fuir l'annexienne, cette mission était comme une victoire pour les formiens à ses yeux. Ses gémissement était partager entre le dégoût et la douleur, voulant que cela s’arrête. Chaque coup fessait trembler son corps, parcourue par des frissons et des spams. Si un jour l'occasion se présente, elle se vengera.

   Il s'écoula encore une bonne dizaine de minute, avant que l'annexienne ne finisse par donner son dernier coup ce vider en elle, éjaculant à grande dose, remplissant son utérus. Miyo fut encore plus dégoûter, elle tourna sa tête de côté, préférant regarder un point imaginaire que de regarder l'annexienne prendre du plaisir à se vider en elle. Elle regarda Goya, ne pouvant réprimer un sentiment de peine.

« Tu es très agréable, ma belle... Allez, prépare-toi à rejoindre ta camarade... »

   Miyo la regarda à nouveau, si elle n'avait pas la tentacule bloquant sa bouche, il y aurait un tas d'insulte et de malédiction que Miyo lui aurait cracher à la figure. Des tentacules vinrent l'attraper, avant que ses liens ne la lâche. Elle jeta un dernier regard haineux vers la Reine des Lames qui était déjà tourné vers le reste, avant de disparaître dans le troue dans le mur en même temps que la tentacule qui lui servait de bâillon s'enleva.. Elle fut lâcher dans le toboggan, elle chercha à s'agripper, mais ses mains ne fessaient que glisser sur la texture gluant du toboggan. Une fois en bas, elle se réceptionna tout aussi mal que Rinko, mais ne perdit pas de temps à regarder l'endroit, sachant où elle se trouvait et face a qui.

   Sans regarder le monstre, elle se mit a courir, cherchant à éviter les tentacules, mais plutôt que de chercher à la poursuivre, le monstre abattit une de ses plus grosses tentacules devant elle stoppant brutalement sa course, ce qui lui permit de la capturer. Une dizaine de tentacule, l'attrapèrent, bloquant ses bras dans son dos et écartant ses jambes. Elle fut amener au même niveau que Rinko, elle regarda son amie, choqué par sa situation. Mais elle n'avait guère le temps de penser à Rinko, car tout de suite, une tentacule vint pénétrer sans douceur, heurtant son col de l'utérus, avant de menacer d'aller visiter son utérus. Cela lui arracha un crie de douleur, avant qu'il ne soit étouffer par deux tentacules qui fessait ensemble une gorge profonde.

   Une tentacule tenta de percer sa combinaison pour aller visiter son fondement heurta sa combinaison, ne pouvant la percer. Mais le monstre, pas prêt d’abandonner, continua de persisté cherchant à percer sa combinaison, en même temps que d'autres tentacules entrèrent par le trou déjà présent dans la combinaison, remontant le long de son corps, rependant une sorte de bave gluante et en quantité. Sa combinaison étant moins élastique et plus serrée que celle de Rinko, les tentacules avancèrent avec mal, mais cela n’empêcha pas qu'au bout d'un moment, deux tentacules s'occupaient chaqu'un d'un de ses seins comme il fallait.

   Est pour finir, le monstre trouva enfin un moyen de percer sa combinaison, et envoya sans perdre de temps une tentacule pénétré de force le fondement de Miyo qui subit à son tour le rythme vertigineux et la force impressionnante des tentacules. Tout comme Rinko, elle ne pouvait rien faire à part subir. Elle regarda sa camarade, situer une peu plus haut qu'elle. Elle pleurait, ses larmes coulant sans s'arréter. Elle essayait, sans y croire un instant, de se libéré mais cela ne fessait qu'excité les tentacules qui se balader sous sa combinaison et contre sa peau et celles qui se frottait à elle. Miyo comprit qu'elle allait souffrir un très long moment.
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   Mais durant tous ce temps, dans l'autre salle, plusieurs événement c'était enchaîner. Revenons dans le temps.

« Shiranui a très peur, ma Reine... »

   L’intéresser trembla encore plus, elle avait pleurer et était sur le point de le refaire. D'autant plus que les paroles de l'annexienne n'avait rien de rassurant. Elle regarda avec crainte et peur les tentacules qui se rapprochaient pour le prendre, la peur au ventre.

*JE PREND SA PLACE*

   Ce fut Jeanne qui hurla, dans sa tête, cette phrase. Les tentacules s’arrêtèrent, Jeanne regarda avec colère, défis et détermination l'annexienne. Si elle pouvait lire dans son esprit, elle verrait que Jeanne ne le fessais, ni par résignation, ni par une envie d'en finir le plus vite ou qu'elle n'avait plus rien a perdre ou autre. Elle le fessait pour Shiranui, cela ne fessait que retardé l'inévitable, mais elle ne supporté pas l'idée de voir sa seule amie d'enfance se faire violer devant ses yeux, quiconque connaissait Jeanne, savait qu'elle était très protectrice envers Shiranui qu'elle considérait comme sa sœur ! Mais aussi, l'idée que son amie perde sa virginité au profit de ce monstre lui donner une envie folle de casser lui casser la gueule (à l'annexienne). Quitte à perdre sa virginité à ça place, ne la gêner pas. En effet, Shiranui et Jeanne, ainsi que d'autre membre de la section, étaient vierge !

   Mais qu'elle que soit la décision de la Reine des Lames, elle n'aura guère le temps de l'exprimer, car sur sa gauche, ce qui ressemblait a une explosion, sans le bruit, sans fumé, ni autre déchira l’alcôve de Jade (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1702080)*. Ses ondes de chocs qu'elle préparait depuis un bout de temps avait portait leur fruit, elle avait littéralement éclater le mur de l’intérieur, lui permettant de se libéré. Elle avait tenté quelque chose de risqué, mais cela valait le coup : elle avait augmenter leur puissance, mais déclencher ses ondes de façon à ce qu'elles détruise son alcôve, ce qui fait qu'une partie de son corps avait été toucher par ses ondes de chocs. C'est comme si quelqu'un c'était amuser à lui foutre des coup de marteau par tout. Même si elle avait un sourire pas du tout rassurant, des yeux flamboyant de colère et de vengeance, c'était pour cacher la douleur qu'elle ressentait.

-Tu as fait une grave erreur... tu a crus naïvement qu'aucunes d’entre nous tenteraient quelque chose ?

   À ces mots, elle envoya une nouvelle onde de choc sur l'annexienne, qui fut violemment envoyer valser sur plusieurs mètre, avant de heurter un mur. Elle devait avoir une côte casser sur le coup et les boyaux violemment malmener. Des Xénophormes chargèrent Jade qui venait de s'en prendre à leur maîtresse.

-RETOURNEZ À LA NICHE VOUS !

   Une autre onde de choc, plus forte et sur une plus grande surface, les envoya valser loin en arrière. Jade se sentait revigorer et puissante ! Elle envoya valser Goya sur l'annexienne, sans ce soucier de ce qu'elle voulait faire ou dire. Des tentacules jaillirent du sol et du plafond, les esquiver et les repousser était facile pour elle.

-Tu viens de violer deux de nos camarades, ne t’attend pas a ce qu'on soit gentille et obéissante !

   Jade prépara de nouvelle ondes de chocs, si l'annexienne se demandait pourquoi elle fessait ça, c'est uniquement parce que Jade ne supportait pas de voir ses camardes se faire violer, refusait d'admettre sa défaite et surtout elle voulait pousser à bout l'annexienne et qu'elle fasse une erreur.


* je me suis rendue compte que j'ai pas mit l'image avant du coup je la met maintenant ><
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 23 juin 2014, 00:38:59
Tandis que le monstre tentaculaire se faisait plaisir, sans que les heureuses Tekhanes ne purent faire quoi que ce soit pour s’opposer à la volonté impériale du monstre, Kerrigan, elle, opta pour Shiranui. La pauvre était terrifiée, et pleurait silencieusement. Sarah se devait tout de même de la réconforter... Et dire qu’on osait la comparer à un monstre ! Elle avait pourtant des sentiments, mais elle se méfiait tout simplement de cette chose que les humains appelaient l’individualisme. Les humains avaient naturellement tendance à se méprendre, pétris qu’ils étaient dans leur ignorance teintée d’arrogance. Il fallait se méfier de la notion de volonté et de libre-arbitre, car ces concepts étaient trompeurs. La Reine des Lames l’avait compris en devenant une Annexienne, et en comprenant clairement ce qu’était la notion de « famille » et de « société ». Aucune société humaine n’était plus solidaire et plus organisée que la Fourmilière. Il fallait juste que ces femmes le comprennent, et, pour ça, il fallait les forcer un peu. Sarah allait donc s’occuper de Shiranui... Lorsqu’une femme voulut prendre sa place.

Surprise, Sarah se retourna, et vit que le message venait de Jeanne, une belle femme forte et autoritaire avec de longs cheveux bleus. Elle était vierge, tout comme Shiranui. Ceci ne faisait qu’exciter davantage Sarah, dont l’érection se renforçait, s’accroissant lentement. Elle se masturbait tendrement, et sourit. Cette Jeanne se sacrifiait pour le sort de Shiranui. Honorable... Sarah allait donc la satisfaire, mais un autre coup de théâtre l’interrompit. Jade, une belle femme noire avec une poitrine énorme, réussit à se libérer à l’aide d’ondes de force. Elle défonça son alcôve, et, sous une Sarah médusée, Jade l’attaqua, envoyant une puissante onde de choc vers l’Annexienne, la soufflant. Dans un hurlement de douleur et de colère, cette dernière s’envola sur plusieurs mètres, et rebondit sur le sol à toute allure, se brisant plusieurs côtes, avant d’heurter le mur. En retour, des Formiens attaquèrent immédiatement Jade, qui déclencha une autre onde de force, repoussant les Formiens en les mutilant. Sarah se relevait lentement, du sang s’échappant de ses lèvres, tandis que les ondes de chocs faisaient trembler la pièce, explosant les tentacules cherchant à la retenir.

Sarah se releva donc, de l’autre côté de la pièce, et tendit sa main.

« Ton courage est admirable, Jeanne... Mais totalement vain ici. »

Elle balança à son tour une onde de choc, formant une sorte de boule bleue qui fondit vers la femme. Sarah se mit ensuite à courir à toute allure, atteignant une vitesse surhumaine, et bondit sur l’alcôve, s’envolant dans les airs. Une autre onde de choc la frappa, la repoussant. Sarah tomba à nouveau sur le sol, et se concentra. Elle était chez elle, et le sol se mit à onduler sous Jade. Il se suréleva alors brusquement, formant un épais pylône qui renversa la jeune femme. Les autres Tekhanes auraient pu en profiter pour se libérer, aussi Sarah renforça encore ses liens, manquant les étouffer. Elle se releva à nouveau, laissant son corps cicatriser, et ne laissa à Jade aucun répit. Des tentacules supplémentaires jaillirent alors, et attachèrent chacun des membres de la femme, tirant alors, comme pour tenter de l’écarteler.

Sarah se rapprocha de Jade. Sous le combat, le manteau noir de la femme s’était ouvert, révélant son petit string noir. Sarah se dressa au-dessus d’elle.

« Je ne tuerais pas, Jade... Je ne tuerais aucune d’entre vous. N’avez-vous donc pas compris que vous êtes mes invitées ? Comme Goya, vous finirez heureuses, heureuse de votre sort. »

Pour Sarah, ça ne faisait aucun doute, mais elle pouvait déjà voir les différences de tempérament. Jade avait joué son va-tout en espérant que Kerrigan la tue sous la colère, ce qui arrivait parfois auprès de certains Annexiens. Cependant, Sarah était plus maligne que les autres. Les tentacules immobilisaient Jade, et Sarah resta au-dessus d’elle. Elle commença par se masturber tendrement, longuement, afin que sa verge retrouve une belle taille. Un sourire sur les lèvres, la Reine des Lames s’assit ensuite à califourchon sur le corps de la femme, et vint peloter ses seins, les caressant tendrement, pinçant ses tétons. Elle avait des seins énormes, et Kerrigan comptait en profiter.

Son premier geste fut de glisser sa verge entre ses seins, et elle remua ces derniers, se masturbant à l’aide de sa poitrine, poussant des soupirs de plaisir. Son corps avait cicatrisé, confirmant sa puissance terrifiante dans ce domaine.

« Hum... Je vais calmer ton agressivité, ma belle... Oui, je vais toutes vous maîtriser, haaaa... Et vous m’aimerez toutes, hum... »

Pour elle, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le lundi 23 juin 2014, 16:30:22
   Jade avait sentie un immense sentiments de bienfait et de plaisir d'avoir blesser et fait souffrir l'annexienne avec sa onde de choc. Un sourire de victoire éclairer son visage, certaines penser vraiment qu'elle pourrait battre l'annexienne, mais d'autre ne fessait pas d'illusion. Jade ne se rendrait pas sans combattre, tant qu'elle pourait bouger et agir comme bon lui semble, elle continuera à mener la vie dure à cette annexienne.

   Elle repoussa à nouveau des formiens qui c'était rapprocher d'elle, ils l’empêchaient de s'en prendre à nouveau à leur maîtresse, ce qui ne fessait qu'énerver Jade qui gaspiller son énergie à les repousser, en plus des tentacules. Elle regarda l'annexienne a l'autre bout de la pièce, face à elle. Celle-ci complimenta son courage, mais souligna l'inutilité de son action. Elle lui envoya elle aussi une onde de choc sous forme de boule bleu transparente, ce qui surprit grandement Jade. Elle réagit en envoya une autre onde de choc, afin de contrer celle de l'annexienne, les deux se heurtèrent dans un claquement d'air, créant une sorte de d'onde de choc, balayant tout sur un rayon d'un mètre. En même temps, l'annexienne c'était déplacer vers sa direction à grande vitesse. Elle bondit sur elle, cherchant sans doute à la plaquer sur le sol, mais Jade fut plus rapide et elle envoya une onde de choc arréter l'envol de l'annexienne, la repoussant et la fessant chuter sur le sol. Elle prépara deux nouvelles ondes de chocs, cette fois l'annexienne ne s'en sortira pas aussi facilement !

   Mais sans qu'elle le remarque, le sol ondulait avant de créer un pylône qui surgit sous les pieds de Jade, qui arrêta ses ondes de chocs sous la surprise. Mais le pylône était sortie du sol très vite, lui fessant perdre l'équilibre avant qu'elle ne tombe en arrière. Immédiatement, des tentacules sortirent du sol, bloguant ses membres, avant de la coucher sur le sol, d'écarter ses membres et de menacer de les arracher. Pour les autres, leur liens se resserrèrent d'avantage, compriment leur membres, ainsi l'annexienne était sûr qu'elles ne pouvaient plus s'échapper. La joie de voir Jade se libérait et de s'en prendre à l'annexienne disparue vite fait, en même temps c'était courue d'avance.

   Jade essaya de forcer ses liens, mais c'était pareil que de rien faire. Elle regarda l'annexienne qui se rapprochait d'elle, impuissante et sans défense. Elle ne pouvait plus utiliser ses ondes de chocs tant que ses bras étaient bloquer dans cette position, elle pouvait faire comme elle a fait pour se libéré, mais il lui fallait se concentrer  et du temps, hors elle n'avait ni l'un ni l'autre.

« Je ne tuerais pas, Jade... Je ne tuerais aucune d’entre vous. N’avez-vous donc pas compris que vous êtes mes invitées ? Comme Goya, vous finirez heureuses, heureuse de votre sort. »
-Invitées ? Je me rappelle pas d'avoir reçu d'invitation, ni avoir eu l'envie de venir. Dit plutôt que tu nous a kidnapper et que nous sommes tes prisonnières ! Et devenir heureuse de notre malheur, franchement j'ai des doutes. Grogna Jade.

   Elle regarda sans être gêner ou autre, la formienne qui se masturbait au dessus d'elle. Elle n'avait aucun pudeur, mais Jade n'en n'avait que faire, car elle voyait que la verge de l'annexienne prenait de l'ampleur et cela ne la rassurait pas sur la suite des événement et elle l'appréhendait. L'annexienne finit sa masturbation et s'assit a califourchon sur elle. Jade lui lança un regard mauvais, regard qui changea en un regard embarrasser, quand l'annexienne s'en prit a son opulente poitrine, la pelotant, la caressant et jouant avec ses tétons à traver ses habit en latex. Jade n'aimait pas ça, car ses un de ses point faible au lit. D'ailleurs, ses tétons ne mirent pas longtemps avant de durcir. Jade commençait a gémir et à rougir, même si c'était fait de manière agréable, elle ne supportait pas le fait que ce soit une formienne qui le fasse.

   Quand l'annexienne vint à mettre sa verge entre ses deux globes mammaires et s'en servit pour la masturbait, Jade ne sentie d'une certaine manière humilier. Son haut menaçait de partie et de mettre à l'air libre sa poitrine, avec les mouvements de l'annexienne, mais pire que tout Jade ne pouvait utiliser ses ondes de chocs, car ses liens bloquaient ses avants bras et donc hors de porter et elle ne pouvait diriger ses ondes de chocs vers l'annexienne.

« Hum... Je vais calmer ton agressivité, ma belle... Oui, je vais toutes vous maîtriser, haaaa... Et vous m’aimerez toutes, hum... »
-Plutôt... mmmh.. crever ! Souffla Jade entre ses dents

   Jade regardait l'annexienne qui se servait de sa poitrine pour masturber sa verge, un regard de dégoût et d'impuissance. En plus de faire des allées et venues avec sur sa verge, elle continuait à les malaxer a même temps et de jouer avec ses tétons, continuant cette douce torture de sa poitrine. Jade gémissait, elle ressentait des frissons de plaisir, ses tétons étaient dure et elle gémissait de plus belle. Son habit cachant sa poitrine finit par remonter, laissant à l'air libre ses deux seins. Son haut cacher de sa vue la verge de l'annexienne, mais maintenant elle la voyait et redoutait le moment où l'annexienne atteindra l'orgasme, car tout partira sur son visage.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 24 juin 2014, 01:22:03
« Tu ne comprends donc pas, ma belle ? Les Formiens sont venus libérer l’humanité d’elle-même... Ils sont venus la libérer du joug oppressant de l’arrogance et de l’individualisme trompeur... Tout est tellement évident, pourtant... »

Sa voix se faisait douce, comme si la rébellion de Jade ne l’avait pas énervé. Elle s’était attendue à un coup de ce genre. Ces Tekhanes ne se rendraient pas facilement, Sarah le savait. Elle avait été à leur place, jadis, avant de comprendre que c’était son orgueil qui l’empêchait de voir la vérité. Les Formiens n’étaient pas des envahisseurs, ils étaient des libérateurs, venus apporter la paix et l’harmonie. Si Dieu existait, alors ils en étaient ses plus purs instruments. Ils étaient unis, soudés. Sarah remuait sur le corps de la femme, pétrissant ses seins, entendant cette dernière gémir de plaisir et se contorsionner. La belle verge violette de Kerrigan remuait entre les gros seins de Jade. La belle femme noire était peu à peu en train de céder du terrain, et son plaisir confirmait tout à fait la théorie avancée par Kerrigan.

Elle ne se trompait pas, tout était pour elle limpide, et elle continuait à onduler sur le gracieux corps de la femme.

« Vous haïssez les Formiens, et pourtant vos films pornographiques sont remplis de Formiens... Vous haïssez les mâles, vous haïssez tout ce qui est différent de vous. Ne le vois-tu pas, Jade ? L’humanité n’est qu’un ensemble de contradictions et d’incompréhensions, car la vérité vous effraie, et vous vous réfugiez derrière votre orgueil pour masquer votre ignorance. Vos grands principes ne valent rien. Là où vous vous dites libres, je ne vois que de l’exploitation, et un semblant de liberté. Ici, il n’y a pas de crimes. Ici, il n’y a pas de corruption, il n’y a pas de Formiens qui tuent d’autres Formiens pour des scènes passionnelles, pas de système monétaire. La Fourmilière n’est pas égalitaire, ma belle, c’est vrai, mais la Nature n’a jamais été égalitaire, et l’humanité ne l’est pas non plus. »

Sarah Kerrigan parlait sur un ton langoureux, lent, tout en continuant sa cravate de notaire. Avec la poitrine opulente de Jade, c’était particulièrement simple et gratifiant, d’autant plus que ces derniers se tendaient, déformant les vêtements de la jeune femme.

« Vous avez peur des Formiens comme vos ancêtres craignaient leurs voisins. Vous haïssez ce que vous ne comprenez pas, car vous êtes incapables de vous comprendre vous-même. Ne le nie pas, Jade... Tu me hais, tu voudrais me tuer, et pourtant... Pourtant, ton corps ressent les frissons du désir, l’envie envers moi... Comment te l’expliques-tu, ma belle ? Pourquoi tes seins sont-ils sont tendus, alors que tu me détestes ? Tu vois bien... Tu n’es pas capable de te comprendre toi-même, et tu voudrais contrôler ce monde. C’est stupide... »

Sarah tendit l’une de ses mains, et caressa l’une des joues de Jade, tout en continuant à remuer sur elle. Son sexe était tendu, assoiffé, désireux de jouir, mais elle s’arrêta alors. Elle ne jouirait aujourd’hui que dans le vagin de ces drôles de dames, et elle tenait à suivre ce principe. Elle se redressa donc, et tira sur le string de Jade, révélant sa belle intimité, puis s’avança progressivement sur elle.

« Tu finiras par comprendre, ma belle... Et ensuite, tu me remercieras. »

Sarah la pénétra alors, et l’embrassa.

Les choses sérieuses pouvaient maintenant commencer, mais, comme elle s’était plutôt bien masturbée contre ses seins, son sexe était déjà tendu. Elle avait tenu à faire ce préludez afin d’échauffer Jade... De cette manière, sa première fois serait bien plus agréable pour elle aussi.

Il fallait bien penser aussi au plaisir de ses propres invitées.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mardi 24 juin 2014, 14:49:32
   Jade était un peu perdue dans l'explication de la cérébrate et par le plaisir qu'elle ressentait. Néanmoins elle se devait d’éclaircir certains point où l'annexienne se tromper sur son compte.

-J'suis un peu perdue, mais tu te trompe sur certaines chose : j'ai jamais dit que j'haïssais les formiens parce qu’ils sont différents et j'ai pas peur d'eux car je connais pire ! Et si je ressens du plaisir et que mes seins sont tendues, c'est juste parce c'est un endroit sensible, j'aime que me les tripote et c'est un de mes points faible au lits ! Articula Jade, essayant d'étouffer au mieux ses gémissement pour ne pas hacher ses paroles.

   Elle tenta d'échapper à la caresse de l'annexienne, mais c'était inutile. Après un moment, l'annexienne arrêta sa masturbation à l'aide de sa poitrine, ce qui n'était pas pour déplaire Jade qui craignait que la formienne ne jouisse sur son visage. Elle regarda l'annexienne se déplacer, sachant ce qu'elle allait faire, elle déglutit, une sueur froide coula dans son dos, le regard plein d'appréhension. Elle aurait préférer qu'elle continue de se masturber avec sa poitrine.

« Tu finiras par comprendre, ma belle... Et ensuite, tu me remercieras. »

   Elle abaissa son bassin, pénétrant son vagin serrer, déchirant son hymen, écartant et raclant ses parois intimes. En effet, l'annexienne venait de voler la virginité de Jade, même si cette dernière avait déjà eu des petits rapports avec d'autres filles, elle avait voulue garder sa virginité pour celle qui serait son âme sœur. C'était très douloureux, même si l'annexienne l'embrassait, ses gémissement de douleur se fessait faiblement entendre. Des larmes de douleurs lui montèrent au yeux, mais elle essayait de vaincre cette douleur. Elle se fessait pénétrer pour la première, ça lui aurait fait plaisir en d'autre circonstance, mais là elle ne pouvait que rager.

   Chaque coup remuant son corps, lui arrachait un gémissement et elle étouffait tant bien que mal ses cries. Elle découvrit un nouvelle forme de plaisir. Jade subit l'endurance, la force et l'ardeur de l'annexienne dans sa pénétration. Son vagin se mit à mouiller lentement, lubrifiant l'intérieur, rendant les pénétrations moins dur. Mais cela n'aider pas vraiment Jade, qui ne savait plus comment réagir.
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   Durant ce temps, Miyo et Rinko n'étaient pas mieux logis. Rinko qui fut la première à être arriver, n'avait plus aucune force et rien que de tenter de s'accrocher à une tentacule était impossible pour elle. Mais cela n'était pas une raison nécessaire pour que le montre s’arrête, même si ses tentacules tenaient Rinko, celles qui parcouraient son corps et qui la pénétrer, continuer leur travail sans repos. Miyo était dans le même état, elle avait encore de l'énergie, mais qu'elle gaspillait à vouloir se libérer, amusant le monstre. Entre-temps le montre avait rapprocher les deux soldates, les collant l'une à l'autre, frottant leur combinaisons entres-elles.

   Les deux avaient le regard perdue, n'ayant aucun endroit où le poser, elles étaient presque enfermer dans un cocon de tentacules, qui bougeaient, se frottaient à elles ou entre elles, produisant des sons gluants et chitineux. Chaque parcelle de leur peau était frotter par une tentacule, leur yeux ne pouvaient qu'apprécier la longueur de ces tentacules et leur apparence organique, leurs nez ne respire que des vapeurs de semence et de luxure, leur oreille ne capter que les bruits gluant que produisaient les tentacules les pénétrant leur gémissement de protestationet de dégoûts et leurs doigts n'avaient que pour contact la texture visqueuse des tentacules. Elles ne savaient pas combien de temps elles étaient en train de se faire prendre de toute part, ne pouvant rien faire que de pleurer sur leur sort.

   Après quelque minutes, qui pouvait être des heures pour elles, le rythme des tentacules gagna d'intensité et de force. La réaction des deux femmes ne se fit pas attendre, leur gémissement devinrent plus court et rapide, mais c'était surtout des gémissement d'inquiétudes et de peur. Après deux-trois minutes à leurs faire subir ce nouveau rythme, les tentacules s’arrêtèrent, avant de jouir libérant des quantités phénoménal de fluide. D'autre tentacule se mirent à jouir à leur tour, recouvrant de leur semence les deux femmes ainsi que celle qui étaient sous leur combinaisons, celles qui les pénétraient les remplir, avant de déborder, leur bouches furent remplit, gonflant leur joue, avant que les tentacules n'aillent plus profond, afin de remplir directement leur estomacs du surplus.

   Les tentacules se retirent d'elles, sauf celle de leur bouche, afin de les empêcher de recracher le liquide chaud et visqueux contenue dans leur bouche, voulant qu'elles l'avalent. Ne pouvant ni le recracher, ni le garder indéfiniment dans leur bouche, elles finirent par avaler lentement le sperme des tentacules. Une fois fait, elles se retiraient, délivrant leur bouche de leur présence. Mais elles avaient toujours le goût dans la bouche, ainsi que des restes. Rinko, recracha un filet de bave de sperme, mais elle était heureuse que ce soit finit, pouvant enfin savourer un repos. Elle regarda sa camarade, tout aussi heureuse et fatigué qu'elle. Des tentacules se baladaient toujours sur leur peau, mais elles ne s'en préoccupaient pas.

   Mais très rapidement, d'autres tentacules se mirent en position, prêtes pour un deuxième round. Rinko eu juste le temps d'exprimer son envie de partir, avant que les tentacules ne les pénètrent et reprenne le rythme de leur pénétration.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 25 juin 2014, 01:13:34
Jade était vaincue. Une curieuse ironie du sort avait voulu que cette femme, si hostile à Sarah, s’avère en fait, pour l’heure, être l’une des plus heureuses à se faire pénétrer par elle. Elle ne pouvait pas mentir, elle ne pouvait pas nier l’existence du plaisir en elle, qui explosait furieusement, comme un torrent ardent. Elle lui avoua être sensible des seins, ce qui, en soi, n’était pas étonnant. Ils étaient si gros qu’ils devaient bien être très sensibles. Jade remuait faiblement sous elle, son corps accompagnant la présence du chibre massif de Sarah. Ce phallus disproportionné disait à Jade que le temps était venu pour elle de perdre sa virginité, et d’entrer dans un monde nouveau, un monde meilleur, un monde où elle pourrait laisser parler ses fantasmes. Sarah savait qu’elle était vierge, elle le sentait à la manière dont son trou intime, étroit, répondait à la présence agressive de son membre.

« Ta première fois, hein ? Hunnn…, gémissait Sarah. Je ne te lâcherais que quand tu jouiras, alors, Jade… »

La Tekhane était vaincue. Sa résistance n’avait été qu’un signal implicite, une sorte d’ultime barrière pour elle. Elle avait voulu mourir, car elle ne pouvait pas admettre ressentir de l’attirance pour elle. En tout cas, c’était ainsi que Kerrigan analysait la chose, et elle continuait à la pénétrer, remuant ses hanches : enfoncer, relever, enfoncer, relever… Le geste était plutôt simple, presque enfantin, et elle embrassa Jade, tout en posant une main sur l’un de ses généreux seins, le pétrissant, ses ongles glissant sur le téton, le pinçant. Kerrigan savait y faire. Dans ce domaine, son expérience sexuelle était colossale, car il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne féconde quelqu’un, ou ne se fasse féconder. Toutes ces belles femmes en combinaison moulante lui donneraient de beaux enfants quand elle se déciderait à les enfanter.

Elle embrassa donc Jade, s’écrasant contre elle, son autre main venant caresser son épaule, remontant jusqu’à sa nuque, avant de glisser le long de ses bras. Au fur et à mesure que le temps passait, Sarah sentait Jade s’abandonner, et elle alla même jusqu’à la libérer un peu, détachant ses bras retenus par ses tentacules. Elle ne sentait plus la même agressivité chez la femme, qui, comme elle venait de le dire, était « perdue ». Sarah fourrait sa langue dans sa bouche, la prenant come une Reine. Elle n’aurait jamais pu rêver d’une meilleure première fois avec une autre femme. La Reine des Lames maîtrisait son sujet, et le lui prouvait, son chibre s’enfonçant profondément en elle.

« Haaaaannn… Suis-je donc si monstrueuse, Jade… Hummmm… Pour t’offrir autant de plaisir ?! »

Jade ne pouvait plus le nier, maintenant, et Sarah continuait à la prendre, remuant contre elle, puis approcha sa bouche de son autre sein, venant prendre son téton entre ses lèvres, suçant ce sein, l’aspirant tendrement, provoquant de délectables bruits de succion. Jade pouvait bien entendu utiliser ses mains pour caresser Kerrigan. La seule chose qui pouvait encore l’empêcher de faire ça était le regard de ses amies.

Sarah s’occuperait d’elles ensuite.



Le Monstre n’avait pas de noms, ni d’identité, ni de passé, et pas vraiment de volonté propre. Il avait beau avoir des bouches, il n’émettait rien de plus que des borborygmes. Il était le fruit de la Reine des Lames, un bébé issu des fantasmes inconscients et pervers de la Reine des Lames. C’était un Formien spécial, qui n’obéissait à aucune règle précise. Il existait, tout simplement, pour le meilleur et pour le pire. Coucher avec des femmes était le seul objectif de la vie, la seule manière qui lui permettait de s’exprimer. Tous ses yeux observaient ses deux femmes dans le moindre détail, et il continuait à les prendre. Il était semblable à un jeune homme limité intellectuellement, qui ne s’intéresserait aux femmes que pour leur faire l’amour. Le Monstre était pareil, si ce n’est qu’il était costaud, très puissant, et avait un nombre presque infini de tentacules.

Ces derniers grouillaient tout autour de lui, formant une épaisse toile, comme une forêt de tentacules violets qui s’enfonçaient lourdement dans le corps des femmes. Il était incapable de les ménager, incapable de se poser de telles questions. Le Monstre était limité intellectuellement, et seule sa Mère pouvait lui ordonner d’arrêter. Il ne vivait que pour ça, pénétrer des femmes, les baiser, encore et encore, sans relâche, jouir en elles, les défoncer, les malmener, les martyriser. Ce n’était ni bon, ni mauvais, car la créature ne pouvait pas saisir de telles notions. C’était tout simplement dans sa nature.

Le Monstre sentit les femmes se fatiguer, et rapprocha les femmes. Il avait collé les femmes ensemble, les frottant ensemble, car il aimait ça. Il les rapprocha de ses langues, et déploya de nouveaux tentacules, en forme de seringues, qui se plantèrent chacune dans le cou des deux belles, déclenchant de puissants aphrodisiaques qui les réveilleraient. Il avança ensuite ses langues. Le Monstre puait atrocement, et de la bave coulait de ses gueules avides et édentées, une bave verdâtre et visqueuse. Ses langues énormes vinrent lécher, comme des friandises, le corps des femmes, chaque gueule s’occupant d’elles. Il remonta jusqu’à leurs visages, avant de les tordre, de tirer sur leurs membres, les mettant dans d’improbables positions. Ses tentacules retournèrent ensuite les pénétrer voracement. Il se nourrissait de la mouille que ces deux créatures dégageaient.

Et, inlassablement, il continuait à les prendre, grondant de plaisir, défonçant leurs culs, leurs intimités, pétrissant leurs seins, jouissant sous leurs combinaisons, maculant ainsi leurs corps de son sperme, jouissant à chaque fois de grosses quantités. Quand il jouissait dans leurs bouches, il ne retirait pas ses énormes tentacules, afin qu’elles boivent tout, et il n’hésitait pas à utiliser ses aphrodisiaques pour les nourrir et les maintenir éveillées.

De cette manière, il pouvait continuer à les baiser sans relâche. Encore et encore.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 25 juin 2014, 20:51:10
   Pour être sincère, Jade ne s'attendait pas à ce que cela lui fasse autant de plaisir, il faut dire qu'elle s'était interdit de perdre sa virginité par un quelconque moyen, voulant la garder pour celle qui serait sa femme. Elle avait donc très peu toucher au sexe, ne se fessant que de léger plaisir. Es pour ça que son corps ressentait autant de plaisir, après avoir était aussi longtemps priver ? Mais la douleur était là aussi, la verge de l'annexienne n'était pas d'une taille normale. La douleur passait lentement, au fur et à mesure que son vagin s'habituait à sa taille. Elle savait qu'elle perdrait tôt ou tard sa virginité, elle n'avait fait qu'accélérer les choses, mais elle en payait le prix.

   Elle gémissait et poussait des cries mêlant douleur et plaisir pour les coup les plus fort, ceux qui menaçaient de passer à travers son col de l'utérus. Elle serrait les dents et des larmes coulaient, due par la première pénétration ayant voler sa virginité et par les douleurs de ses parois vaginal qui étaient malmener par la verge, s'adaptant lentement.

« Ta première fois, hein ? Hunnn… Je ne te lâcherais que quand tu jouiras, alors, Jade… »

   Devait-elle souhaiter qu'elle jouisse le plus vite possible pour en finir ou au contraire que cela arrive le plus tard possible ? Jade était partager par le fait que l'annexienne avait voler sa virginité et lui vole sa première fois, choses qu'elle avait souhaité conserver pour celle qui serais sa femme, et partager par le fait que ce soit justement sa première fois et qu'elle voulait en profiter. Elle ne savait pas quoi faire et les pénétrations ne l'aider pas à se concentré. Quand l'annexienne repartie à l'assaut de la poitrine de Jade, cette dernière gémit de plus belle, n'arrivant pas à se contrôler. Elle répondit au baiser de l'annexienne, sans aucune fougue ou ardeur, elle y répondait simplement, un peu timidement. Le plaisir prenait le pas sur elle, elle voulait profiter de sa première fois, même si c'était avec une créature qu'elle haïssait.

   La douleur s'estomper au profit du plaisir, même si Jade avait du mal à s'habituait à se faire pénétré. Son intimité était parfaitement lubrifier par sa mouille, dégoulinant légèrement. Lors du second baiser de l'annexienne, Jade y répondit avec un peu plus de plaisir. Elle frissonna quand l'annexienne caressa sa peau, glissant le long de sa nuque jusqu’à son bras. Elle s’abandonnait à son plaisir, profitant de sa première fois, même si au font d'elle l'annexienne avait briser son rêve, même si sa première fois avec une autre aurait était différent, elle aurait voulue quand même réaliser son souhait. Elle mélangea timidement sa langue à celle de l'annexienne, quand celle-ci la fit entré dans sa bouche, la laissant faire, avant qu'elle ne mette fin au baiser

« Haaaaannn… Suis-je donc si monstrueuse, Jade… Hummmm… Pour t’offrir autant de plaisir ?! »

   Jade ne répondit pas, son esprit était pleine confusion, n'arrivant pas à se concentré suffisamment longtemps et bien pour pouvoir donner une réponse correcte. Le maelström de plaisir, d'excitation et les allées et venues de l'annexienne dans son intimité ne l'aidant pas se concentré. Elle n'avait d'ailleurs toujours par remarquer que ses bras étaient libérer de leur entrave. Elle rejeta violemment sa tête en arrière poussant un crie de plaisir, si bien que son en corps en tremblait, quand l'annexienne suçant et lécha son téton. Cela avait plus d'effet que de simple caresse. Jade se rapprochait de l'orgasme, mais elle s'en moquait, elle profitait de sa première fois.
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   Les nouvelles tentacules étaient plus assoiffé que les première. Le monstre semblait venir au chose sérieuse, comme si le débuts n'était qu'une mise en bouche, car ses tentacules jouirent de plus en plus, autant en elles que sur elles. Si bien que leur combinaisons était gonflé de sperme, dégoulinant des troues fait pars le monstre et pour Rinko par le troue juste en dessous de sa poitrine qui dévoiler en partie ses seins. Elles semblaient baigner dans le sperme, leur combinaison retenant le plus gros. De l’aphrodisiaque leur fut injecter et aucune des deux ne pouvaient y résisté, l'aphrodisiaque agissant rapidement dans leur organismes fatiguaient et affaiblie. Elles sentirent la piqûre dans leurs cou, le produit qu'on leur injecter et rapidement, des bouffés de chaleurs, d'envie de sexe, de plaisir et des sensations de besoins se déclenchèrent.

   Ces tentacules qui les pénétraient, qui avant les dégoutter et qui leur donner envie de mourir rapidement à force de les subir, devinrent leur centre d'attention et prirent plaisir à ce faire prendre même si elles en ressentaient le dégoût, leur voulaient se faire prendre. Elles ne pouvaient s'en empêcher, même si une partie d'elles étaient profondément choquer et terrifier de ce qui leur arrivaient, l'autre ce n'était qu'une avalanche de plaisir. Même quand le monstre, les lécha, malgré son odeur, ça ne les empêchaient d'apprécier le contact de la langue sur elles. Les positions qu'il leur donnait, leur fessait mal, mais les tentacules chassaient la douleur leur fessant toujours plaisir.

   De plus l'aphrodisiaque leur donnait envie de boire tout le sperme que le monstre leur donnait, même si au bout d'un moment elles ne pouvait plus rien avaler et se forcer, leur estomacs commençant à atteindre ses limites, qui en plus d'être remplit par leur nouvel appétit, ils étaient remplit par l'autre côté ! En effet, la tentacule qui s'occupait de leur fondement était profondément enfoncer et éjaculer quelque part dans le gros intestins, encore et encore remplissant leur entrailles jusqu'à l'estomac. Si bien qu'a un moment leur ventre commençait à prendre du volume et chaque dose d’aphrodisiaque leur donnant encore plus envie.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 26 juin 2014, 01:06:27
Brave Jade... Sarah était en train de lui faire l’amour comme une reine, de lui offrir un plaisir immense. Ce qu’elle ressentait contre elle n’avait pas de prix. La brave femme était comblée, et ne cherchait maintenant plus à lui résister. Elle était vaincue, amadouée, et Kerrigan l’embrassait goulument, sentant Jade lui répondre... Lentement, mais elle lui répondait. Elle soupirait et haletait, gémissant contre elle. Soupirant, Sarah continuait ses mouvements en elle, remuant d’avant en arrière, avec la même fougue, avec la même force infatigable. Elle était une amante terrifiante, en ce sens que la fatiguer relevait de l’exploit. Kerrigan continuait à la prendre, pinçant ses seins, sans rien faire d’autre que répéter inlassablement les mêmes gestes, soupirant et gémissant contre elle. Jade avait un corps très agréable, très confortable, et sa première fois se devait d’être mémorable, ce qui expliquait pourquoi Sarah prenait son temps, et, tout en la pénétrant, veillait aussi à l’exciter, à lui faire plaisir. Jade ne pouvait rien faire, rien faire si ce n’est subir, et savourer sa première fois.

Sarah la prit donc, pendant un long moment, sans relâche, y allant de plus en plus vite, sa verge baignant dans la mouille de cette femme forte et pleine en chair. Elle était solide, et l’embrasser sur les lèvres était un vrai régal. Dehors, elle sentit que le plaisir montait avec Rinko et Miyo. Elles ne pouvaient tout simplement pas lutter, et le Monstre formien se faisait plaisir. Peu à peu, elles développaient une sorte d’attirance physique pour cette créature, tout comme Jade, même si Jade s’écroulait bien plus vite.

« Haaaan... Tu es si bonne, ma belle, si bonne... »

Nouveau baiser. Kerrigan se faisait plaisir, continuant à la prendre, à remuer, sentant la femme gémir contre elle. Jade ne pouvait pas s’opposer au plaisir dominateur de Kerrigan. La Reine des Lames savait que les choses seraient longues avec toutes ces femmes. Elle-même craignait d’avoir eu les yeux plus gros que le ventre, car il faudrait constamment les surveiller pour s’assurer qu’elles ne chercheraient pas à s’évader, ou à faire du dégât. Elles avaient déjà su prouver qu’elles étaient redoutables, et ne s’avouaient jamais vaincues. Pour autant, Sarah ne regrettait pas vraiment son choix. Elle les avait capturées, et, l’une après l’autre, elle était en train de les baiser.

Son vit s’enfonçait en elle, ressortant partiellement, pour rentrer à nouveau, s’enfonçant de plus en plus loin. Elle lui roula une longue pelle, remontant l’une de ses mains pour agripper celle de Jade, la serrant, son autre main allant titiller le téton de la femme. Ce fut un long baiser, qui dura plus d’une minute, avant que Sarah ne le rompe tendrement, un sourire sur le coin des lèvres.

« Jouis, ma chérie, jouis... Laisse-toi aller, hunnn... Ton corps ne demande que ça... »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le vendredi 27 juin 2014, 22:41:00
   De la honte ? Du dégoût ? Jade oubliait tout ça, ne pensant qu'à sa première fois, elle en profitait comme si elle n'était pas dans la fourmilière, elle voulait une première fois sans contrainte, sans se soucier de sa situation. Mais une fois que se serra finit la réalité la rattrapera, mais Jade ne s'en soucier pas. De toute façon elle a beau être l'une des membres les plus fortes de la Delta S, elle avait le désavantage du terrain, du nombre et une annexienne face à elle.

   Jade n’oubliera sans doute pas sa première fois. Sarah lui avait semblé brutal lorsqu'elle s'était occuper de Rinko et de Miyo, mais là elle semblait prendre son temps, fessant en sorte que Jade ressente bien le plaisir de sa première fois. Ce sera sûrement la seule fois où elle aura prie autant de plaisir, car Jade voulait savourer sa première fois sans y être cointrainte ou que l'annexienne n'use d'aphrodisiaque. Du coup elle en profitait du mieux qu'elle pouvait, même si c'était avec une formienne qui comptait faire d'elle une de ses concubines et un moyen pour se reproduire.

   Chaque coup lui procurait un flot constant de plaisir et Jade y cédait, voulant de sa première fois un moment inoubliable ! Et l'annexienne semblait y contribuer, fessant en sorte que Jade passe un moment inoubliable. Jade gémissait de plaisir, poussant parfois de léger crie de plaisir, qu'elle étouffait mal. Puis ses gémissement devinrent plus fort et plus nombreux et ses cries plus présent, une fois quand l'annexienne gagna en rapidité, enfonçant plus rapidement sa verge dans l'intimité de Jade, pilonnant l'intérieur. Jade ne savait pas combien de temps c'était écouler, elle savait juste que cela fessait un long moment que l'annexienne la prenait comme ça. Jade n'arrivait toujours pas à parler clairement, quand l'annexienne la complimenta, surtout qu'après celle-ci l'embrassa une fois de plus. Elle y répondait, comme pour les premiers baisers.

   Intéressons-nous aux autres membres, qui commencer à s'habituer à cette scène qui se répété, mais qui leur rester toujours en travers de la gorge, surtout pour certaines. Chacune commençait à abandonner l'idée de se libéré, mais garder l'espoir de pouvoir en avoir l'opportunité et d'autre des envies de revanche.

   Mais quatre d'entre elles avaient un tout autre comportement : Mixim avait en partie recouvert sa jambe gauche de mouille, n'arrivant pas à se contrôler, ni a trouver le courage nécessaire pour vouloir passer et le temps d'y penser. Shiranui était terroriser, autant par l'annexienne, l'endroit, les formiens, le monstre ou par ce qui se passait sous ses yeux, car Shiranui en plus d'être vierge, ne connaissait rien du tout au sexe ! Elle ne s'y était jamais intéresser  et n'avait jamais rien vue en rapport avec, du certaine façon elle était innocente et pur. Jeanne s'inquiétait pour son amie d'enfance, voulant qu'elle ne subisse rien et qu'elle ne soit pas là. Et enfin Tirch, qui avait détacher son regard et ses pensées de Goya, pour les collées sur l'annexienne, cherchant un moyen de savoir comme la faire souffrir.

   Revenons à Jade, qui était proche de l'orgasme, gémissant de plus belle. L'annexienne allait au plus profond d'elle même, menaçant à tout moment de passer à travers son col de l'utérus. Même si ça fessait mal, elle ne fessait rien et la laisser parcourir son corps, profitant des frisons de sa poitrine et du baiser. Il fut plus long que les autres, mais tout aussi bon. Son orgasme était sur le point d'exploser, elle allait jouir et Jade ne ferait qu'une savourer chaque seconde. D'ailleurs l'annexienne l'encouragea à jouir et de ce laisser aller. Et ce fut que quelque seconde après que Jade finit par jouir, dans un crie mêlant plaisir et satisfaction. Le souffle court et ardent, témoignant du plaisir qu'elle avait. Son orgasme quelque seconde, recouvrant la verge de l'annexienne, s'échappan de ses lèvres intime, coulant vers le sol, lui provoquant de léger spam et tremble de plaisir.

   Elle ferma les yeux et laissa son corps récupérer, l'excitation diminuant après son orgasme, mais le plaisir toujours présent. Elle avait savourer chaque instant sans regret et même si la réalité la rattrapa, elle continuait de savourer se plaisir qu'elle avait.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 28 juin 2014, 18:29:27
Sarah faisait l’amour avec cette femme, la prenant comme une Reine pour sa première fois. L’Annexienne savait l’importance des premières fois, et elle savait que Jade reviendrait auprès d’elle pour en demander plus... Et, généreuse, l’Annexienne lui offrirait ce qu’elle rechercherait. Le plaisir. Le sexe. Délicieux et long, intense et sauvage, sensuel et jouissif. Sarah sentait tous les regards rivés sur eux, et elle aimait ça. L’amour en public... Devenir un Formien vous apprenait à relativiser la notion de perversion. Les Formiens forniquaient fréquemment, que ce soit dans leurs coins, pu aux yeux de tous. Leur société n’était rien de plus qu’une immense et perpétuelle orgie à ciel ouvert, où tout le monde couchait continuellement avec tout le monde. C’était la force de la Fourmilière. Elle en tirait toute sa puissance, et Kerrigan ne lâchait pas la brave jeune femme. Comment la plaindre, quand on voyait comme elle se contorsionnait sous elle ? Elle ne subissait pas ce que Kerrigan lui faisait, elle l’acceptait généreusement, sans rechigner, et les deux femmes s’embrassaient goulument, les doigts de l’Annexienne continuant à jouer avec sa proie, pinçant ses seins, les comprimant, glissant sur son corps. C’était sa première fois, oui, et il était donc important que Kerrigan la prenne bien comme il faut... Afin que cette première fois soit une ouverture.

Elle sentit Jade jouir, contre elle, s’abandonnant au plus sacré des plaisirs, à la plus simple et à la plus jouissive de toutes les joies de ce monde. Sarah la laissa venir, avant de jouir à son tour, se répandant en elle, soupirant et gémissant. La cyprine était un liquide qui l’émoustillait tout particulièrement. Elle jouit contre elle pendant quelques secondes après l’orgasme de Jade, donnant des coups de reins en balançant des giclées de sperme en elle. Son foutre s’enfonça dans son corps, filant dans ses entrailles, et Sarah resta allongée contre elle pendant quelques secondes, laissant le soin à Jade de se remettre. Elle l’embrassait tendrement, se pressant contre ses lèvres, glissant ensuite sur sa nuque, mordillant sa belle peau sombre. La verge de Sarah était toujours plantée en elle, pulsant légèrement, et l’Annexienne profitait de ce moment.

« Tu vois comme c’est agréable, Jade..., finit-elle par dire. Ici, je te promets une vie de rêve. »

Sarah ne mentait pas, et caressait les cheveux de la femme. Jade était légèrement en sueur, et Sarah lui sourit, en se redressant légèrement. Des tentacules se rapprochaient lentement, afin de conduire Jade à sa prochaine destination. L’Annexienne l’embrassa à nouveau, et se releva, laissant les tentacules attraper les poignets de Jade, pour se mettre à la tracter.

« Ne t’en fais pas, ma chérie, je te promets une tornade de plaisir sans relâche. »

Les tentacules soulevèrent Jade, et cette dernière disparut dans un conduit. Sarah reporta ensuite son attention sur Goya. La belle avait joui, et Sarah porta ensuite son attention sur les autres femmes. Shiranui était terrorisée, et, sous l’effet de la panique, elle laissait échapper des fuites. Sarah fronça lentement les sourcils, et pénétra dans son esprit. Elle comprit alors que Shiranui était, non seulement vierge, mais également ignare du sexe... Encore plus prude que Jade, à tel point qu’elle n’avait sans doute jamais du avoir un seul jour une seule pensée sexuelle ! C’était à peine croyable, dans une société aussi sexualisée que Tekhos, mais c’était pourtant le cas. Quant à Mixim... La pauvre n’en pouvait plus, ce qui fit sourire Sarah.

Elle s’avança lentement, dévisageant les femmes restantes.

« Alors, Mesdames ? Laquelle souhaite partager un moment de communion avec moi ? Autrement, je serais obligée de m’occuper de toi, Shiranui... »

Il était temps pour Shiranui de grandir, et de comprendre qu’elle n’était plus une petite fille, mais bien une femme mûre, avec un corps qu’elle avait bien trop négligé.



Le Monstre se plaisait avec ces deux femmes. Ses aphrodisiaques fonctionnaient à merveille, les soumettant, leur faisant peu à peu comprendre toute la chance qu’elle savaient d’être ici. Il le sentait, et il en était ravi. Le Monstre avait certes une intelligence limitée, mais il était toujours heureux quand ses partenaires l’appréciaient. Il approchait des tentacules de leurs mains et de leurs bouches, afin qu’elles le masturbent, et qu’elles le sucent. Chacun de ses tentacules était à lui ce qu’une verge était à un homme. Ainsi, jouir avec les tentacules lui procurait un plaisir névralgique, incommensurable, et inexplicable avec des mots. Il défonçait leurs bouches, continuant à les prendre, sans relâche, avec toujours la même fougue, leurs corps se dandinant devant lui.

Des tentacules se déplacèrent et se retirèrent, afin de les plaquer l’une contre l’autre, plusieurs tentacules s’enroulant autour de leurs tailles. Il voulait les voir s’embrasser, se faire l’amour ensemble, et lui aventurait ses langues visqueuses et gluantes sur elles. Un tentacule se rapprocha de leurs visages, et, plutôt que de les prendre avec une verge, le tentacule s’ouvrit, révélant une multitude de petites langues roses, qui se mirent à glisser sur leurs joues, les léchant, tandis que des verges se frottaient contre elles.

Le Monstre se faisait plaisir, quand il sentit une autre présence pénétrer dans son cercle. Des ordres jaillirent dans son esprit. La femme roula le long des murs de son nid, et s’affala sur le sol. Des tentacules se déployèrent alors, et la saisirent aux poignets et aux chevilles, la soulevant sans ménagement. Des tentacules spéciaux se rapprochèrent d’elle : leur bouche s’ouvrit pour former plusieurs langues (http://img107.xooimage.com/files/3/9/8/tentacule-466b3a2.png), qui allèrent s’enrouler autour des tétons de la femme, les pressant et les léchant. Ce fut comme si des dizaines de langues et de doigts léchaient et pressaient en même temps ses tétons, tandis qu’une tentacule-verge se glissa entre ses seins, se branlant dessus. Un autre s’enfonça ensuite dans son vagin, et un tentacule-langue se rapprocha de son fondement, titillant sa rondelle, répandant un jus à l’intérieur pour la lubrifier.

Un autre tentacule se rapprocha ensuite de son visage, frottant tendrement sa joue, glissant ensuite sur ses lèvres.

Le Monstre réclamait un peu d’attention.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le lundi 30 juin 2014, 21:10:19
   Ce fut la première fois que Jade fut autant soulager, comme si son corps attendait ça depuis longtemps. Et quand l'annexienne finit par jouir en-elle, Jade fut surprise. Même si elle s'y attendait,
ce fut quand même étrange pour elle de sentir quelqu'un jouir en elle. Le sperme fila dans son utérus, le remplissant. Jade ne dit rien et ne fit rien, se laissant le temps de remettre de sa première fois, sentant l'annexienne allonger sur elle, son corps bouillant et un peu en sueur, le plaisir ardent toujours présent. Jade répondit au baiser, mais pas aussi intensément que les autres, mais cela ne l’empêcha pas d'apprécier le petit mordillement de l'annexienne sur sa peau. Elle sentait toujours le membre de l'annexienne en elle, son vagin pas encore habituer à la présence d'un membre aussi impossant pour première fois.

« Tu vois comme c’est agréable, Jade... Ici, je te promets une vie de rêve. »
-Agréable... en.. effet. Souffla Jade.

   Même si c'était vrai, l'esprit de Jade était occuper à autre chose : le monstre. C'était son tour, son tour d'aller rencontrer en vrai le monstre tentaculaire que l'annexienne leur avait présenter. Et en rien cela lui fessait plaisir ou lui donner envie, car si elle avait le choix, elle préférerait coucher avec quelque chose qui se rapproche plus d'une forme humanoïde et qui possède un semblant de beauté. Les tentacules qui s'enroulèrent autour de ses poignets, les liens qui retenait ses jambes s'enlevèrent et Jade fut hisser dans les airs avant d'être rapprocher du mur.

« Ne t’en fais pas, ma chérie, je te promets une tornade de plaisir sans relâche. »

   Jade ressentie l'étrange sentiment que le monstre tentaculaire n'était qu'un simple début, une sorte de mise en bouche pour la suite. Ce qui ne la rassura pas. Elle disparue dans un conduit et prit le même chemin que Rinko et Miyo avant elle.

   Le reste, regarda Jade : une avec envie, une avec une terreur non-dissimuler, certaine avec rage et d'autre crainte. L'annexienne redevint le centre de leur regard, et de leurs pensées quel qu’elles soient. A leur vue, l'annexienne semblait les sondés, cherchant celle qui serait la plus probable à passer, sûrement Mixim qui mouillait toujours, son fantasme libérait. Cette dernière avait les joues rouges, de la sueur coulant sur ses tempes, le regard lubrique. Elle avait chaud et elle voulait qu'on la soulage une fois pour toute.

« Alors, Mesdames ? Laquelle souhaite partager un moment de communion avec moi ? Autrement, je serais obligée de m’occuper de toi, Shiranui... »

   L’intéresser émit un crie étouffait par l’espèce de gag ball organique. Elle tira sur ses liens, voulant se libéré pour pouvoir fuir. Elle aurait due écouter sa mère et travailler dans la boutique familiale. Elle ignorait ce qui allait se passer, mais elle ne voulait pas le subir, ses amies maintenant disparue était devenue bizarre, ce qui ne la rassurer pas. À part supplier dans sa tête d'être épargner et relâcher, elle ne pouvait rien faire. Mais Jeanne se sentait aussi concerner : elle ne supportait pas cette espèce fixation sur Shiranui, qui pour elle se relevait comme une sorte de plaisir pervers à voir  les gens être apeurer, terroriser, en pleure et à les violer dans cette état. D'ailleurs elle le fit comprendre à l'annexienne en la menaçant de mort si elle touchait un seul cheveux de Shiranui ou si elle lui fessait subir quelque chose. Elle tira au maximum de ses forces sur ses liens, fessant lâcher quelque tentacule et menaçant de se déboîter les épaules ou pire.

   Mais une personne dans le groupe finit par craquer et de lâcher ces mots le plus fort possible dans sa tête :

*BAISE MOI !*

   Une phrase qui démontrait tout ce que voulait Mixim : être baiser ! Longtemps qu'elle attend, longtemps qu'elle se retient et qu'elle tente de repousser cette envie dévorante ! Cette fois elle ne pouvait plus se retenir et elle voulait vraiment que l'annexienne s'occupe d'elle.
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   Durant le temps où Jade perdait sa virginité, Rinko et Miyo étaient toujours sous l'emprise des aphrodisiaques qui leurs furent injecter, ne contrôlant plus rien et prenant un plaisir monstre a ce faire prendre de toute par. Même si leur ventres avaient prit du volume, suite au quantité phénoménal de sperme avaler, cela ne les empêcher d'avaler encore d'autre gicler de sperme. Elles prenaient aussi plaisir à masturber les tentacules qui se coller à leur mains et les tentacules qui défilaient dans leur bouches.

   Et quand le montre les colla une nouvelle fois ensemble, il ne fallut même pas une demie-seconde pour qu'elles s'embrassent, se masse les seins et qu'elles se caresse les fesses. Les tentacules qui les prirent par la taille, pressèrent leur ventre, mais de façon à ne pas qu'elles régurgitentpas tout. Mais cela n’empêcha pas à Rinko et Miyo de se retrouver avec la bouche remplit de sperme, qu'elles partagèrent, mêlant leur langues dans le sperme. Certaines des langues qui les léchaient, furent recouverte par le sperme coulant de leur bouche.

   Et ce fut après un moment, que Jade arriva dans la salle, se réceptionnant tout aussi mal que les deux autres. Avant qu'elle ne puisse faire quoi que soit, elle fut de suite saisit par des tentacules et « plonger » dans la masse grouillante de tentacule. Son regard ne pouvant rien voir que des tentacules, entendre des bruits gluant et sentir la texture visqueuses des tentacules qui commençaient à se frotter contre elle. L'expression de son visage montrait une profonde détresse et son regard un sentiment d'horreur.

   Deux tentacules se collèrent a ses tétons, Jade regarda avec appréhension les tentacules déployaient des sortes de minis tentacules ou langue, qui s'enroulèrent autours de ses tétons, les pressant, les léchant et tirant dessus. Jade eu l’impression que plusieurs personnes s'en occupaient en même temps. Très vite la même excitation qu'avec l'annexienne arriva, mais elle n'avait pas le même effet, car Jade avait bien plus important à gérer : sa peur, son stresse et une pointe de panique. Une verge se faufila entre ses seins, aux qu'elles des tentacules pressaient ses seins sur cette même tentacule qui commença des va et viens.

   En même temps, une autre s'enfonça dans son vagin d'un diamètre imposant et qui commença des allées et venues. Enfin, une tentacule qui semblait avoir une langue, s'occupa de fondement, glissant sa langue à l'intérieur lubrifiant ses parois et une dernière se frotta à son visage, sous l’œil inquiet de Jade, avant de se mettre sur ses lèvres se frottant légèrement. Mais Jade serra les dents, bloquant l’accès à sa bouche, sachant pertinemment ce qui allait arriver. Son regard cherchait un quelconque moyen pour se tirer de là, mais il n'y avait que des tentacules. Du moins avant que son regard ne tombe sur Rinko et Miyo qui se fessaient tendrement l'amour.

   Jade fut abasourdit par cette scène, si bien qu'elle oublia la tentacule qui pressait ses lèvres. Qu'es qui c'était passer pour qu'elles en arrivent là ? Jade desserra complètement sa mâchoire, entrouvrant légèrement sa bouche, ce qui fut une fatal erreur, car ce fut bien plus facile pour la tentacule qui profita de ce moment d’inattention pour entré dans sa bouche, lui fessant une gorge profonde, avant de commencer ses allées et venues. En même temps, une autre tentacule pénétra son fondement, glissant avec beaucoup de facilité grâce à la lubrification faite par l'autre.

   Et comme les autres, Jade ne pouvait que subir, ses membres bloquaient par des tentacules. Les pénétrations étaient profondes, fortes et rapide, Jade ne pouvait même pas compté le nombre d'allées et venues que fessaient les tentacules, tant que le rythme était élever. D'autre tentacules se ramenèrent vers elles, se collant à sa peau, se frottant contre elle et glissant sous ses vêtements. C'était pire que ce dont Jade s'attendait et elle sentait que les choses ne ferait qu'empiré.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 02 juillet 2014, 00:34:52
SARAH KERRIGAN

Le choix de Sarah Kerrigan de se focaliser sur Shiranui était logique et cohérent. C’était la Tekhane la plus effrayée, la plus peureuse, et Sarah avait, en quelque sorte, envie de l’aider à se soulager, à se détendre, afin qu’elle voit que la femme n’était pas monstrueuse, qu’elle puisse constater, par elle-même, que Kerrigan ne leur voulait pas de mal. Il était curieux que ce soit Shiranui qui soit la plus nerveuse, car elle était probablement, par sa taille, l’un des membres les plus impressionnants du commando. Comme quoi, les apparences sont parfois trompeuses, car, en ce moment, Shiranui n’avait absolument rien d’effrayant. La femme était au contraire terrorisée, et la perspective de lui faire l’amour déclencha la rage de Jeanne. Sarah tourna sa tête vers elle. Jeanne forçait sur les tentacules, cherchant à passer, et en fit trembler un, le détachant lentement. Kerrigan voulait éviter que le scénario de Jade ne se répète, et elle allait renforcer encore plus les tentacules quand une voix résonna dans sa tête… Une véritable demande qui la fit à nouveau tourner la tête.

Mixim. La plus à même de succomber au désir de la Reine des Lames. Sarah ne put s’empêcher de sourire. Elle avait attendu que Mixim finisse par se dévouer, en se disant que cette dernière ne pourrait résister plus longtemps à la perspective de ne pas être prise par Sarah Kerrigan, puis par un monstre tentaculaire. Elle avait tout simplement laissé Mixim affronter son désir, son sens du devoir se heurtant à ses fantasmes. Ce n’était qu’une question de temps, et elle venait de s’avouer vaincue. Le sourire de Sarah, malicieux, s’accrut par une érection.

« Très bien… Tes désirs sont des ordres, Mixim. »

Mixim sortit à son tour de l’alcôve, portée par des tentacules, et se retrouva rapidement au sol, juste devant Sarah. Les tentacules la lâchèrent en hauteur, afin qu’elle arrive devant Kerrigan en s’étalant sur le sol, à ses pieds.

« Agenouille-toi, Mixim… »

Puisqu’elle avait une Tekhane consentante avec elle, Sarah allait en profiter, mais, avant ça, elle tendit sa main vers Jeanne, et serra le poing. Des tentacules jaillirent de part et d’autre, et serrèrent davantage le corps de Jeanne, l’étouffant à moitié. Il fallait qu’elle se tienne tranquille. Sarah s’occuperait d’elle très bientôt, mais, pour l’heure, le bout de sa verge tapait contre le nez de Mixim. Elle reporta pleinement son attention sur la Tekhane. D’aucuns auraient pu s’étonner de l’endurance sexuelle de la Reine des Lames. Elle avait déjà généreusement joui, mais son corps continuait à être excité. Là résidait la terrifiante force des Formiens. Le sexe avait beau les satisfaire, ils en redemandaient toujours plus. C’était typiquement le cas de Sarah, qui se dressait face à Mixim, et lui agrippa les cheveux, les caressant, tandis que sa verge remuait toute seule, poussée par de fins tentacules violets à sa surface.

Elle glissa ainsi contre la joue de Mixim, remontant ensuite pour se frotter contre son nez, et son menton, laissant derrière elle de fines traces d’un liquide hybride, composé de sperme, de mouille, et de sueur. Sarah la caressait ainsi, sa respiration alourdie, sa poitrine se soulevant et s’abaissant. Elle finit par s’humecter les lèvres, retrouvant l’usage de la parole :

« Suce-moi, Mixim… Montre-moi à quel point tu as envie que je te défonce. Et sache bien que, si tu es sage, tous tes fantasmes seront accomplis. Tu seras baisée, baisée, et encore baisée, pendant des jours et des jours, sans relâche, et toute ta vie ne sera plus qu’une longue et incessante orgie de sexe et de plaisir. »

En un sens, n’était-ce pas ça qu’on appelait le Paradis ?



LE MONSTRE

Ce n’était pas un aphrodisiaque concentré. Le Monstre les avait juste motivés, aiguillonnés sur la bonne voie, mais il ne les avait pas forcés. Il était étrangement excité de voir ces deux femmes se faire l’amour, et les tentacules continuaient à grouiller contre elles, continuant leur double pénétration, tandis que d’autres jouissaient contre leurs jours, sous l’effet des masturbations menées par les deux perles. Le Monstre était heureux, tout simplement. Le bonheur sexuel était la seule chose qu’il connaissait, et il se laissait donc faire, tout en continuant à les prendre, et à jouir entre elles. En les maintenant entre elles, il faisait preuve d’une étonnante douceur, se contentant juste de les immobiliser, mais les laissant maîtresses de leurs mouvements. Les voir s’embrasser goulument, avec du sperme et de la salive s’échappant de leurs lèvres, était pour lui un plaisir indescriptible. C’était exquis, et il continuait à jouir contre elles, enfonçant parfois un tentacule entre leurs visages pour qu’elles le sucent mutuellement. S’il pouvait leur parler, s’il avait le pouvoir de parler, il communiquerait pour leur dire combien il était fier d’elles, et combien il aimait leur faire l’amour.

Au lieu de ça, il se contentait de les baiser, et de jouir en elles.

Avec Jade, il y alla un peu plus lentement. La peur de la jeune femme était indifférente à ses yeux, et il prépara ses fesses, les lubrifiant, avant d’enfoncer une verge en elle, tout en la piquant avec un tentacule-seringue à hauteur du cou, répandant une dose d’aphrodisiaque pour l’aider à se détendre. Tandis que l’aphrodisiaque filait dans ses veines, le Monstre partit à l’assaut de son corps, filant sous ses vêtements, s’entortillant le long de ses jambes. Il s’agissait de tentacules visqueux et collants, et le Monstre ne tarda pas à avoir une érection. Le tentacule qui se branlait contre les seins de Jade jouit généreusement, éclaboussant le menton et le torse de Jade.

Celui dans sa bouche opta pour une intense gorge profonde, faisant basculer la tête de Jade en arrière, tandis que les tentacules soulevaient son corps, l’emmenant dans un champ de tentacules de tailles variables. Le Monstre était en train de se développer, cette mouille agissant chez lui comme une excellente ressource nutritive, augmentant sensiblement sa croissance et sa taille. Il allait bien s’occuper de Jade.

Ces femmes étaient ses amies, et il était donc normal pour le Monstre d’en prendre soin.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le jeudi 03 juillet 2014, 21:40:36
« Très bien… Tes désirs sont des ordres, Mixim. »

   Cela suffit pour que Mixim se sente débarrasser d'un poids, de savoir qu'elle sera enfin soulager. Son intimité la démangeait depuis le début, sans rien faire contre ça, gagnant en intensité, fessant grimper sa libido et laisser ses fantasmes l'envahir, lui donnant plus envie. Toutes les autres la regardèrent, soit horrifier, soit perplexe ou scandaliser. Mais elles voyaient bien que Mixim devait se retenir depuis un long moment, sinon elle l'aurait fait depuis longtemps, ce qui témoignait une certaine répulsion. Mais cela est le point de vue de quelques une.

   Ainsi, Mixim fut sortie de son alcôve par des tentacules, avant d'etre transporter et lâcher au pieds de la Reine des Lames, t-elle un esclave au pied d'un maître. Mixim se mit rapidement a genoux, comme lui demanda l'annexienne, n'osant pas la contrarier craignant qu'elle ne décide de la faire attendre encore plus. Au même moment, de nouvelle tentacules jaillirent du mur dans la dos de Jeanne pour s'enrouler autour de sa taille, de son torse et de ses épaules, la plaquant contre le mur avant de se resserrer, l'étouffant à moitié. Elle respirait avec un peu de difficulté, mais elle pouvait toujours respiré.

   Mixim regardait avec une envie dévorante la verge de l'annexienne, résistant tant bien que mal à l'envie de faire basculer l'annexienne et de planter cette verge dans son intimité. L'annexienne semblait la nargué avec, en fessant balader son sexe sur son visage, ses yeux la suivant. Mixim sentit sa frustration montait d'un cran en plus, elle pourrait se masturber mais elle craignait que cela ne suffise pas et que ça ne fasse qu'augmenter son envie de se faire prendre.

« Suce-moi, Mixim… Montre-moi à quel point tu as envie que je te défonce. Et sache bien que, si tu es sage, tous tes fantasmes seront accomplis. Tu seras baisée, baisée, et encore baisée, pendant des jours et des jours, sans relâche, et toute ta vie ne sera plus qu’une longue et incessante orgie de sexe et de plaisir. »

   Si pour se faire défoncer elle devait juste faire une fellation, Mixim ne perdit pas de temps et avala la verge tendue devant elle, mettant ses mains sur les hanches de l'annexienne et commençant par une petite gorge profonde, avant de faire des allées et venues rapide, pressant ses lèvres dessus et léchant autant avec avidité et plaisir le long de la verge, répandant sa salive et léchant la mouille de ses camarades avant elle, rester dessus. Mais cela n'était pas suffisant pour calmer l'ardeur de Mixim, ne fessant qu'augmenter sa frustration, ne pouvant se soulager comme il fallait. Elle continuait sa fellation, avec toujours la même envie et ardeur. Et à un moment, une de ses mains alla à son intimité et elle commença à se masturbait à travers sa combinaison.

   Mixim ignorait si l'annexienne jouait avec elle, mais elle avait une envie folle de se faire prendre, cette attende lui était insupportable, Mixim voulait vraiment qu'elle la soulage de cette envie qui prenait, de mettre fin à se plaisir et cette excitation qui la dévoraient.
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   Miyo et Rinko avaient céder rapidement, même si une partie d'elles tentaient de reprendre le contrôle, elles étaient trop affaiblie aussi bien physiquement que mentalement, l'aphrodisiaque prenait contrôle d'elles et dicté leurs esprits affaiblies. Elles prenaient plaisir et accepter les tentacules que le monstre leur offrait, les suçant et les léchant ensembles. Elles avaient eu plusieurs orgasmes et en redemandaient.

   Quand à Jade, celle-ci tentait de créer ses ondes de chocs, mais les tentacules contribuer à l'en empêcher, l’empêchant de se concentré. Elle sentie une piqûre au niveau du coup, et quelque chose comme une seringue en elle lui injectant quelque chose, avant de se retirer. Il était très facile de savoir que c'était de l'aphrodisiaque, Jade sentie des bouffées de chaleurs et sa libido augmentant. Elle commençait à se perdre dans ses pensées, n'arrivant presque plus à rester lucide, elle se devait de rester lucide, sans quoi elle tomberait. Quand la tentacule entre ses seins éjacula, Jade sentie le sperme s'étaler sur elle, sentant la substance chaude et visqueuse le long de son menton et de son torse. Au même moment, la tentacule qui pénétrait sa bouche alla plus profondément, lui fessant une gorge profonde, sans arrêtait ses allées et venues, s’aventurant par delà sa pomme d’Adam.

   Jade avait perdue l'espoir de pouvoir s'en tirer en créant des ondes de chocs, cela aurait put faire des ravages dans les tentacules, elle ne pouvait rien faire et se sentait impuissante. Les tentacules continuer de la prendre, sans repos tout en la dirigeant vers une masse de tentacule. La tentacule qui s'occupait de son intimité, heurta avec force son col de l'utérus avant de jouir à grande dose, remplissant son utérus. Celle dans sa bouge joui à son tour, remplissant tout autant sa bouche et l'obligeant à tout avaler. Et pour finir, celle qui s'occupait de son fondement joui à son tour. Jade avala la sperme, ne voyant que ça pour s'en débarrasser, avant que la tentacule ne se retire et qu'une autre la remplace.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 06 juillet 2014, 02:18:22
SARAH KERRIGAN

Elles purent toutes la voir. Sarah le voulait. Elles voulaient que ces Tekhanes comprennent que Mixim serait la première à la rejoindre, et que, si l’une d’entre elles venait de tomber, de succomber aux charmes de la Reine des Lames, alors n’importe laquelle pouvait le faire. C’était sciemment que Sarah l’avait fait patienter, et, dès qu’elle eut donné son ordre, Mixim, ressemblant à une affamée, se rua sur elle, et fit une belle gorge profonde. Sarah baissa la tête, un sourire sur le coin des lèvres, et l’observa. Elle posa ses mains sur ses hanches, et gémit tout en la suçant, y allant intensivement. Mixim avait une envie phénoménale de se faire sauter, Kerrigan le sentait. La pauvre petite rongeait son frein depuis tout à l’heure, et Sarah n’avait eu qu’à attendre le point de rupture. Son intimité était un brasier ardent n’attendant que la présence libératrice de la verge de la Reine des Lames. Pauvre Mixim ! Sarah aurait presque eu pitié d’elle. Elle savait combien la frustration sexuelle était terrible, mais elle avait aussi cherché la prudence. Elle ne voulait pas que la tentative de Jade en inspire d’autres. Le contrôle de Sarah sur ces belles femmes était encore très instable, fébrile, tenant à peu de choses. Il fallait qu’elle le concrétise.

Sa queue enflait et grossissait dans la bouche de Mixim, durcissant, impatientant Sarah. Mixim était également impatiente. Sarah le sentait dans son corps, dans la manière dont sa bouche s’activait sur sa verge, dont sa langue glissait le long de son sexe... La Tekhane se masturbait à travers sa combinaison moulante, et Sarah pouvait sentir l’odeur de cette mouille. Une odeur délicieuse, qui l’enivra. Sa main se serra sur les cheveux de Mixim. Pendant la majeure partie de la fellation de la Tekhane, Sarah avait en effet caressé et agrippé ses beaux cheveux oranges. Elle la relâcha alors, et s’écarta. Son sexe heurta le nez de Mixim en se retirant de sa bouche, et se retira, se dressant fièrement devant la Tekhane. C’était une belle pièce, une solide érection. L’énergie sexuelle de l’Annexienne semblait inépuisable, et cette dernière eut un sourire malicieux envers Mixim.

« À quatre pattes, Mixim. Je vais te prendre sous les yeux de tes petites copines, et je veux que tu t’insultes très fort pendant que je baiserai. D’accord, petite salope ? »

Le message serait d’autant plus fort. La verge violette de Sarah était recouverte de salive. Elle avait failli jouir dans la bouche de Mixim, mais elle voulait se retenir, afin de la défoncer bien comme il faut. Elle laissa à Mixim le soin de se mettre en position, et posa ses mains sur se shanches, pressant ses fesses. Sa vulve sortait à travers la combinaison, tant cette dernière avait mouillé. Sarah rapprocha son sexe, et le bout de sa verge heurta sa combinaison, à l’emplacement de sa verge, s’enfonçant dans son sexe. La combinaison était tellement tendue, sous l’effet de ce nectar intime, qu’elle accompagnait les mouvements lents de la verge. Elle s’enfonçait ainsi dans ses lèvres intimes, les frôlant en se rapprochant du clitoris.

Ses mains s’agrippèrent davantage sur les fesses de Mixim. Celle-ci ne lui poserait aucune difficulté. Pour elle, il était temps de goûter au bonheur. Sarah aventura l’une de ses griffes, et découpa sa combinaison à hauteur de son intimité. Sa mouille se mit à tomber pendant une ou deux secondes... Juste avant que Sarah ne s’enfonce d’un coup sec, son sexe rentrant presque immédiatement dans ce trou lubrifié.

« HOOOOOOOOOOOO, ma salope !! Tu es trempée !! »

Sarah ponctua cette phrase par une grosse claque sur le cul de Mixim, et alla ensuite la prendre, sa verge remuant furieusement en elle, s’enfonçant dans son corps.



LE MONSTRE

C’était une véritable orgie de sexe et de luxure. Les trois invitées étaient très bien traitées par le Monstre, qui veillait à ce qu’elles ne s’ennuient jamais. Quand l’une d’entre elles commençait à comater, à montrer les signes de la fatigue, il retournait la piquer, diffusant dans son corps, outre son efficace aphrodisiaque, des vitamines qui réveillaient ce corps. Elles étaient jeunes, pleines d’énergie, et il continuait à les prendre. Il ne s’en faisait plus pour els deux premières. Elles continuaient à ‘embrasser, à se presser l’une contre l’autres, pénétrées de partout.

Ses efforts se concentrèrent sur la dernière. Elle était prise par une multitude de tentacules en même temps. Deux s’enroulaient autour de ses tétons, les pressant, et elle avait désormais deux tentacules-verges dans la bouche, remuant en même temps. Un gros tentacule la pénétrait, et un autre perforait son fondement, tandis que d’autres se glissaient dans le creux de ses mains, réclamant un peu d’attention de la part de ses doigts. Jade se trouvait au-dessus de Rinko et Miko, et le sperme des tentacules, ainsi que s amouille, leur tombaient dessus.

Le Monstre était ravi, mais il savait que ça ne faisait que commencer.

Pour son plus grand bonheur.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 12 juillet 2014, 22:25:01
   Mixim prenait un plaisir monstre à faire sa fellation, comme si cela était son plus beau cadeau de toute sa vie, accentuer par sa masturbation qui la fessait mouiller encore plus. Mais pas autant qu'elle le voudrait, toujours aussi frustré. Cela ne parvenait cas la calmer un peu, ne fessant que la soulager temporairement. Ses amies la regardaient, se sentant trahit et toucher au plus profond d-elles même, mais elles se rassuraient en se disant que l'annnexienne avait du usée d'un aphrodisiaque ou qu'elle contrôle Mixim. Mais elles se trompaient. Mixim continua sa fellation comme une assoiffé, attendant le moment ou l'annexienne décidera de réaliser son souhait. Dans sa bouche, le sexe de l'annexienne semblait prendre de l'ampleur, donnant plus envie à Mixim de se faire prendre.

   Mixim continua sa fellation, tout se masturbant à travers sa combinaison, l’excitant d'avantage. Son fantasme occupait son esprit, en plus des pensées perverses qui prenait de l’ampleur. La main de l'annexienne qui agrippait ses cheveux, lui donner l’impression que l'annexienne l’encourageait, ce qui donnait à Mixim une raison de mettre plus d'ardeur dans sa tache. Elle sentie que l'annexienne était sur le point de jouir, ce qui était sûrement la raison pour la quelle, elle retira sa verge. Mixim continua de lécher la verge, alors que celle-ci se retirait, jusqu'à sucer le gland. La verge tapa son nez, avant de se dresser contre-elle, Mixim ne put s’empêcher de la contempler et de vouloir terminer ce qu'elle avait commencer.

   Mais elle oublia ceci quand l'annexienne lui ordonna de se mettre à quatre pattes, ce qu'elle fit sans perdre une seconde, se mettant face à ses coéquipières, le cul dresser devant la verge de l'annexienne. Mais s'insulter très fort n'était pas dans l'esprit de Mixim. En vérité, elle se foutait un peu de ce que voulait l'annexienne, voulant juste se faire bien prendre.

   Mixim poussait des gémissement de frustration et de plaisir, quand l'annexienne mit ses mains sur ses fesses et qu'elle joua avec sa combinaison, enfonçant brièvement son sexe dans son intimité, forçat contre sa combinaison. Elle sentie la main de l'annexienne découper sa combinaison et sa mouille qui coulait de la fente dans sa combinaison, ce qui fut léger soulagement pour elle, car ça devenait gênant. Quand l'annexienne enfonçant sa verge, qui fut recouvert de mouille, arracha un hurlement de plaisir à Mixim.

« HOOOOOOOOOOOO, ma salope !! Tu es trempée !! »
-Ghhhaaaa.....

   Ce fut le seul mot que parvint à articuler Mixim, la pénétration lui avait provoquer un orgasme, tellement qu'elle avait envie et que sont vagin attendait ce moment. La pénétration était rapide, autant grâce à lubrification parfaite que par l'envie de l'annexienne. Mixim n'arrivait même pas à parler, elle poussait autant des gémissements que des crie d'un plaisir intense. Ses bras n'arrivaient plus à la soutenir, une partie d'elle se coucha contre le sol, frotta le sol organique à chaque coup, Mixim avait mit sa tête sur ses bras replier, la langue pendante, les yeux vers le ciel, la bave aux lèvres et la bouche ouverte. (https://fireden.net/4chan/images.4chan.org//vg/src/1402421236708.jpg)

   Chaque coup lui arrachat un crie ou un gémissement, sentant la verge entrée et sortie avec facilité de son vagin, elle oublia que ses amies la regardaient et que certaines commençaient à la voir comme perdue, tomber sous l'emprise des formiens et que rien ne semblait pouvoir la tirer de là, vue dans l'état qu'elle était. Mixim se rapprochait d'un second orgasme, mouillant toujours autant, coulant sur le sol, le recouvrant petit à petit. Si Mixim devait dire un mot pour décrire ce qu'elle ressentait, ce serait divin.
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   Jade n'arrivait plus à se situer dans le temps, ni dans l'espace, son esprit embrouillait par les doses d'aphrodisiaques et les pénétration sans pauses des tentacules. De plus une deuxième tentacule c'était introduit dans ça bouche, ce qui fessait que sa bouche était ouverte au maximum et que les deux s'enfonçient dans sa gorge l'une après l'autre, parfois ensemble et éjaculant ensemble, manquant de l'étouffer à chaque fois, remplissant son estomac déjà remplit, gonflant lentement son ventre.

   Mais Jade se montra plus résistante que Miyo et Rinko, même si ça résistance excitait le monstre et qu'elle ne fessait que retardé l'inévitable. Jade avait refermé ses mains sur les tentacules qui s'y était loger, sans vraiment y faire attention, mais qui n’empêcha pas aux tentacules de se masturbaient avec. Ses tétons était toujours en proies au tentacule aux multiples langues, aux qu'elles se rajouta deux autres tentacules qui s'enroulèrent autour de ses seins, les pressant, les malaxant et tirant parfois dessus. Sa cape rouge lui avait était enlever, son corps était recouvert de fluide, les tentacules éjaculant parfois sur elles dans des intervalles irréguliers.

   Les deux autres continuaient de s'embrasser, de mélanger leur langue et le sperme qui remontait de leur ventres, quand une tentacule pressait leur ventre gonfler. Parfois une tentacule se glissait entre elles et elles la lécher ensemble. Elles étaient toujours pénétraient, mais cela leur étaient familiers maintenant.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 15 juillet 2014, 01:16:33
Mixim ne s’insulta pas. Ce n’était pas un acte de rébellion envers la Reine des Lames, mais simplement parce qu’elle ne pouvait pas le faire. Elle était bien trop excitée, bien trop tentée, pour pouvoir faire ça. Sarah l’entendait hurler et gémir. Le plaisir la traversa violemment, confirmant qu’elle était perdue dans son plaisir. Les autres Tekhanes la regardaient avec reproche, et Sarah, par-delà le plaisir qui explosait entre ses cuisses, pouvait sentir leurs pensées paniquées. Elles se cherchaient des excuses, des explications pour justifier le comportement de Mixim. Ce n’était pas vraiment elle, elle était droguée... Mais la réalité était plus simple. Sarah avait juste eu à attendre, à impatienter Mixim, à la frustrer, jusqu’à ce que la Tekhane n’en puisse plus. Mixim était maintenant à ses pieds, vaincue, s’offrant généreusement à sa propriétaire. La redoutable Reine des Lames l’avait senti jouir dès que sa verge violette était entrée en elle, renforçant son excitation, et, depuis lors, Sarah la baisait sèchement. Ses mains étaient posées sur la croupe de la Tekhane, s’y appuyant fermement, et elle donnait de grands coups de reins en elle, sa queue tapant contre son clitoris, la défonçant lourdement. La Reine des Lames n’y allait pas délicatement. Elle était vorace, rapide, autoritaire, dominatrice dans la manière dont elle agissait.

La Tekhane en face d’elle se laissait faire, n’opposant pas la moindre réaction ou la moindre velléité. Elle était plongée dans le désir, le sexe explosant en elle de manière si violente que son cerveau avait lâché prise. Seul son corps réagissait, en pilote automatique, et Sraah jouit en elle au bout de quelques minutes, mais continua à la prendre, poussant de grands cris, légèrement excessifs, afin de galvaniser les Tekhanes qui, muettes, assistaient à ce spectacle. Sarah n’oubliait pas qu’elle avait un public, et, de fait, baiser Mixim était très bon. Elle était belle, comme les autres Tekhanes, et était clairement la plus docile du troupeau. Sarah continua donc à la prendre, la baisant plutôt longuement, sans relâche, jouissant en elle, encore et encore, la prenant à quatre pattes, comme une parfaite chienne.

Difficile de dire combien de temps leurs ébats durèrent, tant les deux femmes étaient plongées. Sarah la prit à quatre pattes, jouissant à de nombreuses reprises en elle, se déversant dans son corps, lui offrant son sperme. Mixim fut ainsi engrossée sans réel doute. La Reine des Lames ne l’avait pas ménagé, et finit par lentement se retirer, laissant Mixim s’affaler sur le sol.

« Voilà une humaine bien motivée, sourit Sarah. Ça faisait plaisir à voir. »

Le ton n’était pas railleur, mais sincère. Sarah était contente de satisfaire ainsi cette femme. Mixim gisait sur le sol, et, pour elle, de longs moments de plaisir allaient se poursuivre. Fléchissant les genoux, l’Annexienne se mit face à elle.

« Tu es prête pour la suite, Mixim ? lui demanda-t-elle sur un ton plus bas. Ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi... »

Les tentacules se rapprochaient lentement, afin de conduire Mixim dans un autre endroit.

Là où le Monstre continuait de s’amuser avec ses trois invitées, n’attendant que plus de partenaires pour continuer à jouer comme il était en train de le faire.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 19 juillet 2014, 19:12:31
   Qu'es qui ce passait ? Mixim n'arrivait plus à pensée avec raison, son esprit plonger dans un maelström de pensées perverses et de fantasmes, n'arrivant plus à différencier le réel de l’irréel. Son fantasme, son rêve de se faire prendre sans fin par des formiens se réalise en cette instant avec l'annexienne. Es la raison pour la quelle elle a céder aussi facilement ? Mixim ne pouvais y répondre, mais elle le montrait par son états : l'excitation qu'elle ressentait, le plaisir qui explosait en elle et les cries de plaisir, de jouissance et de satisfaction qu'elle poussait. Elle avait tenté de résister, mais elle avait échouer et elle serait la premier à tomber. Les autres ne pouvais que constater l’inévitable : Mixim qui abandonner, se donnant à l'ennemie, ce qui attisa autant les braises de la tristesse que de la rage des soldates fassent à leur destin. Qu'avaient t-elles fait pour mériter un t-elle sort ?

   Mixim n'avait plus l'esprit à chercher le pourquoi du comment ou à s'apitoyer sur son sort ou à chercher vengeance, mais uniquement sur sa pénétration. Elle finit par jouir une nouvelle fois une longue minute après son premier orgasme. Sa mouille et sa cyprine coulaient de ses lèvres intimes, tombant sur le sol, la où sa cyprine de son premier orgasme avait déjà couler avec sa mouille. Sa bave coulait de sa bouche coulant sur ses bras, respirant t-elle un taureau dans une corrida, les yeux regardant un point inexistant, montrant son esprit pervertie par ses fantasmes et la luxure intense et pure. Les coups puissants, rapides et représentatif de toute l'ardeur de l'annexienne, plongeaient Mixim dans un profond gouffre de luxure, un gouffre redemandant toujours plus, un gouffre dont elle ne pouvait se retirer qu'une fois pleinement satisfaite.

   Les deux femmes étaient plonger dans une profonde extase, une extase ne prenant que de l’ampleur. Mixim jouit de nouveau et cette fois l'annexienne jouit à son tour, la cyprine et le peu de sperme qui sortait de son intimité coula sur le sol rejoignant le reste de sa cyprine et mouille. Mais l'annexienne ne s’arrêta pas, continuant ses vas et viens, pour le plus grand bonheur de Mixim. Le temps ne semblait ne plus avoir prise et s'être arrêter, les deux femmes avaient perdue la notion du temps, se plongeant dans la luxure, ne fessant rien d'autre et ne pensant à rien d'autre. La soif de Mixim parvenait à être satisfaite, jouissant comme une traîner. L'annexienne la remplit, jouissant de nombreuse fois et Mixim, sans savoir qu'elle était désormais enceinte de formien, était heureuse.

   Et après un long moment qui parut infinie, l'annexienne s’arrêta et se retira, laissant Mixim s'effondrer sur le sol, s'écroulant dans la petite flaque de mouille de cyprine et de sperme qui c'était formée. Mixim mit sa tête de côté, le regard perdue, la langue pendante, frottant le sol organique. La Reine des Lames la complimenta, mais Mixim ne l'écoutait pas, essayant de se remettre de cette longue partie de plaisir.

« Tu es prête pour la suite, Mixim ? Ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi... »

   Mixim leva tant bien que mal la tête pour regarder l'annexienne, mais elle n'avait plus la force pour parler, parvenant juste à émettre un gémissement de plaisir. Les tentacules l'emportèrent et comme les autres, elle emprunta le toboggan organique, rejoignant ainsi la salle du montre.

   Les autres regardèrent Mixim disparaître dans le conduit et constatèrnt avec effroi que cette scène leur était devenue familière. La Reine des Lames allait choisir une autre victime, qui ne pouvait être que Shiranui tant que quelqu'un ne se propose pas à sa place. Mais cette fois Jeanne ne fit rien, cette dernier ne savait plus quoi faire, elle était perdue, elle voulait protéger Shiranui tout comme elle voulait se protéger et protéger les autres. Elle était impuissante et elle désespérait, ses menaces ne serviraient à rien, car l'annexienne le ferait quand même, elle ne pouvait se libérer et se donner en pature à ce monstre ne ferait que retarder que de quelque minutes le funeste sort de Shiranui. Et comment elle réagirait, si elle voyait son amie d'enfance agir comme Mixim ? Elle ne savait plus quoi faire, elle désespérait et en même temps cela l'enrager, car elle ne pouvait rien faire et Shiranui risquer un triste sort.

   Shiranui était moins apeuré qu'aux début, mais sa peur était toujours présente et il suffirait d'un peu pour qu'elle retombe dans la terreur. Personne ne se proposa, ni même Jeanne qui semblait au bord du désespoir et d'une rage meurtrier.
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   Mixim glissa le long du toboggan sans rien faire, se remettant lentement de sa profonde extase. Mais elle n'eu quère le temps, car à peine qu'elle arriva au bout du toboggan, elle fut happé par plusieurs tentacules, qui l'emmenèrent dans la masse grouillante de tentacules du monstre. Mixim, qui venait de récupérer un semblant d'esprit clair et sain, fut replonger dans son maelström de fantasmes et de luxure, quand une tentacule s'enfonça dans son vagin, plein de mouille de cyprine et de sperme, une autre qui pénétra voracement sa bouche, qu'une dizaine d'entre elle passèrent sous sa combinaison, commençant à répandre un liquide gluant et à la caresses de tout part. Un grosse tentacule déchira sa combinaison au niveau de son fondement, avant de la pénétrait lourdement après l'avoir lubrifier.

   Les trois tentacules commencèrent une pénétration rapide, puissante, défonçant Mixim comme dans son fantasme. Deux nouvelles tentacules vinrent prendre sa poitrine et sens occupèrent dans les règles de l'art. Mixim s’abandonna rapidement, sans offrirent une seule once de résistance, prenant plaisir à se faire pénétrer.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 19 juillet 2014, 21:26:25
SARAH KERRIGAN

Indéniablement, Kerrigan venait de faire. Mixim flottait encore dans son cocon quand les tentacules vinrent la saisir, la soulevant sans difficulté pour la faire disparaître. Elle avait tenu jusqu’à la quatrième position avant de définitivement craquer. Pour Mixim, tout ne serait maintenant plus qu’une séance ininterrompue de sexe sauvage avec des amants formiens. Le Paradis, pour cette femme. Sarah la regarda partir, puis se retourna vers les autres Tekhanes ligotées. Elles commençaient toutes à ressentir une certaine forme d’abattement, de désespoir, comprenant que toutes y passeraient. Le désaveu de Mixim les avait ébranlées. Il survenait au meilleur moment, et Sarah regarda toutes les femmes, un sourire sur le coin des lèvres, sa verge violette pendouillant légèrement entre ses cuisses. Son érection ne tarderait pas à revenir, et elle cherchait auprès de quelle nouvelle partenaire s’attaquer.

Le choix n’était pas particulièrement difficile. Sarah reprenait son souffle. Elle avait baisé Mixim pendant un long moment, sans la négliger, sentant une rage presque primitive s’emparer d’elle au fur et à mesure qu’elle lui bourrinait le corps. Maintenant, elle allait se faire plaisir, et changer de rythme. Sa main se tendit alors tout droit vers Shiranui.

« À ton tour, ma jolie. »

Les tentacules retenant Shiranui se déplacèrent alors, traînant cette dernière. Ils étaient gros et solides, car Shiranui était une femme imposante et puissante. La table organique sur laquelle toutes les Tekhanes passait s’agrandit alors, gagnant ou deux bons mètres, afin de pouvoir accueillir Shiranui sans peine. Cette dernière semblait cependant plus désespérée que révoltée, contrairement à Jeanne, qui bouillonnait sur place. Shiranui était terrifiée, mais il ne manquait d’un rien pour que sa terreur se mue en une rage incontrôlable. Sarah, pour autant, n’était pas inquiète. Elle savait comment la gérer, comment manœuvrer cette femme. Jeanne serait un problème dont elle s’occuperait plus tard.

Pour l’heure, elle préférait se concentrer sur Shiranui, qui se retrouva rapidement allongée sur la table, proprement ligotée par les poignets et les chevilles. Sarah lisait sa peur dans ses yeux, et elle marcha à côté d’elle, avant de tendre sa main pour caresser l’une de ses joues, ses doigts griffus glissant sur sa peau. Un sourire éclaira son visage, un sourire qu’elle voulait rassurant.

« Tu es vierge, hein ? Il suffit de te voir pour le savoir... »

La main de Sarah se déplaça sur le visage de Shiranui, caressant ses lèvres. Elle y allait lentement, tendrement, changeant complètement de comportement par rapport à celui qu’elle avait adopté avec Mixim tantôt. Sarah devait bien s’adapter à sa clientèle. Ses doigts glissèrent de ses lèvres, et elle se redressa ensuite, rejoignant la table, s’asseyant à califourchon sur le corps massif de cette femme. Sa poitrine était colossale. Sarah ne pouvait s’empêcher de les admirer, et se mit à sourire en les empoignant, les soupesant.

« Tu n’as pas trop mal au dos ? Je serais pliée en deux, moi, avec de tels obus... »

Elle continuait à lui sourire. Shiranui devait bien être la seule membre de cette escouade qui soit plus grande qu’elle.

Elle était immense !



LE MONSTRE

Le Monstre fut ravi de la présence de Mixim, et sentit rapidement qu’elle n’était pas comme les autres, ce qui, naturellement, ne pouvait que lui faire plaisir... Pour autant que son cerveau limité pouvait ingérer la notion de « plaisir ». Les tentacules pénétraient Mixim, un dans la bouche, un dans son vagin, et un dans ses fesses, mais il ne s’arrêta pas là. D’autres tentacules vinrent se frotter contre elle, un tentacule-verge supplémentaire s’enfonçant dans sa bouche, tandis que d’autres glissaient le long de ses mains et de ses pieds, afin qu’elle les masturbe. Les tentacules remuaient en elle violemment, enchaînant les gorges profondes, courbant son corps. D’autres serraient sa taille, et d’autres, encore, venaient la fouetter, s’abattant dans son dos.

Le Monstre se faisait plaisir, et tout ne faisait que commencer pour lui.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le lundi 21 juillet 2014, 14:21:18
   Shiranui regarda l'annexienne, qui regardait dans sa direction et qui la pointa de sa main. Elle savait que c'était son tour, mais elle ne voulait pas y aller.

« À ton tour, ma jolie. »

   Les tentacules la libérèrent de son alcôve, avant de la tirer vers l'annexienne. Elle ne pouvait toujours pas parler avec la tentacule bouchant sa bouche, mais cela ne l’empêchait pas de gémir de peur et de refus. Elle força sur les tentacules pour les arrêter, tirant de toutes ses forces, mais c'était peines perdues, les tentacules l’amenaient inexorablement vers l'annexienne, qui l'attendait. Et après quelques secondes à se débattre, elle fut attacher à la table organique, qui s'était adapté à sa taille. Bloquer une nouvelle fois, Shiranui ne put retenir ses larmes de peur. Elle avait peur, car elle craignait ce qui allait lui arriver, ignorant ce que c'était et ce que cela allait lui faire et en plus d'avoir peur de l'annexienne qui avait fait subir des truc à ses amies et qui avaient disparue et par le fait qu'elle avait enlever et fait quelque chose à Goya, qui semblait ne plus les reconnaître. Et aussi parce que c'était une formienne.

   À ses côtés, l'annexienne caresser ses joue et lui sourit, se voulant rassurante et voulant sans-doute la rassurer, mais il faudrait plus qu'un sourire et une caresse pour rassurer Shiranui, qui pour le moment voyait l'annexienne comme son cauchemar et se sourire comme un mauvais présage. Pour elle la Reine des Lames cachait sa véritable nature pour détourner sa méfiance et son inquiétude.

« Tu es vierge, hein ? Il suffit de te voir pour le savoir... »

   Shiranui redouta encore plus la suite, pourquoi l'annexienne parle de sa virginité ? Cela avait le don d'angoisser Shiranui et d'accentuer sa peur. Sa respiration était rapide et forte, son cœur tambourinait contre ses côtes, cherchant à les briser par se battement puissant et rapide. Si elle connaissait quelque chose du sexe, même le minimun, elle ne serait pas dans cet état : apeuré et terrifier, ignorant ce qui arrivaient à ses amies et étant sûr que l'annexienne allait la torturé, tout serait différent. La tentacule qui bloquait sa bouche s'enleva, mais Shiranui n'osa pas parler, laissant l'annexienne passait son doigts sur ses lèvres. Celle-ci finit par se mettre à califourchon sur elle et empoigna sa poitrine, Shiranui voyait que Sarah était en admiration, mais elle était gêner.

« Tu n’as pas trop mal au dos ? Je serais pliée en deux, moi, avec de tels obus... »

   Shiranui ne répondit pas, trop peureuse pour répondre. Sinon elle aurait dit que non, elle y était habituer depuis que sa poitrine avait commencer à prendre de l'ampleur. Il est vrai qu'à coté, celle de Jade était plus petite, Shiranui avait la poitrine la plus grosse de la Section Delta S et elle avait déjà faillit étouffer quelqu'un avec. L'annexienne pouvait clairement sentir que sa poitrine était bien lourde. La femme continuait de lui sourire, mais Shiranui n'y voyait qu'un faux sourire. Puis pour commencer sa première fois, Shiranui sentie les mains de l'annexienne qui commençaient à masser lentement sa poitrine, les pressant et les compressant doucement. Au début, cela ne lui fessait rien, mais petit à petit cela lui apporta d'étrange sensation, des sensations inconnue et qui la calmèrent.

   Elle essaya de se remémorer à qu'elle moment elle avait eu de pareille sensations, mais elle avait beau réfléchir, elle n'arrivait pas à se souvenir de pareille sensation. Pourtant Rinko avait pris de nombreuse fois ses seins dans ses mains et disait toujours qu'ils avaient pris du poids, mais là c'était différent, c'est sensations lui étaient totalement inconnue! À moins que se soit les même sensations que quand elle mangeait sa glace favorite ou un beignet au pomme ? L'annexienne continua à jouer avec seins, provoquant toujours plus de ces sensations inconnue, répondant aux nom d'excitation et de plaisir.

   Sa respiration se fit plus chaude, Shiranui commençait à avoir chaud et commençait à rougir. Mais ne connaissant pas ces sensations, Shiranui fut inquiète et perplexe, refusant d'y cédé, ayant un peu peur de ces sensations. L'annexienne en était-elle responsable ? Non, c'était elle qui le ressentait, mais pour elle c'était l'annexienne qui lui provoquait ces sensations. C'était ça que ses amies subissaient ? Qui les avaient rendues bizarre à ses yeux ? Elle en avait peur et en même temps, elle poussait des petits gémissement de peur, de plaisir et d'appréhensions.
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   Mixim prenait autant de plaisir que le monstre. Elle accueillit avec joie la deuxième tentacule dans sa bouche, répandant sa salive dessus, tandis que les deux s'enfonçaient profondément dans sa gorge. Les deux autres la pénétraient tout aussi profondément et tout aussi fort. Elle masturba frénétiquement les tentacules qu'elles avaient dans les mains et du mieux qu'elle put celle qui se placer à ses pieds. Quand des tentacules vinrent la fouetter, Mixim prit plus de plaisir. Le monstre n'avait même pas besoins d'aphrodisiaque pour Mixim, dont l'envie et le plaisir ne prenaient que de l'ampleur.

   Rapidement, les tentacules jouirent, sur elle, sous sa combinaisons et en elle. Elle aspira le sperme des tentacules dans sa bouche. Ses joues se gonflèrent puis se vidèrent avant de se regonfler de sperme. Elle avalait avec délectation ce liquide chaud et visqueux, le sentant glisser dans sa gorge pour rejoindre son estomac. Elle n'était plus qu'une marionnette obéissant à ses fantasmes et prenant plaisir avec les tentacules.

   Pour Jade, les choses n'allait pas mieux : les doses d'aphrodisiaques que lui injecter régulièrement le monstre, finirent par abattre sa résistance, la fessant sombré dans le même état que Rinko et Goya, une part d'elle essayant vainement de reprendre le contrôle de son esprit et de son corps. Elle prenait plaisir à se faire prendre et avaler avec délice le sperme que lui offraient les tentacules.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 23 juillet 2014, 01:43:54
SARAH KERRIGAN

La belle Shiranui n’en menait pas large face à Sarah, et elle était tellement terrifiée qu’elle n’osait même pas parler. Ses lèvres restaient closes, son corps inerte, mais elle n’était pas insensible à ce qui se passait. Certainement pas. Ça, elle ne pouvait pas le cacher à la Reine des Lames. Un sourire amusé, pervers, éclairait le beau visage de Sarah, qui continuait à peloter les lourds seins de la Tekhane, sans relâche. Avec elle, elle était plus douce, plus soft… Ce qu’un Annexien normal n’aurait jamais été. Il l’aurait sèchement violé sans se poser de plus amples questions. Sarah, elle, était juste un peu plus intelligente que ses collègues, et un brin plus vicieuse. Elle préférait initier ses invitées, afin qu’elles comprennent toutes la chance qu’elles avaient d’être ici.

Shiranui ne serait pas une partie très difficile à manœuvrer. Elle n’était pas en colère, juste effrayée. Autrement dit, tout ce que Sarah avait à faire était de la rassurer un peu, de l’éduquer et de la former. Un domaine dans lequel la Reine des Lames, fort heureusement, excellait. Shiranui était nerveuse, et Sarah était là pour la prendre dans ses bras, pour la consoler et pour la réconforter. C’était presque comme s’adresser à une enfant… Une enfant avec une taille gigantesque.

Les rougissements de la Tekhane illustraient le vif plaisir qu’elle était en train de ressentir.

« As-tu perdu la langue, ma mignonne ? plaisanta-t-elle en lui caressant à nouveau, du bout des doigts, l’une de ses lèvres, son ongle pointu glissant tendrement dessus. Tu es si craquante, avec tes belles joues rouges… »

Shiranui pouvait tout à fait parler, car Sarah avait pris soin de retirer le tentacule qui obstruait sa bouche. Elle ne communiquait par que de timides gémissements lorsque la Reine avait pétri ses seins, et Sarah savait que ce n’était pas la douleur qui la faisait gémir. C’était même tou, sauf ça. Il y avait la peur, l’angoisse, la nervosité, mais aussi d’autres délicieuses sensations, comme le plaisir, lancinant, qui était délicatement en train de monter en elle. Sarah s’humecta les lèvres en la regardant, et se pencha à nouveau vers son corps, courbant son corps vers l’avant, se rapprochant d’elle, de plus en plus proche.

Elle posa ses mains sur chacune des épaules de la femme, délaissant ses seins. Son visage se rapprochait du sien, et elle entrouvrait lentement les lèvres, avant de déplacer sa main pour caresser sa joue, puis se cramponner à ses cheveux.

« Tu n’as pas à avoir peur de moi, mon cœur... Je ne souhaite que ton bonheur. »

Joignant le geste à la parole, Sarah alla l’embrasser tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes, et tira sur sa lèvre inférieure tout en l’embrassant. Son corps se détendait progressivement, jusqu’à ce qu’elle soit totalement allongée contre le corps de Shiranui. Les énormes seins de l’intéressée formaient de vraies bosses la retenant, presque comme deux gros ballons, mais le bassin de Sarah tapait contre celui de Shiranui, les jambes interminables de la géante filant ensuite sous le corps violet de la Reine des Lames, dont les pattes se déployèrent de part et d’autre, à gauche et à droite, pour se planter sur la texture du lit organique, afin de soutenir le corps élancé de la violette Reine.

Loin de durer quelques secondes, le baiser s’étala en réalité sur de longues minutes, des minutes délicieuses, où la bouche de Sarah était collée à celle de la femme, tout son corps. Une main sur sa nuque, l’autre retournait pincer l’un de ses seins, le malaxant, titillant son téton. Ses lèvres étaient comme collées à celle de la femme, et, quand Sarah rompait le baiser, c’était pour mieux le reprendre. Elle ne disait rien, elle se contentait juste de l’embrasser, et de savourer. Shiranui, comme toutes ces autres femmes, avait une bouche magnifique, et sa nervosité ne faisait que l’embellir davantage. C’était une vraie petite perle d’innocence et de naïveté. Loin de réfréner les pulsions de la Reine des Lames, ce constat ne faisait que lui donner encore plus envie de la violer sur place.

*Du calme, du calme, savoure...*

Elle savourait, oui, mais ça ne l’empêchait pas d’avoir une belle érection, une barre de chair qui se durcissait rapidement, et qui tapait contre la combinaison de Shiranui. Sarah se contrôlait, pour l’heure, mais elle savait très bien qu’on ne luttait pas éternellement contre ce type de pulsions.

« Est-ce que tu aimes, Shiranui ? finit par lui demander Sarah en retirant ses lèvres. Ose me dire que je te fais mal, ou que tu n’aurais pas encore envie de goûter à mes lèvres... »

Son corps parlait pour elle, mais Sarah avait envie de l’entendre.



LE MONSTRE

Il aurait tout à fait pu donner à Mixim des calmants, mais il sentait que, dans l’absolu, la femme aurait plutôt besoin de calmants. C’était une véritable hyène, qui mouillait comme un porte-avions sur le point d’embarquer. Il la pénétrait comme s’il était un trente-six tonnes roulant à tombeau ouvert sur un boulevard, enfonçant profondément ses tentacules en elle, la serrant dans d’autres. C’était gluant, sale, visqueux, Mixim se débattant dans tous les sens, secouée frénétiquement par les tentacules invincibles du Monstre. Entre les quatre femmes, il ne se passait alors pas une seule seconde sans qu’il ne jouisse sur elle ou en elle.

Joueur, ses tentacules jouirent dans les cheveux de Rinko et Miyo, et plusieurs petites tentacules remuèrent ensuite leurs cheveux, comme s’il était en train de leur faire un shampooing, couvrant leur visage de sperme. Pour Mixim, c’était une véritable déferlante de foutre qui s’abattait sur elle, jusqu’à ce que le sperme ne finisse par la recouvrir entièrement, au bout de quelques minutes, la noyant dans une tâche blanche et gluante qui dégoulinait de son corps.

Ce que ces trois femmes vivait était à la fois terrifiant et grotesque.

Formien.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 27 juillet 2014, 20:58:34
   Les sensations que Shiranui ressentait la mettait mal à l'aise en même temps que ça lui fessait du bien. Ces sensations nouvelles étaient comme une sorte d'anomalie pour elle, elle n'avait jamais sentie quelques choses qui puissent s'en rapprocher, de plus la Reine des Lames était la première personne qui tripote ses seins, au point de lui donner ces étrange sensations. Pour Shiranui, qui allait faire ses premier pas dans le sexe, ces sensations étaient vue comme étranger et néfaste. Qu'allait donc lui faire l'annexienne ? Car Shiranui, en plus d'être vierge et innocente, ignorait quelle sort les soldates capturaient subissaient. On lui avait dit toute sorte de chose, tout droit sortie d'un cauchemar. L'annexienne fessait comme pour jade, mais Shiranui voyait bien qu'elle allait plus doucement avec elle. Perdue, désorienter, apeuré, terrifier et sous l'emprise de ces sensations inconnue, Shiranui n'était qu'une proie facile et sans défense pour la Reine des Lames.

« As-tu perdu la langue, ma mignonne ? Tu es si craquante, avec tes belles joues rouges… »

   Cette fois encore, Shiranui resta muette, ne sachant pas quoi répondre. Ses paroles contrasté avec l'image que l'on avait faite d'elle à Shiranui, elle voulait sans doute la mettre en confiance, qu'elle baise sa garde pour qu'elle en profite, car on lui a décrit les annexiens comme des être machiavélique prêt à tout pour capturer des soldates et qu'ils étaient aussi des créatures sans cœur, sans aucune pitié et qui voyaient en les tekhanes que des objets pour s'amuser.

   L'annexienne regardait son visage, mais Shiranui détournait son regard, n'osant pas la regarder droit dans les yeux, intimidé. Elle ne la vit pas s'humecter les lèvres, mais Shiranui la regarda se baisser, de se rapprocher de son visage. Le visage de l'annexienne occupait de plus en plus son champs de vision, jusqu'à ce qu'elle ne puisse voir que son visage, et la encore, elle n'osait pas la regarder droit dans les yeux. L'annexienne mit ses mains sur ses épaules, ce qui ne rassura pas Shiranui pour la suite, elle regarda les lèvres de l'annexienne s'entrouvrirent chose qui perturba Shiranui ignorant ce qu'elle allait faire, avant de sentir sa main sur sa joue, qui alla après se cramponner à ses cheveux, l’empêchant ainsi de tournée la tête, la forçant à garder son visage face à celui de l'annexienne.

« Tu n’as pas à avoir peur de moi, mon cœur... Je ne souhaite que ton bonheur. »

   Pourtant Shiranui ne pouvait s’empêcher d'avoir peur d'elle, surtout quand après tout ce qu'elle avait fait avant. Sans qu'elle s'y attende, l'annexienne vint l'embrasser, scellant ses lèvres contre les siennes. Shiranui fut surprit, elle fit les grands yeux, avant d'essayer de se libérer du baiser de l'annexienne, mais la main sur ses cheveux l’empêcher d'agir et l'annexienne ne semblait pas prête à la laisser faire. Shiranui gémit d'impuissance, respirant avec rapidité.

   Corps contre corps, Shiranui sentait que l'annexienne s'était étendue sur elle, plaquant son corps contre le sien. Ses seins agissaient comme barrage, retenant le corps de l'annexienne, l’empêchant de se coller complètement à elle. Shiranui sentie sa poitrine être écrasait par le poids de l'annexienne, mais cela ne la gêner pas. Ce qui la gêner, était le fait qu'elle ne pouvait pas repousser l'annexienne, ses membres étant bloquaient par des tentacules.

   Durant les minutes qui s'écoulèrent, Shiranui avait l'imprésion que cela fessait une éternité que la Reine des Lames l'embrassait, s'arrêtant quelque fois, pour reprendre le baiser avec plus d'envie. De plus l'annexienne était repartit à l'assaut d'un de ses seins, s'intéressant cette fois à ses tétons, ce qui avait arracher à Shiranui un crie de surprise étouffer par le baiser de l'annexienne, qui s'en suivit de gémissement eux aussi étouffer. Sa respiration avait accélérer et ses joues était devenue plus rouge. C'était la toute première fois que quelqu'un lui fessait ça, toute première fois qu'elle était dans cet état et première fois que quelqu'un l'embrassait de cette manière et aussi longtemps. Elle ne comprenait pas et voulait comprendre, ignorant que sont état contribuer à excité la Reine des Lames. Chose qui fut représentait par l'érection de cette dernère qui tapa contre le ventre de Shiranui, qui ne put refréner un sentiment d'inquiétude, car elle se demander qu'es que c'était. Quand le baiser prit fin, un petit filet de bave les relier encore et Shiranui fut un peu soulager.

« Est-ce que tu aimes, Shiranui ? Ose me dire que je te fais mal, ou que tu n’aurais pas encore envie de goûter à mes lèvres... »

   Elle ne savait pas, c'était nouveau pour elle, elle se sentait perdue face a toute ses nouvelles choses qui s'ouvrait à elle et elle découvrait des sensations inconnue. Mais sa peur et ses inquiétudes étaient toujours présent eux, ce qui mettait mal à laisse Shiranui. Finalement elle ouvrit la bouche, voulant des réponses à ses questions.

-Q... qu'es qui m'arrive ? Que m'avez vous fait ? Pourquoi vous me faite ça ?

   Car oui, Shiranui était sur que c'était l'annexienne la responsable de son état et qui lui embrouiller l'esprit.

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   Mixim avait sombré dans une luxure profonde, ayant un orgasme monstrueux chaque minutes, ce n'était plus du plaisir, mais de l'extase pur et dure. Chaque tentacules la pénétraient plus fort qu'elle l'aurait souhaiter, plus rapide qu'elle le pensait et plus profondément qu'elle croyait. Les tentacules semblaient jouir sans interruptions, la remplissant t-elle une ballon de baudruche, fessant gonfler son ventre de sperme, pas loin du stade de femme enceinte. Elle buvait le sperme avec une soif sans fin, sa combinaison était gonfler de sperme, son corps recouverte de sperme. On ne pouvait pratiquement plus distinguer correctement les couleurs de sa combinaison ou de ses cheveux, tellement qu'elle « baignait » dans le sperme. Elle sentait la texture visqueuse et chaude du sperme sur sa peau, l'excitant encore plus.

   Les autres aussi étaient recouverte de sperme, le monstre veillant à leur donner à chacun « un bain », frottant leur cheveux pleins de spermes, comme un père lavant les cheveux de ses filles.  Rinko et Miyo étaient toujours ensembles, continuant à se faire l'amour et à s'embrasser, et elles se fessaient toujours remplir de sperme, leur ventres prenant lentement plus d'ampleur, tout en prenant « une douche » de sperme. Elles avaient sombré dans une luxure tout aussi profonde que Mixim, prenant un plaisir monstrueux à se faire prendre, à jouir et à s'embrasser, sous les yeux du monstre. Miyo avait enlever, depuis longtemps, sa capuche et son foulard, dévoilant des cheveux cours et noirs et un piercing sur le coin de sa lèvre inférieure.

   Pour Jade, les tentacules la labouraient avec plus de forces que les autres et elle aimait ça, de plus une nouvelle tentacule s'était enfoncer dans son cul, se fessant ainsi défoncer le fondement par deux tentacules, qui n'hésitaient pas sur la force et la rapidité. Son ventre tendue par tout le sperme ingurgité remuer : une des tentacules dans son fondement était remonté vers l'estomac, remuant l'intégralité de ses entrailles.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 30 juillet 2014, 19:55:53
Leur baiser avait été long. Long et tendre. Un joli contraste par rapport à la manière dont Sarah avait sèchement baisé Mixim. L’Annexienne était ici bien plus douce, une chose qu’aucun autre Annexien ne pourrait faire. Sarah pouvait faire preuve de ce calme, de cette maîtrise d’elle-même, parce qu’elle n’avait pas encore oublié ses origines humaines. Elle avait encore conservé une bonne partie de son humanité, notamment la grande capacité de l’humanité à s’adapter à son environnement, et à évoluer en fonction des circonstances. Les Formiens n’étaient pas suffisamment intelligents pour ce genre de choses. Sarah avait longuement embrassé Shiranui, et, peu à peu, cette dernière était en train de retrouver l’usage de sa langue, et d’être capable de parler. D’une voix douce, presque silencieuse, comme un murmure, elle lui répondit :

« Q... Qu'est-ce qui m'arrive ? Que m'avez vous fait ? Pourquoi vous me faites ça ? »

Sarah lui sourit, et posa son doigt sur son nez, le caressant, avant de le faire descendre. Il glissa su ses lèvres, les titillant. Elle n’était vraiment pas méchante, faisant preuve d’une tendresse infinie, une douceur si inattendue que Shiranui ne savait pas comment réagir. Sarah comptait là-dessus pour les séduire. Il fallait adapter son comportement aux Tekhanes en face d’elle, et elle sentait bien que Shiranui serait convaincue sous peu. Malgré les tentatives de Jeanne de la protéger, Sarah l’avait finalement dans sa paume, et elle comptait bien en profiter. Elle allait prendre son temps. Sarah l’embrassa à nouveau, plus rapidement.

L’une de ses mains se déplaça ensuite pour agripper les cheveux de la femme, et l’autre continua à peloter son sein. Elle consentit alors à lui donner quelques explications :

« Le sexe, Shiranui, est le dénominateur commun positif propre à l’ensemble de toutes les espèces vivantes. C’est un moyen de reproduction, et, la Nature étant bien faite, donner la vie se fait dans le bonheur le plus intense qui soit. Ce que tu découvres, Shiranui, ce n’est pas un empoisonnement, ni un sortilège... Ce n’est rien de plus que ton propre plaisir. Tu la sens, n’est-ce pas ? Cette sensation grisante, qui remonte en toi, et qui, peu à peu, cherche à prendre le contrôle ? Ma pauvre petite... Personne ne t’a jamais appris ça... »

Elle était tellement ignare du sexe que c’en était bluffant. Dans une société comme Tekhos, où le sexe était présent partout,  qu’une femme ait pu passer ainsi entre les mailles du filet était presque exceptionnel. Sarah continuait à l’embrasser, baisant désormais chacune de ses joues.

« Je vais t’apprendre le sexe, Shiranui, car tu es grande... Et ton corps est prêt à accueillir ce plaisir nouveau. On a voulu t’en cacher, pour préserver ta pureté... Mais ce n’est pas une bonne chose. Car le sexe n’est pas une chose néfaste. »

Sarah l’embrassa encore, et pinça son sein.

« Ce plaisir que tu ressens fait partie intégrante de ton corps. Il est temps pour toi de t’y initier. »

On ne pouvait pas dire que la Reine des Lames cherchait à la presser. Au contraire, elle s’avérait être très posée dans ses actions. Elle ne voulait pas la forcer, et multipliait les baisers, afin de l’exciter davantage, et de la mettre en confiance.

« Caresse mes fesses, ma belle... Palpe-les, masse-les, laisse le plaisir monter en toi... Frotte mon beau petit cul. »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 16 août 2014, 19:24:41
   Shiranui ne savait plus comment considérer l'annexienne, elle fessait preuve d'une délicatesse et d'une douceur, que Shiranui n'aurait jamais crue possible, après ce qu'elle avait fait à ses amies et à tout ce qu'on lui avait dit sur les annexiens. Elle les voyait comme des monstres sans moral, sans pitié, dénuer de sentiment et qui adoraient torturer les humaines. Pourtant cette annexienne était très loin de l'image qu'elle s'en fessait, elle en était presque le contraire. Mais le doute, l'incompréhension et la crainte l’empêchaient de croire que l'annexienne était vraiment sincère dans ses gestes et paroles, que ce n'était qu'une façade pour mieux la tromper et la manipuler. En même tant ses mêmes doutes, ses inquiétudes et ses craintes, étaient vacillant, elle n'en n'était pas sur, elle en était incertaine.

   L'annexienne finit par lui répondre, lui expliquant ce qu'était le sexe. Shiranui crue qu'elle lui parlait de la reproduction, mais elle lui disait que c'était un moyen de reproduction et que cela était le responsable de ses nouvelles sensations qui était le plaisir ! Elle apprenait une chose : le sexe, mais elle ne voyait pas le rapport avec la situation. Jusqu'à ce que l'annexienne se remette à lui parlait après quelque baiser.

« Je vais t’apprendre le sexe, Shiranui, car tu es grande... Et ton corps est prêt à accueillir ce plaisir nouveau. On a voulu t’en cacher, pour préserver ta pureté... Mais ce n’est pas une bonne chose. Car le sexe n’est pas une chose néfaste. »

   Le cerveau de Shiranui se mit en marche : lui apprendre le sexe ? Donc lui apprendre un moyen de se reproduire. Mais pourquoi ? Shiranui ne voulait pas, ça ne l'intéresser pas, même si elle semblait être prête. Elle réfléchit, jusqu'à ce que son cerveau fasse tilt : l'annexienne voulait se reproduire avec elle ! Et elle allait lui apprendre le sexe ! Pour Shiranui tout prenait sens ! Elle allait donc servir comme moyen de reproduction pour l'annexienne et donc donner naissance à des formiens !

   Shiranui venait de découvrir d'elle même le sort qui était réserver aux soldates, choses qu'on lui avait toujours cacher, mais elle ignore encore tout de la partie cacher de l'iceberg. Mais cela ne l’empêcha pas de s'y opposer, ignorant les autres paroles de l'annexienne.

-Mais... j'ai pas envie de devenir maman moi ! J'ai pas envie d'être enceinte !

   On pouvait lire dans ses yeux, une certaines niaiserie et aussi de soulagement, et ça malgré le plaisir qui marquait son visage et les gémissement de plaisir qu'elle fessait. Shiranui, qui s'était imaginer toute sorte de chose digne d'un film d'horreur, était soulager que l'annexienne cherche uniquement à se reproduire et donc qu'elle ne lui voulait aucun mal, mais Shiranui n'avait pas envie d'être enceinte et de s'occuper de son enfant.

   Jeanne et quelque autres, eurent un léger rire moqueur pour l'annexienne qui fessait fasse à l’ignorance total de Shiranui et sa naïveté. Elles avaient toute entendues les paroles de l'annexienne, comme Shiranui qui elle avait retenue du sexe, qu'un moyen de reproduction. Son sens du sexe n'était pas le même que celui de l'annexienne, qui elle voyait une source de plaisir intense et illimité. Pour Shiranui, qui ignorait les véritable intention de l'annexienne, croyait qu'elle voulait juste qu'elle donne naissance à un enfant et qu'elle agisse comme une maman. Il était facile de comprendre que la route sera sans doute longue avec Shiranui.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 17 août 2014, 02:01:53
« Mais... j'ai pas envie de devenir maman moi ! J'ai pas envie d'être enceinte ! »

Les rires moqueurs des quelques soldates furent récompensées par la colère passagère de Sarah, qui serra davantage ses tentacules pendant quelques instants, les étouffant. La Reine des Lames ne voulait pas qu’il y ait une insubordination aussi grossière, pas alors qu’elle était en train d’éduquer cette petite poupée... Sarah peinait toujours à croire que cette femme puisse être aussi ignare, aussi... Naïve. Elle trouvait ça touchant... Ce qui lui donnait encore plus envie de la baiser. Sarah esquissa un léger sourire. Toujours allongée sur le corps de la femme, elle posa rapidement un doigt sur ses lèvres.

« Ne dis rien d’idiot, ma belle... Tous les êtres humains aspirent à donner la vie, c’est quelque chose d’ancré dans notre patrimoine génétique. C’est pour ça que les rapports sexuels sont aussi bons. Préfères-tu semer la mort et la dévastation, sans rien donner en retour ? L’univers fonctionne ainsi... Tout ce que nous prenons, nous le rendons, et c’est de cette manière que l’équilibre est préservé. C’est ce que les Formiens font... C’est ce que ton peuple fait. Prendre. Construire. Améliorer. Perfectionner. »

Sarah parlait sur un ton doux, bas, et retira son doigt, se rapprochant à nouveau des lèvres de Shiranui, continuant à parler, de sa voix velours, de cette délicieuse voix sensuelle et envoûtante. La jeune femme était sensible, fragile. Elle, il ne fallait pas la soumettre par la violence, ou elle risquait de la briser pour de bon, et de n’avoir plus qu’une poupée de chiffon qui accomplirait tout ce que la Reine des Lames voudrait sans jamais y mettre la moindre passion. Non, il fallait la convaincre autrement.

Par les mots.

« Nous ne voulons pas détruire ce monde, tu sais... Juste le préserver, l’insérer à un plus grand ensemble. Nous sommes là pour vous aider à accepter ce que vous êtes : des créatures sociales, des créatures qui s’insèrent dans un corps, pour se transcender. L’individualisme que vous prônez tant est une erreur. »

Elle l’embrassa à nouveau, tendrement, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, l’une de ses mains retournant pétrir l’un de ses énormes seins. Toutes ces Tekhanes étaient déjà ses Tekhanes. Elles résisteraient de bien des façons, mais c’était une résistance vaine, vouée à l’échec. Sarah n’acceptait pas la défaite, pas après tout le mal qu’elle avait eu à soumettre ces jeunes femmes. Maintenant qu’elle les avait, elle comptait les bichonner un peu.

Le baiser dura un certain temps, s’étalant sur plus d’une minute. Sarah gémissait lentement dans la bouche de la femme, tandis que sa verge titillait son sexe. Elle aurait pu la prendre comme ça, et elle était sûre que Shiranui aurait adoré ça... Mais Sarah voulait vraiment que cette première fois soit inoubliable chez Shiranui.

Ayant terminé le baiser, elle sourit à la jeune Tekhane puis descendit alors, son visage se retrouvant rapidement entre les cuisses de la femme, tout en ayant embrassé ses seins, puis son ventre. Quand elle atteignit cette partie de son corps, Sarah, sans perdre son temps, la lécha, sa langue filant le long de la combinaison, heurtant son intimité. Elle aimait bien les combinaisons tekhanes pour une simple raison : elles étaient très moulantes. La langue de Sarah s’enfonça à travers, heurtant son clitoris, et la femme se mit à sourire, relevant ses yeux vers la Tekhane.

« Naïvement, on pense que la torture ne fonctionne que par la douleur... Mais, crois-moi, Shiranui, le plaisir peut aussi être une forme de torture insoutenable. »

Elle recommença alors à la lécher pendant quelques secondes, et poursuivit :

« Implore-moi de te prendre ta virginité, et je m’arrêterais. »

En attendant, elle continua à lécher, ses mains filant sous le corps de la femme, se cramponnant à ses fesses... Et elle lécha, encore et encore.

Sarah avait tout son temps.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le lundi 18 août 2014, 21:15:40
   Shiranui regarda la femme, se demandant si elle l'avait comprit. L'annexienne devrait voir quelqu'un d'autre, parce que Shiranui n'était pas prête de vouloir être enceinte. Elle ignorait le temps de gestation vue qu'elle ferait ça avec une race extra-terrane et elle voulait pas perdre son temps à s'occuper d'un enfant, ça ne l'intéresser pas et elle se sentait pas prêtre. Mais la pauvre ignorait le véritable sens du mot sexe et ce que voulait réellement l'annexienne. Cette dernière lui esquissa un sourire et posa un doigts sur sa bouche. Shiranui comprit que l'annexienne allait lui expliquer des choses ses amies fessaient pareil pour l’empêcher de parler, afin elle pouvait, mais c'était une manière de lui dire de ne plus parler et d'écouter.

« Ne dis rien d’idiot, ma belle... Tous les êtres humains aspirent à donner la vie, c’est quelque chose d’ancré dans notre patrimoine génétique. C’est pour ça que les rapports sexuels sont aussi bons. Préfères-tu semer la mort et la dévastation, sans rien donner en retour ? L’univers fonctionne ainsi... Tout ce que nous prenons, nous le rendons, et c’est de cette manière que l’équilibre est préservé. C’est ce que les Formiens font... C’est ce que ton peuple fait. Prendre. Construire. Améliorer. Perfectionner. »

   Shiranui lui lança un regard interloquait, elle ne voyait pas où elle voulait en venir, elle lui parlait de choses dont elle avait presque déjà entendue parler, mais ses mots à elle semblait cacher quelque chose et cela ne la rassurer pas. La femme retira son doigt et rapprocha à nouveau ses lèvres des siennes. Elle lui parla cette fois du but des formiens, mais elle s’adressait plutôt à la mauvaise personne, car Shiranui se demandait se qu'elle voulait à la fin : se reproduire ou préserver Terra ? Elle était vraiment indécis ! Puis elle lui parle de sociabilité... elle est très sociable ! Et puis comment insérer une personne dans le corps d'un autre personne ? Et que vient faire l'individualisme dans ses paroles ? T-elle était les pensées de Shiranui.

   Elle n'est pas une attardé, c'est une personne comme une autre, mais qui n'est pas une lumière quand on parle de chose compliquer ou qu'elle ne connaît pas ou qu'elle ne comprend pas, Shiranui parlera et pensera de manière différente que l'on voudrait. Dans ce cas là, elle ne comprenait pas où voulait en venir l'annexienne avec ses besoins de reproductions, ses envies de préservations et l'individualisme des humains. Pour faire plus simple elle comprend rien.

   L'annexienne l'embrassa à nouveau, mettant sa langue dans sa bouche et jouant avec la sienne, mettant fin à ses pensées. Shiranui sentit à nouveau la mains de l'annexienne sur son sein, le pétrissant, le malaxant, lui fessant pousser des gémissement, étouffer par le baiser. Ses gémissement n'était que du plaisir pur, mais elle avait toujours ce sentiments de sensations inconnue et étrange, lui fessant pousser des gémissement timide, un peu honteux. Le baiser dura une minute, ce qui fut le double pour Shiranui, un baiser doux et plein de passion, lui fessant pousser des gémissement d'aises, mellait à ceux de plaisir, provoquer par le massage de son sein par l'annexienne. Devait-elle encore la considère comme une ennemie ? Malgré tout ce qu'on lui avait dit sur elle et ce qu'elle avait fait ? Elle ignorait encore la réponse.

   Quand l'annexienne mit fin au baiser, Shiranui gémissait et soupirait encore d'aise et de plaisir, les joues rouge de plaisir. Elle regarda d'un œil interrogateur l'annexienne, qui s'éloignait de son visage pour aller vers son entrejambe, après avoir embrasser ses seins et son ventre. Elle poussa un petit crie de surprise et d'une légère peur, quand elle sentie la langue de l'annexienne passait sur son intimité, avant d'y pénétrer et de heurtait son clitoris. Shiranui poussa un autre crie, cette fois un peu plus fort et de plaisir, mais Shiranui était en émois : que fessait l'annexienne et qu'es qui lui avait provoquer une telle sensations de plaisir ? Elle ignorait que c'était son clitoris qui en était responsable et encore plus qu'il soit aussi sensible !

   L'annexienne la regarda et lui sourit, mais Shiranui lui lança un regard inquiet : première fois qu'elle voit quelque faire ça et qu'elle ressente une pareil sensation au niveau de son clitoris, elle savait ce qu'était un clitoris, du moins elle sait qu'elle en possède un, mais ne s'en ai jamais préoccuper.

« Naïvement, on pense que la torture ne fonctionne que par la douleur... Mais, crois-moi, Shiranui, le plaisir peut aussi être une forme de torture insoutenable. »

   Que voulait t-elle dire ? Shiranui voulait comprendre de quoi elle parlait. Elle eu un spam lorsque l'annexienne recommença, de plaisir ou de dégoût ? Elle ne savait pas, mais sa respiration se fit plus rapide, ses gémissement plus nombreux et que de plaisir, d'unn plaisir qu'elle ne comprenait pas.

« Implore-moi de te prendre ta virginité, et je m’arrêterais. »

   Sa virginité ? Shiranui en avait déjà entendue parler, mais ne savait plus trop à quoi cela correspondait. Toujours est-il que l'annexienne se remit à lécher son intimité. Cette fois Shiranui se mit à trembler par moment, après une longue minute. À chaque coup de langue, elle gémissait de plus belle, lâchant parfois un petit crie de plaisir sans que ne s'y attente. Le plaisir qu'elle ressentait, ne fessait que prendre de l'ampleur, manquant de la submerger, si son inquiétude n'était pas aussi fort.

   Inquiète, inquiète de se plaisir grandissant qu'elle éprouvait pour la première fois, inquiète du brasier qui naissait dans son intimité, ignorant si elle ressentait de la douleur ou du plaisir tant que cela était intense et inquiète de ce que lui fessait l'annexienne. Son visage se tordait sous le plaisir, elle rejeta sa tête en arrière lâchant un crie de plaisir. Les yeux hagard, la bouche entrouverte, respirant avec force et mal. Qu'es qui lui arrive? Pourquoi elle réagit comme ça ? Elle ne savait pas, elle voulait savoir. Elle voulait qu'elle arrête, mais elle ne trouvait pas les mots, ni la parole, ses gémissements et cries l'en empêchant. A force de tenter, elle parvint à articuler quelque mot.

-A....mmmh... arrêter.. haaaannn... s'il...s'il-vous-plaît...

   L'avait t-elle entendue ? Allait t-elle arrêter ? Malgré tout ce qu'elle ressentait, tout ce plaisir, elle voulait qu'elle arrête, c'était trop pour elle, elle n'arrivait pas à contrôler ce plaisir, ni à contrôler son corps, seule son esprit était encore lucide. Son souffle rapide, chaud et incontrôlé caresser sa poitrine, son regard fixait l'annexienne, espérant que celle-ci cesse sa torture comme elle avait dit. Son corps imposant, avait encore des spams de plaisirs et elle avait très chaud, son corps commençant à être en sueur.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 21 août 2014, 02:46:34
La langue de Sarah ne cessait de remuer contre l’intimité de cette femme, trempant son uniforme, moulant le plus possible sa tenue. Ces Tekhanes avaient d’affreuses combinaisons. Elles étaient tellement sexy qu’il était impossible de se retenir de ne pas les violer sur place. La Reine des Lames avait envie d’elles, de toutes ces femmes. Elle les prenait absolument toutes, sans exception, en adaptant son comportement à la personne qu’elle avait en face d’elle. Shiranui baignait par son innocence et par sa naïveté. Ce plaisir-là lui était inconnu, et Sarah comprit alors qu’elle n’avait jamais du se masturber, ni même imaginer que le sexe puisse être aussi agréable, aussi intense, et aussi ardent. Elle n’avait du voir ça que comme une sorte de câlin, et, comme toute jeune fille, en était légèrement dégoûtée, voyant dans le rapport sexuel l’expression d’une violence primaire et sanglante. Sarah allait l’aider à grandir, elle allait l’aider à devenir une femme, à accepter tout ce que sa part de féminité impliquait. Elle se tortillait sur la table organique, ses poignets entravés par des tentacules, suppliant Sarah d’arrêter ça.

Un sourire malicieux glissa sur les délicieuses lèvres de la violette Reine des Lames, qui releva lentement la tête, posant ses mains sur ses hanches. Télépathe, elle percevait l’incompréhension de Shiranui. Même le concept d’« innocence sexuelle » lui était inconnue. S’humectant les lèvres, la Reine des Lames esquissa un léger sourire.

« M’arrêter ? Ma chère, je ne fais que te lécher... »

L’Annexienne se pencha à nouveau vers son visage, amenant l’une de ses mains pour caresser son visage, glissant le long de sa joue. Son autre main, elle, resta à hauteur des cuisses de la femme, et la femme glissa un doigt en elle, l’enfonçant contre sa combinaison, devenue tellement molle que son doigt pénétra sans peine la femme. Elle continua à pousser un peu, tendant la combinaison au maximum, son doigt remuant en elle, sentant toute cette mouille en train d’accroître, heurtant son clitoris, le frottant à travers la tenue de la femme.

Pendant ce temps, Sarah se mettait à nouveau à parler :

« Il ne faut pas avoir peur de ce que tu ressens, Shiranui... C’est le plus grand des plaisirs qu’un être vivant puisse s’accorder. Celui du sexe...  C’est ta première fois avec moi, Shiranui, et c’est normal que tu aies peur. On a toujours peur la première fois, mais je peux te garantir que tu n’en ressentiras que du plaisir. »

Elle retourna l’embrasser, à nouveau, pendant une bonne minute, son doigt continuant à jouer en elle, à la pénétrer, à sortir, puis à revenir en elle, pour ressortir ensuite. Sarah répéta ce manège pendant un petit moment, avant de finalement se redresser, et coupa la tenue de Shiranui, dessinant une ouverture à hauteur de son intimité. Elle nota que Shiranui s’était épilée... Sans doute un réflexe tekhan, qui permettait ainsi de ne pas voir de poils pubiens ressortir de sa combinaison serrée. Elle avait de plus en plus de mal à croire que cette femme, avec une telle tenue, et d’aussi grandes formes, puisse être aussi ignare de ce genre de choses. C’était presque un défi à la logique et au bon sens !

Sarah sentit sa verge l’élancer, encore et encore. Son appétit sexuel était presque infini, aussi grand que si elle était une succube. Ses mains serraient les épaules de la femme, leurs seins se frôlaient. Les doigts de l’une de ses mains dégoulinait de cyprine, et elle les amena contre la bouche de Shiranui, les enfonçant entre ses lèvres.

« Goûte donc, Shiranui... Sens à quel point tu es bonne. »

Elle remua un peu ses doigts pendant quelques secondes, puis les retira, caressa à nouveau la joue de la femme, reposa sa main sur son épaule... Et la pénétra sèchement. Son intimité étant bien mouillée, Sarah ne pouvait décemment plus attendre, sentant contre sa verge le jus intime de Shiranui, formant comme un irrésistible appel à la débauche sexuelle et à la dépravation. Elle la pénétra donc, s’enfonçant en elle d’un bloc, et poussa un soupir en brisant son hymen, ses ongles s’enfonçant dans sa peau généreuse.

Oh, si c’était bon !! Elle remua son corps d’avant en arrière, sa verge glissant en elle, pénétrant lourdement Shiranui en écrabouillant son clitoris. La Reine se mit à soupirer et à gémir. Parfois, un acte valait mille discours, et c’est précisément ce que Sarah était en train de faire. Shiranui était prête.

Pourquoi attendre plus longtemps ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 23 août 2014, 22:23:53
   Shiranui la regarda l'annexienne levait la tête et qui lui esquissa un léger sourire. Elle espérait qu'elle accepte d’arrêter, elle n'en pouvait plus.

« M’arrêter ? Ma chère, je ne fais que te lécher... »

   Shiranui ne trouva rien à dire, méduser. Elle lui avait dit ça d'une manière qu'elle trouvait un peu surprise, comme si cela était normale de lécher son intimité. Pour Shiranui, cela était déviant et sale, mais pour les autres cela était une pratique normale dans le sexe. Elle la regarda revenir vers son visage, tout en amenant sa mains caresser son visage. Shiranui frémit, elle venait d’arrêter, mais elle sentie un autre contacte sur son intimité, elle devina que c'était l'autre main de l'annexienne. Et quand l'un des doigts de l'annexienne forçat sa combinaison, pénétra son intimité et cogna son clitoris, Shiranui étouffa un crie de plaisir et de surprise.

   S'en suivit des gémissement, quand le doigt remplaça ce que fessait la langue. Shiranui le sentait remuer dans son intimité, frottant son clitoris, lui arrachant parfois de léger cries. Son corps trembla une nouvelle fois, ses joues déjà rouge, gagnèrent en intensité. Sa bouche était entrouverte, son souffle intense et ses yeux remplit de confusion et de plaisir.

« Il ne faut pas avoir peur de ce que tu ressens, Shiranui... C’est le plus grand des plaisirs qu’un être vivant puisse s’accorder. Celui du sexe...  C’est ta première fois avec moi, Shiranui, et c’est normal que tu aies peur. On a toujours peur la première fois, mais je peux te garantir que tu n’en ressentiras que du plaisir. »

   Shiranui leva les yeux vers son visage, elle avait l'air sincère et encore une fois elle ne trouva rien à dire. L'annexienne revint l'embrasser, sans cesser d'enfoncer et de retirer son doigt de l'intimité de Shiranui, dont les gémissement était étouffer par le baiser et ses yeux témoignaient d'un profond plaisir honteux. Son corps tremblait légèrement, son esprit commencer à légèrement s'embrumer. L'annexienne mit fin au baiser au bout d'un long moment, cessant par la même occasion de remuer son doigt dans l'intimité de Shiranui, avant de couper sa combinaison au niveau de l'intimité.

   Shiranui sentie sa combinaison être coupé, elle sentie l'air frai caresser son intimité, d'ailleurs elle sentie à se moment un liquide coulait de son intimité. Bien qu'il s'agisse de sa mouille, elle crue qu'elle s'était pisser dessus, mais elle comprit rapidement qu'il s'agit d'autre chose dont elle ignorait l'origine. Elle vit l'annexienne se repencher sur elle, mettant ses mains sur ses épaules et sentit leur seins se caressaient légèrement. Sans comprendre le geste de l'annexienne, Shiranui la vit enfonçait quelque doigts entres ses lèvres entrouverte, se posant sur sa langue et elle ne comprit pas plus le sens de la parole que prononça l'annexienne.

   Tous ce qu'elle comprenait est que l'annexienne lui fessait goûter une chose qu'elle trouvait... dégouttant. Elle n'arrivait pas à deviner le goût, ni rien d'autre. Elle voulait juste qu'elle retire ses doigts, elle sentie les doigts remuer dans sa bouche, commençant à être écœurer. Finalement elle retira ses doigts, mais elle avait encore le goût dans la bouche. Elle évita le regard de l'ennexienne, tentant d'enlever se goût dans sa bouche. Mais le temps qu'elle fasse ça, l'annexienne la pénétra d'un coup.

      Shiranui fit les gros yeux et cria. C'était un crie de douleur, la pénétration fut sans douceur, et quand bien même son vagin était lubrifier par sa mouille, il n'était pas aussi bien dilater pour accepter le sexe imposant de l'annexienne. Elle sera les dents, respira avec force et elle pleura légèrement de douleur. La pénétration était rapide, puissante et était la représentation de l'ardeur et de l'envie de l'annexienne. Shiranui subissait la même chose que ses amies, elle n'avait jamais que serait douloureux, et qu'une fois la douleur passer a bout d'un long moment, elle ressentait les mêmes sensations étrangères du débuts, en plus intense.

   Son corps tremblait sous les coup, sa poitrine était ballotter d'avant en arrière, ses yeux exprimer autant la douleur que le plaisir et sa respiration devint beaucoup plus intense que les autres fois. Ses gémissement étaient plus court, plus intense, plus fort. Tout comme ses cries, qui était tout aussi court et intense. Elle découvrait ce qu'était vraiment le sexe, elle en découvrait son véritable sens et elle le vivait dans sa meilleurs représentation.

   Mais une n'était pas de le même état, une qui entendait les doux murmures de la rage et de la colère et celle plus sombre du reproche. Jeanne n'arrivait pas à se résigner qu'elle ne pouvait rien faire, ses liens s'étaient renforcé et multiplier. Elle ferait payer cette annexienne, Shiranui méritait mieux, une vrai personne et pas une saloperie de formiens. Cette annexienne regrettera d'avoir violer Shiranui.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 26 août 2014, 01:29:21
La douleur explosa dans le corps de Shiranui quand Sarah la pénétra... Ce qui était prévisible. Elle ne s’attendait pas à une telle charge, et Sarah, pour être honnête, n’arrivait tout simplement plus à se retenir. Le besoin de son corps en matière de sexe était tout simplement trop fort, trop intense pour qu’elle puisse encore la former. Et puis, Shiranui était sa prisonnière, après tout. Sarah ne pouvait pas non plus la laisser mariner trop longtemps, et, comme elle le pensait elle-même, en matière sexuelle, le mieux était la pratique. Toute la théorie du monde ne servait à rien si on n’expérimentait pas par soi-même ces sensations. Sa verge s’enfonça donc dans le corps de la femme, dans son intimité lubrifiée, et, comme elle s’y attendait, le plaisir ne tarda pas à venir. Les tentacules retenaient toujours les poignets de la pauvre Tekhane, et Sarah retourna l’embrasser, tirant sur sa lèvre inférieure, la mordillant, ses mains venant pétrir les seins de la femme, pinçant ses tétons. Ses pattes arachnéennes, une fois n’est pas coutume, servirent à Sarah de soutien pour lui permettre de remuer son corps d’avant en arrière, sa longue verge s’enfonçant en elle, défonçant le corps de Shiranui, remontant de haut en bas sans la ménager.

Shiranui aimait ça, Sarah le sentait dans son esprit, ainsi que dans la manière dont son corps réagissait à ses pénétrations. La Reine des Lames remuait d’avant en arrière, donnant de grands coups de reins, optant pour un coït de plus en plus brutal, sentant autour d’elles les regards des autres Tekhanes... Notamment le regard haineux de Jeanne. Elle avait probablement du voir Shiranui comme sa petite sœur, sa protégée... Et elle devait voir ça comme un viol, même si Shiranui était maintenant pleinement consentante. Son innocence se retournait contre elle. Elle était totalement désarmée face aux sensations qui envahissaient totalement son corps, la remplissant et la maîtrisant, sans qu’elle ne puisse rien pouvoir véritablement y faire. Shiranui avait juste à se laisser aller.

« Hooo, ma belle, tu es... Si étroite, tellement... Haaaannn... »

Elle avait brisé son hymen, et le sang intime de Shiranui disparaissait sous sa mouille, parfaite allégorie du plaisir intense qu’elle était en train de ressentir. Les tentacules immobilisant ses poignets se retirèrent, car il n’y avait plus vraiment besoin de retenir cette femme, maintenant.

« Tu... Tu peux m’enlacer, hum... Caresser mes fesses... Me frotter le cul, haaann... Laisse parler... Ce désir refoulé en toi qui ne demande qu’à s’exprimer... »

Ses coups de reins étaient de plus en plus forts, défonçant l’intimité de cette femme, arrondissant ses parois intimes. Personne ne l’avait encore jamais pénétré, et sa fleur intime était donc étroite, peu habituée à un tel coït. Sarah devait forcer, redoublant d’ardeur, et, loin de la réfréner, cette situation ne faisait que l’exciter davantage. La Reine des Lames la prenait donc, mais ne comptait pas jouir avant elle. Leurs seins se heurtaient, et elle retourna embrasser Shiranui, optant pour un long et intense baiser... Car sa langue se mit à grossir, et s’enfonça dans la bouche de la femme, s’enroulant autour de la propre langue de Shiranui, la pressant avant de la relâcher, le baiser se poursuivant ensuite entre les deux femmes. Sarah lui roulait une pelle magnifique, et, pendant un bref instant, son corps cessa de remuer, sa verge s’enfonçant le plus loin possible... Puis sa queue retourna à l’assaut, d’avant en arrière, continuant à la prendre.

« Jouis, ma chérie... Ton premier orgasme, ta première fois... Déverse-toi ici, allez !! »

Son vit commençait à lui faire de plus en plus mal, sous l’effet du plaisir.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le jeudi 28 août 2014, 23:01:09
   Du plaisir intense et sauvage. Un plaisir qui c'était emparé de son corps sans qu'elle n'est rien pus faire, sans qu'elle sache comment y résister et sans même en connaître l’existence. Ce plaisir dominait Shiranui, dont le corps en était devenue l'esclave. L'esclave de son propre plaisir qu'elle n'arrivait pas à contrôler, ni à en échapper. Son corps était soumit à ce plaisir, soumit à l'annexienne et son esprit peinait à rester stable. Première fois que son esprit fessait face à ce sentiment, plus intense que la colère qu'il avait sut domptée durant son enfance, plus profond que la tristesse qu'il avait endurer durant cette même enfance, mais pas plus fort que son amitié avec Jeanne qui l'a apaiser durant cette enfance.

   Shiranui était totalement vaincue, laissant son corps à la merci de ces sensations, mais elle essaya de garder son esprit lucide, fasse à ce plaisir qui prenait place. Elle haletait de plaisir, elle gémissait de plaisir et elle criait de plaisir. Ses yeux, témoignant autant le plaisir que son esprit perdue, regardaient un point inconnue, sa bouche entrouverte laissait passer un souffle ardent et rapide, ses lèvres étaient perlé de bave, coulant de sa bouche, serrant parfois les dents au coup les plus forts. L'annexienne ne la ménageaient pas, s'enfonçant rapidement et avec force. Que pouvait elle faire ? Shiranui ne voulait pas s'avouer vaincue, mais elle n'avait plus la force de le faire et sa volonté était devenue trop faible. Elle voulait montrer son envie de résister, mais elle ne pouvais qu'afficher un visage remplit de gêne et de honte. Et chaque minutes qui passaient, son visage exprimait le plaisir qu'elle ressentait, mais un plaisir un peu coupable.

   Elle subissait les coups de reins de l'annexienne, fessant trembler son corps, lui provoquant  du plaisir et des spams de plaisir et ces coups devenaient plus fort et rapide avec le temps. Ses parois vaginales ne s'étaient pas encore adapté à la présence massive de la verge, chose que lui fit remarqué l'annexienne en parlant de son étroitesse. Mais assez pour lui éviter des élans de douleur.

   Shiranui sentie que ses poignets étaient libéré d'une pression, preuve que ses liens était partie , mais ceux de ses chevilles étaient toujours là. Elle ne pouvait pas fuir, mais ses bras était libre de leur mouvement. Mais elle ne fit rien, elle ne savait plus quoi faire et n'y quoi penser. L'annexienne lui donna des indications sur ce qu'elle pouvait faire. Durant les quelque secondes où Shiranui se décida à attraper l'annexienne par la taille, les bras tremblant en peu, les coups de reins de l'annexienne gagnèrent en force et le plaisir devint plus intense.

   Shiranui se crispa fasse au pénétration plus forte, resserrant ses bras autour de l'annexienne. Les coups heurtèrent son cols de l'utérus, lui arrachant plus de cries que de gémissement. Pour Shiranui, l'annexienne semblait vouloir redoubler d'ardeur, lui provoquant d'avantage de plaisir. D'ailleurs elle ressentit quelque chose en elle, une chose qui semblait prendre de l’ampleur, elle se rapprocher de l'orgasme, son tout première orgasme, le premier d'unu longue séries que lui provoquera l'annexienne.

   Tandis que ses seins heurtaient ceux de l'annexienne, ses tétons se frottant à ceux de l'annexienne, lui arrachant d'autre gémissement et crie de plaisir, l'annexienne l'embrassa une nouvelle fois. Shiranui sentie la langue de l'annexienne qui se frottait contre la sienne, elle y répondit timidement. Elle poussa un gémissement de surprise, quand la langue de l'annexienne prit de l'ampleur dans sa bouche, avant de s'enrouler autour de la sienne. C'était une expérience très bizarre pour Shiranui, de sentir sa langue se faire enrouler par une autre plus longue que la sienne.

   L'annexienne mit fin au baisser, libérant sa langue et ses lèvres.

« Jouis, ma chérie... Ton premier orgasme, ta première fois... Déverse-toi ici, allez !! »

   Shiranui connaissait le verbe jouir, mais pas la référence sexuelle, ce qui fait qu'elle ne comprit pas où voulez en venir l'annexienne. Mais elle n'avait guère la force de parler et de trouver ses mots. Cette sensation, qui était l'orgasme, prenait plus d'ampleur, accélérant sa respiration. Shiranui crut que cela était le plaisir qui prenait une forme et qui finirait par engloutir son esprit. D'une certaine manière elle n'avait pas tort. L'orgasme vint au bout d'une dizaine de seconde, noyant son intimité et la verge de l'annexienne, avant de s'échapper lentement de ses lèvres intime. En même temps, Shiranui poussa un râle d'un plaisir intense et profond, atteignant l'extase, tout en se plaquant contre l'annexienne.

   Shiranui avait ressentit un pic intense de satisfaction et de plaisir, une chose qu'elle n'avait jamais ressentit jusqu'à maintenant, une chose qui fut la plus savoureuse de sa vie. Elle fut plonger dans une extase profonde. Son esprit était loin, perdue dans une terre lointaine. Il lui fallut un longue minute pour savourer se moment, avant de revenir à la réalité. Son corps était en ébullition, son intimité en feu, entant ce qui sa cyprine coulait hors d'elle.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 31 août 2014, 01:51:15
Elle ne pouvait plus lutter. Elle était faite, à la merci de Sarah, son innocence retournée contre elle. Ce « viol » n’avait plus rien de forcé, Shiranui étant comme anéantie par le plaisir. Elle était comme un message sans équivoque pour tous les autres membres de cette escouade infernale : une future maîtresse au service de la Reine des Lames. Sarah comptait lui faire longuement l’amour, sans relâche, elle comptait la défoncer sauvagement, elle, ainsi que toutes les autres, les faire plonger dans un monde uniquement dominé et rythmé par le plaisir sexuel... Quelque chose de simple, d’enfantin, d’efficace, de facile à comprendre. Le sexe n’était pas bien compliqué, et était la preuve vivante que la Nature était bien faite.

Shiranui venait de jouir, et, pour un premier orgasme, il était très prometteur. Elle avait tellement éjaculé que Sarah avait également balancé sa crème, se déversant en elle en jouissant généreusement, balançant de longs chapelets de foutre chaud qui filèrent dans son corps, l’engrossant à coup sûr. La Reine des Lames s’étala ensuite contre ce corps gros et doux, frottant son visage dans le creux de la nuque de la femme, appréciant sa chaleur, savourant les rondeurs et les formes douces et généreuses de son corps. La Reine en frissonnait, sa verge toujours plantée en elle, et embrassa tendrement Shiranui sur les lèvres.

« Tu étais magnifique, ma belle... Quelle magnifique performance. »

Elle l’embrassa à nouveau, et retira sa verge de son corps en soupirant, ce qui eut pour effet de libérer une tonne de mouille. Sa cyprine glissait entre les jambes de Shiranui, s’égouttant aussi de la verge de la Reine, qui se redressa lentement, son sexe violet venant frotter contre le corps de la femme. Shiranui n’était plus vierge... Et elle avait même un cadeau, en prime.

« Tu es enceinte, Shiranui... D’ici quelques temps, ton corps va produire une larve qui viendra enrichir notre grande famille. »

La période de gestation des Formiens était nettement plus rapide que celle des humains. Leur incubation n’était pas celle d’une race appelée à conquérir l’univers et les galaxies. Elle était trop lente. Certes, elle permettait de produire des créatures d’une grande beauté, mais elle n’était pas rentable, du point de vue de la quantité. Or, si on voulait conquérir l’univers, il fallait être nombreux. Elles formaient en tout cas de très bonnes pondeuses, ce qui expliquait pourquoi Sarah les choyait.

Des tentacules se rapprochaient lentement, afin de saisir Shiranui par les bras et par les jambes. Sarah lui sourit alors, caressant ses lèvres.

« Il est temps de parfaire ton éducation Shiranui. Ne t’inquiète pas, nous nous reverrons. »

Quand bien même aurait-elle protesté que ça n’aurait eu aucune utilité ; les tentacules la soulevèrent. Ils étaient plus nombreux que pour les autres femmes, vu la corpulence de leur pensionnaire, mais parvinrent malgré tout à la soulever, la tractant le long de la paroi, pour l’envoyer dans le même conduit que les autres, l’amenant dans la tanière du Monstre.

Sarah, de son côté, se releva lentement, une main sur la hanche, un sourire moqueur sur le coin des lèvres. Son assemblée commençait à se réduire, mais il restait encore bien du monde... Et sa soif semblait toujours être aussi inépuisable.

« Alors, alors... Qui veut coucher avec moi, maintenant ? »

Pour le coup, elle admettait volontiers d’être comparée à une grosse nymphomane perverse... Car c’était exactement le cas !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le lundi 01 septembre 2014, 17:36:41
   Shiranui ressentait encore des sensations de plaisir, un plaisir qui continuer à la faire soupirait d'aise, un plaisir qui disparaissaient lentement, laissant place petit à petit à la fatigue et l’épuisement. Elle se rendit compte seulement après à quelle point elle avait chaud, qu'elle était pleine de sueur et que le... sexe était intense et éprouvant. Elle avait l'impression d'avoir fait du sport durant toute une journée ! Elle avait encore ses mains autour de la taille de l'annexienne, elle reprenait son souffle, ses joue était encore rouge et son cœur avait encore un rythme rapide, son esprit redevenant lucide. Son premier orgasme lui a fait ressentir des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginer. C'était plus intense que quand elle devint amie avec Jeanne. C'était le deuxième événement qui l'avait rendue dans un état qu'elle ne connaissait pas.

   L'annexienne avait arrêter de donner des coups de bassin et s’étala sur Shiranui, qui regardait toujours un point inexistant, dont les yeux étaient toujours rempli de l'extase qu'elle avait ressentit lors de son orgasme. Elle fut tiré de sa transe quand l'annexienne se frotta à elle, caressant son corps, profitant de ses courbes. Shiranui se rendit compte que l'annexienne avait toujours son... machin en elle et ce fut à ce moment là que l'annexienne l'embrassa une nouvelle fois, collant ses lèvres contre les siennes.

« Tu étais magnifique, ma belle... Quelle magnifique performance. »
-Euh...merci. Bredouilla faiblement Shiranui, ne sachant pas trop comment prendre la remarque.

   L'annexienne l'embrassa à nouveau, ce qui ne fut plus une Surprise pour Shiranui, après le nombre de fois où elle la embrassait. L'annexienne retira son sexe, ce qui ne déplut pas à Shiranui, qui était un peu soulager. Elle sentit qu'elle que chose couler de son intimité, ce qui lui d'étrange impression. Mais quand l'annexienne lui annonça qu'elle était désormais enceinte, Shiranui fut surprise et en même temps choquer !

-Mais... j'avais dit que je ne voulais pas être enceinte ! Dit elle, la voix remplit de mécontentement.

   Ses yeux n'exprimaient plus le plaisir, mais la contrariété ! Même si l'annexienne lui à montrer ce qu'est en réalité le sexe, Shiranui se souvint qu'elle lui avait dit que le sexe était une forme de reproduction. Pour Shiranui, l'annexienne semblait l'avoir oublier ou bien parce que elle une prisonnière et qu'elle na pas le choix. Dans tout les cas, cela n’empêcha pas que des tentacule l'attrapèrent par les bras et par les jambes, une fois que les liens la retenant à la table organique s'enlevèrent.

« Il est temps de parfaire ton éducation Shiranui. Ne t’inquiète pas, nous nous reverrons. »
-Mon éducation ? Quelle éducation ?

   D'autre tentacules vinrent l'attraper et la soulevèrent dans les airs, avant de l’amener dans le même conduit où ses amies avaient disparue. Elle oublia ses questions, essayant de se libérer de l'entrave tentaculaire, mais fut au final jeter dans le conduit rejoignant l'antre du monstre et ses amies.

   Jeanne regarda son amie partir. Quand elle avait entendue l'annexienne dire que Shiranui était enceinte, son envie de vengeance vira brusquement en une rage meurtrier, rage qui atteint son paroxysme quand elle la regarda disparaître dans le conduit. Les tentacules la retenant étaient tendue, Jeanne, quitte à s'étouffer pour de bon, forçait sur ses liens de toute ses forces, mais cela ne servait à rien. Ses bras et ses jambes avait complètement disparue dans le creep, des tentacules la retenait par les épaule, la taille et la poitrine, impossible pour elle de bouger.

   Quand l'annexienne se remit face à elles et qu'elle demanda qu'elle serait la suivante, certaine avait de grande envie de lui faire passer l'envie de recommencer, mais la majorité avait perdue leur combativité, surtout une qui c'était complètement résigner : Juliette (http://s108.photobucket.com/user/Tyjos/media/Anime%20Images/69428_562809227079581_894919581_n.jpg.html). Elle savait qu'elles n'avaient aucune chance, quand bien même même si Jeanne, Tirch ou Mistrial sont forte, elles n'ont pas une seule chance de réussite, elles sont condamnées.

   Juliette n'a jamais était une fille pessimiste, seulement réaliste. L'idée de ne plus revoir ses mères avaient été une raison pour qu'elle n’abandonne pas l'espoir de se libérer, mais au furent et à mesure qu'elle voyait ses camarades se faire violé, puis envoyer vers le monstre sans rien pourvoir faire, ont finit par détruire cette espoir et envie de liberté. Les autres tenteront sûrement quelque chose, pour accomplir un dernier geste pour leur liberté.

*Je me dévoue* Pensa t-elle, d'une voix qu'elle voulait neutre.

   Elle voulait en finir vite, ses camarades la comprendrons sûrement. Les liens la retenant s'enlevèrent et des tentacules vinrent l'attraper par les bras et elle se laissa guidée par les deux tentacules vers la tables organique, sous les yeux effaraient de ses camarades qui ne savaient plus quoi penser.. Elle s’installa sur la table et attendit l'annexienne.
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   Quand Shiranui fut lâcher dans le conduit, elle eu de désagréable sensations en se frottant contre la texture organique du toboggan. Elle glissa sur plusieurs mètres, cherchant à ralentir avec ses mains, mais c'était peine perdue. Une fois arriver au bout, elle sortie du conduit en se réceptionnant sur les fesses. Elle se releva en massant son fessier endolorie par la chute.

   Quand elle leva les yeux, un haut de cœur la saisit, passant à deux doigts de vomir. Devant elle se dressait une montagne de tentacules ! Cette agglomération de tentacules produisaient un son horrible et dégouttant aux oreilles de Shiranui. Des tentacules jaillirent de la masses, l'attrapant pare les membres, avant de la soulever et de la plonger au cœur de la masse, là où les autres étaient en train de se faire pénétrer de toute part.

   Shiranui se débattit et cria son refus. Mais quand une tentacule plus épaisse que la verge de l'annexienne pénétra son intimité heurtant son col de l'utérus avec force, avant de commencer de violent allés-retours, que d'autre filèrent sous sa combinaison, se faufilant partout répandant une substances gluante et qu'une tentacule s'occupa de son fondement, elle comprit qu'elle allait subir sans doute quelque chose de plus dure que le sexe.

   Ses seins furent comprimés, malaxer par deux tentacules qui s'enroulèrent autours, dont les têtes emprisonnaient ses tétons dans une multitude de petites langues. Une tentacule se pressa contre ses lèvres, voulant entrer et une tentacule finit par percé sa combinaison et de la pénétrer son fondement une fois celui-ci bien lubrifier. Ça première sodomie lui arracha autant un crie de stupeur que de crainte, la tentacule commença une profonde pénétration, avant de commencer des vas et viens à grande vitesse et à avec beaucoup de force. La tentacules près de ses lèvres s'y enfonça quand Shiranui ne put retenir son crie, allant profondément dans sa gorge, lui arrachant un haut de cœur, puis il commença comme les autres de puissant et rapide vas et viens.

   L'angoisse de Shiranui se transforma en panique, panique qui prit de l'ampleur, lui arrachant des larmes qui coulèrent à flot. Elle chercha à se libérer, gigotant comme elle pouvait. Elle s’épuisa au bout d'un moment et inutilement, elle sentait toutes les tentacules sur son corps, recouvrant chaque parcelle de sa peau, la tentacule dans sa gorge, lui offrant sa première félation avait choisit une intense gorge profonde tout en remuant voracement. Celle dans son intimité heurter avec force et rage son col de l'utérus, menaçant à chaque fois de le traverser. La dernière, celle qui pénétrait sont fondement, remuer ses entrailles, défoncer son rectum et martyriser ses parois rectales.

   Sa panique se transforma en détresse, détresse qui devint de la peur et la peur évolua en terreur. Terroriser, Shiranui s'agitait avec l’énergie du désespoir le plus profond. Et encore, elle ne fessait pas attention à son environnement, elle ne voyait pas ses amies qui était devenue que de vulgaire sex-toy humains pour ces tentacules. Mixim dont l'esprit était à la limite d'être briser, Rinko dont l'esprit n'était pas mieux que celui de Mixim, prêt à craquer, les deux se donnant corps et âmes à la luxure. Seule Miyo et Jade avaient l'esprit encore intacte, esprits qui cherchaient à reprendre le contrôle de se corps qui n’obéissaient plus qu'a l'aphrodisiaque qui leur était injecter.

   Ce fut quand Shiranui perdit finalement l'espoir de se libérer qu'elle les vit, ses amies, ou plutôt ce qu'étaient devenue ses amies. Ce fut un choc, un gros choc, assez pour que sa terreur devienne plus intense. La tentacule l’empêchait de crier, mais elle poussa un gémissement entre la terreur et l'agonie.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 03 septembre 2014, 01:58:34
SARAH KERRIGAN

Après Shiranui, il y eut rapidement une volontaire. Mis à part Jeanne, qui bouillonnait sur place, la plupart des autres femmes de l’escadron semblaient comme abattues. Elles n’avaient aucun espoir de sortie, et le comprenaient petit à petit. Toutes y passeraient, et Sarah se promettait d’être suffisamment endurante pour pouvoir toutes les pénétrer. Elles n’en laisseraient sortir aucune. Juliette se dévoua alors, et les tentacules l’apportèrent. C’était une belle poulette, avec une longue chevelure brune, et une veste militaire noire recouvrant une armure moulante jaune et noire, mettant en valeur sa généreuse poitrine. Elle se retrouva sur la table organique, là où ses autres consœurs étaient déjà passées à la casserole, attendant sa tortionnaire de manière atavique, sans chercher à se rebeller, à la tempérer, ou à la menacer. Juliette semblait juste pressée d’en finir, et Sarah la rejoignit rapidement, faisant à nouveau pointer sa verge violette.

« Vos combinaisons sont un vrai appel au viol... Comment une femme comme moi est-elle censée se retenir quand elle voit de si jolis lots ? On me demande l’impossible... »

Si ces femmes étaient laides et mal habillées, Sarah ne se serait peut-être pas amusée à vouloir toutes leur faire l’amour. En un sens, elles étaient aussi coupables qu’elle dans ce qui leur arrivait, si tant est que Sarah puisse se sentir coupable de leur faire l’amour. Le viol était une notion typiquement humaine, que les Formiens ne reconnaissaient pas. Comment pouvait-on faire un viol ? N’y avait-il rien de plus naturel qu’une relation sexuelle ? N’était-ce pas là l’expression même, insouciante et pleine d’énergie, de la vie elle-même ? Non, le viol n’existait pas pour Kerrigan, et elle se rapprocha de la femme, venant caresser l’une de ses joues, avant de descendre pour pincer l’un de ses seins à travers sa combinaison. Elle s’attaqua à sa généreuse poitrine, avant de se mettre à califourchon sur elle, dominant le corps de Juliette par toute sa stature, son corps violet se dressant au-dessus du sien.

Juliette se tortillait sous elle, et l’autre main de la Reine des Lames s’attaqua à son autre sein. Chez Shiranui, qui avait des mamelons énormes, ça avait plutôt bien marché, et Sarah s’amusa à les pétrir et à les malaxer pendant de longues secondes, sans rien dire. Les tétons ressortaient de cette combinaison noire, et les tentacules immobilisaient encore les poignets de Juliette.

« Tu as vraiment une belle poitrine, Juliette... Et, puisque tu n’as pas envie de parler, il faut bien que ta bouche serve encore à quelque chose. »

Un tentacule jaillit du mur, en forme de verge, et Sarah pinça alors le nez de Juliette, contraignant son organisme à devoir ouvrir les lèvres pour obtenir un peu d’oxygène. Le tentacule en profita pour s’enfoncer en elle, et fut rapidement rejoint par un second, qui s’enfonça alternativement dans les lèvres de Juliette, venant ainsi lui baiser sa belle petite gueule, les deux tentacules remuant nerveusement et intensivement dans sa bouche.

« Voilà... Savoure, ma petite Juliette, je vais m’occuper de ta bouche du bas. »

Sarah se pencha, et se glissa entre les jambes de la femme, commençant à lécher son intimité, à travers cette combinaison moulante. Les deux tentacules qui lui baisaient la bouche, de leur côté, libéraient régulièrement une sorte de liquide aphrodisiaque destinée à impatienter Juliette, et à l’exciter. Sarah, elle, attendait qu’elle se mette à mouiller avant de passer à la suite.



LE MONSTRE

Quand une cinquième femme vint el rejoindre, le Monstre s’occupe d’elle sans se poser de questions, lui appliquant la même procédure. Des tentacules jaillirent de la masse, et saisirent la femme, avant de l’envoyer dans une forêt de tentacules gluants, énormes et petits. Il y en avait partout, car la cyprine des quatre femmes en train d’être pénétrées répétitivement par le Monstre le nourrissaient, durcissant ses tentacules et les multipliant. Mixim était un choix merveilleux, et son corps était à peine reconnaissable, dispararaissant sous une montagne de tentacules s’agglutinant autour d’elle. Le spectacle était surréaliste, semblant aussi grotesque qu’effrayant. Parfois, quelques doigts dépassaient de cette masse, et, pourtant, elle avait encore la majorité de ses vêtements. Le Monstre ne les déchirait que quand les vêtements le gênaient à atteindre les parties intimes de ses amantes. Les trois autres invitées, Rinko, Jade, et Miyo étaient droguées aux aphrodisiaques. Rinko et Miyo continuaient à se faire l’amour, tandis que Jade était ponctionnée de partout, au-dessus des deux femmes, dans une drôle de configuration, les filaments de mouille que le Monstre n’avalait pas tombant sur les têtes des deux femmes. Le Monstre contrôlait tout, chacun de ses tentacules étant une terminaison nerveuse de son propre corps. Impossible de s’échapper sans son aval ou son consentement, et, en l’état, seule la Reine des Lames pourrait le stopper.

Il sentit chez Shiranui une sorte de résistance quand il la pénétra, enfonçant ses tentacules dans sa bouche, ses fesses et son vagin. Un autre s’approcha, en forme de seringue, et se planta dans la nuque de la femme, déversant un aphrodisiaque intense. Les tentacules redoublèrent d’intensité, jouissant régulièrement. Jade en avait déjà fait les frais, car on avait le sentiment qu’elle était enceinte. Trois tentacules pénétraient régulièrement son vagin, l’un se retirant pour être remplacé par un autre, chacun des trois lui offrant ainsi une jouissance continuelle. Si le regard de Shiranui se tournait vers Mixim, quand les tentacules se retiraient, elle pourrait voir un corps intégralement maculé de sperme, une vingtaine de tentacules jouissant en et sur elle, maintenant le sperme sur son corps. Un monstrueux bukkake, qui n’était pas pire que ce qui se passait entre Rinko et Miyo. Elles étaient au milieu de tentacules, s’appuyant dessus, et le sperme était en train de remplir leur bassin improvisé, leur arrivant à hauteur de l’estomac. Leurs trous étaient toujours remplis, mais elles pouvaient s’embrasser entre elles, remuer leurs bras, et s’embrasser.

En d’autres termes, le Monstre contrôlait intégralement la situation, et comptait encore continuer à se faire plaisir.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 06 septembre 2014, 13:21:13
   Juliette attendait son sort, après avoir perdue son envie de combattre, sa haine, sa peur, l'espoir et l'envie de liberté. Elle s'était donner d'elle même, sans que l'ont n'ait besoin de la forcer ou autre, sacrifiant d'elle même sa fierté au profit de cette annexienne qui décidait de leur vie. D'ailleurs, une partie d'entre elles avaient du mal à admettre que l'annexienne avait tout pouvoir sur leurs destins, leurs avenirs et leurs vie, les effrayants plus qu'autres choses. Le refus de cette situation était pour certaine, une raison de ne pas se laisser faire.

   La tentacule empêchant Juliette de parler se retira, mais elle ne dit rien soupirant juste. Elle regarda l'annexienne qui se mit à ses côtés, sa verge pointant fièrement le plafond organique, impatient de pénétrer une nouvelle caverne humide, d'en racler les parois de toute ses forces pour en libérer le fleuve et d'y mêler son jus sacré. L'annexienne fit pare de son incapacité de se retenir fasse à elles, en raison de leur combinaisons qui moulaient à la perfection, chaque courbe de leur corps, à la qu'elle Jeanne lui répondit par une vision d'elle entrain de lui arracher son service trois pièces à mains nue.

   L'annexienne vint finalement se rapprocher plus de Juliette, déplaçant sa main sur sa joue, la caressant, puis elle offrit une caresse moins douce à l'un de seins, avant de commencer à le malaxer à travers sa combinaison, commençant une douce torture pour Juliette, mais qui cacha plutôt bien les élans de plaisir qui la prenait, mais elle ne pouvait pas maîtriser les tremblement de son corps, qui lui répondait timidement au caresse. L'annexienne se mit en amazone sur elle, après quelque seconde, avant de s'en prendre à son autre seins, où il fut plus difficile pour Juliette de cachait pleinement le plaisir grandissant qu'elle ressentait... et qu'elle appréciait.

   Il faut savoir que Juliette apprécie grandement le sexe, s'envoyant en l'air parfois avec un membre de l'escouade, comme Mixim ou une inconnue lors d'une de ses nombreuses sortie en boite. Ce n'est pas une nymphomane ou autres, mais elle aime le sexe dans sa forme la plus pur, à savoir sans sextoys ou tout produit donnant du plaisir, ce qui est pour elle une aussi détestable que les formiens, voulant qu'avoir son corps pour avoir du plaisir.

« Tu as vraiment une belle poitrine, Juliette... Et, puisque tu n’as pas envie de parler, il faut bien que ta bouche serve encore à quelque chose. »

   Juliette lui lança un regard interloquer, mais au qu'elle on pouvait voir le plaisir qu'elle ressentait. Elle aperçue une tentacule qui sortie du mur, et remarqua sa particularité, comprenant tout de suite, où voulait en venir l'annexienne. Elle sentie les doigts de l'annexienne boucher son nez, l’empêchant de respirer. N'ayant pas put inspirer assez d'air et ne pouvant lutter contre les reflexe de son corps, elle ouvrit la bouche au bout d'un moment et ne fut pas assez rapide pour aspirer de l'air et refermer sa bouche tout de suite après car la tentacule fut plus rapide, s'engouffrant dans sa bouche frottant le font de sa gorge.

   Au même moment, l'annexienne retira ses doigts, libérant le nez de Juliette qui respira à nouveau, en même tant qu'un seconde tentacule ne se colle à l'autre et force le passage pour entré dans bouge. Juliette fut contraint d'ouvrir sa bouche le plus grand possible, car la première tenta de faire levier pour ouvrir en grand sa bouche. Quand ce fut fait, la deuxième entra dans sa bouche avec force, heurtant elle aussi le fond de sa gorge, puis les deux tentacules commencèrent de furieux allées venues. Sa première double fellations, ce qu'elle avait fait un jour avec une futanari n'était rien comparer à ça ! La table organique se modifia afin de changer la position de la tête de Juliette, afin que sa gorge soit bien droite, permettant au tentacules de faire de profonde et intense gorge profonde.

« Voilà... Savoure, ma petite Juliette, je vais m’occuper de ta bouche du bas. »

   Le visage face à ses coéquipières, Juliette ne pouvait lui jeter un regard noir. On voyait sur son visage et ses yeux un certain malaise. C'était la première fois qu'elle fessait une fellation contre son grée et avec des choses pareilles. Les tentacules baissaient sa bouche avec force et rapidité, allant aussi profondément. Ses amies pouvait voir sa gorge qui se gonfler et se dégonfler a chaque pénétration. Elle regrettait son geste, elle regretteait de s'être donner, sans compter que l'annexienne avait commencer à lécher son intimité à travers sa combinaison depuis un moment.

   Malgré ça, elle ressentait des bouffer de chaleurs, des pic de plaisirs et son intimité commençait à la démanger de plus en plus. Elle comprit lentement qu'on lui avait injecter de l'aphrodisiaque, sûrement le liquide qui remplissait sa bouche et qui glisser dans sa bouche. Et ce fut après un moment, qu'elle mouilla et pas qu'un peu.
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   Nageant dans une mer de terreur, son esprit peinait à ne pas se noyer. Shiranui était terroriser, elle n’arrivait pas réaliser que tout ceci était réelle, elle croyait à un cauchemar, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, rien de réelle et qu'elle allait se réveiller. Mais le bruit gluant des tentacules, leur texture dans sa bouche, les pénétrations sauvages des tentacules en elle, les dizaines de tentacules sous sa combinaisons partout sur son corps, l'emprise tentaculaire sur ses seins, la vision de la dépravation de ses camarades, l'odeur du sperme et de la cyprine, et enfin les cries et gémissement de ses amies lui prouvaient le contraire.

   Même l'aphrodisiaque peinait à faire ressentir à Shiranui des pics de plaisir et d'envie, étouffer par sa terreur bien plus intense. Ses yeux étaient remplit d'une terreur et d'un désespoir profonde et intense. Elle pleurait de peur et de désespoir. Elle gémissait de terreur et gesticuler inutilement cherchant à fuir. Des tentacules à perte de vue, de taille et de diamètre différent, chacune lui semblant être doué de vie et d'envie de la faire souffrir.

   De nouvelle tentacules la tête surmontés d'une aiguille, se rapprochèrent d'elle, avant de se planter dans son cou injectant cette fois des calmants afin de calmer sa terreur et de la remettre à un état plus stable. Cela prit un long moment, sans arrêter les pénétrations, pour que la terreur de Shiranui baisse considérablement et profitant que Shiranui soit sous l'effet des calmants, les tentacules lui injectèrent de bonne doses d'aphrodisiaques concentrés, afin d'être sur qu'elle soit sous l'emprise du plaisir une fois que les calmant auront finit d'agir, pour éviter qu'elle ne rechute dans la terreur.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 07 septembre 2014, 16:19:57
SARAH KERRIGAN

Juliette était comblée, maintenant. La tête basculée en arrière, ses yeux pouvaient voir ses collègues, toujours blotties dans leurs cocons, immobilisées et incapables de pouvoir se libérer. Leur rang se réduisait progressivement, s’amincissant au fur et à mesure qu’elles passaient toutes sur la table. Les deux tentacules s’enfonçaient lourdement dans la bouche de Juliette, et Sarah continua à lécher son intimité pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Juliette en vienne à mouiller franchement. La Reine des Lames se releva lentement, un sourire sur le coin des lèvres, et les tentacules dans la bouche de Juliette continuèrent à remuer, jusqu’à jouir toutes les deux en elle, gonflant sa gorge, en jouissant violemment, crachant de nombreux filaments de sperme avant de se retirer, laissant sa bouche pleine, débordante de leur jus intime. Sarah souriait lentement, et le fauteuil remua à nouveau, surélevant la tête de Juliette. Ses lèvres dégoulinaient de sperme, et Kerrigan se pencha vers elle, tendant sa main pour caresser son menton, relevant un peu son visage.

Sarah lui souriait tendrement, et sa verge venait de pointer, frottant contre les cuisses de la femme.

« Tu es très belle ainsi, avec ce sperme dans ta bouche... Je vais te baiser maintenant, ma petite puce, d’accord ? »

Elle adoptait un ton doux, mais qui ne laissait pas entendre autre chose. C’était comme si elle annonçait une vérité inexpugnable. Elle posa sa griffe sur l’intimité de la femme, ouvrant sa combinaison, révélant ainsi l’accès à son sexe. Encore une fois, Sarah allait s’en taper une. Elle était encore suffisamment humaine pour se féliciter de son endurance, et suffisamment formienne pour apprécier la beauté de cette femme, pour savourer sa plastique magnifique, et son corps langoureux, tout en charmes et en volupté. Les aphrodisiaques avaient bien agi, titillant la partie de plaisir inconsciente qui sommeillait dans le corps de cette femme. C’était une partie de son esprit qui était devenue on ne peut plus consciente quand Sarah était devenue une Formienne, et elle n’avait aucune hésitation.

Ses mains se saisirent des hanches de la femme, et elle s’enfonça en elle, les glissant pour les appuyer sur sa combinaison. Sarah restait debout en la prenant, et donna des coups de reins, les jambes de Juliette filant à gauche et à droite de son corps. Elle avait l’habitude de s’allonger sur ses partenaires pour les prendre, mais, avec cette Juliette, elle voulait diversifier un peu son activité. Elle la prenait donc, s’enfonçant en elle, remuant de plus en plus fort, un sourire vorace sur les lèvres.

« Hum... Putain, ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Elle continuait à la prendre, sans ménagement, la baisant sauvagement.



LE MONSTRE

Le Monstre disposait de nombreux outils supplémentaires pour arriver à ses objectifs. Il sentait quelque chose de différent avec cette nouvelle femme. Elle était grande, oui, mais il y avait, dans sa mentalité, dans sa personnalité, une sensation qu’il n’avait pas perçu chez ses autres amantes. Le Monstre n’était pas assez développé pour comprendre clairement ce sentiment, mais il savait qu’il l’agaçait. Il voulait des femmes consentantes, car sa philosophie était typiquement celle des Formiens. Pour lui, le sexe ne pouvait tout simplement pas être forcé, car elle n’était que l’expression du plaisir. Son aphrodisiaque n’avait pas eu l’effet escompté, et il opta désormais pour d’autres substances, y voyant là un défi supplémentaire.

La redoutable créature envoya une autre tentacule-seringue, et enfonça un psychotrope dans les veines de la femme, tout en continuant à la bourrer avec ses trois tentacules plantés dans son corps. Ils remuaient en elle comme des serpents, dans son vagin, dans son cul, et dans sa bouche, se tortillant en la pénétrant lourdement. D’autres tentacules l’enlaçaient à hauteur du ventre, et d’autres allèrent s’attaquer à ses seins, s’enroulant autour de leur poitrine en les pressant, des tentacules avalant ses tétons, leurs multiples langues glissant dessus pour les titiller et les presser, afin de diluer le plaisir dans le corps de la femme. Le Monstre faisait ce qu’il fallait, sans hésitation.

Rien ne pouvait l’arrêter, de toute manière.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 13 septembre 2014, 13:44:04
   Le bruit de succion des tentacules entrant et sortant de la bouche et de la gorge de Juliette, ponctuer par ses gémissement de plaisir et de protestation, formait une ambiance malsaine, allant parfaitement avec la texture organique des murs. Celles qui étaient toujours coincer dans leurs alcôves, ne pouvaient que regarder avec dégoût la double fellation de Juliette et de sa gorge qui prenait du volume à chaque allé retour des tentacules et de la bace mélanger au liquide visqueux que libérer les tentacules, coulant de sa bouche, glissant de ses lèvres. La pauvre pensait que l'annexienne ne ferrait que la baiser, avant de la jeter en pâture au monstre, mais cette dernière ne fessait que varier ses plaisirs.

   Ce fut au bout d'un moment, les deux les tentacules éjaculèrent de concert, inondant la gorge de Juliette, remplissant sa bouche, gonflant ses joues, avant de gicler telle des vaques brisaient par les récifs, s'écrasant sur son visage, avant de couler de sa bouche comme du magma d'un volcan en éruption. Sa gorge était gonflé par les flots de sperme d'une tentacule situer à la pomme d’Adam, se vidant dans l'estomac, avant de se retirer avec l'autre de la bouche de Juliette, tout en larguant quelque gicler de sperme. Juliette ferma du mieux qu'elle put sa bouche, empêchant le sperme de se déverser sur elle, manquant de s'insinuer dans ses narines. Elle se résolue à avaler le surplus, afin de pouvoir contenir plus facilement le sperme dans sa bouche.

   La table organique se manifesta une nouvelle fois, mettant sa tête dans une meilleurs positions, face à l'annexienne. Juliette recracha le sperme dans sa bouche, coulant quelque seconde de sa bouche, coulant le long de son menton et de sa gorge, avant de couler sur le côté. Mais sa bouche était encore tapisser de sperme et sa langue baigner encore dedans. Juliette usa de sa langue afin de racler sa bouche de font et comble afin de réunir le sperme. L'annexienne affirma qu'elle était plus belle comme ça, en même temps elle annonça qu'elle allait la baiser. Si Juliette n'était pas occuper à récurer sa bouche du sperme encore présent et que son intimité ne la démangeait pas autant à cause de l'aphrodisiaque en elle, elle l'aurait insulter tout en lui lançant un regard assassin. L'annexienne libéra l’accès à son intimité, posa ses mains sur ses hanche et....

Gurlp

   Juliette avala sans le faire exprès le sperme dans sa bouche, sous la pénétration de l'annexienne, qui se frayait un chemin dans vagin plein de mouille, jusqu'à heurter son col de l'utérus, avant de le pilonner, cherchant à entré de force dans son utérus. Julietta eu du mal à retenir ses cries et gémissement de plaisir, et aussi de douleur, mais moins fort. Elle serrait les dents, mais c'était inutile face au coup de rein de l'annexienne, qui parvenait à la faire crier et gémir. Les autres étaient de plus en plus habituer à cette scène, espérant de passer la dernière. D'ailleurs certaines ne purent s’empêcher de penser de ce que fera l'annexienne à la prochaine qui y passera, après la double félation de Juliette.

   Cette dernière se rapprochait à pas lent de l'orgasme, son corps tremblant sous les coups et le plaisir, l'aphrodisiaque encore présent. Elle avait beaucoup mouiller, permettant une lubrification de ses parois vaginaux efficace et parfaite, laissant glisser le membre viril de l'annexienne sans résistance, tout en étant étroit. Et cela dura encore de longue minute, de longue minutes à se faire lourdement baiser par l'annexienne qui, comme pour les autres, ne lui laissa aucun répit. Juliette n'était pas tomber dans l'état de Mixim, mais elle y était proche, son visage exprimant le même plaisir, mais ses yeux témoignant toujours de sa lucidité. Après quelque instant, Juliette finit par jouir, recouvrant la verge de sa cyprine, noyant le tout. Son visage exprima un intense et profond extase , suivit d'un long crie de plaisir et de satisfaction, s'abondonnant dans ce même plaisr que lui provoqua son orgasme.

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   Qu'es qui ce passe ? Shiranui avait été posséder par une terreur indescriptible, et maintenant elle avait disparue et elle se sentait... apaiser, perdant contact avec la réaliser quelque instant, elle se sentait bizarre, elle n'arrivait plus à se situer, les tentacules continuaient de la pénétrer, avec force et rapidité. Elle ressentait les sensations que l'annexienne avait appeler plaisir, pourtant il semblait... faible, ses sensations était faible, à cause des calmants que lui avait injecter le monstre. Les effets du calmant se diluèrent au bout de quelque minutes et ce fut l'aphrodisiaque que le monstre avait injecter avec les calmant qui prirent le relais, la prenant de vitesse l'empéchant de retourner dans une terreur abyssale. Cette fois Shiranui ne put rien faire fasse à la déferlante de plaisir qui s'abattait sur elle. Le plaisir semblait avoir été multiplier par cent, son corps céder et son esprit aussi, mais les deux régissaient comme le ferrait une vierge lors de sa toute première fois, timidement, gêner et pas sûr.

   Les deux tentacules qui s’occuper de ses seins, et plus précisément de ses tétons, leur têtes c'étaient ouverte en des bouches, avant de gober ses tétons, les enfermant à l'intérieur, les recouvrant de mini-tentacule et les noyant dans une substance gluante. Shiranui ressentit la même sensations lors de sa première fois avec l'annexienne, si intense qu'elle ne savait pas si elle ressentait de la douleur ou du plaisir. Vaincue, Shiranui ne pouvait que céder au plaisir et de se laisser guider, ayant pour « aides » les tentacules qui la guider sur le bon chemin, continuant à entretenir son plaisir et à l’amplifier.

   La tentacule qui s'occupaient de sa bouche, jouit à grand dose, la bouche de Shiranui se remplit d'un coup, le sperme coula en cascade sur sa poitrine, la recouvrant entièrement avant de tomber dans le vide et sortie aussi de son nez. Le sperme fila de force dans sa gorge manquant de l'étouffer, remplissant son estomac. La tentacule se retira et Shiranui toussa avec force, elle respirait avec force, elle releva la tête et avant qu'elle ne put dire quelque chose ou fermer sa bouche, la tentacule retourna dans sa bouche et reprit son travail. Les deux autres tentacules jouirent à leur tour, remplissant à ras bord son cul et son utérus, le surplus coulant le long de ses jambes. D'autres jouirent sur elle, la recouvrant et d'autre sous sa combinaison, fessant flotter ses seins dans le spermes. Ce fut pour Shiranui son entrée dans une longue et et intense orgie.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 17 septembre 2014, 01:41:04
SARAH KERRIGAN

Le coït était toujours aussi bon, comme une sorte de délicieuse libération, électrisant tout son corps. Sarah s’y abandonnait pleinement, jusqu’à ne faire plus qu’un avec la petite Juliette. Du sperme continuait à filer le long de sa bouche, salissant le bas de son visage, ainsi que le haut de son torse, glissant le long de ses seins. La Reine des Lames la pénétrait durement, sans relâche et sans ménagement, défonçant son corps d’avant en arrière, toujours dans les mêmes mouvements, de plus en plus frénétiques, de plus en plus forts et rapides. Ses pattes arachnéennes dans son dos se contractaient et se relâchaient, accompagnant les mouvements rapides et puissants de son corps. Ce qu’elle faisait était tellement bon, tellement jouissif ! Encore et encore, toujours la même chose, toujours ce plaisir vertigineux et intense qui s’emparait d’elle, remuant dans tout son corps, la dominant. Elle se sentait revivre, là, en pénétrant cette femme, elle en oubliait tout le reste, au profit d’un intense sentiment de bonheur, d’un intense sentiment d’accomplissement personnel.

Sa queue défonçait le petit vagin de cette salope qui était en train de jouir, ayant un bel orgasme. Encore une autre femme convaincue, encore une autre future amante. Les mains griffues de Sarah serraient ses cuisses, tenant le haut de ses jambes, s’enfonçant contre sa combinaison. Les liens qui retenaient Juliette se libérèrent brusquement, et Sarah, suivant son inspiration, l’attrapa par les cheveux, et la souleva, venant la plaquer contre son corps. L’une de ses mains se déplaça pour s’appuyer sur ses fesses, et elle l’embrassa, enfonçant sa langue dans cette bouche pleine de sperme, partageant ainsi avec Juliette le goût de ce liquide intime, tout en continuant à bourrer son corps. Ses pattes arachnéennes vinrent en effet se déplacer pour se glisser dans le dos de la femme, et s’appuyèrent dessus, aidant Kerrigan à pouvoir mieux la pénétrer.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Ses aphrodisiaques avaient aidé Juliette à se détendre, et cette dernière était maintenant subjuguée, s’empalant le long de cette grosse verge qui lui défonçait joyeusement la chatte. Elle tapait contre les profondeurs de son intimité ruisselante de mouille, cette dernière filant le long de leurs jambes. Sarah haletait et gémissait, fermant parfois les yeux, avant d’aller lécher la joue de Juliette, ses doigts se crispant à ses cheveux. Son plaisir explosait, se focalisant le long de son membre turgescent, et ce qui finit par arriver arriva : l’orgasme explosa en elle, et elle s’y abandonna, déversant dans le corps de Juliette un foutre chaud et dégoulinant, jouissant à de longues reprises, balançant plusieurs giclées en elle. Elle jouit pendant plus d’une vingtaine de secondes, balançant son sperme par à-coups, une main sur les fesses de la femme, le pressant.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

Elle lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, comme pour la féliciter.



LE MONSTRE

La créature se faisait singulièrement plaisir, continuant à bourrer les corps de ces femmes. Dans sa mare à sperme, elles étaient en train de s’embrasser et de se câliner sans relâche, incapables de se fatiguer. Les drogues formiennes permettaient d’accroître leur endurance, et elles ne pourraient s’arrêter que quand il ne resterait plus aucun souffle d’énergie en elles. Oh, non, elles ne mourraient pas, mais elles subiraient un coma instantané... Pour elles, le Paradis leur était déjà offert : sexe, sexe, sexe, et sexe... Plus elles jouissaient, plus elles avalaient de sperme, et plus leurs bébés se renforçaient, donnant ainsi naissance à de beaux Formiens. Leur quotidien se résumerait désormais uniquement à du sexe, sauf si la Reine en décidait autrement.

Il venait de généreusement jouir dans la bouche de la nouvelle arrivée, qui se laissait faire, peu à peu, s’abandonnant au plaisir. Il se conduisait délicatement avec elle... Pour autant qu’une créature formienne dénuée de réelles émotions puisse faire preuve de délicatesse. Il la déplaçait lentement, la faisant se tortiller dans tous les sens, afin d’entretenir les muscles de son organisme, tirant sur ses jambes, les étirant en arrière, faisant de même avec ses bras, tout en continuant à la baiser dans tous les sens possibles. Sodomie, coït, fellations, se mélangeaient aux frottements lascifs des tentacules sur et dans sa combinaison, étirant cette dernière, mais sans jamais voir à la rompre, afin que le plaisir reste toujours au rendez-vous.

Le Monstre prenait soin de ses invitées. C’était bien la preuve que c’était un bon hôte.

Non ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 28 septembre 2014, 21:02:57
   Elle avait prit plaisir à se faire prendre comme ça, la vitesse et la force ne prenant que de l'ampleur, jusqu'à la porter à l'extase, un extase exquis parvenant à mettre à bas sa résistance au plaisir qui n'avait fait que prendre de l'ampleur avant d'exploser, t-elle un barrage cédant à la pression de l'eau, noyant son esprit. Le corps secouait par les pénétrations, tremblant de plaisir t-elle un navire prit en pleine tempête ! La langue pendante, les yeux vers le ciel, la bave et du sperme sur les lèvres, gémissant comme une locomotive. Elle n'avait pas put résister, cédant comme Mixim, pourquoi ? Parce qu'elle adorait ce faire prendre comme ça, ajouter à ça l'aphrodisiaque qui l'avait pousser a ses retranchement et la double pénétration qui avait entamer sa résistance.

   Mais elle avait encore l'esprit assez lucide, assez pour être surprit par la suite des événement quant elle avait finit par jouir, répandant sa cyprine, quand ses liens la libérèrent et que l'annexienne la souleva par ses cheveux, la plaquant contre son corps, l'empalant de force sur ça verge et de recommencer à pilonner le font de son vagin, s’écrasant sur son col de l'utérus, cherchant à le briser, à pénétrer le lieu qui l’empêche d'atteindre. L'annexienne partagea avec elle un baiser fougueux, mélangeant leur langues, leur salives et le sperme encore présent dans sa bouche, le partageant. Elle sentie les excroissances de l'annexienne se mettre dans son dos, se refermant sur elle telles des mains squelettiques, la soutenant l’empêchant de tomber et elle sentit les mains de l'annexienne sur ses fesses, les pressant, ce qu'elle fit de même. Elle ne pensait pas, se lassant aller, laissant ce qui est pour elle une des meilleurs chose que puisse ressentir son corps l'envahir : le plaisir et l’extase.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

   N'arrivant pas à parler convenablement, elle agit par ses pulsions, lui roulant une pelle, mélangeant à nouveau sa langue avec la sienne. Sous les coups puissant de l'annexienne, du plaisir intense qu'elle ressentait et de l'aphrodisiaque encore présent dans son organisme, elle jouit de nouveau, libérant une nouvelle vaque de cyprine, se répandant à nouveau sur la verge de l'annexienne, avant de couler de ses lèvres intimes, glissant le long de ses jambes, pendant mollement dans le vide, retenue que par les excroissances et les bras de l'annexienne ainsi que part sa verge qui remuer furieusement en elle. Et enfin, après de longue minutes à se faire prendre sauvagement, de sentir la verge remuer ses entrailles, menacer d'entrée dans son utérus, de gémir et de crier de plaisir, d'exprimer le plaisir que Juliette ressentait, l'annexienne finit par jouir, se déversant dans l'intimité de Juliette, remplissant l'utérus de son sperme. En même temps que les coup s’arrêtèrent, Juliette mit son front contre celui de l'annexienne, respirant avec peine, reprenant son souffle.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

   Elle ne dit rien, il lui fallut plusieurs seconde pour que son esprit embrumer par le plaisir, ne parvienne à comprendre le sens des paroles de l'annexienne, encore quelque seconde pour qu'elle réalise de ce qui venait de se passer : elle s'était laisser aller à ses pulsions et qu'elle venait d'être mise enceinte. Elle voulue parler, lais elle ne trouvait pas les mots : la surprise ? Le dégoût ? La colère ? Difficile de comprendre ce qu'elle ressentait, partager par les trois envers elle même, surprise d'avoir laisser ses pulsions prendre le dessus, dégoutter par le fait qu'elle venait de prendre plaisir et qu'elle était enceinte et en colère car elle n'avait rien fait, elle s'était laisser avoir.

   Rien ne c'est passer comme prévue, tout fut diffèrent, elle aurait put se maîtriser si l'annexienne l'avait prise comme Rinko ou Miyo, mais elle avait sans doute anticiper ce cas là. Elle ne savait pas, le mal était fait et elle subissait les conséquences de son geste. Elle baissa la tête de honte et de dégoût, voulant disparaître. Comme pour exaucer son souhait, des tentacules l'attrapèrent et elles l'emportèrent dans le conduit, menant au monstre et à ses camarades d'infortune.

   Les autres ne la regardèrent pas, en ayant marre de regarder chacune de leur amies se faire amener sans rien pouvoir faire que de contempler leur viol et les tentacules les amener dans ce conduit. Maintenant une autres aller être choisit avant d'être violer puis donner au monstre, aucune ne se proposa, soit par peur, soit par dégoût, soit parce qu'elle ne voulait pas. L'annexienne devra faire un choix entre : Tirch, qui depuis le début était rester aussi calme et inexpressif qu'une statue, Mistrial qui semblait avoir un plan d'action, Jeanne qui était posséder par une rage meurtrier, Engiel qui ne rêvait que d'une chose, lui enfoncer un fusil dans le cul et de réduire ses boyaux en bouilles et les autres qui soit avaient envie de mourir soit qui cacher bien leur jeux et donc leur vrai intention.
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   Son corps répondait au plaisir qu'elle ressentait, mais son esprit peinait à agir fasse à ce plaisir. C'était trop pour elle, trop fort, trop intense, ne parvenant pas à agir en conséquence, laissant son corps tremblait de plaisir et de jouir abandonnement, elle ne fessait rien, écrasait par se plaisir. Elle ne savait pas comment agir, le plaisir occultait toute ses capacités, l’empêchant d'agir, se laissant écraser par l'intensité du plaisir qui la traverser. Elle n'était qu'une poupée pour le monstre, elle n'arrivait pas à répondre à ce plaisir. Par moment elle avait l'impression d'avoir mal a force d'avoir plaisir, tant par son intensité, que par le temps qu'elle le ressentait, ou parfois elle avait l’impression de sombré, que son esprit la quitter, remplacer par le plaisir. Shiranui était perdue, aussi bien dans le temps, que dans son esprit. Le sexe, une chose qu'elle venait de découvrir et qui se montrer dans sa toute puissance, elle n'était pas habituer à un t-elle état.

   Le monstre se vida une nouvelle fois en elle, remplissant son utérus et ses boyaux, larguant des doses gargantuesques, débordant de ses troues, coulant de ses orifices. Celle dans sa bouche fut plus généreuse, mais Shiranui ne put qu'être forcer d'avaler ce liquide chaut et visqueux, collant à sa bouche et a ses parois buccales pour ne pas être étouffer. Le sperme coula de son nez, mais sortie principalement de sa bouche, le trop plein qu'elle ne pouvait avaler, la recouvrant une nouvelle fois de sperme.

   Peut après, Juliette sortie à sont tour du toboggan organique, qui contrairement au autres, atterrie normalement, sans s'écraser part terre. Quand elle vit le monstre, ce n'est pas ça qui la choqua mais les innombrables tentacules qui gigotaient dans tout les sens et qui se rapprochait d'elle. Elle ne s’entendait pas du tout à un nombres aussi imposant de tentacule, croyant juste qu'ils y'aurait que trois ou quatre tentacule par fille, mais elle était très loin de la réaliter.

   Les tentacules l'attrapèrent, elle se laissa faire, car sa position n'avait pas changer, ça ne servait à rien de lutter. Comme pour les autres, des dizaines de tentacules envahirent sa combinaison, répandant leur liquide gluant, avant que deux tentacules ne s'occupe de sa poitrine, titillant ses tétons, pressant ses seins. Une tentacules pénétra son intimité, une autre sa bouche et la dernière déchira sa combinaison au niveau de son fondement avant de le lubrifier et d'y pénétrer.

   A son tour, Juliette expérimenta la vitesse, la force et le rythme des tentacules ! Des choses qu'elle ne pouvait concevoir aux niveau humain, cela dépasser largement ce qu'elle avait put expérimenter avec des partenaires lors d'une soirée. Elle ne pouvait suivre le rythme, ni s'y habituer cela dépasser son expérience. Le plaisir grimpait, mais elle avait du mal à l'apprécier à sa juste valeur. Le monstre lui injecta de l'aphrodisiaque, l'affaiblissant à ce plaisir qui prit plus d'ampleur. Et comme les autres, elle apprécia son traitement petit à petit.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 01 octobre 2014, 13:01:00
Après s’être abandonnée dans le corps de Juliette, et la voir être emportée par les tentacules dans un monde meilleur, Sarah pouvait désormais affirmer avoir perdu le fil, non seulement des heures depuis lesquelles elle baisait avec cette escouade, mais également du nombre. L’Annexienne était en train de justifier ses galons en forniquant avec toutes ces femmes. Elle releva la tête vers elles, les voyant trépigner d’impatience, de fureur, ou de dégoût. Aucune ne restait totalement indifférente, et, cette fois, il n’y en avait aucune pour se dévouer. Sarah laissa donc planer quelques minutes de repos. Elle méritait bien une petite pause, et elles aussi. Elles y passeraient toutes, mais Sarah voulait les regarder, elle voulait sentir leurs pensées, voir leur rage, ou l’inavouable désir qui, peut-être, commençait à perler en certaines d’entre elles. Son regard glissa sur Ilinia, lui rappelant la manière dont elle avait sodomisé cette dernière à Tekhos il y a plusieurs mois, et elle caressa brièvement l’idée de l’appeler... Avant de rejeter cette idée dans un coin de sa tête, de la conserver pour plus tard.

Dans le fond, ce qu’elle faisait était comme d’aller au marché. Elle avait un marché gratuit de belles femmes fortes en combinaison moulante en latex. Un fantasme de jeune garçon qui était en train de se réaliser. Impossible pour elles de s’évader, car elles étaient dans son antre, là où le pouvoir de Kerrigan était le plus fort, un pouvoir immense et névralgique qui s’abattait sur elles avec la force d’un ouragan. Son regard finit finalement par se porter sur Jeanne. Elle lui en voulait à mort depuis qu’elle avait pris la virginité de Shiranui, et sa rage ne cessait de s’accumuler, en se mélangeant probablement à une sorte de frustration inconsciente. Sarah, en tant que pure Formienne, ramenait toujours tout au sexe, car elle considérait que le sexe était la pulsion primale la plus partagée au sein de l’univers et de toutes les espèces vivantes du monde, la pulsion de vie et de plaisir fondamental.

« Très bien... Un peu de combat ne pourra pas me faire de mal... »

Elle savait que Jeanne n’avait qu’une envie : l’affronter. Kerrigan allait donc la maîtriser, puis la violer, et, avec un peu de chance, cette action suffirait à réfréner les ardeurs des autres Tekhanes ici présentes. Elle savait les humains têtus, et elle se doutait bien que certaines de ces femmes devaient encore naïvement penser avoir une chance d’échapper aux tentacules de la Reine des Lames. C’était un espoir qu’elle devait tuer dans l’œuf pour éviter des actes de rébellion insensés pendant qu’elle se faisait plaisir avec toutes ces femmes.

Après quelques secondes, elle prononça donc le nom de l’heureuse élue :

« JEANNE !! »

Les tentacules renforcés se retirèrent peu à peu, mais Jeanne ne fut pas conduite sur la table organique. Elle fut tout simplement relâchée, et tomba sur le sol, face à Kerrigan... Qui, pour le coup, avait replié sa verge, refermant ensuite ses plaques de chitine autour de son intimité.

« Tu vas voir que je suis gentille, Jeanne..., commença Sarah en lui souriant. Je vais te donner ton arme. »

Des tentacules supplémentaires déposèrent devant Jeanne sa lourde hache. Comme ça, le combat serait plus juste. Elle avait compris qu’un lien fort unissait Shiranui et Jeanne, et que Jeanne lui en voulait pour ça. Sarah esquissa un léger sourire amusé, moqueur, en croisant les bras.

« Je te comprends... Tu voulais la virginité de Shiranui pour toi, Jeanne ? Je te comprends, son intimité était vraiment étroite... Étroite comme seules les pures vierges peuvent l’être... Je continuerai à la baiser pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’elle en oublie son propre nom... »

Les mots étaient comme la morsure d’un serpent, et Kerrigan savait les employer au mieux. Elle voulait surtout provoquer Jeanne, tout en soulevant l’ironie de leur relation. Shiranui n’avait jamais fait l’amour, mais elle avait appris à tuer, à massacrer, à éviscérer, à torturer, tout en ignorant absolument tout des choses de l’amour...

...Et c’était elle la cinglée ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 04 octobre 2014, 17:18:24
   Le silence s'était abattue dans la salle, remplaçant les habituels cries et gémissement de plaisir de celles qui passaient dans les mains de l'annexienne, oppressant annonciateur du futur choix de l'annexienne. La tension étaient palpable, la qu'elle sera choisit ? Chacune se posait cette question, certaines pas peur, d'autre pour se libérer de cette angoisse qui les prenaient. L'annexienne semblait les jauger, de lire dans leur pensées, entrain de déterminer la qu'elle aura l'honneur, ou l'horreur selon le point de vue, de se faire prendre. Aucune ne voulait, mais certaines le souhaitaient pour avoir l'opportunité de tenter une dernière action, d'autre pour en finir. Elles regardaient l'annexienne, se demandant ce qu'elle pensait, si elle avait fait son choix, mais qu'elle les fessaient encore attendre ou si son esprit pervers s'imaginer des scènes avec l'une d'elles. Elle regarda Ilinia, cette dernière se mit à trembler.

*Pas moi ! Pas moi* Pensa t-elle.

   Le souvenir de sa sodomie avait hanter ses pensées, l’empêchant de se rassurer que cela n'arriverait plus, lui rappelant d’horrible souvenir. L'annexienne détourna son regard, ce qui soulagea Ilinia, croyant qu'elle avait exauçait son souhait, bien qu'elle en doutait. Chacune eu le droit à subir le regard de l'annexienne, devenant de potentielle choix. Et bien sûr l'inévitable question : pourquoi elles subissent ça.

« Très bien... Un peu de combat ne pourra pas me faire de mal... »

   Cette réplique provoqua une vaque de surprise : se battre ? Même Tirch fut étonner, elle qui n'a pas hausser un sourcil face au viol de ses soldates, s’intéressant plus à comment battre l'annexienne. Mais pour Jeanne se fut une vraie plaisir, comprenant ce que voulait l'annexienne, se battre contre elle. Jeanne allait la massacrer, éparpiller chacun de ses morceaux dans la fourmilière. Et donc sans surprise pour elle, l'annexienne annonça Jeanne, qui fut libérer de ses liens renforcer et sa bouche libérer, ce qui ne manqua pas d’insuffler un semblant d'espoir pour les autres.

   Aucune tentacules ne vint la maîtriser, l'annexienne devait croire qu'elle n'avait aucune raison de s'inquiéter d'elle, ce qui renforça son envie de lui faire ravaler son arrogance. Mais elle ne chargea pas, cette immobilité forcer depuis des heures l'avait rendue raide. Elle joua des articulations, fessant bouger son corps pour chasser cette raideur. A la fin elle fit craquer ses doigts et s’apprêta à charger

« Tu vas voir que je suis gentille, Jeanne... Je vais te donner ton arme. »
-Hein ?

   Jeanne n'arrivait pas à y croire : son arme ? Sa hache ? C'était a la fois une aubaine et impensable, ça sera bien plus facile pour elle de tuer l'annexienne, sans compter que l'endroit était bien espacé, assez pour qu'elle puise la manipuler. Des tentacules déposèrent sa hache à ses pieds, il manquait une partie, souvenir de sa bataille dans l'église, avant leur déclin. Elle la saisit, un sourire sauvage sur le visage, avant de la soulever d'une seule main et de faire quelque moulinet. Elle l'attrapa à deux mains et s’apprêta à charger quand l'annexienne se remit à parler.

« Je te comprends... Tu voulais la virginité de Shiranui pour toi, Jeanne ? Je te comprends, son intimité était vraiment étroite... Étroite comme seules les pures vierges peuvent l’être... Je continuerai à la baiser pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’elle en oublie son propre nom... »

   Jeanne stoppa ses mouvements, les laissant en suspend, parfaitement immobile. Son regard se verrouilla sur l'annexienne, son sourire carnassier avait disparue, dans ses yeux, une lueur bestiale, tout droit sortie de l'enfer, mélangeant l'envie de meurtre, de massacre, de la haine et de la rage. Cette lueur dans ses yeux prenait de l’ampleur, une veine apparue sur la temps de Jeanne, sa respiration était grave, lourde et rapide et un bon œil aurait put voir que des larmes se formaient. L'annexienne venait de blesser Jeanne au plus profond d'elle même, d'une blessure mille fois pire que si l'annexienne lui avait arracher le cœur. Ses camarades, pour la soutenir, remplirent leur pensées d'insulte ! L'annexienne venait de lui infliger une blessure qu'elle ne pourra jamais renfermer.

   Elle poussa un rugissement de rage, avant de foncer la hache lever droit vers l'annexienne. Son attaque fut facile à éviter, mais tout aussi facile à deviner qu'elle aurait été assurément mortelle, elle frappa le sol, enfonçant sa hache dedans. Elle la retira et tenta une autre attaque, un fendant latéral, une attaque plus rapide que la précédente, elle faillit toucher l'annexienne, la ratant de peu. Elle ressentie un choc sur son épaule, mais cela ne suffit pas pour l’arrêter. Elle frappa une nouvelle fois, sa hache s’écrasant sur la table organique, la coupant en deux, elle redonna deux coup, avant de se rendre compte qu'elle frapper la table, tellement aveugler par la rage. Elle se mit dos à ses camarades, prête à frapper, regardant l'annexienne de toute sa haine.

   Elle chargea une nouvelle fois l'annexienne et elle donna un coup par la gauche, elle rata sa cible, mais se lança emporté par l’élan de son coup, fessant un tour sur elle même, sa hache décrivant un cercle parfait. Elle se stoppa et chercha des yeux l'annexienne, avant de recevoir un coup dans le dos. Elle tituba un peu sous le choc, avant de se retourner, tentant de répliquer, elle reçu une autre attaque dans le ventre, mais cela ne parvint pas à stopper son attaque qui faillit couper le bras de l'annexienne. Jeanne semblait avoir ignorer l'attaque, car elle repartie aussitôt à l'attaque, sans montrer une quelconque gêne suite au coup. Elle abattit une nouvelle fois sa hache, manquant encore une fois sa cible, l'enfonçant profondément dans le sol, mais cela ne la ralentit pas, l'arrachant d'un coup dans un nouveau rugissement.

-CREVE SALOPERIE !

   Elle tenta une nouvelle attaque. Elle ne lui pardonnera jamais, pas tant qu'elle sera en vie, elle avait insulter sa relation avec Shiranui, d'annoncer tranquillement qu'elle lui fera vivre un enfer jusqu'à ce qu'elle en perde la tête, elle ne pouvait tolérer cet affront ! S'en prendre à Shiranui c'est s'en prendre à elle ! Battant l'air de sa hache, elle fessait des mouliner avec, avant de frapper là où se trouver l'annexienne. Chacune de ses attaques était charger de haine et colère, frappant pour un bain de sang, guidé par des pulsions meurtrières et des envie de massacre, laissant la colère et la rage la guidé et non la raison.

-Arrête de bouger que je puisse repeindre cette salle de ton sang ! Dit-elle d'un voix qui témoignait de son envie pressante de la tuer, les yeux remplit d'une fureur qui viraient à la folie.

   L'annexienne ne pouvait que ressentir toute la rage, la haine et la colère de Jeanne, elle ne pouvait que comprendre que Jeanne ne reculerais devant rien pour la tuer, quitte à en mourir ou à sacrifier ses amies ! Elle n'était que le réceptacle de la haine et de la rage, devenant l'avatar de sa propre haine. Ses coups, rapides et puissants, n'avait aucune coordination, ils étaient imprévisible, changeant de rythme à tout vas, dans la pur tradition du bourrin. Ses camarades étaient presque apeuré de son états, au grand jamais, elles l'avaient vue dans un états pareil, le viol et les insultes de l'annexienne l'avaient toucher aussi profondément que ça ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 08 octobre 2014, 01:28:51
La provocation, chez Sarah, était souvent gratuite, n’ayant aucun autre but que d’énerver son interlocuteur, afin de le rendre plus malléable à ses attaques psioniques. La colère était un excellent moyen de perdre le contrôlez de soi, et, une fois ce contrôle perdu, le sujet devenait plus facilement sensible à de discrètes attaques mentales ayant pour but d’altérer sa perception de la réalité. Là où la personne pensait tirer sur une cible, il tirait en réalité des mètres à côté. Kerrigan était une experte de ce genre de méthodes, et, en la circonstance, son plan s’était avéré trop efficace. Jeanne était devenue trop efficace, trop mortelle, trop tueuse. Elle était comme une bête déchaînée, fendant l’air avec sa lourde hache, qu’elle manipulait sans peine, amenant Kerrigan à devoir l’esquiver. Sa rage annihilait la sensation de douleur, ce que la Reine put noter en feignant de la frapper avec ses pointes acérées. Jeanne était complètement furieuse, et toute tentative de contrôle mental serait vaine... Tout ça, Sarah l’avait plus ou moins prévu, car cette provocation-là, celle concernant Shiranui, elle, elle n’était pas gratuite. Sarah avait évidemment une idée derrière la tête.

Jeanne découpa la table organique en deux, faisant voler des morceaux dans tous les sens. Le lien que Jeanne ressentait pour Shiranui semblait être aussi fort que celui entre deux amants partageant une romance obsessionnelle. Il n’était pas étonnant que Shiranui soit si effacée avec une femme pareille, qui devait la surprotéger, à tel point qu’elle ne devait avoir aucune réelle autonomie, incapable de se projeter sans avoir l’avis de Jeanne... Et on osait dire que les Formiens étaient les seuls à dénigrer les « bienfaits » de l’individualisme ! Jeanne continuait à essayer de l’attaquer, et Sarah à esquiver, sans encore véritablement engager le combat. La pauvre Tekhane ne pouvait absolument rien faire contre elle. Elle était comme un nourrisson cherchant à défier un tigre en brandissant son hochet. Son arme découpait du matériel, du décor, quelque chose d’aisément reconstructible.

« Arrête de bouger que je puisse repeindre cette salle de ton sang ! » hurla Jeanne.

Sarah, qui se déplaçait à l’aide d’une super-vitesse, s’arrêta devant la femme, un sourire vicieux sur les lèvres, le dos légèrement courbé, ses mains déployées à droite et à gauche de son corps.

« À tes ordres, mon chou... »

Jeanne se rua vers elle, les yeux étincelants de haine, et, alors qu’elle allait attaquer, Sarah passa aux choses sérieuses. Que la hache fasse un mouvement vertical ou horizontal, Sarah l’évita, et frappa avec sa force d’Annexienne l’estomac de Jeanne. Toute la rage du monde ne pouvait pas lutter contre les lois de la physique, et Jeanne fut violemment repoussée, s’envolant comme un fétu de paille, et rebondit sur le sol visqueux, roulant sur plusieurs mètres. Elle atterrit sur le dos, et des liens jaillirent alors, immobilisant provisoirement ses poignets et ses chevilles. Sarah apparut alors, et posa un pied sur le ventre de la femme.

Elle aurait tout à fait pu la tuer, mais ce n’était pas son objectif. Son sourire malicieux répondait à la lueur de haine et de rage meurtrière brûlant dans les yeux de Jeanne.

« Je vais te laisser le choix, Jeanne, et, comme je n’ai pas envie que tu m’interrompes... »

Jaillissant du sol, deux espèces de tentacules organiques recouvrirent le bas de son visage, notamment ses lèvres, l’empêchant de parler, mais pas de respirer, car son nez était encore à l’air libre.

« Shiranui ne m’offrira jamais un bon rendement, elle est trop... Trop pudique. Elle risque de devenir une poupée décérébrée, et ne m’apportera pas grand-chose. Toi, en revanche, tu es une femme pleine de ressources, vive, forte, et énergique... Avec toi, j’aurais de beaux bébés. »

Où voulait-elle en venir ? Sarah ignorait si Jeanne était encore en position de l’écouter, mais elle agissait pour, envoyant des ondes psioniques ayant pour but de l’amener à s’intéresser à sa proposition, si elle permettait de sauver Shiranui.

« Je peux guérir le corps de Shiranui, et remodeler ses souvenirs récents. Autrement dit, je peux la rendre à nouveau vierge et pure, innocente et inconsciente de ce qui s’est passé ici, et la relâcher... Je peux le faire, Jeanne, si tu acceptes de me servir... Si tu acceptes d’être mon amante sans jamais tenter de te rebeller. »

Elle retira son pied de son ventre, et les liens retenant Jeanne s’en allèrent. Sarah avait récupéré sa hache, et la balança aux pieds de Jeanne.

« À toi de voir si tu veux continuer un combat perdu d’avance contre moi ou offrir à Shiranui une nouvelle chance d’avoir droit à ce que tu estimes être une vie normale... »

C’était une expérience intéressante. Qu’est-ce qui était le plus fort chez Jeanne ? Son souci de protéger Shiranui, ou sa haine à l’encontre de Kerrigan ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le vendredi 14 novembre 2014, 22:25:30
   Cette posture que prit la Reine des lames, en réponse à l'envie de Jeanne de faire couler son sang, l'avait pousser à foncer tête baisser, misant sur un puissant coup, voulant la couper en deux. Une fois que cette dernière fut à porter, Jeanne brandis sa hache et l'abattit verticalement, l'enfonçant profondément dans le sol, l'annexienne ayant éviter son attaque. Jeanne fut frapper au ventre, l'annexienne mettant toute sa force dans son coup, l'envoyant valser dans les airs, planant sur  quelques mètres avant d'atterrir violemment sur sol et de rouler sur le sol, jusqu'à enfin s’arrêter sur le dos. Le coup lui avait remuer les entrailles, couper la respiration et sans doute casser une ou deux côtes. La douleur lui tailladait le ventre, lui donnant envie de vomir.

   Des tentacules jaillirent du sol et plaqua ses membres sur le sol, avant que ses bras ne s'enfonce dans la texture du sols, les bloguant de façon qu'elle ne puisse se libérer par sa force. Jeanne regarda l'annexienne s'avançait vers elle, dans une démarche de vainqueur, posant son pieds sur son torse, montrant sa supériorité. Jeanne avait les yeux flamboyant de haine. Elle serra les dents, grognant t-elle un bête, s'agitant sur ses liens pour se libérer. Mais contre tout ce dont croyait Jeanne, à savoir que l'annexienne allait la violer, elle lui parla d'un choix, avant que des tentacules ne viennent servir de baîllon, l’empêchant de pouvoir crier sa rage et sa haine, chose qu'elle allait faire avait que les tentacules n'interviennent.

   « Shiranui ne m’offrira jamais un bon rendement, elle est trop... Trop pudique. Elle risque de devenir une poupée décérébrée, et ne m’apportera pas grand-chose. Toi, en revanche, tu es une femme pleine de ressources, vive, forte, et énergique... Avec toi, j’aurais de beaux bébés. »

   Jeanne sentie de nouveau sentiments et émotions en elle, parvenant à calmer sa rage et sa haine : le dégoût, la répulsions, une pointe de crainte et un début d'inquiétude sur son sort. Et elle sentie autre chose dans sa tête, l'inquiétant encore plus sur le sort de Shiranui. Jeanne trouvait qu'il y avait quelque chose de pas nette dans ses paroles quelque chose n'allait pas à son goût.

« Je peux guérir le corps de Shiranui, et remodeler ses souvenirs récents. Autrement dit, je peux la rendre à nouveau vierge et pure, innocente et inconsciente de ce qui s’est passé ici, et la relâcher... Je peux le faire, Jeanne, si tu acceptes de me servir... Si tu acceptes d’être mon amante sans jamais tenter de te rebeller. »

   Jeanne avait beaucoup de mal à y croire, ça semblait trop beau pour être vrai. Tellement de mal à y croire qu'elle en oublia sa colère. C'était aussi dur à y croire que d'éradiquer une bonne fois pour toute les formiens. Même si Jeanne a tendance à plus laisser ses émotions guidé ses actes, dont la colère, la soif de combat et la rage, elle sait agir par raison et intelligence et non part ses émotions. Ainsi, elle mit de côté son envie de tuer l'annexienne et considéra avec beaucoup d'attention les paroles de l'annexienne, cherchant une arnaque.

   Baigner dans les discours démontrant les formiens comme des être retors, sans cœur, vicieuse et prêt à tout pour asservir Tekhos, Jeanne se méfiait des paroles de l'annexienne, car combien de fois ont lui à répéter jusqu'à la nausée qu'il fallait jamais faire confiance à un formien quand bien même si celui ci affirme vouloir venir en aide ou être plein de bonne attention, car c'était le cas de l'annexienne pour Jeanne.

   Cela dit, l'annexienne connaissait un point faible de Jeanne : Shiranui, et donc l'idée de pouvoir la sauver était trop tentant, quitte à mettre sa fierté de côté. Mais le risque que l'annexienne lui mente ou que Jeanne n'arrive pas à suivre les règles de l'annexienne, surtout pour le second cas qui était trop élever, étant une personne très peu disposer à se laisser faire et qu'elle aurait du mal à résister à l'envie de la frapper. Sans compter que l'annexienne était une ennemie qui comptait en faire ses esclaves. Jeanne se releva une fois libre de ses entraves et elle saisit d'une main sa hache que l'annexienne lui avait redonner. L’œil colérique et haineux, Jeanne se mit face à l'annexienne, quelques mètres les séparant, rien n'indiquant une future attaque ou une posture agressif. Jeanne devait être sur que l'annexienne ne cherche pas à la rouler, mais comment si prendre ? Comment être sûr ?

-Qu'es qui me prouve que tu dis la vérité ? Comment je peux être sur de t'es parole après tout ce que tu à fais ? Annonça Jeanne du voix impassible, teinté de rancœur.

   L'annexienne allait devoir être très convaincante, car Jeanne n'attendait qu'une occasion pour charger et qu'il serait sans doute difficile de la convaincre car Jeanne est une personne têtu et qui n'est pas très patiente, surtout dans ce genre de situation. Ses camarades furent surprises de la proposition de la Reine des Lames, si certaines espérer que Jeanne fasse le bon choix pour qu'au moins une d'entre elle soit libre, d'autre le redouter, car rien ne dit qu'une fois que Jeanne sera complètement à sa botte, elle ne va pas changer d'avis ou mentir et faire croire que Shiranui et bel et bien libre. Cela ne traversa pas l'esprit de Jeanne, pas plus de s'inquiéter de ce qui pourrait ce passer pour Shiranui une fois retourner à Tekhos, chose qui hantait l'esprit de Schield, se focalisant plus sur le potentiel futur de Shiranui que sur l'instant présent.

   Elle n'avait jamais entendue d'une quelconque soldat revenue de la fourmilière, à part dans les films ou BD, ne pouvant que se poser des questions : comment vivra t-elle sans les membres de la section Delta S, sans Jeanne ? Comment réagiront les autorités, Kakashi ou sa mère ? Schield voulait des réponses, réponses qu'elle redoutait plus que son avenir dans la fourmilière, car elle était sur que ces réponses n'avaient rien bons pour elles.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 16 novembre 2014, 02:12:55
Contrairement aux autres animaux qui faisaient office d’Annexiens, Sarah, elle, savait se servir de sa matière grise. En un sens, les Formiens avaient une sorte de bestiale pureté, car ils étaient incapables de mentir, incapables de réfléchir à des plans détaillés, se contentant juste de suivre les ordres et leurs pulsions. Kerrigan, elle, était différente. La Reine des Lames avait avec elle cet esprit humain, ce magnifique esprit, si retors, si rebelle, et qui lui permettait, ici, de s’affirmer, afin de mieux réussir à tromper Jeanne, et à la placer dans une situation difficile. Sarah avait fait mouche avec sa proposition, et, devant l’incompréhension de la Tekhane, elle s’écarta un peu, libérant le corps de la femme des tentacules venant l’immobiliser. Jeanne pouvait encore se battre, car Kerrigan lui avait remis sa hache énergétique. Cependant, la Tekhane, malgré toute sa colère et sa rage, n’en avait plus envie. Dans sa tête sommeillait l’espoir que son sacrifice permette réellement de sauver Shiranui... Ah, l’amour ! Kerrigan se régalait de ce genre de sentiments. Jeanne hésitait, puis finit par rentrer dans le jeu de l’Annexienne, en demandant des garanties, des preuves.

Sarah haussa les épaules, et marcha un peu.

« La seule garantie que tu pourras avoir est sur sa sortie... Si tu acceptes, elle sera immédiatement repérée des tentacules de mon adorable petit monstre, et placée dans une cuve qui la soignera... Ensuite, elle sera déposée dans les tunnels entourant la Fourmilière, où une patrouille tekhane viendra la récupérer. La garantie, ce sera toi et tes propres yeux. Je t’emmènerai dans ces tunnels, et tu verras par toi-même les Tekhanes emmener ta copine. »

C’était aussi simple que ça. Entre la Fourmilière et les bunkers tekhans, il existait une grande variété de tunnels et de galeries souterrains, des lignes construites par les Formiens et par les humaines, afin de pouvoir quadriller la zone. De nombreuses patrouilles s’y promenaient fréquemment, afin de repérer d’éventuels Formiens, des brèches possibles, des pistes... Contrairement à ce que les Tekhanes soupçonnaient, il arrivait parfois que des cibles parviennent à s’enfuir de la Fourmilière. Elles faisaient cependant ensuite l’objet d’un traitement militaire très confidentiel, ce qui faisait que le grand public n’était pas au courant. Elles étaient emmenées entre les mains des scientifiques de Novac, afin de s’assurer qu’elles ne soient pas des espèces de bombes à retardements, abritant dans leur organisme des cellules formiennes. C’était toutefois rarissime, et l’armée préférait ne pas ébruiter ce genre de choses. Pour Kerrigan, c’était une forme de propagande, une manière de convaincre et d’accroître la haine de la population civile, afin que l’armée dispose d’un budget qui soit toujours plus conséquent.

Kerrigan cessa de marcher, et se retourna face à Jeanne. Ses plaques de chitine s’écartèrent à nouveau, dévoilant sa vulve, et sa verge pointa à nouveau, se redressant fièrement. Une verge légèrement trempée, humectée par la mouille de la femme. Elle avait déjà bouffé un certain nombre de chattes depuis le début de cette longue séance, mais c’était encore plus ex citant quand elle torturait ainsi, psychologiquement parlant, ses victimes, afin de les transformer en proies consentantes. Avec Jeanne, l’affaire semblait mal engagée, car, parmi tous les membres de cette escouade, Jeanne semblait clairement être celle ayant le plus envie de la réduire en bouillie. Le choix de Sarah était aussi stratégique. En réussissant à convaincre cette femme, elle espérait aussi affaiblir davantage le moral des autres Tekhanes, et ainsi réussir, peu à peu, à toutes les pervertir.

« Je n’ai aucune raison de te mentir, Jeanne... Si je voulais te prendre et t’enfanter, je l’aurais déjà fait. Je te propose ce marché uniquement pour gagner du temps. Si tu n’es pas d’accord, je te violerai, et je briserai ton esprit. Si tu acceptes, Shiranui sera libérée... Mais j’attends de toi que tu te dévoues sincèrement à ta tâche, alors, si tu veux me convaincre... Il faudra que nous commencions par faire l’amour comme si nous étions des amantes amoureuses l’une de l’autre. Fais-moi l’amour divinement, et je libérerai Shiranui. »

Sarah venait de poser ses conditions.

Il restait maintenant à voir si Jeanne les accepterait.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 23 novembre 2014, 18:01:59
   Jeanne écouta attentivement les paroles de l'Annexienne, et ressentit une certaine peine a voir que l'annexienne avait un moyen de la convaincre de manière efficace, qui est d'assister à la libération de Shiranui. Mais elle persista à trouver un moyen déstabiliser l'annexienne, de la rendre incapable de tenir sa promesse, et elle ne pouvait que voir qu'elle n'avait rien comme argument pour contré ceux de l'annexienne, qui démontra une nouvelle fois sa brillante intelligence. Jeanne se rendit donc à l'évidence, l'annexienne était réellement prêtre à laisser partir Shiranui, tout dépendait d'elle maintenant, seul ses prochains mots déterminerait le destin de Shiranui, la liberté ou l'enfer ?

   Et encore une fois Jeanne hésita encore, cette fois ce fut l’égoïsme et le sentiment de perdre une part d'elle même, une part de sa vie, se heurtant à sons envie de protéger celle qui lui avait permit d'avoir une chose dont elle fut privé de naissance, une sœur et une mère. Elle ne voulait pas se séparer de Shiranui tellement elle était attacher à elle, grâce à qui elle avait put avoir une meilleur vie. Mais elle ne parvint qu'a se dégoutter elle même. Ce fut à ce moment là que l'annexienne reprit la parole, lui décrivant l'aboutissement de chacune de ces décisions, les raisons de ce... marché et ce qu'il faudrait faire pour conclure se pacte et libéré Shiranui.

   Jeanne lâcha sa hache, qui s'enfonça brièvement dans le sol avant de glisser sur le côté. Ce fut avec un regard qui aurait put être un reflet des enfers tout en serrant les mains si fortement quelle perça sa peau avec ses ongles, fessant couler un peu de sang et beaucoup de mal qu'elle prononça les mots suivants.

-J'accepte tes conditions, uniquement pour sauver ma sœur.
   
   Même si le ton, la forme et l'apparence prétendaient le contraire, ses paroles étaient sincère tout comme le fait qu'elle s'était résignée à subir les humiliations que lui infligera l'annexienne. Même si l'idée de perdre sa virginité dans cette endroit et surtout au profit de cette femme lui donner aucune envie.

   Mais l'annexienne lui avait dit que pour conclure leur marché elle devait lui faire l'amour avec passion comme si elles étaient amoureuse l'une de l'autre... c'était mal partie, car Jeanne n'avait pas beaucoup, pour pas dire aucune, connaissance sur l'amour entre d'eux personne, sauf l'amour fraternel, et que sa théorie et sa pratique sur le sexe se limité à la masturbation et qu'elle nourissait à son égard une haine profonde. Rien que d'y penser, Jeanne ne put s’empêcher de souffler d'exaspération. Elle allait devoir être le plus convainquant possible, sinon l'annexienne pourrait changer d'avis. Mais elle ne fit rien, ne sachant pas comment s'y prendre, cherchant comment débuter, et ce n'est pas les quelques pornos qu'elle à put voir qui vont l'aider.

   Au final, elle avança vers l'annexienne, allant se mettre face à elle, elles avaient quelque centimètre de différence, mais cela n’empêcha pas Jeanne d'embrasser l'annexienne. Ce n'était pas un baiser : il n'y avait ni passion, ni envie et surtout ce n'était pas un baiser ! Elle posa juste ses lèvres sur celles de l'annexienne et ne fit rien d'autre, pas habituer à embrasser une fille sur la bouche, démontrant son manque astronomique d'expérience.

   Bien évidement, le reste ne loupa pas un seul mot de la conversation ni de ce qu'elles voyaient, elles avaient toujours eu des doutes sur la relation fraternelle entre Jeanne et Shiranui, mais la révélation fut moins forte qu'elles l'auraient crue et si leur vision des choses n'avait pas changer, celle de Tirch vira sur la traîtrise et Schield était sur que l'annexienne mentait, elle mentait comme elle respirait, même pour gagner du temps elle ne laisserait pas partir une femme pour une autre, c'était illogique pour elle.

   Pourquoi toute cette scène, uniquement pour s'assurer que Jeanne soit à sa botte ? Elle ne voulait pas perdre de temps, elle n'avait que ça du temps ! Pourquoi pas la violé et la briser directement comme elle a dit ? Pourquoi s’assurer de l’obéissance de Jeanne ? Pourquoi libérer Shiranui ? Qu'elle intérêt elle à a gagner ? Schield ne comprenait pas, durant sa carrière de chasseuse de prime ou dans la delta S, elle n'avait jamais eu peur de rien, ni des fous dangereux à abattre ou des risques en mission, mais cette annexienne lui fessait peur.

   Elle ne connaît pas grand chose des formiens, mais elle était sur que cette annexienne devait faire partie des pires, elle n'arrivait pas à comprendre son jeu, elle semblait cherché plus que leur soumissions ou d'en faire des pondeuses. Pour Schield, l'annexienne cherchait à les briser, à les torturer psychologiquement, d'abuser de leur faiblesse, de s'en servir comme moyen de pression, de leur ôter tout espoir ! L'espoir, serais se ça qu'elle cherche ? Détruire toute forme d'espoir, de les briser un à un, de réduire à néant leurs espoirs et de les plonger dans un désespoir profond afin de mieux les briser et d'en faire ses pantins ? Serais se son plan ?

   Jeanne était une source d'espoir, serais se là raison de vouloir la soumettre ? De montrer que même la plus forte d'entre elle ne peut que se plier devant elle et de briser ainsi cet espoir ? Mais elle semblait ne pas se douter que Jeanne était assez imprévisible, tôt ou tard sa rage refera surface. Et pour Mixim, cherchait elle à montrer qu'aucune ne pourra échapper à son destin ? Et si elle violait chacune d'entre elle une à une devant les autres, c'était pour abreuver cette inéluctable désespoir qui les habiter, de voir sans rien pouvoir faire que de pouvoir contempler la marche funèbre de leur destin vers elles et de se raccrocher à chaque bribe d'espoir qu'elles pouvaient trouver, que l'annexienne prendrait plaisir à réduire à néant devant elles.

   Schield ne put imaginer ce qui ce passerait une fois tout espoir détruire, ni ce qu'elles feraient. Elle ne put que réaliser qu'une chose : quoi qu'elles fassent, l'annexienne sera vainqueur et fera de la section Delta S ses esclaves. Elles étaient condamner, condamner à être les esclaves des formiens. Elle réalisa que maintenant que toute lutte était inutile, l'annexienne était un adversaire trop fort, trop rusée et trop intelligent pour elles. C'était ça qui fessait peur à Schield, avoir pour adversaire, une ennemie surpuissante.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 24 novembre 2014, 01:46:56
Jeanne semblait hésiter, peser le pour et le contre. Elle cherchait les petites lignes du contrat, les petits pièges, le traquenard… Les autres Tekhanes étaient également surprises, certaines ne comprenant pas du tout pourquoi Sarah tenait à libérer Shiranui. Kerrigan avait exposé ses conditions, et le temps sembla se suspendre aux lèvres et à la hache de Jeanne. Cette Tekhane était probablement l’une de celles qui la haïssaient la plus, et, même si elle avait des raisons extrêmement personnelles de le faire, il n’en restait pas moins qu’elle rejoignait la tranche dure et hostile de l’escouade Delta. Si Sarah arrivait à la séduire, à la convaincre, alors toutes ces autres femmes se rallieraient à son autorité. C’était aussi simple que cela à comprendre. Un sourire victorieux éclaira donc les lèvres de Sarah quand Jeanne abandonna sa hache, acquiesçant aux conditions de Sarah, puis se rapprocha d’elle. Toute la tension continuait à être visible dans le corps de Jeanne, qui révéla alors être la sœur de Shiranui… Très certainement sa grande sœur, vu la manière dont elle la surprotégeait.

*Voilà qui explique tout…*

Jeanne se rapprocha d’elle, et Sarah écarta légèrement les bras. La Tekhane se blottit lentement contre elle, n’ayant rien à dire, et apposa ses lèvres contre les siennes, lui offrant un tendre et humble baiser. C’était un simple frottement de lèvres, rien de plus, mais qui voulait tout dire. Sarah la laissa faire, et, quand Jeanne se retira, la main de Sarah se posa sur ses cheveux, s’appuyant dessus. Leurs nez se caressaient tendrement, et son autre main caressa les hanches de la femme, glissant sur sa peau, caressant tendrement son uniforme.

« Laisse-moi te montrer ce qu’est un vrai baiser, Jeanne… »

Sarah l’embrassa alors… Sérieusement. Sa bouche se plaqua à la sienne, deux de ses lèvres allèrent gober la lèvre inférieure de Jeanne, tirant dessus, avant de soulever la lèvre supérieure de la femme, permettant ainsi de creuser un trou par lequel sa langue s’enfonça en elle, glissant dans sa bouche. Elle alla chercher la langue de Jeanne, jouant avec elle, et son corps se blottit contre le sien. Sarah gémit de plaisir, et continua à l’embrasser, plutôt longuement. Ses doigts remuaient le long de ses cheveux, les caressant, et elle soupirait contre elle, yeux clos. Au bout d’una ssez long moment, Sarah rompit le baiser, et écarta un peu plus son visage, son corps restant cependant collé à celui de Jeanne. Sa verge, tendue, s’enfonçait contre l’uniforme de la femme. Il filait sous sa tunique pour heurter sa culotte blanche, remontant quand Sarah se pressait contre elle, sa verge devenant alors un bâton glissant entre le corps des deux femmes.

Plusieurs secondes passèrent, avant que Sarah ne lui sourit à nouveau, plus doucement :

« Bien… Je vais honorer ma part du marché, Jeanne, et tu pourras voir que tu peux me faire confiance. »

Sarah tendit sa main vers un mur, et ce dernier s’ouvrit alors, ne tardant pas à révéler le spectacle ahurissant du Monstre formien, en train de défoncer joyeusement toutes les Tekhanes capturées. Sarah lança un ordre, et Shiranui ne tarda pas à apparaître. Elle était complètement sonnée, et fut lâchée sur une plateforme à proximité. La grande femme aux formes généreuses était complètement épuisée, semblant brisée, et, au bout de quelques instants, elle fut engloutie par le sol, disparaissant dans un tunnel qui venait de se créer sur place. Le mur se reforma alors, et un autre s’ouvrit, montrant alors une autre pièce.

On pouvait voir de gros œufs rosâtres dans cette pièce, les œufs étant reliés au sol et au plafond par de grosses veines. Sarah laissa passer quelques secondes, puis continua à user de son pouvoir mental. Ce faisant, l’un des œufs s’ouvrit en deux, et on put voir, à l’intérieur, flottant dans un liquide amniotique, le corps nu de Shiranui. Pour rentrer, elle était passée par le nerf se situant au-dessus de l’œuf, nerf qui s’était alors ouvert et distendu afin d’accueillir le corps de la femme.

« Certaines Tekhanes ont inspecté ce genre d’œufs. Ce sont des incubateurs qui permettent de soigner les organismes allant dedans. »

Ces Tekhanes avaient trouvé ces gros œufs dans des Ruches qu’elles avaient ravagées.

« D’ici quelques heures, elle sera soignée. Ses tissus cellulaires seront cicatrisés, et son hymen restaurera. Si tu le veux, sa mémoire sera partiellement modifiée… À toi de voir, ma puce. »

Sarah referma le mur, puis son regard se reporta à nouveau vers Jeanne. La Reine des Lames avait assez parlé, et s’écarta un peu, avant de s’allonger sur la table au centre, cette espèce de table-lit sur laquelle elle avait déjà forniqué avec tant de Tekhanes.

« Retire ta culotte et viens t’empaler sur moi, ma belle… Car tu es désormais mon amante… Et crois-moi que tu ne regretteras rien de ce que tu vas vivre. »

Ça, c’était une chose qu’elle lui promettait clairement !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 30 novembre 2014, 17:33:04
   Son baiser, Jeanne se retenait de ne pas vouloir en vomir, pas par le fait qu'il était plutôt simple, mais par le fait qu'elle la fait avec cette pourriture d'annexienne. Elle aurait plutôt voulue lui cracher dessus, mais Shiranui était le cadenas de ses envies de vengeance et meurtre, accomplissant donc de plein grès ce baiser et de se soumettre à l'annexienne. Durant leur baiser, Jeanne partagea son regard avec celui de l'annexienne, un regard de colère et de rage contre celui victorieux et lubrique de l'annexienne, du moins ce fut sa vision des chose. Leur nez se frottant, Jeanne essayait d'ignorée cette caresse improviser, qui était dans son enfance une caresse qu'elle fessait avec Shiranui leur manière de se dire bonjour dans leur enfance. Elle se retira après un moment, éloignant ses lèvres de celles de l'annexienne, sans s'attendre à ce que l'annexienne en reste là.

« Laisse-moi te montrer ce qu’est un vrai baiser, Jeanne… »

   Jeanne avait vue juste. L'annexienne mit sa main derrière sa tête et alla l'embrasser, fougueusement, lui montrant ce qu'est un baiser et ce qu'il faut faire. Jeanne sentie les lèvres de l'annexienne gobaient sa lèvre inférieur l'emprisonnant entre les siennes, la suçant et tirant légèrement dessus, avant de soulever en ouvrant la bouche sa lèvre supérieure, glissant ainsi sa langue dans la bouche de Jeanne qui n'avait pas fermer sa bouche, mais dont l'envie brûlante de refermer de toutes ses forces ses dents sur cette langue qui se mélanger à la sienne, mélangeant leur salive. Mais à la place, elle serra les poings menaçant de se percer à nouveau la peau.

   L'annexienne s'activait sur le baiser, baiser au quel Jeanne répondait sans la même ardeur, ni mettant pas beaucoup du sien, son esprit encore hostile. De ses mains, elle ne fit rien, mettant juste les doigts sur les hanches de l'annexienne pour faire bonne figure, mais dont l'envie de les mettre sur sa gorge était tentant, mais pas assez pour le faire. L'annexienne mit fin au baiser, retirant sa langue de sa bouche, un filer de bave reliant encore leur lèvres respectives. Mais ce ne fut pas pour autant que l'annexienne ne séparant d'elle, Jeanne sentie la verge de l'annexienne se frotter contre elle, se glissa sous sa culotte, se frottant à l'endroit où se situer son intimité, avant que l'annexienne ne la plaque entre leur corps. Elles restèrent ainsi quelque temps, Jeanne peinant à ne pas dégager l'annexienne d'un coup bien placer. Finalement l'annexienne lui sourit, un sourit qu'elle voudrait lui effacer.

« Bien… Je vais honorer ma part du marché, Jeanne, et tu pourras voir que tu peux me faire confiance. »
-J’espère bien.
*C'est ça, fais toi passer une bonne personne* Pensa Jeanne oubliant que l'annexienne pouvait entendre ses pensées.

   Elle la regarda tendre la le bras, vers un murs. Celui-ci s'ouvrit dévoilant à toutes le calvaire de leur amies. Elles pouvaient contemplées l'immensité du monstre, ses milliers de tentacules qui pénétraient leurs amies, qui leurs jouissaient dessus, les remplissant de sperme. Ils leurs étaient impossibles de les discerner à cette distance, voir même de près, inonder de sperme, recouvertes de tentacules. Mais pas seulement, les bruits des tentacules, les cries de jouissances de leur camarades et l'odeur forte des fluides. Elles furent choquées, même Tirch, l'angoisse et la peur reprirent possession de leur esprits, et comme aux tout débuts elles paniquèrent à nouveau, refusant de devoir se faire prendre par l'annexienne et surtout de rencontrer ce monstre. Ce que subissaient leur amies, été pire que ce dont elles s'étaient imaginées.

   Jeanne fut tout aussi choquer, mais son choc s'aggrava quand elle vit Shiranui se faire déposer sur une plate-forme. Cette dernière était recouverte de sperme, les cheveux complètement imbiber de sperme et du sperme coulant de sa bouche. Les yeux vides de présence d'esprit, respirant rapidement, elle était méconnaissable. Elle n'était plus la Shiranui toujours souriante, toujours contente, toujours enfantine. Elle était briser, bafoué et humilier.

   Shiranui due remarquer la présence des autres, car malgré l'aphrodisiaque présent en grande quantité dans son corps et sa fatigue, elle parvint à ignorer le plaisir gargantuesque qu'elle ressentait et parvint à ressembler son esprit, de verser une larme de tendre faiblement un bras vers sa grande sœur et de bouger ses lèvres sans qu'aucun son n'en sorte, si n'est que de sperme et un souffle ardent, postillonnant du sperme. Mais elle ne put rien faire d'autre, car déjà le sol l'engloutie à nouveau.

   Jeanne avait vue sa tentative de l'appeler, et s’apprêta à aller à son aide, quand le sol s'ouvrir sous elle afin de l'amener dans un quelconque endroit, ne laissant que pour dernière vision, celle d'une sœur violé et bafoué. Un nouveau mur s'ouvrit en même temps que l'autre se ferma, mettant fin à la vision du monstre tentaculaires et de leur pauvre camarades. L'autre ouverture dévoila une pièce remplit d’œuf rosâtre, assez gros pour contenir une personne entière, voir plus d'une personne. Devant leur yeux, un des œufs s'ouvrit comme une banane, dévoilant Shiranui, nue et flottant dans un liquide transparent. L'annexienne les rassura en leur décrivant la fonctionnalité de ses œufs et qu'elle pouvait modifier la mémoire de Shiranui, mais que cela dépendait de Jeanne.

   Cette dernière ne l'écoutait pas, ni même ne remarqua que l'annexienne s'éloigna d'elle. Son esprit ne pouvant ôter de sa mémoire, ni de ses yeux, la vision de sœur et de ses camarades. Elle sera les poings, si forts qu'elle se perça à nouveau a peau et menaça de se casser une phalange si elle continuait. Ce ne fut pas la rage, ni la haine, ni la colère qui habita son esprit, mais le désespoir et la tristesse. Pendant un instant, elle voulue reprendre sa hache, mais avant qu'elle ne puisse faire un pas :

« Retire ta culotte et viens t’empaler sur moi, ma belle… Car tu es désormais mon amante… Et crois-moi que tu ne regretteras rien de ce que tu vas vivre. »

   Ce fut un coup de couteau dans le cœur pour Jeanne, lui rappelant à quel point elle était impuissante. Ni les coups, ni les mots ne ferait dévier cette annexienne de son objectif, se moquant éperdument de ce que souhaite ses prisonnières. La seule chose qui retenait Jeanne de ne pas tenter une action si folle que l'annexienne n'aurait d'autre choix que de la tuer était Shiranui. C'est ainsi qu'avec des yeux dévoilant son profond dégoût pour l'annexienne, qu'elle retira le bas de sa tenue, dévoilant son intimité, qui à l'instar de ses camarades n'était pas rasée.

*Pour Shiranui* se dit elle

   D'un pas mal-assurer, elle se dirigea vers l'annexienne, coucher sur la table. Elle déglutit et se fut avec appréhension, qu'elle se mit en amazone sur l'annexienne, debout sur ses genoux, la verge à l'entré de son intimité. Elle s’apprêtait s'enlever elle même sa virginité, elle hésitait encore. Une sueur froide coula sur sa tempe. Elle respira un grand coup et abaissa son corps sur la bite de l'Annexienne.

*Pour Shiranui* Répéta elle en même temps

   Elle ne put retenir un crie, quand elle sentie cette engin la pénétrer. La verge avançait lentement dans son intimité, martyrisant ses parois intimes, trop étroites pour accueillirent un engin aussi épais pour une première fois et ce fut après quelques dizaines secondes que son hymen fut enfin déchirer. Jeanne avait mal, la douleur était forte, elle avait peur de déchirer son vagin, mais ce dernier résista et ce fut après un longue minutes, que ces parois commencèrent à s'adapter aux calibre du pénis. Et enfin, ce fut après une autre minutes, que la verge touche finalement le col de l'utérus, mais elle tentait de forcer le passage, pour faire entré le surplus de centimètres encore à l'extérieur, trop grande pour entrer entièrement dans le vagin. Jeanne avait les larmes aux yeux, c'était ça première fois, et pour ça première fois une verge bien plus grosse qu'elle n'aurait crue.

   Elle resta comme ça un moment, se remettant de cette pénétration. Elle évita le regard de l'annexienne, elle mit ses mains sur le corps de l'annexienne au niveau de la taille, afin de s'aider avec ses jambes de se retirer. Retirer cette engin ne fut pas une mince affaire, le retour fut aussi pénible que l'aller, ses parois furent à nouveaux martyriser. Ce fut une fois que le bout de la verge arriva au limite de sortir de son intimité, que Jeanne s’arrêta et qu'elle recommença le manège inverse, se relaissant glisser dessus. Cette fois ce fut plus facile qu'avant, mais la pénétration fut quand même dur.

   Et ainsi de suite, Jeanne allait lentement afin de s'habituer à la pénétration. Elle ignorait si cela plaisait à l'annexienne, mais elle s'en moquer, se concentrant pour l'instant sur ses allées et venues. Son intimité mouilla après un long moment, rendant la pénétration plus douce et facile. Le plaisir naissait, mais il n'était rien face aux dégoût de Jeanne.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 03 décembre 2014, 01:44:56
La petite Jeanne était une femme pleine de passion, et, pour l’heure, sa passion s’exprimait par le biais d’une rage sans bornes à l’égard de Kerrigan. Elle avait vu dans quel état se trouvait Shiranui, et Jeanne, sa grande sœur, se refusait à l’accepter. Le tendre et fougueux baiser de Sarah n’y avait rien changé. Jeanne trichait. Sarah lui avait bien dit que Shiranui ne pourrait être libérée que si Jeanne parvenait à surmonter sa haine, et à se révéler docile et aimante, comme une véritable amante. Au lieu de ça, elle la fusillait du regard, avec une hypocrisie blessante.

*Et pourtant, je vais quand même honorer ma part du marché… Et on ose dire que je suis méchante. Ces humaines arrogantes sont des enfants bien capricieux, qui veulent le beurre et l’argent du beurre.*

Elle avait ordonné à Jeanne de venir s’empaler sur elle. Sa verge violette était bien dressée, tendue vers le plafond, et, lentement, la Tekhane s’avança. Tout son esprit semblait être focalisé sur deux choses : sauver Shiranui, et ne pas tuer Kerrigan. Les deux pensées étaient liées, mais, alors qu’elle rejoignait la table, et qu’elle voyait cette verge grosse et bien juteuse, son esprit se focalisa alors, brièvement, sur autre chose, sur une autre pensée, que la redoutable ex-Psyker réussit à saisir : Jeanne était vierge. Un léger sourire perla sur les lèvres de Sarah. Elle allait donc perdre sa virginité ici… Et peut-être qu’elle réussirait à comprendre comment fonctionnait la Reine des Lames. Tout ce que ces femmes vivaient ici n’était qu’une leçon, une simple leçon destinée à leur montrer qu’elles étaient impuissantes face à elle, que leur existence en tant que soldates tekhanes était révolue, et que, si elles se rebellaient, Sarah avait amplement les moyens de les faire souffrir. Autrement dit, elle cherchait à leur montrer qui était le patron ici, et à qui elles devaient obéir sans sourciller.

Jeanne se posa sur son ventre, son intimité près de son sexe. Sarah esquissa un léger sourire, goguenard, et ne dit rien. Elle aurait pu conseiller Jeanne pour sa première fois, l’exciter préalablement, mais il fallait bien punir un peu cette sale chienne. Jeanne n’avait essayé que de la tuer depuis qu’elle était là, lui renvoyant perpétuellement un mur de haine et d’agressivité. Certes, à sa place ; Sarah aurait probablement pensé jadis de la même façon, mais les rôles étaient maintenant inversées. Kerrigan était curieuse de voir jusqu’où Jeanne irait… Sacrifierait-elle sa virginité pour sa petite sœur ? Ce lien était important, parfois le plus solide des liens. Sarah eut sa réponse en voyant Jeanne se redresser, puis faire glisser cette verge en elle. La douleur irradia dans tout le corps de la belle femme, qui ne tarda pas à poser ses mains sur la taille de Sarah. En retour, cette dernière agrippa ses belles petites fesses, et la laissa faire. Lentement, très lentement, Jeanne se faisait à la présence de ce chibre. Elle remuait lentement, et, ses parois étant sèches comme le puits d’un désert, elle ne ressentait que la douleur.

*Peut-être faut-il lui envoyer un aphrodisiaque ?*

C’était une piste possible, mais Kerrigan ne voulait pas non plus en abuser. Dans l’absolu, elle voulait que les expériences sexuelles soient authentiques, et, de toute manière, Jeanne méritait de souffrir un peu. Ces femmes devaient comprendre comment leur séjour ici allait fonctionner, en suivant le principe du bâton et de la carotte. Jeanne remuait lentement en elle, soupirant, gémissant presque, ravalant sa douleur derrière sa fierté. Sarah la laissait faire, soupirant faiblement. L’intimité de cette femme était terriblement étroite, rendant la pénétration encore plus agréable, encore plus intense. La Reine des Lames savourait cela, et laissait Jeanne se démener sur elle, remuant d’avant en arrière, enfonçant peu à peu cette queue dans son corps, revenant en arrière, puis en avant.

Parler aurait pu la déconcentrer, d’autant plus que, peu à peu, le plaisir venait. Le vit de Sarah tapait contre son clitoris, s’enfonçant dans des zones érogènes sensibles, et, peu à peu, l’intimité de Jeanne se lubrifia plus facilement, se recouvrant de mouille, ce qui l’amena à remuer de plus en plus facilement, à glisser de plus en plus vite. À aucun moment, Sarah ne cherchait à l’arrêter, et lui avait laissé tout le temps d’agir, de danser sur elle, de remuer contre sa queue.

« Hummm… Oui, ma belle, vas-y… Perds ta virginité avec moi, et ta sœur… Sera libre, hummmm… »

Autant jouer sur la carte de la sœur, car Jeanne y était plus réceptive. Progressivement, les mains de Sarah se crispèrent autour des fesses de la femme, les malaxant, remuant un peu dessus. Jeanne dansait de plus en plus vite, allant crescendo. Les minutes qui s’écoulaient étaient sans importance, seul comptait le résultat final… Et il y avait fort à parier que Jeanne finirait par jouir. Pour la motiver, Sarah finit par déplacer l’une de ses mains, et vint empoigner l’un des seins de la femme, se crispant sur ce mont de chair, appuyant sur le téton, le pinçant entre deux doigts, tirent dessus, puis retourna le malaxer.

« Haaaannn… Vas-y, ma chérie, continue à danser, ne pense à rien, à rien d’autre qu’au plaisir… Danse, vas-y, danse, bébé… »

Il y avait en Jeanne un meilleur potentiel que chez Shiranui, et, si Sarah savait que ses Cérébrates ne comprendraient pas pourquoi elle allait probablement libérer Shiranui, Sarah, elle, suivait sa propre logique. Ce qu’elle dépensait avec sa main gauche, elle le regagnait dans la main droite. Shiranui partirait de son influence pour l’heure… Mais Sarah réfléchissait sur le long terme, ce qui faisait d’elle une manipulatrice si efficace. Elle avait amené Jeanne à s’empaler sur elle, et à lui faire l’amour.

Tôt ou tard, elle arriverait à récupérer Shiranui.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 07 décembre 2014, 12:16:39
« Hummm… Oui, ma belle, vas-y… Perds ta virginité avec moi, et ta sœur… Sera libre, hummmm… »

   Et comme prévue, Jeanne mit un plus d’ardeur dans sa tache, mais pas pour le plaisir du sexe, mais le plaisir de libérer Shiranui.

   De la douleur, se succéda le plaisir, au fur et à mesure que le temps passait, que les secondes s'écoulaient. Jeanne gagnait en rythme, son vagin s'adaptant à la présence du chibre énorme de la Reine des Lames. Elle ne fessait que ça, ses mains sur le bassins de l'annexienne, tandis que les siennes allèrent sur ses fesses, les pressant, les malaxant, arrachant des soupirs de gêne à Jeanne. Le plaisir irradier son intimité, gagnant son corps, mais Jeanne peu ouverte à une telle chose, ne parvenant guère à assimiler plaisir et coucher avec une formienne pour sauver Shiranui, ne parvenant n'ont plus à jouer son rôle d'amante passionner correctement. Comment oublier aussi facilement les insultes de l'annexienne sur Shiranui et tout ses actions contres elles ? C'était déjà un exploit qu'elle donne de son plein gré sa virginité à l'annexienne.

   Elle levait son corps aussi rapidement que lui permettait sa position, avant de ce laisser tomber avec plus ou moins de force, sur la verge tendue, dont le bout heurtait à chaque fois le col de l'utérus, cherchant à enfoncer cette porte pour en pénétrer un sanctuaire inconnue. Sa mouille lubrifiant ses parois, laissant le bélier de la Reine pénétrait de force son antre, heurtant son clitoris, provoquant des explosions de plaisir intenses, écartant les parois désormais adapté à sa taille, le laissant glisser avec plaisir et rapidité, provoquant des sensations de plaisir tout le long, le frottement se faisant avec délice, avant d'heurtait le col de l'utérus, l’inébranlable gardien entre le chibre et une zone inaccessible.

   Malgré le plaisir grandissant, Jeanne ne l'admettait toujours pas, malgré ses joues rouges, sa sueur sous l'effort, son souffle rapide et ardent, glissant le long de sa poitrine avant de se perdre sur l'annexienne, ses gémissement entre l'effort et le plaisir brisant le silence de la salle, sous les yeux de ses camarades, dont Goya, et des formiens présent. Un plaisir qui ne demandait que d'être accepter, se fessant refuser par Jeanne, ne voulant pas, inconsciemment, s'avouer vaincue, de laisser ce plaisir la prendre. Elle résistait, ses yeux portant toujours une lueur de haine, ses pensées souhaitant réussir pour Shiranui, qu'elle sorte de cette enfer et d'autre plus sombre, l’accablant de reproche sur son impuissance.

   Au bout d'un moment, une main de l'annexienne s'empara d'un de seins. Jeanne eu le souffle coupé un moment et son visage pris plus de couleur, son souffle devint plus rapide, ses gémissements plus accentuer sur le plaisir et survint son premier crie, quand l'annexienne commença à titiller son téton, le tirant ou le pinçant, avant de malaxer et de compresser son sein.

« Haaaannn… Vas-y, ma chérie, continue à danser, ne pense à rien, à rien d’autre qu’au plaisir… Danse, vas-y, danse, bébé… »

   Le plaisir monta démesurément, l’empêchant de pouvoir répliquer, ce plaisir semblait être arriver à un stade critique, irradiant son esprit. Elle finit par un crie de plaisir, en même tant qu'elle se mit à jouir. Déboussoler, Jeanne ralentit considérablement son rythme, le plaisir trop intense, parvenant à la perturber. Elle haletait, la sueur coulant de ses tempes et son front, le souffle puissant et ardent, la bave perlant de ses lèvres entrouverte ou s'échapper ses halètement et gémissements. Son esprit scinder en deux, celle qui accepter ce plaisir et celle qui voyait toujours en l'annexienne un ennemi. Elle ne comprenait ce qui lui était arriver, elle avait laisser le plaisir prendre le pas sur elle.

   Elle reprit lentement ses esprits, après avoir cesser d'aller et venir sur cette verge, réalisant qu'elle venait de prendre un plaisir fou. Pourquoi ? Parce que son corps avait envie de découvrit les joie du sexe ? Ou parce qu'elle ne sait jamais préoccuper de ça et qu'elle était donc plus sensible à aux sexes ? Elle ne savait pas, mais pour se rassurer, elle se dit que c'était pour Shiranui, uniquement pour elle qu'elle à fait ça et qu'elle ne méritait pas à un sort pareil !

   Jeanne était d'une certaine manière vaincue, un autre espoir s'envola, tandis que persisté encore des bribes d'espoirs, que ce soit sur Mistrial, Tirch ou sur leur dernier atout.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 08 décembre 2014, 01:59:22
Que pouvait-elle faire ? Jeanne essayait, tant bien que mal, de lutter contre les plaisirs qu’elle était en train de ressentir, de se dire qu’elle faisait ça uniquement pour Shiranui, uniquement pour sauver sa sœur… Mais le corps ne mentait pas, et les plaisirs que la femme était en train de ressentir indiquaient clairement le bonheur qu’elle ressentait. Jeanne ne pouvait pas se mentir à elle-même, ni à la Reine des Lames. Elle avait succombé. Elle aimait s’empaler sur le vit de Sarah, elle aimait se perdre contre elle, elle aimait cette sensation qui la traversait de part en part. Sa colère s’effaçait progressivement, et, sans le savoir, Jeanne était déjà dans le creux de la paume de Kerrigan. Elle ne pourrait jamais réussir à lutter efficacement contre elle, et, à chaque fois qu’elle voudrait se rebeller, à chaque fois qu’elle songerait à se révolter, son corps viendrait se rappeler à elle, viendrait lui rappeler les sensations qu’elle avait reçu. Dès lors, ce n’était maintenant plus qu’une question de temps avant que la Tekhane ne s’abandonne définitivement au plaisir, et ne devienne sienne. Jeanne se dandinait sur son corps, gémissant, soupirant, couinant de plaisir, se frottant à elle, dandinant d’avant en arrière.

Les mains de Sarah se crispaient contre ses fesses, ou remontaient pour empoigner les lourds seins de la femme, pinçant son téton, malaxant sa peau nue et en sueur. Jeanne dansait de plus en plus vite, et, sous ce régime, son orgasme finit par arriver. Elle se largua contre la verge de Sarah, qui soupira de plaisir en sentant cette mouille affluer. Jeanne soupirait lentement, faiblement, et c’est sous ce traitement que la Reine des Lames atteignit, à son tour, l’orgasme, réglant son corps pour jouir en même temps qu’elle. C’était plus poétique, et son sperme se répandit généreusement dans le corps de la femme, se répandant dans ses entrailles, enfantant à son tour la belle Jeanne.

« Haaa… Tu es une très bonne amante, ma belle Jeanne. »

Un sourire heureux, quoique légèrement moqueur, vint se dessiner sur les lèvres de Kerrigan, qui resta allongée pendant encore quelques instants, caressant les hanches de Jeanne, laissant à l’intrépide et désormais docile Tekhane le soin de reprendre ses esprits. Elle venait de jouir, de goûter au plaisir ultime, et Sarah, naturellement, allait honorer sa parole. Shiranui serait libérée, oui… Mais ce ne serait qu’une question de temps avant qu’elle ne revienne. La Reine des Lames réfléchissait sur le long terme, et, n’étant pas du genre à remettre en cause la perfection de ses plans, elle était convaincue que tout cela n’était que partie remise, et que, tôt ou tard, Shiranui lui reviendrait… Mieux, ce serait même grâce à Jeanne ! Car, en ce moment, Jeanne venait de découvrir le bonheur, un plaisir intense, profond, physique, corporel, un plaisir qui, par la suite, constituerait sa damnation.

Lentement, un tentacule s’approcha du plafond. Il était temps que le cycle se poursuive. Le tentacule violet vint s’enrouler autour de la nuque de Jeanne.

« Ne t’inquiète pas, Jeanne, je reviendrais te faire l’amour… Et tu verras par toi-même ta sœur retrouver sa liberté… »

Pour le moment… Mais inutile de lui révéler les véritables intentions de la Reine. Jeanne fut décollée du sol, et, le cas échéant, d’autres tentacules pouvaient toujours se déplacer pour la saisir, et l’emmener dans les innombrables tentacules du Monstre formien, qui continuait à pénétrer les autres Tekhanes. Jeanne les rejoignit donc, poignets et chevilles immobilisés par des tentacules, tandis que deux autres s’enfoncèrent respectivement dans son vagin et son anus. D’autres vinrent lécher ses seins, s’enroulant autour d’eux pour les presser et les tirer dans tous les sens.

Sarah, de son côté, se redressa lentement, et observa les femmes restantes. Sa verge était recouverte de la mouille de Jeanne, et, dans un sourire mielleux, Sarah s’amusa à se masturber. Elle recueillit un peu de la cyprine de la femme, et s’en humecta les lèvres, conservant toujours sur son visage un sourire moqueur.

« Alors, Mesdames… Qui veut se faire engrosser et m’offrir sa mouille, maintenant ? »

Il restait encore bien du monde !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 10 décembre 2014, 20:35:32
   Ce plaisir lui avait fait perdre la tête un moment, n'arrivant pas clairement à ce l'expliquer. Elle avait aimé, c'est tout, sûrement une part d'elle qui voulait découvrir le plaisir du sexe. Toujours est-il qu'elle se remit lentement de ses émotions, le plaisir toujours ardent, le visage encore rouge et le souffle aussi chaud. Elle était encore empaler sur la verge, le jus intime des deux femmes coulant lentement de sa fente et sous ses mouvement qui favorisaient leur évacuations, coulant sur le corps de l'annexienne. Et sans le demander, elle était sur que l'annexienne l'avait mit enceinte et donc qu'elle devra accoucher une des monstruosité. Si le plaisir n'avait pas aussi intense, si une part de son esprit n'avait pas céder à cette passion, longtemps que son esprit combatif l'aurait étrangler, du moins l'idée aurait traverser son esprit, l'aurait tenter, mais n'aurait sans doute pas céder.

   Mais,cela n'était pas une raison d'oublier sa haine passé et ses envies de tuer, sommeillant en elle, enchaîner par ce pacte. Brisant le silence, l'annexienne complimenta leur relation d'amante, mais Jeanne ne dit rien, car n'ayant rien à dire et craignant qu'elle ne dise une connerie, se connaissant trop bien pour répondre à l'inverse de ce qu'elle devrait dire. Elle ne fit pas attention au sourire un peu moqueur de son... amante.

   Elle resta ainsi, quelque instant, la verge toujours en elle, reprenant lentement de cet folle expérience, laissant les mains de l'annexienne parcourir ses hanches. Elle espérait qu'elle ne venait pas de créer une brèche en elle, une brèche que saurait profité la Reine des Lames. Elle se doutait de rien quand a son future et que cette brèche sera sans doute sa perte. Ignorant le plan réelle de l'annexienne, elle était contente de son sacrifice, Shiranui sera libre ! Elle quittera cet endroit de cauchemar ! Mais elle n'était pas sotte au point de ne pas se douter que l'annexienne ne tiendrait sans doute pas parole, mais l'espoir de la voir partir était fort, trop fort.

   Une tentacule vint s'enrouler autour de son coup, et Jeanne par réflexe, porta ses mains a son coup, agrippant la tentacule et s’apprêtant à la déchirer de ses mains. Mais elle ne le fit pas, se rendant compte que la tentacule ne chercha pas à l'étrangler.

« Ne t’inquiète pas, Jeanne, je reviendrais te faire l’amour… Et tu verras par toi-même ta sœur retrouver sa liberté… »
-J'l'espère bien. Répondit d'elle.

   Elle ne se rendit pas compte que sa parole pouvait être comprise de la mauvaise façon, pouvant tout aussi bien parler de la promesse de l'annexienne qu'elle reviendra lui faire l'amour ou qu'elle pourra voir sa sœur se libérer, sa parole allant évidement pour l'autre promesse. La tentacule tire, forçant Jeanne à se relever. Elle sentie une nouvelle fois la verge coulisser en elle, et ce fut avec un léger bruit gluant qu'elle sortie, libérant quelque flot de fluides, allant s'écraser sur l'annexienne. Elle descendit de la table, accompagner par d'autres tentacules. Elle savait où elle allait, mais elle ne fit rien, cela pourrait amener l'annexienne à changer d'avis et de rendre son sacrifice inutile.

   Et tandis qu'elle allait rendre visite au monstre, l'annexienne en profitait pour se lever de la table, afin de savoir qu'elle sera sa futur proie. Les pauvres soldates ne purent que regarder l'annexienne se masturbait devant elles et de s'humecter les lèvres de la cyprine de Jeanne. L'annexienne suivit son petit rituel et demanda qui voudra être la prochaine pour se faire prendre et engrosser. Et comme pour les autre fois, aucune n'osa se dévouer, préférant s'abstenir de répondre. Une scène qui se répéte inlassablement, chacune refusant, quelqu'une voulant mais n'ayant pas le courage nécessaire ne se prononcèrent pas, soit pour en finir ou pour mettre en application leur dernière carte.

   Cela pourrait duré longtemps, jusqu'à ce que l'annexienne ne doit choisir elle-même, si une des femmes ne se dévoua pas.

*J'me dévoue, qu'on en finisse.*

   C'était Mistrial, une des soldates membres du Delta 1, mais souvent chef d'une autre Delta. Rien n'aurait put prévoir qu'elle se dévouait, mais elle le fit. C'était aussi un des espoirs du reste de la Section Delta 1, pourquoi ? La raison rester obscure. Elle fut libérer de son alcôve, mais ce n'est pas pour autant que les tentacules laissèrent à l'air libre son bras bionique, qui était prisonnier de plusieurs tentacules. Sans qu'elle n'oppose de résistance. Elle se dirigea vers l'annexienne d'un pas tranquille. Elle était à quelque pas de l'annexienne, avant d'être prêt de l'annexienne. Elle s'arracha la tentacule qui bloquer sa bouche et contre tout attente, elle l'embrassa et elle l'attrapa par le bassin et se colla à elle.

   Mais son bras bionique provoqua de petite explosion, avant qu'elle ne dégage son bras des tentacules, les plaques cachant le système biomécanique de son bras restant entre les tentacules. Elle avait retirer les plaques protectrice de son bras, lui permettant ainsi de se libérer. Mais ne fit rien d'autre que de passer son bras derrière la tête de l'annexienne, continuant son baiser. Après un petit moment, elle déplaça son bras bionique vers le milieux et serra le plus fort possible, de façon de se coller le plus possible à l'annexienne, sa verge frottant contre sa combinaison. L'annexienne remarquera que la prise était forte, bien trop forte. Mistrial mit fin au baiser et lui souffla dans l'oreille.

-J'espère que tu en a bien profiter pétasse !

   Son bras bionique émit divers son, comme le bruit d'une machine sous pression, divers bruit de mécanisme s'emballant, se mettant en surchauffer. Mistrial libérer ses pensées, dévoilant qu'elle avait installer un système d'autodestruction sur son bras bionique, système qui se mettait en route. Elle n'avait pas mit d'explosif trop puissant, juste de quoi pourvoir envoyer du shrapnel dans la peau de l'annexienne et espérant pouvoir atteindre un organe vital avec.
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   Remontons le temps de quelque minute.

   Jeanne fut à son tour mise dans le conduit, et glissa à son tour dans le toboggan. Mis à part le fait bas de son corps, sans compter ses pieds et mollet, était en contact directe avec la texture organique du toboggan, son bas laisser dans l'autre pièce, recueillant un peu de substance visqueuse, ne dérangea pas Jeanne, se disant que ce n'était rien comparer à ce qui va suivre. Et effet, avant même de sortir complètement du conduit, elle fut happer par des tentacules, bloquant ses membres, des tentacules suffisamment forte et résistante pour résister à sa force.

   Rapidement, ce qui lui restait de sa combinaison fut envahit par des dizaines de tentacules, et ses peau mis à nue ne fut pas épargné, répandant la même bave. Deux grosses tentacules s'enroulèrent autour de ses seins, les pressant, les malaxant, les tirant, titillant ses tétons par des mini-tentacule, qui firent de même. Une tentacule épaisse, pénétra son intimité déjà visité par l'annexienne, mais la labourant avec plus de force, menaçant de briser son col de l'utérus, et d'une rapidité sans équal. Son fondement subit le même sort, en plus du fait que la tentacule alla profondément dans ses entrailles, les remuant violemment.

   Elle ne put retenir un hurlement de douleur, se fessant rapidement taire par une dernière tentacule qui s'enfonça dans sa gorge, dépassant sa pomme d'adamn, allant se perdre dans l'œsophage, avant de remuer avec puissance et rapidité.

   À son tour, elle subit le rythme vertigineux de la pénétration des tentacules, leur forces, leur rapidité, leur ardeur, tout en pouvant admirer le triste état de ses camarades, se fessant noyer de sperme, étouffer et perforer par des tentacules. Les larmes lui vint au yeux, des larmes de peur et de désespoir, ne voulant pas finir comme elle. Mais elle ne pouvait que gémir devant son triste destin.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 11 décembre 2014, 02:28:23
Comme d’habitude, les Tekhanes s’avérèrent très timides, n’osant pas se proposer, et il fallut bien plusieurs minutes avant que l’une d’elles ne finisse par se proposer… Mistrial (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1874510) se dévoua. C’était une belle Tekhane avec une combinaison violette, une artificière. Une femme énergique, qui accepta de se joindre à elle. Sarah, qui en était sur le point de demander à Goya, hocha la tête, satisfaite, et les tentacules libérèrent la femme. Certains étaient encore enroulés autour de son bras bionique, car Sarah savait, par le biais de Goya, qui lui avait transmis tout ce qu’il y avait à savoir sur l’escouade, ce dont elle était capable. Mistrial tomba donc à même le sol, se releva, et marcha rapidement vers Sarah, surprenant rapidement cette dernière en l’enlaçant, et en l’embrassant.

Un soupir étouffé s’échappa des lèvres de la Reine des Lames, qui frémit de bonheur. Cependant, elle n’était pas suffisamment naïve pour se douter que Mistrial n’avait pas un plan, et la prise s’exerçant dans son dos en était la preuve. Mistrial, toute fière de son plan, avait oublié le problème majeur : Sarah était une télépathe. Mains posées sur les hanches de Mistrial, elle l’embrassait goulûment, profitant des lèvres généreusement offertes de la femme, sa verge venant retrouver sa raideur naturelle, se redressant pour caresser la combinaison violette de la femme, heurtant ses hanches.

Le baiser finit par se rompre, et Mistrial susurra dans l’oreille de Kerrigan :

« J'espère que tu en a bien profité pétasse ! »

Kerrigan sentit alors la prise de la femme s’aggraver. Une poigne solide, qui l’immobilisait contre elle, tandis que son bras bionique était en train d’exploser. Mistrial avait perdu son bras en faisant sauter un bâtiment dans une ancienne cité tekhane, une cité qui abritait encore des traces d’infestation formienne. Alors qu’elle plaçait des bombes dans des endroits sensibles, des Formiens avaient précipitamment attaqué des Tekhanes, et Mistrial avait fait exploser la bombe plus rapidement que prévu. Elle avait été grièvement blessée. La chirurgie avait fait des merveilles sur son corps, mais aucune technologie chirurgicale n’avait pu sauver son bras, qui n’était plus qu’un tas de cendres. En contrepartie, elle avait été soignée, et elle comptait probablement se sacrifier.

« Oh oui, ma puce… Énormément. »

Sarah ne semblait nullement inquiète. Un sourire ornait même ses tendres lèvres. Le bras bionique devait alors exploser… Mais rien d’autre ne se produisit qu’une légère déflagration, comme si l’arme s’était enraillée. Sarah sursauta légèrement, et profita de l’effet de surprise pour frapper avec son crâne la tête de la Tekhane, la sonnant… La sonnant suffisamment pour que Sarah génère autour d’elle une onde psionique, qui forme comme un bouclier d’énergie pure, l’enveloppant, repoussant Mistrial, qui rebondit sur le sol.

« Croyais-tu donc que j’allais te laisser avec une charge explosive suffisamment puissante dans le bras pour me tuer ? As-tu donc oublié que Goya m’a dit tout ce qu’elle savait sur vous ? Que je peux lire dans tes pensées ? Tu es dans mon antre, Mistrial… La charge explosive de ton bras a été diminuée par les tentacules qui étaient en toi, et qui ont fait rentrer de minuscules parasites dans ton bras synthétique. Il conserve toute sa puissance, mais, pour ce qui est de l’héroïque sacrifice… »

C’était le plan du désespoir. Alors que Mistrial voulait peut-être se relever, un énorme tentacule jaillit du plafond, et la frappa violemment sur le flanc, la faisant décoller du sol, où un autre tentacule s’enroula autour de sa taille, et serra fort, la faisant hurler de douleur. La charge explosive était bien là, toutefois. Moins puissante que ce que Mistrial pensait, elle s’était enfoncée dans le dos de la femme, répandant des morceaux de shrapnels qui avaient entaillé son dos, la faisant saigner.

Au bout de quelques instants, le gros tentacule relâcha Mistrial, qui tomba aux pieds de Sarah. Une patte formienne jaillit alors, et frappa Mistrial à la joue, l’envoyant finalement s’étaler sur le dos, où des tentacules supplémentaires jaillirent du sol, formant comme des griffes organiques qui saisirent les bras et les jambes de la Tekhane, l’immobilisant contre le sol. Sarah se dressait au-dessus d’elle, et pencha lentement vers le corps de la femme, sa main venant tendrement caresser sa joue.

« J’admire sincèrement votre persévérance… »

Elle s’assit ensuite à califourchon sur le solide et gracieux corps de la jeune femme, son autre main venant caresser l’autre joue de la femme, griffant très délicatement sa peau.

« Vous faites honneur à votre patrie. Vous êtes aussi résistantes que je le fus quand on me vrilla l’esprit. J’étais aussi aveuglée et bornée que vous… Mais ne t’en fais pas, Mistrial, tu apprendras à désespérer… Et, dans les tréfonds de ta déprime, dans les effondrements de ton désespoir et de ta souffrance, je te rendrais l’espoir… Et tu seras mienne, petit ange… In. Té. Gra. Le. Ment. »

Elle ponctua cette phrase d’une petite tape du doigt sur son nez.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 13 décembre 2014, 12:11:08
   Jouer au kamikaze ne l'avait jamais attirer, préférant créer des drones kamikaze, des mines-araignées, des grenades liquéfiants ou préparer une charge explosif pour vaporiser un immeuble. Les explosifs, son dada, passion transmit de mère en fille, famille qui à créer bon nombre d'explosif différent pour l'armée il fut un temps ou fournir quelque petite frappes ou criminel en explosif militaire. Les explosifs dans sont bras furent ce qu'elle fit de plus faible, trop d'explosif aurait rendue son bras délicat à manipuler, trop lourd et imposant. Elle espérait avec pouvoir percé les poumons ou le cœur de cette femme. D'ailleurs cette dernière lui répondit.

« Oh oui, ma puce… Énormément. »

   Mistrial répliqua par un regard noir. Et telle un membre à part entière, elle activa l'autodestruction. Même si l'explosion parvint à détruire quelque morceau de son bras bionique, coupant son contrôle sur trois doigt et d'autre fils, ce ne fut en aucun cas ce dont à quoi s'attendait Mistrial. Son autodestruction aurait du détruire son bras, du moins l'avant bras, mais l'explosion ne causa que des dégât modérer, ne projetant pas à la vitesse voulue ses shrapnels, ne parvenant qu'a pénétrer la peau de quelques millimètres. Et pendant qu'elle contempla avec horreur que son kamikaze avait échouer, l'annexienne lui asséna un coup de tête, la sonnant si bien que Mistrial faillit tomber à la renverse, commençant à tomber en arrière, avant de se sentir expulser, l'envoyant à terre.

« Croyais-tu donc que j’allais te laisser avec une charge explosive suffisamment puissante dans le bras pour me tuer ? As-tu donc oublié que Jade m’a dit tout ce qu’elle savait sur vous ? Que je peux lire dans tes pensées ? Tu es dans mon antre, Mistrial… La charge explosive de ton bras a été diminuée par les tentacules qui étaient en toi, et qui ont fait rentrer de minuscules parasites dans ton bras synthétique. Il conserve toute sa puissance, mais, pour ce qui est de l’héroïque sacrifice… »
-Aaah et..... bas tant pis... j'aurais tenter....Commença Mistrial avant de parler à voix basse. Putain de merde...

   Elle n'avait pas penser à ça, ni au fait que son bras serait parasiter et plus précisément ses petites charges. Voulant se relever, une tentacule surgit et la frappa sans crie-égard, encaissant le coup sans avoir le temps de s'en protéger. Elle fut soulever du sol, et sentie un craquement, sans doute une de ses côtes qui c'était fêler, avant d'être attraper par la taille par un deuxième tentacule. Elle stoppa sa course et la serra si fort, qu'elle crue qu'elle allait être broyer et cria de douleur, voulant sans débarrasser, elle constata que son bras bionique était hors-service, de sa mains, seule l'index et le majeur fonctionnaient, le deuxième à moities et que l'articulation du coude émit un sons de protestation l’empêchant de pouvoir le plier complètement, juste à moities. Si elle n'avait pas retirer ses plaques agissant comme carrosserie et protection, les explosions n'aurait pas put les traverser et les dégât aurait été plus graves.

   Puis après quelque instant, la tentacule la relâcha, le laissant tomber au pied de l'annexienne, avant qu'une autre tentacules ne la frappe au visage pour la mettre sur le dos. Quatre tentacules surgirent du sol, avant de s'abattre sur ses membres, la bloquant, et broyant un peu son bras bionique, qui émit un grincement de protestation. Mistrial regarda l'annexienne qui se dressait au dessus, la narguant de sa hauteur et de son échec. Elle lui caressa la joue en se penchant, et Mistrial secoua la tête pour y échapper.

« J’admire sincèrement votre persévérance… »
-Admire plutôt mon vagin, y a que ça qui t'intéresse salope ! Lui cracha Mistrial

   Elle la regarda se mettre à califourchon sur son ventre, vaincu, son sacrifice inutile. Sans explosifs ou lance grenade, elle n'est pas très puissante et l'annexienne recommença ses caresses, avant de se remettre à parler.

« Vous faites honneur à votre patrie. Vous êtes aussi résistantes que je le fus quand on me vrilla l’esprit. J’étais aussi aveuglée et bornée que vous… Mais ne t’en fais pas, Mistrial, tu apprendras à désespérer… Et, dans les tréfonds de ta déprime, dans les effondrements de ton désespoir et de ta souffrance, je te rendrais l’espoir… Et tu seras mienne, petit ange… In. Té. Gra. Le. Ment. »

   Ignorant la tape sur son nez, Mistrial enchaîna.

-Déjà arrête de me caresser, j'suis pas un putain d'ours en peluche et je ne suis pas, et très loin de l'être, ton ange ! Ensuite à part avoir un grande gueule et nous répéter ce qu'on sait déjà, tu peux pas changer de disque ou faire autre chose ? On sait qu'on va morfler et qu'on voudra rien d'autre que mourir, laisse nous au moins le plaisir d'essayer de te tuer ! Et mon honneur sur ma patrie tu peux te le foutre bien profond ! Je m'en fou de cette patrie ! Arrête de rabâcher qu'on est fidèle a nos serments et tout le bordel ! Si j'avais pas perdue mes camarades et mon bras, je serais toujours dans la contrebande d'explosif et de vendre mes joujoux aux racailles de Tekhos, le voilà mon honneur ! Hurla presque Mistrial, avant de lui cracher dessus.

   Malgré sa position, Mistrial se montrait agressif et hostile. Sarah kerrigan aurait put être sa mère qu'elle l'aurait traiter de la même manière.

-Et je m'en branle complètement de ton vécu ou de ton combat pour rester humaine, t'es même pas humaine, alors n'essaye pas de partager tes sentiments avec nous ! Si j'essaye de te buter, c'est uniquement parce que c'est tout ce que je peux faire ! Ni pour Tekhos, ni pour un quelconque serment de merde ! Continua Mistrial, le ton menaçant et colérique. Alors maintenant arrêter de faire chier et fait ce que tu veux faire depuis le début !

   Voilà, tout est dit, Mistrial venait de crier sa rage et sa frustration, attendant que l'annexienne la pénètre.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 15 décembre 2014, 01:48:19
Le postillon de Mistrial sur sa joue laissa Kerrigan totalement indifférente. Un sourire se contenta de perler sur ses lèvres violettes, tandis que Mistrial continuait à la haranguer. Elle voulait en finir, certifiant qu’elle n’était pas comme ce que Kerrigan pensait, et que l’Annexienne n’obtiendrait jamais ce qu’elle voulait. Quand Mistrial eut terminé sa longue phrase, la Reine des Lames souriait à nouveau, et sa main alla caresser la joue de la Tekhane, griffant légèrement et tendrement sa peau.

« Mais c’est ce que je suis en train de faire, ma chérie... »

Elle se pencha vers elle, et posa sa main sur son front, plaquant sa tête contre le sol. C’était un sol mouvant, dangereux, qui était comme un organisme vivant. Une sorte de gelée avança sur le cou de Mistrial, ainsi que sur la base de ses joues, bloquant son corps, l’empêchant de trop remuer la tête. Sarah l’embrassa alors sur les lèvres, délicieusement. Elle aurait pu provoquer Mistrial, elle aurait pu violer une autre Tekhane pendant qu’elle droguait Mistrial, afin de la punir de sa provocation, mais Sarah savait y faire. Elle l’embrassa pendant quelques secondes, et rompit le baiser, soupirant tendrement, sa verge caressant l’uniforme moulant de la Tekhane. L’artificière était en train de lui expliquer qu’elle ne se battait pas vraiment pour Tekhos, mais qu’elle était soldate parce qu’elle n’avait pas eu le choix. Kerrigan savait que l’armée offrait souvent, selon les infractions commises, aux prisonniers de purger leur peine en servant sous la bannière. C’était le cas ici, apparemment.

Sarah rompit donc le baiser, et posa ses mains sur les épaules de la femme, puis remua un peu son corps. Elle déplaça l’une de ses mains, et griffa son uniforme, libérant l’accès à son intimité.

« Bientôt, tu réaliseras toute la chance que tu as d’être ici, ma chérie... Et tu réaliseras ici que tu as d’autres fonctions que mourir... Surtout quand un a un corps aussi joli que le tien. Maintenant... Passons aux choses sérieuses. »

Elle pinça l’un de ses lourds seins, à hauteur du téton, et la pénétra ensuite. Comme d’habitude, sa verge se pilota d’elle-même. Des tentacules jaillirent de son sexe, se posant contre l’uniforme de la femme, faisant office de ventouse, permettant ainsi de rapprocher sa verge, qui s’enfonça d’elle-même dans l’intimité de la femme. C’était une belle queue, dure et tendue, et Sarah se mit à remuer, tout en malaxant le sein gauche de Misitrial, le pinçant à travers ce costume moulant. Son téton se mit à pointer, et elle le coinça entre deux doigts, déplaçant ce dernier, le remuant dans tous les sens. Tout en faisant cela, sa bouche venait embrasser son cou, embrassant, non pas directement sa peau, mais son uniforme, léchant tendrement ce dernier. Plus Sarah goûtait à ses femmes, et plus elle aimait ça... Sentir leur uniforme, ce mélange de cuir, de latex, et ces autres textures contre son corps, voilà qui était vraiment exquis. On aurait pu croire que la Reine des Lames aurait pu finir par se lasser, à force de butiner ainsi des culs et des corps, mais chaque nouvelle femme qui passait entre ses mains était comme une nouvelle expérience, et elle les baisait à chaque fois joyeusement, finissant par les tringler violemment.

L’énergie de Mistrial allait lui être utile, car elle allait avoir de quoi en revendre dans les moments à venir. Sarah la prenait, lourdement, passionnément, et il lui fallut un long quart d’heure de coups de reins intense pour qu’elle finisse par jouir, s’abandonnant en soupirant longuement dans son corps. La Reine des Lames se déversa dans son corps, longuement, joyeusement, balançant de multiples giclées de foutre.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Elle termina cet élan par un long et langoureux baiser sur la bouche de Mistrial, une main venant agripper ses cheveux, la gelée recouvrant partiellement sa tête se rétractant pour permettre à sa main de saisir les cheveux trempés de la femme, et de l’embrasser longuement. Un baiser sonore, claquant. Même si Mistrial la mordait, ceci ne ferait qu’exciter davantage Sarah, qui se pressait contre elle. Le baiser dura presque aussi longtemps que le coït, le corps de l’Annexienne ondulant lentement contre le sien. La femme ne s’y trompait pas. Bientôt, ces femmes qui la haïssaient allaient adorer la revoir. Mistrial n’avait absolument aucune idée de tout ce qui l’attendait là-derrière, de tout ce qu’elles allaient endurer... Et, rien qu’à y songer, Sarah en frissonnait de plaisir. Oh oui, ce serait un programme merveilleux !

Rompant le baiser, un mince filet de salive relia les deux femmes, que Sarah balaya d’un revers de sa langue. Elle se redressa ensuite, libérant le corps de la femme, en lui souriant à nouveau.

« Allez... Va donc jouer avec tes copines, Mistrial... »

Plutôt que d’envoyer un tentacule pour l’avaler, le sol se mit à l’avaler. Mistrial fut en effet progressivement recouverte par le sol, jusqu’à ce que ce dernier l’avale, confirmant, encore une fois, le caractère extrêmement organique et mouvant de la Fourmilière. Mistrial disparut, et fut emmenée vers le Monstre formien.

Une de plus... Sarah se redressa donc, observant les jeunes femmes toujours immobilisées.

Qui serait la prochaine ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 17 décembre 2014, 19:11:41
« Mais c’est ce que je suis en train de faire, ma chérie... »

   Abasourdit et énerver, voilà comment était Mistrial. Abasourdit par le fait que l'annexienne n'avait rien fait après qu'elle l'ait insulter et cracher dessus, et énerver pour la même raison. Elle n'avait reçu en retour qu'un sourire et une réplique qu'elle jugea merdique. Un sourire qui pouvait être aussi bien goguenard, sadique ou victorieux que Mistrail ne savait pas le quels exactement et ça l'énerver. Elle pouvait au moins l'insulter, la menacer, lui lancer un regard noir ou qu'elle s'offusque ! Tout mais qu'elle fasse autre chose que de lui tirer un sourire de merde ! Mistrail n'arrivait pas à savoir comment réagir fasse à ce sourire, hésitant à lui crache dessus à nouveau car apparemment ça ne la dérange pas, se foutre de sa gueule peut être qu'elle réagirait ou l'insulter de toute les manière possible elle semble s'en foutre royalement !

   Mistrial regarda sa bourreau se pencher vers elle, se demandant ce qu'elle allait faire. Elle ne fit que plaquer sa tête sur le sol, ce qui la poussa à pousser un soupir d'exaspération, s'attendant à autre chose. Elle sentie quelque chose glisser sur sa tête et son cou, c'était visqueux et un peu chaud. Mistrial réalisa que ça venait du sol et que ça l’empêcher de bouger la tête, et ce fut à ce moment que l'annexienne l'embrasa. Mistrial fut exaspérait, énerver et dégoutter. Elle avait l’impression que l'annexienne la prenait pour une simple enfant, une personne qui ne savait pas ce qu'elle fessait et qui fallait dorloter. Elle ne pouvait se soustraire à ce baiser, bloquer et prise au dépourvue, elle ne répondit pas aux baisser, cherchant à ce faire vomir, sans y parvenir. Elle aurait presque envie de pleurer, cette femme ne fessait que jouer, alors que ses camarades et elle se battait pour vivre, pour rester libre et ne pas vivre dans cet enfer. Mais elles se battaient pour rien, juste pour l'amuser et lui donner envie.

   Quand l'annexienne rompit le baiser, ce fut un soulagement pour Mistrial, même si la sentit remuer sur elle, ne lui plaisait pas. Elle crachat sur le côté, montrant ce qu'elle en pensait de ce baiser. Elle sentit la main de l'annexienne découper sa combinaison au niveau de son intimité.

« Bientôt, tu réaliseras toute la chance que tu as d’être ici, ma chérie... Et tu réaliseras ici que tu as d’autres fonctions que mourir... Surtout quand un a un corps aussi joli que le tien. Maintenant... Passons aux choses sérieuses. »
-Mais ta pas comprit ou.. oh et puis merde. Grogna Mistrial.

   A ce moment, l'annexienne pinça un de ses tétons, en même temps qu'elle la pénétra d'un coup. Si les autres avaient eu mal avec l’imposante verge de l'annexienne, Mistrial n'émit aucun son, si ce n'est qu'un gémissement, suivit d'un souffle. Son vagin s'habitua rapidement au diamètre de l’intrus, preuve qu'elle avait sans doute connue une présence de même gabarit. L'annexienne allait voire que Mistrial allait être plus résistante que les autres, qui étaient trop sensible ou parce que ce fut leur première fois.

   Mistrial n'était pas à sa première fois et savait plutôt bien se maîtriser durant ces moments, si sont corps pouvait céder, son esprit serait une autre affaire,. Mistrial ne prenait plaisir qu'avec ceux qu'elle apprécie et si elle à envie. Et en l’occurrence, l'annexienne n'avait aucun des deux. Mais cela ne l'empecher pas de s'enfoncer avec vigueur et ardeur au plus profond de Mistrial, sa bite touchant le col, le heurtant avec force, raclant les parois sec, les humidifiant par la quantité de mouille, de cyprine et de sperme qui était encore dessus, et par la mouille de Mistrial qui fessait de faible et timide apparition. Les coups de bassins soulevaient et secouer le corps de Mistrial, qui ne pouvait que grincer des dents pour ne pas hurler sa rage et ne pas pousser de gémissement, le plaisir naissant lentement et faiblement.

   Son seins n'était pas laisser de côté, devant subir la torture que lui infligaient les doigts de l'annexienne, tirant dessus, le compressant, tournant dessus. Ses tétons se durcirent et pointèrent, celui entre les doigts de l'annexienne, subit d’incessant manège, allant à droite puis à gauche, s'enfoncer dans le seins, puis se tirer vers le plafond. Mistrial respirait rapidement et expirait lentement, gardant le contrôle de son corps, même si elle ne pouvait supprimer le plaisir, elle pouvait le contrôler. L'annexienne l'embrassa à nouveau, au cou cette fois, léchant son uniforme. Mistrial sentit la langue de l'annexienne a travers sa combinaison, ce qui était gênant, pourquoi es qu'elle avait des combinaison aussi fini et moulante ? Elle se posa pour la première fois cette question.

   Et cela dura encore longtemps, Mistrial résista, ne poussa aucun crie, que des gémissement sous les coups, une souffle chaud, le corps secouer des pénétration dans son vagin lubrifier correctement par ça mouille après un moment. L'annexienne y allait avec toujours autant d'ardeur, comme à chaque soldates qui passaient. Puis après de longue minute, l'annexienne donna un dernier coup, le plus fort de tous, manquant de traverser son col, se vidant en Mistrial remplissant son utérus, sonn foutre heurtant la parois d'en face, avant de couler, et de recevoir un nouveau jet de foutre, s'écrasant dans le sperme déjà présent, le tout en hurlant. Mais Mistrial, elle, elle ne jouit pas.

   L'annexienne embrassa à nouveau Mistrial, qui sentant la geler partir, tenta de se dérober au baiser, mais la mains de l'annexienne l'en empêcha et ayant plus de force qu'elle, Mistrial ne put s'y soustraire. Leur corps se frottant, la verge toujours en elle, telle une épée dans un fourreau, le baisser dura longtemps, Mistrial tenta de le briser, l'annexienne empêchant ses tentatives de fuites. Elle tenta même de mordre les lèvres de l'annexienne, mais qui rester hors de porter de ses dents, ses lèvres prisonnières de celles de l'annexienne. Ce fut après un long, très long moment que l'annexienne rompit le baiser, un filet de bave reliant les deux bouches, puis elle se retira d'elle, un filer de sperme reliant la verge et le vagin, avant de se rompre et revenir sur la verge t-elle un élastique.

« Allez... Va donc jouer avec tes copines, Mistrial... »
-Fou toi de ma gueule ! C'est pas un bac à sable où je vais que je sache !

   S'attendant à voir les tentacules apparaître, Mistrial paniqua un peu quand elle se sentie disparaître dans le sol, de sentir cettte texture organique l'aspirer et la recouvrir lentement. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait pas ce débattre. Même si elle savait que l'annexienne ne cherchait pas à la tuer, cela ne l’empêcha d'avoir peur.

   Toujours coincer dans leur alcôve, les autres regardèrent effarer Mistrial disparaître peu à peu dans le sol, ses membres disparaissant en premier, puis le bassin, les épaules, le ventre puis la tête, ne laissant que le buste, qui fut engloutit par le sol. Et comme à chaque fois, la même situation, l'annexienne attendit que l'une d'elles se dévouent. Mais cella ne viendra pas, l'annexienne pouvaient constater que les mentalité avaient changer. Au début elles étaient effrayer et apeurer, maintenant, elles sont terroriser et désespérer.

   De l'espoir, il n'en rester que flamme, mais une flamme mourante sur le point d'expirer à tout moment, Tirch, un espoir qui tenait plus de l’illusion et du désespoir que de l'espoir lui même. Tirch commençait elle même à paniquer sur son sort, elle qui depuis le début était aussi insensible face au sort de ses camarades. Avant que Mistrial n'intervienne, l'espoir ne se reposer plus sur Mistrial ou Tirch, mais aussi sur des armes secrètes, du moins pour certaine. Quand l'annexienne dit à Mistrial qu'elle savait pour son bras et qu'elle diminuer la puissance, ces espoirs c'étaient évanouit, l'annexienne ayant sûrement retirer leur dernière armes.

   Shield avait deux petites dague énergétique au avant bras, et Ilinia des couteaux de lancer dans des compartiment secret dans son armure au niveaux des mollets, contant s'en servir pour essaye de se suicider et d'emporter avec elles, d'autre de ses camarades. Aucune ne se dévoua, au bord des larmes, au portes du désespoir, laissant ainsi à l'annexienne le choix de sa futur proie.
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   Ce faire avaler par le sol fut une expérience bizarre et atroce, c'est comme-ci elle s'était faite avaler par un géant, et qu'elle glissait dans le colon. Elle ne voyait rien, elle était serré, n'ayant peu de place pour se déplacer, ne pouvant même pas mettre son bras sur son torse, mais elle glissait entre les parois. La glissade dura un moment, jusqu'à ce qu'elle soit expulser de force, de la texture organique. Elle tomba du plafond droit vers le monstre, dont les proportions remplissait entièrement la salle, si bien que Mistrail était déjà au cœur des tentacules avant de s'en rendre compte.

   Et comme les autres, des dizaines de tentacules entrèrent dans son combinaison, deux grosses tentacules s'emparèrent de sa poitrine avant de commencer à les malmener, un autre pénétra son vagin et un dernier découpa sa combinaison pour atteindre son cul, dont le troue fut lubrifier, avant d'être pénétrer par une tentacule énorme, qui malmena ses entrailles. Mais aucune ne pénétra sa bouche, la qu'elle était solidement fermer, les dents serrer, si fort que Mistrial cherchait à les briser pas la pression. Une tentacule passa entre ses lèvres et tapa contre ses dents, cherchant à entrer dans sa bouche, sans succès. Pour rien au monde, Mistrial ouvrirait la bouche ! Même quand elle aperçut ses camarades, elle garda la bouche fermer respirant travers ses dents, pour ne pas à supporter l'odeur du sperme qui emplissait la salle.

   Des aiguilles se plantèrent dans son cou, diffusant un aphrodisiaque, pour la faire céder. Mais Mistrial ne céda pas, gardant la bouche fermer. Pourquoi fessait t-elle ça ? Pourquoi ne pas abandonner ? Mistrial refuser d'abandonner, refuser de donner satisfaction, préférant mener un combat sans raisons et sans chance de réussite que d'abandonner pour les mêmes raisons.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le vendredi 19 décembre 2014, 01:36:08
LE MONSTRE

Recevoir un nouveau compagnon de jeu, ou, plutôt, une nouvelle compagnonne, était accepté avec plaisir par le Monstre, car c’était le signe qu’il allait encore pouvoir continuer à se faire plaisir. Il avait après tout dû abandonner l’une de ses proies, et sentit que la nouvelle arrivante était endurante, résistante... Un corps solide et ferme, qui permettrait de pondre de beaux bébés. Comme pour les autres, les tentacules fondirent sur elle, tentant de la briser... Mais la femme résista, refusant de desserrer les lèvres, d’accepter un tentacule dans sa bouche. Cette résistance inattendue agaça le Monstre, car il avait reçu des ordres précis. Deux tentacules remuaient dans ses entrailles, d’autres pompaient ses généreux seins. Mine de rien, et même si les Tekhanes ne devaient pas le remarquer, le Monstre s’adaptait en fonction des femmes qu’il avait, certaines étant plus résistantes que d’autres. Concrètement, il n’y avait pas énormément de différences, mais, dans la tête du Monstre, il y avait des traitements différents. Par exemple, il avait été un peu plus doux avec Shiranui qu’il ne l’était avec Mistrial, car il sentait que cette femme était plus puissante. Ainsi, tandis que bras et jambes de la femme étaient maintenus par des tentacules gluants, et qu’un autre s’enroulait autour de son torse, des aphrodisiaques supplémentaires furent versées... Des toxines concentrées, qui avaient pour but d’augmenter sensiblement la production d’hormones et d’endorphines. L’objectif était double : augmenter considérablement la frustration du sujet, tout en renforçant énormément le plaisir ressenti. Si les Formiens avaient eu un sens du commerce, ils auraient depuis longtemps revendu leurs toxines. Des drogues d’endorphines auraient été de parfaites drogues du viol, dans la mesure où les endorphines étaient des neurotransmetteurs chargés de véhiculer la sensation de bonheur faisant suite à un orgasme. Cette sensation se définissait concrètement par une sensation de vertige, de plénitude... L’expression « flotter comme sur un nuage » prenait ici tout son sens.

Le Monstre déployait ses instruments, et une verge heurtait les lèvres de la femme, un tentacule dont l’extrémité profilée évoquait une verge. La résistance de Mistrial était admirable, mais, pour le Monstre, elle était vaine. Les tentacules qui immobilisaient Mistrial se serrèrent davantage afin d’obtenir ce qu’il voulait. Son objectif était de toutes les baiser, de les défoncer méchamment et totalement. Il fallait les briser, les transformer en loques, les muer en putes ne demandant qu’à se faire sauter. C’était là l’objectif du Monstre, et il était prêt à utiliser tout ce qu’il possédait en stock : drogues, injections, stimulants, séances intensives de viols sauvages et frénétiques. Non, le Monstre n’abandonnerait pas, car ce n’était tout simplement pas dans sa nature.

Et, tandis que la femme résistait, d’autres tentacules arrivèrent, et commencèrent à fouetter son dos, frappant fort. Trois tentacules tapaient ainsi régulièrement son corps, les tentacules fouettant parfois ses fesses. Elles étaient toutes vaincues. Plus vite ces femmes l’admettraient, et plus simple ce serait.



SARAH KERRIGAN

Pourquoi ne comprenaient-elles pas ? Pourquoi ne comprenaient-elle pas comment Sarah Kerrigan fonctionnait ? Mais, d’un côté, pouvait-on sincèrement le leur reprocher ? Kerrigan elle-même avait du mal à comprendre son fonctionnement. Elle était une Formienne, oui, son esprit était connecté à celui de la Nuée, à celui de la Flotte-ruche, mais elle se souvenait clairement de son ancienne existence, en tant qu’humaine, en tant que Psyker, puis que Ghost, aux services d’individus qui n’avaient fait qu’abuser d’elle au cours de son existence. Pourquoi aidait-elle la Nuée ? Était-ce parce que, sans s’en rendre compte, elle était toujours manipulée par l’Overmind ? Elle savait avec précision ce qu’Abathur lui avait fait. Le technogénéticien ne pouvait pas lui mentir, et il lui avait envoyé des visions mentales, lui permettant de revoir, en intégralité, le traitement qu’elle avait subi. Abathur l’avait enfermé dans un cocon où elle avait été transformée, améliorée. Les Tekhanes ne voulaient pas comprendre... Sarah n’était pas manipulée, non, même s’il lui arrivait parfois de douter. Elle savait que l’humanité avait peur du changement, et vivait dans la grande illusion de la liberté. Ils pensaient, à tort, que la liberté était l’ultime objectif à atteindre. Cependant, al liberté était une erreur, une impasse, car elle autorisait les individus à faire tout ce qu’ils voulaient, en négligeant une réalité fondamentale : l’être vivant n’existait qu’au sein d’une collectivité, qu’au sein d’une communauté soudée, où chaque individu aurait une tâche utile pour la collectivité. Les Formiens étaient une utopie, celle d’une société parfaite et unie, une société où toutes les tâches superflues n’existaient pas, comme le droit, la politique, la police... Il n’y avait pas de crime, pas de chômeurs, pas d’ouvriers inutiles. La Fourmilière était le paradigme de la méritocratie et de l’utilitarisme, les boulets et les poids morts ne pouvant pas être admis. Ces Tekhanes refusaient de le comprendre.

Pour l’heure.

Sarah les observa donc, son sexe dressé, raide, comme si l’appétit sexuel de Kerrigan ne souffrait d’aucune limite, et ignorait la fatigue. Elle sentait peu à peu le désespoir pointer. Elle voulait les briser, les détruire, afin de les reconstruire... Comme on l’avait fait avec elle. Certaines seraient plus faciles à briser que d’autres, et, alors que Sarah les observait, elle pouvait déjà sentir les lignes de faille, les points de rupture de certaines. Son regard observait chacune d’entre elles. Des femmes magnifiques, fortes, endurantes, servies dans de beaux papiers-cadeaux. Elles ne demandaient qu’à se faire défoncer en tout sens, et Kerrigan était là pour ça... Là pour y veiller.

« Hum... Hummm... Si belles, et tellement timides... Mais je pense avoir trouvé notre gagnante. »

Les tentacules d’une alcôve se soulevèrent alors, et se retirèrent, libérant une femme qui tomba sur le sol. Une fétichiste qui adorait les combinaisons moulantes, et qui avait d’ailleurs uniquement rejoint l’armée pour ça... Ania (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1699002). Sa combinaison rose était un véritable appel au viol... Et dire qu’elles osaient ensuite prétendre ne pas vouloir coucher avec elle.

« Alors, comment vais-je te prendre, toi, Ania ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Dis-moi tout... »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 20 décembre 2014, 13:49:31
   Un espoir vacillant, le désespoir dans l'âme, la tristesse et la peur dans le cœur, l'esprit pessimiste et perdue. T-elle était les sentiments partager par les membres de la Delta S, depuis le début elles n'avaient aucune chance, mais elles se sont bercer d'illusion, plutôt que d'affronté la réalité, pensant que les plus fort de la Delta S pourrait les sortir de là, ne constatant en retour que leur impuissance, pourquoi encore croire en Tirch, si les autres on échouer ? Parce que l'espoir est fort malgré tout, les empêchant de sombrer définitivement dans le désespoir, aussi mince soit t-il, l'espoir qu'elles entretenaient, était comme une petite flamme dans les ténèbres, la seule chose qui leur rester.

   Mourir leur étaient impossible, l'annexienne fessant tout pour l'en empêcher, fuir était aussi inimaginable que de la neige dans un volcan, implorer pitié était pire qu'une perte de temps, aucune aide était possible en ces lieux, rien d'autre que la volonté de l'annexienne. Cette espoir, était tout ce qui leur restait, leur pensée était écouter par l'annexienne, leur vie connue de cette dernière, elle connaissait tout d'elles, elles ne pouvait rien cacher à l'annexienne, leur vie, n'étaient même plus la leur, seulement sous la volonté de l'annexienne, leur destin était dans les mains de l'annexienne, pouvant le modeler de mille et une façon. Elles n'étaient plus rien, l'annexienne ayant tout prit.

   Ania fut choisit, cette dernière pleura silencieusement, l'espoir qu'elle avait en Tirch, disparue, ne pouvant plus l'alimenter, étant condamner. Elle tomba de son alcôve, mais resta à terre, se collant contre la parois visqueuse du bas de son alcôve, regardant de ses yeux apeuré l'annexienne, qui ressembler à un géant, sa puissance se ressentant. Ses excroissances, t-elles des ailes squelettique, se dressèrent de par et d'autre de son dos, lui donnant l'aspect d'un ange déchu.

*Un ange du désespoir, de notre désespoir* Ne put s’empêcher de penser Ilinia, en repensant à une histoire que lui avait raconter sa mère.

   La tentacule bloquant la bouche d'Ania se retira, lui permettant de parler, mais elle ne fit que trembler de la bouche cherchant à disparaître dans le mur.

« Alors, comment vais-je te prendre, toi, Ania ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Dis-moi tout... »

   La peur au ventre, elle ne dit rien, se contentant de regarder l'annexienne. Le choix, voilà qu'elle lui laissa, le choix de son viole, alors qu'elle n'avait pas eu le choix de vivre ici ou à Tekhos. Que cherchait t-elle ? Ania ne saurait répondre à cette question, pas plus qu'elle ne savait pas quoi choisir, voulant juste retourné à Tekhos, un souhait qui tenait plus de la folie que de l’illusion, une folie que de vouloir l'impossible, l'inimaginable. Tremblant, les yeux pleins de peur, l'esprit pessimiste, le cœur lourd, elle réfléchit sur son choix. Que pouvait t-elle faire d'autre ? Rien. Mais elle ne voulait pas se faire violé, pas plus que de vouloir choisir. Ne pouvant donc choisir, c'est d'une voix briser et triste qu'elle annonça :

-Comme mes amies avant moi.

   Sont choix ? Un viole simple, sans retenue, comme pour ses amies, décidant de partager ce qu'elles subirent. C'était stupide comme choix, mais c'était le seule qui lui allait. Ses camarades restant ne comprenait pas trop son choix, mais elles auraient fait pareil, ça changer quoi de toute façon ?
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   C'était une torture. Le monstre lui avait injecter de l'aphrodisiaque, mais apparemment ça ne lui suffit pas. Tandis qu'elle était mise en étoile, que deux tentacules perforaient son corps et une multitude s'amuser sous sa combinaison et avec ses seins, une autre vint s'enrouler autour de sa taille, l'empéchant de trop bouger et de serrer fort, comme cherchant à la faire vomir. D'autre tentacule à aiguille se plantèrent dans son cou, déversant de nouvelle dose d'aphrodisiaques, plus puissance et Mistrial le ressentit rapidement. Elle se mit à mouiller comme une fontaine, son esprit fut rapidement embrumer par des vapeur d'aphrodisiaque, elle n'arrivait plus à pensée clairement, ses pensées remplit de milliers d'images si perverse que même les formiens ne saurait les réaliser, elle perdit la notion d'espace, ne parvenant même plus à se situer, ni savoir où était sa tête ! Son corps était plus ardent que la lave d'un volcan, son intimité rivaliser à avec celle de l'enfer ! C'était le pire des supplices et des tortures, même les tentacules qui ravageait ses troues, étaient très insuffisant pour satisfaire ses pulsions sexuelles qui germaient et qui prenaient de l'ampleur !

   Ce plaisir si intense, si fort, la fessait gémir si fort qu'elle en avait mal, des cries étouffer sortait de sa bouche, dont les mâchoires toujours fermer, qui comme bloquer, refusèrent de s'ouvrirent. Les tentacules la retenant se serrèrent, ses membres comprimaient. Ce qui fut un véritable supplice pour son bras bionique, qui sans ses protections, se vit broyer, les circuit se brisant, la structure métallique, retenant le tout fut écraser sur les composant, les achevant. Son bras n'avait maintenant plus de raison d'être, complètement démolit.

   Puis vinrent les coups, des tentacules la fouettant, fessant bouger son corps aux rythme des coups, en plus de celles la pénétrant. Une verge se présenta à ses lèvres, mas les mâchoires ne s'ouvrirent pas pour autant. Elle ne savait plus pourquoi elle la gardait fermer, son esprit tellement engloutit par le plaisir, ses pensées perduent dans une tempête de désir et d'envie. Cela dura encore un moment, avant qu'elle n'ouvre la bouche, la tencule s'engouffrant dans sa bouche, heurtant le fond de sa gorge et d'aller dans son œsophage, avant de faire de puissant et rapide allers-retours, sa gorge se gonflant et se dégonflant à vitesse vertigineuse. Elle résistait, mais elle n'avait fait qu'empirer ses conditions.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 23 décembre 2014, 01:48:16
LE MONSTRE

Le Monstre était incapable d’apprécier le niveau de résistance de cette femme, ou de comprendre ce qu’il signifiait. Tout cela appartenait pour lui à des notions inconnues. Seul le sexe dominait son existence... Le sexe, et les ordres de sa Reine. Il était incapable de se poser des questions, ou de réfléchir sur ses actions. Les Formiens étaient une ruche se composant de différentes strates sociales, variables et multiples. On trouvait de simples ouvriers, des Formiens incapables de réfléchir, et qui, dans une société humaine parfaite (d’un point de vue formien), correspondraient aux pauvres, aux ouvriers, à tous ces gens nécessaires pour leur apport physique, et à qui on ne demandait pas de réfléchir. Ils ne réfléchissaient donc pas, et le Monstre appartenait à cette catégorie. Plus on montait dans les strates, et plus on avait de Formiens intelligents, capables d’élaborer des raisonnements, jusqu’à atteindre les Annexiens, l’ultime strate sociale avant l’Overmind. En somme, la société formienne était une société de la perfection, une société où chaque individu avait des fonctions prédéfinies, et était incapable de s’en arracher. Les Formiens rebelles étaient considérés comme des erreurs, des dysfonctionnements liés à la multitude du patrimoine génétique formien, et éradiqués en conséquence. Le libre-arbitre était une notion prescrite au sein d’une Ruche. Obéir, voilà quelle était la fonction des Formiens. Pourquoi se révolteraient-ils ? En retour de leur obéissance, ils connaissaient un bonheur diffus, immense et intense, au service d’une cause commune, collective... Celle de la Nuée.

Et le bonheur, c’était bien tout ce que le Monstre sentait. Il avait usé de toutes ses ressources, et Mistrial avait fini par céder. Dès que sa bouche s’ouvrit, il enfonça un gros tentacule dans sa bouche, violant sa gorge. En d’autres circonstances, elle aurait vomi, car une sensation de haut-le-cœur serait remontée dans tout son corps, mais les drogues et les injections formiennes faisaient leur effet. Elle ne pouvait que subir, et il continua malgré tout à la fouetter, mais en donnant des coups plus légers. Toutes ces femmes se faisaient plaisir en son sein, et le plaisir était peu à peu en train de les noyer. Il suffisait de voir Mixim pour le réaliser. La belle était partie depuis longtemps, et les tentacules grouillaient autour d’elle, l’enfermant dans un épais cocon tentaculaire, d’où, parfois, quelques doigts s’échappaient. Mistrial étant plus têtue que les autres, le Monstre avait dû augmenter les doses. Il était en train de la défoncer sans ménagement, chacun des tentacules remuant lourdement en elle, la douleur n’étant plus qu’une couche supplémentaire du plaisir.

Bien évidemment, le Monstre jouissait. Fréquemment, fertilisant à chaque fois les graines qui poussaient dans les ventres de ces petites femmes. Elles étaient endurantes, solides, et produiraient toutes de magnifiques bébés. C’était tout ce qu’on attendait d’elle.

Pour le moment, en tout cas.



SARAH KERRIGAN

Ania était effondrée, bien loin de la résistance de Mistrial, et semblait sur le point de pleurer. Kerrigan trouvait cette image touchante. Elles se refusaient à voir l’immense cadeau que Sarah était en train de leur fournir, étant encore engluées dans leurs préjugés tekhans, dans une éducation ratée qui leur faisait croire que l’individualisme était une vertu. L’être vivant n’était rien sans les autres, et, ça, les Formiens l’avaient compris mieux que personne. Ils accomplissaient juste cette notion comme elle devait l’être, en  harmonie avec la Nature. Ils n’en étaient que l’expression, le moteur de l’évolution.

La jeune femme avec la belle combinaison rose ne chercha pas à se battre, ni même à choisir. Sarah sourit donc, et s’approcha d’elle, caressant l’une de ses joues. Oui... Cette petite ne chercherait pas à se révolter. Elle serait rapidement brisée, et c’était tant mieux.

« J’aime la couleur de ta combinaison... Ce serait dommage de la déchirer, elle te va si bien. »

Sarah posa sa main sur son menton, et se pencha contre elle, venant tendrement l’embrasser. Sa main était douce, tout en étant aussi ferme et aussi solide qu’un étau. Sa langue fila dans la bouche de la belle Ania, qui semblait complètement tétanisée. Sa peur était agréable à voir, et Sarah l’embrassa assez longuement, venant la plaquer contre le mur. Un mur qui se mit à agir comme une espèce de glu, en retenant l’uniforme d’Ania, et, partant de là, son corps. Sarah continuait à l’embrasser, sans relâche, maintenant ainsi un long baiser, sa langue filant dans la bouche de la femme. Elle jouait avec la sienne, et ses mains caressèrent les hanches de la femme, sa verge ne tardant pas à caresser sa fente intime.

« Passons aux choses sérieuses, ma belle... »

Les pattes dans le dos de Sarah se redressèrent, et allèrent se plaquer dans le mur, à gauche et à droite d’Ania, dans le but de l’encercler... Puis Sarah écarta les jambes de la femme, et la pénétra d’un coup sec, s’enfonçant dans son vagin, commençant ensuite ses pénétrations brutales, se faisant relativement lente au début.

« Tu es à moi, ma puce... Alors, hurle ! »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le jeudi 25 décembre 2014, 23:19:13
   La peur était son geôlier, le désespoir son bourreau, l'un l’empêcher de bouger ou de s'opposer à l'annexienne qui allait la violé, l'autre attendait le moment pour donner le coup fatal, celui qui la fera sombrer définitivement, celui donnera à l'annexienne le loisir de faire ce qu'elle veut de son corps et de son esprit. Ania ne pouvait rien faire que de se soumettre et de subir. Son sort sceller son destin plus le sien. L'annexienne se rapprocha d'elle et lui annonça que la couleur de sa combinaison lui plaisez, il qu'il serait dommage de la déchirer. Ania ne répondit pas, elle n'avait rien à dire que de demander pitié.

   L'annexienne mit sa main sur son menton et l'embrassa. Ania ne chercha même pas à s'y défaire. Elle respirait lentement. Y prenait t-elle goût ? Elle essayait mais la peur l'en l’empêchait, si elle était condamner, elle essayait de faire bonne impression. La langue de l'annexienne fila dans sa bouche, en même temps que le mur se mit à agir comme de la glu, collant sont dos, ses cheveux et ses bras. La langue de l'annexienne se mélanger à celle de Ania, s'enroula autour, se frottant contre elle, léchant ses parois buccales, mélangeant leur salive. L'annexienne se mit à caresser ses hanches, lui proquant quelque frisson le long des jambes, puis sur tout le corps quand la verge de l'annexienne se frotta contre son intimité

« Passons aux choses sérieuses, ma belle... »

   Ania déglutit, ses yeux apeurer contemplant les excroissances de l'annexienne formant sa prison, se plantant dans le mur, limitant son champs de vision sur le corps de l'annexienne. Ses jambes furent écartée, sans qu'elle n'oppose de résistance se contentant d'attendre et de laisser couler quelque larmes. La pénétration fut faite d'un coup sec, entrant de force dans son vagin sec et peu adapter pour le gabarit de l'engin de la Reine des Lames, lui arrachant un crie de douleur puis s'en suivit les allers et retours, lents, lui laissant le temps de ressentir pleinement sa douleur, mais les pénétrations étaient aussi forte ! Elle gémissait de douleur et crier parfois, des larmes de désespoir, se succédèrent les larmes de douleurs. Elle n'écouta pas l'annexienne, essayant de résister à cette douleur

   Les coups gagnèrent en force et en rapidité, rendant ses cries de douleurs plus fréquent. Elle avait mal, mais cela n'empécha à son corps de réagir naturellement, son vagin commençant à mouiller et rendre son calvaire plus supportable, mais pas appréciable, le plaisir ne fessant que naître et de s'emparer lentement de son corps, commençant à rendre ardent son vagin, de rendre lentement ses joues rouges, son corps appréciant lentement ce plaisir, mais l'esprit balayer cet sensation qu'es le plaisir par la douleur et la crainte. Mais en rien cela stoppa l'ardeur de l'annexienne, qui continuait de la pénétrait, d'écraser son clitoris et son col de l'utérus. Ania gémissait, criait et pleurer, ne pouvant rien faire d'autre, le mur la retenant et l'annexienne la baissant.
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   Une orgie sans limite que celle du monstre, un maelström de plaisir et de luxure, les 5 sens plonger dans cette univers, l'esprit à moitié corrompue, tentant de reprendre le contrôle sur un corps qui ne lui répondait plus, obéissant qu'un à maître qui est l'aphrodisiaque, guidant ces pauvres âmes sur le chemin de débauche et de luxure. Leurs corps répondaient avec joie, l'esprit forcer, une part contemplant leur triste sort et les sévices que subissaient leur corps et esprit, une part encore libre, détruite chez certains, forte chez les plus résistante, mourante pour d'autre.

   L'espoir n'était plus qu'un mythe, le désespoir le plus noir et le plus profond une réalité. Miyo et Rinko, se fessait l'amour dans leur bassin de sperme, ne pouvant s'en empécher, leur visage montrant le plaisir, mais dans les tréfonds de leur l'esprit, une part ne pouvait que pleurer. Les tentacules se succédaient dans leur vagin et leur cul, certaines s'invitant dans leur bouches. Leur ventre était gonflé, tant par le sperme ingurgité que par les parasites se développant. Mais un œil expérimenté verrait que leur poitrine avait prit un peu de volume, leur corps commençant à produire du lait, lait qui servirait à nourrir leurs progénitures.

   Cela était pareil pour toute, chacune enceinte, chacune produisant du lait. Mais loin de laisser tranquille de ce côté, le monstre prépara des tentacules, autant de tentacule, qu'il y avait de seins. Leur tête s'ouvrir comme une fleur à quatre pétale, une fleur organique et piquante, car elle dévoila une aiguille, aussi fine qu'un cheveu. Chaque tentacule se mit face à un sein, avant de pénétraient les tétons, enfonçant l’aiguille dans le sein. Les pauvres femmes ne ressentir aucune douleur, juste une nouvelle forme de d'extase. Les aiguilles diffusèrent une substances, se diffusant dans les nerfs, la chaire et les veines. Ce produit avait pour but d'augmenté leur production de lait et d'augmenter la sensibilité du sein.

   Les tentacules se retirèrent, mais celles qui les pressaient, se resserrèrent, compriment leur poitrine, jusqu'à faire gicler du lait pour les plus productrices. Miyo goba le téton de Rinko et aspira, se gorgeant de son lait. Les tentacules s'activèrent sur leur seins devenue plus sensibles, provoquant de nouveaux orgasmes, tout en aspirant le lait qu'elles produisaient.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 27 décembre 2014, 02:15:47
SARAH KERRIGAN

Sarah n’était pas aveugle ni idiote. Elle savait qu’Ania n’était pas consentante, qu’elle souffrait, qu’elle avait peur... Mais ça ne l’empêchait nullement de la pénétrer, nullement de la prendre, et de remuer en elle avec une force et une vitalité terrifiantes. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter, et ce dans la mesure où elle ne voyait pas pourquoi elle devrait s’arrêter. Le viol n’était pas une notion formienne, et, pour elle, elle n’offrait que du bien à Ania... Du moins, c’est ce que pensait son côté formien. Sarah restait fondamentalement une créature hybride, et son côté humain savait ce qu’Ania ressentait. On aurait alors pu croire que Kerrigan en aurait éprouvé une certaine compassion, mais, en réalité, ce qui dominait en elle était plutôt un redoutable mélange entre une excitation violente et une sorte de lassitude. Pourquoi diable ces femmes se refusaient-elles à comprendre ? Elles s’accrochaient encore à leurs mensonges et à leurs idéaux. Cette force de caractère avait en soi quelque chose d’excitant, de jouissif, et amenait Sarah à remuer encore plus fort.

La combinaison d’Ania crissait contre son corps, ondulant avec le sien. Son vagin était aussi sec qu’un puits abandonné dans un désert, mais le plaisir ne tarda pas à venir. Elle aurait pu la droguer dès le début, mais elle avait senti qu’Ania ne serait pas difficile à convaincre. Contrairement à Mistrial ou Tirch, qui étaient des fortes têtes, Ania était juste une jeune femme effrayée. Face à Kerrigan, elle s’écroulerait comme un deux face à un flush royal, et serait bientôt sienne. Il était plus que temps que Sarah s’occupe de son sort, ce que l’Annexienne faisait avec un plaisir certain. Ses pattes arachnéennes l’aidaient à se maintenir, et Sarah la prenait, encore et encore, ses mains venant s’enlacer autour de son corps. Une main caressait son dos, et l’autre empoigna ses cheveux.

« Haaa... Haaaa, ma salope, tu... Hunnn... Tu es si étroite... ! »

Délicieusement étroite, même ! Sa verge s’enfonçait progressivement dans son vagin, leurs seins se heurtaient, les hurlements d’Ania la motivant. Elle continuait à la prendre, à s’enfoncer en elle, leurs corps finissant par se coller l’un à l’autre. Sarah sentait la texture magnifique de cette combinaison rose contre elle. C’était un contact merveilleux, incroyablement tendre et pervers. Comment cette femme pouvait prétendre être une créature chaste avec une telle combinaison ? Cette tenue était un pur appel au sexe sauvage, rien de plus ! Les longs cheveux d’Ania tombaient en cascade dans son dos, et les seins de Sarah rebondissaient contre sa grosse poitrine, qui était superbement moulée dans son uniforme. Leur coït continuait, furieusement, passionné, et le plaisir venait progressivement dans le corps de la Tekhane.

Sarah la prenait donc, sa verge la défonçant, et elle alla l’embrasser, tirant sur ses cheveux, enfonçant sa bouche contre la sienne. Sa langue caressa les lèvres d’Ania, mais Sarah évita de s’y enfoncer. Ania était brisée, mais elle pouvait toujours la mordre... Et ce serait douloureux. Sarah l’embrassa donc, et, enfonça à nouveau sa verge, le plus loin possible, une main venant s’agripper sur les fesses d’Ania, l’autre restant sur sa nuque. Elle plaqua ainsi le corps d’Ania contre le sien, l’immobilisant, et rompit le baiser, ne bougeant pas non plus, appréciant juste le fait d’avoir sa queue plantée en elle, son mât dans son corps. Sa grosse queue ne bougea plus pendant quelques secondes, et les pattes arachnéennes de Sarah se replièrent alors, venant s’écraser dans le dos d’Ania, la plaquant contre le sien.

« Tu aimes mes câlins, hein, ma petite pute ? »

Elle avait toujours une main caressant ses cheveux, et le corps d’Ania était écrabouillé contre le sien, les pattes de Sarah serrant et desserrant son corps, lui permettant ainsi de respirer quelques secondes, avant de serrer à nouveau, l’envoyant s’aplatir contre sa queue. Son autre main, elle, continuait à palper ses fesses, pinçant et malaxant son cul.

« Pelote-moi les fesses, Ania... Palpe-moi le cul, tu n’as pas d’autres solutions... » murmura Sarah dans le creux de son oreille.

Les pattes l’enlaçaient, la serrant contre son corps, et Sarah l’embrassa sur la joue.

« J’aime sentir tes gros seins contre moi, Ania... Tout comme... Hum... Le reste de ton corps. Toi et moi, nous sommes reliées, maintenant, ma belle... Tu es si bonne, haaaannn, ma chérie... »



LE MONSTRE

Chaque orgasme que le Monstre faisait plongerait la créature dans un profond sentiment d’extase. Existait-il seulement un mot pouvant décrire ce qu’il ressentait ? Tout n’était qu’une jouissance continuelle et forte, comme si un homme était armé d’une dizaine de verges avec lesquelles il jouissait sans relâche. Quand une verge se relâchait, une autre jouissait à son tour. Un orgasme perpétuel, voilà ce qui pourrait au mieux définir ce que la créature ressentait avec toutes ces femmes. Il en prenait énormément soin, chaque orgasme diffusant en lui une sensation de profond bonheur. Le Monstre ne vivait que dans le bonheur le plus complet, et continuait à défoncer toutes ses femmes. Il s’attaqua ainsi à Jeanne, et continua à les engrosser, en enfonçant des seringues microscopiques dans leurs tétons pour augmenter leur production de lait en accroissant le nombre de glandes mammaires. La tâche était d’autant plus facile qu’elles avaient de gros seins. Il pressait ensuite le sein des femmes, faisant jaillir leur lait... Un lait qui n’était pas perdu, car, si de nombreuses gouttes tombaient sur elles, beaucoup étaient absorbés par les tentacules, et, tout comme leurs fluides sexuels, étaient transmis dans le bassin génétique formien central.

Tous les Formiens naissaient dans un bassin génétique. Chaque fois qu’une larve naissait, elle était absorbée dans le sol, et envoyée par des conduits organiques dans le bassin génétique, une sorte de grande piscine verdâtre où il était possible de respirer, et où les larves grossissaient et mutaient. Le bassin était une construction atypique, unique, et les racines du Monstre étaient reliés à ce bassin génétique. Tous les bassins génétiques de la Ruche étaient, de près ou de loin, reliés à ce grand bassin central. Il abritait tout le patrimoine génétique des Formiens, et était alimenté par les fluides sexuels. Le lait maternel était aussi utilisé et efficace, car il permettait de nourrir les jeunes Formiens.

Miyo et Rinko avaient une grossesse bien avancée, et, tandis qu’elles buvaient le lait de chacune, leurs ventres avaient bien grossi. Chaque fois que les tentacules jouissaient en elle, le sperme renforçait et multipliait le nombre de larves. Le Monstre s’attaqua plus attentivement à ces deux dernières, car l’une des deux était sur le point d’accoucher... C’était Rinko, et le Monstre la souleva alors, l’arrachant au corps de Miyo, puis déplaça une autre femme. Les tentacules jetèrent Jeanne dans ce bassin fait de lait, de sperme et de mouille. Jeanne tomba dedans la tête la première, puis les tentacules la relevèrent, et un autre s’enroula autour de sa taille et de celui de Miyo, venant les plaquer l’une à l’autre.

Rinko, de son côté, fut levé en hauteur. Elle n’avait plus qu’un tentacule planté dans les fesses et un autre dans la bouche, continuant à la pénétrer, mais son vagin était libre, dégoulinant de foutre et de mouille. Ses bras et ses jambes étaient maintenus par les poignets et les chevilles, et un autre tentacule s’enroula autour de son ventre, appuyant dessus. Rinko devrait normalement bientôt sentir les contractions venir. Les larves remueraient dans son placenta, et la forceraient à pousser.

Elle allait accoucher.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 28 décembre 2014, 19:35:36
   Elle pensait éviter ce genre de destin en s'engageant dans de petite division comme la Delta S, mais le destin avait voulue qu'elle tombe aux mains des formiens. La voilà à se faire prendre par une annexienne, dont les coup de bassin lui arracher gémissement et cries, tant par la force des coups, la taille de son membre, la vitesse et la profondeur à la qu'elle l'annexienne perforait son intimité. Elle ne pouvait que subir et ressentir, et d'exprimer ce ressentit par ses gémissement et ses cries, exprimant ainsi sa douleur, mais aussi d'une légère prise de plaisir. Les yeux encore humides, elle ne pleurait plus, ses gémissement et cries ne diffusant plus que sa douleur ressentit lors des chocs contre son col de l'utérus, lui donnant toujours l'impression que son utérus tout entier se déplacer vers le haut, que la verge, en heurtant son col, déplacer son utérus.

   Chaque coup secouait son corps, fessant trembler sa poitrine, provoquant des ballottement incontrôlable, ses seins frappant contre ceux de l'annexienne, leurs tétons se heurtant, provoquant de  petites sensations de plaisir au fur et à mesure des chocs, ses tétons dressaient et dur. Elle voulait pleurer sur son sort, mais elle avait déjà trop pleurer sur sa douleur et le destin de elle et ses camarades. Elle subissait ce viol et ripostait par des gémissement et des cries douleurs et par le plaisir grimpant, prenant possessions de son corps, la fessant mouiller et rougir et teintant ses gémissement et cries de plaisir. Elle sentie le mur perdre son effet glus, la relachant, laissant ainsi l'annexienne l'enlacer de ses bras, une main dans son dos, l'autre sur sa belle chevelure, l'empoignant.

« Haaa... Haaaa, ma salope, tu... Hunnn... Tu es si étroite... ! »

   Était-elle devenue sa possession ? Mais elle l'était depuis le début, se refusant de le remarquer. Le ballottement de ses seins devint plus rythmé, cognant plus souvent contre ceux de l'annexienne, le latex de sa tenue se frottant contre la peau de l'annexienne, frottement se répercutant sur sa peau, sentant donc aussi bien le contact de la peau de l'annexienne, que la texture organique du mur, ignorant que cette combinaison était une source de plaisir pour l'annexienne, tant qu'elle moulait son corps. Ce plaisir qui grimper, finissait par l'embrumé, son corps et son esprit n'arrivant plus à différencier plaisir et douleur, les deux se confondant. La douleur s'effacer progressivement de son intimité, remplacer par le plaisir, de même que pour ses gémissements et cries.

   Sans prévenir, l'annexienne l'embrassa, furieusement, avec ardeur et passions, léchant ses lèvres, tout en tirant ses beaux cheveux, sa petite fierté. L'annexienne craignait d'enfoncer sa langue dans la bouche d'Ania, de peur que celle-ci ne la mord, mais elle n'avait plus de raison de le faire, si ce n'est que d'empirer son cas. L'annexienne s’écrasa contre son corps, une main sur les fesses, l'autre sur la nuque, enfonçant le plus loin possible son impérieux membre au plus profond de l'intimité d'Ania. Cette dernière ressentit à nouveau la douleur, son col de l'utérus subissant une forte pression, la douleur lui donnant l'impression que son col aller se briser ou pire, que la verge venant de le traverser. Elle avait mal, mais ne cria pas, ses lèvres collaient à celle de l'annexienne.
Les excroissances de l'annexienne se mouvèrent une nouvelle fois, se collant dans dos, la plaquant encore plus contre l'annexienne.

« Tu aimes mes câlins, hein, ma petite pute ? »

   Son corps répondait oui, l'esprit non sans être vraiment sur, mais elle ne dire rien, ni négatif pour ne pas subir plus, ni positif pour ne pas l'inciter à faire plus. Les excroissances la plaquant contre le corps de l'annexienne, se serrèrent, écrabouillant son corps contre celui de l'annexienne, lui coupant le souffle, avant de desserrer lui donnant de le temps de reprendre son souffle, avant de recommencer, inlassablement, l'envoya s'empaler encore plus sur la verge de l'annexienne. Sans compter que l'annexienne tripotait son cul, le pinçant et le malaxant, l'incitant à faire de même, tout en soulignant qu'elle n'avait que se choix, avant de l'embrasser et de poursuivre.

« J’aime sentir tes gros seins contre moi, Ania... Tout comme... Hum... Le reste de ton corps. Toi et moi, nous sommes reliées, maintenant, ma belle... Tu es si bonne, haaaannn, ma chérie... »

   Qu'elle était la meilleur solution : obéir ou s'y soustraite ? Ania ne savait, ne savait plus. Elle était prisonnière, elle ne pouvait rien faire, oublier toute aide possible et espoir de liberté et de fuite, elle ne pouvait rien faire sans risquer d'être capturer et donner en pâture aux formiens. Avait elle le choix ? Non, l'annexienne leur imposer les chose. Lentement, tremblant et une larme coulant le long de sa joue, elle leva ses bras avant de les mettre sur le postérieurs de l'annexienne. Mais elle tremblait n'ayant pas le courage de faire plus, courage disparue depuis longtemps. Ce fut qu'après un long moment, qu'elle finit par peloter pleinement les fesses de l'annexienne, serrant ses doigts, avouant ainsi, sa total soumission !
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   Cette nouvelle forme de plaisir que leur infligea le monstre, aggrava l'état de celle les plus dépraver, les plus résistante parvenant quand même à garder une certaine forme de lucidité. Leur seins gagnant en glande mammaires, produisait du lait presque à profusion, remplissant rapidement leur seins de lait, la moindre pression fessant gicler ce nectar dont s'abreuver les tentacules. Rien ne pouvant stopper cette production dépassant de loin ce que peu produire une femme en temps normale, ce surplus nourrissant ce qui furent autrefois leur ennemies. Elles n'étaient plus rien que, que les objets de désirs des formiens, réceptacle dans leurs plaisirs primaires et de leur progénitures.

   À demie enfouie par le foutre et leur cyprine, Miyo et Rinko ne pouvaient qu'assouvir leurs pulsions, leur ébat remuant le visqueux mélange de fluide, qui t-elle une immonde recette de cuisine se vit rajouter du lait, qui à son tour se mélangea dans le reste. Affreux mélange, dont elles ne se privaient pas de se maculer, de le lécher sur leur combinaison et de l'avaler. Il y'avait toujours une tentacule qui se vider sur elles, sons foutre s’écrasant sur leur visages, torse ou dos. On ne pouvait plus rien apercevoir d'elles, tellement recouverte de fluide.

   Mais le monstre mit fin à leur débat, arrachant Rinko de son bassin, emportant plusieurs litres de fluide collant Rinko, avant de couler lentement tombant dans le vide. Miyo resta seul dans son bassin, toujours pénétrer par le cul et son vagin, deux tentacules la pénétrant avec force, lui provoquant un énième orgasme. À travers les fluides maculant son visage, elle apperçut Jeanne s'approchant d'elle, pénétrer avec puissance. Les tentacules la lâchèrent au dessus du bassin.

SPOLRCH !

   Le bruit lorsqu'elle heurta la surface du bassin, n'était pas le même que de tombait dans l'eau. Ce liquide là était trop consistant, collant, visqueux et gluant, presque pareil à de la boue. Jeanne était tomber tête la première. Elle sentait la chaleur des fluides contre elle, leurs densité et leur consistance. Péniblement, elle s'extirpa la tête hors du mélangeant, mais eu l’impression d'être encore plonger dedans, sa tête recouverte de cette substance. Des tentacules l'attrapèrent, la relevant entièrement, avant de la plaquer contre Miyo, du lait jaillit à nouveau de ses seins comprimer. De sa main, elle enleva les fluides masquant son visage, la quantité enlever suffisant à remplir une carafe.

   Elle aperçue Miyo, elle aussi recouverte, leur visage prêt l'un de l'autre. 2Tant plus récente et résistante que Miyo, Jeanne ne fit rien, une pensée la traversant. De sa force, elle pourrait lui briser la nuque et la tuer, mais elle n'avait plus de force, retenue par des tentacules. Miyo l'embrassa, s’agrippant à ses seins, les pressant, fessant jaillir son lait et Jeanne ne fit rien d'autre que subir.

   Ailleurs, Rinko avait été conduite en hauteur, une tentacule s'étant retirer de son vagin, un autre pénétrant sa bouche et une dernière s'enroula autour de son ventre proéminent et de le comprimer. Son estomac comprimait, elle ne put retenir tout le foutre qui jaillit de sa bouche malgré la tentacule, sortant presque en cascade, tellement elle en avait ingurgité, vomissant rien d'autre que du foutre et quelque sucs gastrique. Son vagin libéra sous la pression, beaucoup de foutre et son fondement n’échappa pas au sort. Mais après avoir vomit tout ce foutre, Rinko ressentit de contractions dans son ventre et plus précisément dans son utérus, la où se développer les larves. Ne pouvant crier, elle gémit de toute ses forces, crachant encore quelque gicler de sperme et poussa, malgré son état, elle comprit qu'elle allait donner naissance à des larves, ses premières larves, mais sûrement pas ses dernières.

   Elle poussa une nouvelle fois, sans crier, mais son visage crispé. Elle ne ressentait pas de douleur, les doses massives d'aphrodisiaques ayant annihilée cette sensation, la remplaçant par le plaisir et donc elle ignorait si elle avait mal ou pas, mais elle poussait de toute ses forces, l'effort la pliant presque en deux, tirant sur les tentacules qui était comme un soutient en ce moment et non une entrave. Elle poussa encore et encore, sentant quelque chose sortir : la première larve qui finit par sortir et de tomber dans le vide rattraper par des tentacules.

   Plus elle poussait, plus elle sentait les larves sortirent. Cela dura longtemps, elle gémit de force tout ce temps, poussa de toute ses forces et jusqu'à la dernière larves. Elle mettait au monde ses premiers formiens, formiens qui iront combattre ses camarades de guerres, elle participait à l'effort de guerre formiens. Malgré son état et tout l’aphrodisiaque, elle versa une larme.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 31 décembre 2014, 17:32:41
SARAH KERRIGAN

Si elle avait un jour cherché à se battre, à se défendre, cette combativité avait éclaté en mille morceaux. Ania était une poupée en latex rose malmenée par Kerrigan. Elle n’osait même plus parler, se contentant de gémir, de couiner, de soupirer, essayant vainement de repousser le plaisir naissant en elle. Son corps la trahissait, comme bien souvent. Sarah venait de Tekhos, et elle savait comment cette société fonctionnait. Elle était hyper-sexualisée. Chaque spot publicitaire contenait un message sexuel, qu’il soit explicite ou tacite. On trouvait des publicités géantes pour des godes, les cliniques spécialisées publiaient sur l’HoloNet et sur toutes les chaînes leurs programmes pour s’assurer que les enfants à naître soient bien de sexe féminin, ou pour qu’une femme puisse se doter d’un membre masculin. Sarah Kerrigan n’était pas une spécialiste de l’inconscient collectif, mais elle soupçonnait que la marginalisation du sexe masculin, sur Tekhos, avait créé une sorte de déséquilibre hormonal, une situation qui expliquait volontiers la surabondance du sexe. Autrement dit, les Tekhanes étaient souvent des proies de choix pour les Formiens, et Sarah n’était jamais déçue avec leurs soldates. Leurs combinaisons moulantes en latex étaient la preuve la plus criante de ce déséquilibre, de cette situation paradoxale, et qui, pour les Formiens, constituait une véritable aubaine.

Prise contre elle, Ania remuait d’avant en arrière, incapable de repousser les élans fougueux de Sarah Kerrigan, incapable de lutter contre l’influence de la Reine des Lames, contre sa verge, contre ses excroissances arachnéennes qui remuaient dans son dos, la maintenant contre elle. Elle n’était pas la dernière membre de la Delta-S que Sarah prenait, et, à chaque fois, la Reine des Lames trouvait en elle des ressources physiques supplémentaires pour leur faire l’amour. C’était inconcevable d’un strict point de vue humain, mais il fallait bien conserver à l’esprit que Kerrigan était avant tout une Annexienne. Elle se devait d’être infatigable, au même titre que ses Formiens. Ils pouvaient faire l’amour pendant des dizaines et des dizaines d’heures d’affilée, s’inspirant en ce sens de certaines espèces d’insectes, comme les Neotrogla, qui faisaient l’amour dans une période allant entre quarante et soixante-dix heures. En ce domaine comme en tant d’autres, la Nature surpassait parfois la plus folle imagination des êtres humains.

« Haaaannn... »

Sarah finit par sentir les mains d’Ania se déplacer. Son corps ondulait contre le sien, et elle saisissait furtivement certaines pensées d’Ania, notamment son inquiétude pour sa longue chevelure. De fait, il n’y avait pas grand-chose à sentir dans son esprit. Elle était abattue, comme si son pire cauchemar venait d’arriver, et qu’il n’y avait plus aucune lueur d’espoir. Si on lui laissait le choix de se suicider, il n’y avait, pour Kerrigan, aucun doute qu’elle choisirait de le faire. Pauvre petite chose... L’Annexienne aurait sans doute dû se sentir coupable, mais, pour être honnête, seule dominait en elle une furieuse excitation. Cette excitation s’accrut quand Ania obéit, et commença, lentement mais sûrement, à remuer ses mains sur ses fesses. Sarah gémit à nouveau, et poursuivait ses coups de reins, ondulant ses hanches d’avant en arrière. Elle-même alla peloter les fesses de la femme, frôlant les bras d’Ania. Ses pattes restaient toujours dans le dos d’Ania, la plaquant contre elle, et la relâchant. Hum... Qu’il était bon de sentir ce latex se frotter à sa peau ! Oh, comme cette femme était délicieuse ! Sarah soupirait et gémissait, et conserva une main sur ses fesses, l’autre venant agripper ses cheveux, pour un autre baiser, endiablé et fougueux.

Cette fois-ci, elle envoya sa langue dans la bouche d’Ania, et ne sentit aucune réaction. Elle se pressa contre elle, ses pattes remuant contre le corps de la Tekhane, la faisant rebondir sur le sien, tandis que sa langue jouait en elle, allant chercher celle d’Ania pour la titiller. Tout en l’embrassant, Sarah se mit à user de ses pouvoirs télépathiques, envoyant un message dans la tête d’Ania :

*[MT] Enfonce un doigt dans mon fondement, Ania... Cesse de te voir comme une prisonnière, tu es mon amante, maintenant... Tu es ma belle poupée Barbie, Ania... Ne t’inquiète pas, il ne t’arrivera rien de mal chez moi... Le bonheur, rien que le bonheur, voilà ce que je t’offre... Ça, et rien de plus. [/MT]*



LE MONSTRE

Il devait naturellement veiller à la procréation, et à l’accouchement de toutes les femmes présentes ici. Rinko fut la première à accoucher, libérant de belles larves, qui tombèrent dans le vide. Elles heurtèrent le sol, remuant rapidement, avant de disparaître dans des failles qui se formèrent. La larme qui coula sur l’œil de Rinko échappa totalement au Monstre, qui réfléchit rapidement à ce qu’il convenait de faire avec elle. Ses options étaient plutôt limitées, car les capacités de réflexion de cette abominable créature tentaculaire étaient plutôt restreintes. Il déplaça donc le corps de la femme, en retirant ses tentacules de sa bouche et de son anus. Pendant quelques instants, la belle Rinko put ainsi se reprendre. Elle était méconnaissable. Le sperme et la mouille coulaient le long de son corps, se mélangeant aux projections de lait. Sa combinaison avait disparu sous ce mélange qui se collait à son corps. Elles étaient moins que des humaines, de simples bêtes sexuelles, traitées comme telles, des espèces de vaches à sexe dont le seul but était d’être trait afin de donner naissance à des bébés, des bébés qui, par la suite, les violeraient à leur tour, sans cesse, sans relâche. La Luxure était ici poussée à son paroxysme, dans le seul but de transformer les gens en animaux sauvages.

Rinko fut déplacée au-dessus de Jeanne et de Miyo. Le Monstre choisit de la ramener là, et, comme pour Jeanne, il la laissa tomber dans cette flaque infecte et puante. Oui, si un observateur entrait dans cette pièce, l’odeur de sueur et de sexe lui sauterait à la gorge... De plus, chaque orgasme du Monstre amenait ce dernier à soupirer par chacune de ces affreuses bouches, dégageant à chaque fois des odeurs horribles. La pièce puait. C’était du sexe sauvage, débridé, sale, moche, visqueux. Il n’y avait rien d’érotique là-dedans, rien de sensuel, rien même de pornographique : ce n’était que comme voir des animaux en train de se faire l’amour. Les Formiens étaient ainsi, et le Monstre fonctionnait de cette manière. Rinko se retrouva dans le dos de Jeanne, et le tentacule qui serrait Jeanne et Miyo se défit, afin de les serrer toutes les trois.

Et le spectacle continuait, inlassablement et sans relâche, jusqu’à ce que la Reine en décide autrement.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 03 janvier 2015, 23:42:35
   Vouloir pleurer sans pouvoir le faire, vouloir se rebeller sans avoir le courage et l'envie, subir sans riposter, obéir sans discuter et désespérer sans espoirs à l'horizon. Pourquoi le destin devait il être aussi cruel, devoir finir comme esclave sans pouvoir s'y opposer, de devoir contempler la triste réalité de leur futur, finir comme amante, pondeuse ou pire. Ania ne pouvait rien faire, obéissant malgré elle. Son geste n'échappa pas à ses camarades, mais seul fut Tirch fut scandaliser, les trois autres même pas étonner, Engiel avait eu un soupçon de colère, noyé ensuite par la tristesse de leur situation, Ilinia et Shield seulement tristes de voir qu'elle ne pouvait qu’obéir.

   Elle avait mit ses mains sur les fesses de l'annexienne, pétrissant lentement, se contentant juste de ça, n'osant pas faire plus. Elle en vint à se demander si l'annexienne serait plus douce si elle lui obéit docilement, mais elle en doutait, ce serait trop facile sinon. Non l'annexienne abuserait plus de sa docilité, mais cela n'effleura pas son esprit, ne pouvant réfléchir et penser pleinement, le plaisir dévorant lentement son esprit, devenue plus facile à manipule à cause du désespoir la possédant. L'annexienne alla elle même mettre ses mains sur ses fesses, avant de les peloter, malaxant son beau petit cul à travers sa combinaison. La pauvre Ania ignorait que son geste exciter de plus en plus l'annexienne, lui donnant plus envie de la prendre avec force, chose qu'elle ressentit que part les pressions répéter des excroissances, l'empalant encore plus à chaque pression sur la verge planter en elle.

   L'annexienne l'embrassa une nouvelle fois, mettant cette fois sa langue. Un baiser ardent et plein de passion, dévoilant une partie de toute l'ardeur de l'annexienne, mais qui suffit à Ania pour réaliser à qu'elle point l'annexienne voulait la baiser avec force. Sa langue fut assaillit par celle de l'annexienne, refusant de battre en retraite ou de riposter, se laissant guider et abuser par celle de l'annexienne, se lassant lécher et enrouler. La bave de l'annexienne se mélangea à la sienne, remuer par les langues qui se tortillaient entre elle.

   Durant le baiser, elle entendit dans son esprit la voix de l'annexienne, lui disant ou lui ordonnant de mettre un doigts dans son cul tout en la rassurant sur son sort, qu'elle n'avait rien à craindre et qu'elle connaîtra un bonheur infini, tout en soulignant qu'elle était sa possession. Ania ne croyait pas en ces belles paroles, car sinon l'annexienne l'aurait relâcher depuis longtemps ce qui aurait été son plus grand bonheur ! Disait-elle au moins un semblant de vérité ? Non, juste pour confirmé qu'Ania lui appartenait, sinon elle ne ressentait que de la peur et du désespoir, où était le bonheur ? Ania n'en ressentait aucun pour le moment, et rien ne lui en procurera en ces lieux. Mais malgré ça, sa mains droite se déplaça allant jusqu'à la raie séparant les fesses, avant d'atteindre et de titiller la rondelle de l'annexienne, avant d'y enfoncer son index, le remuant un peu.

   Elle l'avait fait non par plaisir, non par contrainte, non par soumission, elle l'avait fait car elle n'avait plus rien à faire, elle le fessait car c'est tout ce qu'elle pouvait faire, n'ayant plus rien à perdre, cherchant sans doute inconsciemment une nouvelle raison de vivre.
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   La larme que versa Rinko, disparut dans le foutre recouvrant son visage, toujours pénétrer par deux tentacules, l'un ramonant son fondement, l'autre explorant l’œsophage. Du foutre s'écoulait toujours de son intimité, malgré son... accouchement, mettant au monde ses larves, non pas dans la douleur et le sang, mais dans le plaisir et le foutre. En même temps qu'était sortie les larves, des giclé de fluides les accompagnaient.

   Un événement improbable s'en suivit, le monstre retira ses tentacules d'elle et après l'arrét de tout ses efforts, de toute ses pénétrations, Rinko pouvait pensée normalement, l'esprit plus occuper. Mais es vraiment le cas ? Oui elle pouvait pensée et réfléchir de nouveau, mais l'état de son esprit ne le permettait pas. Fissurer et engloutit par tout l'aphrodisiaque, créant des pulsions sexuelles démesurées, annihilant toute émotion contraire et négatif, ne conservant que le plaisir, la joie, le bonheur et autres. Elle ne pouvait pas pensées clairement, tout son corps aussi ardent que lava, en concert avec son esprit pervertie et corrompue, ne demandant car se faire prendre. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait exprimer autre chose, seule sa inconscience et ses sentiments profond pouvant la faire pleurer, les survivants, la résistance empêchant Rinko d'être briser ! Mais elle était vaine, Rinko ne pouvait se souvenir, ni pensée, son esprit ne voulant que du plaisir et du sexe. Cette résistance, ne pouvant que la faire pleurer sur ce qu'elle subissait, peinant à lui faire retenir son propre prénom, l'esprit oubliant ce qui ne lui était pas nécessaire, pratiquement briser, voulant faire de Rinko rien d'autre qu'une créature briser, un animal ne vivant que pour le sexe.   

   Elle fut de nouveau remise dans le bain, se fessant lâcher en hauteur, tombant comme Jeanne dans l'immonde mélange, provoquant quelques vaques et projections dans tout les sens. La tentacule qui serraient Jeanne et Miyo entre elle, accueillit Rinko et en même temps que des tentacules retournèrent pénétrées son fondement et son intimité, s'enfonçant à nouveau de toutes leur force et avec rapidité. Coller au dos de Jeanne, Rinko attrapa ses tétons et s'amusa à tirer dessus, tout en lui léchant le cou. De concert Miyo avait saisit les seins de Jeanne et la malaxa tout en les pressant, fessant gicler son lait, en même temps qu'elle l'embrassait goulûment. Jeanne ne fessait que subir, les drogues du monstre embrouillant son esprit, le guidant sur les voies de luxure, du plaisir et de la perdition, son corps ne pouvant que réagir positivement à tout ce qu'elle subissait, ne pouvant se libérer, ni empêcher ses camarades de se faire plaisir sur elle et les tentacules qui la pénétrer.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 05 janvier 2015, 02:21:51
SARAH KERRIGAN

L’Annexienne continuait à la pénétrer, avec une vigueur renouvelée. Elle savait, sentait, qu’Ania voulait plus de douceur... Mais il était trop tard pour faire machine arrière. Sarah aurait effectivement pu être plus douce, en se disant qu’Ania aurait plus confiance en elle, mais, faisant confiance à son expérience et à son désir, elle renforçait son excitation et ses mouvements. Sa grosse verge tendue et violette défonçait l’intimité d’Ania, et les couinements de la Tekhane étaient maintenant des gémissements silencieux. La belle Tekhane était perdue, isolée, et sa main se déplaça, caressant les fesses de la femme, avant de finalement atteindre sa rondelle. Ania ne cherchait même pas à se défendre, elle obéissait, tout simplement. Elle obéissait, car elle savait que c’était ainsi qu’elle pourrait survivre ; elle obéissait, car elle se doutait qu’il n’y avait que de cette manière que la Reine des Lames ne la tuerait pas. En définitive, elle obéissait, car elle avait compris que sa vie était entre les mains de cette femme, entre les mains et les griffes de Sarah Kerrigan. La Reine des Lames la pénétrait donc, encore et encore, s’enfonçant en elle, le mur rebondissant dans le dos d’Ania, l’engloutissant avec Sarah.

« Hummm... Hnnnn !! »

Kerrigan était forte, puissante, et l’une de ses mains jouait avec l’un des seins d’Ania, le pinçant, tirant dessus, l’empoignant et le malaxant. Sa combinaison moulante remplissait à la perfection son office, et, comme toujours, sentir cette combinaison de latex contre son corps était un plaisir continuel, aussi jouissif que de sentir la douce chair d’une femme. Sa poupée-Barbie se trémoussait contre elle, s’abandonnant avec elle, et, dans sa tête, Sarah continuait à lui parler.

*[MT] Laisse-toi aller, Ania... Ne pense à rien, ne pense à plus rien d’autre que ce que ta Reine souhaite... Tu es désormais mienne, Ania, pour maintenant et pour toujours. N’essaie pas de lutter contre ce que tu ressens, contre les pulsions de ton cœur. Libère le désir, laisse-le parler en toi, et abandonne-toi avec moi... [/MT]*

C’était une voix magnifique, perverse, vicieuse, enchanteresse... Et, tandis que Sarah lui parlait mentalement, son corps continuait à remuer. Sa verge s’enfonçait lourdement en elle, se perdant dans les tréfonds du corps d’Ania, fusionnant avec le sien. Le baiser se rompait, pour que Sarah puisse entendre Ania gémir, et elle lécha sa joue, mordillant son cou, déposant des baisers sur sa peau, se révélant brutale, mais surtout pleine de passion, fougueuse et intense, serrant la jeune femme contre elle, serrant sa poupée Barbie. La belle Ania remuait d’avant en arrière, en ne pouvant rien faire d’autre que gémir et couiner. Elle était à Sarah, et il ne faisait aucun doute qu’elle serait l’un des premières à la suivre fidèlement...

Les puissants coups de reins de la Reine des Lames se multipliaient au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient. Le doigt dans ses fesses était un spectacle particulièrement délicieux à sentir, excitant davantage la femme. L’Annexienne continuait donc à la prendre, jusqu’à ce qu’Ania finisse par jouir. Quelle autre solution cette belle Tekhane avait-elle, de toute façon ? Elle était entièrement dans le pouvoir de Sarah, nageant dans la paume de sa main.



LE MONSTRE

Le Monstre grouillait autour de chaque femme, et ses tentacules caressaient et s’occupaient du trio constitué par Rinko, Jeanne, et Miyo. Rinko avait beau avoir accouché, elle était encore fertile, et le Monstre comptait donc continuer à l’engrosser, ce qu’il faisait sans aucune hésitation. Jeanne, elle, était entre les deux femmes, et lui s’occupait de toutes ces femmes, jouant avec elles. Mixim était également sur le point d’accoucher, ce qu’elle fit au milieu de multiples tentacules grouillant en elle et sur elle. Elle largua de nombreuses larves, et eut à peine le temps de reprendre son souffle que d’autres tentacules l’engrossèrent généreusement. Enceinte ou non, son ventre était tellement rempli de foutre qu’elle ressemblait à une femme sur le point d’accoucher d’un gros bébé, son gros ventre tendu, tirant sur sa combinaison, son corps englouti dans cette mêlée indescriptible de tentacules.

Et lui, la créature, pendant ce temps, continuait à se faire longuement plaisir.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 11 janvier 2015, 13:31:59
   Ardeur et force, exaltation et plaisir, tristesse et soumission. Six choses qui peuvent résumer l'intensité de la situation que vivait Ania et la Reine des Lames. L'ardeur et la force que fessait preuve l'annexienne en la pénétrant, sans chercher la ménager, l'exaltation qui l'habiter, lui donnant plus envie de frapper fort. Ania ne pouvait que subir le plaisir qui en ressortait, astucieux mélange de la force et de l'ardeur de l'annexienne, ne pouvant que combattre par la tristesse qui l'habiter encore, démontrant sa résistance par sa soumission, répondant au demande de l'annexienne, s'en chercher à s'opposer à l'annexienne.

   Ses coups étaient aussi puissant que ravageur, Ania ne pouvant que ressentir pleinement tout le plaisir, essayant toujours de le refuser, de ne pas y succomber. Elle savait cette résistance futile, mais elle avait toujours du mal à laisser ce plaisir l'habiter complètement, refusant toujours de l’accepter. Mais plus les coups ce fessaient sentir, plus elle avait du mal, son intimité un brasier ardent, dégoulinant d'une lave chaude et visqueuse, recouvrant cette foreuse qui percer son volcan, s'acharnant à tenter de passer son col impénétrable, frappant à grand coup. Ce plaisir était si intense, que Ania croyait qu'elle en mourir, mais elle parvenait par miracle à y résister, faiblement, mais elle résister.

*[MT] Laisse-toi aller, Ania... Ne pense à rien, ne pense à plus rien d’autre que ce que ta Reine souhaite... Tu es désormais mienne, Ania, pour maintenant et pour toujours. N’essaie pas de lutter contre ce que tu ressens, contre les pulsions de ton cœur. Libère le désir, laisse-le parler en toi, et abandonne-toi avec moi... [/MT]*[/color]

   Ania n'avait plus d'espoir, plus de raison de vivre, son esprit en cherchant une vainement. Elle ne pouvait que se soumettre, n'ayant plus de raison de s'opposer à l'annexienne. Ce plaisir qui avait posséder son corps, qui avait ébranler à grand coup son esprit, elle s'y laissa tomber, se laissant posséder entièrement par ce plaisir.

   Plus fort, plus intense, plus puissant ! Ce plaisir l'engloutit dé qu'elle cessa d'y résister, empêchant toute futur résistance ! Son esprit ne pouvait qu'y céder, ne pouvait qu'être engloutit, ne pouvait pas l’empêcher de déferler. Ses gémissements n'étaient que plaisir, ses cries exaltations de ce plaisir, son corps tremblant, son esprit frémissant, son intimité s'enflammant, entrant en éruption ! Elle jouit, son volcan noyant son soutérains de sa lave chaude et viseuse, dégoulinant de sa bouche, la foreuse qui la percer en fut recouverte.

   Elle sentait les baiser de la reine, ses caresses, sa langue à travers sa combinaison sur son cou. Elle n'était plus qu'une poupée pour la reine des lames, elle ne fessait que céder à ce plaisir, se donnant à l'annexienne. Elle remua davantage son doigts dans le fondement de l'annexienne, autant à cause de ses tremblement que par le plaisir l’habitant.

   Les autres regardèrent avec effrois le changement radicale de comportement d'Ania, même Tirch. Engiel jura de toute les insultes qu'elle connaissait, ce destin, les dieux et celles qui les avaient amener dans cette situation, en plus de l'annexienne. Ça ne servait à rien, mais ça l'occuper. Tirch n'exprimait rien, aucune penser, un blanc. Schield pensa avec tristesse à ses dettes qu'elle avait contracter, l'amener à s'engager dans l'armée, qu'elle aurait du faire braconnier comme sa mère, elle aurait éviter ce tragique destin. Ilinia pleura une nouvelle fois sur leur sort, leur destin et sur le fait qu'elle ne pourra plus revoir ses mères, ni son chat.
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   Qu'elle était les limites du monstre ? Son imagination. Rinko venait de mettre au monde des larves, et l'idée de la laisser se reposer ne lui effleura même pas l'esprit, l'engrossant une nouvelle fois, lui redonnant en son seins de nouveaux parasites. Leur vie en temps que pondeuses commençaient maintenant, Rinko venant de donner naissance à la première porter de larves de la section Delta S.

   Ailleurs perdues dans une forêt de tentacules, dont un observateur extérieur ne pourrait rien voir, tant la densité de cette masse cacher entièrement le corps de Mixim, des centaines de tentacules de toutes taille grouillant dans tout les sens, sur elle, en elle et dans sa combinaison, recouverte d'une épaisse couche de fluide, rendant toute distinction impossible. Ses cheveux recouverts de sperme, n'avait plus leur couleur orange clair, ni leur aspect soyeux et coiffer, Mixim portait plus une perruque, dont les cheveux était visqueux et gluant. Son esprit n'était plus rien, rien d'autre qu'un amas de luxure et de pensées toutes plus perverses les une que les autres.

   Ce fut à sont tour de mettre au monde ses premières larves, ce qui se fit rapidement, ses larves expulser de force par tout le sperme contenue en elle, t-elle une cascade venant d'un barrage venant de céder brusquement. L'ampleur de son ventre ne diminua qu'un peu, restant toujours aussi imposant, la moindre pression fessant vomir Mixim quelque litre de sperme. Fessant n'empécher pas les tentacules de jouir au plus profond de ses entrailles, la remplissant toujours, l'engrossant à nouveau. Et Mixim jouissait à répétition, ses orgasmes contenues en elle, le diamètre de la tentacule pénétrant son intimité, empêchant sa cyprine de sortir.

   Et cela n'était que le début de leur nouvelle vie !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 15 janvier 2015, 01:14:03
SARAH KERRIGAN

Sarah faisait l’amour avec Ania, et la belle Tekhane était vaincue. Elle se laissait prendre par l’Annexienne, et ne cherchait plus à se battre, plus à se défendre, ni à la repousser. Vaincue, elle savourait pleinement le contact de cette femme, la sensation de cette verge tendue s’enfonçant en elle. Les doigts gantés d’Ania remuaient dans son fondement, et la Tekhane se laissait maintenant faire. Sarah la sentit jouir contre elle, sa mouille éclaboussant sa verge, et elle continua à remuer, son corps remuant contre le sien, sa grosse queue s’enfonçant dans son con, la prenant encore et encore. Elle embrassa à nouveau la femme, sa langue filant dans sa bouche, sa main empoignant ses cheveux, et la Reine des Lames continua à remuer, ses pattes arachnéennes lui servant encore et toujours d’appui contre le mur. La belle soldate était totalement à elle, répondant à ses attentes, parvenant encore à provoquer une frustration chez ses camarades les plus résistantes. Sa belle poupée Barbie remuait contre elle, et Sarah posa une main sur les fesses de la femme, s’y crispant, tout en continuant à remuer.

« Hmmmmmmmmmmmm… !! »

La Reine des Lames était aussi insatiable qu’à son habitude. Elle prenait ces femmes depuis plusieurs heures, maintenant, sans que rien ne semble être en mesure de l’arrêter. C’était avec toute une escouade qu’elle était en train de forniquer, et le pire était que ces longues séances de sexe torride n’étaient que le premier pas d’un long, très long traitement. Elle ne faisait que les saluer, que profiter davantage de leurs corps multiples, de leurs élégantes combinaisons, de leurs fortes beautés. Elles étaient de parfaites candidates pour ce que Sarah comptait leur faire subir, et son corps frémit d’excitation à l’idée de ce qu’elles allaient subir. Ces femmes pensaient peut-être avoir vécu le pire… Mais elles ignoraient où elles étaient, et elles ignoraient ce dont les Formiens étaient vraiment capables. Tout ce qu’elles vivaient en ce moment n’était rien de plus qu’une simple mise en bouche… Rien de plus. Sarah n’avait en effet pas encore déployé toutes ses cartouches.

Elle continuait à prendre Ania, encore et encore, le corps de la Tekhane rebondissant contre la paroi visqueuse et gluante… Et, au bout de longues minutes, Sarah finit par jouir en elle à son tour. Elle rompait parfois le baiser, simplement pour soupirer, et pour sentir la bouche d’Ania venir mordiller son cou. Son cul était en feu, frissonnant au contact des doigts de la femme en elle. Ania n’était pas qu’une poupée inactive, elle agissait aussi, se réfugiant dans le plaisir et dans la soumission, afin d’espérer survivre. Sarah la laissait volontiers faire, car c’était précisément ce qu’elle voulait. Sa verge se plantait en elle, et, dans un long soupir, la Reine des Lames eut un orgasme.

« Haaaaaaaaaaa… !! »

Ce fut un nouvel orgasme, et, encore une fois, il fut généreux. Son foutre s’enfonça dans le corps de la femme, par le biais de multiples giclées, et Sarah soupira longuement, son corps s’écrasant contre le sien, dans un nouveau et long baiser. Un baiser magnifique et vibrant, plein d’émotions et de désirs, avant que Sarah ne le rompe, un sourire sur la bouche.

« Oh, ma belle Ania… Je vais adorer te faire des bébés… »

Elle embrassa son cou, puis lécha son oreille, avant de murmurer dans le creux de cette dernière :

« Encore et encore… »

Un nouveau baiser se posa sur son oreille, puis son regard croisa le sien, leurs nez venant se frôler brièvement.

« Pas toi ? »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 18 janvier 2015, 16:26:12
   Prenant plaisir à se faire prendre, à se faire défoncer à grand coup, de sentir ce membre imposant racler ses parois, écraser son clitoris et frapper son col de l'utérus. Son premier orgasme venait d’ouvrir encore plus grand les porte de son esprit au plaisir. Le premier d'une série sans fin, son... baptême dans son entré dans le monde formien et pour son futur destin. Ce plaisir l’envoûter, lui donnant plus envie de se faire prendre, de jouir ! L'annexienne mettait toute son ardeur, toute sa force, cherchant à toujours abreuver de plaisir, de fantasmes et d'extase le corps et l'esprit d'Ania. Elle n'était plus qu'une poupée dans ses mains, une poupée grandeur nature, plus vrai que nature, fait pour le sexe. Sa respiration brûlante était rapide, saccadé, entrecouper de ses gémissement et de ses cries, remplissant l'air de son d'extase, mêlant fatigue et excitation, se confondant avec ceux de l'annexienne. Un ode à la luxure, un hymne au plaisir, un mélopée de l'extase.

   L'annexienne l'embrassa à nouveau et Ania possédait par le plaisir, y répondit avec d'ardeur que l'annexienne, léchant sa langue comme un sucrerie. Leur baves se mêlaient en de rivière dégoulinant de leur lèvres. Ania ne pouvait plus s'y souscrire, ne pouvais plus extraire son esprit des torrent de plaisir le noyant. L'annexienne la tenait dans la paume de sa mains, ne pouvant s'en échapper, nourrir de se flux constant de plaisir, l’empêchant de pouvoir faire autre chose. Son doigt dans le cul de l'annexienne, remuait au rythme des coups des bassins de l'annexienne et de ses tremblement.

   Après des heures de sexe intense, l'annexienne avait toujours autant de ressource, ce qui ne fessait qu'inquiéter les membres restant, ne pouvant imaginer une telle endurance. Même Tirch ne pourrait tenir face à un telle rythme. Mais cela était bien réelle pour leur plus grand malheur, sans compter que ce n'était que le début de leur sombre destin. Ce destin, leur situation et leur sentiments aussi divers que varier, les empêcher de ressentit certains besoin, comme la faim ou la soif. Elles ne pouvaient réaliser l'ampleur de ce qui les attendaient réellement, tout étant possible avec ces monstre, sans savoir qu'ils étaient impatient d'arriver à la suite du programme qui leur était réserver, sans savoir que l'annexienne leur réserver un destin beaucoup plus sombre que ce qu'elles imaginaient jusque là.

   Mais tout ceci n’empêcher pas Ania d'être absorber par tout ce plaisir. L'annexienne brisait parfois leur baiser avant de le reprendre de plus belle, laissant le temps à Ania de mordiller affectueusement et lécher avec plaisir le cou de l'annexienne, guider par des pulsions jusqu'alors inconnue. Ania ressentit un dernier coup, avant que l'annexienne ne l’écrase contre elle, se vidant en elle, plaquant le bout de sa verge contre son col de l'utérus, le remplissant rapidement de son fluide, les jets allant s’écraser contre les parois de son utérus, avant de dégouliner et d'occuper une bonne partie de l'espace, la verge bloquant la sortie du fluide. Elle jouit à son tour, son deuxième orgasme avant que l'annexienne ne se vide une seconde fois, remplissant encore plus son utérus de son foutre. Ania sentit clairement son utérus remplit de ce foutre chaud, réalisant la quantité impressionnante qu'avait jouit l'annexienne.

« Oh, ma belle Ania… Je vais adorer te faire des bébés… »
-Aaah.... je....mmmh pas... répondit Ania, respirant bruyamment ne parvenant plus à trouver ses mots.

   L'annexienne embrassa son cou et lui lécha l'oreille tout en lui susurrant son envie de lui en faire plus, avant d'embrasser son oreille et de remettre son visage devant le siens. Le regard perdue et plein de plaisir d'Ania croisa celui de l'annexienne, la bouche entrouverte, respirant bruyamment, rouge et la bave au lèvre. L'annexienne lui demanda si elle partageait la même envie. Le temps que son cerveau enregistre ses paroles, les comprennent, les analyses et cherche la réponse adapter, il s'écoula une ou deux minutes, Ania plus vraiment en mesure de réfléchir.

-O...oui.... soufla t-elle.

   Même si cela ne se remarqua pas, Ania avait eu une hésitation, une part d'elle n'étant pas d'accord, mais qui voulait survivre et ne pas contrarier l'annexienne.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 21 janvier 2015, 01:25:17
La belle Ania s’était effondrée sur place, et finit, après quelques hésitations, par avouer tout son amour. Tout son corps vibrait et tressaillait de plaisir. Sa « Barbie Girl » était définitivement prête. Sa poupée sexuelle, voilà ce que serait Ania, avec sa belle combinaison rose pimpante, qui était comme un irrésistible appel au viol. Dans son ventre, la vie était en train de pousser, de naître et d’éclore. C’était très beau, une image magnifique, qui fit sourire Kerrigan. Elle embrassa à nouveau Ania, tandis que la femme s’avouait vaincue.

« C’est très bien, ma belle... Très, très bien... »

Un autre baiser, tendre et affectueux. Sarah la traitait comme une chose, comme un bien dont elle serait contente, parce qu’il correspondait à ce qu’elle voulait. Elle avait encore envie de lui faire l’amour, de la prendre sauvagement contre le mur, de la baiser dans tous les sens possibles, de la faire hurler et couiner. Mais elle devait se retenir, car il y avait d’autres Tekhanes, qui, patiemment, attendaient leur tour.

« Nous nous reverrons très bientôt, ma puce, ne t’en fais pas... Ta Reine ne t’oublie pas. »

Sarah l’embrassa sur le front, puis des tentacules jaillirent, et saisirent la femme. Le mur s’ouvrit en deux, les tentacules s’enroulant autour de ses épaules, de sa taille et de ses jambes, puis elle disparut à l’intérieur, son corps se frottant contre les parois. Le mur se referma derrière elle, et, pendant quelques secondes, Sarah tourna le dos aux Tekhanes restantes. Elle reprenait lentement son souffle, et se retourna ensuite, observant celles qui restaient. Les rangs avaient bien diminué, et, si elle avait gardé certaines proies faciles, comme Ilinia, d’autres allaient lui poser bien plus de problèmes, comme Tirch ou Engiel. Sagement, Kerrigan les avait laissés en retrait, afin de progressivement les désespérer, et faire ainsi en sorte qu’elles soient plus faciles à être brisées. Elle n’oubliait pas l’acte héroïque et suicidaire de Mistrial. Même vaincues, ces Tekhanes continuaient à faire preuve d’une irritante capacité de résilience, refusant de se laisser soumettre, préférant se battre et se battre, quitte à mourir. Une situation embarrassante, que la Reine des Lames rencontrait déjà avec Nova Terra, et qui nécessitait une vigilance accrue.

La Reine des Lames s’éclaircit la voix, puis s’avança un peu, revenant au centre de la pièce.

« Bien, mes chères petites ! Il est temps de continuer à nous amuser... Alors, alors... Qui veut avoir le plaisir d’être engrossée par la Reine des Lames ? Hum... »

Goya était toujours là pour l’aider, et Sarah se tourna vers elle.

« Je crois que tu as été assez utile, Goya... Rejoins tes petites copines, profite, toi aussi, de mon Monstre... »

Goya, surprise, se mit ensuite à sourire, puis hocha la tête. Voilà clairement une offre qui ne se refusait pas ! Elle partit par une galerie, la porte se refermant derrière elle, puis Sarah se pencha à nouveau vers les femmes attachées. Elle les observa pendant de longues secondes... Puis arrêta son choix.

« ENGIEL ! »

Les tentacules enserrant Engiel (http://s108.photobucket.com/user/Tyjos/media/Anime%20Images/92ad1bc06f1f3be1e5d9418c39948775.jpg.html) se relâchèrent alors, et la jeune femme tomba sur le sol, à quelques mètres de la Reine des Lames.

« J’ai cru comprendre que tu avais impressionné l’une de mes Filles... Mais rassure-toi, avant de la voir, tu vas devoir passer par moi. On peut dire que tu as tiré le gros lot... Contente ? »

Sarah employait volontairement un ton moqueur, afin d’humilier davantage ces jeunes filles.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 21 janvier 2015, 20:54:47
   Survivre, quelque soit le moyen Ania voulait survivre, quitte à devoir trahit les siens et accepter son sort. Plus de raisons de vivre, mais peur de la mort, qui était leur seule porte de sortie, tenant plus de mythe et de légende. Elle s'était donner à l'annexienne, accepter tout ce plaisir qu'elle lui provoquait et de porter ses progénitures et qui étaient maintenant les siennes de progénitures. Maintenant elle était entièrement la possession de l'annexienne, refusant de la contrarier et de faire tout ce qu'elle voudrait. L'annexienne l'embrassa et Ania y répondit, peut être avec autant d'entrain que les autres, mais assez pour passer presque inaperçue.

« C’est très bien, ma belle... Très, très bien... »

   Nouveau baiser, elle y répondait comme pour l'autre. Elle se sentait vide, déposséder de sa volonté, se soumettant à celle de l'annexienne, ne pouvait rien faire librement. Son regard croisa celui de l'annexienne, et comprit que cette dernière souhaitait continuée à la prendre avec ardeur, de la baiser encore et encore, mais qu'elle se le refuser.

« Nous nous reverrons très bientôt, ma puce, ne t’en fais pas... Ta Reine ne t’oublie pas. »

   Elle ne dit rien, n'ont pas qu'elle n'avait rien à dire, mais qu'elle le prenait comme un ordre indiscutable. Elle ne fit pas attention au baiser et ne réagit pas quand les tentacules l'attrapèrent, s'enroulant sur corps pour l'amener. Elle était une poupée, elle ne fit rien, sauf jeter un regard de peine et de tristesse à ses camarades, mais ne put voir que le regard désespère d'Ilinia, avant de disparaître dans le conduit.

   Tirch, Ilinia, Engiel et Schield. Les quatre dernières membres encore présent, les quatre « survivantes » de ce qui jadis était la section Delta S. Quatre membre qui ne pouvait que regardaient l'annexienne qui les contempler, comme un fauve devant sa proie prise au piège. Ilinia se sentait viser, elle fut la toute première à subir les assauts de l'annexienne, la première il y'a plusieurs mois maintenant, elle fut le prélude, serait t-elle le final ? Engiel n'avait plus goût à la vie, se sentant las de vivre et de ne rien pouvoir faire. Schield ne pouvait s’empêcher de ressasser le passée, ce fessant du mal à comprendre leur chute. Tirch, et bien Tirch pensait toujours à tuer l'annexienne, ses pensées n'ayant que peu changer depuis le début, revenant toujours à l'annexienne qui était devenue sa cible après Goya. Le quatuor observait leur bourreau, attendant son verdict.

   L'annexienne revint vers le centre, se rapprochant des survivantes, dons les appréhensions était divergentes.

« Bien, mes chères petites ! Il est temps de continuer à nous amuser... Alors, alors... Qui veut avoir le plaisir d’être engrossée par la Reine des Lames ? Hum... »

   L'entendre parler avec un terme possessif et avec joyeuseté, enfonçant plus profondément le couteau dans la plaie, inscrivait encore plus dans leur esprit l'inévitable destin qui les attendaient.

« Je crois que tu as été assez utile, Goya... Rejoins tes petites copines, profite, toi aussi, de mon Monstre... »

   Elles l'avaient complètement oublier, leur triste ex-camarade. Celle qui fut la première à subir l'enfer formien, à subir ce destin horrible. Le pire étant qu'elles savaient qu'elles finiront comme elle, briser, complètement soumisses et totalement sous le contrôle de cette salope d'annexienne.

« ENGIEL ! »

   C'est comme si le diable en personne venait de crier son nom, elle sentit le poids gigantesque du désespoir s’abattre sur ses épaules. Elle se sentait comme un créature chétive, faible et craintive, devant le pire monstre de Terra. Les tentacules la libérèrent, la laissant choir lamentablement, s'étalant sur le sol sans chercher à se relever, voulant mourir.

« J’ai cru comprendre que tu avais impressionné l’une de mes Filles... Mais rassure-toi, avant de la voir, tu vas devoir passer par moi. On peut dire que tu as tiré le gros lot... Contente ? »

   Cette remarque n’eut aucun impact sur Engiel, qui réalisa seulement maintenant qu'elle était libre de ses mouvements. Plusieurs seconde s'écoulèrent quand elle finit par se relever, se remettant debout ses yeux regardant ses mains, serrant et desserrant ses doigts. Quelque chose traversa son esprit, une pensée que son esprit s’empressa d'engloutir et de cacher de l'annexienne. Cette pensée lui redonna de la vigueur et un semblant d'espoir.

-Un gros lot ? Ouais, une femme aussi conne que nympho ! Crachat Engiel à l'adresse de l'annexienne.

   Elle n'était pas loin de Schield, libre de ses mouvements et plutôt éloigner de l'annexienne. Elle se mit à courir vers Schield et le temps que l'annexienne réalise ce qu'elle fessait, Engiel étrangla de ses deux mains Schield, serrant de toute ses forces ! Si elle pouvait en libérer une de ce cauchemars et d’empêcher l'annexienne de l'avoir, elle ferait tout son possible quitte à un mourir. Schield plutôt que de paniquer, était ravis, mourir était leur seule porte de sortie, et elle s'ouvrait à elle.
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   Lorsque le mur c'était refermer sur elle, Ania s'était mise à pleurer. Pleurant autant à cause de sa lâcheté que de sa faiblesse d'esprit. Elle aurait aimer être comme Jade, Jeanne ou Mistrial, de pouvoir s'opposer à l'annexienne, mais elle était trop faible, elle ne pouvait rien faire et elle s'était donner à l'ennemie. Pourquoi devait elle aussi faible et pourquoi, qu’importe le membre, ne pouvait rien faire contre cette annexienne ! Elle n'était pas toute puissante non plus ! Pourquoi le destin était-il aussi injuste avec elles ?

   La descente dans ce toboggan fut tout sauf plaisant, rien que par sa texture Ania avait envie de vomir. Mais elle ne fit rien pour ce ralentir, sauf quand elle aperçue le terminus, qui se composer essentiellement de tentacules. Ce n'était plus les soldates qui allaient au monstre, mais le monstre qui allait aux soldates, ce dernier avait investit le toboggan, bouchant la sortie pour que les soldates tombe directement dans ses tentacules.

   Ania se heurta aux tentacules, qui commencèrent à engloutirent ses jambes, avant d'aspiré Ania, disparaissant peu à peu dans la masse. Son intimité arriva à peine aux premières tentacules, qu'elle se fit pénétrée par deux tentacules en même temps, de petite taille remuant sauvagement dans son intimité, avant que d'autre n’investisse sa combinaison, se répandant rapidement sur son corps, avant de tirer d'un coup, la plongeant dans la masse.

   C'était comme un tuyau pas assez large pour son corps, compressait, n'arrivant même pas à bouger la tête ou à voir sa poitrine, tout en se demandant combien de tentacule titiller ses tétons et compressaient sa poitrine. En plus d'être trop serrer, comme pour facilité son avancer, Ania avait l'impression de patauger dans une substances transparente, gluante et visqueuse. Une tentacule s'engouffra dans son fondement, allant profondément dans ses entrailles et de remuer lourdement, ce qui lui arracha un crie qui fut étouffer par cette substance qui inonda sa bouche et d'une tentacule qui s'y engouffra, fessant une gorge profonde et de violent vas et viens. Elle sentit des piqûre, des tentacules lui injectant de l’aphrodisiaque.

   Elle venait d'entrée dans le repaire du monstre et subissait sa loi.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 25 janvier 2015, 01:50:36
Qu’allait faire Engiel ? Elle avait l’initiative en poche. Allait-elle se soumettre, se battre, ou tenter de se suicider ? Pour Sarah, ses options, globalement, se résumaient à cela. Sarah savait que la capacité de résilience de l’être humain était l’une de ses plus grandes forces. Désespérer un être humain, le désespérer totalement, était très difficile... Paradoxalement, l’être humain se désespérait bien plus facilement de lui-même que quand on voulait le pousser au désespoir. Il y avait là beaucoup de leçons à en tirer sur la psychologie humaine, des paradoxes que les Formiens n’avaient pas compris, et qui expliquaient pourquoi l’Overmind avait modifié sa stratégie, afin de transformer une humaine normale en Formienne. Engiel se releva lentement, à quelques mètres de Kerrigan, et Sarah lisait dans ses yeux autre chose que de la soumission totale... Elle lisait la résilience, et cette dernière s’exprima de manière différente. La Tekhane savait qu’elle n’avait aucune chance contre Sarah, et elle choisit de se sacrifier pour l’une de ses amies.

« Un gros lot ? Ouais, une femme aussi conne que nympho ! »

Engiel bondit vers Schield, l’une de ses amis, et tenta alors de l’étrangler. Sa tête était accessible, et Engiel voulait lui éviter ça... Ce qui, dans sa tête, signifiait qu’elle estimait que Sarah Kerrigan était pire que la mort. Sarah pouvait bondir vers elle, mais la femme était trop éloignée... Et elle pouvait briser la nuque de Schield en quelques secondes. Les yeux de Sarah se mirent à s’illuminer dangereusement (http://img110.xooimage.com/files/b/6/0/screenshot001-499b835.jpg), tandis que son visage sembla se strier de lueurs violettes, et une onde psionique déferla de ses doigts, frappant Engiel à la tête. Ce fut comme si une bombe venait d’exploser dans le crâne de la femme, dispersant et disloquant ses pensées, son passé, et ses idées. Elle poussa un hurlement de douleur, du sang jaillit de son nez pour éclabousser la combinaison de Schield, et Engiel tomba au sol. Pendant une période variable s’étalant sur plusieurs secondes, elle allait être sonnée. Les souvenirs du passé allaient venir, entraînant une perte identitaire. Sarah n’était pas une Annexienne pour rien. Ancienne Ghost, son statut de Formienne avait amplifié des pouvoirs psychiques qui, déjà auparavant, étaient légendaires. Elle était Psi-10 à l’époque des Ghosts, un niveau extrêmement élevé, le plus élevé. Les Psi-10 se comptaient sur les doigts d’une seule main, et on disait que ce rang avait même été créé spécialement pour Sarah Kerrigan.

Tandis qu’Engiel retrouvait peu à peu ses pensées, Sarah se mit à marcher vers les deux femmes. Son attaque avait été aussi foudroyante qu’efficace, confirmant bien ce que Sarah était en train de leur asséner depuis le début : pas d’échappatoire possible. Elle sourit à Schield, et arriva à côté d’elle, enjambant Engiel. Sa main caressa la joue de la femme.

« Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de toi plus tard... » lui sussurra-t-elle.

Elle la releva ensuite, les tentacules retenant Schield se serrant un peu plus fort, la soulevant du sol. Sarah se retourna ensuite vers Engiel, et, lentement, la Reine des Lames fléchit les genoux. Sa main alla caresser délicatement les courts cheveux bruns de la femme. Il était possible qu’Engiel se mette à vomir, tout dépendait de sa résistance.

« Vous êtes à moi, mes chéries... C’est moi qui décide quand vous mourrez. Il est temps que vous le compreniez... Vous n’avez plus d’échappatoire. Oubliez vos anciennes vies. Oublie ton chat, Ilinia. Oublie tes dettes, Schield. Maintenant, tout ce qui compte est de me faire plaisir. Plus vous serez obéissante, et plus le vous récompenserais. La Fourmilière est une civilisation à part entière, différente de la vôtre, mais infiniment plus agréable... Elle vous prive de l’illusion que vous avez d’être libres... Car la liberté est un mirage. Vous en avez été les esclaves, endoctrinées, asservies par cette dernière... Et nous venons vous libérer de ce mensonge, vous offrir la vérité, la réalité... »

Son autre main alla caresser l’une des joues d’Engiel, tendrement et délicatement, presque comme une mère aurait pu le faire envers son enfant pour le soulager de sa souffrance.

« Tu ne le comprends pas encore, Engiel, et c’est normal... Mais un jour viendra où, comme Goya, tu me remercieras... »

Kerrigan le disait sur un ton calme et posé, comme si, pour elle, ça ne faisait absolument aucun doute.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 08 février 2015, 17:22:27
   Elle était entrain d'étrangler à mort une de ses camarades, mais il n'y avait aucune hésitation, ni trouble, ni appréhension, ni malaise. Il n'y avait que de la conviction, de la rage et l'espoir de la sauver des griffes de ce monstre ! Elle oublia l'annexienne croyant qu'elle n'aurait pas le temps de l'en empêcher. Shield voyait sa vie défiler devant ses yeux, les battements de son cœur pour seul son, ayant du mal à respirer, sa bouche ouverte mollement, cherchant un bouffé d'air à attraper, mais ne pouvant l'aspirer. Aucune des deux ne pus voir ce que fessait l'annexienne, et Engiel ne vit pas les regards et mouvement de tête désespérer de Ilinia lui indiquant le danger imminent.

   Schield n'apercevais que Engiel, son visage crisper par l''effort, les yeux flamboyants, Juste avant de voir son visage se défigurer, du sang gicler de son nez constellant sa combinaison de rouge, ses yeux se révulser, tout en hurlant à la mort et de se tenir la tête dans les mains, avant de s'écrouler à ses pieds. Elle aspira un brusque bouffé d'air, avant de respirer comme un rhinocéros, le souffle rauque et rapide.

   Quand Engiel reçu l'onde psionique, une douleur impossible à concevoir même en enfer s'empara d'elle, elle ressentit en même temps un immense vide, lui fessant autant souffrir. Son esprit semblait être vaporiser, oubliant tout ce qui fessait d'elle un être vivant. Son hurlement de douleur n'était pas seulement l'exutoire de la douleur qu'elle ressentait, mais aussi le hurlement à la mort de son esprit et de la détresse de son âme. Elle tomba à la renverse, sous les yeux effaraient et effrayer de ses camarades, chutant lourdement sur le sol, le corps agité de spam, de tremblement, les yeux révulser, la bouche grande ouverte, d'où s'échapper que des sons indéfinissable, coup par coup, le nez pissant le sang, les mains accrochaient à sa tête comme si il s'agissait de son âme qui voulait s'enfuir.

   Schield aperçue l'annexienne se rapprochait d'elles, l'unique porte de sortie venait de se renfermer brutalement devant elle. Tandis qu'elle reprenait avec mal son souffle, elle maudit vainement leur destin et regarda avec terreur l'annexienne, qui enjamba Engiel. Elle tendit sa main pour caresser sa joue, malgré les tentatives de Schield pour éviter sa main, avant de lui susurrer d'une voix douce :

« Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de toi plus tard... »

   Ceux qui n'arrangea pas son cas, s’inquiétant encore plus, se surprenant à prier dieu. Si vendre son âme lui permettrait de fuir cette endroit, elle le ferait sans hésité. Les tentacules servant lui servant de chaînes, se resserrèrent. Pour Engiel, ses pensées, ses souvenirs, son esprit, son identité lui revenez peu à peu, elle avait le tournis, la nausée, mais elle résister à l'envie de vomir, mais elle n'avait rien à vomir, ce dont elle se rendit compte quand sa mémoires lui revint, réalisant qu'elle n'avait sûrement rien manger depuis des jours. Mais cela devint le cadets de ses soucies, quand l'annexienne apparue dans son champs de vision, alors qu'elle caressait ses cheveux. Pétrifier elle n'osa même pas cligner des yeux, tellement peur qu'elle recommence son attaque.

« Vous êtes à moi, mes chéries... C’est moi qui décide quand vous mourrez. Il est temps que vous le compreniez... Vous n’avez plus d’échappatoire. Oubliez vos anciennes vies. Oublie ton chat, Ilinia. Oublie tes dettes, Schield. Maintenant, tout ce qui compte est de me faire plaisir. Plus vous serez obéissante, et plus le vous récompenserais. La Fourmilière est une civilisation à part entière, différente de la vôtre, mais infiniment plus agréable... Elle vous prive de l’illusion que vous avez d’être libres... Car la liberté est un mirage. Vous en avez été les esclaves, endoctrinées, asservies par cette dernière... Et nous venons vous libérer de ce mensonge, vous offrir la vérité, la réalité... »


   Toujours étaler par terre, Engiel ne dit rien, car il n'y avait rien à dire. Elle pourrait aisément répliqué et peu être démolir ses arguments, mais elle ne le fessait pas. Elle pourrait avoir les meilleurs arguments du monde, des milliers de preuves, Terra entier comme témoins, comme quoi l'annexienne se trompe, que ce qu'elle dit et faux, mais cela ne la ferait pas bouger d'un pouce de ses positions, elle garderait toujours le même discours et les mêmes pensées. Elles n'avaient aucune chance de pouvoir s'enfuir par la force ou la ruse, ce n'était donc sûrement pas par la parole qu'elle pourrait amadouer cette femme.

   L'annexienne caressa sa joue, ce qui lui donner l'impression d'une araignée caressant une mouche prise dans sa toile, avant de la dévorer. Elle se mit à lui parler, lui disant qu'elle comprendra et qu'elle sera aussi redevable qu'elle.

-Arrête de parler tu me file la nausée. Souffla Engiel.

   Elle se mit sur le dos et ne fit rien d'autre. Elle ne pouvait rien faire contre l'annexienne, quoi qu’elle fasse, condamner à se faire contrer et ramener à l'ordre. Elle avait accepter sa faiblesse, elle accepta son destin et son sort. Aucune chance de mourir ou de fuir, plus d'espoir, plus de raison de vivre, plus rien ! Rien que ce sombre destin, que de finir dans les bras de la Reine des Lames et de devenir son esclave. Mais elle n'avait pas encore renoncer à une chose.

   Aussi rapide que vif, alors que l'annexienne se coucha sur elle, prête à la baiser, Engiel écrasa sa tête sur son nez, fessant faire à son front la connaissance avec le nez de l'annexiene, une première rencontre brutale. Son poing droit fit connaissance avec la joue droite de l'annexienne, son point avec la mâchoire. De ses deux jambes elle repoussa l'annexienne, tout en lui foutant un deuxième coup de poing dans son nez. Qu'elle brise son esprit ou qu'elle la donne en pâture à des monstres pire que celui qui s'occupe de ses camarades, elle n'en n'avait rien à faire, car tôt ou tard elle les auraient subits, tôt ou tard l'annexienne aurait briser son esprit.

   Elle n'avait pas agit dans le bête espoir de la vaincre, ni de la pousser à la tuer, ni de gagner. Elle avait agit par fierté et honneur, ne voulant pas avouer sa défaite, ni se rendre sans combattre une dernière fois, agissant sur l'ancienne devise de son ancienne escouade Rhino : Toujours au combat, même au porte de la mort.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 09 février 2015, 11:28:11
La belle Engiel faisait partie des têtes fortes de l’escouade de ces belles femmes en combinaison moulante. Elle était une rebelle, une femme qui ne s’avouerait pas vaincue si facilement. Kerrigan le savait, tout comme elle savait que son petit discours n’aurait eu aucune fonction sur cette femme. Engiel serait difficile à briser, et, couchée sur le dos, elle attendit que la Reine des Lames se rapproche d’elle pour mieux la repousser. Hargneuse et rebelle, elle envoya sa tête heurter son nez, et Sarah soupira, sentant la douleur éclater dans son cerveau, palpitant le long de ses narines. Elle n’eut pas le temps de réagir qu’Engiel envoya un poing dans son visage, puis enfonça ses genoux dans son corps, et s’en servit pour la repousser. Surprise, Sarah n’eut pas le temps de réagir. Elle se redressa lentement, et un deuxième coup de poing lui brisa le nez, provoquant un craquement sonore quand l’os nasal éclata. Partant à la renverse, la Reine des Lames tomba sur le sol. Poussant un grognement, la Reine des Lames se releva lentement, une main tenant son nez, du sang s’échappant de ses narines et de ses lèvres.

« Petite pute... » cracha-t-elle, d’une voix nasillarde et sifflante.

Sarah se releva lentement, et retira sa main de son nez, laissant ce dernier guérir rapidement, grâce à son facteur autoguérissant. Comme quoi, jusqu’au bout, ces Tekhanes se battraient. Des femmes fortes, excitantes, dont le refus de se soumettre, loin de la griser, ne contribuait qu’à exciter davantage Kerrigan. Serrant et desserrant les poings, Sarah sentait un frisson la traverser. Elle était une Annexienne, certes, mais ceci signifiait aussi qu’elle était plus proche de ses pulsions primitives, ce qui incluait, non seulement le sexe, mais aussi la violence, l’envie de se battre.

« Tu as envie de te battre, Engiel, n’est-ce pas ? sourit-elle, une lueur malicieuse et perverse dans les yeux. Très bien... »

Reprenant son souffle, la Reine des Lames s’avança vers Engiel, ayant une autre idée derrière la tête. Son souhait n’était pas juste de les baiser fort, de les défoncer en les violant sans relâche, mais aussi de les amener, progressivement, à devenir ses concubines. C’était ce qu’elle voulait, les avoir à ses pieds, de belles pondeuses qui accepteraient consciencieusement de porter ses bébés... Si c’était plutôt bien parti pour quelques membres de l’escouade, notamment Mixim, ou encore Ania. Mais Engiel, Mistrial, ou encore Tirch, seraient le noyau dur... Sarah pouvait toujours les violer jusqu’à les briser totalement, mais cette méthode ne lui convenait pas... Elle était longue et difficile, et elle voulait donc des méthodes différentes, alternatives.

Face à Engiel, Sarah reprenait son souffle, et, peu à peu, son corps changea, évolua... Pour reprendre une forme humaine (http://img90.xooimage.com/files/2/a/0/humaine-2-3d125f7.jpg), avec sa combinaison de Ghost. Quand elle se mit ensuite à parler, sa voix redevint plus humaine, plus normale, moins forte et grave...

« Viens te battre, Engiel... Si tu arrives à me mettre au tapis, je ne te violerai pas tout de suite. »

Sarah avait repris son apparence normale, afin que le combat soit plus équilibré. Il ne fallait pas oublier que, avant d’être une Annexienne, elle avait été une Psi-10, une Ghost, ayant suivi un entraînement strict, rigoureux, qui avait impliqué une formation physique, au corps-à-corps. Plus simplement, Sarah voulait battre ces femmes sur leur propre terrain, afin de les humilier davantage, et de les briser plus facilement.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le samedi 28 février 2015, 16:08:08
   Engiel, malgré le fait qu'elle soit complètement inoffensif pour l'annexienne, faible au corps à corps contre d'autre de ses camarades, fut la première et sans doute la dernière à avoir réussit à faire saigner l'annexienne, même si ce n'était que le nez pissant le sang après s'être fait casser. C'était un petit exploit amer, sans goût, sans plaisir. Ce n'était qu'un coup de chance, rien qui puisse redonner espoir à ses camarades restant, qui ne voyait que là qu'un coup de chance, rien d'autre, les désespérant encore plus, car Engiel devait cette exploit à un coup de chance, l'annexienne ayant juste baisser sa garde.

   Engiel se releva rapidement et contempla avec une fierté non dissimuler l'annexienne se tenant son nez casser et par terre, qui se releva ensuite en l'insulta de petite pute, ce à quoi Engiel répondit avec léger rire et sur un ton sarcastique et ironique :

-Venant de toi, je prend ça comme une marque d'affection !

   Vue le projet de l'annexienne avec l'escouade Delta S, Engiel voyait désormais les insultes comme des marque d'affection de la part de l'annexienne pour ses futurs concubines, car aucun doute qu'elle les appelleras comme ça dans le futur. Engiel se mit en position de combat, sautillant un peu sur place échauffant ses muscles. Elle observa le nez se soigner tout seule, se demanda qu'aller faire l'annexienne. Malgré ce qu'elle venait de faire, Engiel trouvait que l'annexienne n'était pas autant en colère qu'elle aurait crue, s'attendant à une tentacule l'étrangler ou un xénophorme l'attaquer, voir même de subir une autre attaque psionique.

« Tu as envie de te battre, Engiel, n’est-ce pas ? Très bien... »
-Non, j'ai envie d'un bon quartier de viande bien juteux avec une sauce barbecue ! Répliqua Engiel avec tout le sérieux dont elle était capable.

   Ce qui n'était pas entièrement faux. Engiel jouait une carte plutôt étrange qu'est la moquerie, elle se moquait ouvertement des paroles de l'annexienne. Elle regarda le corps de l'annexienne se métamorphosé, de changer de couleur et de forme. Le résulta finale ne manqua pas de couper le souffle aux survivantes, l’ancienne apparence de Sarah kerrigan, avec sa combinaison en plus. La voir en humaine était aussi surprenant que troublant. Engiel ne comprit pas l’intérêt de l'action de l'annexienne, d'un autre côté c'était pas plus mal, au moins elle n'a plus la gueule de monstre qu'elle avait avant. La voix de la Reine des Lames surprit tout autant l'équipe, c'était comme une personne totalement différente, une autre Sarah Kerrigan !

«  Viens te battre, Engiel... Si tu arrives à me mettre au tapis, je ne te violerai pas tout de suite. »
-Et moi j'imiterais la poule. Dit Engiel avec un rire forcé, avant de prendre un air exaspérer. Sérieusement, te fout pas de ma gueule.

   Elle chargea l'annexienne, avec seulment la fierté et l'honneur de l'escouade Rhino avec elle, pour honoré la mémoire de celle qui étaient morte, le reste de l'escouade Rhino et leur devise. Elle n'avait aucune chance, elle fessait face à une annexienne, une ancienne ghost, soit une membre de l'élite de l'armée de Tekhos, presque aussi puissante que les membres du commando Valkyrie. Une soldate ayant reçu un entraînement qui en aurait briser plus d'une, Engiel n'était qu'une soldate de bas étages. Mais pourtant elle allait se battre, une lueur de détermination dans les yeux, le visage impassible, se moquant de ses chances de réussites.

   Engiel ne chercha pas à se protéger, sachant cela inutile contenue de ses capacités face à celle de l'annexienne, sa défense serait facile briser. Engiel tenta un high kick, obligeant l'annexienne à esquiver, avant de rabattre sa jambe violemment et d'enchaîner rapidement avec un coup de pied retourné touchant au torse l'annexienne la prenant de vitesse, la repoussant, avant d'utiliser un crochet droit une fois revenue à sa position initiale, mais manqua de précision et de vitesse, esquiver son attaque fut simple et reçu en récompensant un coup direct dans le ventre, la pliant en deux, manquant de la faire vomir, sentant quelque sucs gastriques remonter dans sa gorge.

   Peinant à ne pas s'écrouler sur place, Engiel recula en titubant, une main sur son ventre, l'autre pendait mollement le long de son corps. Elle se redressa doucement, le regard toujours habiter par la même lueur de détermination.

-Dis moi, si t'as changer d'apparence, c'est parce que t'a réaliser que t'avais une sale gueule pas vrai ? Lâcha Engiel d'une voix qui se voulait arrogante et hautaine.

   Elle cherchait même pas à l'énerver pour la déstabiliser et avoir l'avantage, sachant pertinemment qu'en fin de compte elle perdrait ce combat, elle ne fessait pas le poids, mais ça ne l’empêcher pas de vouloir se battre et la frapper. Elle chargea une nouvelle fois, le poing lever, prête à frapper.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 03 mars 2015, 01:26:33
Les Ghosts étaient connus au sein de l’armée de Tekhos. C’était un corps légendaire de l’armée, qui avait la réputation d’abriter les soldats les plus talentueux qui soit. Des individus dotés de pouvoirs paranormaux, ayant subi un entraînement surhumain, généralement depuis l’enfance, et qui bénéficiaient du meilleur équipement qui soit. Sarah portait toujours avec elle sa combinaison de Ghost, qui apparaissait à défaut quand elle reprenait sa forme humaine. Quand elle avait son apparence normale, la combinaison était « avalée » par son corps. La combinaison n’était en effet pas faite dans un tissu normal, mais avec des nanofibres qui s’adaptaient à l’environnement. Ainsi, dans un environnement volcanique et rocailleux, la combinaison changeait de couleur. De même, elle s’adaptait à la taille et au poids de son utilisateur, à la température ambiante, et à quantité d’autres critères, afin de garantir un confort optimal et une efficacité totale en n’importe quelle circonstance. Sarah n’allait tout de même pas se séparer d’un tel joyau de technologie, et elle se tenait donc face à Engiel, dans un combat risquant d’être à sens unique. En effet, même sans ses capacités d’Annexienne, Kerrigan restait une Ghost légendaire, la seule Psi-10 qui existe, celle qui avait réformé les critères de notation des Ghosts en ayant de tels pouvoirs psioniques qu’elle avait été, pendant un temps, la seule Psi-10, avant que ce rang ne soit également atteint par d’autres Ghosts, comme Nova Terra.

Engiel dissimulait sa peur et sa colère derrière l’humour et la moquerie. Elle fondit sur Kerrigan. Une attaque rapide et forte, mais malheureusement trop prévisible. Sarah avait la lecture du combat, et esquiva l’attaque, puis frappa dans le ventre, visant les poumons, cherchant à couper la respiration de la femme. Un simple coup fut suffisant, et elle aurait alors pu enchaîner, et la battre encore. Elle aurait pu pivoter sur un pied, et envoyer l’autre se loger dans sa tête pour la coucher sur le sol, probablement au passage en lui faisant sauter une ou deux dents. Au lieu de ça, elle laissa Engiel tituber, et reprendre son souffle, un sourire sur les lèvres. Oui, Sarah était en train de prendre son pied. En aucun cas, elle ne se sentait en danger.

« Dis-moi, si t'as changé d'apparence, c'est parce que t'as réalisé que t'avais une sale gueule pas vrai ? »

Sarah esquissa un sourire moqueur.

« C’est moi, ou tu me dragues pour que je te fasse l’amour sous cette forme, chérie ? »

Engiel répondit en l’attaquant. Sarah s’élança aussi vers elle, et fléchit les genoux, courbant son dos, levant le bras pour bloquer le coup d’Engiel, puis, en s’étant abaissée, elle se redressa brusquement. Sa tête s’enfonça dans le ventre d’Engiel, et, emportée par son élan, la Tekhane s’envola par-dessus d’elle, et alla s’étaler sur le sol.

« Tu manques de concentration... On n’affronte pas quelqu’un au corps-à-corps en lui courant dessus comme une ahurie. En faisant ça, tu te prives de pouvoir contre-attaquer, en misant tout sur une attaque qui, de toute manière, échouera. »

Sa voix calme, définitivement humaine, était généralement troublante, car il était impossible de voir en elle une Annexienne. Sous cette forme, seuls les puissants capteurs biométriques tekhans pouvaient la confondre. Elle laissa Engiel reprendre ses esprits, tout en regardant les autres femmes présentes.

« Ne t’inquiète pas, Engiel, je ne vais pas trop t’abîmer, j’aime que mes amantes soient en bon état quand je les engrosse... »

Sarah aussi savait provoquer, ce qui pouvait peut-être encore surprendre les femmes présentes... Car elle avait l’air terriblement humaine. Comment cette femme avait-elle pu les trahir pour devenir une Annexienne ? Le constat pouvait être encore plus troublant, car elle pouvait faire preuve d’ironie et d’humour, ce qui, en un sens, soupçonnait une certaine forme d’empathie et de compréhension, des sentiments terriblement humains, et dont la plupart des Annexiens étaient totalement dépourvus.

Jusqu’à quel point lui avait-on lavé le cerveau pour qu’elle rejoigne la Horde et devienne une Annexienne ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 15 avril 2015, 16:47:39
   Engiel ne put réagir a temps lorsque l'annexienne se mit en action, leur niveau et connaissance de combat, leur temps de réaction et leur vitesse étant séparer par un gouffre immense au profondeur abyssal. Elle reçu l'attaque de plein fouet, frappant son ventre, coupant brutalement sa respiration et elle sentie des sucs gastriques remonter dans sa gorge, dont un filets mélanger à de la bave, jaillit de sa bouche lorsqu'elle ne put retenir un crie de douleur. Elle valsa au dessus de l'annexienne, sans chercher à amortir le choc, sonnée par le coup. Elle s’écrasa par terre, glissant un peu dessus, avant de se mettre en position fœtale. Elle était à un doigts de vomir, sans sa combinaison pour amortir au mieux le choc elle aurait vomit, mais sa lui empêcha pas de cracher des sucs gastrique.

-B..bordel... j'aurais due continuer.... à suivre l’entraînement au corps à corps..... marmonna t-elle.
« Tu manques de concentration... On n’affronte pas quelqu’un au corps-à-corps en lui courant dessus comme une ahurie. En faisant ça, tu te prives de pouvoir contre-attaquer, en misant tout sur une attaque qui, de toute manière, échouera. »

   Engiel se releva, en se tenant le ventre encore endoloris, encore un peu sonné. Elle rumina ses pensées, rageant de savoir que c'est une ennemie et surtout celle qui va pourrir pour toujours son destin qui lui donne des leçon de combat. Et elle ne l'avait pas déjà entendue ce conseil ? Elle ne savait plus. Elle tituba un peu sur place avant de reprendre plus de stabilité.

« Ne t’inquiète pas, Engiel, je ne vais pas trop t’abîmer, j’aime que mes amantes soient en bon état quand je les engrosse... »

   Engiel soupira, en même temps qu'elle lança à l'annexienne un regard à mi-chemin entre exaspérer et énerver. Si elle était stupéfaite par un contraste aussi grand entre ce que la Reine des Lames est et ce qu'on leur avait dit, Engiel n'était nullement impressionner, car ça pouvait être un moyen de les troubler, ce qui ne l’empêcher pas d'agir comme elle le sentait.

   Mais pour les autres c'était varier : Tirch n'en n'avait rien à foutre, ses pensées toujours fixer sur les moyens de tuer l'annexienne analysant sa manière de combattre en plus des informations qu'elle avait apprit sur elle ; Ilinia était presque choquer de voir que l'annexienne était très proche d'un comportement humain, d'agir et de parler comme eux ; Schield n'arrivait toujours pas à réaliser à qu'elle point l'annexienne pouvait être terrifiante pour les déstabiliser, les tromper et qu'elle ne fessait rien moins que de jouer avec elles, avant les violer.

-Me fais pas rire j'ai mal au côtes ! Brailla Engiel. C'est fou ce que t'es a chier pour les répliques, je vois pas de différence avec tes promesses de mon cul ! Une vrai humaine aurait trouvé quelque chose avec plus de panache contre moi, comparer à mes anciennes camarades, t'as le niveaux d'une gamine de deux ans ! Crachat Engiel, sur un ton moqueur et rabaissant. T'as peu être tout pour ressembler à humaine, mais t'a encore du chemin ma vielle ! Et tu fais prof de combat en plus de connasse à temps plein, de traîtresse pour toujours, de monstre sans cœur et complètement cingler à jamais et de machine de sexe pour nous ? Ça tombe bien apparamment j'ai besoin de cour supplémentaire en plus de devoir devenir la pute d'une pétasse arrogante et cynique ! Bon c'est plus des compliments vue ce que t'est. C'est quoi le tarif ? Acheva Engiel en criant presque.

   Elle chargea à nouveau, toujours avec cette fierté et cette honneur de l'escouade Rhino de continer à se battre pour faire honneur à ses camarades d'autrefois, et avec une envie accrue de la faire chier le plus possible. Elle ne renoncerait pas à se battre, elle n'avait plus d'espoir, mais sa liberté de mouvement lui avait redonner courage, avait chasser toute lueur désespoir ou de pensée pouvant lui saper le moral. Tant qu'elle pourra agir elle gardera cette petite flamme de courage pour se rebeller et se battre, petite flamme qui l'éclaire dans ce noir de désespoir.

   Sans faire d'assaut irréfléchi, Engiel agit avec intelligence. Elle plongea vers l'avant, fessant une roulade, se mettant à l’abri de potentielle coups, n'offrant aucun point pouvant lui nuire. Au bon moment, elle prit appui sur ses mains, tendit violemment ses jambes vers l'avant, la poussant dans ce sens, donnant un coup verticale à l'ennexienne. En même temps elle poussa avec ses bras, allongeant sa porter, afin que ses pieds puise frapper l'annexienne, l'obligeant à reculer. Elle rabattit violemment ses jambes, ses pieds frappant le sols l'aidant à se relever et de ses deux bras, elle tenta un double coup de poing visant le ventre de l'annexienne, parvenant à la toucher, mais pas aussi fort qu’espérait.

   Ses bras partir violemment vers les côtés bloquant ceux de l'annexienne et les écartant, avant de frapper du genou les côtes de l'annexienne, puis de la frapper au genou, cherchant à la faire tomber, comptant frapper sa nuque.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 18 avril 2015, 02:36:05
Engiel n’allait pas se rendre si facilement. Tant mieux. Sarah n’avait pas souvent l’occasion de se battre ainsi, et il fallait bien admettre… Que c’était excitant. Contrairement à ce que toutes ces femmes pensaient, il y avait encore, en elle, une dimension humaine qui n’était pas négligeable. Or, la violence était quelque chose de très humain, et qui était en train de remuer dans les veines de Kerrigan. Elle laissa à Engiel le soin de se remettre, et cette dernière en profita pour l’insulter, pour lui rappeler que les deux femmes n’avaient rien en commun. Cette affirmation fit naturellement sourire Sarah, et Engiel s’élança ensuite droit vers elle, déchaînée. Elle manquait de tactique, et compensait ça par une rage de combattre. Sarah se retrouva dans un rôle défensif, bondissant en arrière, esquivant, parant… Allant dans le sens d’Engiel, Sarah manquait aussi d’entraînement. Elle ne s’était pas battue sans utiliser ses propriétés formiennes depuis longtemps, ce qui se voyait en ce moment. Sarah se reçut donc plusieurs coups au ventre, et sentit les mains d’Engiel serrer ses poignets. Le genou de la femme alla ensuite se loger dans ses côtes. Sarah se sentit déstabilisée, un nouveau coup l’atteignit au genou, et sa jambe se déroba. Engiel visa ensuite sa nuque, mais ce fut le nez de Sarah qui se fracassa contre son genou jaune doré.

« Haa… ! »

Sarah partit à la renverse, laissant sur le genou d’Engiel du sang. Elle cligna des yeux, et Engiel profita de son avantage pour tenter de la frapper du pied à l’estomac. Sarah agit instinctivement, et roula sur le côté, évitant l’attaque. Elle entreprit de se redresser, sentant le goût poisseux du sang contre ses lèvres. Engiel la suivit, et tenta de lui décocher un coup de pied sur la tête, Sarah étant alors courbée vers l’avant. Fort heureusement, Sarah tendit ses mains en avant, et ces dernières interceptèrent le pied d’Engiel. Si le coup d’Engiel atteignit sa cible, les mains de Sarah la protégèrent. Elle sentit la force de ce coup de pied la soulever, et fit quelques pas en arrière. Déchaînée, Engiel profita de son avantage en la chargeant. Sarah la laissa venir, et, au dernier moment, fléchit les genoux, et bondit en avant. En somme, Engiel, emportée par son élan, passa au-dessus de Sarah, qui logea son genou dans son ventre, puis se redressa. Engiel partit au-dessus d’elle, et s’étala sur le dos.

Engiel se battait bien, et Sarah la laissa se relever rapidement pour l’attaquer à nouveau. La Reine des Lames avait appris les arts martiaux durant sa formation chez les Psykers, ainsi qu’à l’époque où elle avait rejoint les Ghosts.

*C’est avec ma technique que je l’aurais…*

Sarah lui sourit malicieusement, et lui fit signe d’approcher, en la narguant un peu :

« Je suis infiniment plus humaine que toi et toutes les autres putes de ton escouade, Engiel… »

Le combat se poursuivit donc. Engiel s’élança vers elle, et Sarah bondit alors en arrière, en donnant l’impression de tomber. Elle leva ses mains, et s’appuya sur le sol, puis fila en arrière, gagnant quelques mètres. Elle se releva, et contre-attaqua, optant pour un redoutable mawashi-geri (http://img110.xooimage.com/files/3/3/a/mawashigeri-4ad5ba9.jpg) quand Engiel s’approcha. L’une des jambes de Sarah partit en hauteur, son pied d’appui pivota, entraînant son corps en elle, et son coup de pied retourné atteignit la femme à la joue, lui faisant voir trente-six chandelles.

Profitant de son avantage, Sarah courut vers elle, et fit un saut périlleux. Elle sembla flotter dans les airs, et ses cuisses s’enroulèrent autour de la tête d’Engiel, son sexe venant, de fait, se plaquer contre son visage. La gravité fit ensuite le reste. Le poids accumulé de Sarah, ainsi que sa posture, déstabilisèrent logiquement Engiel, qui tomba sur le sol. Sarah posa ensuite une main sur sa tête, et, tandis que la femme tombait, elle s’en servit comme appui, dépliant ses jambes, et bondit de l’autre côté. Elle se retrouva ainsi à côté d’Engiel, puis bondit ensuite vers elle, optant, non pas pour une prise d’arts martiaux, mais pour quelque chose ressemblant davantage au catch.

En effet, elle sauta vers sa cible en tendant son coude en avant, visant son ventre. Un coup qui, s’il faisait mouche, pouvait couper à nouveau la respiration de la femme.

Si, toutefois, Engiel était suffisamment sonnée pour ne pas pouvoir esquiver et contre-attaquer ensuite…
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mardi 28 avril 2015, 21:17:16
   Engiel ne put retenir un grognement de rage quand elle rata la nuque de l'annexienne, se contentant d'une simple trace de sang sur sont genoux. Elle voulait surtout lui briser la nuque, ce qui était à priori la seule chose faisable à son niveau contre elle. Mais elle pouvait se félicité d'être en arriver là, peut être du au fait que l'annexienne avait restreint ses capacités et qu'elle ne semblait pas se battre sérieusement à son avis, mais bon elle s'en moquait, ça ne pouvait être que des avantages, aussi faible soit-il. Profitant du moment de faiblesse de l'annexienne, Engiel ne perdit pas de temps et tenta de donner un coup de pieds dans l'estomac de son adversaire, qui parvint à l'éviter en roulant sur le côté, se mettant hors de porté et lui permettant de se relever, hors d'atteinte d'Engiel.

   Cette dernière n'était pas rester sur place, suivant l'annexienne afin de la frapper avant qu'elle ne puise se relever complètement, tentant un coup de pieds dans sa tête, cherchant à la déstabiliser, mais se heurta au bras de l'annexienne, ne parvenant qu'a la faire reculer de quelque pas sous la force de son coup. Ce qui était suffisant pour porter un coup avec de l'élan, lui assurant un frappe plus forte. Mais elle ne fit que répéter les mêmes erreur, se fessant à nouveau avoir, recevant un coup dans le ventre avant de valser par dessus l'annexienne, un sentiment de déjà vue et vécue s'empara d'Engiel.

   Engiel se releva, maudissant son emportement, bougeant sa carcasse avec rage. Elle se retourna, se mettant face à l'annexienne qui la provoquer et la lui lança une pique, que Engiel classa dans la catégorie : « Pire que merde, qu'on me passe une corde ».

-Ta connerie est aussi grande que ta libido, on en voit pas le sommet ! Tu te dit plus humaine que moi ? Déjà que c'est difficile que t'es un esprit humain, alors que tu soit plus humaine qu'une vrai humaine, c'est impossible.

   Ne pouvant faire autre chose, Engiel chargea l'annexienne, mais ses bras dans une postures plus défensive. Mais quand l'annxienne sauta en arrière, Engiel ne comprit pas le manège, mais réalisa le danger trop tard, quand elle reconnue la posture de l'annexienne, certain membre de la section delta S l'utilisant parfois à l’entraînement ou sur le terrain. Elle tenta de ralentir mais c'était peine perdue. Le coup lui fit faire presque un 360°, sa tête pivotant violemment sur le côté, entraînant son corps puis ses jambes. Elle tituba violemment, avant de réussir à reprendre un certain équilibre, sonnée et sa vue brouiller, sans oublier la douleur cuisante de sa joue, lui fessant monter les larmes au yeux.

   Sans comprendre ce qui se passer, Engiel reçu un poids inconnue et plutôt important, et quelque chose serrer sa tête. Le temps qu'elle reprenne ses esprits elle réalisa qu'elle était entrain de tomber et que l'entre jambe de l'annexienne était contre sa bouche et son nez. Elle sentie les mains de l'annexienne appuyer sur sa tête, l'envoyant à terre. Elle s’écrasa contre le sol, le souffle coupé, sa tête frappant le sol organique. Elle se releva lentement, vaseuse et titubante. Elle ne put qu'apercevoir l'annexienne, avant de recevoir son coude dans son ventre, la pliant en deux, lui coupant le souffle l'envoyant à nouveau sur le sol.

   Elle ne se releva pas, vomissant le contenue de son estomac, autrement dit pratiquement que des sucs gastriques, brûlant sa gorge, la puissance du coup lui donnant des difficultés à reprendre son souffle la clouant sur le sol, souffle rauque et saccadé, sa bouche cherchant à aspirer une grande bouffé d'oxygène, la douleur irradiant son ventre, en position fœtale. La suite était dépendait de l'annexienne.
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   Combien de temps c'était t-il écouler depuis qu'elle fut retirer des tentacules de ce monstre ? Shiranui ne le savait pas, ni pouvait le savoir. Elle ignorait depuis combien de temps elle était dans était dans le noir, de ne plus sentir ses membres et d'avoir l'impression de flotter dans le vide et en même temps dans quelque chose de consistant et d'agréable. Elle ne ressentait rien, mais elle sentait une chaleur douce et apaisante l'envelopper. Elle dormait ? Elle se le demandait. Est elle morte ? Elle l’espérait. Elle ne pensait à rien, elle admirait le vide de son esprit, elle appréciait cette sensation de vide et de consistance autour d'elle et de cette chaleur. Elle n'avait pas faim, ni soif malgré ce sentiment de n'avoir rien avaler depuis des mois, elle ne dormait pas malgré cette envie puissante de vouloir dormir pour toujours.

   Elle laissait son esprit vagabondé dans un labyrinthe de pensées, de souvenir et de songes, sans chercher à aller plus loin dans l'un d'eux, s'aventurant dans la plénitude du vide de son esprit Mais le vide de son esprit se remplit d'un mélange de plusieurs souvenir, d'image et de sons confus. Shiranui essayait de se souvenir de ce qu'il s'était passer lorsqu'elle fut prise par une terreur sans nom devant le monstre. Pourquoi ? Une pensée avait percer le vide de son esprit : comment elle est arriver là ? Une question qui en souleva d'autre, dont les réponses étaient dans ses souvenirs, mais les quels précisément ? Son esprit repoussait au plus profond d'elle même ce qu'elle semblait cherchait, comme si il ne voulait pas qu'elle découvre ce qui c'est passer avant son arriver dans cette endroit, la protégeant de sombre vérité.

   Cela était difficile et lui semblait fatiguant, mais Shiranui finit par découvrit les réponses à ses questions, noyant son esprit dans un état de peur et de confusion, découvrant des visions horrible de ce qu'elle avait vécue : depuis sa terreur des plus profondes, elle contempla l'horreur tentaculaires, de qu'elle manière elle fut humilier, son corps martyriser, son esprit torturer. Combien de temps cela avait durer ? Elle n'en servait rien, de même quand elle put revoir une dernière fois Jeanne, son visage tordue par l'horreur. Elle avait l'impression de revivre ce qu'elle avait vécue. Elle voulait retrouvée la quiétude de son esprit vide, mais elle ne pouvait pas. Il lui fallut des efforts considérable pour s'arracher de ses visions, d'ouvrir ce qui semblait être ses yeux, pour enfin découvrit où elle était.

   Shiranui ressentit sur tout son corps, réveillant son système nerveux et ses sens, la texture et la température agréable d'un liquide vers à ses yeux. Elle remarqua rapidement qu'elle baignait dans ce liquide étrange, ne l’empêchant pas de respirer normalement et qu'elle était nue. Ses pieds effleuraient une texture organiquen qui ne manqua pas de lui donner un haut de cœur. Elle tendit ses bras devant elle, mais rencontre rapidement une résistance, quelque chose de plutôt visqueux au toucher. Elle s'en rapprocha, c'était une espèce de membrane transparente. Collant son visage dessus, fessant fit de la texture proche du sol où elle était, Shiranui tenta d'observer l’extérieur, mais la visibilité était médiocre.

   Elle ne pouvait s'agripper à la membrane, ses mains glissant dessus. En tâtonnant, elle découvrit que la membrane formait une espèce de cuve. Mais pourquoi diable ont l'a mit là ? Ce qui est sur, elle ne va pas rester là ! Elle mit sa main droite plate et donnant un grand coup avec, t-elle une lance transperçant la chair, la main de Shiranui transperça la membrane, avant de la retirer retirer. Le liquide s'engoufra dans le troue, déchirant la membrane, emportant Shiranui hors de la cuve, dont les parois partaient en lambeaux. Elle e releva prestement, ignorant le froid soudain s'emparant d'elle, et regarda les alentour, apercevant dans une semi-pénombre des formes inconnue, lui rapellant des cocons, comme elle avait vue dans des rapports militaires de Kakashi.

   À cette pensée, elle eu un pincement au cœur, qu'elle chassa rapidement, n'ayant pas le temps de s'apitoyer sur son triste sort. Elle avait été épargné, mise de côté. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle était sur que c'était liée à sa sœur ! Pour rien au monde l'annexienne l'aurait mit de côté. Elle avait des comptes à régler avec elle d'ailleurs.

   Shiranui se déplaça t-elle une ombre entre les cocons, silencieusement malgré sa stature son visage affichant un air trop sérieux pour elle, ses yeux brillant des flammes de la colère, de la rage et de la vengeance ! Ce n'était plus la Shiranui enfantine et gamine d'avant, celle-ci en était une autre, son visage grave et sérieux, cette lueur dans les yeux, rare sont les fois où ces choses sont apparut sur son visage. Certaine de ses camarades en avaient peur, car ces moment là s'accompagner toujours d'un carnage et une soif de sang, qu'on ne retrouve que chez Jeanne.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 30 avril 2015, 02:08:58
SARAH KERRIGAN

Le combat était terminé. Engiel s’était bien battue, Sarah pouvait lui décerner un B+… Mais quelles avaient été ses chances ? Même en tant qu’humaine, Sarah avait subi un entraînement de pointe, depuis sa plus tendre enfance. La Reine des Lames avait suivi des cours d’arts martiaux, nécessaires afin d’offrir aux Ghosts le plus de cordes possibles. Il ne fallait surtout pas sous-estimer le corps humain, qui, en situation de combat, constituait la dernière arme disponible. Engiel gisait sur le sol, en vomissant ses tripes, et Sarah lui sourit lentement, restant debout, à côté d’elle. Tout en la laissant barbouiller sur le sol, elle releva la tête vers les autres femmes. Tirch restait toujours aussi rebelle. L’Annexienne l’avait laissé en dernière, car elle savait que cette femme serait parmi les plus difficiles. Il restait aussi Ilinia… Celle-ci était troublée, Sarah le sentait. Elle ne s’attendait pas à ça. Sarah leur sourit, puis se déshabilla.

Elle ôta sa combinaison, qui tomba sur le sol, où elle fut engloutie, tout comme les éléments qu’Engiel venait de rejeter de sa bouche. Le corps de Sarah changea alors, et la femme redevint la Reine des Lames, avec cette carapace chitineuse. Des pattes acérées jaillirent dans son dos, et elle se pencha vers elle. D’une main, Sarah empoigna la gorge de la femme, la décollant du sol.

« Bien… Il est temps de passer aux réjouissances, ma petite beauté… »

La femme était sonnée, mais Sarah connaissait ces soldates. Elle retrouverait rapidement ses forces. À hauteur des cuisses de Sarah, les plaques de chitine recouvrant son sexe s’écartèrent, et, entre ses lèvres intimes, une verge violette ne tarda pas à pointer, venant caresser les cuisses de la femme. Sa nouvelle amante était là, et ce combat avait bien échauffé les sens de Sarah. L’Annexienne, effectivement, se considérait comme plus importante qu’une simple humaine. Elle était une Annexienne, dirigeant des millions d’âmes, et, surtout, elle avait avec elle un projet d’avenir, quelque chose qui ne se limitait pas qu’à avoir simplement une vie heureuse, quelques marmots, et baiser de temps en temps. Non, Kerrigan était une visionnaire, suivant les plans vastes et immenses de l’Overmind.

Sarah tenait Engiel contre elle, mais, rapidement, des tentacules se déplacèrent du plafond, et allèrent s’enrouler autour des bras de la femme, les tirant en arrière et les soulevant, les écartant l’un à l’autre. Entre-temps, Sarah tenait la femme par les hanches, et le corps d’Engiel bascula en arrière. L’idée était de sentir ses jambes s’enrouler autour de sa taille, et, pour l’y aider, d’autres tentacules jaillirent dans le dos de la femme, et s’enroulèrent autour des chevilles d’Engiel, veillant ainsi à ce que ses jambes restent collées contre le corps de Sarah.

« Là, ma belle… » murmurait Sarah.

Au bout de sa queue, une sorte de mucus jaillit de sa peau, et fit fondre la combinaison d’Engiel, à l’emplacement de son intimité. Sarah conserva ses mains sur les hanches de la femme… Et entreprit ainsi de la pénétrer chaudement.

« Hunn… !! »



IRINA

Irina (http://fc04.deviantart.net/fs70/f/2012/277/f/e/fe7e573c521e0a7dc64322a7560ff4f1-d2dyiej.jpg) avait jadis été une simple scientifique tekhane, une généticienne spécialisée dans l’étude du patrimoine génétique, et qui avait toujours, secrètement, manifesté, depuis ses études universitaires, une passion profonde pour les Formiens. Eugéniste, Irina était convaincue que la perfection ne pouvait s’acquérir que par le biais d’une perfection génétique, et, en suivant ce principe, elle avait toujours trouvé qu’il n’existait pas code génétique plus parfait que celui des Formiens, car il remplissait toutes les caractéristiques requises, notamment celui de l’adaptation à l’environnement. Les Formiens étaient la race génétique dominante sur Terra, et dans tout l’Univers, de manière générale. Irina, fascinée par les Formiens, avait réussi à rejoindre le Containment Point, et à travailler dans les laboratoires sur des Chasseurs xénomorphes capturés par les Tekhanes.

C’est en les étudiant qu’Irina était tombée progressivement amoureuse des Formiens. Si ses collègues ne voyaient en ces créatures que des monstres noirâtres, elle, elle voyait des êtres naturels parfaits, des dominateurs naturels, une société utilitariste qui connaissait les vertus du sacrifice, et qui rejetait l’idée qu’un individu égoïste puisse être supérieur à la société. L’intérêt collectif devait prédominer, car c’était lui qui guidait l’évolution des choses. Irina en était convaincue, et le patrimoine génétique illustrait cela. Les Chasseurs xénomorphes n’hésitaient pas à s’entretuer, afin que le sang acide de l’un d’entre eux perce le décor. Ils se confondaient dans le décor, s’adaptant à toutes les circonstances. Dès qu’elle les avait vus, Irina avait caressé l’idée de les sentir germer dans son ventre, de donner naissance à de telles beautés… Une telle attirance avait été ressentie par la Reine des Lames, et Irina avait agi pour elle, jusqu’à arriver à la Fourmilière, où elle avait reçu sa récompense.

Plus jeune Cérébrate de la Famille de Kerrigan, elle était encore une enfant, commençant à découvrir ses capacités, et Sarah l’affectait surtout à la gestion des Chasseurs xénomorphes, ou à des tâches scientifiques, car c’était ce qui intéressait Irina. En ce moment, elle avançait le long de l’une des réserves de pondeuses de la Horde de Kerrigan. C’était une grotte avec un ensemble de cocons chauds et bouillonnants, chaque cocon abritant une pondeuse. Irina posa une main sur l’un des cocons, esquissant un léger sourire en sentant les pensées de la personne à l’intérieur.

« Bien, bien… »

Irina savait que sa mère était occupée avec de nouvelles pondeuses… Une escouade de soldates, des femmes fortes et solides… Et Irina avait pour tâche, ici, de trouver celle qui était posée dans le cocon. La Cérébrate était accompagnée de deux puissants Chasseurs xénomorphes. De fait, elle venait de leur faire l’amour avant d’arriver ici, et, dans son ventre, elle sentait la vie pousser. Il y avait plusieurs manières de mettre au monde des Chasseurs xénomorphes… Soit avec leur graine plantée dans le ventre, ou avec les incubateurs…

Se laissant aller à ses pensées et à ses souvenirs joyeux avec ces créatures, Irina réalisa alors qu’il y avait une femme qui s’était échappée. La Cérébrate se dépêcha, et vit le cocon troué.

« Oh… »

La couche extérieure du cocon n’avait pas eu le temps de se fermer totalement. Irina sourit lentement.

« Où te caches-tu, petite souris ? Pourquoi chercher à nous fuir ? Ne te rends-tu donc pas compte de l’immense chance que tu as d’être là ? Avec nous… ? »

Visiblement pas… Ah, ces humains ! Même quand elle était comme eux, Irina ne les avait jamais compris…
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le vendredi 01 mai 2015, 17:12:11
   La défaite ? Prévisible, mais quand même amère. Engiel se tenait toujours le ventre, comme si elle craignait que ses tripes ne s'échappent, respirant toujours avec mal, mais moins qu'avant et encore vaseuse. Ses camarades étaient certes impressionner par sa performance, mais n'avait pas une l'ombre d'un doute concernant ses chances de victoire, si elle avait réussit, ce ne serait pas un miracle, mais Engiel une déesse. Puis la même scène allait se répéter, Engiel allait se faire violé, récompense pour l'annexienne de sa victoire. Cette dernière ôta sa combinaison, qui se fit avaler par le sol dévoilant un corps parfaitement humain, avant que celui-ci ne mute, reprenant son aspect d'origine. De sa seule force, elle souleva Engiel, comme une poupée grandeur nature, alors qu'elle reprennait lentement ses esprits, son regards encore perdue.

« Bien… Il est temps de passer aux réjouissances, ma petite beauté… »

   Schield pensa qu'elle parlait plus pour elle, de même que Ilinia, qui partager les mêmes pensées, cette dernière s'inquiétant inutilement de la suite pour Engiel. Schield commençait à trouver chiant que l'annexienne parle comme si elles étaient partante. Des tentacules sortir du plafond, après que l'annexienne est ressortie son imposante verge, attrapant Jeanne par les bras les écartant, mettant ainsi Engiel en Y avant de la pencher vers l'arrière. Engiel commençait à reprendre ses esprits, mais ne pouvait désormais plus rien faire, quand elle finit par remarquer que ses jambes étaient manipuler par des tentacules pour s'enrouler autour de la taille de son ennemie, désormais bourreau, appliquant sa sentence. Elle ne put se défaire de cette emprise, malgré ses tentatives vouée à l'inutilité.

   Elle ne dit rien, ne fessant que regarder l'annexienne d'un regard noir, chargée de haine et de rage, tandis que celle-ci fit fondre sa combinaison au niveau de son intimité. Elle ne montra pas son dégoût, ni sa douleur, serrant juste les dents quand l'annexienne s'enfonça en elle, écartant brutalement ses parois intimes, pas préparer à un t-elle calibre et sec comme un puis dans un désert. Les allées et les retours étaient lent raclant les parois au lieu de glisser dessus, tentant d'humidifier les parois en forçant la mouille à ce présenter. Celle dura un moment, après d’âpres allées et venues, la mouille fessant de timide apparition, sur les parois irrités et endolories.

   Son visage et son regard, n'était que haine et rage, qu'elle montrait fièrement à l'annexienne. Son honneur et sa fierté bafoué, ses espoirs détruit, le désespoir dans le cœur, mais sa haine et sa rage toujours aussi forte ! L'annexienne n'avait que gagner qu'un combat, un autre se présenter devant elle : changer l'esprit rebelle plein de rage et de haine d'Engiel, en un esprit soumit plein de plaisir et d'envie.
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   Une ombre parmi les ombres, un silence dans le silence, t-elle était Shiranui, se déplaçant sans aucun bruit, malgré sa taille et son poids. Elle utilisait une démarche lente et précis, ce concentrant pour que ses pieds ne fasse aucun sons, ni aucune vibration, tout en regardant autour d'elle, ses sens aux aguets. Elle savait très bien que son évasion ne passerait pas inaperçue et qu'elle devait s'éloigner le plus vite possible, mais elle ne savait pas où aller pour sortir, sans compter que les formiens pouvait arriver de n'importe où. En voir un jaillir sous ses pieds ne l'aurait pas surprit, s'attendant même à ça.

   Elle continua un moment, progressant à travers les cocons, ignorant ce qu'il pouvait contenir, bien qu'ayant une petite idée, mais ne voulait pour rien au monde le savoir. Elle continua, ignorant que des formiens, dont une cérébrate, venait d'entrer dans l'espèce de salle, jusqu'à ce qu'elle entende une femme parler à voix haute dans le vide, mais dont Shiranui connaissait bien la personne à qui il était destiner : elle.

« Où te caches-tu, petite souris ? Pourquoi chercher à nous fuir ? Ne te rends-tu donc pas compte de l’immense chance que tu as d’être là ? Avec nous… ? »

   Petite souris ? La comparaison, des plus mauvaise au vue de sa taille, fit sourire Shiranui. Elle était peut être une petite souris qui s'était échapper de sa cage, mais la petite souris avait muté en un chat, un chat qui grimpa sur un cocon, rapide, facilement et sans bruit, un chat qui cherchait sa proie. Shiranui savait très bien pour qu'un formien puise parler aussi facilement ne pouvait être qu'une cérébrate, elle ne pouvait rêver meilleur cible pour se venger. Elle se lécha les lèvres, mais pas à la manière d'une fille devant sont dessert préférer, ni à la manière d'une prédatrice sexuelle. La manière qu'elle utilisa était plus proche du psychopathe, d'une personne avide de sang et de massacre, se régalant d'avance. Elle se déplaça de cocon en cocon, rapidement, se dirigeant discrètement vers la cérébrates.

   Le trio formiens s'avança parmi les cocons, sans savoir que la petite souris avait décider de chasser le chat. Shiranui les prenait de vitesse afin d'éviter que les formiens ne se disperse pour la chasser, restant discrète malgré sa taille tout en étant rapide, remontant le chemins parcourue rapidement. En retournant sur ses pas, elle espérait les rencontrer en chemins et de pouvoir porter le premier coup. Par chance ou par hasard, Shiranui arriva au trio, surprise de ne voir que trois fromiens, avant que celui-ci ne semble se dispersé. Arrivant par la droite, Shiranui accéléra, ce qui ne manqua pas d'attirer l'attention des xénophormes, mais Shiranui étant trop proche elle put porté le premier coup avant qu'ils ne réagissent.

   Elle sauta sur l'un d'eux, la taille des cocons lui permit de réussir son attaque, le xénophorme n'ayant juste le temps de reculer atténuant le coup un peu le coup. Shiranui avait sauté les deux pieds joins, directement sur le visage du xénophorme, qui ne put l'esquivé du fait de la rapidité de Shiranui. Elle écrasa son visage, avant de fracasser sa tête par terre, son élan et son poids l'aidant à faire basculer le formiens, le sonnant pour un moment. Le second rugis avant de foncer vers Shiranui, mais qui fit de même, le dominant presque de taille.

   Shiranui esquiva une de ses griffes, tailladant tout de même sa hanche, tant sur la longueur que sur la profondeur, l'autre bras bloquer par celui de Shiranui tandis que de l'autre elle l'enfonça le plus profondément possible dans la gueule béante du monstre, l'enfonçant jusqu'au coude, avant de forcé, l'enfonçant jusqu'à l'épaule, déchirant la gorge du monstre, le griffant, avant de retirer son bras, plein de bave et de sang, attrapant sa langue au passage et tirant de toute ses forces et avec l'aide de ses pieds, elle lui arracha la langue avant de la laisser tomber.

   Elle secoua son bras se débarrassant du sang acide de la créature qui ronger son bras, tandis que ce dernier s'étouffait avec son sang en tombant à terre, l'acidité rongeant son œsophage et sa bouche. De son autre bras, elle tentait d'endiquer le flot de sang s'échappant de la blessure de son bassin, formant un macabre rideau de sang, coulant le long de sa jambe. Son visage afficher clairement la douleur qu'elle ressentait, étouffant ses cries par des grognements, mais ses yeux démontrer toute sa fureur, toute sa rage, toute sa haine et toute sa soif de sang ! Noyant de son regard la cérabrate, Shiranui domina de toute sa taille la cérébrate.

-Dis moi... qui à dit que je cherchais à fuir ? Lui dit t-elle, sur un ton si sombre qu'elle pourrait engloutir la lumière par sa seule parole. Qui a que ça m'intéressait de rester ici ?

   Ce n'était pas Shiranui, c'était une Shiranui trop sérieuse, trop mortel. Sans arme elle avait pratiquement tuer un xénophorme et assommée un autre, les deux seraient morts si elle avait eu sa lance. Elle avança vers la cérébrate, l'envie brûlante de l'étripé, c'était une version de Jeanne en plus calme. Elle chargea de biais, avant de se propulser vers la cérébrate, qui esquiva son coup. Elle sauta sur la parois d'un cocon avant de rebondir dessus, tentant une attaque aérienne. Mais elle manquait de vitesse et son attaque était plutôt prévisible. Son pied droit frappa violemment le sol, choc remontant le long de sa cuisse, aggravant sa blessure, où du sang jaillit, la blessure s'agrandissant. Elle poussa un hurlement, de douleur mélanger à la rage. Elle se redressa, malgré le sang coulant à flot, elle avança. Ses yeux rendu fou par la douleur et l'envie de tuer, la rendait complètement folle.

   Elle se baissa et se retourna, frappant du tranchant du bras les côtes du xénophorme qu'elle avait assommer, qui avait tenter un coup traite. Rapidement de son autre bras, elle frappa le menton du formien de la paume de sa main, utilisant le bras ronger par le sang acide de l'autre. Elle le frappa au torse du genou en se redressant avant de le frapper au coude avec son autre bras, avant de le frapper au crane. De ses deux mains, elle écarta les mâchoire du monstre, s’apprêtant à faire pareil que l'autre... avec le même bras, quelle leva bien haut.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 03 mai 2015, 01:51:12
SARAH KERRIGAN

Toutes ces femmes étaient une véritable aubaine pour Kerrigan, la promesse d’innombrables Formiens à venir, de longues et généreuses portées. La Reine des Lames prenait Engiel avec plaisir, et, même si cette Tekhane n’était pas du tout consentante, ce n’était pas bien grave. Rares étaient les femmes consentantes quand elles venaient dans la Fourmilière, mais toutes, même les plus têtues, finissaient par succomber. Sarah avait ses plans, ses stratégies, et ses moyens pour briser la résistance de n’importe quelle femme, même la plus pure Tekhane qui soit. Sa verge violette s’enfonçait dans sa chair, la pénétrant, et elle remua d’avant en arrière, glissant dans son corps, remuant en elle, ses mains se posant sur ses hanches. Elle soupirait de plaisir, heureuse comme toujours de goûter à un con pareil. Ces soldates étaient belles, bien bâties, et servies dans un magnifique emballage. Kerrigan avait réussi un joli coup de filet en parvenant toutes à les capturer. Un bel exploit, qui n’était pas donné, et était même une première pour Sarah, dans la mesure où elle avait réussi à toutes les capturer, et pouvait maintenant profiter d’elle.

Engiel la regardait avec des envies de meurtre, et Sarah lui souriait, en sentant ses jambes remuer contre son corps. Son vit s’enfonçait le plus loin possible en elle, remuant dans les profondeurs de son corps et de son organisme. Sarah se pencha vers elle, et l’embrassa sur la nuque, pressant son corps contre le sien. Leurs seins se caressaient, et, si Engiel avait envie de la tuer, Sarah, elle, ne se sentait guère inquiète. Elles faisaient l’amour ensemble, comme deux amantes passionnées. La Reine des Lames y allait franchement et longuement, la pénétrant durement, remuant de plus en plus vite en elle. Même si Engiel ne l’aimait pas, même si elle la haïssait, son corps allait la trahir… Comme toutes les autres. Sarah savait y faire.

« Hum… Ton corps est délicieux, Engiel, haaa… Tu me donneras de si beaux bébés, ma chérie… »

Oui, rien qu’à l’idée de tous ces Formiens qui naîtraient des ventres de ces femmes, Sarah était ravie, et ô combien excitée. C’était bien naturel, après tout. Elle était une Reine, et son plus sincère désir était de voir sa portée se développer, de voir la Horde croître encore et encore, avec une multiplication des larves et des Formiens. Pour cela, il lui fallait de bonnes pondeuses, et ces femmes fortes en faisaient naturellement partie. Sarah continuait à la prendre donc, et l’embrassa sur les lèvres, en posant une main sur ses cheveux.

« Vas-y, résiste-moi, Engiel… J’ai baisé toutes tes salopes de copines depuis des heures, tu sais… Résiste-moi, ça ne fera que prolonger ton calvaire, et mon plaisir… »

Sarah soupira à nouveau, et continuait à la prendre, d’avant en arrière, encore et encore, encore et toujours… La Reine ne s’arrêtait pas, et une autre main se posa sur les fesses de la femme. Engiel était sa prisonnière, avec ses membres isolés. Elle était la proie de Sarah, jusqu’à ce qu’elle jouisse, et qu’elle puisse, ensuite, avoir l’immense privilège de porter la vie. Sarah avait toujours un peu de mal à comprendre ces femmes… Leur offrir l’opportunité de donner la vie, c’était pourtant le plus beau des cadeaux.

De son point de vue.



IRINA

Une espèce de monstre gigantesque leur tomba dessus. Shiranui était une vraie géante, aussi agile qu’un singe, avec la puissance d’un grizzly. Interdite, Irina la vit arracher la langue d’un de ses bébés, un de ses beaux bébés ! Elle vit la longue langue tomber sur le sol, tandis que la souffrance du Xénomorphe rejaillit dans tout son corps. Irina s’en tint les côtes en gémissant. Elle était encore jeune, et manquait encore d’entraînement. C’était la petite sœur, que Sarah laissait à l’intérieur de la Fourmilière, car Irina devait encore apprendre toutes les fonctionnalités de son nouveau corps, y compris psychiques. La souffrance de son bébé éclata dans sa figure, se faisant ressentir dans ses tripes, et elle tomba à genoux, tandis que Shiranui, le bras ensanglanté, avec de l’acide coulant le long, entreprit de l’attaquer.

Irina évita son attaque aérienne en bondissant en avant, et se redressa, serrant les poings, avec un regard meurtrier et haineux dans le visage. Qu’est-ce que cette salope avait osé faire ?! Elle avait osé blesser mortellement un être qui lui était totalement supérieur ! Le Xénomorphe blessé se tortillait par terre, et Irina se rapprocha de lui, venant caresser l’une de ses joues et sa tête, essayant d’influer en lui des pensées positives. Shiranui, de son côté, se rapprochait du second Xénomorphe, cherchant également à lui arracher la langue. Elle était si solide et si musclée qu’elle arrivait à frapper ces chasseurs, et elle leva sa mâchoire. Les dents triangulaires du Xénomorphe mordaient sa chair, mais la colère de cette Tekhane semblait inhiber la douleur…

…Pendant un temps.

Le Xénomorphe qu’elle avait mortellement blessé attaqua alors. Sa queue caudale était son arme principale, car elle faisait de nombreux mètres, et elle tourbillonnait dans le vide, comme un serpent furieux, et frappa les côtes de Shiranui. Les pointes acérées de sa queue mordirent dans la chair de la femme, et envoyèrent Shiranui s’étaler sur le sol, tandis que la gueule du second Xénomorphe se referma dans un claquement sec, arrachant plusieurs des doigts de Shiranui. La créature hurla alors de rage, levant sa queue caudale en forme de pointe, et l’abattit sur la femme.

Shiranui réussit à l’esquiver, mais le Xénomorphe la chargea alors en bondissant en avant. Sa longue tête noire heurta le torse de la femme, l’envoyant rouler sur le sol. Irina, elle, observait d eloin le combat. En réalité, elle pleurait devant la carcasse du Xénomorphe en train de mourir entre ses mains.

« Mon bébé, mon pauvre petit bébé… »

Certes, il n’était qu’un Formien parmi tant d’autres. C’était bien la preuve qu’Irina n’avait pas ce détachement émotionnel, et restait encore une jeune fille. La queue caudale du monstre cessa progressivement de s’agiter, et elle s’abaissa vers lui, venant l’embrasser. Le second Xénomorphe sentait la colère de sa Cérébrate, colère qui le rendait extrêmement dangereux et agressif, car il cherchait, non pas à capturer Shiranui, mais à la tuer. L’approche était donc différente. Sa queue agissait comme un redoutable fouet, fendillant l’air, et il bondissait rapidement, rebondissant contre les cocons, ses dents tranchantes claquant dans le vide.

Irina se releva lentement, en essuyant ses larmes. Le Xénomorphe était mort. L’acide de son sang avait fait fondre sa cage thoracique, et elle se retourna ensuite.

*Empale-là… Qu’elle souffre autant que je souffre…*
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le jeudi 07 mai 2015, 21:46:53
   Un scène devenue banale à force, la Reine des Lames viol une des leurs et puis basta. Le sort qui les attend toutes, même si elles parvenaient à se libérer et à battre contre elle ce n'était que servir de distraction, un bouffon amusant une Reine. Ce qui ne manqua pas de surprendre les dernières de la liste, de cette sensation de n'en n'avoir rien à foutre de ce qui ce passer, pensant plus à autre chose, comme à la faim pour Ilinia, qui sentit son ventre gargouiller, sous l'œil effarer de Schield qui l'avait entendue, mais qui partager les mêmes besoin en plus de vouloir se soulager la vessie. Aussi incongrue et étrange que possible, les besoin primaires prenaient le dessus sur leur sentiments par rapport à leur situation, sentiments s'étant estomper, leur esprit ayant eu le temps de les maîtriser et de rester maître de leur sentiments, bien qu'un contrôle archaïque. Et puis ça fessait plusieurs heures qu'elles étaient coincer, sans pouvoir bouger, sans rien faire d'autre que de regarder une à une leurs amies ce faire prendre.

   Dans le quatuor, deux échapper à ce problème : Tirch, qui n'avait pas changer de pensées réfléchissant à toute sorte de tactique pour battre l'annexienne, son corps ne semblait pas exprimer de besoins primaires et Engiel qui était le centre d'attention de l'annexienne. La pénétration, des plus dures, se fessait avec ardeur et plaisir, sans lésiner sur la force et la rapidité des coups. L'annexienne pilonnait l'intimité d'Engiel, écrasant et frottant son clitoris, tout en fracassant le bout de son chibre contre son col, donnant à Engiel l’impression que son utérus entier se déplacer vers le haut, poussant ses boyaux.

   Elle grognait et gémissait, aussi bien de douleur que de rage et de haine, ses yeux ne quittant pas le visage de l'annexienne, remplit d'une lueur de haine et de rage, parfaite définition de ces derniers. Son corps bougeait au rythme des coups, mais en rien Engiel ne bougea son corps par un plaisir naissant, le bougeant par tentative futile et inutile de se libérer. L'annexienne se pencha sur elle, pressant son corps contre le siens et lui embrassa la nuque. Engiel aurait bien voulut vomir, mais ne put que mimer le geste. Ses seins, même si ils se caressaient à ceux de l'annexienne, restaient tout aussi réfractèrent au plaisir que l'annexienne tentait de leur donner, tout comme Engiel.

« Hum… Ton corps est délicieux, Engiel, haaa… Tu me donneras de si beaux bébés, ma chérie… »
-A putain... quand ils verront ta gueule, je pense bien qu'ils partageront le même envie que moi : te déchiqueter ! Grogna Engiel.

   Sa remarque ne l’empêcha pas de continuer, continuant à la pénétrer, en même temps que de timide trace de mouille finirent par apparaître, allègent lentement la douleur de la pénétration, quand bien même ses parois avait finit par s'adapter à la présence massive de la verge de l'annexienne. Quand Engiel remarqua que la tête de l'annexienne se dirigea vers la sienne, elle réalisa trop tard qu'elle allait l'embrasser, quand la main griffue de l'annexienne se mit derrière sa tête, agrippant ses cheveux, l’empêchant de s'y soustraire. L'annexienne scella ses lèvres contre celle d'Engiel, dont les yeux étaient baigner dans une telle fureur, qu'il n'aurait pas était surprennat qu'il s'enflamme.

« Vas-y, résiste-moi, Engiel… J’ai baisé toutes tes salopes de copines depuis des heures, tu sais… Résiste-moi, ça ne fera que prolonger ton calvaire, et mon plaisir… »

   Engiel ne dit rien, une veine enflant dangereusement sur sa tempes, un tics agitant nerveusement sa joue droites. Elle renifla un bon coup, avant de forcer sur sa gorge, produisant un bruit des plus horripilant, avant de cracher un gros crachat, contenant des glaires qu'elle avait renifler, allant s'écraser sur le visage de l'annexienne.

-C'est l’hôpital qui se fou de la charité bordel ! Mes copines ces des salopes ? Mais t'es quoi alors ? La définition même de salope ? J'suis sur qu'on trouve ta photo dans un dictionnaire à côté du mot salope pour définition ! Où alors t'es Supra-Salope, au choix. Brailla Engiel. Et je ne résiste pas, je te fais chier tu mieux que je peux, je te ferais chier jusqu'à ce que tu explose les canalisations ! Et j'avais pas remarqué que mes camarades c'étaient faites violé avant moi ! T'a filmé j'espère, j'ai rien vue !
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   Il lui fallait que quelque micorseconde pour faire subir au xénomorphe le même sort que l'autre, mais alors qu'elle abattit son bras ensanglanter tout droit dans la dans la gueule béante du monstre, un bras qui par miracle était toujours fonctionnelle malgré la peau troué de la mains jusqu'à l'épaule, aucune artères ou tendon ne fut toucher et quelque centimètre de peau épargnée. Mais hélas, croyant que l'autre xénomorphe était maïtriser et mourant, celui-ci sauva son frère en fessant claquer sa queue comme un fouet contre les côtés de Shiranui, brisant l'un d'elle. Shiranui, sous cette assaut improbable, perdit la notion d'espace un moment, tout en grognant de douleur, combattant la douleur.

   Hélas, elle ne retira que trop tard sa main qui bloquait la mâchoire du second xénomorphe, qui fit claquer sa mâchoire, tranchant nette l'auriculaire, les deux tiers de l'annulaire et un partie du majeur. Shiranui ne put retenir un hurlement de douleur, que l'ont peut facilement confondre avec le hurlement d'une bête mourante. Elle n'entendit pas le xénomorphe, nul ne saurait dire comme elle put esquiver l'attaque, mais elle ne put que subir la charge du formien, l'envoyant sur le sol, contre le quel elle s’écrasa lourdement.

   Elle se releva, malgré la douleur lui donnant la nausée, l'aveuglant, n'osant regardant sa main mutilé. Vue était troublé, la perte importante de sang lui fessait tournée la tête et l’affaiblissait. L'adrénaline du combat avait disparue, ne laissant qu'une Shiranui ravagée et affaiblie. Elle chercha à fuir, mais ne pouvait tenir debout, ses jambes refusant de lui obéir complètement, se dérobant à n'importe quel moment, lui évitant ainsi un assaut du formien. Elle se mit debout, vacillant t'elle une feuille au vent, trainant les pieds dans les mares de sang qu'elle avait créer, la griffure à son bassin avait vomit des cascades de sang, son bras ronger par l'acide créer cinq filet de sang coulant de ses doigts, tant dis que sa mains mutiler verser le sang en des jets inquiétant. Elle tomba à genoux, en même temps que le xénomorphe transperça sa poitrine de sa queue, épargnant par miracle ces organes vitaux et les artères partant du cœur et sa colonne vertébrale.

   Shiranui regarda d'un œil vitreux la queue sortant de son torse, ne criant même pas, ne fessant rien d'autre, pas même effrayer ou inqiéter, semblant n'en avoir rien à faire. Le xénomorphe retira sa queue, juste avant que Shiranui ne s'écroule, face contre terre, les bras le long du corps. Elle allait mourir comme ça ? Elle ne voulait pas, pas avant d'avoir pus se venger, mais heureuse quand même, elle allait quitter cette endroit et peut être revoir son autre mère ! Celle qu'elle n'a pus voir qu'en photo, celle qui était morte quelque temps après sa naissance, dans un tragique accident de voiture.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 10 mai 2015, 02:32:31
SARAH KERRIGAN

Dieu, que ces femmes pouvaient être têtues ! Kerrigan avait réussi à se débrouiller pour conserver, dans le peloton final, deux des plus fortes têtes de l’escouade : Engiel et Tirch. Néanmoins, quelque chose lui disait que, des quatre, Tirch allait être la plus dure à mater... Il allait falloir la dresser bien comme il faut, et, pour ça, Sarah avait des techniques. Elle avait, de fait, des techniques pour à peu près tout,  y compris pour les fortes têtes... Engiel, elle, était différente. Elle était forte, mais tenait plus de la tête brûlée, de la provocatrice enflammée. Elle n’hésitait pas à marquer son hostilité, et, malgré cette verge qui lui torpillait la chatte, elle continuait à la narguer, et alla même jusqu’à pousser l’affront en lui crachant un gros glaire sur la joue. Sarah crispa ses doigts sur ses cuisses, et esquissa un sourire mauvais.

« Tu parles trop, petite pute. Si tu ne veux pas hurler, je te ferais couiner. »

Sarah se concentra, et des tentacules jaillirent, comme un avant-goût de ce qui allait l’attendre tout à l’heure. L’un s’enfonça violemment dans la bouche de la femme, remuant dans sa gorge tel un vorace serpent, filant d’avant en arrière dans sa belle bouche, lui baisant cette dernière, tandis qu’un autre s’enfonça dans son cul, remontant dans son colon. Les tentacules immobilisant les bras d’Engiel se resserrèrent également, et sa tête partit légèrement en arrière, sous l’effet du tentacule qui remuait en elle. Sarah, elle, en profita pour remuer d’avant en arrière, glissant sa verge dans son con, sans jamais la retirer, longuement et délicieusement. Elle prenait tout son temps, et ne cherchait plus à faire dans la dentelle. Engiel voulait un monstre ? Elle allait être servie !

Ses coups de reins étaient plus prononcés, plus forts, plus intenses. Elle donnait de tels coups que, à chaque fois, les tentacules immobilisant les jambes de la Tekhane se resserraient, s’enfonçant dans le corps en chitine de la Reine des Lames, afin de retenir l’intéressée. Ses griffes étaient enfoncées dans sa chair, perforant sa combinaison, la faisant saigner. Son sang filait le long des doigts de la redoutable Formienne pour venir se poser sur le sol. On pouvait maintenant l’entendre gémir, mais guère faire grand-chose d’autre. Ce qu’elle subissait était au-delà de ce qu’un être humain pouvait supporter. Le tentacule dans ses fesses s’était enfoncé si loin que du sang jaillissait également, et celui dans sa bouche, en la violant, l’étouffait régulièrement.

« JE... SUIS... VOTRE... REINE, PETITES SALOPES ! » hurla alors Sarah, en proie à une prise de rage.

Cette colère soudaine n’était pas liée qu’à Engiel, mais aussi à ce qui se passait dans les couveuses. Rien n’échappait au regard de la Reine dans son antre ; Shiranui avait réussi à sortir de son cocon, et avait blessé Irina, sa petite Irina. En l’état, Sarah laissait donc sa frustration s’écouler sur le corps d’Engiel, ce corps d’humaine dont les limites physiques l’empêchaient de supporter les assauts voraces et meurtriers de Kerrigan. On pouvait entendre ses reins gémir, ses muscles se distordre. Les tentacules tiraient ses bras d’un côté comme de l’autre, manquant de l’écarteler. Son ossature était en train de frémir, comme une corde de violon sur le point de rompre.

Quand Sarah éjacula, Engiel n’était plus qu’une poupée de chair. Elle balança son foutre en elle, et tous les tentacules se retirèrent. Engiel s’écroula mollement sur le sol, dans une mare de sang. Le tentacule lui ayant perforé les fesses avait coupé plusieurs veines, et Engiel était tout simplement en train de faire une hémorragie... Mais la graine avait poussé dans son ventre. Sarah reprit lentement son souffle. Sarah se pencha sur Engiel, et posa une main sur sa nuque, la soulevant. Elle était comateuse, et peut-être bien qu’elle ne l’entendait pas, mais Sarah s’en fichait. Du sang jaillissait aussi de sa bouche, et de sa mâchoire broyée.

Le tentacule dans sa bouche avait explosé plusieurs de ses dents, ce que Sarah ne réalisa qu’en tenant son visage.

« Ne crois pas que tu va smourir, Engiel... Ta vie m’appartient. »

Elle la balança sur le sol en se retournant vers les autres Tekhanes, et d’autres tentacules vinrent saisir Engiel, pour l’éloigner, l’emmenant dans un cocon pour la soigner. Sarah remarqua alors qu’il y avait des traces de sang sur sa verge, et elle hocha la tête, puis fit un signe vers les tentacules retenant Tirch. Ces derniers se retirèrent, et la femme tomba au sol.

« J’ai offert à Shiranui une chance de sortir d’ici... Ma mansuétude a coûté la vie d’une de mes bestioles. Vous allez me le payer... »

Sarah était en colère, et elle ne prit même pas le temps de déduire Tirch, ou de jouer avec elle. Elle fonça droit sur elle, avec une vitesse surhumaine. Sa main griffue se tendit en avant, cherchant à avoir le visage de Tirch... Si Tirch avait suffisamment de réflexes pour l’éviter, sa main irait manger le mur devant elle.

Et ce ne serait que partie remise.



IRINA

Sa Mère leur avait dit de ne pas les tuer, mais, pour Irina, c’en était trop. Elle sentit une pointe de haine intense et noire la traverser, et son Xénomorphe réagit en conséquence. Sa queue fonça sur Shiranui, et la transperça par le dos, broyant sa colonne vertébrale, ressortant de l’autre côté. Le Xénomorphe hurla lentement, puis retira sa queue, et s’écarta. Shiranui se retrouva couchée contre le sol, inerte, et maintenant calmée. Lentement, Irina marchait vers elle. On aurait pu croire que sa colère était partie en voyant ainsi la jeune femme, agonisant contre le sol, mais il n’en était rien. Elle s’avança vers elle, et la retourna, la couchant sur le dos. Une épaisse mare de sang jaillissait sous le corps de Shiranui, mais elle était encore vivante. Irina pouvait le voir dans ses yeux, elle pouvait sentir le mince filet de la vie palpant encore en elle. Ce monstre gigantesque était costaud, et il en faudrait plus pour la tuer.

« Tu n’avais pas le droit... Pas le droit ! Pas le droit !! »

Irina se mettait à la frapper, martelant son visage... Et, si elle n’avait jamais été une combattante, en devenant une Cérébrate, ses capacités physiques avaient été améliorées, ce dont elle ne se rendait actuellement pas compte, la colère lui faisant perdre toute forme de contrôle. Elle tapait cette femme, encore et encore, jusqu’à ce qu’une forme la repousse. Un tentacule noir la frappa au ventre, et une autre femme apparut.

Thorne (http://img92.xooimage.com/files/c/3/1/thorne-3b99ea1.jpg), une autre Cérébrate plus âgée, venait d’arriver.

« Elle la veut vivante ! Que comptais-tu faire, Irina ?
 -  Elle a tué l’un de mes bébés !
 -  Nous sommes en guerre ! Ce sont des ennemies ! Que crois-tu qu’il se passe en guerre, petite sotte ?! Tu allais tuer l’une des meilleures pondeuses en devenir, Irina ! »

Irina soupira, toujours aussi furieuse. D’autres Formiens étaient arrivés, et Thorne leur ordonna de conduire Shiranui auprès d’Abathur, vu l’état de ses blessures... L’endroit aussi où Engiel, en réalité, venait d’être envoyée. Le technogénéticien était aussi le meilleur guérisseur formien qui soit, même si ses méthodes de cicatrisation étaient tout, sauf agréables. Thorne posa ensuite ses mains sur les épaules d’Irina.

« Irina ! Tu dois apprendre à te contrôler !
 -  Je...
 -  C’est SÉRIEUX ! Tu réagis encore comme une humaine pourrie gâtée, pas comme une Fille de Mère ! Notre Mère a fait de toi sa Fille, Irina, c’est le plus précieux des cadeaux ! Tu dois raisonner comme une leader, maintenant. Plus tes émotions t’échapperont, et plus ton contrôle sur tes Formiens sera faible ! »

Irina secoua lentement la tête en clignant des yeux, sentant une vague de tristesse la saisir.

« C’est que... C’est mon premier bébé que je... Qui m-meurt sous... »

Irina se logea alors contre Thorne, et se mit à pleurer. La main de Thorne alla tendrement caresser le dos de la Cérébrate, alors qu’elle entreprenait de la consoler :

« Ne t’inquiète pas, ma belle, tu auras l’occasion de faire d’autres bébés... Shiranui t’a tué un Formien ? Et bien, elle t’en fera une centaine d’autres. N’oublie jamais cela : la vie n’est pas une ligne. C’est un cycle, un cercle sans fin. »

Irina hocha lentement la tête. Oui, Thorne avait raison...

Cette Shiranui allait payer !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le jeudi 14 mai 2015, 12:11:22
« Tu parles trop, petite pute. Si tu ne veux pas hurler, je te ferais couiner. »

   Mais c'est quoi cette réaction ? Engiel était presque choquer, elle aurait put au moins la frapper, répliquer ou sortie l'intégralité du dictionnaire de l’injure ! Elle ouvrit la bouche pour sortir une pique, mais ne put qu’accueillirent la présence massive et violente d'une tentacule qui se mit en tête de pulvériser le record du plus grand nombre d'allées et venues dans une bouche en moins d'une minute, tentant d'établir un score qu'on ne pourra plus jamais battre. Engiel ne put que subir et gémir, l'inquiétude et la peur ce lisant dans ses yeux, sentant sa gorge ce gonfler et ce dégonflé à un rythme effroyable, craignant que la tentacule ne finisse par percé sa gorge.

   Tandis qu'Engiel ne put que créer des bruits de sucions des plus horrible et des gémissement des plus pitoyable, une tentacule se présenta à ses fesses, perforant sa combinaison avant de s'enfoncer dans son cul comme une créature vorace cherchant à atteindre sa proie dans une petite crevasse trop petite pour elle. Même si un liquide fut utilisé pour facilité la pénétration, la douleur était des plus fortes, à en faire perdre la tête par son intensité, sans compter que celle-ci semblait vouloir voir plus loin que le colon. Ses gémissement furent plus prononcé, mais cela ne servait qu'a témoigner sa douleur, sans pouvoir l'adoucir. En même temps les tentacules se serrèrent d'avantage, comprimant plus ses membres et l'annexienne redoubla d'effort dans ses allée et venues, frappant et raclant avant plus de force l'intimité d'Engiel, ne lui laissant qu'une sombre pensée : que cela aller être pire.

   Plus les secondes s'écoulaient, plus l'emprise tentaculaire se resserrer, aggravant la douleur qu'en ressentait Engiel, de même pour son col de l'utérus, les coups gagnant en force. Ses jambes se seraient d'avantage sur l'annexienne, tandis que cette dernière enfonça ses griffes dans ses cuisses, perçant la peau, tranchant quelque veines, tandis que de nombreux filer d'un rouge vermeille s'écoula des coupures, coulant aves grâce sur la combinaison d'Engiel, avant de s'écouler sur le sol, en une successions rapides de gouttes, formant rapidement de petite mare de sang, pas plus grosses que le pouce, avant de se rejoindre à d'autre, grossissant rapidement. Cette nouvelle douleur ne passa pas inaperçue, rajoutant de nouveaux gémissement de douleur.

   Mais ce n'était que le débuts, car Engiel faillit presque réussir à pousser un crie, quand la tentacule ramonant son fondement perça quelque veines, déchirant quelque par, un accès trop petite pour lui, le sang coulant le long de la tentacule et de sa rondelle. Son imitation de crie fut étouffer rapidement, de même que sa respiration, la tentacule s'enfonçant trop loin dans son œsophage, l’empêchant de respirer pendant plusieurs seconde, avant de se retirer, la laissant rependre du mieux possible sa respiration avant de recommencer. Engiel ouvrait le plus grand possible sa bouche car la tentacule manquait de lui déboîté la mâchoire voir même de la briser, ce qui arriva à ses dents. La tentacule ce retirait trop violemment et rentrer tout aussi violemment, brisant dans les deux sens des dents, quelque morceaux tombant dans sa gorge emporter par le sang et la tentacule, griffant ses parois buccales, ne pouvant résister à un assaut pareil.

« JE... SUIS... VOTRE... REINE, PETITES SALOPES ! »

   La peur qui était la leurs, reprit ses droits, instaurant à nouveau sa tyrannie dans l'esprit d'Ilinia et de Schield, ce crie semblait être à ce moment l'essence même de la rage et le visage de l'annexienne, le visage même de la rage et ses yeux tout autant. Ça ne pouvait pas être que lier à Engiel, son cracha n'était pas grand chose comparer à tout ce que l'escouade Delta S avait put faire contre elle. De plus elle semblait imperméable aux insultes et provocation. Qu'es qui pouvait donc la mettre dans une telle rage ? Qu'elle que soit la réponse, Engiel était désormais le souffre douleur de l'annexienne. Les autres pouvaient voir qu'Engiel souffrait horriblement, mais elles ne pouvait pas a savoir à quel point.

   Tout son corps souffrait, les muscles de ses bras menaçaient de rompre, ses os tremblaient menaçant de se briser, ses articulations souffraient menaçant de se casser. Ses tendons menaçaient d'être trancher, ses veines comprimaient empêcher la circulation du sang, engourdissant ses membres, tandis que ces derniers étaient tirer jusqu'à la menace d'être arracher. La dernier chose qu'Engiel sentit, avant que la douleur ne finisse par la faire évanouir, fut une douleur fulgurante et puissante, comme si on lui avant broyer ou déchirer quelque chose.

   Ses camarades ne pouvaient imaginer ce qu'elle avait subit, mais ses gémissements de douleurs de plus en plus fort et l'importante flaque de sang ne pouvait que laisser imaginer le pire. Quand les tentacules la relâchèrent, signe que l'annexienne avait finit par jouir, le corps d'Engiel tomba dans un bruit mat dans le sang, ses cheveux commença à se gorgé de sang. Mais le pire n'était pas là, c'était le visage d'Engiel : les yeux révulsaient comme si elle cherchait à admirer son cerveau, la bouche anormalement grande ouverte, édentées, remplit de sang, les lèvres fendus. Le visage d'Ilinia devint livide, aussi blanc que la neige, manquant de s'évanouir, Schield dans le même état et Tirch.... n'en avait rien à faire, la voyant comme morte. 

   Horrifier et indigner, Ilinia et Engiel regardèrent l'annexienne soulever Engiel comme une poupée, le sang coulant de son fondement dilaté et meurtrit. Aucune compassion se voyait dans ses geste et ses yeux, de même que dans ses paroles, ne s'inquiéta pas d'avantage de son état, parlant comme si Engiel avait exprès pour mourir l'accusant presque, de leur point de vue, en plus de souligner qu'elle lui appartenait.

   L'annexienne la balança sur le sol, comme un vulgaire jouet casser, arrachant des gémissement d'indignation de la par de ses camarades, avant que des tentacules n’amène on ne sait où Engiel. En même temps Tirch fut libérer, et la petite flamme d'espoir que garder les autre se transforma en un immense brasier ! La meilleurs combattante avait été libérer, la seul qui pouvait espérer battre l'annexienne ! Pourquoi tant d'espoir en elle ? Parce que personne de la section n'a pus la battre une seule fois, seul ou à plusieurs.

« J’ai offert à Shiranui une chance de sortir d’ici... Ma mansuétude a coûté la vie d’une de mes bestioles. Vous allez me le payer... »

   Avait elle bien entendue ? Shiranui avait tué un formien ? Comment ? La seule hypothèse et qu'elle avait réussit à se libérer de son cocon et affronté un formien, mais cela n'était pas la principale sujets dans l'esprit des soldates, le combat à venir pouvait peut être déterminer leur destin.

   L'annexienne fonça vers Tirch, ce qui était une grave erreur, foncer sans réfléchir dans les bras d'un assassin et d'une soldate ayant subit des améliorations chimiques et un entraînement spéciale, était la mort assurée, car si elle croyait que Tirch se remettait lentement de son immobilité durant des heures, elle se trompait lourdement.
   
   Tirch regarda l'annexienne en se relevant pas le moins du monde perturbé, sans ciller, sans aucune pensées, sans animosité, sans rien. Alors que l'annexienne n'était qu'a deux mètres de Tirch, celle-ci fonça vers elle sans aucun signe montrant une tentative de ce genre, dévia l'attaque d'une mains et écrasa le nez de l'annexienne contre la paume de son autre main en même temps, un craquement retentit. La vitesse de l'annexienne couplé à celle du coup de Tirch et de sa force purent sonnée la Reine des Lames, stoppant brutalement sa course. Juste avant, l'annexienne put admirer le code barre sur son front, deux espèces de tube métalique enfoncer dedans ressortant légèrement, un visage vide d'expression et des yeux ne montrant presque aucun signe de vie. On aurait put croire à un mort si elle ne bougeait pas.

   Titubante, l'annexienne avança vers le mur, à deux doigts de tomber, où Tirch l'aida à se cogner dedans, prenant sa tête dans ses mains avant de la cogner violemment dessus, puis la laissant tomber à l'aide d'un croche patte, juste avant qu'elle n’écrase son pied sur sa tête, l’écrasant encore plus dessus, avant de racler le mur avec son visage, avant de la jeter à terre. Son esprit n’exprimait aucune haine ou rage, aucune envie de vengeance, ni d'envie personnelle de tuer l'annexienne, sauf celui de la tuer, car c'est son devoir, ses ordres et sa raison de vivre. En plus de tout à tas de plan de frappe, de contre attaque, d'esquive ou de ruse, aussi bien pour elle que pour l'annexienne.

   Elle frappa l'arrière du crane de l'annexienne, avec sa botte, avant de s'emparer d'une de ses excroissance et de la briser à la base avec puissant coup de pied, pulvérisant son attache, avant de faire de même avec l'autre, qu'elle jeta au loin, elle s'éloigna de l'annexienne, la première excroissance dans la main où elle brisa les « branches », afin de servir comme arme, une d'en chaque mains, le surplus jeter dans un coin de la salle. Entre temps l'annexienne commença à ce relever, mais Tirch, fut plus rapide, écrasant le dos de l'annexienne sous sa jambe, la rejetant par terre, avant de lever bien haut une de ses armes improviser, visant la nuque.
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   Elle baignait dans son sang, ses lèvres goûtant à son goût cuivré, du sang remontant dans sa gorge, coulant sans qu'elle ne se force de ses lèvres. Elle était sur le point de s'évanouir ou de mourir, elle ne savait pas, sa vue brouiller n'avait de vision que son sang, le rouge lui rappelant étrangement la housse de sa couette ou alors c'était vraiment sa couette ! Quand elle mourrait elle se réveillait dans son lit au paradis c'est ça ? Elle voulue tendre la main pour tirer sa couette vers elle, afin de se tenir au chaut, mais son bras ne suivit pas sa volonté, restant inerte. Elle fut retournée, ses blessures la rappelant à la réalité, non elle était toujours vivante, ce n'était pas sa couette, mais son sang, formant une nappe rouge. Couverte de sang, t-elle une infâme robe de sang, couvrant en partie son visage et son ventre, ainsi que ses membres.

   À travers son regard vitreux, de sa vue brouiller, elle ne put que regarder une image indistincte, c'était en tout cas quelque chose ayant une forme humaine, la pénombre des lieu ne l'aidant pas à distinguer l'inconnue. Mais elle put comprendre quelque bribe de ce qu'elle disait : « pas le droit ». Malgré son état, elle savait de qui il s'agissait et de quoi elle parlait. Trop faible pour répliqué, elle ne put, que tousser crachant du sang, avant qu'un poing ne vint s’écraser sur sa joue, créant assurément un hématome conséquent, avant qu'un autre poing ne frappa ses lèvres, fendant l'une d-elle. Les coup pleuvait sans qu'elle ne puise répliquer se protéger, sans réagir, sans crier. Et cela durant quelque minute, jusqu'à cela cesse brusquement, laissant un visage tuméfié, deux œils aux beurre-noir, plusieurs bosse, deux dents casser et des joues prenant des couleurs mauve inquiétante.

   Elle entendit une sorte de discutions, mais lointaine, très lointaine, un flot de paroles incompréhensible, alors que les cérébrates n'était qu'a un mètre d'elle. Sa vue devenait de plus en plus sombre, l'obscurité de plus en plus forte, le sont de plus en plus lointain, jusqu'à ce qu'elle ne voit et n'entende plus rien. Elle venait de s'évanouir, bientôt au porte de la mort, mais en rien cela n'arrivera, car des formiens la transportèrent sur ordre d'une cérébrate. Suivre leur trace et était très simple, le sang coulant comme un jets d'eau, formant un ligne irrégulière.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 16 mai 2015, 01:55:35
SARAH KERRIGAN

Ce débordement de violence et de cruauté était nécessaire. Nécessaire pour leur rappeler que, malgré toute sa mansuétude, toute sa générosité, et, en un sens, toute sa douceur, Sarah Kerrigan restait aussi leur Reine. Qu’elles le veuillent ou non, l’Escouade Delta-S était maintenant composé de sujets de la Reine. Elles se refusaient à l’admettre, et Sarah le leur rappelait. Elle avait droit de vie et de mort sur elles, et, si ces femmes se montraient coopératives, Sarah le leur rendrait bien… Dans le cas contraire… Et bien, le visage horrifié des Tekhanes en voyant le triste état d’Engiel, son corps agonisant et massacré, était un bel exemple de ce qui allait leur arriver. Maintenant, Kerrigan voulait définitivement les briser, leur montrer qu’elles étaient sous son autorité, et, pour ça, il lui fallait affronter Tirch.

Cette femme était une énigme aux yeux de Sarah. Froide, inexpressive, elle semblait insensible à tout ce qui lui arrivait, et n’éprouvait même pas de haine envers Sarah. Pendant toute la durée de cette séance ici, elle n’avait pas eu d’ascenseur émotionnel. Son état était toujours resté stable, avec la volonté de tuer Kerrigan, du début à la fin. Est-ce que c’était une cyborg ? Ou une humaine ayant subi des modifications cérébrales ? En tout état de cause, Tirch était destinée à finir entre les pattes d’Abathur, afin de déterminer ce qu’elle était, et ce qu’on lui avait fait subir. Pour l’heure, Sarah voulait l’éprouver, et elle ne fut pas déçue. Elle se rua sur elle, et Tirch esquiva sans problème, puis la roua de coups.

La douleur explosa dans tout le corps de Sarah. Tirch était rapide, et enchaînait des frappes chirurgicales, puissantes, tout en évitant de faire des erreurs. Elle fonçait dans tous les sens, et chacun de ses coups était fait pour faire mal, dans le but de lui briser des os. Elle savait qu’elle affrontait une femme qui avait une constitution résistante. Son corps chitineux était bien plus costaud que la peau humaine, et ses capacités d’autorégénération rendaient également la Reine des Lames dangereuse. Tirch le savait, et elle évitait donc de la sous-estimer, ayant eu l’occasion de la voir se battre. En d’autres termes, Sarah se retrouva en une minute dans une situation critique. Du sang ruisselait de son visage et de son dos, où Tirch l’avait amputé de ses lames, en tirant sur les excroissances à la base des lames, les épluchant ensuite pour faire des sortes de lances, avec lesquelles elle comptait égorger Sarah, ou la décapiter. Et, même quand elle se battait, même quand elle se ruait sur sa cible avec cette détermination, son état émotionnel restait toujours aussi calme. Un peu d’adrénaline filait, mais sans que ce soit excessif.

*Impressionnant…*

Sarah se retrouva clouée sur le sol, écrasée par la botte de Tirch, qui leva la lance de chitine, et l’abattit vers sa nuque, vers le point sensible, vers la zone où la lance la transpercerait. Sarah imaginait déjà le visage ravi d’Ilinia et des autres prisonnières quand la lance transpercerait de part en part la nuque de Sarah. Elle ne serait pas encore morte, mais on la verrait tituber sur le sol, vomissant du sang en grandes quantités, tandis que toute la Ruche, affectée par cela, vacillerait sur place. Tout cet endroit ne tenait que par la volonté de Kerrigan. Même le Monstre tentaculaire, si Sarah venait à mourir, cesserait ses activités, car il ne saurait pas quoi faire… Ou, plutôt, il continuerait à violer les femmes, mais n’aurait plus personne pour le guider, ce qui le rendrait donc encore plus dangereux sur le moment.

La lance se rapprochait donc, portant tous les espoirs de ces femmes…

…Et elle s’arrêta en pleine course.

Subitement, brusquement .Elle se bloqua, malgré tous les efforts de Tirch. La Tekhane allait-elle enfin montrer de la surprise ? Sarah, prostrée sur le sol, se mit alors à rire. Un rire étouffé par la proximité du décor, mais un rire quand même, qui remonta lentement le long de sa poitrine et de sa gorge… Et, soudain, ce fut le bras de Tirch qui partit en arrière, ainsi que sa jambe. Oh, on pouvait la voir forcer, mais c’était comme si des ficelles invisibles la retenaient.

Et, lentement, Sarah se releva, ne disant rien, reprenant tranquillement ses forces.

« Tu tapes fort, Tirch… Je te reconnais ça… »

Sarah cracha sur le sol un gallot de sang, puis se concentra. Ses lames repoussèrent alors, et elle soupira de plaisir, en les faisant se remuer de gauche à droite.

« Combien de fois vous ai-je dit que cet endroit était mon antre ? La bêtise des humaines… Croyais-tu donc vraiment avoir la moindre chance, Tirch ? La moindre chance contre moi ? As-tu donc oublié, ma chère Tirch, as-tu donc oublié… QUI. JE. SUIS ?! »

Sarah se concentra alors, et le sol se mit à vibrer autour d’elle, tandis que ses yeux devinrent d’un blanc laiteux et immaculé. On sentit des vibrations énergétiques autour d’elle, tandis qu’un dôme se formait.

« Je… Suis… SARAH KERRIGAN, LA. REINE. DES. LAAAAMES !! »

Elle hurla ce nom, et le dôme d’énergie explosa, envoyant une violente onde de choc qui repoussa Tirch comme un fétu de paille. La femme rebondit sur le sol, et Sarah marcha lentement vers elle. Elle était une Psychique, une télépathe très puissante. Quand elle n’était encore qu’une humaine, Sarah était une Psi-10, le plus haut niveau psychique reconnu par les académies militaires tekhanes. Un véritable prodige, une femme exceptionnelle, et ses talents se confirmaient encore, en ce moment, maintenant qu’elle était devenue une Annexienne.

Sarah pouvait contrôler les membres de Tirch par le biais de la télékinésie. C’était de la triche, en un sens… Mais c’était aussi un bon moyen de leur rappeler qu’elle ne faisait que jouer avec elle. Affronter Kerrigan dans sa Ruche, c’était comme défier une Déesse. Ses faiblesses, Kerrigan comptait bien ne pas le leur montrer.

« Relève-toi, Tirch, viens prendre ta râclée… »

Dans un combat qu’elle ne pouvait pas gagner, qu’allait-elle faire ? Chercher un moyen de lutter contre les pouvoirs psychiques de Kerrigan ? Peut-être avait-elle un mode qui pouvait la protéger ? Ou une stratégie à appliquer ? Sarah l’ignorait… Et elle était curieuse de voir quelle serait, maintenant, la réaction de cette femme.



ABATHUR

(http://img110.xooimage.com/files/8/6/c/abathur_head-4b3bb3d.jpg) (http://img110.xooimage.com/files/d/c/2/mxvaznnh-4b3bb3b.jpg)

La Tanière d’Abathur était un endroit qui attirait peu les Cérébrates de Sarah. On pouvait aisément le comprendre. Abathur, technogénéticien de la Horde de Sarah, était en soi une créature particulièrement repoussante. C’était un être grotesque, avec un corps massif, de multiples bras aux mains crochues qui en sortaient, et une abominable longue tête verdâtre avec des pattes grouillant à sa surface. La créature grotesque était probablement l’une des choses les plus laides qu’on puisse voir au sein de la Fourmilière, et, pourtant, elle était indispensable. Sa Tanière était une zone centrale, où Sarah réalisait toutes les expérimentations génétiques nécessaires pour améliorer sa Horde. Les Formiens subissaient des expériences sinistres, souvent létales pour les cobayes, ayant pour but de les améliorer, chaque amélioration était ensuite génétiquement encodée dans le patrimoine formien. Abathur était un apprenti-sorcier, le conseiller technique de Sarah, et aussi le chirurgien attitré de la Horde.

Son antre se composait d’une sorte de grand puits verdâtre au milieu d’une grotte noire. Le puits donnait sur un grand bassin génétique verdâtre dans lequel partait tout le corps d’Abathur. Le technogénéticien était en réalité une créature massive, au corps long et imposant, qui disparaissait dans le bassin génétique. Ce qu’on voyait n’était donc que sa tête, le reste de son corps formant un long tronc qui partait s’enfoncer dans l’eau, où de multiples tentacules et autres excroissances constituaient le prolongement.

Les Formiens lui amenèrent le corps d’Engiel et de Shiranui.

« Multiples lésions et hématomes, signala Abathur en inspectant le corps de Shiranui. Graves hémorragies. »

Abathur avait une manière très chirurgicale de parler, et il installa les deux femmes sur des tables chirurgicales, les immobilisant avec des tentacules. Des pattes supplémentaires sortirent de son corps, en forme de seringues, et il se pencha vers elles, commençant par enfoncer dans leurs corps des seringues destinées à ralentir la circulation sanguine. Des tentacules microscopiques filèrent ensuite dans la blessure de Shiranui, et s’enfoncèrent dans ses entrailles, afin de la guérir…

Il était tout à fait possibles qu’elles sentent la douleur. Abathur n’avait pas pour habitude d’anesthésier ses patients.

Une autre raison qui expliquait pourquoi les Cérébrates n’aimaient pas le voir.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 17 mai 2015, 18:51:12
   L'espoir, synonyme de légende pour elles, mais devenue une légende vivante, réapparue pour leur porter secours, tranchant les ténèbres du désespoir, apportant sa lumière en ce lieu désoler ! L'espoir envahit leur esprit corrompue par le désespoir, ravivant leur flamme mourante ! Une cascade de bien être, de joie et d'espoir inondas Ilinia et Schield quand Tirch fur la première à porter le coup et à malmener l'annexienne, leur pensées exprimant leur joie de sa future victoire, de l'extase de la mort prochaine de l'annexienne et du bonheur de pouvoir enfin être libéré de ce sombre destin qui leur était réserver.

*Tue là!Tue là ! Tue là !* Pensèrent ensemble Ilinia et Schield, t-elle des prières adresser à une divinité, Quand Tirch leva bien haut son arme improviser.

   Bien que ne partageant pas les mêmes émotions, Tirch voulait aussi voir morte l'annexienne, afin d’accomplir sa mission. Mais cela n'arriva pas, car alors que Tirch abattit sa lance sur la nuque, une force invisible retin son geste, la lance à deux trois centimètre de la nuque. La stupeur fut de rigueur pour Tirch, son bras bloquer malgré toute la force qu'elle mettait dans son bras, il tremblait sous l'effort, mais ne pouvait plus avancer. Rien ne la retenait, mais elle ne pouvait plus bouger, ce qui inquiéta finalement Tirch. L'horreur remplit l'esprit des deux autres, ne comprenant pas ce qui ce passer, mais l'espoir toujours aussi fort, bien que vacillant.

   Puis vint le rire de l'annexienne, provoquant des sueurs froides pour Ilinia et Schield. Un rire qui prit de l'ampleur, jusqu'à ce que Tirch, qui sous la surprise n'utilisa pas sa seconde arme, violemment tirer en arrière par son bras et sa jambe gauche, le côté tenant l'arme, laissant l'espace nécessaire à l'annexienne pour se relever et l’empêchant de porter son coup. Elle ne pouvait rien faire, alors que l'annexienne se dressait devant elle.

« Tu tapes fort, Tirch… Je te reconnais ça… »

   L’intéresser ne répondit pas, cherchant un moyen de se libérer de cette emprise inconnue, surprise et inquiétude disparue. Et tandis que ses excroissances repoussèrent, Ilinia et Schield l'insultaient de tout les noms possible, utilisant l'intégrale du dictionnaire des insultes, tout en lui criant de mourir, par le biais de leur pensées. Elles n'écoutèrent pas le petit monologue de l'annexienne, trop concentrées sur leur insulte et Tirch n'en avait que faire de son discours, de t-elles pensées n'étaient pas prise en considération dans ses missions, accomplissant juste ses ordres. Mais les vibration du sol et celle énergétique venant de l'annexienne ne lui échappa pas, apercevant un dôme d'énergie se former autour de sa cible.

« Je… Suis… SARAH KERRIGAN, LA. REINE. DES. LAAAAMES !! »

   Comme si Jade venait de lui balançait une de ses plus redoutable onde de choc, Tirch fut propuser dans les airs, qui par miracle pus retenir sa lance, mais perdit l'autre arme. Elle s’écrasa sur le sol, rebondissant un peu avant de glisser sur plusieurs centimètres. Si elle était habituer à ce genre d'attaque avec Jade, mais ce n'était pas le cas pour ce genre d'ennemie. Son esprit plongea dans les méandres de ces souvenir, ressemblant toute les informations concernant Sarah Kerrigan, se devant de trouver un moyen de la contrer, car indubitablement c'était elle qui l'avait stopper dans son élan. Alors qu'elle réfléchissait, l'annexienne s'avançait tranquillement vers elle.

« Relève-toi, Tirch, viens prendre ta râclée… »

   Elle resta par terre, perdue dans ses pensées. Bien que c'est supérieure ne lui ont pas tout révéler concernant son ennemie, Tirch en savait assez pour savoir que l'annexienne avait des pouvoirs de télékinésie, ce qui expliquer son arrêt soudain. Elle ne pouvait pas lutter contre une t-elle chose, mais elle avait apprit à agir sans information ou entraînement adapter, s'améliorant par ses combats et un t-elle pouvoir demander de la concentration, elle devait la perturber.

   Elle se releva, apportant soulagement à ses camarades, avant de les horrifier par son geste. Elle venait de se servir de sa lance improviser, pour s'empaler proprement, une frappe chirurgicale dans son ventre, évitant tout organe vital ou artères, sans hésiter et n'exprima aucune douleur, ni émotion par rapport à son geste, mais cela eu le mérite de perturbé l'annexienne, face à son geste des plus improbable et inattendue, lui donnant de précieuse seconde pour agir.

   La distance les séparant n'était que de quelque mètre, ne lui permettant pas le loisir de retirer puis de viser l'annexienne de sa lance, cela prendrait trop de temps, elle fonça donc la lance toujours dans le ventre, la tenant fermement des deux mains visant celui de l'annexienne. Le temps que l'annexienne se ressaisie, il était déjà trop tard, Tirch là transperça de sa lance. Une humaine normale n'aurait pas réussit, sans les améliorations de Tirch. Elle resta comme ça en moment, toisant l'annexienne de ses yeux vide d'émotion, avant de s'éloigner brusquement retirant la lance de son ventre désormais dans celle de l'annexienne. Elle brisa un bout à l'aide de son genoux et de ses mains, remuant les entrailles de l'annexienne avec le choc, avant de visser sa gorge.
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   Inconsciente, mourante, ravager et presque vider de son sang, Shiranui ne pouvait réaliser qu'elle n'allait pas mourir comme souhaiter, qu'elle allait survivre, qu'elle allait vivre ! De même que pour Engiel, à l'inverse qu'elle savait d'avance qu'elle ne pourrait pas mourir dans cette endroit, bien qu'ayant pas prévue qu'elle finirait comme ça, mais elle ne pouvait pas y penser pour le moment, inconsciente pour penser à de t-elle chose. Le duo était mener dans un endroit afin d'être sauver et soigner, ce qu'elles auraient refuser consciente, mais qui n'aurait pas changer grand chose sur la finalité.

   Installer sur des lits organiques ou plutôt sur des tables d'opérations, au bon soin d'une créature qu'elles ne pouvaient imaginer, même dans leur cauchemars. Mais leur états leur éviter une vision d'horreur, qui aurait plonger Shiranui dans une peur profonde et qui aurait pleurer, et une peur moins intense chez Engiel. Pour le moment elles étaient dans un monde sans rêve, d'un noir d'encre, leur esprits flottant dans un vide inconnue. Mais cette esprit finit par ressentir quelque chose, chose qui assimila à la douleur, les nerfs réagissant, des signaux électriques affluant dans leur cerveaux. Une douleur intense, si bien qu'elle les réveilla, leur fessant ressentir toute la douleur de leur soin, ressentant des choses inconnues remuer en elles, t-elles des parasites s'agitant dans leur entrailles.

   Conscientes, elles ne purent que subir, ne pouvant hurler, ne pouvant exprimer leur douleur correctement et dans toute son intensité, ne pouvant bouger, la vision du monstre au dessus d'elle, ne les choquas pas, la douleur occupant leur esprit, cherchant à la vaincre, à l'occulter. Elles pouvaient sentir remuer en elles leur entrailles, des choses remuer sous leur, peau. Leur visage afficher l'horreur la plus absolut, tant par la douleur que par ce qu'elle vivait, le visage traverser par leur larmes.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 19 mai 2015, 01:09:15
Abathur allait avoir du boulot... Tirch s’était relevée, et Sarah était curieuse de savoir ce qu’elle comptait faire. Cette femme avait un comportement robotique, confirmant la théorie de Sarah, selon laquelle cette soldate serait une cyborg. Que comptait-elle faire pour l’affronter, maintenant qu’elle avait compris qu’on ne pouvait rien faire contre Kerrigan ? Du moins... En apparence. Cependant, en l’état actuel des choses, aucune de ces femmes n’avaient d’armes suffisamment élaborées pour tuer Sarah, si elle se battait sérieusement. Ce conditionnel était important, car Tirch avait quand même failli porter un coup fatal... Un coup fatal dans un combat où les dés étaient pipés, et où Sarah était à la fois joueuse et arbitre. Comme quoi, il ne fallait surtout pas sous-estimer la capacité de résilience des Tekhanes. Tirch s’était donc relevée, et, à la surprise de Sarah, s’empala, plantant sa lance dans son ventre.

Sarah songeait donc à Abathur quand Tirch courut vers elle.

« Que... ?! »

Elle parcourut rapidement la distance les séparant, et Sarah écarquilla les yeux en sentant Tirch sauter contre elle, comme pour lui faire un câlin. Leurs corps se touchèrent, et la lance transperça Kerrigan, perforant un poumon, transperçant la chitine pour ressortir de l’autre côté. Une vieille légende antique parlait d’un homme disposant de l’épée la plus tranchante du monde, et de l’armure la plus résistante du monde. Un guerrier invincible, à en croire les récits, qui ne souffrait d’aucun point faible... Et qui, en réalité, portait en lui-même son point faible : pour vaincre son armure, pour la percer, il fallait lui voler son épée. Tirch avait appliqué cette leçon ici, utilisant la chitine de Sarah contre elle-même.

Sa lance ressortit de l’autre côté, et Sarah se mit à vomir du sang, tandis que ses pattes, dans son dos, se tendirent au maximum, afin de se recroqueviller sur elles-mêmes.

« BLEUUAAARRGHH !! » gémit Sarah en vomissant du sang.

Tirch s’écarta, retirant la lance de son corps, la laissant plantée dans le corps de Sarah, qui avait du mal à respirer, et qui tomba à genoux, évitant de s’étaler sur le sol en posant une main par terre. Sa vision était floue, et la douleur l’empêchait d’utiliser au mieux ses pouvoirs psychiques. Tirch s’était emparée du bout de la lance, et visait la gorge de Sarah. Cette dernière reprenait son souffle, et, dans son corps, elle agissait, influait sur ce dernier afin de couper la douleur. Elle bondit alors sur le côté, et le bout de la lance effleura sa peau. Un peu de sang jaillit, mais elle tomba sur le sol, et envoya son pied frapper le ventre de Tirch, là où elle s’était ouverte. Elle repoussa ainsi la femme, l’envoyant sur le sol, et Sarah se releva alors. Le bas de son visage était couvert de sang.

« Hunnn... »

Elle respirait bruyamment, se tenant le ventre d’une main. De l’autre, elle tenta de concentrer ses forces, et envoya une onde mentale... Mais elle était bien moins forte que ce que Sarah était capable de faire. Tout au plus une pichenette. La douleur physique l’empêchait de se concentrer, et, même si elle avait utilisé son corps pour paralyser son système nerveux, son système respiratoire était endommagée.

En conséquence, les tentacules qui retenaient Shield et Ilinia s’affaiblirent, leur offrant l’opportunité de se libérer en poussant dessus. Sarah  s’essuya le visage d’un revers de la manche, puis arracha la lance plantée en elle, et la jeta au sol. Tirch savait que le temps jouait contre elle, que le facteur autoguérisseur de Sarah allait faire effet. Elle s’élança donc encore vers elle, et Sarah, elle, avait fermé les yeux. Elle bondit sur le côté, évitant une attaque, et répliqua par des mouvements d’arts martiaux. Le plat de sa main frappa la joue de Tirch, et elle leva une main. Le sol sous Tirch se déforma, et forma une bosse qui la renversa.

Sarah serra alors le poing, et les tentacules qui avaient immobilisé Ilinia et Schield s’élancèrent à leur poursuite, afin de tenter de les ligoter à nouveau.

« Tu ne porteras pas encore ma graine tout de suite, Tirch... Il va d’abord falloir que je te dresse un peu... Et, pour ça, tu figureras dans mon programme spécial... »

Il fallait encore qu’elle arrive à la neutraliser pour ça. Ses poumons étaient en train de se reformer, et elle ne comptait pas se priver de Tirch si facilement.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le vendredi 22 mai 2015, 20:31:18
   Ni plaisir, ni joie, l'attaque fatal sur l'annexienne avait presque donner un orgasme à Ilinia et Schield, ne pouvant que se réjouir de ce que subissaient l'annexienne, de la savoir sur le chemin de la mort, mais Tirch ne ressentait rien, pas de satisfaction, ni ce sentiment de gloire à avoir blesser mortellement une annexienne ce qu'une humaine aurait ressentit normalement, malgré sa blessure au ventre si elle aurait agit de la même manière que Tirch. Cette dernière tenter le coup ultime, celui d'enfoncer profondément la pointe de sa lance de chitine dans la gorge de l'annexienne, comptant ensuite y enfoncer sa main pour en arracher quelque vertèbre.

   Mais elle fut trop lente ou l'annexienne trop rapide malgré son état qui aurait mit à terre n'importe qui, ne parvenant qu'a faire une légère entaille au coup, quelque millimètre plus bas et elle aurait put toucher le larynx. Elle reçu un coup au ventre, frappant la où elle s'était empaler, parvenant à faire gémir de douleur Tirch, la stoppant net, avant d'être repousser, la fessant tomber sur le sol.

   Malgré ça, elle se releva comme si rien ne venait lui arriver, semblant agir comme si elle n'aurait pas de blessure, malgré le sang s'infiltrant dans sa combinaison, dont on pouvait voir plusieurs renforcement de kevlar et métallique et une sorte d'armure plutôt légère mais résistante capable des résister au lames et à des balles de petits calibre couvrant ses jambes ainsi que ses bras et une plaque métallique cachant son intimité et la présence de deux troue sur les partie non couverte par l'armure, un cause de son « suicide », l'autre de sa défaite.

   Elle ignora une attaque mentale, ne savant même pas qu'elle venait d'en subir une. Chargeant à nouveau profitant du laps de temps que lui offrait la régénération cellulaire de l'annexienne pour la tuer. Elle tenta de frapper en diagonal, par la droite, la pointe de l'arme vers le bas, prête à la planter dans le coup de l'annexienne, mais ne fut pas encore assez rapide pour atteindre son objectif. Elle ne put esquiver l'attaque de l'annexienne, déstabilisant Tirch avant que le sol ne la trahisse, la renversant sur le dos.

   Durant le même laps de temps, les deux autres c'étaient rendues compte de la faiblesse de leur liens, la pression étant moins forte. Elles purent retrouver une certaine liberté de mouvement, suffisament pour qu'elles puisent forcer, tirant de toute leur force sur leur bras, jusqu’à pourvoir les retirer de leur entrave, le fourmillement horrible et la douleur cuisante après avoir retirer leur membre d'un endroit aussi étroit leur donnèrent une raison de plus de sortir leur jambes, parvenant à arracher leur entrave. Enfin libre ! Ilinia crut respirer à nouveau l’oxygène du monde extérieur.

   Mais sans perdre de temps, elles foncèrent sur l'annexienne qui venait de mettre à terre Tirch, même si elles n'étaient pas de taille elles comptaient bien aider Tirch. Mais hélas, leur longue heure d'immobilité avait déteint sur leur capacité, les tentacules parvenant à les rattraper, mais alors que l'annexienne se mettait à parler, Ilinia put atteindre le reste de la lance et de l'envoyer vers Tirch d'un coup de pied, qui put rattraper l'arme en vol, avant de se relever, prête pour un nouveau round, tandit que les deux autres furent ramener dans leur alcoves injuriants l'annexiennes avant qu'un nouveau baillons ne les fassent taire.

-Tu n'a pas a te soucier de ça.... puisque que tu vas mourir bientôt. Lâcha Tirch d'une voix si glacial qu'elle pourrait éteindre un feu de camp.

   Elle chargea à nouveau, la hampe de la lance de chitine de la main droite, le bout pointue dans l'autre. Avant d'être à porter de l'annexienne Tirch sauta, les deux pieds en avant, le bout de sa lance entre eux. L'annexienne esquiva et Tirch retomba non pas sur ses pieds mais sur la lance qui se brisa à l'impact, elle s'empara des deux morceaux rapidement dans chaque mains, jetant le petit morceau sur l'annexienne avant de foncer à nouveau vers l'annexienne, cette fois, visant la gorge et le poumon droit, si l'annexienne tenter de dévier le coup, elle comptait lui frapper les côtés du genou, si elle esquive, elle tenterait une balayette ou se jetera à terre pour faire un roulade si elle réplique en même temps, si elle frappe pour stopper sa course, elle esquivera par la gauche, bien qu'en réalité se serait une feinte, elle esquivera par la droite et la poignardera du mieux qu'elle peut.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 25 mai 2015, 01:42:33
Ces humains ne savaient jamais quand s’arrêter. Ils ne savaient jamais quand la cause était perdue. Sarah cicatrisait bien plus vite qu’un être humain normal, et, au sein de la Fourmilière, dans son repaire, cette cicatrisation était encore plus rapide. Elle n’était pas instantanée, loin s’en faut, mais suffisant pour se remettre d’aplomb. La ténacité de Tirch méritait un bon point, même si, par la suite, cette arrogante Tekhane allait le regretter... Elle allait servir d’exemple pour toutes les autres, afin de leur montrer le sort funeste qui arrivait à celles refusant d’entendre raison. La femme avait récupéré à nouveau la lance chitineuse, grâce au concours d’Ilinia, et Sarah l’esquiva. Tirch se retrouva avec un bout de la lance dans chaque main, s’ne servant comme des espèces de poignards, et se rua vers la femme, encore et encore.

*Peut-être bénéficie-t-elle d’une insensibilité congénitale à la douleur...*

Cette expression barbare désignait, le fait, pour une personne, de ne ressentir aucune douleur. C’était une maladie réelle, extrêmement rare, et qui passionnait l’armée. L’application industrielle de cette maladie à des fins militaires avait un potentiel infini, et Sarah savait que certains laboratoires privés, sous contrat avec l’armée, cherchaient à exploiter cette maladie sur des soldats. Insensibles à la douleur, un soldat était beaucoup plus efficace, car il ne sentait pas l’impact d’une balle. C’était une maladie dangereuse, car la douleur était un indicateur, le signe que quelque chose allait mal. Si on ne sentait pas la douleur, on perdait cet indicateur. De fait, beaucoup de personnes atteintes de ce symptôme mourraient rapidement. Quand elle posait leur main sur une plaque chaude, elles ne ressentaient pas la chaleur, ni n’avaient mal en se mordant les lèvres un peu trop fort. Et, à voir la façon dont Tirch revenait toujours à la charge, Sarah se demandait s’il n’y avait pas de ça.

La Tekhane cherchait à l’attaquer en deux endroits à la fois, et Sarah agit à nouveau instinctivement, en faisant appel à ses réflexes humains. Elle choisit d’esquiver sur la gauche, et vit la jambe de Tirch se déplacer pour tenter de faucher les siennes. Au même moment, Sarah lança sa main, et comprima l’air autour de la jambe de Tirch, la ralentissant de quelques cruciales secondes... Ce qui permit à la main de Sarah d’attraper la gorge de la femme, et de la plaquer lourdement sur le sol.

« Tu te bats avec la rage de dix femmes, Tirch... »

La Tekhane ne répondit pas, et releva son pied, frappant Sarah dans le dos. Cette dernière lâcha prise, et Tiorch roula sur le côté, puis resta en position mi-accroupie sur le sol. Elle bondit alors vers Sarah, en tendant son pied en avant, s’aidant de ses mains pour se propulser, et son pied heurta le plexus solaire de Sarah, la repoussant. La Reine des Lames perdit l’équilibre, et évita la charge de Tirch, genou en avant, en roulant sur le côté. Là encore, sans attendre, Tirch s’appuya sur une main, et envoya sa jambe sur le côté. Elle mordit le sol, à côté des cheveux de Kerrigan, qui se redressa encore, et s’élança vers elle, la chargeant en mettant en avant sa force physique.

Rapide et vive, Tirch n’eut aucun mal à s’écarter, et lui fit un croche-pattes. Kerrigan tomba sur le sol, mais, alors qu’elle allait se manger sur ce dernier, ses mains partirent en avant, et s’appuyèrent sur le sol. Elle utilisera sa rapidité pour faire une roulade sur le sol, à l’aide ses mains, ses longues jambes s’élançant en l’air. Elle atterrit ainsi à nouveau sur ses jambes, et sentit Tirch venir dans son dos. Afin de ne pas s’empaler sur ses piques, Tirch bondit en hauteur, optant pour un gracieux saut périlleux. Elle se retrouva devant elle, pour un coup de pied retourné... Mais son pied heurta alors une surface invisible, qui se matérialisa.

« C’est fini, Tirch. »

Sarah avait encore utilisé ses pouvoirs, générant autour d’elle un champ de force. Un dôme protecteur qui explosa alors, et souffla Tirch, l’envoyant s’écraser à toute allure contre le mur, pile entre Ilinia et Shield. Immédiatement, des tentacules jaillirent, s’emparèrent des jambes et des bras de la femme, la bloquant contre le mur. Avec un sourire carnassier sur le coin des lèvres, Sarah s’approcha d’elle, et une verge violette ne tarda pas à pointer le bout de son nez, alors qu’elle se collait contre elle, frottant ses cuisses avec son membre.

« Ta vigueur me donnera de magnifiques bébés, Tirch... Sois fière de toi. »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 27 mai 2015, 19:59:13
   Pensées de manière humaine, Tirch en était incapable, ce dont l'annexienne semblait ne pas ce rendre compte, raisonnant comme si c'était un esprit humain qui guider Tirch, pensant affronté un être humain normale. Tirch n'était pas issus d'un simple laboratoire ayant amélioré ses capacités physique et mentale, elle était issus de quelque chose de plus sombre qu'une amélioration. Mais encore faudra t-il qu'elle entre dans son esprit pour réaliser ce qu'était Tirch ! Combien d'humain on put affronté de t-elle sorte une annexienne sans armes, ni exo-armure de dernière génération, avec seulement la force de son corps ? Comment expliquer cette absence d'émotion et le fait qu'elle n'a pas réagit de la même manière que ses soldates, restant quasiment insensible devant le viol horrible de ses camarades ? Elle avait put retirer de Goya des informations sur ses camarades, sur leur manière d'agir, de se battre et leur arme secrète, elle ne savait rien de Tirch et bien des surprises l'attendaient.

   Durant ce duel, elles échangeaient les coups, chacune mettant l'autre en difficulté, usant de toute leur force, agilité et rapidité. On aurait put croire à un combat finale digne des plus grand scénario, bien que la mort du méchant n'était pas le dénouement finale, mais celle de la défaite de l’héroïne. Mais pourtant, Ilinia et Schield ne pouvaient concevoir une défaite de la par de Tirch, elle était la meilleurs, la plus forte ! Rien n'avait pus la battre jusqu'à maintenant, réussisant là om les autres avait échouer ! Elle ne pouvait pas perdre, leur ultime espoir ne pouvait que gagner ! Leur pensées encouragée Tirch, insultant de tout les noms possible et imaginable l'annexienne, allant même jusqu'à insulté ses parents, en faite elles insultaient tout ce qui pouvait l'être la concernant.

   Devant eux ce jouer le combat ultime, l'ultime chance d'être libérer, l'espoir de ne pas vivre pour l'éternité aux pieds de cette femme. Tirch était l'ultime espoir ! Ce combat pouvait peut être trancher entre la mort pour venger la mort d'une annexienne ou bien la vie de pondeuse pour cette annexienne. Ce combat représenter tout ! La brasier ardent de l'espoir chasser l'obscurité du désespoir, illuminant leur esprit de sa chaleur douce et apaisante, rallumant les flammes de leur colère et de leur haine envers ce monstre. Mais le plus déchirant arrivant.

   L'obscurité reprit ses droit, la flamme perdit en intensité, peinant à rester allumé, à chasser cette obscurité qui réinstalla sa domination, malgré la flammèche rebelle, continuent désespérément de chasser cette obscurité. Une simple phrase et une action brisa leur ultime espoir et chance, ne laissant que des morceaux au rebord tranchant, empêchant de pouvoir reconstruire cette espoir, désormais des plus affaiblit, persistant à vouloir voir Tirch triomphé. Elle fut balancer contre le mur organique entre les deux autres, avant de se faire à nouveau bloquer par des tentacules du mur, en fonçant ces bras et ses jambes dans le mur. Elle avait heurtait le mur avec sa blessure, résulta de son empalement, lui arrachant un grognement avant de cracher du sang.

   L'annexienne se rapprocha de Tirch, sa verge réapparaissant, se frottant contre son armure, se cognant contre la plaque protégeant son intimité, plaque insensible à l'acide. Deux tentacules ressemblant à des griffes, coupèrent les lanière tenant cette culotte d'acier, avant de l'enlever, où l'acide put fondre son combinaison, dévoilant une intimité non raser et plutôt sale. Si on regardait de plus prêt, on verrait que la peau était pâle, trop pâle pour une humaine.

« Ta vigueur me donnera de magnifiques bébés, Tirch... Sois fière de toi. »

   Elle s'enfonça, mais heurta quelque chose, l'empéchant d'aller plus loin, son gland venait juste d'entrée, mais elle ne pouvait pas aller plus loin, pour cause : une petite plaque d'acier barrer le chemin, n'importe qui pourrait croire à une protection spéciale ou même un gode fait en acier, mais la réalité était plus... difficile à croire : ne c'était pas un gode ou protection, mais une plaque épaisse de quinze centimètre... soudé à ses parois....

   Un rire fusa de Tirch, mais impossible de savoir si elle se moquait de l'annexienne, de ce qu'elle découvrait ou si c'était comme ça. L'absence de conviction, de véritable émotions ou sentiment pouvant provoquer ce rire, au vue de son visage sans expression ou de ses yeux vide d'émotion et le fait qu'elle semblait plus se forcer qu'autre chose ne rendait pas le chose plus facile.

-Tu me considère comme une humaine ? Lacha Tirch, d'une voix sans émotion aussi froide qu'un vent du nord en pleine hiver avec des consonances métalliques. Tu crois vraiment que je suis encore humaine ? J'ai renoncer à mon humanité, à mon esprit, à mon libre arbitre et à une vrai vie ! Tu veux me briser ? Je le suis déjà ! Je ne suis qu'un instrument de guerre sans âme et sans conscience, née pour la guerre et pour mourir ! Il n'y a que la mort qui puise m'empecher d'agir ! Aussi longtemps que je respirerais, je te combattrais !

   Sur son front, les étranges tubes métalliques s'allumèrent de rouge, tendit qu'une lueur bleu des plus étrange apparue dans ses yeux gris. Elle força sur ses membres, tenta de se dégager, voulant à tout prit combattre l'annexienne ! Rien ne semblait pouvoir la dévier de son objectif, qu'on lui arrache les bras, le cœur, les poumon... elle fera tout pour combattre l'annexienne, jusqu'à ce que la mort lui offre la douce récompense qu'elle recherche depuis longtemps : la mort. Ses camarades étaient des plus horrifier, n'arrivant plus à comprendre ce qui se passer, n'arrivant pas à comprendre ce que disait Tirch.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le vendredi 29 mai 2015, 01:09:31
Sarah la pénétra donc... Et sa surprise fut de taille quand elle entendit un choc métallique. Sa verge heurta un mur... Un mur en acier fondu dans son sexe, et qui ne devait laisser passer que de l’urine... Si toutefois Tirch avait encore des besoins urinaires. La surprise put se lire sur le visage de Sarah, et Tirch, si inexpressive et silencieuse, ricana alors, en se moquant d’elle, lui expliquant qu’elle n’était pas comme les autres, qu’elle était une machine à tuer, et que rien ne l’empêcherait d’essayer de tuer Kerrigan, sauf la mort elle-même. Prudemment, Kerrigan se recula, surtout quand Tirch se mit à tirer sur les tentacules. Sa force était herculéenne, et Sarah, surprise, la laissa se débattre dans les tentacules, qui réussirent, fort heureusement, à tenir le choc. Qu’était donc cette créature ? Une nouvelle forme de soldate conçue pour lutter contre les Formiens ? Sarah avait entendu parler de ce projet, développé par BIOGENIX, consistant à créer des femmes-bombes, des femmes-cyborgs dont le but était de se faire capturer par des Formiens, et qui, en leur corps, disposait d’un puissant explosif, destiné à tuer les Annexiens. Est-ce que Tirch était comme ça ? Sarah ne pouvait que le supposer, et, en regardant Ilinia et Shield, elle comprit que ces dernières ignoraient tout des fonctionnalités secrètes de Tirch.

Il incombait à Kerrigan de savoir quoi faire avec elle. Si la Tekhane ne s’était pas sacrifiée, c’était peut-être parce qu’il n’y avait pas d’explosifs, ou que la bombe s’enclenchait en cas de décès. Sarah réfléchissait donc.

« Hum... Soit. Que me faut-il faire de toi, alors ? Laisser Abathur transformer ton corps pour qu’il puisse porter mes bébés... Ou t’égorger sur place ? »

Tirch ne risquait de lui apporter que des ennuis, et, si Sarah compensait généralement cette situation par les bébés qu’une femme pouvait fournir, Tirch semblait être totalement fertile, et même Abathur, malgré ses talents, risquait de ne pas pouvoir faire grand-chose contre cette monstruosité qui se trouvait entre les cuisses de la femme. Partant de là... Que faire de cette femme ? Elle ne présentait aucun intérêt pour la Horde, et était nuisible. Sarah réfléchissait donc, et regarda Ilinia et Shield, en se demandant s’il n’y avait pas moyen de faire pression sur elles.

« Ou peut-être que... »

Elle s’approcha à nouveau des femmes, en ciblant les deux Tekhanes, Tekhanes qui, et elle le savait, étaient, elles, fertiles.

« La survie de Tirch ne dépendra que de vous... Faites-moi l’amour toutes les deux... Ou je la tue, et je le ferais sans regrets. Tirch ne m’apportera jamais rien d’utile. »

Joignant le geste à la parole, elle fit ouvrir les tentacules, libérant donc les deux soldates.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 19 juillet 2015, 16:27:48
   Qu'était donc Tirch, l'annexienne ne pouvait que supposer. Elle n'était qu'une machine de guerre, rien ne montrant une par d'humanité, si ce n'est que parfois de fréquent saut émotionnelle, sa part humaine remontant. Sa blessure au ventre, même si elle n'était pas fatal et que aucun point vital n'avait été toucher, aurait mit plus d'une personne à terre. Tirch avait perdue trop de sang, sans influencer son état, sans l'affaiblir. Ce sang avait couler dans sa combinaison, formant un macabre tissus rouge sur sa peau. D'ailleurs, si on enlever sa combinaison, on pourrait voir une peau plus blanche que pâle, sans aucune couleur, comme si elle n'avait jamais vue le soleil.

   Ses liens tenaient bon, malgré son insistance, elle voulait se battre ! C'était devenue sa raison d'être, recherchant la mort dans ses combats, voulant mourir, comme toute les fois où elle avait voulue se suicider quand elle avait encore son humanité. De plus, elle devait accomplir les ordres, elle ne pouvait pas faire autrement, c'était la contre partie de ce marcher, il y a des années. Pourquoi l'annexienne ne la tuer pas maintenant ? Tirch lui avait dit qu'elle ne pourrait en rien la soumettre, alors pourquoi es que elle ne la tue pas ? Ce but rechercher depuis tout ce temps à porter de main. Pour qu'elle autre raison elle lui aurait dit tout ça ?

   L'annexienne lui parlait de ce qui lui restait à faire, un choix, tenter de la rendre féconde ou la tuer.

-Seul les faibles hésites. Lui répliqua Tirch. Ma mort est la seule issus possible, me tuer te serait impossible ?

   Pour Tirch il n'y avait pas l'ombre d'un doute, si l'annexienne ne pourrait rien obtenir de Tirch, seul la mort était un choix possible. Pour tous, Tirch était irrécupérable, une femme sans esprit que celui d'une machine de guerre ne pouvant qu’obéir et cherchant que la mort, la sienne ou celle des autres. Mais seules quelque personnes savent que Tirch n'est pas irrécupérable, quelque haut gradée et sa créatrice. Un moyen plutôt simple de la ramener à la normale, un moyen qualifiable d'ignoble selon certain, de révolutionnaire pour d'autre..

« Ou peut-être que... »


   Ilinia et Schield, regardèrent avec effroi l'annexienne, qui les regardait avec instance. À l'inverse de Tirch, leurs vagins n'étaient pas celer par de l'acier. Les braises de l'espoir tenter à s'éteindre pour toujours, le désespoir avait gagner leur âme et leur esprit, noyer pour l'éternité, leur seule espoir illusoire éteint pour toujours.

« La survie de Tirch ne dépendra que de vous... Faites-moi l’amour toutes les deux... Ou je la tue, et je le ferais sans regrets. Tirch ne m’apportera jamais rien d’utile. »

   Ilinia et Schield furent libéré, mais elles ne firent rien pour amortir leur chute ou ne pas tomber par terre, se laissant choir, se laissant écrouler par terre. Elles pleuraient, à quoi persisté à ce bercer d'illusions, de nourrir un espoir, qui depuis longtemps était déjà mort, d'entretenir qu'une illusion, à quoi bon résister quand on à plus de raison, ni de moyen de le faire et à quoi bon s'opposer à l'annexienne qui ne fessait que jouer avec elles, et qui tôt ou tard, bien que plus tôt que tard, finira par les soumettre et se faire obéir pleinement par ses futurs concubines.

   Face à ce choix qui ne changerais en rien leur destin, si ce n'est que celle d'une autre et qui aurait le même abouchement qu'elle que soit leur choix, devaient elles obéirent à se qui sembler être un ordre ou encore s'opposer à l'annexienne ? Pour elles, il n'y avait pas d'autre choix que le premier, obéir.

-Ne faite rien, sinon je jure de vous le faire regretter !
Grogna Tirch à leur attention. Vous alliez lui obéir ? Vous voulez me trahir?

   Comme si elles avaient reçu un électrochoc, Ilinia et Schield sursautèrent, mais ne firent aucun mouvement. Tirch venait d'user de son autorité, autorité au quelle les membres de la section Delta S n'osaient s'opposer. Même la peur qu'inspirer l'annexienne, ni le désespoir n'avaient put briser cette allégeance, Ilinia et Schield refusant de trahit l'autorité de Tirch, même si cela n'avait plus aucun sens, elles ne pouvaient s'y souscrire. Grossièrement, Tirch était un peu le mâle Alpha du groupe, celle à qui tout les autres obéisse, sans se rebeller. Une entrave de plus pour l'annexienne, se heurtant cette fois à l'obéissance et l'admiration que vouer Ilinia et Schield à Tirch.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le vendredi 24 juillet 2015, 01:59:22
Les deux femmes hésitaient. Quand elles tombèrent au sol, elles se mirent à pleurer, pleurant face à l’absence de choix, se résignant peu à peu à leur nouvelle situation. Il ne restait plus que ces deux femmes à engrosser... Ensuite, la Reine pourrait commencer l’assimilation de toutes ces femmes, de toutes ces belles et fortes pondeuses. Ces femmes allaient ravir Irina, sa jeune Cérébrate, qui avait justement besoin de pondeuses fortes et musclées. Sarah les regardait pleurer, et ce fut le moment que Tirch choisit pour les rappeler à l’ordre, les haranguant. Pour ces deux petits poupées en combinaison moulante, ce fut le déclic tant attendu, et, comme si elles avaient reçu un électrochoc, elles se relevèrent alors, faisant front face à Sarah. La Reine des Lames se mit à sourire, amusée.

« Je comprends ça... La loyauté. Elle vous honore, mes petites. Elle vous honorera encore plus quand elle sera tournée vers moi... Mais, pour l’heure... »

Elle se retourna vers Tirch, et brandit sa main vers elle... Puis la serra. Les tentacules qui retenaient Tirch se serrèrent encore plus fort, et d’autres les rejoignirent, continuant à s’enrouler autour de son corps, de plus en plus nombreux, jusqu’à la recouvrir intégralement. Pour assurer une sécurité maximale, Sarah envoya également d’autres tentacules, qui s’enroulèrent autour des membres des deux femmes, venant les attacher contre le mur. Sarah se concentra ensuite davantage sur Tirch, qui disparut dans le décor. Morte ? Tout le laissait à croire... Et pourtant... Sarah ne comptait pas se débarrasser d’une pondeuse potentielle, mais, puisque Tirch avait choisi la manière forte, c’est ce qu’elle allait avoir. Maintenant que cet élément indésirable était parti, la Reine allait pouvoir s’occuper des deux autres femmes.

Le visage de l’Annexienne se retourna donc vers elles, et elle leur sourit malicieusement, révélant ses belles et multiples dents. Il était temps de passer à la suite, de s’occuper des deux petites femmes qui étaient bien ficelées devant elle. Elles étaient côte à côté, très serrées, et Sarah, sans tenir compte de leurs éventuelles remarques ou protestations, marcha vers elle. Ses mains caressèrent leurs joues, et elle descendit ensuite, caressant leurs corps, silencieuse, béate et admirative devant la naturelle beauté physique des corps. Ces deux femmes étaient vraiment très belles, autant que les autres membres de cette escouade. Ah, c’était vraiment une magnifique récompense, après tous les efforts déployés pour les récupérer !

« Je vais commencer par toi, ma belle Schield... »

Les tentacules agirent, et écartèrent les jambes de Schield, l’une de l’autre. Sarah s’avança ensuite, et tira sur la fermeture Éclair à hauteur de son vagin, en dévoilant ainsi l’accès. Avec sa combinaison blanche, Schield était d’une beauté magnifique. Autant dire que la Reine des Lames avait hâte de la prendre... Ce qu’elle s’empressa d’ailleurs rapidement de faire, enfonçant sa verge en elle tout en palpant délicieusement son beau petit cul.

« Haaaa, oui !! »

C’était effectivement toujours aussi bon.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le vendredi 06 novembre 2015, 21:51:21
   Même si elles n'avait pas de réelle intention de se battre, car n'ayant pas assez de courage, Ilinia et Schield se refusaient de se soumettre, de faire honte à leur uniforme et de trahir la confiance de Tirch. Cette dernière aussi ne s'attendait pas un exploit de leur par, mais au moins qu'elles ne se soumettent pas à cette pourriture ! Maintenant, l'heure de la délivrance arrivait, Tirch aller mourir ! Un pale sourire se dessina sur son visage, mais il était plus qu'inquiétant et donner surtout l'impression qu'un cadavre venait de sourire.

« Je comprends ça... La loyauté. Elle vous honore, mes petites. Elle vous honorera encore plus quand elle sera tournée vers moi... Mais, pour l’heure... »


   Les tentacules emprisonnant Tirch se serrèrent d'avantage, comprimant ses poumons, bloquant partiellement sa respiration, avant que d'autre la recouvrent, l'engloutissant lentement, le mur organique l'aspirant, t-elle une créature vivante. Tirch tenta bien évidemment de se libérer, mais cela n'était d'aucune utilité, se fessant engloutir inexorablement, son buste, ses jambes et ses bras disparaissant dans le mur.

   Elle ne comprenait pas. Pourquoi elle est encore en vie, pourquoi l'annexienne ne la tue pas !? Son esprit limité ne pouvait pas comprendre, elle ne comprenait pas la manière de penser de l'annexienne ! Son comportement aller à l'encontre de ce que Tirch attendait d'elle ! Elle aurait du être tuer, elle aurait du mourir ! Lui aurait t-on mentit ? Ou les formiens étaient trop imprévisible ? A moins que l'annexienne ne cherche à l’étouffer ou qu'elle l'envoie vers une mort certaines, déchiqueter ou dévorer par ses monstres peut être ? Pour la première fois depuis des années, son regard se remplit d'espoir à l'idée de mourir, chassant cette éternelle regard sans vie, avant de disparaître dans le mur.

   Les deux autres regardèrent disparaître celle qui fut leur dernière chance, le dernier espoir possible en même temps, des tentacules vinrent les attraper et les coller au mur, les serrant entre elles, leur bras se collant, se frottant, leur hanches de même. Avec elle disparue toute trace d'espoir, les braises de l'espoir qu'elles avaient entretenue  s’éteignant définitivement, la tristesse leur seule action et leur destin plus proche que jamais et l'essence même du désespoir envahit leur âmes et esprits. Pire qu'un cauchemar : la réalité.

   L'espoir fait vivre, l'inverse conduit à la mort, mais même la mort leur était refuser. C'était un désespoir bien plus sombre, pas un désespoir de vouloir de vivre, de désespérer devant la mort prochaine, mais un désespoir de vouloir mourir, de désespérer devant le fait de vivre encore. Un esprit vide, plonger dans les abysses du désespoir, plus aucune résistance, plus aucune forme de rébellion, plus aucune raison de vivre. L'annexienne venait de tout briser en elles, ne laissant que désespoir et tristesse, et un sombre destin.

   Les deux femmes pleuraient, silencieusement, la tête baisser, ne sachant quoi penser, ne sachant quoi faire. Devaient-elles se résigner accepter leur destin ? Malgré leur état, elles refusèrent de l'accepter, pour faire honneur à Tirch, à leur camarade, à Kakashi et leur famille. Pas de réel résistance, mais une question d'honneur. L'annexienne se dirigea vers elles, elles ne purent rien dire, l'esprit n'ayant rien à dire. A quoi bon protester ? L'annexienne caressa leur joue, traverser par leur larmes de tristesse, créant des sillages humides. Ses mains descendirent le long de leur corps, caressant leur forme, leur courbes, désireuses d'en profité, jusqu'à leur hanche.

« Je vais commencer par toi, ma belle Schield... »


   Et Schield ne dit rien et ne fit rien, tandis que l'annexienne leur adressa un sourire où la malice imprégnant chaque parcelle de ses lèvres, leur promettant bien des choses. La tête baisser, elle regarda le sol, ne voulant pas voir le visage de celle qui causa sa perte. Ses jambes furent écarté, par dessus celle d'Ilinia libérant la voie vers son intimité, bien que masquer par sa combinaison, une bien piètre barrière où une fermeture éclair attendait sagement d'être ouverte. Curieusement, Schield se maudit pour avoir une t-elle chose sur sa combinaison. Sa présence ne changeait rien, si ce n'est que sa combinaison sera plus intacte que celle de ses camarades. L'annexienne l'ouvrit, dévoilant son intimité rasée à ras, ne laissant qu'une légère touffe de poils pubiens, avant de la pénétré sèchement, désireuse de la violé le plus vite possible, arrachant un crie à Sendiel, la douleur éclatant.

   Son intimité non lubrifier, fut ravager par un le pilon de chair, frottant violemment ses parois vaginales, provoquant de légère blessure, des petites perles de sang étalaient le long du membre imposant de l'annexienne, un peu à l'étroit dans cette antre. Ses mains caressaient ses fesses, celle de Schield se serrèrent. Se murant dans un silence percer par des gémissement de douleur et par des cries de douleurs, Schield regardait le plafond, tandis la verge de l'annexienne heurtait son col de l'utérus t-elle un bélier une porte. En l’absence de mouille, le gourdin de l'annexienne produisit un liquide lubrifiant, facilitant ses allées et venues, pouvant aller plus fort et plus rapidement.

   Son corps finit par répondre, commençant à mouiller après de longue minute, trahissant son esprit qui se refuser de céder, se vouant à la tristesse, au désespoir, aux illusions pour se sentir forte et rebelle. Schield pleurait sans s’arrêter, de cette action, refusant l'offre de prendre par au plaisir que ressentait l'annexienne en la pénétrant durement, alors que son visage se tordait dans une parodie de plaisir, ses yeux dévoilant son désespoir, contraste parfait entre le corps et l'esprit qui s'opposaient.
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   Pire que le viol, pire que le plaisir forcer ou les multiples drogues, cette souffrance qu'elles subissaient étaient pire que tout, pire que le monstre tentaculaire. Shiranui et Engiel étaient comme électrifier, cette puissante douleur tétanisant leur muscles, mettant à vifs leurs nerfs, une souffrance qui mettrait à terre n'importe qui. Malgré tout, ce monstre était d'une efficacité redoutable, il avait finit par arrêter les multiples hémorragie internes, cicatrisant la plupart des lésions interne, s'attaquant au blessures externes, notamment le bras ravager par l'acide de Shiranui et son visage méconnaissable, suite à la pluie de coups de la cérébrate, qui s'était déchaîne sur elle. Il avait soigner plus rapidement qu'une équipe de médecins entière qui aurait mit plusieurs heures pour en arriver là.

   La souffrance de Shiranui s’accrut, en plus des mini-tentacule parasites se déplaçant dans son corps pour cicatriser ce qui fut transpercer par le xénophorme, d'autre envahirent son bras ronger par l'acide et son visage tuméfier. Elle parvint à pousser un hurlement de douleur, déboîtant presque sa mâchoire sous l'effort, forçant ses muscles à s'ouvrir, atteignant presque un niveau de décibel jamais atteint par l'Homme, avant de rester bloquer, sombrant dans l'inconscience. Alors qu'Engiel commençait à moins souffrir, son état beaucoup moins grave que celui de Shiranui, l'intervention chirurgicale de ce monstre moins lourde qu'au départ. Elle fut effrayer par ce crie, en même temps que son oreille droite se mit à siffler, se demandant qu'elle degré de souffrance endurer Shiranui.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 08 novembre 2015, 16:39:49
La belle Schield ne pouvait plus rien faire. Elle était comme Ilinia, et comme toutes les autres femmes de cette escouade : ses prisonnières. Tirch avait été la plus proche de la délivrance, mais, en la vainquant, en la brisant, Sarah avait récupéré son influence, son pouvoir. Elle avait vu l’espoir disparaître dans les yeux des deux femmes . Elles avaient vu toutes leurs amies et leurs camarades de guerre se faire violer pendant des heures, impuissantes, réduites à l’état de simples poupées de chiffon. Ce genre de liens, entre soldates, était souvent très fort, encore plus que celui entre deux amantes. Des soldates vivaient ensemble, quotidiennement, et affrontaient la mort. Elles étaient sur le champ-de-bataille, à souffrir ensemble. Des liens forts… Et, depuis des heures, Ilinia et Schield voyaient leurs collègues et camarades se faire violer, humilier, sans aucun espoir de se libérer. Dans leurs yeux, il n’y avait pas la flamme de la rébellion, ni celle de la haine, simplement du désespoir. On glosait joyeusement sur la capacité de résiliation des êtres humains, mais la réalité était que l’espoir était une flamme fragile, qui s’effaçait très rapidement chez eux. On pouvait ainsi voir toute la manipulation de Sarah, toute sa perversité, car elle avait sciemment passé son temps à baiser ces femmes, leur enlevant, peu à peu, tout espoir de pouvoir se libérer. Tirch, Engiel… Toutes les têtes brûlées de leur escouade avaient progressivement échoué contre elle, et Sarah terminait avec Schield, une jeune fleur brisée, et Ilinia, la femme qu’elle avait sodomisé jadis… Une femme que Sarah avait voulu, d’emblée, utiliser comme point d’orgue final.

Schield ne protestait même pas, et les tentacules la positionnèrent peu à peu. Son intimité, sèche comme un désert, devint rapidement humide, car la verge de Sarah, pour faciliter ce viol, sécrétait une sorte de liquide qui venait se répandre le long des parois intimes de Schield. Un liquide aphrodisiaque qui filait dans ses hormones, excitant la femme. Ses mains étaient posées sur les hanches de Schield, et la jeune femme était couchée devant elle, son corps maintenu en suspension par les tentacules immobilisant ses bras, et par les mains de la Reine des Lames, se crispant sur ses hanches.

« Ah, putain ! Baiser des femmes en combinaison, hum… Quel pied ! »

C’était clairement jouissif ! Sarah continuait à remuer en elle, encore et encore, donnant de violents coups de reins. Peu importe les heures et les érections, Sarah semblait clairement être inépuisable. Ce calvaire verrait-il un jour une fin ? La vie, dans la Fourmilière, se résumait à du sexe sans fin, du sexe éternel, comme une sorte de contradiction extraterrestre avec le fait que, fondamentalement, le sexe était censé être un plaisir éphémère. Mais, ici, dans ce lieu hors-normes, ce caractère éphémère disparaissait dans la continuité du moment. Le sexe devenait une matrice fondamentale et unique. Et Sarah, elle se faisait plaisir.

Elle bourrait tellement le corps de Schield que ce dernier remuait d’avant en arrière, les soupirs de Sarah se mélangeant aux cris de la femme. La pénétration était intense et lourde, et les tentacules vinrent à nouveau, s’enroulant autour des jambes de la femme, qui se trouvaient à gauche et à droite du corps de Sarah. Ses bras et ses jambes étaient ainsi écartées, chaque membre retenu par un tentacule, et on pouvait entendre le crissement de la combinaison de la Tekhane, à chaque fois que Sarah remuait en elle, sans jamais faire ressortir son vorace membre. Son mandrin grossissait, devenant un mât érigé, membre érectile et assoiffé qui lui permettait de la prendre sans relâche.

Ses mains glissaient le long du corps de la femme, ses belles hanches blanches. Cette tenue moulante était un vrai emballage, et baiser Schield sans, ça aurait été comme avoir un chat sans sa fourrure. La combinaison formait presque une sorte de seconde peau, et permettait de voir, en surbrillance, les seins de la femme, ses tétons pointant contre ces derniers, des seins lourds, qu’on imaginait très facilement se gorger de lait.

« Ouuuiii, haaaannnn… Hurle, ma chérie, hurle ! »

Les mains de Sarah se crispaient contre sa combinaison, grattant sa peau à travers, et elle recommençait à la prendre, filant d’avant en arrière. Aucun soulagement pour Schield, aucune échappatoire, elle était l’esclave de Kerrigan… Et, plus cette dernière remuait, et plus elle s’enfonçait. Le corps de Schield se tortillait, et les tentacules se mirent à remuer, afin de mieux mettre à l’épreuve les muscles et la résistance de la Tekhane.

« Haaaa-haaaaaannn… Oh ouuuiiii, ma chérie, hummmmmmmmmmmm… !! »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le mercredi 11 novembre 2015, 22:14:49
   Dans une parodie de plaisir, avec son esprit qui avait lâcher et son corps qui ne lui obéissait plus, Schield pleurait de désespoir, alors que son visage afficher le plaisir qu'elle ressentait, son corps répondant positivement, son esprit trop affaiblit pour contrôler la situation, ne pouvant que pleurer, seule fonctionnalité du corps sous son contrôle. Malgré tout le désespoir qu'elle ressentait, la tristesse et la souffrance qu'elle avait accumuler, elle ressentait le plaisir intensément, un contraste choquant pour Ilinia, qui ne fit qu’aggraver son propre cas, son esprit ayant du mal à réaliser cela, au bord de la rupture, ne pouvant plus contenir de t-elle scène. Elle baissa brutalement la tête, pleurant de toute son saoul, silencieusement, ses larmes tombant sur sa poitrine.

   Pratiquement briser moralement, Sendiel n'était plus qu'un loque, une poupée, un esprit dans un corps qui était devenue une cage. Elle se fessait limer l'intimité, son vagin subissant un coït des plus brutal, chaque coups frottant ses parois avec force, l'ardeur de l'annexienne dans ses coups fessant trembler le corps de Schield, la plaquant avec force contre le mur, cognant son col de l'utérus dans l'intention de le briser. Les pics intenses de plaisir à chaque frottement de ce pilier de chair, sur son clitoris, amener Schield à pousser des cries d'extase, entrecouper de sanglots. Son visage ravager par une grimace de plaisir, sillonner de larme, démontré le plaisir intense qu'elle ressentait, l'extase dans la qu'elle était plonger alors, l'esprit torturé par le désespoir et le plaisir qui se montré comme une échappatoire de ce cauchemars sans fin. Son corps animée de sa propre volonté, ne désirant plus que de se faire défoncer comme jamais auparavant !

« Ah, putain ! Baiser des femmes en combinaison, hum… Quel pied ! »


   Elle ne reçu que des cries de plaisirs et des sanglots de la part de Schield. Son corps remuer comme un vulgaire draps, frapper par des bourrasques de vents. Claquant contre le mur, devenue plus mou pour ne pas blesser Schield, son vagin ravager par un tempête de coup de verge, le bassin de l'annexienne claquant avec force contre ses lèvres intimes. Schield pouvait avoir l'impression que l'annexienne déplacer son vagin à chaque coup, alors que sa mouille se mélangeant à la substance produite par le chibre, produisant un liquide visqueux et chaud, dégoulinant de l'intimité de Schield, créant une sorte de mouille aphrodisiaque, qui avait participé à la dépravation de Schield.

   Les tentacules se mirent en mouvement, saisissant les jambes de Schield, les déplaçant de part et d'autre de la reine des lames, restant enrouler autour de ses jambes, cherchant à faire le grand écart avec, la mettant en une sorte de position assise, laissant plus de champs libre à la reine des lames pour lui pilonner l'intimité, agrippant ses hanches avec force, son gourdin de sexe prenant plus d'ampleur, mettant à mal l’élasticité des parois qui devait de nouveau s’adapter à la taille du sexe. Un coït éternel, les minutes semblant être des heures, le temps semblait s'être arrêter, les hurlements de plaisirs, les sanglots, les gémissements d'extase et le claquement du bassin de l'annexienne contre celle de Schield, semblait s'en fin, créant une cacophonie, une ode à la dépravation.

   L'annexienne profitait de chaque courbe de Schield, caressant ses hanches, frottant sa combinaison de ses mains, apprèciant le contact, fantasmant dessus, donnant encore plus d'ardeur dans sa tache de briser Schield, que son esprit avait abandonner, malgré les larmes, malgré son état, elle n'était plus à elle même, mais elle était à la Reine des Lames ! Ne pouvant que subir, ressentir et exprimer tout ce plaisir que lui infliger la Reine des Lames, ne pouvant que obeir, hurlant à sa demande, exprimant l'extase ayant posséde son esprit vide de tout, engloutit par le désespoir de vivre, de trouver une raison de vivre, si bien qu'il se mit à adopter inconsciemment le plaisir que lui offrait la Reine des Lames, malgré que cette même inconscience la fessait pleurée sur son triste sort.

   Et alors que les tentacules jouèrent avec ses muscles, alors que l'annexienne pilonnait sa pauvre intimité, qu'Ilinia semblait lâcher psychologiquement, que son esprit se fessait corrompre par cette luxure, pervertie par les paroles de la Reine des Lames se répétant en boucle dans sa tête, détruite par toute ses heures à ne voir que le désespoir, de ne voir que l'illusion de l'espoir, de subir le choc des échec répéter et de la disparition de ses camarades, elle hurla une phrase qui n'était que le but rechercher :

-P...PLUS FORT MAITRESSE !

   La soumission.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 14 novembre 2015, 03:27:10
Spectatrice silencieuse, Ilinia voyait devant elle un spectacle aussi effrayant que sensuel. Rien ne semblait devoir fatiguer la Reine des Lames dans son labeur. Depuis plusieurs heures maintenant,  l’Annexienne enchaînait les amantes. Elle avait couché avec toute une escouade de femmes, et il n’en restait maintenant plus que deux... Ou une et demie, à voir la manière dont Schield se dandinait sur le sol. Des tentacules avaient rejoint Sarah pour l’aider à prendre la femme. Ils s’enroulèrent autour de ses jambes, les écartant, et d’autres se rapprochèrent, caressant son dos, avant de la fouetter. Schield couinait et gémissait, et Sarah l’entendit alors hurler son nom, lui hurler d’y aller plus fort.

« Ouuuuiii... Ouiii, ma chérie, haaa... Ne t’en fais pas, Schield, tu... Tu es ma salope ! »

L’esprit des deux dernières Tekhanes était en train de lâcher. Voir Tirch se battre, et être finalement capturée, avait été leur ultime espoir. Maintenant, le désespoir s’était instauré, broyant leur volonté, et laissait place à une sorte d’inversement... La femme honnie devenait leur ultime repère, et Schield avait donc avoué son échec. Brisée, elle se rabattait devant Sarah, espérant que, en se montrant soumise, la femme ne la tuerait pas... Sarah souriait donc, et entendre Schield l’appeler « Maîtresse » ne fit que l’exciter davantage. Son membre, sa terrible verge, se durcit encore plus, provoquant des frissons tout le long de ce chibre. Sarah enfonça ses griffes dans la combinaison, et continua à la prendre, plus rapidement, en s’aidant des tentacules, fouettant aussi Schield. De délicieux coups de fouet, qui s’abattaient sur son dos, rythmant sa respiration.

La douleur... Dans le plaisir sexuel, elle était toujours importante, une sorte de composante indispensable et nécessaire. La douleur noyait Schield sous un océan de plaisir, et elle continuait à être prise en levrette, Sarah donnant de grands coups de reins, ses bourses venant claquer contre le cul de la belle Tekhane à la combinaison blanche. Elle adorait entendre les crissements de la combinaison, sentir les formes de cette dernière, ce corps lourd et tendre. Un vrai corps de soldate qui se tortillait devant elle, sans pouvoir rien faire d’autre que subir.

« Hmmmmm... Haaaa, ma chérie !! Tu es vraiment... Une... Une magnifique pute ! »

Rien ne semblait pouvoir arrêter l’ardeur de Kerrigan, qui continuait ses fougueux coups de reins, dans le corps de la femme, en soupirant, encore et encore... Les minutes passaient ainsi, rythmées par l’excitation de la femme, jusqu’à ce que l’orgasme finisse par arriver, après l’orgasme de Schield. Sarah se vida en elle à peu près au même moment, venant l’engrosser, puis la relâcha, tous les tentacules se retirant d’un coup.

À force, Schield s’était retrouvée en suspension, maintenue en l’air par les tentacules, qui déplaçaient son corps en suivant les mouvements de bassin de Kerrigan. Maintenue ainsi par les bras, les jambes, et le ventre, elle accompagnait donc la queue de Kerrigan, et, quand l’orgasme vint, libérateur, la femme la relâcha. Schield s’écroula sur le sol, du foutre sortant de ses cuisses.

Restant debout face à elle, Kerrigan était en train de reprendre son souffle, et un léger sourire vint éclairer ses lèvres :

« Suis-je toujours ta Maîtresse, ma chérie ? Si tu es prête à m’aider un peu... Tu resteras auprès de moi. »

Une idée venait de germer dans l’esprit de la Reine...

Une idée délicieuse !
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 03 janvier 2016, 00:19:54
« Ouuuuiii... Ouiii, ma chérie, haaa... Ne t’en fais pas, Schield, tu... Tu es ma salope ! »
-Je....je suis votre sa... SALOPE ….maîtresse ! Parvint à t-elle à articulé entre deux gémissement.

   Schield ne pouvait plus résister, elle ne pouvait que céder, complètement briser. Elle ne voyait plus annexienne comme son cauchemar, elle ne pouvais la voir que comme son salue, la seule issus possible pour son esprit devenue détraqué , sa morale, ses sentiments, ses émotions, sa raison et sa volonté s'écrasant devant sa conscience et son esprit perverti par l'annexienne, se rendnt ainsi maître de Schield. Ce plaisir contraint ne pus qu'être accepté, Schield se noyant dans les flots de plaisirs, s'offrant pleinement à l'annexienne acceptant son destin, sans regret, oubliant fierté, honneur et fidélité qu'elle avait prononcer à Tekho, ne désirant que vivre et servir. Une autre venait de succomber, une autre volonté brisée, rien ne pouvant résister à celle de La Reine des Lames.

   Manipulé, possédé par un esprit qui n’était plus le siens, pervertie et corrompue, Schield se mit jouer du bassin, accompagnant sa Reine, la bouche grande ouverte dans un flot de crie et de gémissement sans fin, ballotté violemment d'avant en arrière, provoquant un double tsunami mammaire, tout en lui offrant un visage complètement possédé par le plaisir, la bouche entre-ouverte, la langue pendante, la bave coulant de sa bouche, ses yeux presque révulser, tout son être transpirant le plaisir le plus profond. Les coups de fouets des tentacules, loin de rebuter son plaisir ardent, ils rajoutèrent un touche de plaisir en plus, accentuant sa soumission, ses cries pervers et débordant d'extase, d’excitation s’accentuant encore plus.

   L'alchimie parfaite des tentacules fouets et des coups de rein de l'annexienne, posséder par l'ardeur, fessait tomber Schield dans le plaisir le plus pure et le plus profond. Les vas et viens incessant, fessant coulisser si vite le pilier de chaire dans le vagin de la soldate, claquant contre son lèvres intimes, limant son clitoris, couplé à ses propres mouvements de bassin, Schield eu un orgasme, passant presque inaperçue, son plaisir presque équivalent. L'annexienne mettait du cœur à l'ouvrage, son vit s'enfonçant avec force et rapidité, pousser par un désir insatiable de pilonner son intimité, qui était en feu, racler avec tant d'avidité.

« Hmmmmm... Haaaa, ma chérie !! Tu es vraiment... Une... Une magnifique pute ! »

   Schield ne pouvant articuler un seul mot, hurlait avec des sonorités plus que perverse, les joues rouges, le front en sueur, les yeux pratiquement révulser, la bave dégoulinant en quantité. Un tableau magnifique pour amateur de visage complètement défiguré par le plaisir. Après des dizaines de minutes à se faire prendre, d'être noyer dans le plaisir qui lui avait été imposer l'annexienne se mit à jouir, remplissant l'utérus de Schield qui elle même se mit à jouir pour la seconde fois, débordant à l'extérieur, se mélangeant à la cyprine de Schield, de puissant flot de fluide, inondant l'intimité de la soldate, poussant crie et gémissement d'extase, se mélangeant à ceux de l'annexienne. Le foutre chaud et gluant dégoulina lentement de son intimité, glissant gracieusement sur ou dans sa combinaison, complètement humide mouille et de foutre.

   Schield s'étala par terre, sans amortir sa chute, comme un pantin désarticulé, sa Reine et les tentacules la lâchant, haletant avec puissance, peinant à reprendre sa respiration, en extase complète. Alors qu'elle se mit en tailleur, respirant l'air vicié par les effluves du foutre et de la cyprine, sa Reine semblant à peine fatiguée, lui demanda si elle était encore valide pour accomplir une de ses volontés, ce dont Schield s'empressa de répondre :

-T... tous ce que vous voudrez ma Reine ! Répondit-elle, ses yeux l'admirant, son expression témoignant sa totale soumission.

   Tandis que Ilinia, les yeux rougit par les larmes, le regard vide, son esprit semblant l'avoir abandonné, regarda les deux autres ayant plus ou moins une idée que cela la concerné fortement, mais déjà trop désespérer pour l'être encore plus. On pouvait désormais dire que La Reine des Lmaes avait réussit : Sarah Kerrigan avait briser tout espoir, ne laissant que des loques humains déposséder de leur volonté, n'ayant plus rien sur quoi se raccrocher, ne pouvant plus espère, ne pouvant plus se rebeller, ne pouvant plus s'opposer à la Reine des Lames !

   Soumisse, corruptible, faible, sans résistance et vide de toute volonté, de parfaite femmes briser.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 03 janvier 2016, 01:32:53
En théorie, Sarah aurait dû envoyer Schield chez son Monstre tentaculaire, son puissant Formien, cette créature qui adorait tordre et broyer des corps... Mais, en ce moment, elle avait envie d’autre chose. Perverse comme elle l’était, la Reine des Lames avait une autre idée derrière la tête.    Et, en voyant le visage plein de soumission de la Tekhane, Sarah se dit qu’elle allait y arriver. La petite voix dans sa tête lui soufflant qu’elle pousserait le bouchon un peu loin se tut donc, et Sarah se retourna vers Ilinia... Puis les tentacules retenant la belle femme se retirèrent. Ilinia avait été la première femme de toute cette escouade que Sarah avait violée, et il semblait donc logique qu’elle termine par elle. La soldate semblait être aussi éteinte que sa consœur, ce qui, aux yeux de Sarah, s’avérait être terriblement gratifiant... Et excitant. Éteinte.. Mais pas morte.

« Rapproche-toi, Ilinia... »

Sarah caressa tendrement ses cheveux, puis tendit sa main vers le sol, et une sorte de pilier en jaillit. Elle récupéra une curieuse boule se trouvant dessus, puis s’approcha de Schield, et plaça cette boule sur son corps. La boule, ressemblant à une sorte de pâte à modeler violette, se mit à changer, et à s’entourer autour du bassin de Schield, formant comme une sorte de ceinture, une ceinture qui se colla à sa combinaison, avant de légèrement s’enfoncer dans son vagin, formant comme un sexe masculin qui s’enfonça dans son corps, se nourrissant de sa mouille.

Et une verge poussa alors entre les cuisses de Schield. Une belle verge violette, érigée, une queue en érection. Sarah esquissa un léger sourire mielleux en voyant ça.

« Voilà ce que je vous propose pour finir, Mesdames... Que nous prenions cette belle Ilinia à deux... »

Sarah lâcha cette seconde phrase avec un sourire de plus en plus pervers, tout en marchant autour d’Ilinia, qui était restée à quatre pattes, sa main glissant le long de son corps, avant de se poster dans son dos, venant caresser ses hanches, avant d’appuyer dessus.

« Je vais la prendre par le cul... Et toi, Schield, tu la prendras par le devant... J’ai déjà goûté une fois au cul d’Ilinia, et il était magnifique. Tu t’en souviens, ma petite chérie ? Parce que moi, je n’ai pas oublié tes délicieux couinements... »

C’était là, précisément, en ce moment, que la perversion de Sarah s’exprimait le mieux. La femme lui proposait de coucher avec sa camarade, et, potentiellement, de la violer. Mais c’était aussi un excellent moyen de voir jusqu’où Schield était soumise, et si elle était prête à définitivement obéir aux instructions de sa Reine. La queue de Sarah s’enfonça alors dans les fesses d’Ilinia, et elle remua dedans, avec, toujours, un plaisir violent et intense. Impossible que cette femme ne soit pas épuisée, après des heures, et des heures, à faire l’amour. Qu’est-ce qui lui fournissait une telle ardeur ? Les Formiens étaient des êtres redoutables, de terribles prédateurs sexuels.

Sarah remuait donc, posant ses mains sur le bassin d’Ilinia, faisant délicieusement crisser sa combinaison en continuant à la prendre. Sarah soupirait lentement, puis plusieurs tentacules vinrent s’enrouler autour des bras d’Ilinia, entreprenant de la soulever, afin de présenter sa porte avant à Schield...

Mais oserait-elle le faire ?
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 03 janvier 2016, 18:49:42
   Les tentacules la lâchèrent, Ilinia se laissa tomber à quatre pattes, ne pouvant rien faire, attendant juste le sinistre jugement qui allait s'abattre sur elle. Elles avaient perdues, elle ne pouvait rien faire, rejoignant la lignée de celle ayant céder sans résistance, ayant lâcher avant leur tour. La dernière qui fut « épargnée », allait conclure le viol de la section Delta S. On aurait put croire qu'elle aurait été la dernière rempart, la dernière à résiste et à céder, mais bien plus sombre est la réalité, l'annexienne ayant déjà briser cette résistance il y'a quelque temps. Elle a gagnée, plus rien ne la retenait et ça depuis le départ.

   Ilinia pleurait encore, son inconscience cherchant à redonner vie à son esprit et sa conscience, cherchant à raviver des souvenirs heureux, qui devait lui redonner espoir, mais rien ne pouvait ranimée des cendres ou un esprit briser. Elle s'était avouer vaincue, dé que Tirch fut battue, plus rien ne pouvant les sauver.

« Rapproche-toi, Ilinia... »


   Par résignation ? Par crainte ? Par soumission ? Nul ne pourrait le dire, mais Ilinia le fit, s'avançant un peu, comme en mode automatique fessant ce qu'on lui disait, ne fessant pas attention au caresse de l'annexienne. Schield s'était relever et, toujours aussi exciter et sous l'emprise du plaisir, observa sa Reine ce demandant qu'elle allait t-elle faire quand elle la vit prendre une étrange boule apporté par une colonne organique sortant du sol. Quand l'annexienne se rapprocha d'elle, l'étrange boule dans la mains, Schield sentit son excitation grandir se doutant de la nature de la boule, une sorte de gode !

   L'annexienne posa la boule sur intimité, avant qu'elle ne mute, pénétrant brièvement son intimité avant de créer une sorte de ceinture, se serrant et collant à sa combinaison, si bien qu'elle ne fit pas la différence, comme si elle fessait partie intégrante de sa combinaison, avant qu'au niveau de son intimité une protubérance apparue, formant une verge au repos, avant de prendre de l'ampleur, se mettant en érection, aussi dure que de la pierre, de couleur violette. Surprisse Schield caressa ce tout nouveau membre, ressentant des frisson tout le long, comme si c'était une part intégrante d'elle même.

« Voilà ce que je vous propose pour finir, Mesdames... Que nous prenions cette belle Ilinia à deux... »

   Schield fut surprisse, mais étrangement tenter, tendit que Ilinia redressa la tête, tout aussi surprisse, contemplant sa camarade avec un sexe masculin, comprenant très bien ce qu'il allait se passer, l'horreur s'emparant d'elle ! Même si Goya les avait choisit une à une, elle n'avait été que l'intermédiaire, mais là, un sentiments de trahison s'empara d'Ilinia, bien que Schield n'avait encore rien fait. Maintenant l’amitié, la camaraderie, les moment passer ensemble... l'annexienne voulait aussi briser ça ?

« Je vais la prendre par le cul... Et toi, Schield, tu la prendras par le devant... J’ai déjà goûté une fois au cul d’Ilinia, et il était magnifique. Tu t’en souviens, ma petite chérie ? Parce que moi, je n’ai pas oublié tes délicieux couinements... »

   Comment l'oublier, elle avait passer deux mois à suivre un traitement psychologique, après une crise de nerfs et une dépression nerveuse, ajouter à cela le sentiment d'avoir abandonner Goya et ses vielles blessures ravivaient. Comme pour d'autre membres d'ailleurs. Malgré elle, elle se rappela de ces sombres heures passer dans les égouts. Schield elle avait les même sentiments, le plaisir se diluant petit à petit. Pour autant, leur esprit n'était plus apte à ce genre de dilemme, Ilinia abandonna se résignant, ne pouvant s'y opposer ou lutter, tandis que Schield, désormais sous la coupe de l'annexienne, voulait obéir et faire plaisir à sa Reine.

   Entre temps, la Reine des Lames, pénétra voracement le fondement d'Ilinia, lui arrachant un profond gémissement de surprise et de douleur, la tentacule bloquant sa bouche toujours présente. Toujours pleurante, Ilinia ne fit que gémir de douleur, tandis que son cul était martyrisait, ses parois rectales tendues, le gabarit toujours aussi imposant de la Reine, mit à mal l'étroitesse des lieux et l’élasticité des parois. Comme la dernière fois, elle ne put rien faire, mais cette fois son esprit n'avait plus aucune combativité, plus aucune envie de se rebeller, plus aucune volonté ! Pire que d'être une pauvre femme violé, elle était rien de moins qu'une poupée gonflable vivante.

   Elle se mit à baver à force de gémir, son esprit si affaibli, pratiquement briser, ne pouvant ignorait, ni repousser ce désir qui s'emparait de son corps, cédant beaucoup plus rapidement, les pulsions primitifs sans laisse, commençant déjà à mouiller. Des tentacules s’emparèrent de ses bras, la mettant debout, seule moyen la fessant tenir debout, ses jambes ballantes, molles. Schield se rapprocha, une tentacule découpant la combinaison d'Ilinia au niveau de son intimité, libérant l'accès pour Schield.

-Pardonne moi... mais je... je peux pas faire autrement.... Lui souffla Schield, le regret dans la voix.

   Son esprit ne pouvait qu’obéir, même ses liens d'amitié, quand bien même elle était froide avec ses camarades et plutôt réserver, ne pouvait rien contre son esprit détraqué, qui voyait Sarah Kerrigan comme nouvelle raison de vivre. Elle posa le bout de sa verge sur l'imité d'Ilinia, qui sécréta un liquide, assurément lubrifiant pour facilité la pénétration. Schield la pénétra d'un coup, écartant violemment ses parois. Ilinia faillit s'étouffer avec un crie, et Schield cria de plaisir, les nouvelles sensations parcourant tout son corps, le plaisir ravivé. Schield entreprit de faire des mouvement de bassin rapide, une mains sur un des seins d'Ilinia, le malaxant l'autre dans son dos, pénétrant de concert avec sa Reine la pauvre Ilinia qui ne put que gémir, de douleur, de tristesse.

   Prise en sandwich, observant sa camarade la pénétrer durement, son visage changer d'expression, passant de la culpabilité au plaisir rapidement, prenant plaisir à pénétrer sa camarade d'infortune. Ilinia regarda le pafond, pleurant toujours, tandis que Schield se mit à lécher son coups, malaxant toujours son seins, se mettant à mouiller de plus en plus, son corps la trahissant, prenant plaisir de la situation. L'une après l'autre, t-elle un mouvement balancier, Schield et sa Reine pénétraient Ilinia, pilonnant ses troues, raclant ses parois, les écartant avec force et ardeur, allant le plus vite possible et avec force, leur bassins claquant contre sa peau.

Elle ne pouvait que subir, elle ne pouvait que céder, le plaisir tordant son visage, son esprit se fessant engloutir.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 03 janvier 2016, 23:39:07
Schield était placée à un choix autant cruel que pervers. Sarah dépassait-elle les bornes ? Elle allait le voir ! Elle voulait voir jusqu’où allait la soumission de Schield, et, visiblement, celle-ci était acquise, car la femme se déplaça, et obtempéra. Le stentacules vinrent se saisir des chevilles d’Ilinia, afin de mieux la maintenir, et l’amener à enrouler ses jambes autour des hanches et du bassin de son amie, et maintenant amante... Puis le sexe formien de Schield s’enfonça dans le corps d’Ilinia, tout comme celui de Sarah. Les deux femmes se mirent à soupirer, et se serrèrent tout contre le corps ample et délicieux d’Ilinia. Hum, que c’était bon ! Sentir cette combinaison crisser, ce corps rebondir, d’avant en arrière... Pour un bouquet final, Ilinia était largement à la hauteur, et les mains de Sarah étaient posées sur ses cuisses, griffant sa combinaison, se délectant de ces mouvements. Ilinia avait beau pleurer, son corps la trahissait, et deux grosses queues étaient joyeusement en train de la labourer.

Bien sûr, bien sûr, il y avait encore du boulot à faire. Certains membres de cette escouade étaient de fortes têtes, mais, honnêtement, mis à part Tirch, Sarah ne pensait avoir, sur le long terme, aucun problème. Il y avait donc encore du boulot, mais les premiers résultats étaient très encourageants. Ilinia était déprimée, et ne résisterait pas longtemps. Sarah continuait à la prendre, lourdement, tout en sentant, sous la détresse d’Ilinia, ses pensées la trahir... Et sa principale inquiétude portait notamment sur... Son chat ?! L’image aurait presque pu faire sourire Sarah, mais elle savait qu’il était très humain de s’attacher à de pitoyables créatures, pour autant qu’elles soient belles et mignonnes à regarder. Et, tout en pénétrant Ilinia, elle avait une idée derrière la tête, une idée qui s’affirma progressivement...

...Et, pendant ce temps, la double pénétration se poursuivait, toujours plus intense, toujours plus brutale, sa queue s’enfonçant profondément dans le cul d’Ilinia... Et, comme à chaque fois, son sexe sécrétait une sorte de liquide, qui permettait de lubrifier les parois qu’il pénétrait. Ilinia continuait à se faire prendre, et Sarah mordilla son cou, avant de se rapprocher de son oreille :

« Hurle, Ilinia... Hurle tout le bonheur que tu ressens à te faire prendre... Et je te donnerais ton chat... »
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Ilinia le dimanche 17 janvier 2016, 20:33:04
   Comment décrire ce qu'elle ressentait ? Un mélangeant peu rassurant issus d'une recette oublier d'une créature immonde au goût des plus malsains, un ragoût d'horreur, mélanger à une grosse dosse de tristesse, compléter par un désespoir des plus noires et profonds, ayant détruit jusqu'au mots même l'espoir. Rajouter à cela, le sentiments de trahisson de la part Schield, bien qu'une touche de résignation ayant vider de toute résistance et résiliation son esprit acceptant son sort fameux ingrédient secret, fourré par les prémisses d'un esprit briser, d'une volonté sans substance et d'une fine couche d'un plaisir naissant, contraint et forcé, pour une raison d'être démolit. La recette parfaite pour ceux qui veulent détruire une personne de l'intérieur.

   Ballotté au grès des coups, t-elle un navire dans une tempête, ne tenant que par ses liens et les deux personnes la pénétrant, l'une d'elle ayant succombé à cette recette, l'autre en étant la cuisinière. Les deux femmes la pénétraient durement, claquant leur bassin contre elle, raclant ses troues, écartant ses parois avec intensité, le plaisir de le faire, essence de leur ardeurs, toujours plus fort et dévorant. Les chibres fessaient des allées et venus, dans un mouvement perpétuelle, limant son intérieur, provoquant des tremblement de plaisir, des spams de plaisir, la douleur ayant été occulté par son esprit, son corps ne pouvant qu'apprécier. Les coups de butoir claquaient contre elle, pilonnant sans vergognes ses troues  Elle mouillait, ne pouvant se retenir et qu'apprécier dans toute sa splendeur le plaisir qu'elle ressentait, elle pleurait, mais elle adorait. Plus rien ne la retenait, tout futile et disparue, pour un esprit peinant à la faire ressentir l'horreur dans la quelle elle était.

   Elle ne ressentait plus que le plaisir, cette chose enivrant, durcissant ses tétons, sous l'emprise de la douce torture de Schield, son inconscience la fessait pleurait, alors que sa conscience et son esprit baignant dans l'extase. Ses gémissements n'étaient que plaisir, ses cries, étouffaient, n'étaient que plaisir, son regard démontrait le plaisir qui la posséder. La tentacule bloquant sa bouche se retira, alors que l'annexienne, non... désormais sa Reine, lui souffla à l'oreille :

« Hurle, Ilinia... Hurle tout le bonheur que tu ressens à te faire prendre... Et je te donnerais ton chat... »


   Elle ne put se retenir, se lâchant, criant son bonheur, allant jusqu'à le dire, demandant plus, avant de plonger sa tête vers Schield, l'embrassant, sa langue s’entremêlant avec la sienne, leur baves se mélangeant. Tout comme Schield, elle avait craqué, cédant entièrement, plus de volonté, ses pensées rejoignant celle de sa camarades, s'offrant à la Reine des Lames, sa maîtresse, son esprit la percevant comme la seule issus possible, la seule chose qui comptait désormais.
Titre: Re : L'Antre de la Reine [Ilinia]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 18 janvier 2016, 08:48:25
Vaincue. Sa volonté ? Sa résistance ? Brisée. Envolée. Ilinia était maintenant une délicieuse poupée de chair entre les doigts experts de Sarah Kerrigan, qui se faisait ainsi plaisir à la maltraiter et à la pénétrer joyeusement. Son mandrin remuait dans son cul, s’enfonçant profondément en elle, tout comme Schield, qui ne se retenait plus, et se laissait également aller, cédant totalement aux pulsions sexuelles qui la traversaient. La bouche d’Ilinia s’était libérée, et la Tekhane se mit à hurler de joie et d’envie, avant d’embrasser Schield, faisant sourire Sarah... Qui, en conséquence, renforça ses pénétrations et ses coups de reins. En soupirant, elle donna ainsi de plus grands coups de reins, son membre s’enfonçant un peu plus profondément dans le cul de la femme. Avec sa combinaison, Ilinia était comme une magnifique poupée gonflable bonne à baiser, à l’image du reste de sa compagnie de perverses et de nymphomanes en puissance. Ces jeunes femmes n’avaient eu aucune chance contre elle, et, même pour les éléments les plus récalcitrants, Sarah se faisait fort de les soumettre à leur tort.

« Hmmmm... Oui, mes chéries... Embrassez-vous bien... Mais pensez à en laisser pour votre Reine aussi... »

Ainsi, la main de Sarah vint déplacer le visage d’Ilinia, et elle l’embrassa à son tour, plaquant sa bouche contre la sienne, enfonçant sa langue en elle, laissant à Schield le soin d’embrasser le cou et la joue de la belle Ilinia. La Tekhane ne pouvait plus lutter, et se laissait aller aux joies du sexe.

« Ici, vous serez... Vous serez bien, hummm... De délicieuses concubines, belles et fortes... Vous m’offrirez des bébés, et... Vous ne manquerez de... De rien, haaaa... !! »

Pour sa dernière prestation, Sarah se devait d’être à la hauteur. Elle couchait et baisait sans relâche depuis des heures, s’était battue entre-temps, et, même malgré sa constitution surnaturelle, de la sueur coulait de plus en plus abondamment le long de son corps chitineux, comme un témoignage discret de son état de fatigue. Mais qu’Ilinia se rassura, car Sarah comptait bien jouir proprement, comme un tel corps l’exigeait et le souhaitait.

Sarah continua donc à la prendre, la combinaison d’Ilinia crissant joyeusement contre celle de Schield. Prise en sandwich, la Tekhane se laissait maintenant aller, embrassant encore sa belle partenaire, et c’est dans ces heureuses circonstances que Sarah jouit, sa jouissance se répercutant sur les deux autres. Pour Sarah, c’était le point final à cette présentation. Elle avait fait de ses petites soldates ses petites salopes. Elle les avait toutes baisées ou dominées, après une très longue séance d’introduction, où elle avait eu son lot de chattes dégoulinantes et de petits culs serrés. Son orgasme vint donc, fulgurant, remplissant le cul d’Ilinia, se perdant directement dans son corps, car son mandrin s’était bien enfoncé, tapant jusqu’à la garde, disparaissant intégralement dans le corps d’Ilinia, pour un maximum de sensations, au moment de son orgasme.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Un orgasme qui fut à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre, long et magnifique, délicieux et intense, où tout son corps se vida en elle pendant de longues et de longues secondes, Sarah jouissant à chaque fois par vague, comme des reflux de sperme allant se nicher dans le corps d’Ilinia. Mais, cette fois, sa fertilisation viendrait essentiellement de Schield, qui jouit également en elle.

Ensuite, tout se termina. Sarah se mit à soupirer, et relâcha Ilinia, qui tomba sur le sol, comme sonnée par l’orgasme, laissant, debout, Schield et Sarah, leurs verges trempées se toisant l’une face à l’autre.

« Mes félicitations, mes chéries, finit par dire Sarah d’une voix affaiblie. Vous voilà maintenant dans ma Horde... »

Comme le serait (bientôt) tout le reste de cet escouade !