[HJ-Désolée de passer du "il" au "elle" pour Hirondelle, mais cela est nécessaire pour ne pas faire un blocage sur le rp, en espérant que votre lecture ne soit pas difficile pour vous.-HJ]
En tant une fidèle des divinités de la luxure, il aurait été malvenu que cette esclave ne puisse ressentir la perversité d'Ata grandir, comme un feu que l'on alimente de plus en plus. Hirondelle n'avait pas le droit d'agir contre son maître ou sa maîtresse, mais en quoi le plaisir et la luxure étaient malfaisant ? Hirondelle échoua cependant à un devoir, celui de ne pas jouir. Elle se connaissait très bien, surtout en ce qui concernait ses limites dans les longues partie de jambe ne l'air. Elle n'était pas dupe sur le fait que la jeune femme possédait une certaine expérience dans le sexe. Les mouvements des hanches et la dextérité sur les petites boule rosées n'étaient pas du hasard et la pauvre esclave ne pouvait que subir sans trouver un moment quelconque de détourner sa pensée et se retenir, même si l'effort était bien présent.
Se faire du mal ? Elle commettrait deux erreurs, la première étant son côté masochiste qui transmuterait la douleur en plaisir, comme le faisait Ata sur ses mamelons à l'heure actuelle. Mais aussi, abîmer son corps inutilement. Oui Hirondelle étaient un peu spéciale, elle pouvait permettre aux autres de la blesser, pouvant aller très loin pour le plaisir de ses maîtres, tout en s'interdisant d'être laide par des blessures faite sur une pensée propre qui n'a aucune relation avec son maître. Dans le cas présent se mordre les lèvres était s'enlaidir, elle préférait subir largement la punition d'Ata.
Ne pouvant tenir davantage son dos vint à s'arrondir légèrement alors qu'un cri étouffé par les mains de la transsexuelle sortis de la bouche. Ata pouvait sentir que la quantité lâché était un peu plus grande, se mélangeant à la cyprine qui avait depuis un moment coulé sur le bassin d'Hirondelle, formant une pâte collante et faisant des bruits à chaque fois que la geekette s’empalait totalement, même si la taille du petit oiseau n'était pas si imposant que ça. Le corps de l'esclave fut parcouru de petit spasme et quand elle put reprendre possession de son corps sans trop trembler, elle dit d'une petite voix.
- Punissez moi maîtresse Ata. Je n'ai pas pu obéir à votre ordre la plus simple.
Si on devait donner un échelon de soumission entre 0 et 100 et bien ... le compteur aurait fait certainement plusieurs tours. L'esclave n'avait clairement rien d'une dominante et si une personne aurait voulu la changer, elle aurait un travail titanesque.