Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une bonne histoire, c'est d'abord un bon méchant [Lucas et... LE MECHANT]

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Maelie

Humain(e)

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    Description
    "Ce qui n'apparaît pas sur l'avatar du personnage" ;
    Eh ben...
    ♥
    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
    ♥
"Vous allez devoir vous masturber jusqu'à la jouissance. Si vous le désirez, je peux sortir de la pièce. Pour l'entaille, je préfèrerai la faire, mais si vous avez une objection personnelle, je m'y plierai. Comprenez que tout cela est pour votre bien."

L'esprit alerte et rendu quelque peu paranoïaque par la situation, la succube n'était pas prête à tout avaler. Aussi, lorsqu'elle entendit ces mots, elle écarquilla les yeux de stupeur, sa confiance pour l'inconnu terminant de s'émietter. Cet examen ressemblait de plus en plus à une magouille perverse ; pourquoi un contact entre les fluides sexuels et le sang ? Elle n'avait jamais rien entendu de tel ! En revanche, elle avait déjà entendu des histoires à propos de médecins abusant de la confiance de leurs patients, sur Terre. Elle avait d'autant plus de raison de se méfier que Terra était une région incertaine et dangereuse, où il fallait s'attendre à à peu près tout. Pourquoi un médecin qui, selon ce qu'elle observait, venait de la Terre se mettait-il à employer des méthodes dignes d'un rituel shamanique ?

Elle restait cependant immobile tandis que Lucas portait sa main sur son entre-jambe, figée par le doute ; et si jamais elle se trompait ?

Le petit avait l'air si faible... le simple fait de se caresser semblait lui demander plus d'énergie qu'il n'en avait en réserve. De son propre aveu, il n'en était même plus capable... mais pourquoi ?! Il avait sprinté aux côté d'Anastasia une heure auparavant, il semblait parfaitement capable de marcher jusqu'à ce qu'il entre ici...

C'était cet homme. Tout avait débuté avec cet homme. C'était depuis qu'ils l'avaient croisé que Lucas avait aperçu la tache sur son pouce. C'était depuis qu'il était ici qu'il flanchait. La maladie progressait à une vitesse folle... depuis moins de dix minutes ! Tout s'expliquait pour peu qu'on suppose que c'était ce faux docteur qui était responsable de la maladie.

Peut être aurait-il été plus sage de se saisir la chaise qui se trouvait derrière elle, la soulever silencieusement, et l'abattre froidement sur la nuque du médecin qui s'occupait du jeune garçon. Il serait tombé, mort ou vif, mais au moins inerte, leur laissant la possibilité de fuir. Mais un horrible doute la retint : si jamais, malgré tout, elle avait mal interprété ? Si elle se trompait ?... Elle attrapa tout de même la chaise, mais se mit simplement en garde, la tenant fermement entre ses deux petites mains tremblantes, dans une position de combat improvisée; les pieds asymétriques et écarté l'un de l'autre, les genoux légèrement fléchis, le corps prêt à bondir.

"E-éloignez vous de lui !"

Sa voix était mal assurée, mais elle avait presque crié cette injonction, et, considérant son intonation et la fermeté de sa posture, il ne faisait aucun doute qu'elle ne se dégonflerait pas.

Jigoku tsūshin

Légion

Il devait avouer qu'il avait rarement vu une personne aussi obéissante que ce jeune garçon. Certes il était presque dans les vapes, terrassé par la maladie courant dans ses veines, mais il continuait tout de même à essayer d'obéir lorsqu'une personne normale lui aurait demandé des explications. Il a même commencé à se masturber, ou du moins à essayer, avant de se rendre compte qu'il était trop faible pour cela. Un parfait petit pantin...

Je.. ne peux pas, je suis trop fatigué pour me masturber. Je n’ai plus de forces monseigneur…Il n'y a vraiment pas d'autre moyens?
Malheureusement non. La maladie infecte votre sang et votre liquide sexuel de manière différente, si bien que lorsqu'on unit les deux, on peut voir le mélange noircir. Plus cette couleur est foncée, et plus la maladie en est à un stade avancé. Au vu de votre faiblesse, je pense que...

Il fut interrompu par une Valentina qui brandit une chaise au-dessus sa tête, dans une mimique un peu ridicule d'une posture de combat. Il fut assez surpris d'une réaction aussi offensive de sa part, pensant qu'elle allait seulement protester et demander des explications, mais apparemment, il semblait qu'elle avait découvert le pot aux roses. Trop tard, beaucoup trop tard. Le diffuseur est maintenant implanté en eux si bien que, même s'il devait aller à l'autre bout de Terra, la maladie continuerait à se répandre et sonnerait leur fin. A vrai dire, il était maintenant leur seul espoir.

E-éloignez vous de lui ! hurla-t-elle presque.

Hone Onna sursauta, tandis que Ren fut seulement un peu surpris. Il avait reprit l'observation de la scène, et avait bien vu la fille brandir la chaise par-dessus sa tête. Il s'était donc attendu à l'entendre crier.

Qu'est-ce qui se passe !? le pressa-t-elle, assez bas pour ne pas se faire entendre.
Elle menace notre cible avec une chaise, et elle n'a pas l'air rassurée. Elle doit se douter qu'il y a un truc de louche avec ce gars, car j'ai jamais entendu parler d'une telle maladie, même sur Terra. Peut-être qu'on aurait besoin d'un natif de ce monde pour nous aider pour ce genre de missions...
Tu sais bien que Mademoiselle ne choisit pas les personnes comme ça...
Ouais, mais ce serait pratique... Attend... Il sourit ! Il est donc bien derrière tout ça !

En effet, Ren pouvait voir leur cible aborder un sourire cruel envers la fille qui le menaçait. Mais il ne bougea pas pour autant et se contenta de parler :

De toute façon, même si je meurs, vous me suivrez dans la tombe. Vous êtes tous les deux bien trop infectés pour avoir une chance de survivre sans moi, et si vous ne lâchez pas immédiatement cette chaise, je vous jure que vous vous étoufferez avec votre vomi en crevant !

Son ton était de plus en plus dur, et il n'avait plus rien de sympathique. Il s'agissait certainement d'un de ces magiciens, comme il y en avait tellement dans ce monde. Il avait dû les infecter avec une maladie quelconque. Après un silence théâtral, il reprit la parole :

Mais si vous m'obéissez, je pourrais vous épargnez...

Il se retourna et alla s'adosser à un mur, ayant pleine vue sur l'intimité du garçon allongé, abordant toujours ce sourire insolent et sadique.

Déjà, vous allez masturber ce garçon jusqu'à la jouissance, et recueillir celle-ci dans le récipient que j'avais préparé...

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Maelie

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"De toute façon, même si je meurs, vous me suivrez dans la tombe. Vous êtes tous les deux bien trop infectés pour avoir une chance de survivre sans moi, et si vous ne lâchez pas immédiatement cette chaise, je vous jure que vous vous étoufferez avec votre vomi en crevant !
- Mais je ne suis pas..."


Elle n'acheva pas sa réponse, se sentant immédiatement stupide. Qui lui avait donc affirmé qu'elle n'était pas infectée ? C'était encore leur ravisseur. Elle ne bougea pas d'un pouce, soudain frappée par le désespoir. Le médecin reprit la parole sur un ton plus calme, tentant un chantage grossier. Il pourrait les épargner... à condition qu'ils soient sages et serviables, hm ? C'est un risque qu'elle n'avait pas l'intention de prendre, elle n'allait pas remettre son sort au bon vouloir de ce malade. Elle n'aurait pas pu, de toute façon, même si elle avait été persuadée qu'il s'agissait de la solution la plus sûre : tout son corps se révoltait à l'idée de ployer l'échine devant ce salopard, d'aller abuser d'un jeune garçon innocent pour satisfaire ses désirs malsains. Il méritait qu'on l'écrase comme un cafard, qu'on laisse la trace de son corps broyé sur le mur où il s'adossait à présent d'un air satisfait.

"... sale fils de pute !!"

Elle lui fracasserait les os un par un. Il lui donnerait l'antidote, une fois qu'elle l'aurait démoli, il la supplierait se l'épargner.

Elle bondit en avant, lançant tout son poids en direction de son ennemi, entrainant son arme de fortune dans une arc latéral ravageur : celle ci s'abattra avec fracas à l'endroit où se trouve la poitrine de la cible, qu'elle s'y trouve encore ou non à ce moment là.

Jigoku tsūshin

Légion

Décidément, elle n'avait pas vraiment compris leur situation. Ils étaient totalement à sa merci, dépendant de lui. Il avait plein contrôle sur la maladie imprégnant leurs corps. Celui du petit était extrêmement faible, et celui de l'autre était encore normal, mais il pouvait décider rapidement qu'il devienne tout aussi impuissant, voire jouer sur la douleur en imprégnant ses nerfs. C'est d'ailleurs cette dernière solution qu'il sélectionna lorsqu'elle s'élança vers lui avec son arme improvisée. Dans la seconde qui suivit, elle lâcha ce qu'elle avait dans la main et tomba à la renverse pour mieux hurler de douleur. Qu'est-ce qu'il avait fait ? Il avait tout simplement stimulé tout son système nerveux, pour qu'elle ait l'impression d'avoir mal à chaque parcelle de son corps, comme si sa peau était à vif et qu'on lui avait donné une centaine de coups de fouets simultanément sur chaque millimètre carré de son corps.

Il ne fit pas durer le supplice bien longtemps, à peine une seconde, mais cela lui montrait qu'il avait désormais plein pouvoir sur elle. Mais le pire était à venir si jamais elle désobéissait à nouveau. Ceux qu'il avait déjà manipulé pourraient en témoigner s'ils ne reposaient pas tous dans une tombe.


Mauvaise réponse... fit-il avec son sourire. Allez debout ! Et sache que t'échapper ne te sauvera pas !

Il eut un rapide coup d'oeil vers la porte derrière laquelle se trouvait les deux observateurs, qui se demandaient ce qu'il avait bien pu se passer pour qu'elle s'effondre ainsi.

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Lucas

Créature

Lucas lui était toujours sur le lit, impuissant et sans emprise sur la situation. Apparemment sa maîtresse n'avait pas l'intention de se laisser faire et décida d'attaquer à l'aide d'une arme réputée dans les disputes familiales et les bagarres de tavernes: une chaise.
Même Lucas avait fini par comprendre que c'était le médecin qui était derrière tout ça, ils s'étaient fait avoir si facilement... Mais étaient ils vraiment condamnés à obéir au mage sous peine d'une mort lente, douloureuse et inévitable? Était-ce du bluff pour éviter d'être réduit en charpie par la dangereuse succube armée jusqu'aux dents? Les doutes s’estompèrent quand Maelie tomba misérablement au sol et se tordit de douleur en hurlant.

-Allez debout ! Et sache que t'échapper ne te sauvera pas !

-nooon..."

Une voix faiblarde se fit entendre, c'était Lucas qui se traînait sur le lit en direction de l'escroc. Le blondinet tremblait à cause de l'effort qu'il faisait, il avait bien sûr tenté de se laisser envahir par la force du loup mais il n'y arrivait pas, il était trop faible. Même ramper sur le lit relevait de l'exploit tellement il était fatigué. Il aurait voulu bondir sur son ennemi et le déchiqueter membre par membre, muscle par muscle avant de lui broyer la gorge le laissant ainsi s’étouffer dans son propre sang...Mais il était encore capable de reconnaître quand une situation était désespérée. Prêt à tout pour sauver sa maîtresse, il demanda avec une larme à l’œil en la voyant sa souffrir:

-j...je vous en prie laissez là...faites de moi ce que...ce que vous voulez. Je... vous obéirais... mais ne lui faites pas de mal, laissez la partir...pitié."
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Jigoku tsūshin

Légion

Il put voir l'adolescent tenter de capter l'attention de leur cible, pour laisser un répit à son amie. C'était assez touchant de sa part, mais l'esprit doutait fort de l'utilité réelle de son action.

nooon...

Il n'arrivait plus à se mouvoir correctement après le traitement, magique certainement, de l'autre. Il semblait qu'il allait faire une nouvelle victime, sauf si son client retirait la ficelle au plus tôt. Mais il doutait aussi de la réelle efficacité de cette action. S'il avait dit vrai, les deux mourraient quand même de la maladie inoculée. A vrai dire, Ren avait de la compassion pour ces deux humains qui n'avaient rien demandé et qui se retrouvaient face à un destin mortel, manipulé par un habile faux médecin, mais il ne pouvait pas agir sans compromettre sérieusement leur mission et leur rôle. Ils n'étaient pas des justiciers, seulement des vengeurs. D'ailleurs, il est arrivé plus d'une fois à Mademoiselle d'emporter sur sa barque un total innocent ayant capté la jalousie d'un autre sans même l'avoir désiré, ou s'en rendre compte. Telle était la mission qui l'incombait, et il avait juré de l'aider pour apaiser les souffrances quotidiennes auxquelles elle avait pu avoir droit lorsqu'elle était seule avec Wanyūdō. Et puis, elle faisait désormais partie intégrante de sa vie en tant que maîtresse, même s'il ne l'avouerait jamais.

Tiens, il peut encore parler lui ? Intéressant... Il pourrait m'être utile dans le futur si jamais j'arrive à le convertir à ma cause, mais pour cela, il faudrait qu'il assiste à la mort de l'autre chieuse, et qu'il reconnaisse à jamais mon autorité. Ou alors il peut servir de défouloir, à loisir. Je me demande quelle sera la sensation quand je l'embrocherai avec mon sexe, si c'est exactement comme une femme, ou alors si c'est encore mieux. Ahh, ça me fait bander tout ça... Ou alors... Bonne idée tiens !

Il se décolla du mur et saisit le menton de la jeune femme pour la regarder dans les yeux.

Non, j'ai mieux... C'est toi qui va te masturber. Si tu n'arrives pas à jouir dans les dix minutes, je le viole. Compris ?

Il la lâcha et se retourna vers l'adolescent.

Elle est libre de partir, mais elle agonisera seule en plein milieu de la rue, et toi tu finiras souillé encore une fois. C'est vraiment ce que tu veux ?

Reculant légèrement, il attrapa la chaise et s'assit, tout en baissant son pantalon et son sous-vêtement, dévoilant ainsi une bite d'une taille respectable.

Allez, j'attends ! fit-il tout en commençant à se caresser doucement.

Euh, est-ce qu'il...
Oui, il commence à se branler. Notre client avait raison, c'est un charlatan qui profite des pauvres personnes qu'il rencontre. Et je n'aurai aucun scrupule à tirer la ficelle si j'avais été à sa place.

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Maelie

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Non ! C'est toute sa peau qui se déchire, sa chair à vif qui saigne ! Elle hurle, de douleur, de désespoir. Plutôt mourir maintenant, pité ! Elle supplie que tout s'arrête... qu'on la tue au plus vite, qu'on la laisse partir !

...

L'instant d'après tout est calme ; elle est encore allongée sur le sol, tremblante, terrorisée. Pendant plusieurs secondes elle ne peut faire un geste, comme si elle craignait d'être foudroyée à nouveau, au moindre mouvement. Que s'est-il passé ?... Elle a pourtant senti son corps être pelé comme un vulgaire légume... Ses mains tremblante tâtonnent timdement sa peau : celle-ci est toujours lè, inaltérée, au moindre endroit de son corps, des fesses au visage. Ce dernier est humide, abondamment sillonné par ses larmes. Est-ce qu'elle vient de se réveiller d'un immonde cauchemar ? Si seulement. Elle est encore prisonnière de ce monstre, avec Lucas...

Elle se relève, péniblement, la tête baissée, sanglotant toujours. Ses jambes sont prêtes à flancher à tout moment, la moindre poussée pourrait la faire tomber : justement leur ravisseur s'approche d'elle et lui attrape le menton. Elle lève de grands yeux humides et terrifiés sur son visage cruel.

"Non, j'ai mieux... C'est toi qui va te masturber. Si tu n'arrives pas à jouir dans les dix minutes, je le viole. Compris ?
-Mais j-je... je..."


Il la lâche, elle vascille, cogne le sol de côté. Se masturber. Pour sauver Lucas. Et pour se sauver elle même. Ne pas contrarier cet homme. Leur sort à tous les deux dépend de son bon vouloir, elle à tout intérêt à ne pas discuter le moindre de ses désirs... L'amour propre de la succube n'est plus qu'un proche et dérisoire souvenir : maintenant, elle en est réduite à chialer et à obéir, allongée sur le sol. Elle contrôle à peine ses membres et elle peine à baisser son pantalon, obligée de se tordre lamentablement pour le faire glisser jusqu'à ses genoux. Elle obéirait à n'importe quoi, pourvu qu'on ne lui inflige pas à nouveau l'horrible douleur qui l'a brisée.

"Ne... ne lui faites... p-pas de mal..."


Ses doigts tremblants pressent fébrilement son clitoris à travers sa culotte, et font des aller retour rageurs. Elle n'a jamais tenté de se caresser sans avoir au moins le début d'une envie, mais, dans son état, le mieux lui semble de se stimuler le plus fort possible. Elle ferme les yeux pour ne pas voir leur bourreau tripoter son entre-jambes d'un air satisfait... elle essaie de se détendre, de penser à autre chose, mais c'est peine perdue. Elle ne parvient pas à oublier qu'elle est allongée sur le sol d'un cabinet médical, infectée par un virus mortel, menacée par un pervers aux pouvoirs surnaturels. Elle persévère pourtant, massant indirectement son bouton de plaisir avec l'énergie du désespoir ; elle finit par baisser sa culotte, trempe se doigts dans sa bouche. Puis, avec une grimace de dégout, elle enfonce deux doigts imbibés de salive dans son vagin, tandis que sa deuxième main  s’occupe toujours de masser énergiquement son clitoris. Elle serre les dents, contracte tout son corps, tendue vers un orgasme qui semble ne jamais vouloir venir. Elle sent pourtant quelque chose monter, mais c'est beaucoup trop lointain...

"S'il vous plait... laissez moi plus de temps... je ferais tout ce que vous voudrez ! Je vous en supplie !"

Jigoku tsūshin

Légion

Elle viens de se faire torturer physiquement de la pire des manière qu'il connaisse, et elle lui obéissait. Cela était tout à fait normal. Cependant, elle ne connaissait pas encore la torture mentale qu'il pourrait lui infliger. Voir l'autre souffrir est souvent bien pire que de souffrir soi-même, car on se sent responsable de sa douleur, et on se place ainsi en tant que bourreau, alors qu'on est qu'une simple victime. Il connaissait bien ce sentiment pour l'avoir ressenti lui-même et, depuis qu'il a découvert cette capacité coulant en lui comme le sang dans ses veines, il n'hésitait pas à infliger cette douleur mentale aux autres avec le plaisir de se sentir puissant. Ce sentiment de puissance est, de son point de vue, ce qu'il y a de meilleur, car on domine d'autres êtres humains, qui sont réduit à néant. A ne plus espérer d'autre que leur maître, lui, ne soit pas trop brutal la prochaine fois.

Elle commença à baisser son pantalon, difficilement car encore sous le choc émotionnel de ce qu'elle viens de vivre. Et encore, il ne l'avait fait durer qu'une seconde. Il se souvenait, pour une personne vraiment récalcitrante, l'avoir laissé agoniser pendant une bonne minute. Elle a fini totalement brisée émotionnellement, tel un légume prêt à être épluché, réduite à un orifice vaginal où il avait pris énormément de plaisir. Elle n'était pas vraiment morte puisqu'il l'entendait encore gémir lors de ses jouissances, mais elle avait refusé de s'alimenter correctement, ce qui l'avait conduit à une mort rapide. Malheureusement, car il aurait bien profité de ce corps quelques mois supplémentaires. Valentina commença à se masturber à travers sa culotte, stimulant certainement son clitoris, pour enfin baisser ce vêtement inutile jusqu'aux genoux. Elle fut obligée de lubrifier son entrée intime en humidifiant ses doigts avec de la salive, puisqu'elle ne mouillait pas. Pas encore. Se masturbant maintenant avec ses deux mains, elle essayait à tout prix de se donner du plaisir, apparemment sans succès puisqu'elle lâcha :


S'il vous plait... laissez moi plus de temps... je ferais tout ce que vous voudrez ! Je vous en supplie !

L'homme, quant à lui, se masturbait tranquillement, satisfait de ce qu'il voyait. Cela le dégoûtait au plus haut point, et il avait bien envie de rentrer pour lui foutre son poing dans sa gueule, mais cela était impossible. Mademoiselle aurait encore eut des problèmes, et Ren ne voulait pas que cela arrive encore. Hone Onna lui demandait ce qu'il se passait, mais il refusait de répondre. Cela était trop immonde pour être raconté à haute voix. Un viol n'est jamais simple à voir, surtout lorsqu'on ne peut rien faire pour l'empêcher et qu'il soit en direct, juste devant ses yeux. Le porc bougea, la main toujours en train de se branler doucement, jusqu'au lit du malade, toujours allongé.

Tu veux de l'aide hein ? Vas-y, aide ta copine ! A moins que ça soit ta sœur, ce qui change pas grand chose.

En disant cela, il portait le jeune garçon et le posa la tête devant l'entrejambe de la femme, à portée de coup de langue, puis passa un doigt autour de son anus.

Tu aimes l'anal on dirait ! Pourtant, tu as un vagin alors que tu es un homme. Tu doit être un esclave non ?

Sans aucune pitié, il le pénétra à sec avec son pouce, l'enfonçant jusqu'à la première phalange.

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Lucas

Créature

Lucas était habitué aux sévices physiques, il en avait subi à de nombreuses reprise durant des années, il pouvait supporter la souffrance du corps à des proportions très impressionnantes. Sa résistance mentale elle aussi était forte, même si dans son esprit, pendant toute sa vie, il n'était qu'un minable, un objet sans droit ni liberté. Cette situation hors de contrôle, cette scène sans nom lui faisait du mal au plus profond de son âme malgré cela. Des images lui revinrent en tête, le souvenir de ses pires maîtres, ceux qui le torturaient par plaisir, qui le détruisait mentalement avant de se servir de lui comme d’un vulgaire kleenex dans lequel se soulager. Cet escroc était facilement dans le top 10 des pires personnes que Lucas avait rencontrées…

Maelie était à terre, aussi faible que le loup garou, elle se masturbait avec difficulté et sans réel résultat. Il serrait les poings avec le peu de force qu’il avait encore, il les serraient de haine et de désespoir et d'impuissance. Sa maîtresse était là, en danger, entrain d’obéir aux envies d’un psychopathe pour le sauver alors que lui ne pouvait rien changer à la situation. Il se sentait encore plus misérable que d’habitude, il n’avait qu’une envie : sauter dans les bras de Maelie pour la serrer fort contre lui. Mais il était sur le lit, tentant plusieurs fois de se transformer mais à chaque fois la tentative se solda par un échec.

Leur ravisseur eut une nouvelle idée, il transporta Lucas jusqu’à Maelie. Il était léger pour ses 15 ans, cela ne dût pas être très difficile de le soulever. L’esclave était désormais face à l’intimité de sa maîtresse, elle ne mouillait pas et au vue de la situation cela n’avait rien d’étonnant. Il la regardait dans les yeux son regard était plein de peine, soudain il sentit quelque chose entrer en lui. Sur le coup  il se dressa et eu un gémissement de douleur qui réclamait à sortir de sa bouche, cependant-il pu le faire taire. Sur son visage on pouvait lire qu’il avait mal, mais il utilisait le peu de résistance psychique qui lui restait pour ne pas le faire paraître. Il ne voulait pas montrer à Maelie qu’il souffrait même si l’expression qu’il avait eu sur son visage l’espace d’un instant ne laissait pas le doute planer à ce sujet.
 
-J’aurais…préféré faire cela en d’autres circonstances maîtresse… "

Puis, il se baissa au niveau de l’intimité tourmentée de la succube et fit ce qu’il savait faire de mieux dans la vie : satisfaire sexuellement.  Sa langue experte sut instinctivement trouver les zones les plus sensibles, les plus érogènes afin de les stimuler.  Elle bougeait habillement sur le sexe de Maelie, l’humidifiant grâce à la salive, cela ne pouvait que la soulager un peu. Après tout elle était encore assez peu humide, sentir son entrejambe mouillé lui ferait surement du bien pour atténuer les frottements répétés de ses doigts.  Heureusement que bouger une langue ne nécessitait pas beaucoup de forces. L’immense expérience de Lucas en la matière allait encore une fois lui être utile…
Fiche de Lucas
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"Qu'est-ce que... non !"

Elle ne veut pas que Lucas soit forcé à lui donner du plaisir ! Elle voulait lui épargner d'être abusé ! Il est bien trop jeune ! Elle ne peut pas faire ça... Elle va se reculer, elle s'est d'ailleurs déjà redressée sur ses coudes, quand son regard croise celui de leur tortionnaire : elle se tait, et son corps se fige sur place, comme frappé d'impuissance. Elle baisse la tête, retournant à un état de soumission totale. Elle se souvient de la douleur qui a déchiré sa chair, et elle tremble. Elle se souvient qu'il a tout pouvoir sur eux, que leur survie dépend de son bon vouloir. A contrecœur, elle ferme les yeux et laisse ses cuisses s'écarter totalement, pour que Lucas puisse s'approcher de son intimité.

Une caresse chaude et humide caresse alors son entrée, fait quelques cercles, tourne autour de son clitoris, s'y arrête. Elle ouvre la bouche : elle ne pensait pas que son petit protégé ferait ça ... aussi bien. Elle sent son sexe réagir sous les attentions du garçon... bien malgré elle. Elle laisse tomber sa tête sur le sol, grimaçant de désespoir, et cache son visage sous ses bras. Elle se dégoute. Elle ne peut pas prendre du plaisir à ça... ce n'est qu'un enfant... elle l'aime, mais pas de cette manière ! Elle ne peut pas, elle ne peut pas, c'est impossible, c'est horrible, c'est un crime... et pourtant elle le doit... Pour le sauver, pour se sauver elle même, elle doit se laisser aller... C'est mal, mais elle doit prendre juste assez de plaisir pour jouir. Juste assez pur ne pas attirer les foudres de leur maitre sur eux.

Elle ravale son sanglot : non, ça n'est pas comme qu'il faut penser. Elle sait que quelles que puissent être les objections de sa conscience, une partie d'elle même est capable de s'embraser, pourvu qu'elle cesse de la réprimer. Après tout, elle essaie de dominer sa nature lubrique depuis plusieurs années, mais si elle lui laisse le champ libre... oui, c'est ce qu'elle va faire. Elle y est forcée. Elle va laisser la succube qui est en elle vivre à sa place. C'est seulement ainsi qu'elle pourra supporter ce qui arrive. C'est seulement ainsi qu'elle pourra satisfaire leur bourreau, le convaincre de les épargner. Elle sera sa petite chienne docile. Une petite chienne tellement adorable qu'on ne peut plus lui faire de mal. Il n'y a pas de peur à avoir, pas de question à se poser... juste à laisser parler son corps, oublier tout amour propre, tout sens moral. Ça n'est pas si difficile, elle n'a qu'à s'abandonner.

...

Elle ouvre lentement les paupières. Elle aperçoit le visage de son esclave entre ses cuisses. Elle lui sourit timidement, amène sa main à lui, caresse ses cheveux avec tendresse.

"Mon petit Lucas..."

Son regard brille de compassion pour ce garçon si aimable et si serviable. Elle pose une main derrière sa tête, comme pour le guider. Elle plonge son regard dans le sien et lui adresse un sourire maternel.

"Tu fais ça très bien. Je suis fière de toi..."

La langue de son serviteur lui arrache un soupire : elle resserre l’étreinte sur son crâne, poussant la bouche du garçon à se presser carrément contre son sexe visqueux. Celui-ci réagit, lentement mais sûrement, se déploie avoir volupté, prêt à accueillir le membre viril d'un ou plusieurs mâles entre ses chairs.

"Suçote le...aah..."

Elle ferme à nouveau les yeux, se relâche. Son ventre est au paradis, et elle n'en est pas loin. De petits gémissements de plaisir non feints quittent ses lèvres, son ventre se creuse et ses cuisses se rapprochent. Sa voix est essoufflée, quand elle reprend enfin la parole :

"Ne... t'arrête... pas..."

Lucas

Créature

Le début du rapport avait été plutôt tourmenté, Maelie semblait ne pas vouloir laisser le blondinet lui faire plaisir, elle était comme dégoutée…Mais ensuite, quelque chose changea en elle. Elle se laissait faire, elle laissait la langue de Lucas lui faire du bien. Quand elle agrippa la tête de son esclave pour le regarder droit dans les yeux avec un œil protecteur, Lucas sentit son cœur fondre. Pour la première fois de sa vie on le regardait comme ça, pour la première fois de sa vie il avait l’impression…d’avoir une maman. A partir de ce moment-là, plus rien n’existait autour de lui, rien ni personne à part sa maîtresse, l’entendre dire qu’elle était fière de son travail buccale l’incita à encore plus donner de sa personne pour la faire jouir. S’il avait pu, il lui aurait sauté dessus pour aller l’embrasser, un baiser langoureux, voilà ce qu’ill aurait voulu. Il la regarda dans les yeux, une larme coulait sur sa joue…mais ce n’était pas une larme de douleur ou de tristesse non, c’était, malgré la situation,  une larme de joie. Parfois c’était dans les pires situations que l’on trouvait le bonheur…

-Maîtresse… dit-il d’une petite voix, un sourire au coin des lèvres…

Il redoubla d’effort, se remettant à la tâche qui était la sienne. Il bougea ses mains pour les mettre derrières les cuisses de Maelie et se hisser encore plus près d’elle, il voulait qu’elle jouisse, il voulait qu’elle soit fière de lui…et il voulait survivre aussi, ça serait pas mal non plus. Malgré la fatigue, il intensifia les coups de langues, il stimula plus souvent le clitoris de sa maîtresse puis, la sentant au bord de la jouissance, il enfonça sa langue aussi loin qu’il le pouvait en elle. Il alla lécher les parois intime de la succube à un rythme effréné. Le goût de la cyprine lui envahissait la bouche, la chaleur de son corps se concentrait dans  son antre à plaisir. C’était excitant, Lucas aussi commençait à devenir humide, voir sa maîtresse dans un tel état ne pouvait pas le laisser de marbre. Mais il laissait son envie de côté, il donnait tout ce qu’il pouvait malgré son état pour faire du bien à sa maîtresse…
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Maelie

Humain(e)

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    Description
    "Ce qui n'apparaît pas sur l'avatar du personnage" ;
    Eh ben...
    ♥
    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
    ♥
Elle l'aime tellement, son petit Lucas, elle l'aime encore plus maintenant, maintenant qu'il lui donne du plaisir, qu'ils goûtent cette étrange complicité. Ça n'aurait jamais du se passer ainsi, mais... maintenant que cela arrive et qu'elle a cessé de réfléchir, c'est tellement doux... elle oublierait presque tout le reste, absorbée qu'elle est par le lien qui les unit de plus en plus fermement. Le faux médecin, sa brutalité... elle n'éprouve plus vraiment de haine envers lui. Ce n'est qu'un animal, comme le sont elle et son garçon. Un animal plus violent qu'eux, certes, qu'il faudra calmer, qu'il faudra amadouer. Il est le loup et ils sont les agneaux.

"Aaah...ah...monsieur... !"

C'est ainsi qu'elle s'adresse instinctivement à cet homme : "monsieur". Elle est sur le point de craquer, son corps sera bientôt secoué par les spasmes de la jouissance. Heureusement, Lucas change de cible, délaisse son clitoris pour aller vers des zones un peu moins sensibles. Cela permet à la jeune femme de gagner du temps.

"Mon-sieur... si je jouis, je perds conscience !..."

Elle attrape Lucas par les joues et le décolle à contre-coeur de son intimité. Elle se laisse quelques bouffées d'air de répit, pour reprendre son calme, avant de parler à nouveau, reformulant ses dires pour être sûre qu'il l'ait bien comprise :

"Lorsque j'ai un orgasme... je... je m'évanouis..."

Elle tient toujours le visage de Lucas entre ses mains, à quelques centimètres de son sexe qui réclame d'être cajolé.

"Je ne pourrais plus vous satisfaire..."

Elle le regarde avec une moue où se mêlent le désir et la peur. Oui elle le veut, elle le désir autant qu'elle le craint. Chacun des gestes de ce mâle semble à la fois une menace et la promesse d'une volupté irrésistible. Elle se voit déjà empalée de force sur le membre qu'il caresse en les observant tous les deux. Cet homme n'est qu'un animal sans moral, elle le sait, il le transpire par tous ses pores, cela brille dans ses yeux. Elle veut cette bête pour elle. Elle veut ramper plus bas que terre devant lui, se soumettre à sa violence. Est-ce qu'il fera d'elle sa chose ? Est-ce qu'il la traitera mal ? Est-ce qu'il la frappera ? Est-ce qu'il prendra un plaisir irrésistible à aller et venir dans son bas-ventre ? Elle prend l'initiative de se déplacer, et rampe à reculons à la hauteur de Lucas, qu'elle recouvre de son corps, après s'être vivement débarrassée de son pantalon et de sa culotte qui entouraient encore ses chevilles. Ses jambes et ses fesses sont maintenant à nue. Allongée à plat ventre au dessus de son protégé, s'appuyant en partie sur ses coudes et ses genoux pour ne pas écraser sa petite carrure sous elle, elle laisse reposer ses hanches sur le derrière du garçon, présentant à leur maitre deux postérieurs et deux chattes humides. Elle jette un regard plein d'appréhension par dessus son épaule. Elle ignore comment la brute va réagir, mais elle veut prendre le risque. Elle ne le fait pas seulement pour satisfaire son propre instinct lubrique, elle le fait aussi pour protéger Lucas... celui-ci n'a pas à subir l'immoralité de cet homme. C'est à la succube de subir toutes les dégradations... elle fait donc rempart de son corps, d'une certaine façon.

"Je ne vous serais d'aucune utilité une fois inerte... laissez moi vous servir ! Je vous en supplie !..."

Jigoku tsūshin

Légion

Euh... Je suis en train d'halluciner là ? Je contrôle plus la maladie dans mon corps ou quoi ?... Ben si pourtant ! Eh bien comment ça se fait qu'elle prenne vraiment du plaisir aussi rapidement, sans même avoir besoin de la briser mentalement ? A moins qu'elle soit si fragile que je l'ai déjà détruite... Mais à ce point ! Elle ne voulait pas que le petit soit une victime et elle voulait faire barrage, mais là, elle accepte de bon cœur le traitement qu'il lui inflige ! Et putain, quel traitement !

L'homme avait une main occupée à se masturber tandis que l'autre était sur le fessier du jeune homme, le pouce en train de le pénétrer par l'anus. Lorsque Valentina avait commencé à parler à Dimtry en lui disant qu'il se débrouillait bien, il avait arrêté de bouger ce pouce, stoppant ainsi cette torture anale. En réalité, il était surpris de voir qu'elle aimerait ça aussi vite. Elle qui avait opposé une farouche résistance se laissait maintenant totalement faire sans qu'il ait besoin de sévir plus fortement. Apparemment, il l'avait déjà fait craquer, pour son plus grand plaisir. Elle commençait à pousser des petits gémissements de plaisir qui semblaient sincères. Elle s'était donc perdue dans le royaume de la lubricité pour éviter sa torture, ce qui était exactement ce que l'homme recherchait. Maintenant, il pourrait profiter d'elle autant qu'il le voulait, et le gamin n'allait pas tarder à la suivre. D'ailleurs, ses prévisions s'avérèrent exactes plus tôt que prévu : son antre intime commençait à s'humidifier alors qu'il donnait juste des coups de langue. Décidément, il était tombé sur deux phénomènes extra-ordinaire aujourd'hui, et il n'avait pas l'intention de les laisser partir de sitôt, de quelque façon que ce soit, par la mort ou par la fuite. Il allait les guider vers un monde où seule la lubricité comptait, pour qu'ils le satisfassent dès qu'il en a envie.

Son étonnement monta encore d'un cran lorsqu'elle s'adressa à lui :

Mon-sieur... si je jouis, je perds conscience !...
Appelle-moi Docteur, fit-il d'une voix moins ferme qu'il l'aurait voulu. A vrai dire, l'ambiance totalement lubrique commençait à le dominer aussi, et il se sentait un peu dépassé par les évènements, bien que totalement ravi.

Attend, il a bien compris ? Si elle jouit, elle sera inutilisable pour un certain temps ? C'est quoi ce délire ? En fait, elle le manipule ! Elle lui fait croire qu'elle le veut, alors qu'elle veut seulement s'épargner ! Oh non, cela ne se passera pas comme ça ! Surtout qu'elle décolle le visage de Dimtry de son intimité ! Cependant, la parole qui suivit montra qu'il s'était trompé sur toute la ligne et lui fit perdre le regard dur qu'il lui lançait :

Je ne pourrais plus vous satisfaire...

L'homme était là, la bouche légèrement entr'ouverte sous l'effet de la surprise la plus totale. Elle s'offrait à lui ? Vraiment ? Après avoir subi cette torture, après lui avoir expliqué qu'elle serait dans les pommes pendant un certain temps ? Non, il n'en croyait pas ses oreilles ! Ni même ses yeux d'ailleurs, car elle se retourna et se positionna juste au-dessus de l'adolescent, sa poitrine contre son dos, offrant un spectacle de toute beauté au Docteur, qui en avait retiré son doigt de l'anus de Dimtry sans même s'en rendre compte. La salope...

Je ne vous serais d'aucune utilité une fois inerte... laissez moi vous servir ! Je vous en supplie !...

Il secoua la tête pour reprendre ses esprits. Ce n'était pas le moment de se laisser aller, il avait deux personnes s'offrant à lui juste à portée de bite ! Certes l'intimité de la femme semblait plus accueillante et dégoulinante de jus intime, mais celle du jeune adolescent le captivait beaucoup plus, si bien qu'il hésitait encore sur l'intimité à posséder en premier. Grâce à la maladie qu'il s'est inoculée, l'homme avait un certain contrôle sur son corps, si bien qu'il pouvait gérer assez bien le flux sanguin passant dans son pénis, si bien que, lors d'une éjaculation, il pouvait garder son érection. Et il n'allait pas se priver ! Le spectacle était trop joli !

Je vois... fit-il assez difficilement. Quand j'en aurais fini avec vous, vous serez morts de plaisir !

Certes il ne le pensait pas une seconde, car il craquerait bien avant les deux autres. Son envie semblait proche de son paroxysme, et il ne pouvait plus vraiment contrôler cette main qui le branlait frénétiquement, si bien qu'il semblait presque au bord de la jouissance. Il retira fébrilement son pantalon ainsi que son sous-vêtement, sans même prendre la peine d'enlever les chaussures de facture terrienne qu'il portait aux pieds et se positionna devant la croupe des deux jeunes gens. Devant lui, il y avait quatre trous, et il plongea sa tige dans le premier qu'il avait remarqué, soit le vagin de l'adolescent. Pour cela, il avait dû relever légèrement le fessier de son amante, ainsi que celui de Dimtry pour que la pénétration soit plus aisée.

Aaaaahhhh... Putain, que c'est BON ! gémit-il. Depuis le temps que tu me nargues toi...

Il commença de rapides vas-et-viens au fond de cette intimité contre-nature, sans pouvoir vraiment se contrôler. Ses coups de reins étaient puissants, et s'enfonçaient le plus loin possible, faisant claquer son bassin contre celui de sa proie, le tenant d'une main par la hanche pour pas qu'il soit poussé. En parallèle, il plongea deux doigts dans l'intimité ruisselante de la femme au-dessus, recueillant ainsi son précieux liquide qu'il utilisait ensuite pour dilater l'anus de Valentina. Il répéta cette action plusieurs fois, ses doigts s'enfonçant de plus en plus loin dans son fondement, jusqu'à ce qu'il réussisse à y insérer un troisième.

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Lucas

Créature

Lucas avait suffisamment d’expérience pour sentir une jouissance proche, et là tous ses sens lui criaient que sa maîtresse allait craquer…Mais soudain il senti les mains de cette dernière lui agripper les joues et l’éloigner de son intimité dégoulinante. Que lui arrivait-il ? Lucas avait il fait quelque chose qui lui avait déplu ? Son questionnement fut interrompu par les paroles de la succube. Elle perdait connaissance lors d’un orgasme ? Était-ce vrai ? Pourquoi pas après tout, le jeune loup garou avec déjà vu des choses plus bizarres dans ce monde…En parlant de bizarre, l’attitude de sa maîtresse le déstabilisa un peu, elle semblait aimer ça, elle semblait apprécier la situation et en redemandait alors qu’un évanouissement aurait pu lui épargner bien des mauvais traitements…Elle allait jusqu’à le supplier et se mettre au-dessus de Lucas. Le blondinet, assujetti au mimétisme avec les maîtres qu’il appréciait, commença donc à aussi se complaire dans cette posture soumise…

Malgré les supplications de Maelie, c’est Lucas qui fut choisi par le charlatan comme premier réceptacle pour sa virilité. Lors de son entrée l’adolescent ne put retenir un gémissement de plaisir, qui fut suivit par ses copains quand le mage enchaîna les allers retours en lui. Ainsi il ne pouvait pas voir ce qui se passait allongé comme il l’était, il ne pouvait que sentir, que subir, il n’était qu’une chose comme il l’avait toujours été. Cependant, il n’avait pas le coté soumis dans ses gènes, il n’était pas une succube. L’homme le dégouttait même si la situation en elle-même ne lui déplaisait pas vraiment. Oui il était paradoxale dans sa pensée, pour lui la situation n’était plus catastrophique car sa maîtresse aimait ce qui se passait, mais l’homme le dégouttait toujours, il lui en voulait  d’avoir fait du mal à Maelie. Le blondinet profita du fait qu’il ne voyait rien pour penser à elle pendant la pénétration. Il imaginait que c’était elle qui lui faisait du bien, elle qui le pénétrait sauvagement. Il sentait les gouttes de cyprines tomber depuis l’intimité de la succube jusqu’à ses fesses, c’était chaud, c’était excitant.

Peut-être qu’à partir de maintenant, elle accepterait qu’il lui fasse du bien…enfin, s’ils  sortaient vivant de cette scène absolument improbable.  Il avait envie de crier, de crier le nom de sa maîtresse mais il ne voulait pas donner une raison à leur ravisseur de se plaindre…En conséquence il ne disait rien, il se contentait de gémir, d’apprécier en se mordant la lèvre inférieure.
Fiche de Lucas
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Maelie

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Finalement, c'est Lucas qui se retrouve pénétré. Finalement, elle n'arrive plus à se dire qu'elle le plain, qu'elle aurait du le protéger... elle l'envie, tout simplement. Elle aussi, elle aurait voulu être prise ainsi... Elle espère qu'il aime ce qui lui arrive. Elle lui apprendra à apprécier, s'il le faut, même si il doit avoir, au fond, plus d'expérience qu'elle. Il n'y a pas de raison qu'il ne puisse pas se sentir bien ainsi... Maelie ne connait rien de plus grisant. Elle pose ses lèvres sur la joue de l'enfant et l'embrasse avec douceur.

Une pression sur ses lèvres, la sensation de deux doigts qui s'enfoncent entre ses muqueuses... elle pousse un petit grognement de plaisir. Les doigts remuent un peu en elle, pour sortir immédiatement... et déposer son fluide sur son anus, humidifier l'entrée, s'y glisser... elle se raidit un peu, d'anxiété. Soudain, elle se remet à avoir peur. Peur qu'il décide soudain d'être brutal, de lui faire mal. Il pourrait lui faire mal avec tellement de facilité, à cet endroit... Mais il est étrangement doux. Il s'enfonce à peine, retourne au vagin de la succube pour se lubrifier à nouveau les doigts. Il passe encore la barrière se son sphincter ; celui-ci s'écarte sans résistance, ou presque. Un soupir de délectation quitte les lèvres de la victime. Plusieurs fois, les doigts se retirent, pour reprendre du miel, et chaque fois qu'ils pénètrent à nouveau son petit trou, la jeune fille s'en trouve plus conquise. Chaque fois, il s'enfonce un peu plus loin, la dégrade un peu plus, et elle lève un plus plus son derrière, écarte un peu plus ses fesses l'une de l'autre. Un troisième doigt vient élargir l'orifice, lui causant une légère douleur ; elle s'efforcer à rester détendue. Très vite, cette douleur disparait : ne reste plus, encore et toujours ,que la délicieuse certitude d'être soumise à la volonté d'un autre, de n'avoir plus rien à défendre, de n'être plus qu'un jouet obéissant. Elle pousse un long soupire rauque, venu du fond de la gorge, en creusant le dos. Elle amène sa main derrière elle, la pose sur l'avant bras de son maitre, où elle trace des arabesques du bout des doigts, laissant parfois ses ongles, taquins, glisser sur la peau. Son regard plein de dévotion cherche celui du médecin, avide de reconnaissance.

Quant à Lucas... elle le sens vibrer sous elle, elle le sent respirer de plus en plus fort, elle entend ses gémissements. Elle lâche le regard de son violeur pour ramener son visage près de celui du garçon, dont elle mordille gentillement l'oreille. Elle se sent si proche de lui, ainsi... lui aussi s'abandonne un peu, sous les coups de reins précipité de ce mâle, pénétré à répétition par ce membre vigoureux. Elle embrasse son visage comme une affamée, descend ses lèvres dans le cou du petit, aspire la peau dans un suçon passionné. Elle veut le voir jouir ! Une de ses mains va se promener sur le flan du jeune garçon, dont elle caresse les côtes du bout des doigts. Elle se glisse dans le creux de sa taille, sensuellement.

"Laisse toi aller..." Lui chuchotte-t-elle à l'oreille.

Immédiatement après, sa langue petite langue rose jaillit et vient caresser le cou et la nuque de Lucas. Celui-ci peut sentir le souffle de la succube glisser sur lui au gré de sa respiration bruyante et imprévisible.


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