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Inoxydables [Iron Girl] [Terminé !]

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Iron Girl

Humain(e)

Re : Inoxydables [Iron Girl]

Réponse 105 lundi 21 novembre 2016, 23:11:43

Des seins, Drake remonta aux lèvres, et elle le suivit. Plus besoin de parler, l’attraction naturelle des corps suffisait. Que Drake soit privé de ses jambes ne changeait rien à ce langage naturel, ces mots qui n’avaient pas besoin d’idiome pour se parler, mais simplement d’une langue. Ils s’embrassèrent, ses seins s’enfonçant contre son torse, une main en appui sur son épaule, le sexe raidi de l’homme se redressant entre leurs ventres, coincé entre les corps, remuant. Elle pouvait le sentir, heurtant son nombril, s’en délectant, scellant sa bouche contre la sienne. Ensemble, ils étaient sur le point de fusionner, s’offrant les dernières caresses, soufflant les dernières braises avant que le feu n’éclate. Elle sentit l’homme la soulever, et se laissa faire. C’était elle qui rythmait les ébats, par sa passivité complice. Sans ses jambes, Drake ne pouvait rien faire sans l’accord de sa partenaire, et il lui suffisait de planter ses yeux dans ceux de la femme pour se rassurer. Rachel était en effet entièrement consentante, son regard n’exprimant plus que du désir, de l’envie, de l’attirance, du plaisir. Le sexe avait repoussé les doutes aux confins de sa psyché, dans des replis inaccessibles, et elle se laissait maintenant absorber dans la spirale.

C’est de cette manière qu’elle se redressa. Elle avait senti ce mât, en avait caressé les flancs, perçu les contours avec sa chair. Son corps se redressa donc, glissant le long de cette hampe, jusqu’à se dresser, quelques centimètres au-dessus. L’aimant l’attira ensuite, et, d’un mouvement des hanches, elle descendit. Ses lèvres sentirent la bosse se rapprocher, et l’abeille butina la fleur, enfonçant son dard, le plantant en elle pour en récolter la sève. Quand le vit de l’homme heurta son trou, Rachel sentit un frisson la traverser, comme un choc électrique, et tous ses muscles se bandèrent pendant quelques secondes, sa tête se redressant silencieusement, ses lèvres se serrant, laissant néanmoins s’échapper un gémissement ténu. Elle replaça ensuite son visage, les joues légèrement rouges, et, maintenant qu’elle avait chanté, dansa.

Une danse simple, avec peu de mouvements, une chorégraphie en deux temps, mais une danse ô combien épuisante, de cette danse qui vous prenait aux tripes, et puisait dans toutes vos forces. Elle soupirait, elle haletait, fermant les yeux, mains s’appuyant sur les épaules de l’homme. Cette fois, c’était entièrement à elle d’agir. Et, comme on pouvait s’y attendre, avoir le rôle actif ne la dérangeait nullement. Elle sentait ce mandrin se perdre en elle, confortablement niché, et elle s’empalait dessus, descendant aussi loin que possible, ne pouvant retenir ses cris et ses soupirs quand le membre tapait dans les profondeurs de son vagin.

« Hmmmm... Haaaaaaa... Haaaaaaaaaaaannn... !! »

Rien d’autre à dire, elle s’enfonçait, recouvrant le sexe de sa mouille, témoignant ainsi de son bonheur. Ses mains remontèrent, tout comme son corps, et elle les posa sur la nuque de l’homme, et serra dessus, enfouissant sa tête dans le creux de ses seins. Encore, Rachel gémissait, multipliant les mouvements. Elle ne parlait pas, gémissait, laissant son corps exprimer tout el plaisir qu’elle ressentait. Drake et elle le faisaient enfin. L’amour. L’alchimie naturelle des corps. Là, dans ce centre de soin perdu dans les montagnes, Rachel se laissait faire, s’abandonnait à lui et à cette vague qui l’emportait.

Et Drake fut effectivement aux premières loges pour assister à son orgasme, qui la traversa comme un éclair, ses lèvres se figeant dans un puissant cri de plaisir.
DC d’Alice Korvander.

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Drake Noventa

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Paraplégique et coincé dans son fauteuil roulant, Drake était auparavant une star des sports extrêmes et fils d'entrepreneur en cybernétique. Aujourd'hui agent de terrain du SHIELD, il possède une armure similaire (mais inférieure) à celle d'Iron Man. Publiquement, le jeune homme oeuvre au développement et à la promotion d'exosquelettes d'aide aux handicapés destinés à l'usage du plus grand nombre, les MetalBones.

Re : Inoxydables [Iron Girl]

Réponse 106 mardi 22 novembre 2016, 11:59:16

Je fus plus long à jouir qu'elle, mais cela ne me posa aucun souci de conscience. Bien que j'aurai préféré me montrer romantique du début à la fin et finir cette puissante étreinte intime sur l'exacte note qui faisait vibrer ma partenaire, mon corps continuait de gérer les informations de la partie basse avec du retard. Est-ce que ça importait tellement, finalement ? Je ne serai plus l'amant d'autrefois et pourtant, je ressentais nettement tout le plaisir que Rachel prenait à aller et venir sur le pieu tendu qui la pourfendait de ses centimètres rudes et roides. De mes mains sur elle, de son corps pressé contre le mien, je sentais chacun des tressaillements qui l'agitait alors qu'elle s'activait à se donner du plaisir sur le pal de chair que son creuset trempé engloutissait avec appétit. Je sentais ses frissons, je sentais la tension de ses muscles et la dureté de ses tétons érigés qui frottaient indécemment contre mon buste alors qu'elle allait et venait. Si j'avais eu à me préoccuper des signaux envoyés par ma queue ou seulement de ma performance, aurai-je eu le loisir de la décrypter ainsi ? De ma place, je saisissais le mouvement qui lui plaisait, le rythme qu'elle préférait, la façon que j'avais de la caresser qui l'amenait au mieux au bord de la jouissance.

Et elle vint. Brutale, la vague de l'orgasme ravagea ses sens et la fit crier son plaisir dans toute la salle de bain. Son être se raidit entre mes mains, sa matrice se resserra très certainement sur le vit qui l'avait labourée jusque là, ses mains se crispèrent sur ma nuque. Figée par le plaisir, Hawkes me maintenait délicieusement la tête contre sa poitrine, m'offrant le plaisir d'écouter son coeur secoué par l'effort et sa respiration lourde de désir. Mon sourire s'étendit et je récupérais ses fesses dans mes paumes pour la faire monter et descendre sur mon dard encore vaillant. De haut en bas, je donnais de la force de mes bras pour que la belle coulisse sur la queue qui envahissait ses entrailles jusqu'à ce que les réflexes fassent le reste.

J'en vins à jouir, je crois. L'ogive qui surmontait ma queue cracha son méat génétique au plus profond des reins de Rachel et je le ressentis plus que je ne le sus réellement, comme une sorte de sixième sens de l'instant. Néanmoins, mon cerveau traita l'information en se contentant de me donner un imposant sentiment de satisfaction qui calma toutes mes appréhensions et se substitua au contentement très particulier de l'orgasme. Hélas ! Cela n'aurait plus jamais la même saveur. Pour autant, j'étais repus. La vie pouvait être étrange.... et le cerveau aussi.
Quant à Rachel, elle pouvait être sûre de ses talents amoureux : faire jouir un homme qui ne ressentait même pas la présence de son propre sexe devait être un exploit en soi. Un talent fou que celui de cette militaire qui reposait contre moi, toujours dans les nuages cotonneux de la jouissance.

Je ne dis rien, me laissant simplement reposer sur le rebord qui me maintenait assis. Je profitais de cette proximité, de la soudure intime et moite de nos bassins. Mes mains caressaient tendrement la croupe ronde de Rachel et mes lèvres déposaient de petits baisers sur la naissance de ses seins, dans lesquels je décidais de m'enfouir un instant pour profiter de la chaleur de son buste et de la proximité inédite que nous partagions.
Je n'avais aucune envie de sortir de ce bain, ni de quitter ce petit centre de soins niché au milieu de nulle part. Retrouver la vraie vie et ses problèmes ne me tentait pas trop... Je préférais de loin rester à baigner là, dans cette illusion de vie idéal. Qui sait ce qui nous attendrait lorsque nous serions d'attaque ?
Beaucoup de choses, probablement. Pas forcément des bonnes.


- Et si on prenait des vacances ?, glissai-je dans un murmure quand je sentais que le moment s'y prêtait. Tu sais, le truc de luxe. 'Faut bien qu'être un gosse de riche serve, et j'irai bien me faire bronzer quelque part où la mer est bleue et les maillots terriblement réduits côté tissu.

Je laissais filer un rire et relevais la tête pour l'embrasser tendrement. Plutôt que de faire des plans sur la comète, autant profiter de la chance que nous avions pour le moment, après tout.

Iron Girl

Humain(e)

Re : Inoxydables [Iron Girl]

Réponse 107 mardi 22 novembre 2016, 14:10:28

« Ce genre de technologies, ce n’est jamais bon, vous savez... Rappelez-vous le virus Extremis, et les conséquences désastreuses que ça a eu. Le contrôle, Daisy, ce n’est pas une forme de dictature, tant décriée par tous ces bobos gauchistes qui se croient en situation perpétuelle de lutte des classes. Le contrôle, c’est le meilleur moyen de lutter contre le chaos et contre l’anarchie. Pour toutes ces raisons, ce MoP, qui n’est rien d’autre, finalement, qu’un Extremis amélioré, doit disparaître. »

Nick revenait encore sur cette histoire, et Daisy le laissa parler. Elle savait que Fury radotait. C’était compréhensible, vu que le Fury à qui elle parlait n’était pas le Fury qu’elle avait connu. D’un autre côté, il avait raison. Les similitudes entre le Metal of Puppets et Extremis, le virus biotechnologique conçu par l’une des filiales de Stark Industries, FuturePharm, étaient tellement probantes qu’on pouvait se demander si Tanaka n’avait pas utilisé les recherches sur Extremis pour concevoir le MoP. Extremis était un virus utilisant la nanotechnologie pour modifier les capacités des gens. Tony avait utilisé sur lui la première version de ce virus, et avait obtenu un état de synchronisme total avec le monde de la machine. Il était devenu totalement connecté à tous les réseaux électroniques du monde, ce qui avait eu pour conséquence qu’il se faisait pirater en dormant sans le réaliser.

« Je suis d’accord, Monsieur, mais la question n’est pas que ça... Il faut retrouver Le Bricoleur.
 -  La situation est compliquée... Il n’y a pas que la Latvérie en jeu. Tout ça... Je ne sais pas, j’ai l’impression que ce n’est qu’une diversion. Nous avons attaqué par deux fois le château de Fatalis, en tout, et, à chaque fois, il n’était pas là, nous laissant son Medvedev local. L’important, ce n’est pas Le Bricoleur, mais de découvrir ce que Fatalis veut. »

Il y a quelques temps, Uatu avait été tué. Uatu, le Watcher, le représentant d’une race extraterrestre très ancienne et très puissante, qui avait choisi de ne pas intervenir dans les affaires politiques des civilisations jugées inférieures. Un choix motivé par l’action du père de Uatu, qui, en voulant aider une planète à résoudre ses conflits internes, leur avait confié des technologies trop évoluées pour cette planète, qui s’était autodétruite par la suite. Uatu, donc, était venu étudier ce qui se passait sur Terre, en s’installant dans la Lune, et avait été tué, et même énuclée. Son œil avait été volé par des méta-criminels de second rang, comme Docteur Midas, mais ceux-ci n’avaient fait que profiter du véritable meurtre, qui avait été commis par... Nick Fury.

En punition pour ce meurtre, Nick avait été pris par les autres Watchers. L’homme se tenant face à elle n’était donc pas l’originel Fury, et Daisy le savait. De fait, elle n’avait jamais parlé avec le vrai Fury, mais toujours avec des LMD de lui. Le vrai Fury, depuis des années, se trouvait dans une station spatiale, à subir les affres de la vieillesse. Ce que Daisy avait fait, c’était récupérer un LMD, afin d’avoir son propre conseiller. Son Nick Fury croyait être le vrai. Un choix spécial, mais Daisy se le justifiait.

*Fury a toujours eu deux coups d’avance...*

Et elle, elle avait le sentiment d’avoir deux trains de retard. Les dossiers s’empilaient en ce moment, avec un dénominateur commun : Seikusu. Il n’y avait pas que Tanaka et Le Bricoleur, il y avait aussi ces clones tueurs de Wolverine, cette X-23, tout ce trafic de super-armes venant, là aussi, de Seikusu, et qui remontait jusqu’à des villes comme Gotham City... En bref, Daisy avait le net sentiment que quelque chose lui échappait, et c’était pour ça qu’elle avait décidé de réactiver ce LMD.

Mais, pour l’heure, il fallait bien reconnaître que cette machine ne l’aidait pas beaucoup...



Rachel se mit à esquisser un léger sourire, mains posées sur les joues de l’homme, en sentant ce dernier se perdre en elle. Si lui croyait juste avoir joui, Rachel, elle, en fut sûre. Après tout, elle était aux premières loges, et, si un homme pouvait se tromper sur l’orgasme de sa partenaire, l’inverse était plus difficile. Quand l’homme atteignait le sommet de sa montagne, il en redescendait rapidement dans la foulée, dégonflant comme un ballon de baudruche qui subirait d’un coup un trop-plein d’hélium, et éclaterait en plein vol. Elle sentit donc Drake éclater entre ses cuisses, se relâchant en elle, puis son corps se décrispa ensuite. Elle-même, n’en doutons pas, avait gratifié Rachel de son nectar, sa fine fleur ayant laissé ses pétales se déployer.

L’eau, elle, indifférente à leurs ébats, bouillonnait encore autour d’eux, leur température corporelle ayant subitement cru de plusieurs degrés. De la sueur coulait ainsi le long du front de Rachel, qui haletait lourdement. Des gouttes glissaient le long de ses seins, et elle sourit quand Drake lui proposa de prendre des vacances.

« Ah... Je croyais que nous les prenions déjà, ici... »

Elle lui sourit, et l’embrassa à nouveau. Rachel, prendre des vacances... Mais bon, comme elle venait de faire l’amour, et même une tentative d’humour, on pouvait se mettre à croire à l’impossible. Le baiser se rompit ensuite, et elle sourit, restant proche de l’homme.

« On verra... Tu sais que les Hawkes ne prennent jamais de vacances... Mais peut-être que tu arriveras à me convaincre... »

Quand on était un Hawkes, on croyait fermement au réel, et on l’affrontait avec la rigueur d’un militaire.

Visiblement, quand on était un Noventa, on croyait à l’impossible, et on faisait tout ce qu’on pouvait pour le rendre réel. Et, aujourd’hui, en ce moment précis, dans ce jacuzzi, le rêve et le réel venaient de s’être rejoints. Alors, autant en profiter, pour le temps que cela durerait...






Épilogue
Château Latvérie


Toute une partie du château était dissimulée par d’épais échafaudages et par une série de grues, d’ouvriers, et de machines, s’affairant à réparer le château après son effondrement partiel. Le long des coursives du château, une tablette graphique à la main, Lucia avançait, commentant l’état des réparations devant son hôte, qui semblait s’en désintéresser totalement. Remarquant cela, Von Bardas changea rapidement de sujet.

« Le professeur Tanaka se trouve dans l’une des prisons de haute-sécurité du S.H.I.E.L.D., probablement la prison Needle, au large du Japon...
 -  Laissons ces guignols du S.H.I.E.L.D. s’amuser avec Tanaka et ses inventions grotesques, le coupa brutalement l’homme. L’important est de m’assurer qu’elle n’a pas été endommagée par tout ce désordre.
 -  Les signes biologiques n’ont pas évolué, son caisson est isolé du reste de...
 -  Je le sais. »

Elle ne dit rien de plus, et le duo s’approcha d’un étroit escalier en colimaçon. Un escalier d’un type très médiéval, qu’ils descendirent pesamment, jusqu’à rejoindre un couloir sombre, grisâtre et métallique. Dès que le pied de Lucia se posa sur le sol, des néons se mirent à bourdonner, et s’allumèrent dans les coins, éclairant le chemin jusqu’à une lourde porte. Elle laissa son hôte s’avancer, ses pas claquant durement sur le sol métallique, et il se pencha vers un dispositif de sécurité situé contre la porte, et y apposa son œil.

Dans un vrombissement, la lourde porte s’ouvrit alors, et Fatalis pénétra dans son laboratoire, avisant rapidement le caisson se trouvant en son centre. Il alla se positionner sur un moniteur situé devant le caisson, et pianota rapidement dessus, juste pour s’assurer que les signes vitaux de son bébé réagissaient bien.

« Bien... Elle est en vie. Bientôt, elle sera prête... Fatalis compte sur vous, androïde, pour vous assurer de son prompt rétablissement. »

Lucia Von Bardas, ou, plutôt, le LMD ayant l’apparence et la personnalité de Lucia Von Bardas, hocha la tête.

« Mais... Vous repartez déjà, Maître ?
 -  Fatalis se désintéresse de ces inepties. »

Il ouvrit sa main, et une image s’en éleva, tridimensionnelle, montrant une silhouette fine et élancée, à l’ombre de la terrasse d’un café. Lucia écarquilla les yeux.

« Mais c’est...
 -  Bientôt, toutes ces histoires seront sans intérêt. Bientôt, la Life Force sera enfin à moi... »

Car Fatalis avait enfin retrouvé celle qu’il cherchait depuis tant de mois, la consécration d'un projet entamé il y a des années, quand elle était venue le voir afin de solliciter son aide pour qu'elle obtienne ses enfants. Là, sous ses yeux, flottait la silhouette de Wanda Maximoff, et la promesse de son brillant futur.




FIN (?)
DC d’Alice Korvander.

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