Une vierge non dressée?

Comme toujours dans la ville de Nexus, j'avancais dans les estrades d'esclaves sans pour autant trouver mon bonheur. Certes, je disais des prix de temps en temps...
Sur des Terranides ou des hommes afin d'en aspirer l'essence vitale sans qu'ils ne puissent rechigner, et des femmes, avec lesquelles je jouais jusqu'à les briser pour le sexe, et ensuite je les offrais au bar du coin des bas fonds. Certaines disparaîssent, reprenant leurs esprit tant bien que mal, sachant qu'elles ont été soumises à plus forte et qu'elle ne résisteraient bien lontemps si elles reviennent vers moi. Les plus audacieuses ont créé elles aussi un bar à fille de joie. Elles ne me font pas concurrence, bien au contraire, je reçois des visites même la nuit. Hereusement que l'énergie vitale emmagasinée me permet de résister au sommeil excessivement longtemps.

Aujourd'hui, je voulais une esclave particulière. Une qui ne soit pas dressée. ça ne manque pas parmi les terranides ou les terrans, mais ceux là sont faciles... Quel pourrait être mon élue?  L'estrade suivante avat du monde qui s'accummulait. à en juger par les tenues, il n'y avait pas beaucoup de "Nobles"... Il faut dire qu'après avoir vidé leurs portefeuille, il ne restait plus des nobles que le corps et non l'argent.

Cette humaine avait le mérite d'être belle, avec ses cheveux d'argent et ses belles courbes. elle n'était que menottée, mais semblait ne pas vouloir fuir. Savait elle que de nombreux esclavagistes n'attendent qu'une tentative de fuite pour te rosser, ou était elle inconsciente de son état?
Elle avait réussi à attirer mon attention... Ce serait elle que j'aurais aujourd'hui... Mais quel était le prix?

HRP (je te laisse le soin de faire parler l'esclavagiste)

La jeune humaine était assise en retrait, voyant les autres femmes, hommes et créature s’avancer à leur tour au fur et à mesure des enchères qui se terminèrent. Sayana avait encore du mal à comprendre ce qu’il lui était arrivé. Elle se revoyait encore la veille dans sa chambre, assise à se demander combien de temps son cauchemar allait encore durer et là … A son réveil, elle s’était retrouvée dans une cellule encore plus froide que sa propre chambre, les mains menottées dans son dos en une matière des plus résistante encore plus que la matière du cristal même. Elle ne pouvait qu’obéir de force malgré ses résistances pour qu’on la laisse tranquille.
Elle se remémora un instant son triste passé. Les seuls moments où elle était bien était lors de ses missions en salle d’émulation qui avaient tous été réussis avec brio. Où tout ceux qui la voyaient grandir depuis sa naissance la félicitèrent et observèrent son évolution avec fascination. Elle se rappela aussi de ce jour où tout à basculer. Où ses « éducateurs » lui avaient refusés de lui montrer le monde dans lequel elle avait vu le jour. Le jour où sa colère s’est réellement manifesté presque comme une autre personnalité.
Elle ouvra doucement les yeux et leva son regard, elle observa un humain fort âgé s’approcher d’elle. Celui-ci la regardait avec perversité et envie. Il saisit du bout de ses doigts crépus la corde qui reliait ses menottes et son collier de sécurité que l’esclavagiste lui avait fournis à son arrivé.

- c’est à ton tour ma petite vierge, je suis sur que plus d’un noble sera intéressé par ta beauté …, Disait-il avec un grand sourire narquois aux lèvres. Allez ! Debout !

Il tira fortement sur la corde et força ainsi la jeune adulte à se lever. Il l’amena alors sur le podium. Sayana fronça fortement ses sourcils sous la lumière qui éblouit ses yeux avant de s’y habitué après quelques secondes. Son regard se posa sur la foule qui siffla à sa vue. Elle était étonnée de voir autant de monde en un seul endroit et autant de race et d’ethnie en un seul lieu également. Elle posa son regard ensuite au-delà de la foule, elle observait pour la première fois les bâtiments de cette cité qui lui était inconnue. Ses yeux turquoise luisaient au soleil rendant ses yeux encore plus magnifique, laissant sortir la couleur verte fluorescente de la mako qui baignait dans ses veines d’avantages ce qui rendu un beau jeu de couleur entre le turquoise et la fine touche de vert.

- L’esclave suivante est une humaine de sexe féminin aux origines extra Terran ! Cette petite fleur qui ne demande qu’à être adopté  a fêté ses vingt printemps il y a très peu de temps ! Comme vous pouvez le constater ses cheveux sont unique en son genre et de ce fait très rare … il s’agit d’un blond platine … Cette femme d’un mètre soixante-quinze possède un petit plus qui, je suis sur, ravira la plus part d’entre vous et c’est ce qui fera augmenter les enchères ! J’en suis persuadé ! Cette jeune humaine est une chair fraiche et vierge de toute relation en tout genre … C’est pourquoi les enchères s’élèves à plus de mille pièce d’or !

Les spectateurs se mirent à parler et les premières offres tombèrent. Après à peine cinq minutes, la jeune adulte était déjà montée au prix de six milles pièce d’or. L’esclavagiste était déjà plus que satisfait de voir les enchères monter d’une façon si remarquable. Sayana quant à elle observa la foule étonnée avant de froncer les sourcils. Des enchères ? Elle ne voulait pas d’un maitre, elle ne voulait pas revivre ce même scénario. Ce même emprisonnement sans pouvoirs observé le monde extérieur mais elle se ravisa de se rebeller. Elle se sentait faible, elle n’avait plus mangé depuis plusieurs jours, elle manquait de force. Elle ne pouvait qu’attendre que les enchères sur sa personne se termine et d’espérer que son futur maitre ou maitresse lui laisserait la chance d’être un peu plus libre que de servir de chien ou de jouet toute sa vie.

HRP - J'avais fait une exquisse de paroles à l'esclavagiste avant de l'effacer et ton prix était 10 fois plus petit XD remarque: normalement, le fait que tu ne soit pas dressée diminue un peu ta valeur.

Ainsi, l'esclavagiste procédait à la prévente

- L’esclave suivante est une humaine de sexe féminin aux origines extra Terran ! Cette petite fleur qui ne demande qu’à être adopté  a fêté ses vingt printemps il y a très peu de temps ! Comme vous pouvez le constater ses cheveux sont unique en son genre et de ce fait très rare … il s’agit d’un blond platine … Cette femme d’un mètre soixante-quinze possède un petit plus qui, je suis sur, ravira la plus part d’entre vous et c’est ce qui fera augmenter les enchères ! J’en suis persuadé ! Cette jeune humaine est une chair fraiche et vierge de toute relation en tout genre … C’est pourquoi les enchères s’élèves à plus de mille pièce d’or !

Hmm. ~~ Une vierge. J'en avait déjà eu une à souiller, mais après tout, qui ne résiste pas à poser son pied sur de la neige sans traces afin d'y laisser sa marque?  Certes, comparer des vierges à de la neige, c'est blanc, mais l'idée est là.
Et non, je ne crois pas que ce ne soit que moi, vu que le prix pour une vierge est plus important que le reste.

Les enchères montaient lentement et semblaient se stabiliser sur six milles pièces d'Or- six cents pièces de platines. C'est qu'elle allait couter aussi cher que Slimia. Pourtant, on ne peut avoir de comparaison envers une humaine, aussi belle soit elle, à un slime- qui plus est une slime tout à fait perverse ~~~~♥  Une chose est sûre, je noublierais pas cette journée là. ♥

Il était temps pour moi de taper un grand coup de pied dans les enchères... (This is SPARTAA!)
- 10000 pièces d'or.

bang! quatre mille de plus dans les dents, ça coupais le sifflet à plus d'un, et aucun pour remettre autant afin d'accrocher, car oui, ce qu'il faut surtout pas faire en enchère, c'est surencherir de 10 pièces d'or alors que le précédent à fait plus de mille . C'est débile. Et comme personne ne va ou ne peux surencherir à 15000 (ce serait plus qu'une slime.)

Un temps... Deux temps... Et le troisième temps tombe.
- Adjugé pour la kitsune en noir. Félicitation.

Fière d'avoir vaincu la foule, je pouvais librement accéder aux coulisses des esclavagiste afin de rendre l'argent et de posséder la petite.
- Bien, mademoiselle, c'est une belle acquisition que vous avez là. Je vous demanderais la somme de suite. Elle est en revanche assez peu dressée.
- En ce cas, le prix aurait du être plus bas, non?
- Hem....
- Ce n'est pas grave, je la dresserais selon mon bon vouloir.

Puis vient le moment du porte monnaie que je vous passe afin d'éviter de vous endormir.
- Le compte est bon. Elle est à vous.

On me présente donc à la femme qui est officiellement mienne.
- Bien. Je suis ta maitresse dès à présent, je me nomme Ahri. Nous allons directement rentrer pour ... discutter quelques temps.

L'invitant à m'approcher de la main et d'une queue qui se glisse dans son dos, nous avançons lentement. Si elle peut parler, elle pourra poser des question sur la route.

Une fois l’enchère terminée, elle retourna dans les coulisses et attendit plusieurs longues minutes avant que l’esclavagiste vienne la chercher pour l’amener à sa nouvelle propriétaire. Sayana regarda l’esclavagiste puis la jeune Kitsune noir. Elle était un peu étonnée elle s’attendait plus à … un homme en réalité. Elle ne s’inquiétait pas pour autant, elle pensa sur l’instant qu’elle allait devenir une sorte de cendrillon, une bonne à tout faire devant obéir aux ordres et effectuer les tâches les plus ingrates bien que ce rôle ne lui plaisait pas du tout. Il faut dire aussi qu’entre nettoyer une maison qu’elle n’avait jamais faite et ses séances d’entrainement intensif … Qu’il y avait une bien grande différence !


- Bien. Je suis ta maitresse dès à présent, je me nomme Ahri. Nous allons directement rentrer pour ... discuter quelques temps.


Discuter quelques temps ? Sayana était bien étonnée de cette réponse. Qu’est-ce que cela pouvait signifier ? Elle pensa un instant à une possibilité de liberté. Mais la jeune adulte restait néanmoins sur ses gardes, elle se disait que ce serait trop facile comme situation. Ses anciens « propriétaire » l’avait déjà enfermé parce que elle était spécial, différente, hors du commun des autres humains … Alors de quoi voulait-elle parler ? Sayana se le demandait bien …
Elle finit par s’en approcher bien obliger après tout, elle était encore ligotée aux mains … Sayana frissonna en sentant la main de la kitsune et sa queue frôlant son dos. Elle était nerveuse et s’était compréhensible. Elle venait d’un autre monde et n’a jamais connue le monde extérieur.

Sayana suivit Ahri qui se dirigeait sans aucun doute sur le chemin de son domicile. Elle réfléchissait à toutes les questions qu’elle pouvait lui poser. Ils parlaient la même langue c’était une chance ! Qu’est-ce que cela aurait pu donner si les deux filles n’avaient pas la même base pour la communication ?
Elle osa tout de même poser plusieurs questions.

- Pourquoi vous m’avez choisie ? Qu’est-ce que vous attendez de moi ? Quel sort allez-vous me réserver ? … Et puis … Quel est votre nom ? Qu’est-ce que vous êtes exactement ?

- Bien. Je suis ta maitresse dès à présent, je me nomme Ahri. Nous allons directement rentrer pour ... discuter quelques temps.

En réalité de discussion, J'allais lui expliquer ce que je voulais d'elle... avec force détail, puis du résultat qui allait en suivre, à savoir si elle tombe sous ma luxure de devenir mienne, servante assez libre, plus qu'un autre esclave, mais dont le corps serais pour mi utilisable à souhait, soit elle tiendrait le cap et serais purement libre, en laissant sur elle une marque indélébile.
Mais avant, je voulaits un peu savoir d'ou elle venait exactement. Extra-terran... Si c'est comme ceux de la météorite, j'allais un peu me méfier d'elle... Même si ça n'enleveris pas grand chose au faits, j'allais quand même jouer avec.

La foule était présente mais éparse, pour une fois à la place centrale. D'ordinaire, la foule va de gauche à droite suivant le héraut esclavagiste qui clame la meilleure esclave ou autres, ici, tous étaient à des endroit différents, massacre pourles esclavagiste puisque l'enchère est d'une personne unique, personne ne surencherit.

La femme se mit à parler. Heurreusement, elle parlait le même dialecte. Si ce n'était le cas, on ne pouvait espérer le support lecture... Elle n'écrivait sans doute pas en alphabet basique et je ne sais de toute façon pratiquement pas lire. il ne serait resté que les mimiques pour se comprendre, imposer ses lois par la loi du silence.
- Pourquoi vous m’avez choisie ? Qu’est-ce que vous attendez de moi ? Quel sort allez-vous me réserver ? … Et puis … Quel est votre nom ? Qu’est-ce que vous êtes exactement ?

J'allais devoir procéder par élimination. Je ne voulais pas tout de suite répondre aux premières, il n'y a pas de murs pour protéger nos dires. je pouvais sans risque répondre pour le reste:
- Je ne peux te répondre tout de suite... Pour les premières question, il faudra attendre un peu. Pour le reste... Je me nomme Ahri, je te l'ai déjà dit. je n'ai pas de nom, juste ce prénom. Pourquoi? Car je ne suis pas humaine. Je suis, selon les critères Terrans, Une Kitsune- Une femme-renarde. En vérité j'étais il y à de celaun an une vraie renarde à neuf queue. La magie m'a fait muter.  Tu comprend donc pourquoi je n'ai de nom: les renards ne se nommant qu'avec un nom unique, je n'ai jamais eu de nom "de famille" et je n'en auraitpas, puisque je n'ai pas de famille.

Le fait que peu de monde soit là me fait une transition pour lui montrer ce qu'est une renarde. Sortant d'une poche mon orbe, je la fait briller tandis qu'en un instant je me change en vraie renarde, devant elle (enfin à coté d'elle, car je ne me suis pas mise en avant, elle peut en revanche tourner la tête et voir l'anima.)Ahri en renarde (négatif d'une imagede renarde blanche, imaginez le nombre de queues trois fois supérieure.)

- Pour te montrer ce qu'est une renarde.
dis je sous ma forme de renarde. puis, sous une nouvelle impulsion de magie, je redeviens Kitsune.

- Pour moi, ça n'a pas de secret. pour toi ça peut te faire peur. Navré. Sache qu'utiliser ma magie réduit un peu l'esperance de vie que tiens mon orbe, je ne l'utilise pas à tout va, bien que j'aie beaucoup de marge.

Avançant encore, sans forcer - ce qui est assez étonnant, soit elle est docile, soit elle est habituée aux geôliers - Nous finissons par arriver chez moi. La faisant entrer, je ferme la porte et la scelle devant elle. Elle pouvait voir de son coté que je fermais simplement la porte. On s'approche du salon où je la libère des liens. Maintenant sans menottes, je lui dit:
- Assied toi comme il te plait, j'ai les fauteuil pour. Tu veux boire quelque chose?

Des formalités habituelles pour moi, je met à l'aise ma cible afin de la rendre un peu plus tendre. Elle ne devait pas avoir prévu d'être "Libre" aussi tôt et de se faire proposer à boire.  Mais il y avait aussi les questions qui étaient encore sans réponses, et je ne tarderait à y répondre ... Tout à l'heure.

- Je ne peux te répondre tout de suite... Pour les premières questions, il faudra attendre un peu. Pour le reste... Je me nomme Ahri, je te l'ai déjà dit. je n'ai pas de nom, juste ce prénom. Pourquoi? Car je ne suis pas humaine. Je suis, selon les critères Terrans, Une Kitsune- Une femme-renarde. En vérité j'étais il y à de cela un an une vraie renarde à neuf queue. La magie m'a fait muter.  Tu comprends donc pourquoi je n'ai de nom: les renards ne se nommant qu'avec un nom unique, je n'ai jamais eu de nom "de famille" et je n'en aurais pas, puisque je n'ai pas de famille.

Une kitsune, Sayana n’en avait jamais entendu parler et encore moins vue. Il faut dire aussi qu’appart ses scientifiques tuteurs et les quelques monstres qu’elle affrontait dans sa salle d’entrainement sous émulation, elle n’avait presque rien vu de ce que la vie et même l’univers renfermait comme sublime créature. Une renarde noire à neuf queues ?
La jeune fille se rappela de ce que c’était un renard tout d’abords, elle en avait vu dans certaines illustrations étant petites. Elle les comparait souvent au chat bien que techniquement un renard ressemble plus à un canidé qu’à un félidé. Ils avaient si minions pour elle à l’époque de son enfance.
Et puis un autre détail la marqua : elle n’avait pas de nom de famille. Ahri expliquait que les semi-humain animaux, qu’ils pouvaient appeler sur Terra, les Terranides, avaient rarement voir pratiquement pas de nom de Famille. Elle aussi ne possédait pas de nom de famille.
Comme Ahri, elle ne possédait pas de famille également. Ses origines lui étaient inconnues. Sayana avait perdu sa mère le jour de sa naissance, elle n’avait pas vraiment de père biologique.
Ce n’était après tout qu’une expérience issue de l’idée de plusieurs scientifiques. Elle était destinée à devenir le parfait soldat comme l’avait été son prédécesseur mais dont le destin le conduisit à la mort. Elle était en quelques sortes un clone modifié de son prédécesseur ou comme certains aimaient bien le dire dans les salles où elle était enfermée durant son stade de développement embryonnaire « c’est sa fille ».
Elle sourit. Elle se sentait plus rassurée inconsciemment d’être avec quelqu’un avec qui elle partageait quelques points commun.

La kitsune sorti de sa poche une orbe bien étrange malgré son aspect commun. Sayana la regarda avec curiosité. Pourquoi elle sortait un tel objet. Son regard se posa sur la kitsune, ses yeux remplis de question et de curiosités.
D’un instant à l’autre, la kitsune disparut de sa vue. Étonnée de ce phénomène, elle posa son regard tout autour d’elle tentant de retrouver sa nouvelle maitresse. Elle finit par observer une masse noire avec de petits yeux ressortant de ce corps noire. Elle vit la renarde noire à neuf queue quelques instant. Elle sourit une nouvelle fois. Elle la trouvait mignonne, choupie. Elle se tourna vers la renarde et tendit ses mains liées espérant pouvoir toucher son pelage et découvrir à quel point il pouvait être doux, soyeux, lisse et magnifique. Elle ne pu la toucher du bout des doigts qu’un instant avant que la kitsune reprenne sa forme humanoïde. Sayana la regarda à nouveau face à elle.

-C’est une très belle forme animal que vous avez. Vos attributs comme vos oreilles et votre queue sont-ils aussi doux que le pelage de votre forme original ?

Sayana avait l’impression de retomber un instant en enfance. Enfance qu’elle ne pu profiter pleinement.

-Pour moi, ça n'a pas de secret. Pour toi ça peut te faire peur. Navré. Sache qu'utiliser ma magie réduit un peu l'espérance de vie que tiens mon orbe, je ne l'utilise pas à tout va, bien que j'aie beaucoup de marge

Lui faire peur ? Que du contraire ça la fascinait ! Elle utilisait donc la magie renfermait dans cet orbe pour prendre sa forme originel à volonté mais à quel prix … Le prix apparemment était que son espérance de vie était raccourcie.
Elle comprenait le pourquoi, alors, qu’Ahri ne l’utilisait pas à souhait. Elle la préservait même.
Ahri reprit le chemin pour arriver chez elle. Sayana la suivit sans broncher. Après tout … elle ne pouvait pas faire grand-chose pour se rebeller.
La jeune adulte renfermait malgré tout une puissance force. Peut-être aurait-elle pu vaincre facilement la kitsune. Sayana ne le savait pas et n’en voyait pas la nécessité d’utiliser la force pour se libérer. 
Rare était les fois où Sayana se rebellait. La seule et unique fois où elle l’a fait, elle avait tué de sang froid un homme par colère et comme punition et fut encore plus renfermer, privée du monde dans lequel elle avait vu le monde.
Dans un certains sens, on pouvait dire que Sayana avait peur que sa nouvelle maitresse n’en fasse de même. La jeune adulte ne voulait pas reproduire cette même erreur alors elle resta calme et attendit ce qui se passerait dans l’avenir.

Après plusieurs minutes, ils arrivèrent enfin à destination. Elle porta son regard sur la porte puis sur sa maitresse qui la fit entrer. Ses mains étaient enfin libres de ses liens résistants à sa force herculéenne. Elle était en quelque sorte déjà libre. Sayana porta son regard à nouveau sur la kitsune.

- Assied toi comme il te plait, j'ai les fauteuils pour. Tu veux boire quelque chose?

Son visage se tourna vers les dits fauteuils proposés. Elle sourit et s’assit sur l’un d’entre eux, cela faisait bien longtemps qu’elle ne s’était pas assisse sur quelque chose de plus mou, plus moelleux qu’un banc de métal ou de pierre douloureux au long terme.
Soif ? C’est vrai que sa gorge était sèche. Elle n’avait pas pu grand-chose depuis son arrivé sur Terra. Elle hocha la tête positivement.

- Oui je veux bien, je dois avouer que j’ai la gorge sèche. Cet homme ne donnait pas grand-chose à boire et cela fait quelques temps que je n’aie pas pu profiter d’un verre d’eau bien frais.

Sayana était calme mais légèrement stressée également, elle n’avait toujours pas répondu à ses premières questions une demi-heure plus tôt. Elle espérait qu’elle y répondrait. Que ses réponses seraient une bonne nouvelle pour elle. Bien qu’elle ne se doutait pas de ce que la kitsune pourrait bien lui réserver.

Je suis un peu surpris de sa réaction qui es si peu effrayée. Elle est comme fascinée de voir une nouvelle chose arriver devant elle. C'était presque la réaction d'un enfant. Les hommes en général préfèrent fuir la magie, seuls une poignée d'entre eux savent en maîtriser l'usage pour des sort simples. Après, les terranides qui en maitrise l'usage sont un peu plus courants, mais pas plus fort. Ensuite il y a les créature comme moi qui maitrise à de haut degré la magie sur une de se formes- la mienne étant la magie blanche et rose. Toujours est il, la jeune femme me répondit:
- C’est une très belle forme animal que vous avez. Vos attributs comme vos oreilles et votre queue sont-ils aussi doux que le pelage de votre forme original ?

Je lui répond, après quelques instants
- En effet.

Mais je me garde de dire que pour les toucher, ce sera un peu plus tard avec moins de vêtements...
J'omettait de lui dire beaucoup de chose, en fait, je me sous-estimait en paroles certes, ma réserve de magie m'est limitée, mais pour autant que j'aurais l'énergie vitale dans l'orbe, c'est réserve à volonté.

Si la femme pouvait penser me vaincre par la force, je pouvait aussi facilement la dominer de mon coté, en utilisant ma meilleure Magie Rose, Séduction. Ce qui entraverait ses mouvements bien mieux que les menottes qu'elle porte.
On pouvait dire que son appréhension du danger la sauvait quelque peu, la jeune femme.  Elle ne se montrait pas aussi hostile que Mia, qui avait été jusqu'à me mordre l'oreille au point de me faire saigner.  Les renards à neuf queues sont connus pour deux chose: La magie qu'ils possèdent (dont ils se servent rarement car oubliés) et leur colère si prompte. faite du tort à l'un d'eux et il vous le rendra sans tarder. Même si je n'était pas aussi rancunière que la moyenne, en général, je suis calme dès que je m'occupe "bien" (hmm... ~~♥) de l'importun.

Venant à la maison, j'avais scellé la porte, pensant que c'était suffisant pour la simple humaine qu'elle semblait être. La porte était encore plus solide que les murs, mais avec la force brute, on pouvait le briser. Cela, ahri n'en avait aucune idée.

- Assied toi comme il te plait, j'ai les fauteuils pour. Tu veux boire quelque chose?
- Oui je veux bien, je dois avouer que j’ai la gorge sèche. Cet homme ne donnait pas grand-chose à boire et cela fait quelques temps que je n’aie pas pu profiter d’un verre d’eau bien frais.

De l'eau?  c'était sans doute une captive de longue date. Enfin, je vais donc en cuisine quelques instants, la laissant profiter de la vue des décorations assez nombreuses qui se trouvaient dans le salon; tableaux, tapis, statuettes, coupe vent, plantes...
Puis je reviens avec donc un simple verre d'eau, et pour moi un thé.
- Voici pour toi., dis-je en mettant le verre sur la table devant elle.

M'asseyant devant elle avec ma boisson, j'attend quelques temps avant de me lancer sur ses réponses.
- Pourquoi vous m’avez choisie ? Qu’est-ce que vous attendez de moi ? Quel sort allez-vous me réserver ?

- Je que je te réserve, c'est simple. selon tes réponses ou réactions, je pourrait te libérer d'ici quelques heures. Je pourrais aussi te garder afin de te faire ce qu'il me plait. Tout dépend de toi.

Voila déjà une réponse. Incertaine pour elle, elle ne pouvait qu'espérier bien répondre.
- En premier lieu, j'aimerais savoir d'ou tu viens. Extra-Terran, tu pourrais être une formienne - un alien. Alors par curiosité je te demande, es-tu une formienne?

En fait de question, j'avais été directe. il n'y aurait plus de question après. Mais actuellement, j'attendais une réponse, avant e poursuivre.
- Comme j'ai été droit au but, je n'ai pas d'autre question. On passera alors à la seconde étape, la plus longue mais aussi la dernière. C'est la que tu vas avoir des choix à faire, à savoir rester ici, ou partir.

Prenant une nouvelle gorgée, je dis:
- Je t'ai dis que ma magie avait des limites selon l'énergie vitale que tiens mon orbe. Le fait est que je peux allonger la durée de vie en lui offrant certaines substances. C'est pour ça que je m'offre des esclaves, afin d'absorber certains fluides. Surtout les fluides sexuels.

Là, j'avais été au but. Je venais de lui dire pourquoi je l'avais prise elle. Je voulais jouer avec elle sexuellement.
- Te voici avec trois choix. Tenter de fuir, accepter ma proposition, ou subir ma magie pour que ton corps obéisse sans le consentement de l'esprit. Que décides-tu?

Elle vit la kitsune revenir avec son verre d’eau et la posa face à elle. Sayana revoyait son air étonné quand elle lui demanda le type de boisson qu’elle désirait pour se déshydrater. Elle se demandait pourquoi un tel étonnement alors que pour elle rien n’était plus banal qu’un simple verre d’eau.
De sa main, elle prit doucement le verre et le porta à ses lèvres tout en fournissant à Ahri un remerciement du regard. Elle ferma ses yeux et profita du goût serein de l’eau. Elle posa le verre à table et poussa un petit soupir de satisfaction. Ce verre lui avait été bénéfique.

Face à la réponse incertaine de la Kitsune, Sayana senti comme un mal être l’envahir. Elle pouvait la garder ou non, qu’est-ce que cela signifiait ? Saya avait l’impression qu’il y avait un choix derrière cette phrase bien qu’elle avait l’impression qu’un piège était prévisible aussi …

-En premier lieu, j'aimerais savoir d'ou tu viens. Extra-Terran, tu pourrais être une formienne - un alien. Alors par curiosité je te demande, es-tu une formienne?

- Si je suis Formienne ? Qu’est-ce donc ? Non je ne suis pas ce que vous appelez Formienne … je suis une humaine banale … enfin … ou presque … disait-elle en ressassant le passé dans son esprit.
Je ne viens effectivement pas de ce monde … Je suis originaire de Midgar … c’était la grande capital de mon monde. J’ai vécu en salle de laboratoire depuis ma naissance et j’ai été éduqué à m’entrainer sans cesse pour devenir le soldat parfait . Seulement … j’ai commis une erreur … une erreur si grande que ceux qui me surveillait depuis toute petit m’ont renfermé … et un matin je me suis réveillée hors de chez moi et … me voilà ici.

Elle ne pouvait en dire plus vu qu’elle ne se rappelait pas comment ses anciens propriétaires avaient faire pour la vendre à son insu et sans qu’elle ne s’en rende compte.
Ahri enchaina de suite avec une seconde question, ne laissant presque pas le temps à Sayana de reprendre son souffle et de repenser à tout les détails de son arrivé sur Terra.


- Comme j'ai été droit au but, je n'ai pas d'autre question. On passera alors à la seconde étape, la plus longue mais aussi la dernière. C'est la que tu vas avoir des choix à faire, à savoir rester ici, ou partir… Je t'ai dis que ma magie avait des limites selon l'énergie vitale que tiens mon orbe. Le fait est que je peux allonger la durée de vie en lui offrant certaines substances. C'est pour ça que je m'offre des esclaves, afin d'absorber certains fluides. Surtout les fluides sexuels.

Les fluides sexuels ? La jeune fille la regarda avec un air d’incompréhension. Jamais elle n’avait eu de mention sur la sexualité. Elle avait été créé pour tuer, devenir une arme. Ses créateurs n’avaient pas le temps de l’élevé comme tout les enfants commun en parlant du loup et de la jeune fille qui cherche à devenir femme. Ce thème l’intriguait mais elle se sentait inconsciemment concerné. Elle garda le silence un moment, le temps qu’Ahri finisse de dire le fond de ses pensées.

- Te voici avec trois choix. Tenter de fuir, accepter ma proposition, ou subir ma magie pour que ton corps obéisse sans le consentement de l'esprit. Que décides-tu?

Sayana pris peur sur l’instant. Elle ne comprenait pas ce qu’elle voulait d’elle spécialement. Ca ne devait pas être commun … quoi que si au final sauf que la jeune adulte ne le savait pas. Elle se sentait en danger. Son corps réagissait à la menace indirectement : son cœur battait plus vite, elle frissonnait légèrement.
Ces trois choix, peu importe lequel elle aurait pris, serait arrivé au même but … la kitsune voulait jouer avec. Sayana fronça les sourcils, elle se doutait bien que ce serait trop facile. Acheter pour ensuite être relâché, c’était ce qu’elle pensait au début mais cela allait se montrer bien plus compliqué que ca.

- Je ne veux pas finir comme un jouet … je suis né pour combattre et tuer … parfois obéir mais pas pour servir de jouet …

Sans le savoir, Sayana avait choisi inconsciemment la troisième option. Sayana était sur de pouvoir s’en sortir par la force brute mais était loin de se douter de la puissance de la magie de la kitsune noir face à elle.

la jeune femme eut une mine d'incompréhension à ma question. visiblement, elle ne s'y attendait pas vraiment. Elle me répondit
- Si je suis Formienne ? Qu’est-ce donc ? Non je ne suis pas ce que vous appelez Formienne … je suis une humaine banale … enfin … ou presque … Je ne viens effectivement pas de ce monde … Je suis originaire de Midgar … c’était la grande capital de mon monde. J’ai vécu en salle de laboratoire depuis ma naissance et j’ai été éduqué à m’entrainer sans cesse pour devenir le soldat parfait . Seulement … j’ai commis une erreur … une erreur si grande que ceux qui me surveillait depuis toute petit m’ont renfermé … et un matin je me suis réveillée hors de chez moi et … me voilà ici.

Bien. Elle confirmait mes pensées. Elle était bien captive de longue date.
- Je me doutait de ta réponse. Du moins, pour ton passé de captive: le fait que tu ne réagisses pas comme d'autre, ou que tu ne demandes que de l'eau m'a mis la puce à l'oreille. Les formiens sont des créatures bizarre et pas humaine venu elles-aussi de hors de ce monde. Elles ont atterri à l'endroit où autrefois nous autre, renards à neufs queues, avions de quoi vivre sans troubler les terrans. Depuis, les miens doivent encore en plein égarement quelque part dans les landes dévastées...

Puis, viens mon allusion à ce que j'attendais d'elle. Si pour moi c'était clair, pour elle ce fut nouveau. Aussi, quand je lui ai pourtant dit que je prenais des esclaves pour en absorber les fluides sexuels, et qu'elle même, étant mon esclave, allait passer dans le lit, elle ne compris mot et était encore bien calme.  cependant, par habitude du cas classique où l'on tente de s'échapper, je lui ai dit:
- Te voici avec trois choix. Tenter de fuir, accepter ma proposition, ou subir ma magie pour que ton corps obéisse sans le consentement de l'esprit. Que décides-tu?

Elle se mit enfin à réagir, mais un peu trop.  Si elle pensait ne pas s'en sortir de suite, ce que je lui réclamait était en réalité bien plus facile que ce qu'on lui avait déjà proposé par le passé.
- Je ne veux pas finir comme un jouet … je suis né pour combattre et tuer … parfois obéir mais pas pour servir de jouet …

Je me contentait de fermer les yeux, posant seulement la tasse sur la table. Si elle voulais se battre pour sa vie, elle ... n'en avait en fait pas le droit selon le terme "esclave". M'enfin, se battre pour sa vie, je le comprennais. Mais je ne me prépare pas à combattre, je cherche encore à l'attendrir avec les mots. Si ceux-ci ne peuvent gagner, je devrais effectivement la posséder.

Je me lève et m'approche d'elle, rien dans les mains, pas d'attitude agressive, je m'approche et m'asseoit à coté d'elle, pour ensuite lui dire doucement:
- Je ne te demande pas de tuer ou de te battre. Ici, je ne te demande que de te laisser aller pour ... quelques heures. Ce n'est pas plus long que dormir.
Maintenant, le fait de devenir un jouet dépendra uniquement de toi. Résiste à mes caresses et la sortie te sera ouverte, ou ne résiste pas et la sortie sera quand même ouverte, mais la luxure te fera rester avec moi.

Encore des choses floues, bien que le contenu soit clair en lui même. Elle pouvait soit refuser, et tenter d'attaquer, j'étais proche et "vulnérable", elle finirait dans le lit, attachée et forcée de ressentir tout ce que je voulais, ou céder et ne pas être attachée.

- Je me doutais de ta réponse. Du moins, pour ton passé de captive: le fait que tu ne réagisses pas comme d'autre, ou que tu ne demandes que de l'eau m'a mis la puce à l'oreille. Les formiens sont des créatures bizarre et pas humaine venu elles-aussi de hors de ce monde. Elles ont atterri à l'endroit où autrefois nous autre, renards à neufs queues, avions de quoi vivre sans troubler les terrans. Depuis, les miens doivent encore en plein égarement quelque part dans les landes dévastées...

Ecoutant la description de ce qu’était un fourmilien, elle retenant le coté non-humain de la chose. Apparemment ces créatures étaient des monstres en eux même, extra-terra, sans doute d’une grande dangerosité. La prochaine fois qu’on lui parlerait d’un fourmilien, elle sera sur ses gardes mais avant tout elle faudra qu’elle se trouve une arme avec lequel se défendre convenablement et ne pas rester sans rien comme c’était le cas pour le moment pour elle.

Ahri parlait des origines de sa race. Que les kitsune, les renard noirs à neuf queue vivait dans une zone de Terra avant que ces fameux fourmilier n’infestent leur territoires et se l’approprièrent. Saya était à la fois touché par ce tragique destin mais en même temps s’en moquait comme il ne s’agissait pas d’elle ni même de son monde.


- Je ne veux pas finir comme un jouet … je suis né pour combattre et tuer … parfois obéir mais pas pour servir de jouet …
La kitsune posa son thé sur la talbe. Elle semblait fort calme malgré l’aspect irrité de sa nouvelle esclave. Sayana ne se rebellerait que si elle en sent la nécéssité en dehors de ça … elle obéirait presque au doigt et à l’œil.

- Je ne te demande pas de tuer ou de te battre. Ici, je ne te demande que de te laisser aller pour ... quelques heures. Ce n'est pas plus long que dormir.
Maintenant, le fait de devenir un jouet dépendra uniquement de toi. Résiste à mes caresses et la sortie te sera ouverte, ou ne résiste pas et la sortie sera quand même ouverte, mais la luxure te fera rester avec moi.


La luxure, ce mot lui disait enfin quelque chose. Elle l’avait lu deux ou trois fois dans ses anciens livres. Ca venait enfin de lui faire tilt. Elle se rappela d’abord de ce qu’était la luxure ; le pêché de laisser son corps aller au désir corporelle en toute circonstance. Le désir corporelle … la chose dont Sayana n’avait jamais vraiment compris en lisant ses ouvrages, piqué à la bibliothèque des scientifiques quand ceux-ci avait du temps libre. Elle n’avait pu qu’imaginer ce que c’était mais n’était jamais passé à l’acte, que ce soit avec autrui ou par ses propres moyens.
 

Par le passé, elle avait fait un rêve dont elle ne comprend pas encore la source. Elle ne pouvait qu’imaginer un seul lien entre son rêve et ce qu’elle avait lu la veille. Ce rêve la replaçait seul dans une pièce blanche, où pour seul habit était le pyjama qu’elle portait.

Au loin et voyait une masse qui pris forme humanoïde et qui ne cessait de s’avancer avant de montrer un homme presque semblable à elle.
 Ils se regardèrent, la jeune fille âgée de 15 ans à l’époque se releva face à l’homme aux cheveux d’argent.
Il caressa ses cheveux avec un sourire en coin, du bout de ses doigts. L’homme plus âgé passa ensuite sa main sur le reste de son corps, dessinant sa silhouette par-dessus son pyjama. Il murmurait «  Tu es parfaite … tu es unique … tu es … comme moi … ».

 Sayana ne comprenait pas, elle avait l’impression de se voir à l’état masculin, en plus grand, plus âgé, plus charismatique, plus mystérieux. Les yeux de l’homme croisèrent les siens.

Son regard était d’un beau turquoise, comme les siens avec cette même lueur de mako, l’énergie vital de leur planète commune. Elle se ressentait à lui comme si ils étaient la même personne. Il mit sa tête à coté de la sienne, massant sa poitrine d’une main avant de la descendre à son entre jambe. Il murmura une nouvelle fois « Nous sommes pareille … et tu es mienne … ».

Le lendemain matin, elle se réveilla en sursaut, son entrejambe humide pour la première fois. Elle se regarda et ne comprit pas le sens de son rêve .
Mais cependant elle avait ressentit pour la première fois, en rêve, la sensation que procurait des préliminaires.


Sayana regarda Ahri, elle voulait effectivement découvrir cette sensation mais avec quelqu’un qui aurait pu lui donner ce qu’elle désirait. Elle revoyait l’image de l’homme face à elle dans son rêve. Elle en conclue alors que seul un homme pourrait lui donner ce qu’elle recherchait inconsciemment.

-Je vois enfin ce que vous voulez … mais …  Je ne vois pas … comment … avec deux femmes …

- Je ne te demande pas de tuer ou de te battre. Ici, je ne te demande que de te laisser aller pour ... quelques heures. Ce n'est pas plus long que dormir.
Maintenant, le fait de devenir un jouet dépendra uniquement de toi. Résiste à mes caresses et la sortie te sera ouverte, ou ne résiste pas et la sortie sera quand même ouverte, mais la luxure te fera rester avec moi.

Il semblerait que lentement, elle aie compris ce que je lui voulait. Elle sembla longuement absente, comme absorbée par ses souvenirs. De quoi se rappelait-elle, je n'en savait rien, mais elle resta absente un petit moment.
Espérons que à l'inverse de yuki, elle ne pense pas à m'attaquer bêtement. ça ferait mal et je devrais la ligoter...
Puis, elle sursauta légèrement, comme si elle venait de se réveiller.
Elle me regardait, troublée, pas très rougissante pour le moment, mais surtout troublée par l'acte en lui même. Elle me le confirme:
-Je vois enfin ce que vous voulez … mais …  Je ne vois pas … comment … avec deux femmes …

Je me contente de sourire. Ce n'était qu'un bien mince problème, ce qui me plaisait c'est qu'elle n'était pas hermétiquement fermée au sujet, et cela, je lui en serait reconnaissante.
- Ce n'est pas un problème, et tu le verra bien...

Une de mes queue se glisse dans son dos afin de l'enlacer doucement. Je me déplace un peu, afin d'être en face d'elle, comme assise sur ses genoux, mes jambes écartée afin de me mette à genoux dans le fauteuil. Mes queues s'approchent d'elle et se glissent à leur tour dans son dos afin de la garder près de moi. Puis, entre quatre yeux, je lui dit:
- Si tu te sens prête, on va pouvoir commencer avec la base. ♥ je te demanderais d'ouvrir la bouche et de laisser sortir ta langue.

Cela afin de l'embrasser, ce que je fais peu après. Je m'efforce d'aller le plus sensuellement possible, afin de rendre la situation un peu plus chaude, et aussi pour renforcer mon propre piège insidieux. Plus elle recevait de plaisir de ma part, moins elle pourrait résister à mes charmes...

- Ce n'est pas un problème, et tu le verra bien...


Elle n’était pas rassurée pour autant. Son regard se porta sur la kitsune qui s’approcha d’elle tout en l’enlaçant avec une de ses queues dans son dos. La sensation était agréable mais pas pleinement ressentie comme était sur ses gardes, stressées face à cet inconnu.
 
Au bout de quelques secondes, Ahri s’était assise sur ses genoux et l’ensemble de ses queues s’étaient enroulées dans son dos pour la maintenant fermement contre elle. Elle sentit  ses bras s’entourer autour de son cou.

Sayana était bien obligé de regarder la kitsune noir dans les yeux, de beaux yeux d’orées d’ailleurs. Une couleur aussi rare et magnifique qu’était les siens.


- Si tu te sens prête, on va pouvoir commencer avec la base. ♥ je te demanderais d'ouvrir la bouche et de laisser sortir ta langue.


La jeune fille ne savait pas, sa conscience lui disait de refuser. Que ce serait contre sa nature. Pourtant l’humaine obéit. Elle entre ouvra sa bouche, laissant timidement sa langue sortir de sa cavité buccal de quelques millimètres.

Ses joues étaient plus que rosies. Son cœur battait fortement, elle pouvait le sentir danser au creux de sa poitrine. Elle ne pouvait pas s’enfuir de toute façon, elle était ligotée par les neuf queues de la kitsune.

Ahri franchit les derniers centimètres qui séparèrent son visage de celle de la grisâtre et l’embrassa langoureusement. Sayana sursauta légèrement. Son cœur s’emballa d’avantage. Le goût n’était pas désagréable mais l’acte lui était gênant pour elle.

 Sayana n’arrivait pas à répondre à son baiser et la poussa légèrement pour qu’elle se retire Son regard croisa à nouveau celui d’Ahri. Elle n’arrivait pas à franchir le cap. Bien qu’au fond d’elle, quelque chose avait envie d’essayer mais sa conscience lui faisait barrière.


-Je suis désolé je … je n’y arrive pas … pas de moi-même en tout cas …


Sur l’instant, le temps semblait s’arrêter pour elle. Sayana regarda brièvement son épaule avant de levé le regard. Elle revit le visage de cet homme aux cheveux d’argent qui lui souriait. Ses dires raisonnèrent comme des pensées.

- Si tu veux … je peux t’aider en reprenant le relais …, disait-il en caressant son visage. Mais pour ca … tu dois me laisser le contrôle …

Il regarda un instant Ahri toujours présent sur sa double féminin qui elle semblait l’interesser.

«  Ou alors que cette femelle l’aide à vouloir profité d’elle … et là … je pourrais peut-être aider … »

- non … ça ira … , répondit Sayana en regardant Ahri de nouveau.

Le temps semblait reprendre son cours après ce court instant de discussion intra personnel.

Elle restait stessée tandis que je m'approchais plus près d'elle.
- Si tu te sens prête, on va pouvoir commencer avec la base. ♥ je te demanderais d'ouvrir la bouche et de laisser sortir ta langue.

Elle lutta contre elle-même et finit toutefois par obéire et se laissa embrasser sans trop de difficulté. Bien ue peu après, totalement paralisée par la gène, elle me repoussa
-Je suis désolé je … je n’y arrive pas … pas de moi-même en tout cas …

Elle se perdait ensuite dans ses paroles, pour ensuite rester un petit instant le regard vide. Elle se surmenait? Peut-être. Ou peut-être avait t-elle eu un flash... Bonne question... Qui ne méritait pas d'être posée. Elle revient à elle et murmura:
- non … ça ira …

Je la regardait, essayant vainement de trouver ses pensées. Mais autant être franc et dire que ce n'était pas simple. Je lui dit, en souriant simplement:
- On continue? Ou tu préfère retarder quelque peu ta propre "libération"?

Je m'écarte un peu, pour lui laisser de l'air, avant de continuer:
- Si cela peut t'aider, tu es en droit de me toucher. Tu voulais savoir si mes attributs animaux sont doux au toucher, je t'en donne la permission.

M'approchant à ouveau d'elle, je lui prend les mains et j'en pose l'une sur mes oreilles et l'autre sur l'une de mes queues. Allait-elle pouvoir se rassurer? Sinon, il faudrait un petit remontant... Et je connaissais le meilleur d'entre eux.

-On continue? Ou tu préfère retarder quelque peu ta propre "libération"?


Elle avait du mal à répondre. Elle voulait dire oui mais resta de marbre. Elle observa ensuite la kitsune qui lui proposa gentillement de toucher à ses appendice propre au renard noir qu’elle était. Ahri prennant doucement une de ses mains et la posa sur son oreille et l’autre sur sa queue.

Saya se détendait, elle caressa doucement l’oreille de la kitsune qui était doux comme elle l’avait imaginé. Son pelage était brillant, magnifique un beau noir aux reflets bleutés. Elle avait l’impression de caresser un chat mais ce n’était pas un Neko mais bien une kitsune. Elle observa la queue sur laquelle Ahri avait posé l’autre main. Elle le caressa doucement. Elle aimait cette sensation que lui donnait le pelage, une telle douceur … Si elle le pouvait, elle aurait eu une peluche de la même matière.

Cela la détendait. Son stress diminuait. En même temps, cela lui permettait de lui changer les idées.
 Elle souffla lentement comme pour faire  évacuer son stress. Elle regarda à nouveau Ahri dans ses yeux aux reflets du soleil.


-Vous avez un pelage vraiment très doux, c’est une agréable sensation, on croirait presque caresser un animal. C’est réconfortant.


Elle plissa légèrement les yeux en la regardant. Elle venait de se rendre compte que quelque chose chez elle semblait l’intéresser, alors que cinq minutes avant leur embrassade, elle ne ressentait absolument rien pour sa maitresse que de l’empathie et du respect.

Etait-ce du à sa conscience qui était intervenu quelques secondes au part avant ou était-ce autre chose ? Elle voulait voir …
Sa main qui était sur son oreille se posa à ses cheveux, ils avaient cette même douceur que le pelage de ses oreilles et de sa queue. Elle rapprocha son visage du sien. Les joues en feu et le cœur dansant dans sa poitrine.

 Elle se sentait attiré par Ahri. Elle ferma les yeux et l’embrassa à nouveau. Son corps se serra contre la poitrine. Plus elle l’embrassait, plus elle avait cette envie de découvrir ce nouveau sentiment étrange qu’elle ressentait pour la femme renarde.

Après quelques minutes de baisers, Sayana se retira lentement. Elle la regarda, les traits de son visage étaient plus détendus. Sayana se sentait différente mais sans savoir pourquoi. Son regard se plongea dans celui que la kitsune. Son iris était rétracté comme celui d’un chat. Sayana avait cette étrange sensation de vouloir allez plus loin alors qu’elle s’engageait dans une voie qui lui était totalement nouvelle pour elle.

Je pouvais sentir que ça la détendait de me caresser. Fort bien, car moi aussi, ça me faisait du bien. Malgré tout ce qui peut me faire plaisir dans la luxure, mes attribut sont les zones les plus érogène pour moi. Autrement dit, lorsqu'elle me caresse, elle me rend plus douce.
- Vous avez un pelage vraiment très doux, c’est une agréable sensation, on croirait presque caresser un animal. C’est réconfortant.

Je me contente de sourire sans dire mot. On croirait caresser une animal? J'en suis une, c'est donc plutôt normal.
Elle commenca enfin à prendre un peu les devant et décida de caresser mes cheveux, puis lentement se rapprocha pour m'embrasser pendant de longue minutes. Elle avait marché là où je le voulais, c'est à dire, sur les pas de la luxure.

Elle se retira après ces quelques instant ou la temperature à un peu monté entre nous. Elle me regardait fixement, comme surprise de sa propre volonté.
- Ce n'étais pas mal du tout pour une première fois. ♥

Restant encore très peu mobile, je lui caresse le dos de mes queues, je ne veux pas la brusquer en ce moment. Toutefois, je vais lui dire ceci:
- Mais... Ceci n'est encore que la première étape... La suite demandera plus d'effort. ♥

Je m'approche à nouveau d'elle et mes mes mains sur ses épaules. Lentement, je les fait glisser de plus en plus bas afin de caresser ses seins. Protégés par le vêtement, elle ne devait ressentir grand chose, mais rappelons que c'est ce que je souhaite: un départ doux. Je caresse toutefois les seins avec une forte insistance. Elle qui me caresse aussi actuellement pensera peut-être à poser ses mains au même endroit que moi. Si ce n'est pas le cas ce ne sera pas bien grave... Il suffira de lui proposer.