Parfois mieux vaux rester au lit. PV : Silence

La vie est belle quand elle nous sourit, et malheureusement parfois elle nous déteste la vie. Comble de malchance! Arashi est malchanceuse et arrive quasiment à 100% du temps au mauvais endroit au mauvais moment.  Arashi depuis qu’elle était devenue un vampire aimait garder la même apparence, elle se sentait en confiance dans celle-ci, elle se trouvait magnifique et en profitait.  En  cette journée chaude, elle portait une longue tunique blanche avec une ceinture noire, ainsi qu’un pantalon noir. Il faisait chaud, mais pas de soleil à l’horizon, parfait pour se promener sans problème. 

Elle était à Nexus et se promenait tranquillement, allant un peu partout visiter, elle avec un grand sourire, personne ne pourrait la vaincre, elle était plus forte qu’avant, il faudrait plus qu’une personne pour la neutralisé maintenant! Elle ne sera plus jamais faible!  La jeune Vampire polymorphe ne se doutait de rien, le mal rodait autour d’elle. (On dirait que le mal aime tourner autour d’elle) La jeune femme était insouciante, même lorsqu’il lui arrivait une mauvaise chose, elle n’apprenait jamais de ces erreurs, comme maintenant.

Sans qu’elle se doute de rien, des regards se posaient sur elle, la suivait telle une proie si rare qu’elle en ait incroyable. La jeune femme commença à se sentir mal à l’aise, elle sentait qu’il y avait qu’elle que chose qui clochait, elle se gratta la tête et son regard vogua vers l’arrière et vue dans l’ombre un être si caché. La Vampire polymorphe eut peurs, elle retourna vers la direction qu’elle se dirigeait, et ses pieds se mirent à accélérer le pas, puis rapidement elle se mit à courir dans les rues de Nexus, puis elle tourna un coin de rue plus abandonné et entra de plein fouet sur une personne de stature imposante, la jeune femme sous l’impact tomba au sol.

-Pardonnez-moi je regardais pas où j’allais!

Cela faisait plusieurs jours que Silence arpentait les rues bondées de Nexus. Il était en chasse. Non, il ne travaillait pas, c'était une autre sorte de traque... En effet, près d'une semaine auparavant, après des ébats particulièrement violents, une esclave, qu'il avait achetée à bas prix à un stupide marchand inconnu voulant concurrencer les plus grands dans le domaine, était morte d'épuisement. Depuis, il n'avait pas trouvé chaussure à son pied, et même dans ce cas-ci, fourreau à son épée. Il vagabondait donc dans les rues de la Ville-État à la recherche d'une femelle qui vaille la peine. Il marcha durant de longues heures, tout comme les jours précédents, lorgnant sur chaque femme qui passait par là où il se trouvait.

C'est vers la fin d'après-midi qu'il dénicha quelque chose qui en valait la peine. La journée avait été très chaude, et son accoutrement ample, sa capuche et son foulard ne le rafraîchissaient pas, loin de là. Trempé de sueur, il avait obliqué dans une sombre ruelle, un endroit parfait pour ce qu'il voulait faire, mais éviter par la gent féminine, et donc peu digne d'intérêt. Et alors qu'il allait à nouveau prendre un virage, une jeune fille arriva en courant dans son champ de vision. Ses sens aiguisés lui auraient permis de l'éviter malgré sa vitesse, mais tout était bon pour s'amuser. Il ne bougea pas d'un pouce et lorsque la jeune fille le percuta, il recula légèrement, alors que celle-ci fut littéralement projetée en arrière par l'impact. Elle s'excusa alors immédiatement, comme par réflexe :

- Pardonnez-moi je regardais pas où j’allais !

Discrètement, Silence la détailla de son regard perçant. Elle avait une poitrine généreuse, et un joli visage. Ce pourrait-il qu'il ait enfin trouvé ce qu'il était venu chercher ? Il la dominait de toute sa taille, et l'homme était,un mercenaire surentraîné, elle ne pourrait vraisemblablement pas se défendre contre lui... D'une voix grave et effrayante, il s'exclama tout en dévorant l'inconnue des yeux :

- Vous alliez quelque part ?

La Vampirique Polymorphe était inquiète pas se sentiment d'observation, était-ce sont apparence qui attirait les regards ou le fait qu'on connaissait se qu'elle était? La jeune femme était inquiète, elle n'aimait pas démontrer sa force ou ses talents vampires qui l’épuisait et elle n'aimait pas boire le sang humain, cela la rendais moins...vivante.

Revenons à la situation, elle se sentait observer, à pris la fuite, à tomber face à face avec un personne, s'est excuser, pour qu’elle que seconde après une voix se fasse entendre, une voix grave, menaçante qui fit donner un frison de peur dans tout son corps.

- Vous alliez quelque part ?

La jeune femme hésite et lentement leva la tête, la jeune femme au yeux du ciel regarda l'homme dans les yeux, analysant l'homme, elle comprit que soit elle était tomber au mauvais endroit, ou au bon endroit. L'homme qui se trouvait devant elle, avait un air grave, son visage montrait de longue année de combat, son visage était dur et ses cheveux gris collait à son crâne, la jeune femme trembla, le regardant de haut en bas et de bas en haut, Arashi hésita à dire qu'elle se sentait poursuivie, on la prendrais pour une folle, bon tant pis...

La jeune femme le regarda à nouveau dans les yeux, faut dire que la jeune femme n'a pas froid au dos de regarder un colosse comme cela qui pourrait l’écraser d'un coup de poing.

-Je.. Je suis suivie par des personnes... je sais pas qui...ils se cachent et j'essaie de les semer...

Elle regarda de droite à gauche, elle espérait que le colosse la laisse passé après son aveux. Peut-être serait-il trop tard pour reculer et s'enfuir, peut-être avait-elle signer son heure, sa liberté ou quoi que se soit, mais sa on le sauras plus tard. Pour l'heure voyons ce qui se passeras de la part du géant devant elle.

La jeune et jolie inconnue sembla hésiter quelques instants avant de lui répondre, avant de lever les yeux vers Silence, croisant son regard d'acier. Il crut même la voir trembler. Elle prit alors lentement la parole, d'une voix un peu perturbée :

- Je.. Je suis suivie par des personnes... je sais pas qui...ils se cachent et j'essaie de les semer...

Elle tourna la tête de droite à gauche et semblait attendre la réaction du mercenaire. Une parfaite occasion pour se taper une petite inconnue au corps de rêve, donc. Il s'avança vers elle, et elle eu un mouvement de recul effrayé. Ne voulant pas lui faire trop peur dès le début, il la prit par le bras et essaya de la rassurer :

- Je sais qui ils sont... Ce sont des assassins... Et des violeurs. J'imagine que tu leur plaît. Viens avec moi, je connais les limites de leur territoire. Là où je vais t'emmener, ils n'oseront pas te poursuivre.

Silence n'attendit pas qu'elle lui réponde, pensant qu'elle était tétanisée, il la prit sur ses épaules et partit en courant. Même si elle n'était peut-être pas très préoccupée par cela, avec un peu d'attention la jeune inconnue aurait probablement remarqué qu'ils s'enfonçaient de plus en plus dans des ruelles sombres, désertes, et probablement mal famées. Une fois que l'endroit lui plut, il s'arrêta et la rejeta violemment au sol. À en juger par le bruit lorsqu'elle le percuta, sa tête avait sûrement du heurter le mur. Parfait, pour faire ce qu'il avait à faire, le fait qu'elle soit probablement sonnée était loin de le gêner. Pendant qu'elle reprenait ses esprits, et sans doute essayait de comprendre ce qui se passait, il déchira son haut avec force, révélant ses deux globes de chair fermes. Il les prit en main, les soupesa, les serra un peu, les appréciant sous toutes les coutures, avant de se mettre à chatouiller ses tétons, dans le but de la stimuler.

- Ici, ils ne nous trouveront pas... Mais comme je suis un assassin, si tu me satisfais, j'irais les buter, et tu n'auras plus rien à craindre...

Il voulu rajouter "des types comme moi", mais changea d'avis et lui sourit simplement à la place.

La jeune femme trembla devant la stature imposante de l'homme, elle se demandait qui était les hommes qui la suivait, toute sorte de spéculation entrait dans sa tête, puis l'homme avança vers elle, elle allait reculer, mais il recula pour lui prendre le bras.

- Je sais qui ils sont... Ce sont des assassins... Et des violeurs. J'imagine que tu leur plaît. Viens avec moi, je connais les limites de leur territoire. Là où je vais t'emmener, ils n'oseront pas te poursuivre.

L’amener? Elle n'eut pas le temps de répondre, qu'elle se fit souvent puis mit sur l'épaule de l'homme, elle fronça les sourcils et l'homme se mit à courir, la jeune femme remarqua soudain qu'ils s'enfonçait dans les ruelles sombres et inquiétantes, elle allait dire qu'elle que chose, qu'elle se fit rejeter durement au sol, en atterrissent elle se cogna la tête, elle était sonner...

Qu'est-ce qui se passait, sa tête tournait, tout venait de se passer si vite, son haut fut arracher, elle sentit les mains de l'homme prendre dans ses mains ses seins, joua avec un instant, caressant la pointe de celle-ci de ses doigts, rendant ceux-ci plus dure.

- Ici, ils ne nous trouveront pas... Mais comme je suis un assassin, si tu me satisfais, j'irais les buter, et tu n'auras plus rien à craindre...


Elle reprit finalement ses esprits et trembla, ses mains vint cacher sa poitrine et elle recula au sol, elle fixait l'homme qu'elle avait crut son sauveur, ses cheveux coller sur son visage, son regard était paniquer et elle eut un nouveau tremblement, ses yeux était fixer vers l'homme, elle regarda derrière elle, fermer, aucun échappatoire de ce coté, la seule issue, devant elle, derrière l'homme. Son regard revint sur l'homme.

-Pour...Pourquoi! Pourquoi vouloir me faire cela!? Je ne vous ai rien...rien fait!

Sa voix était tremblante la jeune femme tentait quand bien que mal à cacher sa poitrine. Son regard d’azure fixant l'homme qui la regardait, la jeune femme avait des larmes qui montait à ses yeux pour vouloir percer ses yeux et lentement couler sur ses joues.

- Pour... Pourquoi ! Pourquoi vouloir me faire cela ? Je ne vous ai rien... Rien fait !

Silence la regarda, puis prit la décision de jouer à un jeu. Il allait jouer un rôle qu'il n'avait encore jamais joué : celui du jeune puceau timide. Peut-être que ça lui servirait, peut-être que cela plairait à sa victime et qu'elle se laisserait faire... il avait vraiment besoin de se vider, que ce soit la tête ou les testicules, alors autant tenter quelque chose qu'il n'a jamais essayé. Et si ça ne marchait pas, il serait toujours temps de recourir aux "bonnes vieilles méthodes". Celles qui marchent à tous les coups. Quand on a l'expérience et le savoir-faire du Chef des Griffes d'Ammoth, en tout cas...

C'était le moment où jamais. Il détourna la tête, baissant le regard en se constituant un air honteux tout à fait factice. Il prit lentement la parole :

- Je suis désolé... Je... Je dois vous avouer quelque chose... Je suis vierge. Ça dure depuis bien trop d'années, alors je voulais absolument me dépuceler, et tu m'as tapé dans l'oeil. Alors je me suis dit que je pourrais le faire avec toi, même si tu ne voulais pas mais... Je suis trop gentil. Je n'arrive pas à faire ça sans que ma partenaire sois d'accord. Je suis désolé de t'avoir agressé. Je...

Jouant à fond sur la compassion, il s'inclina bien bas, son front et son nez touchant le sol, et lui dit d'une voix suppliante :

- Est-ce que vous accepteriez de coucher avec moi ? Je ne vous ferais pas de mal, je vous le promets !

Le piège était en place, il fallait maintenant voir si il allait se refermer sur le petit oiseau ou si au contraire, d'un coup d'aile bien dosé, celui-ci allait passer entre les mailles du filet. Le mercenaire avait hâte de savoir comment allait se dérouler la suite des événements...

Les tremblements de la jeune femme s'arrêta lorsqu'elle vit l'homme devenir étrange, il détourna sa tête, son regard se baissant, il prit un air triste et honteux, pourquoi? Lentement il se mit à parler.

- Je suis désolé... Je... Je dois vous avouer quelque chose... Je suis vierge. Ça dure depuis bien trop d'années, alors je voulais absolument me dépuceler, et tu m'as tapé dans l'oeil. Alors je me suis dit que je pourrais le faire avec toi, même si tu ne voulais pas mais... Je suis trop gentil. Je n'arrive pas à faire ça sans que ma partenaire sois d'accord. Je suis désolé de t'avoir agressé. Je...

Euh...Attendez il se fou de sa gueule ou quoi!? Elle qui joue souvent la comédie, si tu veux vraiment jouer la comédie il faut y aller du début! Et de la façon qui l'a toucher, c'était impossible qu'il soit vierge, soyez-en certains. Elle le regarda s'incliner bas, son nez et son front contre le sol. Et il se remit à parler d'une voix remplie de supplication.

- Est-ce que vous accepteriez de coucher avec moi ? Je ne vous ferais pas de mal, je vous le promets !

Trop tard, ton petit jeu ne marcheras pas contre elle, l'art de la comédie ne peut être offert à tout le monde. La jeune femme s'approcha de lui se pencha un peu et glissa à son oreille pendant qu'elle posa délicatement sa main sur sa tête :

-Ton jeu est faussé, on y croit pas du tout!

Puis elle lâcha un petit rire, sa main empoigna ses cheveux et d'une force étrangement puissante pour une fille, elle tira dessus pour lui cogner la tête contre le sol, et la jeune femme se releva rapidement et elle dit :

-Prochaine fois joue le rôle dès le début, peut-être cela fonctionneras la prochaine fois! Adios!

Puis elle partie à courir dans un ruelle, enfin elle savait pas par ou aller, car disons qu'elle était bien perdue, alors elle s'engouffrait malheureusement plus dans les ruelles sombres. Elle courrait et s'arrêtait parfois pour regarder partout et reprendre son air puis repartait à la course, un bras cachant toujours ses seins dévoiler.

- Ton jeu est faussé, on y croit pas du tout !

Silence se retint tant bien que mal de sourire. Elle croyait peut-être qu'elle allait pouvoir s'échapper en passant entre les mailles du filet qu'il avait tendu autour d'elle, mais c'était peine perdue. Elle n'était qu'une marionnette qui dansait dans la paume de sa main. Et le fait qu'elle ait refusé son offre "honnête" n'avait servit qu'à sceller son destin. De plus, mercenaire endurci et surentraîné, il ne pouvait même pas avouer avoir ressenti une quelconque douleur lorsqu'elle avait tenté de le blesser, même si sa force l'avait d'abord surpris. Il semble qu'elle ne soit pas qu'une simple jeune fille... Mais il n'en serait que plus amusant de la dresser. Allez, et que le jeu commence...

- La prochaine fois joue le rôle dès le début, peut-être cela fonctionnera la prochaine fois ! Adios !

Et sur ce, elle s'enfuit en courant, et le mercenaire ne put s'empêcher d'éclater de rire, même si elle était à présent trop loin pour l'entendre. En effet, elle s'était plutôt trompée de direction, allant jusqu'à s'enfoncer de plus en plus dans les ruelles sombres, abandonnées et plutôt propices pour se faire dépouiller, assassiner ou violer. Il plaça ses mains autour de sa bouche, exécuta une figure complexe avec puis les porta à ses lèvres avant de pousser un cri qui imitait pratiquement à la perfection celui d'une chouette effraie. Un code, évidemment. Deux cris lui répondirent. Parfait.

Il se redressa alors et commença à courir à vive allure, comme s'il projetait de gagner la médaille d'or du 4x100 m aux Jeux Olympiques. En réalité, il voulait juste rattraper une jeune fille à croquer pour se la taper jusqu'à ce que lui en ait sa dose, et qu'elle ne puisse plus marcher. Tournant rapidement à un coin de rue, il arriva dans une impasse. Devant lui, Ronfleur et Ronce lui tournaient le dos, bloquant l'inconnue effrayée dans le fond de la ruelle. Il passa devant eux en les remerciant d'un hochement de tête presque imperceptible. Ensuite il s'approcha de la jeune fille, s'agenouilla en face d'elle et lui fit cadeau de la plus formidable gifle qu'elle ait jamais reçu, sans aucun doute. Cela eut pour effet d'envoyer sa tête valser dans le mur derrière elle, et de la laisser à demi-assommée. Trop pour garder son bras devant sa poitrine, en tout cas.

Avec un sourire, Silence détailla d'un oeil expert les orbes de chair douce exhibés devant lui avant de les saisir violemment.

- Tu croyais que tu allais m'échapper ? Vraiment ? Triste illusion, ma foi...

Et sur ce, il lui pinça un téton avec férocité, se délectant du cri aigu qu'elle poussa alors.

Dans sa fuite, elle attendit un rire, elle fronça les sourcils, mais n'arrêta pas de courir, son regard vagabonda de droite à gauche. Elle cachait sa poitrine par un de ses bras, elle pensa alors qu'elle pourrait se transformer en oiseau et partir, mais elle avait si mal quand elle faisait cela et elle ne se transformais que rarement en animal. La jeune femme s'arrêta un instant pour reprendre son souffle et elle vit alors qu'elle regardait derrière elle du coin de l’œil, deux formes... Les assassins qu'il parlait? Il avait des complices? Elle ne voulut pas savoir et repartie à courir, elle tomba alors dans un cul de sac.

Elle entendit alors le bruit d'une chouette interpréter par deux personnes, elle se retourna et aperçut les deux personnes qu'elle avait vue quelque seconde plus tôt. Deux hommes qui lui paraissait costaud, peut-être moins un que l'autre, enfin bref, la jeune femme recula et fit dos au mur elle trembla, elle pensa alors qu'elle pourrait tenter de se transformer en un monstre et les effrayer... Mais elle avait peur, cette peur la rongeant alors l’empêchant d'user de ses dons de polymorphe, elle pourrait user de ses dons de vampire, oui elle allait faire cela.

Une nouvelle forme se dessina derrière les hommes, celui qu'elle avait réussie à fuir, donc ils sont tous ensembles...  Elle se mordit la lèvre et il les contourna et s'approcha pour s’agenouiller face à elle, elle allait sortir ses griffes, mais une gifle l'arrêta, une gifle qui envoya sa tête frapper contre le mur derrière, elle s’effondra au sol, son bras quittant sa poitrine, la dévoilant à vue. Elle était sonner, sa vision était trouble, un mal de tête le frappant de plein fouet. Puis elle sentie l'homme lui prendre ses seins dans ses mains avec violence.

- Tu croyais que tu allais m'échapper ? Vraiment ? Triste illusion, ma foi...

Ses doigts vinrent lui pincés un téton sans retenu, elle lâcha un cri de douleur et trembla. Elle retrouva sa vision et sa main vint sur sa tête, du sang... Elle saignait de la tête, elle en avait si mal, elle oubli l'homme devant elle pendant un instant, seul sa douleur vint prendre de l'importance, elle trembla, ses yeux avait une minuscule teinte de rouge qui commençait à se faire voir à travers son magnifique bleu.

Elle serra ses poing, elle fronça les sourcils et elle murmura :

-Ne...Ne me touchez pas de vos salles mains!

Elle trembla et elle tira sur les mains de l’homme, essayant de les enlever d'elle. Arashi regarda le ciel et pensa que même si elle avait mal, elle pourrait tenter le coup, elle trembla et elle elle lâcha un cri de douleur, dans son dos elle sentait des modifications, des bosses se faisait voir et puis pu rien... La peur l'ayant refrapper et empêcher de continuer sa modification... Elle trembla et voulue frapper l'homme face à elle, allons voir s'il allait l'éviter ou non.


|HRP: Désoler c'est nul comme post :/|

Silence dévisageait sa jeune victime. Plus le temps passait, et plus il se disait que ce n'était pas une jeune fille ordinaire. En effet, un être humain non doté de pouvoirs magiques n'aurait jamais pu étaler un colosse de muscles tel que Silence. Et pourtant, cette petite impudente l'avait fait. Et l'éclair rougeoyant qu'il perçut dans ses yeux bleus lui confirma immédiatement ses pensées. Il la vit serrer les poings, durcir son regard, murmurant d'une voix de damoiselle en colère :

- Ne... Ne me touchez pas avec vos sales mains !

Sur ce, elle regarda le ciel avec insistance. Le mercenaire ricana. Elle en était déjà au stade où elle attendait il ne savait quelle divinité de la prendre en pitié et de sauver la chère petite pucelle en détresse qu'elle était ? Souriant, content de son effet, il se rapprocha d'elle, puis eut un mauvais pressentiment. Ses sens aiguisés en alerte, il décela le coup de poing de sa proie avant même qu'elle ne l'envoie dans sa direction. D'un simple geste, il pencha sa tête sur le côté, évitant ainsi le coup, puis saisir l'avant-bras de la jeune fille avant de le tordre violemment. Ne prêtant pas attention à ses hurlements de douleur, il couvrit ses gémissements de sa voix dure :

- Tu sais ce que je veux. Donnes-moi ce que je suis venu chercher, et il ne t'arrivera rien...

Disant cela, il s'était à nouveau rapproché d'elle, la pelotant avidement, jouant avec la chair de sa poitrine rebondie. Il devait la mater pour qu'elle cesse de résister, et s'abandonne enfin à lui...

[HRP]Pas autant que celui-ci...[/HRP]

Son coup passa dans le vide, elle trembla et puis la main de l'homme agrippa celle-ci, elle lâcha un cri de douleur, ses sourcils fronçant, son regard paniquant. Sa voix dure se fit entendre comme le tonnerre qui frappait lors d'un jour de chaleur: Fort et effrayant.

- Tu sais ce que je veux. Donnes-moi ce que je suis venu chercher, et il ne t'arrivera rien...

La jeune femme le sentie s'approcher d'elle à nouveau, sa main la lâchant pour retourner caresser ses seins avec envie et avidité, une larme coula le long de sa joue, elle se sentie faible, elle réfléchissait à un moyen de s'enfuir, oui elle était forte, mais pas contre autant de personne, elle n'est pas encore habituer à utiliser ses dons vampirique et cela était si étrange quand elle tentait de les utilisez. La vampire se mordit la lèvre, une goûte de sang coula lentement le long de sa lèvre et coulant sur son menton.

Elle pensa qu'elle pourrait se transformer en homme, mais peut-être sa le provoquerait et il la tuerait, elle eu un autre tremblement à cette idée et une autre larme coula à cette instant. Puis elle pensa que si elle donnait un peu d'elle même, elle pourra s'enfuir par la suite, sa main descendit à son pantalon qu'elle enleva pour y faire découvrir sa petite culotte blanche avec qu’elle que broderie à son coté, elle avait peur, cette homme l'effrayait et les hommes plus loin aussi, s'ils se m'étaient à trois pour la violer, se serait si horrible pour elle, elle ne le supporterait pas...

Sa main touchait sa culotte, elle hésitait, elle ne voulait pas, elle ne voulait tant pas enlever cette culotte et se laisser découvrir à nue, devant un homme aussi violent et qui pouvait se faire rejoindre par d'autre personne, elle n'aimait sérieusement pas cette idée, car elle ne pourrait pas s'enfuir... Si seulement elle ne serait pas aussi faible...

Silence regardait avec délectation le désespoir se peindre sur le visage de sa victime. De grosses larmes glissaient le long de ses joues, et il remarqua une traînée de sang couler sous sa bouche. Elle s'était mordue la lèvre à sang. Plutôt étrange. C'est alors que les mains de sa proie descendirent pour retirer son pantalon d'elle-même. Surpris qu'elle cesse de résister, mais plus que ravi, le mercenaire sourit et jeta un coup d'oeil à ses partenaires, qui lui rendirent son sourire. Il découvrit donc la petite culotte de sa victime, blanche et décorée de petits motifs. Amusant. Il pouvait presque s'imaginer son minou derrière le tissu, comme si celui-ci était transparent.

Elle avait arrêté son mouvement. La main sur son sous-vêtement, elle semblait hésiter. La laissant à ses interrogations, Silence se redressa de toute sa taille, recula légèrement puis défit sa ceinture, retira son pantalon et fit glisser son caleçon le long de ses jambes. Son membre qui commençait déjà à gonfler à découvert, il se rapprocha de la jeune fille dos au mur, et l'enjamba, passant ses jambes par-dessus celles de sa victime. Dans cette position, elle était complètement coincée par lui. Les jambes du mercenaire arrivaient derrière elle, comme si il la serrait contre lui. Son membre, lui, était collé contre le ventre d'Arashi, maculant son nombril de pré-sperme.

Ricanant en le voyant faire, Ronfleur et Ronce, les deux autres membres des Griffes d'Ammoth, se rapprochèrent légèrement, restant toutefois à distance respectable pour ne pas déplaire à leur chef, la main dans le pantalon. Si il avait besoin d'eux, ils étaient prêt à intervenir.

Silence, pour sa part, s'amusait bien. Après avoir frotté son gland contre le ventre de la jeune fille quelques instants, il s'attaqua à sa culotte. Il était donc positionné de sorte que son membre passait sous elle, entre ses jambes. Une fois correctement installé, il se mit à faire des va-et-vients, donnant des coups de rein dans le vide, le côté supérieur de son membre frottant contre le sous-vêtement de sa belle proie.

Elle tremblait, elle se sentait comme un morceau de viande devant des lions affamés, elle avait si peur, ses doigts tremblaient, elle n’osait pas regarder ces horribles hommes, son cœur battait à la chamade quand il se leva, de sa position, l’homme semblait être aussi grand qu’un géant. Elle tremblait à nouveau, elle aurait tellement voulu partir à la course, mais avec ses deux hommes derrière lui, elle ne pourrait pas…

Le pantalon tomba, puis le caleçon glissa le long de ses jambes, laissant son membre à découvert, elle trembla, son regard l’ayant vite capté du coin du regard, il commençait déjà à se tendre, comme un soldat au garde à vous. Elle se mordit à nouveau la lèvre, il s’avança à nouveau, ses jambe par dessus les siennes, il la coinça, ses jambes passant derrière elle, son membre contre son ventre caressant son nombril de se liquide affreux.

Elle trembla, et vit les deux hommes s’approcher, elle trembla et elle les vue s’arrêter et mettre leur main dans leurs pantalons, elle trembla, car elle comprit que si l’homme leurs permettraient, ils viendraient aussi se joindre à la partie. Les larmes coulaient le long des joues de la polymorphe, elle cherchait une échappatoire, mais savait qu’il était impossible pour elle de s’enfuir.

Puis l’homme au nom inconnu plaça son membre entre ses jambes, seul le dessus de son dard frottait contre elle pendant qu’il donnait des légers coups de va et viens, le membre glissant sur sa culotte, Arashi savait que crier ne servirait à rien, elle pourrait même empirer son cas, si elle tenterait de le blesser, elle savait qu’elle pourrait raccourcir sa vie et se ferait battre à son tour après s’avoir fait rattraper. La seule chose qui lui restait à faire est de se laisser faire, mais elle ne voulait tellement pas…

Avec dégoût, elle sentie entre ses jambes, entre ses lèvres une légère mouille, elle trembla ! Pourquoi devait-elle mouiller alors qu’elle allait se faire violer ! Pourquoi, elle ne voulait pas prendre goût à cette préparation à ce supplice, elle tremblait et commença à essayer de se libérer de son emprise, non… Elle ne voulait vraiment pas.

-Lâcher moi ! Non… Je…je ne veux pas…

Elle secouait la tête et tremblait ses petits bras essayant de pousser l’homme.

Alors que la jeune fille tremblait de tout son corps en comprenant qu'elle ne pourrait pas échapper au prédateur qui comptait bien prendre du bon temps avec elle, ce dernier, étonné mais content, sentait le haut de son membre s'humidifier à mesure que sa victime commençait à mouiller. Il ricana méchamment et déclara :

- Et ben, tu dois être une vraie chienne en chaleur pour mouiller comme ça alors que je vais te baiser comme un fou... Tu verras, tu vas en avoir assez, crois-moi... Tu auras même de la chance si tu arrives encore à marcher après.

Mais d'abord, il voulait s'amuser un peu, faire durer le plaisir. Il continuait de faire des va-et-vients contre sa petite culotte, alors qu'il sentait contre sa hampe sa proie mouiller de plus en plus. Il n'allait pas forcer l'entrée de son vagin tout de suite. D'abord, il voulait la frustrer à tel point que finalement, ce soit elle qui finisse par le supplier de lui fourrer son gros engin. Alors en attendant, il n'allait se frotter qu'à son sous-vêtement. Et il fallait avouer que cela l'excitait beaucoup.

- Lâchez-moi ! Non… Je... Je ne veux pas…

- Comment ça, tu ne veux pas ? Ton corps ne dis pas ça !

Il partit dans un grand rire, qui devait être si effrayant pour la pauvre jeune fille qui était complètement à sa merci. Il se servit de ses mains libres pour revenir caresser fermement sa poitrine, malaxant ses seins énergiquement, se souciant peu de lui faire mal en appuyant trop fort à tel ou tel endroit. Tout ce qu'il voulait, c'était prendre méchamment son pied... Et cette jeune femme était la victime parfaite pour ce genre... D'activité. Il sentait qu'il allait passer un très agréable moment. Tout le contraire d'elle, en fait.

Et derrière lui, les deux Griffes continuaient d'observer le spectacle. Ronfleur, frustré, se masturbait déjà, alors que Ronce, plus responsable, faisait le guet en observant le bout de la ruelle. Ce n'était pas le moment pour que quelqu'un pénètre dans la rue...

- Comment ça, tu ne veux pas ? Ton corps ne dis pas ça !

Il se mit à rire, elle eut si peur de se rire horrible, elle ne voulait pas, mais tellement pas, elle ne savait pas pourquoi elle mouillait! Elle trembla et sentit les mains de l'homme attaquer ses seins, ils les caressaient durement, elle lâcha une plainte de douleur, il n'y allait pas en douceur et elle n'aimait pas ça, ses sourcils froncer, elle tentait de le repousser, mais elle était si faible. Ses cheveux de la couleur verdoyante coller contre son crâne, quelque mèches cachant ses yeux bleutés, sa nudités dévoilait une peau de la couleur blanche, mais d'une légère teinte bronzer, aucune véritable imperfection se voyait, sa petite culotte blanche à la petite dentelle sur les cotés se faisait frotter par ce membre qui semblait imposant.

Son regard apeurée et remplie d'eau attérit sur les deux hommes derrière lui, un semblait en train de se masturber en les regardant et l'autre surveillais l'entrer de la rue, une personne semblais prêtre en embarquer dans le viole et l'autre pas encore, si seulement une personne pouvais arriver et la sauver... Malheureusement cela était impossible. Car Nexus, n'était pas réputer pour que les gens aides et interviennent lors des violes et aide la personne violée à partir.

-Ce n'est pas faute s'il se fait caresser ainsi et que sa mouille... Ce n'est pas moi... Lâcher moi... Trouver vous une autre personne, je...

Les griffes de la jeune femme sortir enfin et l'homme put sentir la pointe de celle-ci sur sa peau pendant qu'elle le poussait, elle détestait sentir son membre entre ses jambes et elle trembla et elle décida de faire ce qu'elle aurait du faire avant: Elle lâcha un cri, un cri qu'elle voulait que tous entende et soit alerter et que peut-être on vienne l'aider, ses griffes pointues s'enfoncèrent dans la chair de l'homme au niveau des épaules, du sang pouvait commencer à se faire voir... Arashi était désespérer.