Parfois mieux vaux rester au lit. PV : Silence

Alors que sa victime tentait désespérément de lui faire lâcher prise, le mercenaire aux cheveux d'argent s'amusait bien, pour sa part. Son membre collait à la petite culotte d'Arashi et ses doigts s'enfonçaient brutalement dans la peau de ses seins, lui procurant des sensations fort agréables, mais qui ne devaient au contraire pas plaire du tout à celle qui était devenue sa partenaire malgré elle. Ricanant avec un air sadique sur le visage, il adorait lui pincer durement les tétons juste pour l'entendre crier de douleur, tel un bourreau accomplissant son affreux office sans le moindre remord.

- Ce n'est pas faute s'il se fait caresser ainsi et que ça mouille... Ce n'est pas moi... Lâchez-moi... Trouvez-vous une autre personne, je...

- Une autre personne ? Ha ! Au contraire, tu es la victime parfaite ! Tu ne te débats pas tellement, et t'es super bien foutue... Alors pourquoi je changerais ?

À ces mots, la regard de la jeune fille changea, et bientôt, Silence sentit une douleur irradier dans ses bras. Il baissa les yeux et ne comprit pas immédiatement. Sa proie était en train de le pousser, mais au bout de ses doigts, ce n'était plus des ongles mais bel et bien des griffes ! Il recula légèrement sous le coup de la surprise, puis, réagissant enfin, il gratifia Arashi d'un coup de poing qui l'envoya valser contre le mur, que son crâne heurta de plein fouet, la laissant complètement sonnée. Tout en lui agrippant les poignets et en les lui maintenant dans le dos pour éviter qu'elle ne récidive, même si dans son état elle n'était plus très dangereuse, il la releva et la plaqua contre le mur, de sorte qu'elle lui tournait le dos. Il sourit en imaginant sa poitrine complètement écrasée par le mur.

- Pas si docile que ça, on dirait... Mais c'est fini...

Il jeta un coup d'oeil derrière lui, et Ronce comprit aussitôt ce qu'il attendait de lui. Il s'approcha donc et vient le remplacer pour maintenir les bras d'Arashi au-dessus d'elle, pour laisser un minimum d'espace à Silence, qui déplaça ses mains vers sa petite culotte. Il la saisit lentement puis tira d'un coup sec. Le tissu s'enfonça durement dans le vagin de la polymorphe avant de craquer sous la pression. Il prit en main ses jolies fesses, les malaxa un instant puis, satisfait, il y plaqua son membre, commençant à faire des va-et-vients entre ses fesses, sans la pénétrer encore... Elle ne pouvait plus se défendre. Seulement subir...

La fuite, seul se mot entrait dans ses esprits, elle devait fuir, fuir loin de cette endroit… Mais malheureusement se fut qu’un poing qu’elle put voir, frappant son visage, sous la force elle recula, son crâne frappant le mur et elle s’écroula au sol… Pendant un instant se fut le vide… Elle se perdit dans l’espace-temps, la douleur de sa tête était horrible,  lentement elle reprit ses esprit, mais elle était sous le choc et semblait mêler, elle remarqua qu’elle était à présent plaquer contre le mur, ses seins collant sur cette muraille, elle sentie alors couler de son front du sang couler lentement, elle était blesser… Son visage était souffrant, elle tremblait.


- Pas si docile que ça, on dirait... Mais c'est fini...

Elle se mordit la lèvre et lâcha une plainte de douleur en tentant de se dégager de son emprise. Puis elle sentit un autre pair de main vint attraper ses poignets et les tirer vers le haut, elle lâcha une autre plainte et du coin de l’œil elle vit un des deux hommes qui était complice de cet ignoble être, elle tenta de tirer pour se libérer des mains de l’homme, mais n’en fut point capable, elle trembla un larme coulant le long de sa joue, se mêlant avec le sang de sa blessure sur son front. 

La vampire trembla en sentant la main de l’homme se poser sur son sous-vêtement et elle eut un petit gémissement de douleur en sentant qu’il tirait sur celle-ci, le tissu se prenant entre ses lèvres et apposant un pression assez douloureuse, elle tremble, elle se sent sales par ses mains horrible qui la touchait, finalement le tissu fut faible et déchirant avant de tomber au sol, elle était à présent complètement nue et sans défense, la douleur prenant une grande part de son corps.

L’homme posait ses mains sur ses fesses qu’il caressait, elle tenta encore de vouloir de dégager de l’emprise  de ses hommes, mais ce sentait faiblir à cause de la perte de sang, même ses yeux commençait à rougir dans sa teinte pour montrer qu’elle avait besoin de sang. Puis il plaça son membre entre ses deux boules de chaires tendre et désirante et y débuta à faire des va et viens, sans pénétration, mais elle s’avait que cela s’en venait, c’était surement la prochaine étape et elle redoutait cela! Elle tira sur ses mains de l’homme pour tenter de se dégager.

-Lâcher moi… Vous me fait mal…si mal…

Des larmes coulaient le long de ses joues, elle sentait la douleur prendre tout son corps, ses bras étaient fatiguée d’être en l’air et commençait à manquer de sang au bout de ses doigts à cause de la pression exercer sur ceux-ci, ça tête la faisait souffrir, elle voyait flou et perdait de ses forces et était de moins en moins apte à tenter de se défendre contre ses hommes.  Lentement la force de vouloir se défendre à son viole l’abandonna, elle s’avait qu’elle n’avait plus le choix de devoir subir son viol… Elle ferma les yeux et murmura :

-Lâchez moi… je ferez tout ce que vous voudrez… vous me faites mal…

Elle se dégoûta encore une fois des paroles qu’elle vint de dire.

La jeune fille pleurait toujours, Silence pouvait l'entendre et la sentir trembler sous ses immondes caresses. Cependant, elle n'avait pas encore complètement baissé les bras. Dans un sursaut d'énergie subit, elle tenta de se dégager de la poigne ferme de Ronce, le colosse aux muscles d'acier, qu'une pauvre fille innocente et sans défense, fut-elle déterminée, ne pourrait pas faire sourciller, même avec toute la bonne volonté du monde. Cela ravissait Silence, non seulement le fait que son membre tendu et palpitant caressait la raie de la jeune fille avec amour, mais aussi celui de la voir ainsi s'exciter pour tenter de s'échapper, et finalement se rendre compte que toutes ses tentatives étaient vouées à l'échec... Elle tenta une dernière fois de l'attendrir en pleurnichant :

- Lâchez-moi... Vous me faites mal... Si mal...

Silence ne répondit pas. Ne l'écoutait peut-être même pas. Il ne faisait que l'observer. Elle pleurait, sans doute vidait-elle son corps de toutes les larmes dont elle pouvait se délester. Elle était aussi tremblante qu'une feuille morte en fin d'automne, qui s'apprête à tomber. Elle était complètement épuisée, cela ne faisait pas l'ombre d'un doute. Il pouvait le deviner facilement rien qu'en observant un temps soit peu son attitude. Elle ne résistait presque plus, les muscles de Ronce était relâchés, signe qu'il ne devait même pas forcer pour maintenir les bras de leur victime en l'air. Elle avait abandonné. Et, lentement, les paupières closes, elle vint confirmer ses hypothèses :

- Lâchez-moi... Je ferais tout ce que vous voudrez... Vous me faites mal...

Cette fois, le mercenaire avait très clairement entendu ces murmures plaintifs. Il sourit lentement.

- Je ne suis pas certain que tu sois vraiment en position de négocier, tu sais. Je vais prendre tout ce que je veux de toi, de gré ou de force. Et rien ne pourras te sauver, maintenant. Disons juste que si tu es sage, tu souffriras moins. Mais tu n'échapperas pas à ce qui va suivre...

Et, tout en disant cela, il appuyait lentement le bout de son gland contre l'anus de la jeune fille. C'était terriblement serré. La position très inconfortable dans laquelle elle était ne devait pas arranger cela. Avec un élan de générosité, il fit l'effort de la prévenir :

- À présent, j'entre...

Et il donna un violent coup de rein, s'enfonçant brusquement dans son fondement en poussant un gémissement de satisfaction. Dieu comme c'était bon !

- Par les cornes d'Ammoth, t'es tellement serré... Ton cul est tout simplement exquis !

Il resta là quelques instants, immobile, appréciant juste le contact des parois internes de la jeune polymorphe... Appréciant le moment présent.

Arashi tremblais, elle avait peur, elle avait mal au bras à force qu’ils soient en l’air, elle r’ouvrit les yeux lentement, toujours dégoûter de ses paroles, elle ne put voir le sourire de ce salle homme, si elle l’aurait vue, elle aurait eu peur, mais la phrase de l’Homme remplaça le sourire qu’elle n’avait point vue :

- Je ne suis pas certain que tu sois vraiment en position de négocier, tu sais. Je vais prendre tout ce que je veux de toi, de gré ou de force. Et rien ne pourras te sauver, maintenant. Disons juste que si tu es sage, tu souffriras moins. Mais tu n'échapperas pas à ce qui va suivre...

Ce membre caller contre ses fesses, elle le sentait, imposant et épais, ce bout tapant contre son petit trou si serrer cacher entre ses fesses, elle savait là suite, elle sentait déjà la douleur qui entrait en elle, se gland tapant à son entrer comme une personne cognant à une porte, déjà que la position était pas avantageuse à une telle pénétration, la douleur en sera qu’augmenter, la jeune femme trembla et ses larmes continuèrent de s’écrouler de ses beaux yeux bleuté-violacé. Son gland poussait lentement sur cette entré, la vampire tremblait et serrait le plus qu’elle pouvait, elle avait peur.

- À présent, j'entre...
-No…noon….

Et sans douceur, sans pitié et avec force il la pénétra, elle lâcha un cri de douleur, la douleur que cela lui avait occasionnée était si grande qu’elle en tremblait, ce membre était dure et trop gros pour cette endroit, cela provoquait tant de sensation déplaçant, qu’elle lâchait des râles douloureuse, pourquoi elle? Pourquoi devait-elle toujours arriver à des endroits au mauvais moment? Qu’elle est la liberté si on se fait toujours coincé et blesser? Sa pour sure la vampire en savait rien.

- Par les cornes d'Ammoth, t'es tellement serré... Ton cul est tout simplement exquis !

Elle trembla, la douleur si stridente, si horrible, surtout qu’il ne faisait aucun mouvement, cela amplifiait la douleur, elle tremblait et serrait ses petits points, du sang pu se faire voir de ses mains, ses griffes était planter dans ses paumes, tentant de changer la douleur de place sans succès, lorsqu’il commença enfin à faire des mouvements de va et viens, elle lâcha un cri douloureux à nouveau, c’était horrible. Elle se mordit légèrement la lèvre, tremblant et se trouvant immonde de subir cela. La douleur de ses mouvements était intense, elle souffrait à chaque mouvement, lâchant des gémissements de douleur, qu’elle douleur atroce déchirant son corps.

Se laisser faire, elle savait qu’elle n’avait que cela qu’elle pouvait faire, aucune issue, piéger comme une débutante… Sa poitrine coller contre le mur, ses mains au-dessus de sa tête, un homme la pénétrant derrière elle… Immonde, seul se mot pouvait désigner la situation présente, elle trembla, souffra. Elle tenta de bouger ses bras, mais impossible… Elle était prise et devras malheureusement se laisser faire… Jusqu’à ce qu’elle trouve un moyen de s’enfuir.