Cette nuit, on fait la fête ! [PV Théorem]

La nuit dans les landes dévastées des contrées du chaos n'avait jamais était aussi bruyante qu'elle ne l'était maintenant, au point que les animaux, nocturnes comme diurnes, avaient fuis cette endroit dans le but d'échapper aux hurlements et aux chants étranges qui emplissaient désormais l'air vicié... à moins que ce soit le relent de charognes qui émanait des nouveaux arrivant, une odeur capable de foudroyer une mouche en plein vol, qui les avait fait fuir. En tout-les-cas, cette nuit-là, les landes avaient été investies par la meute de Kraks, un groupe de créatures immondes, mi-hommes, mi-rats : des skavens. Ils avaient montés leur bivouac au milieu d'un marécage et prenaient plaisir à patauger dans la bous puante en chantant leurs chansons barbares racontant leurs exploits, leurs conquêtes, leurs massacres... comme chaque nuit chez ces êtres, la fête battait son plein, et la bière fraiche achetée la veille coulait à flot. Les skavens se battaient entre-eux pour pouvoir être les premiers à reremplir leur chope. Alors que les esprits commençaient à être éméchés et que l'effet excitant que l'alcool sur ces créatures avait commençait à se faire sentir, Kraks ordonna :

-Libérez les esclaves, qu'on s'amuse un peu...

Ordre auquel Broscar, le dresseur... que ce soit de warg, de troll ou de "jouet sexuel"... n'hésita pas une seconde à obéir. Saisissant son long fouet fait de fils de fers hérissés, il s'approcha du bord du campement où se trouvait la cage des esclave. Grande cellule en fer sur roue, elle était couverte d'une fine couche de pailles. Elle contenait environs une douzaine d'individus bipèdes, pour la plupart des femmes et quelques hommes, et d'autres genres. La plupart étaient nus, mais certains portaient de fins habits qui ne cachaient pas grand-chose, mais qui étaient particulièrement sexys, et tous avaient un collier autour du cou où pendait une laisse en corde. Ils se tenaient tous au bout de la cage, loin de l'entrée, car les wargs de la meute s'étaient installés là et se faisaient un plaisir de mordiller tout ce qui s'approchaient d'eux. Le skaven les chassa en les menaçant du fouet, puis tira sur le piton qui maintenait la cage fermée et la rampe tomba avec un grand bruit de ferraille et d'éclaboussures...

-Allez, bande de chiennes ! Ordonna-t-il, en frappant les barreaux de son fouet : sortez et amusez-nous !

Ceux à quoi les esclaves se firent... non, pas forcément un plaisir, mais en tout-cas ils obéirent très rapidement. Trois jours plus tôt, une femelle-humaine n'était pas allé assez vite au goût des skavens pour sortir de la cage... le souvenir de ce qui lui était arrivé était encore dans les esprits, faisant rire les hommes-rats et frémir les esclaves : ils avaient donnée cette pauvre haire au troll de compagnie de la meute, qui était assis et somnolait à l'avant de la cage, et après une demi-heure, elle s'était faite déchirée en-deux. C'est ainsi qu'ils comprirent comment ça marché, dans la meute : il leur fallait aller vite, et satisfaire leurs maîtres avec le plus de talents possibles... ou alors les punitions étaient bien pires que les violentes prises des skavens.

Seulement dix minutes après leur libération, les esclaves furent tous occupés... Kraks avait saisi les laisses de trois femelles sur lesquelles il avait jeté son dévolu, ses dernières semaines, et il avait disparu avec elles dans sa tente, la plus grande du camp, décorée par les cranes de ses ennemis vaincus au combat. Cette nuit, Ankary ne l'avait pas suivit, ne se sentant pas d'humeur à faire des galipettes avec ses semblables... elle avait préféré se saisir d'un homme particulièrement musclé. Celui-ci était maintenant à genoux devant-elle, le nez enfoncé entre ses jambes tendis qu'il la léchait. La skaven avait coincé sa tête en l'entourant fermement avec ses cuisses, les griffes de ses pieds se plantant dans le dos de l'esclave nu, et elle levait le museau en-l'air, s'humectant les lèvres de plaisir.

Deux ou trois d'entre-eux apportaient les chopines de bière aux rats hurlants, se faisant pincer de partout à chaque pas. Broscar avait prit un homme avec lui et l'avait suspendu à un arbre, et il s'amusait à le fouetter sans pitié... le sifflement de l'arme et les cris de l'esclave se perdaient dans le charivari de la fête skaven. Par-ci, par-là, on voyait des esclaves se faire prendre, sodomiser, ou qui massaient des rats... Krix, Krax et Krox, les triplés, quand à eux, n'avaient encore jetés leur dévolu sur aucun d'entre-eux. Ils se contentaient d'observer les ébats de leurs congénères, se mettant dans le bain, et cherchant qui ils voulaient se taper ce soir... ils faisaient toujours tout ensembles. Les yeux de Krax tombèrent sur un individu particulier, ni-homme, ni-femme, aux cheveux rouges comme le feu... il était connu pour ses fêlassions extraordinaires. Le skaven consulta ses deux frères du regard... ceux-ci aquièscèrent.

-Eh, toi ! Appela-t-il en pointant l'esclave en question de son doigt griffu. Lorsqu'il eut l'attention de celui-ci, il lui fit un mauvais sourire de ses dents pointues et jaunâtres, et lui ordonna : met-toi donc à quatre pattes, chienne, et vient te pelotonner à nos pieds...

Cela arrive d'être capturé, d'être traité comme un esclave, un jouet sexuel... En tout cas à Terra c'est ce qui arrive très souvent. Après l'emprisonnement chez Alice puis Melinda et ses nombreuses rencontres en dominatrices, Theorem commençait cependant à être habitué. Dans ce cas présent, il avait été raflé par lors d'un raid dans un village où il avait fait une halte. Diurne n'était pas présente et donc sa disparition allait sûrement l'alarmer. Mais c'est que le travestit avait le don pour se retrouver dans ces situations étranges et pour le moins perverses. Qui sait ce que cette bande de skavens allaient faire. ils firent une halte pour baiser les esclaves ramassées sur la route, dont Theorem. Il passa devant un homme pendu à un arbre en train de se faire sauvagement fouetter. Ca avait de quoi rendre l'ambiance très intense...

*Ces créatures sont vraiment répugnantes...*

Il réprima une grimace avant de voir trois skavens relativement similaires l'interpeller. Theorem eu comme un sursaut alors qu'il s'approcha d'eux. Pouah, l'odeur de leur fourrure était juste écoeurante ! Il se serait pincé le nez s'il ne risquait pas de s'en manger une... Docilement, il se mit sur les genoux. Il ne portait que ses bas de latex noir couvrant ses jambes, ses longs gants noirs brillants jusqu'aux épaules et un petit trikini noir couvrant à peine son corps. Il eut le souffle court face à leurs verges animales tels des tubes de rouge à lèvre émergeant de ce sac à fourrure sale. Theorem savait exactement ce qu'il avait à faire. Il réprima un peu son dégoût avant de s'approcher.

"Oui maîtres..."

Doucement, sa fellation débuta par celui au milieu. Il suça son membre alors qu'une forte odeur d'urine et de crasse inonda ses narines. Bon sang, quelle odeur ! Aucune femelles ne voudrait d'une telle hygiène misérable ! Toussant discrètement, il commença à sucer cette queue plus profondément. Heureusement, il n'était pas trop large et parvint à gober sa queue sans trop de mal. Le goût dérangeant de segma et autres saletés le prit à la gorge, mais en bonne pute, il l'ignora. Il passa à l'autre queue rapidement, la salive encore liant sa bouche à l'autre sexe. Celui de droite fut un peu plus large mais aussi un peu plus propre. Entouré de queue, il commença donc à masturber les autres de sa main gantée de noire. Après plusieurs minutes, les trois rats eurent la queue bien lustrée de la salive de Theorem qui, les joues rouges, ne trouva pas le temps de parler entre les fellations, travaillant sans pause. L'odeur ne partait pas et le travestit fit de gros efforts pour s'habituer. Bon sang qu'il était dégouté par tout ça...

*Si seulement ils pouvaient jouir vite !*

C'était bien dommage, pour Theorem, car contrairement à leurs congénères, que ce soit les rats normaux ou les skavens, les trois frères chevaucheurs de wargs aimaient prendre leur temps durant leurs ébats. Ils pouvaient parfois jouer des nuits entières avec un seul esclave, au plus grand malheur de celui-ci... après-tout, ils étaient trois, quand un se vidait, un autre pouvait prendre sa place le temps qu'il recharge. Autrement, ils aimaient bien aussi, parfois, faire participer leurs bêtes à leurs jeux cruels, et les warg étaient généralement bien plus doués que leurs maîtres pour détruire l'intérieur des esclaves.

D'ailleurs, autour d'eux, tous les esclaves avaient le même problème : aucun n'avait droit à un instant de repos, et il valait mieux qu'il ne s'arrêtent pas sans le consentement des maîtres, où alors ils risquaient de se faire fouetter, griffer, ou mordre. Déjà que les membres de la meute semblaient aimer le faire tendis qu'ils copulaient, les choses seraient pires si c'était par punition. Il n'y avait donc ici qu'une dizaine d'esclaves pour vingt-trois rats... quand l'un d'entre-eux éjaculé, un nouveau venait prendre sa place, et le dernier revenait à la charge lorsqu'il se sentait de-nouveau d'attaque. Parfois, une dispute éclatait entre plusieurs skavens qui voulaient le même esclave... mais le pauvre finissait toujours pris par l'un ou par l'autre des combattants. Pour le travesti, ce serait la même chose : pas de repos possible, ses maîtres comptaient bien prendre tout leur temps, jusqu'à ce que la fièvre de l'alcool les fasse s'endormir...

Tendis qu'il s'occupait des trois pénis l'un après l'autre, ou deux par deux lorsqu'il se servait de sa main, les rats poussaient de petits couinements et échangeaient des commentaires sur son beau-cul ou sur son talent entre-eux... parfois, l'un d'entre-eux lui fouettait les fesses de sa queue. La fourrure de celui qui se faisait sucer se soulevait d'un frisson chaque-fois qu'il se sentait à nouveau avaler par l'esclave... il but une gorgée de sa bière et en renversa un peu sur la tête de Theorem, ce qui rajouta un peu à la forte odeur ambiante. Ils voyaient bien que la créature était dégoûtée par leur odeur... mais l'idée de le dégoûter ne les dérangeait pas, du moment qu'il continuait à leur faire du bien.

Au bout d'une dizaine de minute où les trois frères se partagèrent ce pauvre haire, le sexe de Krix, celui qui se trouvait à droite, se mit à sursauter de façon incontrôlable tendis que c'était au tour de Krox de recevoir une fellation.

-Oh... j'peux plus tenir, les mecs ! S'exclama-t-il, avant de se lever et de se mettre juste derrière Theorem.

Il commença par caresser sa raie de son verge humide. Le travesti ne pouvait pas voir ce qu'il se passait à cause des cuisses de son maîtres, mais il pouvait le sentir. Krax repoussa la main en-train de le masturber et approcha le sien du visage de Théorem... le lui mis le bout dans l'oreille. Ça n'allait pas bien loin, mais ça le chatouillait agréablement et ça lui permettait de patienter.

-Je vais m'amuser un peu de ce côté là, dit-il, ensuite, ce sera à moi de te prendre par derrière.

Krox saisi la chevelure rouge de leur jouet et lui tira la tête en arrière, se retirant de sa bouche et le forçant à le regarder...

-Et ensuite, ce sera à moi, dit-il... il lui mit l'un de ses doigts crasseux dans la bouche et lui gratta doucement la gorge de sa griffe. Tu imagines la chance que tu as ? Tu as trois maîtres, pour toi tout-seul, qui s'occupent de toi...

Il rit comme pour souligner l'ironie de sa phrase, puis plaqua férocement la tête de Théorem entre ses cuisses, tenant toujours sa chevelure et lui faisant lui-même faire les allés-retour sur sa queue... il espérait lui faire avaler son sperme au moins une fois, avant que ce soit son tour de le prendre. C'est à ce moment-là que son frère lui pénétra l'anus avec force...

Tout en suçant la queue de celui qui le maintenait en place, Theorem sentit l'une des personnes frotter son pénis contre sa raie des fesses. Son trikini en latex noir moulait parfaitement son petit cul et le skaven n'eut pas vraiment de mal pour dévoiler son anus souple et mignon en poussant cette matière avec son pénis de rat. Dans la frénésie du moment, l'un d'eux enfonça même son pénis dans l'oreille touffue et poilus de Theorem. Son apendice de hyène battit plusieurs fois de l'intrus alors que la gêne lui fit froncer les sourcils encore plus. Il avait une furieuse envie de virer ce pénis de là, de se gratter le fond de l'oreille pour ne plus ressentir ce truc gluant et désagréable. Celui qu'il suçait actuellement lui releva soudainement le visage et enfonça un de ses doigts dans sa bouche pour toucher le fond de cette dernière. Déjà le goût fut tout simplement dégueulasse, puis tout ce qu'il put faire fut de fermer les yeux en sentant cet ongle toucher cette muqueuse sensible. S'il n'avait pas été aussi bien entraîné, sans nul doute qu'il lui aurait vomi sur le ventre en un éclaire. Après ça, sucer son pénis fut un véritable plaisir en comparaison !

"Guuuh !"

C'est le bruit que fit Theorem quand celui derrière lui enfonça finalement son membre dans son fondement. Son cul accepta cet étranger avec plaisir, mais si le travestit cru qu'il allait tomber malade ! Vu les vermines qu'une telle créature devait traîner sur elle, les MST ne devaient pas être bien loin. La hyène continua de sucer celui qui tenait encore sa belle queue de cheval rouge, sentant les pattes griffues de celui derrière lui le tenir pour une sodomie profonde et rapide. L'odeur était réellement dérangeante, mais son corps répondait au plaisir... Son pénis se durcissait un peu plus dans sa cage de chasteté que les skavens n'avaient sûrement pas ignorés. Il couina encore alors qu'il se faisait sauvagement prendre, son plaisir physique cependant ruinés par la pénétration peu conventionnelle dans son oreille.

*C'est un vrai cauchemar... Beurk...*

Contre toute-attente, ce fut Krax, celui qui s'amusait avec l'oreille de leur esclave, qui jouit en premier, avant ses deux frères... car, tendis qu'il entrait et sortait son verge rouge et visqueux à grande vitesse, il en profitait pour se masturber de sa main griffue. L'oreille de hyène poilue qui battait l'air et lui giflait le pénis à la manière d'un aile de chauve-souris ne faisait qu'ajouter à son plaisir. Alors que celui qui était en-train de sodomiser Theorem accellerait ses mouvements, fessant de façon régulière le derrière du travesti, et que celui qui recevait la fellation forcée commençait à avoir la respiration rapide de celui qui n'allait pas tarder à tout lâcher dans la bouche de sa victime, un long jet de sperme jaillit, aspergeant l'intérieur de l'oreille, mais également la joue et un peu l'oeil de Theorem. Un frisson secoua la fourrure sale du skaven tendis qu'il se laissait tomber assis, la langue sortie. Il grattouilla doucement l'oreille de l'esclave comme il le ferait avec un chien bien obéissant... plus une manière supplémentaire de le rabaisser d'avantage que de lui faire du bien.

-Ah, c'était génial ! S'exclama-t-il. J'adore ses oreilles de hyène ! Attendez un instant... hyène ! Une lueur étrange et pas franchement rassurante s'alluma dans son regard... une lueur qui signifiait, tout-simplement, qu'il venait d'avoir une nouvelle idée de jeu. Continuez sans-moi, mes frères... je reviens.

Et il partit d'une démarche un peu chaloupée, dû au plaisir qu'il venait de ressentir et à l'alcool qui lui embrouillait encore l'esprit, disparaissant au-milieu de la foule où se faisait entendre les cris de jouissance et ceux de douleur. Broscar avait finit par se désintéresser de sa victime et l'avait laissé accrochée, pantelante, à sa branche, pour disparaître on ne savait-où au-milieu de cette orgie de rats. Grogra, un représentant particulièrement patibulaire de la meute, dont les graisses dépassaient littéralement de ses poiles, jeta son dévolu sur lui : il le sodomisa tout en léchant goulument le sang qui coulait de son dos.

Les deux autres, ayant à peine remarqué l'absence et entendu les paroles de leur frère, continuèrent à s'amuser avec le corps de leur esclave. Ils prirent tout leur temps. Lorsque l'un d'entre-eux sentait qu'il était sur le point de venir, il ralentissait la cadence, afin de faire durer le plaisir, puis reprenait avec plus de ferveur. Mais il arriva un moment où ils ne purent plus se retenir, et Krix fut le premier à céder : avec un couinement de jouissance... dans ce genre de situation, les paroles des skavens ressemblaient aux cris des rats normaux... il donna un dernier puissant coup au derrière de Theorem, frappant au passage ses deux fesses de ses mains, et se vida en lui. Il se retira en même-temps qu'il jouissait et la moitié de sa semence qui n'était pas partit dans son cul se répandit sur son dos. Voyant son frère jouir, celui qui se prenait une fellation ne put pas tenir plus longtemps : il poussa bien fort sur la tête de Theorem pour qu'il se prenne tout le sexe dans la bouche, lui plaquant le nez contre sa fourrure crasseuse... et resta ainsi, tendis qu'il se vidait. En sueur et haletant, il le regarda et lui dit :

-Je ne veux pas de gaspillage, tu avales tout... je ne te lâcherais pas temps que tout ne sera pas parti. Et je te préviens : tu recevra un coup de fouet pour chaque goûte que tu fera tomber au sol.

Tendis qu'il restait ainsi, profitant encore de la sensation de sa queue dans la bouche chaude et humide de son esclave, son frère vint s'installer à côté de lui, et en profita pour saisir une mèche des longs cheveux rouges de Theorem pour se nettoyer le pénis encore visqueux avec. C'est à ce moment-là que Krax revint : il tirait par la laisse un animal à quatre patte bossu, à la fourrure grise, qui le suivait d'un air béat, une muselière lui fermant le museau... visiblement, il avait reçu une petite dose de la drogue que les skavens utilisaient sur certains de leurs esclaves pour les contraindre à se tenir tranquille, quand ils désiraient que leurs jeux se passent bien... cette drogue provoquait une certaine euphorie, même une certaine excitation, et multipliait la libido de celui qui la prenait.

C'était une hyène. Durant cette même journée, la meute avait croiser le chemin d'une petite famille de ces canidés... et ce soir, les restes de la plupart de ses membres tournaient encore sur les broches, aux os rongés par les crocs de rats. Mais après la demande de certains membres, la matriarche de la famille, une hyène de grande taille et au pubis particulièrement développé, même pour un membre de son espèce, avait été gardé en vie... on trouvait de tout, dans les goûts des rats, même de la zoophilie. Elle pouvait toujours être utile... et cette nuit, elle serait utile aux jeux des trois frères. En voyant leur frère revenir avec la bête, se taillant un chemin à coups de coude au milieu de leurs congénères en pleine copulation, les deux autres sourires... ils comprirent tout-de-suite ce qu'il voulait faire.

-Regarde, chienne, dit Krox en le retenant toujours sur sa queue, une membre de ton espèce veux venir jouer avec nous. Cette prise te plaira surement plus que la notre...

Il le lâcha enfin et lui donna un coup-de-pied en plein visage, ce qui l'envoya valdinguer sur le dos. Krix alla saisir l'esclave et le força à s'agenouiller au sol, le visage bien proche de la boue du marécage. Les deux autres saisirent la hyène, qui se laissa faire, et la couchèrent sur le dos. Krix alla plaquer le visage de Theorem contre le clitoris de la hyène, qui ressemblait à s'y méprendre à un pénis.

-Nous allons faire les choses comme avec nous, lui dit-il. Commence par te servir de ta bouche et de ta langue si spéciales. Met-ta nouvelle maîtresse dans de bonnes dispositions, et vous pourrez ensuite vous ébattre toute la nuit...

Theorem ne savait pas trop ce qu'allait faire ce rat partit juste après après avoir éjaculé dans ses oreilles. La sensation dégoûtante le laissait particulièrement humilié par tout ça, bien plus que de se faire enculer et de sucer deux de ses bourreaux. Le sexe intense qu'il subissait lui avait fait perdre l'envie de protester depuis longtemps. Arriva enfin le moment où son partenaire forcé de derrière éjacula enfin dans ses entrailles. S'il avait été contaminé, aucun doute que Theorem venait de l'être. Il se retira pendant son orgasme pour juter le reste de sa semence sur son dos. La situation allait empirer un peu plus alors que le partenaire d'en face finit par éjaculer dans sa gorge, lui faisant tout avaler. Le jus blanc l'étouffa un peu, mais rien d'insurmontable. Il avala le tout avant de se redresser, intimidé et regardant ailleurs. Quand l'un revint avec la hyène, Theorem fut d'autant plus perturbé. C'est la même réaction d'inconfort que l'ont peut ressentir quand on est en compagnie d'un singe. Pas tout à fait comme nous et pourtant si proche... La goule fuya un peu la créature du regard avant de recevoir l'ordre impérieux de sucer ce pénis, ressemblant à une queue, mais plus lisse et droite.

"O... Oui..."

Il couina, assis sur les genoux avant de se pencher sur l'animal muselé. Theorem se pencha totalement et commença à lécher ce sexe. L'odeur n'avait rien de comparable aux Kraks. Là il s'agissait d'un véritable animal n'ayant connus l'eau qu'en tant que rivière ou de ruisseau. Il se retenait de gémir de dégout avant d'avaler cette queue qui durcissait et devenait plus large. Vu les couinement bestiaux, pas de doutes qu'elle aimait ça. Il continua de sucer en sentant son méat au bout relâcher un peu de jus poisseux et salé. Theorem posa sa main gantée de noir le ventre de la bête, sentant le sperme ayant remplit son cul se vider lentement, goutte par goutte, sur le sol. Le vent lui rapportait aussi la sensation d'en avoir pas mal sur le dos...

Voir ce misérable esclave travesti obéir à leurs ordres et sucer la bite de cet animal drogué et soumis excita les trois frères au plus haut point... si ils n'avaient pas eu les mains prises, ils auraient dansé autour de ce petit couple si bien assorti au niveau des oreilles et de la queue en poussant des cris sauvages et peut-être même en se caressant entre les jambes, une fois qu'ils se seraient à nouveau remplis de sperme. Ils ne dansèrent pas, préférant ressentir la sensation de leurs mains sur la peau et dans la fourrure des deux êtres qu'ils retenaient, suivant leurs mouvement, mais ils hurlèrent de jouissance et rire de la manière que rirait la bête couinante si celle-ci n'était pas muselée. Le skaven qui retenait Theorem en profitait, tout en le retenant d'une main par les cheveux et le suivant dans son mouvement de va-et-viens sur l'intimité de son partenaire, pour caresser son beau derrière, étalant d'avantage le sperme qui coulait de son orifice, puis s'essuyant les doigts sur le pantalon qui couvrait les jambes artificielles de l'esclave. Quand à Crox, pendant que son frère maintenait la hyène en place, il masturbait celle-ci avec deux doigts quand Theorem remontait, afin de l'aider à lâcher son liquide salé dans sa bouche.

Certains des skavens qui avaient terminés leurs ébats et qui se reposaient un peu le temps de reprendre des forces pour un nouvel assaut sur les esclaves, entendirent les rires de leurs camarades et se joignirent à eux... assis autour, ils hurlaient de plaisir en voyant le spectacle d'un esclave forcé d'avoir des rapports zoophile... ceux qui ne riait pas criaient de jouissance, ou se masturbaient. Ankary elle-même, en ayant finit avec son humain, s'était joins au rassemblement, appréciant le côté imaginatif des trois frères. L'homme en question, le visage encore couvert de sa cyprine légèrement jaunâtre à cause de la saleté qui couvrait l'intimité de la rate, était couché sur le dos... elle s'était assise sur son ventre et avait couvert son visage de ses pieds. Elle lui avait ordonné de les nettoyer avec sa langue... non-pas qu'elle voulait être propre, mais parce qu'elle aimait la sensation d'une langue baveuse qui lui chatouillait les orteils. De toute façon, ce ne serait pas ça qui la débarrasserait de sa saleté et de sa mauvaise odeur.

Au bout d'un moment, la hyène commença à avoir des spasmes au-niveau des pattes arrières... elle n'allait pas tarder à arriver au comble de l'excitation, et les trois skavens se regardèrent avec une lueur entendu dans les yeux : il serait dommage de gâcher une précieuse semence. Alors celui qui retenait Theorem finit par le relever en le tirant par les cheveux, le forçant à lâcher le pénis de la hyène. Les frères se moquèrent de lui à cause du filet de salive qui raccordait encore sa bouche à la pointe... "à croire que vous êtes liés par le destin", comme ils le disaient. Les deux skavens relevèrent la hyène et la tirèrent en arrière, alors que celle-ci semblait vouloir revenir auprès de son compagnon, et le troisième, forçant leur esclave à garder les fesses bien en-l'air, plaqua violemment son visage dans la boue souillée par le semence de skaven. Puis ils firent venir la hyène derrière lui... pressée de pouvoir le chevaucher, celle-ci se dressait déjà sur les pattes arrières en tirant sur sa laisse, couinant, de la bave sortant de sa muselière.

-Je crois que ton nouveau mâle aime ton joli petit cul, sale chienne, dit celui qui retenait la laisse. Soit digne de cette hyène matriarche, et offre-nous un beau spectacle !

... et il lâcha la laisse. Sans plus chercher à comprendre, la hyène monta sur le postérieur dressé de Theorem, dont le visage était toujours maintenu au-sol par le skaven, chercha un instant, et le pénétra. Tendis que l'esclave se faisait sodomiser, les cris des spectateurs se firent plus frénétiques, plus insistants... de toutes cette orgie de rats, le rassemblement autour de Theorem était le plus bruyant.

Cette sensation d'être soudainement chevauché par un animal remplissait d'effroi la goule. Écrasé sous le poids de l'animal sauvage au sexe tendu et prêt à se satisfaire, il couina de plus belle et désespérément avant de sentir le sexe tendu frotter contre son anus, lubrifié par le skaven avant elle et encore dégoulinant de sperme. Ca ne semblait pas perturber cet animal outre mesure qui poussa d'un ultime coup de rein son sexe à l'intérieur de Theorem. Le coup fut violent, faisant avancer la goule d'un coup dans la poussière et le faisant soudainement lâcher un cri. Ses poings serrés il regarda au loin devant lui, les yeux écarquillés. L'impact un peu violent lui coupa le souffle un instant avant de sentir parfaitement l'intrusion en lui. Ce n'est pas comme si la matriarche hyène sur son dos qui serrait ses pattes autour de lui en avait quelque chose à faire de s douleur ou de lui. Elle l'avait pénétré d'un coup de rein puissant avant de débuter le coït bestial. Sans pause et sans interruption, elle le défonça purement et simplement.

"Uhaa.... Uhaa... S... Stoppez la..."

La goule cria presque avant de sentir son derrière à la limite de ce qu'il pouvait supporter. Ce mandrin énorme occupait tout le volume de son corps voir un peu plus. C'était large et long, occupant l'intérieur de son fondement. La sensation de la fourrure sur son dos et la bave de la hyène coulant sur lui le marqua d'une odeur de fauve. Theorem subissait cet assaut démentiel alors qu'il essayait d'y réchapper. Bien vite, la sensation de douleur s'estompa un peu, au profit de la sensation... de soumission extrême ! Il n'avait jamais connu ça. C'est comme si cet animal, cette hyène, répondait à toutes ses attentes sexuelles. Un animal sauvage qui le baisait sans contrepartie, l'utilisait purement et simplement. Amené à une relation sexuelle intense et unilatérale, c'est comme si Theorem découvrait la véritable soumission, le véritable sexe avec un dominant. Aucun rapport social, aucune interjection quelconque... C'était juste le soumis et elle la dominante. Un rapport pur, dénué de codes et de paraître. La bête s'occupait de son cul sans une once de pitié, ne jouait aucun rôle et ne témoignait que son plaisir de le faire. Theorem, confus, serra ses mains gantées de noir dans la terre poussiéreuse, ne faisant pas attention à la fête autours. C'est comme si une fièvre l'avait atteint...

"Uhhh... Qu'est-ce que... J... Haaan..."

Oui, c'était comme si une autre sensation inondait ses sens. C'était quelque chose de dilué dans toute cette sauvagerie, quelque chose d'implicite mais de tellement intense qu'il ne parvenait pas tout de suite à mettre le mot dessus... C'est ce rapport de soumission qui lui faisait ça et enfin, il percuta... Il AIMAIT ça ! Oui ! Les vas et vient sans pitié, l'absence de codes moraux, de compassion ou encore de soin qu'apportait sa "compagne". Cette hyène lui faisait quelque chose qu'il n'avait jamais jamais subit. Sa cage de chasteté était totalement occupée par son érection alors qu'il subissait les assauts de l'animal sauvage. Le terme approprié à tout ça lui vint immédiatement alors qu'il sentait la bête rugir de plaisir sur lui.

"Han noon... Je deviens... Zoophile !!!"

La dernière annonce de l'esclave pris de force par cette bête grise arracha de grandes crises d'hilarités parmi les skavens qui s'étaient rassemblaient pour observer cela... ce couple si étrange, et pourtant si bien assorti, était déjà si amusant pour ces hommes-rats cruels et sadiques, mais si en-plus leurs actions et leurs tortures poussaient celui qui était en-train de les subir à changer sa nature propre pour quelque-chose d'aussi bestial, alors ils étaient heureux de pouvoir participer à cette transformation. En tout-cas, Theorem semblait commencer à prendre beaucoup de plaisir à se soumettre à la matriarche... ce n'était pas son plaisir que les skavens avaient cherchés, mais peu-importe : cela excitait quand-même leur libido et la fête à laquelle il ne faisait maintenant plus attention n'en devint que plus brutale, au grand malheur de la plupart des esclaves dont les maîtres se sentaient plus inspirés que jamais. Beaucoup furent mis à quatre pattes, parfois attachés à des troncs, et commencèrent à se faire sodomiser comme des chiens... même les femmes se firent prendre par l'anus.

Les drogues que les rats utilisaient sur leurs esclaves animaux... plus difficiles à utiliser lors de leurs ébats car malgré la douleur, leurs instincts de survie les poussaient à réagir à la douleur et à la menace des prédateurs... avaient encore plus d'effets que ce que les trois frères monteurs de warg avaient espérés... cela ne faisait pas que rendre la hyène docile et l'exciter sexuellement : cela la rendait encore plus violente et plus sauvage lorsqu'elle faisait subir ses ébats à Theorem. Ses violents allés et retours claquaient sur les fesses de l'esclave dans la nuit, le son se faisant à-peine étouffer par les cris de plaisir et ceux de jouissances des rats, et les hurlements douloureux et humiliés des esclaves. La bête ne faisait pas cela de façon naturelle, elle ne cherchait pas à rendre son conjoint heureux, ni à suivre son instinct qui le poussait à se reproduire pour perdurer la race... tout ce qu'il voulait, c'était vider un trop-plein de sperme, se débarrasser des tensions causés par les drogues. Il prit cet esclave comme une bête durant de longues minutes, et celui-ci semblait y prendre tellement de plaisir que Krox, le rat qui le retenait, finit par le lâcher, et recula pour observer le spectacle dans toute sa splendeur... il doutait que Theorem cherche à échapper à son sort, et de toute-façon, l'anatomie particulière des canidés faisait que maintenant la hyène ne pouvait plus se retirer sans avoir finit, ils étaient attachés l'un à l'autre.

Pas loin d'un quart d'heure passa avant que la matriarche-hyène n'accélère une dernière fois le rythme pour un ultime asseau sur l'anus de la goule, et avant qu'elle ne se redresse d'un coup sur son dos en poussant un puissant cri de jouissance... et se déchargeant enfin. Mélangé déjà au flot de sperme de skaven que Theorem avait au-fond de lui, celui de la hyène déborda, tomba sur le sol et tâcha sa fourrure grise. La hyène resta dressée le temps que tout sorte... puis elle se laissa lourdement tomber sur son dos. Elle haletait et son souffle chaud courrait sur l'oreille et sur la joue de ce qu'elle considérait désormais comme sa femelle... sa langue passa à travers sa muselière et lui lécha trois fois le visage, premier et simple petit signe d'affection après tout ce que venait de subir Theorem durant cette soirée. Une chose était clair, au-moins, avec cette hyène : contrairement aux skavens qui ne voyaient en lui qu'une bouche et un cul qu'ils pouvaient remplacer à tout-moment par d'autres si il n'était pas sage, la hyène éprouvait de vrais sentiments pour lui, et maintenant que les choses étaient terminés, elle en venait même à s’inquiéter pour lui...

Terminés ? Pour la hyène, oui, mais pas pour Theorem. Le canidé gris et bossu finit par se retourner et se retrouver derrière-à-derrière avec lui, toujours connecté par son anus... il allait falloir qu'ils attendent un bon moment avant que son sexe gonflé ne retrouve taille normal et qu'il puisse se retirer... mais Krix, Krax et Krox ne comptaient pas laisser leur jouet de la soirée se reposer... eux, ils étaient en forme ! Une paire de mains crasseuses et couverte de rides attrapèrent Theorem par les joues et le forcèrent à se redresser... avant qu'il ne comprenne ce qu'il lui arrivait, le bout des trois bites caoutchouteuses, rouge, ayant toujours le goût de leur sperme, des frères entrèrent presque en même-temps dans sa bouche. Les trois skavens se tenait épaule contre épaule, bien serrés, et de nouveau d'attaque...

-Tu as été exceptionnelle, ma grande ! S'exclama l'un d'entre-eux en salivant, et les goûtes de sa bave tombèrent dans les cheveux rouges de celui qu'il retenait : je n'ai jamais vu un esclave prendre autant de plaisir à baiser avec un chien. Tu nous as tous excités... maintenant, tu dois nous détendre. Mais ne t'en fait pas : si tu es un joyeux zoophile, tu dois être contant de coucher avec des rats !

Tous rirent, et Theorem put voir que derrière ses trois tortionnaire, une petite queue s'était formée... tous les skavens qui avaient assisté à cela voulaient maintenant se décharger en lui, ensemble ou à tour-de-rôle... il les avait tous impressionnés et ils voulaient l'essayer. La plupart se tripotaient, mais évitaient d'aller trop loin... ils voulaient tout garder pour lui. Theorem allait peut-être participer à la plus grosse tournante de toute l'histoire de la meute de Kraks. Il n'était pas prêt de se reposer. En attendant, les trois frères enfonçaient à tour de rôle leur sexe au-fond de sa gorge. La hyène, toujours accrochée à lui, poussait des couinements douloureux à chacun de ses soubresauts.