He's a woman ! She is a man ! ["Dom" & "Dominette" Davereaux !]

Loin de cette chanson du groupe allemand Scorpions, et pourtant relativement peu éloignée de ce qu'elle traitait, voici l'histoire assez curieuse que vécut Chikako, ce jour, en fin d'après-midi après les cours, où elle avait vue une fille sortir des toilettes des mecs, vêtue d'un uniforme d'écolier masculin bien trop grand pour elle... Amusée par cette vision, se demandant si ce n'était pas une sorte de pari à la noix entre un garçon et sa petite amie, du genre "Mets mes vêtements et moi je mets les tiens...", elle se mit alors à la suivre la demoiselle jusque chez elle. Visiblement, c'était une étrangère. Dahurou, prononça-t-elle, à la nipponne. C'était en tout cas les katakana qui étaient gravés dans la plaque en laiton vissée dans le mur pour nommer la famille qui vivait là. Etrange... Toutefois, elle voulait avoir le fin mot de l'histoire. Juste pour s'amuser, tiens ! Allons-y, accrochez vous, cher public : c'est partit !

♪ Ranma 1/2 ! ♫ Moitié soleil ! ♫ Et moitié pluie ! ♫ Ranma 1/2... ♪

Bref, la lutteuse avait suivie la miss en bus, puis en métro, puis encore en bus et arriva enfin face à une grande maison où se trouvait la fameuse plaque...

*Dahurou... T'es d'où, toi, ma beauté ? Ca sonne un peu européen mais le pays... France ? Peut-être... Ou autre ?*

Intriguée, elle appuya sur la petite sonnette. Et attendit qu'on lui réponde dans l'interphone. Ce à quoi elle répondit :

-- Salut ! Je suis Ishikawa Chikako, je suis en 2nde au lycée Mishima... J'aimerai parler à la jolie jeune fille aux cheveux verts qui était habillée en garçon tout à l'heure...

Voila, c'est ainsi que commence notre histoire...

[HRP : Je commence avec Dom en version fille car j'ai une petite idée pour le début de la partie hentai ! ]

Le lycée de Mishima à Seikusu, j’avais décidé d’y aller pour finir ma dernière année de lycée, bientôt j’irais à l’université… et ce ne sera peut-être pas pareil. J’avais passé la journée sous ma forme masculine. Les professeurs étant au courant de mon problème de transformation, si bien qu’ils ne s’étonnaient pas de voir de temps en temps un garçon ou une fille. Je savais que certains élèves me trouvaient bizarre, j’avais inventé pour eux une histoire de sœur jumelle qui venait à ma place quand j’étais malade et vice versa…

Je savais très bien qu’un jour cela se terminerait autrement et qu’un des élèves se demanderait qui j’étais vraiment… ce que je ne savais pas c’était que ce jour-là viendrait aussi vite, et d’une jeune femme d’une autre classe. Enfin, je m’avance un peu. J’avais passé donc la journée au lycée, en fin d’après-midi, j’avais une envie pressante, et je m’étais donc diriger dans les toilettes des hommes du lycée. J’y étais depuis plusieurs minutes quand j’entendis les portes s’ouvrirent et des voix d’un garçon et d’une fille.

Ce qu’il se passa ensuite, je ne vous fais pas un dessin… ils firent l’amour… ou plutôt, ils baisèrent, car je ne pensais pas qu’on puisse faire ça dans les toilettes en étant amoureux. Evidemment, ça m’a stressé et je me suis mis à me transformer en fille. Je fis de mon mieux pour ne pas me faire entendre. Une fois leur affaire terminée, je restais encore dix ou douze minutes… le temps qu’ils soient bien partis. Je sortis des toilettes puis, tenant mon pantalon, après avoir resserré mes chaussures, je rentrais chez moi… en espérant qu’on ne m’ait pas vue.

Cela faisait quoi, cinq minutes que j’étais rentrée qu’on sonnait à la porte. Je répondis à l’interphone.

_ « Salut ! Je suis Ishikawa Chikako, je suis en seconde au lycée Mishima... J'aimerai parler à la jolie jeune fille aux cheveux verts qui était habillée en garçon tout à l'heure... »

Ce que j’avais tant redouté, à savoir qu’on m’avait suivi pour savoir pourquoi j’étais habillée en garçon. Ishikawa-San ? Je ne connaissais pas...

_ « J’arrive… »

Je rougissais en ouvrant la porte quand je vis une jeune femme adulte… et plutôt forte avec des muscles… elle était en seconde année ? Elle devait avoir repris les cours. J’étais encore avec mes vêtements de garçon bien trop grand pour moi…

_ « Bonjour… je m’appelle Dominique Davereaux… »

Je tendis la main, ne sachant pas trop ce qu’elle voulait. Je devais être un peu rouge quand même...

_ « Tu veux me voir ? »

Il ne fallut pas longtemps avant qu'une vois grésille dans l'interphone...

-- J’arrive…

Chikako sourit en voyant la miss arriver. Elle était toujours habillée en mec. La lutteuse en fut excitée. Elle trouvait ça sexy et se demandait de quel bord elle était. Peut-être qu'elle arriverait à la convertir, si elle était 100% hétéro.

-- Bonjour… Je m’appelle Dominique Davereaux…

Elle rougissait, c'était trop mignon à voir ! Ca lui rappelait un peu Camille Sirel. D'ailleurs, pensant à elle, Chikako se demandait ce qu'elle devenait...

-- Tu veux me voir ?

La Lutteuse lui sourit, et, très directe, elle la dragua d'entrée de jeu.

-- Ouais ! T'es trop canon, meuf ! Et te voir habillée en mec, j'avoue que ça m'a plu... Ca te dirait qu'on passe un petit moment toi et moi ? Histoire de faire connaissance... et pourquoi pas d'autres choses...

Dit-elle en tirant la langue, tout en caressant une joue de la demoiselle avec son index. Chikako n'étant pas du genre à tourner autour du pot, elle enchaina directement :

-- A vrai dire... Ce serait plutôt les autres choses que j'ai en tête. Hé hé !

Elle commence alors à tripoter un sein de la jolie Dominique, se foutant royalement du fait qu'elles étaient dans la rue et que les passants pouvaient les voir... Mais bon, Seikusu était une ville assez portée sur la chose...

Je la sourire, sans me serrer la main. Elle posa un doigt sur ma joue. Je devins un peu plus rouge… mais que me voulait-elle ?

_ « Ouais ! T'es trop canon, meuf ! Et te voir habillée en mec, j'avoue que ça m'a plu... ça te dirait qu'on passe un petit moment toi et moi ? Histoire de faire connaissance... et pourquoi pas d'autres choses... »

Elle se mit à me caresser la joue de son index. Je reculais d’un pas dans mon appartement tandis qu’elle avançait. Mais c’est qu’elle en voulait à mon corps,

_ « A vrai dire... Ce serait plutôt les autres choses que j'ai en tête. Hé hé ! »

Autre chose ? Elle commença à me tripoter un sein comme ça dans la rue, heureusement, il n’y avait pas âme qui vive dans celle-ci. Mais j’étais rouge pivoine… si elle continuait, j’allais me transformer à nouveau… et elle connaitrait mon secret… si j’en jugeais par ses actions, elle semblait aimer les filles. Elle serait très surprise de me voir me transformer en mec… mais si elle voulait bien de moi… comme j’étais…

_ « Entrez… »

Je la fis entrer dans l’appartement en m’éloignant un peu de ses mains de manière à reprendre mon emprise sur mon corps… mais je savais, au vu des battements de mon cœur, que ça allait être très difficile…

_ « Je… euh… »

Je devais être rouge pivoine, tandis que mon corps changeait imperceptiblement d’abord, puis de plus en plus, je défis la ceinture que j’avais resserré, mes seins disparurent tandis que je grandissais, et que je prenais un peu de carrure. Mes yeux dorés devinrent verts. Chikako me regardait avec un drôle de regard.

_ « Je suis désolé… maintenant… vous connaissez mon secret… »

Je baissais la tête, rouge de honte qu’une autre personne connaisse mon secret.

Chikako parvint alors à entrer dans l'appartement de la demoiselle. Elle était sacrément sexy ! Surtout avec ce teint rouge propre aux filles timides. Cela excitait grandement la lutteuse.

-- Entrez… Je… euh…

Chikako souriait une fois à l'intérieur des murs. Elle trouvait la timidité tellement mignonne chez les jeunes filles. Mais c'était surtout ce qui risquait d'arriver d'ici peu de temps qui la faisait réellement sourire. Puis soudain, le phénomène le plus étrange auquel elle n'avait jamais assisté auparavant eu lieu : cette fille était en train de se transformer en garçon !

-- Gné !?

Chikako avait les yeux écarquillés et la bouche ouverte suffisamment pour gober les mouches.

-- Je suis désolé… maintenant… vous connaissez mon secret…

La lutteuse ferma alors son gosier pour déglutir et tenter de faire le point sur la situation... Les toilettes des mecs, les fringues de mec...

-- Ca explique pas mal de choses...

Elle même avait son petit secret : elle maitrisait le pouvoir du Hadou, ce qui n'était pas une mince affaire en soi. En effet, elle était parvenue à maitriser cette technique de Ki au prix de nombreuses années de souffrances passées auprès de son Sensei.

-- Bon... Et bien... Puisqu'on en est là, tant pis... Je me contenterai de la version mec. T'es quand même très mignon... Oh, j'ai oubliée de me présenter : moi c'est Chikako. Ishikawa Chikako...

La catcheuse était terriblement excitée par cette intéressante personne capable de passer d'un genre à l'autre et, de facto, d'un sexe à l'autre.

-- Fiou... Fais chaud chez toi... T'aurais pas un truc à boire ?

Demanda-t-elle, sans gêne aucune, dévoilant un peu plus son décolleté généreux.

Voir une femme se transformer en homme devait être une expérience à la fois curieuse et épouvantable. La jeune femme déglutit... je pensais qu’elle allait fuir en connaissant mon secret… ce fut le cas, il y a deux ans quand j’avais invité une amie chez moi… j’étais rouge mais je sentais qu’elle réfléchissait. Mon pouvoir d’empathie fonctionnait à merveille.

_ « Ça explique pas mal de choses... »

Je rougis à nouveau, ne sachant pas que dire, elle était… très musclée, mais ne me déplaisait pas. Je sentais qu’elle avait aussi un secret qu’elle voulait garder secret, enfin c’est ce que je sentais…

_ «  Bon... Et bien... Puisqu'on en est là, tant pis... Je me contenterai de la version mec. T'es quand même très mignon... Oh, j'ai oubliée de me présenter : moi c'est Chikako. Ishikawa Chikako... »

Pourquoi se présentait-elle à nouveau ? J’avais bien compris qu’elle s’appelait comme ça puisqu’elle me l’avait dit un peu plus tôt… et pourquoi se contenterait-elle de ma version mec ? Je sentais qu’elle était excitée maintenant… et par moi ? Pourquoi ?

_ « Fiou... Fais chaud chez toi... T'aurais pas un truc à boire ? »

Je rougissais de plus en plus en voyant son décolleté. Je déglutis à mon tour puis je me tournais, même si mon empathie m’excitait tout autant qu’elle était excitée. Je pris un verre dans un placard et le mis sur la table. J’évitais de poser mon regard sur elle.

_ « Tu veux quoi ? J’ai de l’eau, du jus de fruit, ou du soda… »

Je baissais mon regard, essayant de ne penser à rien mais ne pouvant pas m’empêcher de sentir son excitation. Elle était assez mignonne mais beaucoup plus vieille que moi. Je supposais qu’elle n’était plus vierge, contrairement à moi… mais étais-je prêt à perdre mon pucelage ?

_ « Euh… je… tu es au lycée ? Tu as repris les cours, je suppose ? »

J’essayais de ne pas respirer trop fort, et je m’asseyais à la table, pour cacher la bosse que j’avais au niveau du bas ventre… plus elle était excitée, plus je l’étais et il semblait qu’elle était partie pour rester un moment avec moi.

La lutteuse souriait au jeune homme capable de changer de sexe comme par magie. Elle remarqua toutefois qu'il évitait de la regarder... Est-ce qu'il la trouvait laide ou bien... ? Visiblement, non, vu qu'il était rouge comme une pivoine ! Mais alors ? Se pouvait-il que l'attirance que Chikako était réciproque ? Si c'était le cas, c'était intéressant...

-- Tu veux quoi ? J’ai de l’eau, du jus de fruit, ou du soda…
-- Un soda, c'est parfait ! Merci petit chou.

Répondit-elle, amusée de voir à quel point il semblait déstabilisé par elle. C'était pas souvent qu'elle mettait quelqu'un dans cet état mais ce n'était pas pour lui déplaire. Cela l'excitait encore plus. Homme ou femme, peu importait : cette personne lui plaisait et elle avait envie de se la faire.

Euh… je… tu es au lycée ? Tu as repris les cours, je suppose ?
-- Oui. Je suis en seconde... Je sais, à 28 ans ça peut paraître chelou mais j'ai vécu des choses terribles quand j'avais 16 ans alors j'ai du arrêter mes études. J'ai un boulot en ville mais ça paye pas assez, alors j'ai pu obtenir un dérogation de la directrice de Mishima pour reprendre les cours là où je me suis arrêtée : en seconde.

Chikako remarqua très brièvement la bosse au niveau de son engin. Elle se mordilla alors la lèvre inférieure et fit un sourire bien pervers avant de rire et de taquiner un peu Dominique.

-- C'est ton portable que j'ai vu dans ta poche ou c'est la joie de me voir ? Hé hé !

Fière de sa connerie, elle s'approcha de lui et posa sa main sous le menton du jeune homme pour le relever afin de pouvoir le regarder droit dans les yeux. Elle lui adressa son plus beau sourire.

-- Est-ce que je te plais, beau gosse ?

D'humeur coquine, elle déposa un tendre baiser sur son nez.

-- Toi, en tout cas, tu me plais beaucoup...

Acheva-t-elle, emplie de désir pour lui.

Je sentais toujours son excitation tandis que je lui servais son soda. J’étais gêné par ce qu’elle ressentait mais j’essayais de ne pas y faire attention.

_ « Oui. Je suis en seconde... Je sais, à 28 ans ça peut paraître chelou mais j'ai vécu des choses terribles quand j'avais 16 ans alors j'ai du arrêter mes études. J'ai un boulot en ville mais ça paye pas assez, alors j'ai pu obtenir un dérogation de la directrice de Mishima pour reprendre les cours là où je me suis arrêtée : en seconde. »

Je hochais la tête tout en sentant qu’elle avait remarqué ma la bosse au niveau de son engin. Je la vis se mordiller la lèvre inférieure et me fit un sourire que je trouvais pervers. Puis elle éclata de rire. Je continuais de rougir.

_ « C'est ton portable que j'ai vu dans ta poche ou c'est la joie de me voir ? Hé hé ! »

Je rougis violemment tandis qu’elle s’approcha de moi et posait sa main sous mon menton. C’était bien la première fois qu’une fille, ou plutôt une femme me touchait comme cela depuis que je suis assez grand pour me laver tout seul. Elle me releva pour me regarder droit dans les yeux et me fit un beau sourire.

_ « Est-ce que je te plais, beau gosse ? »

Je déglutis, c’était pas vraiment qu’elle me plaisait mais surtout que j’étais empathe… je sentais qu’elle était d’une humeur coquine, et elle déposa un tendre baiser sur mon nez. J’étais toujours aussi rouge.

_ « Toi, en tout cas, tu me plais beaucoup...  »

Je pouvais sentir son désir pour moi… un désir non feint. Elle me voulait dans son lit… je la regardais toujours sous l’emprise de son désir.

_ « Je… je suis un empathe… c’est pour ça… je ressens tout ce que tu ressens… et j’ai ressentis ton excitation depuis le début. »

Je baissais les yeux tout en continuant de ressentir ses émotions, son excitation…  si elle continuait à être excitée comme ça, je n’allais pas tarder à jouir dans mon pantalon. Peut-être que je n’aurais pas dû en parler ?  Il est des choses qu’on ne doit pas dire… j’avais toujours été timide et c’était peut-être l’occasion de ne plus l’être…

Je me mis à la regarder. Elle était assez mignonne, et très excitée… et surtout très voir trop proche de moi. Je sentis que je jouissais dans mon pantalon. Je rougis encore plus.

_ « Faut que je change de pantalon… »

C’était sorti tout seul, avant que je n’ai pu m’en empêcher…

La manière dont Dominique rougissait émoustillait la lutteuse. Cette dernière, en effet, avait beau aimer les personnalités fortes, ce qui la faisait le plus craquer était encore les personnes "faibles" et ayant peu d'assurance. Haruna, Camille, Yume, Axel, Yumi, Megumi... Toutes ces personnes d'allures frêles l'émoustillait. Et, pour ne pas changer, Dominique l'excitait fortement à cause de cette timidité. C'est alors qu'il lui fit une étonnante révélation.

-- Je… je suis un empathe… c’est pour ça… je ressens tout ce que tu ressens… et j’ai ressentis ton excitation depuis le début.
-- Oh je vois !

Répondit-elle, amusée. Un empathe... Il pouvait donc ressentir les émotions des autres ? C'était intéressant à savoir ça ! Chikako aimait beaucoup "jouer" avec ses partenaires. Elle s'imaginait alors nue contre lui, attisant son désir, et se faisant celui de Dominique... Cela eut un effet pour le moins dévastateur...

Faut que je change de pantalon…

Chikako éclata alors de rire. Il venait de... !

-- Et bien ! Je te fais de l'effet on dirait !

Taquine et coquine, elle s'agenouilla alors devant lui, gardant un air sérieux presque flippant.

-- Pas la peine de changer de pantalon pour le moment... Le plus urgent...

Elle déboutonna alors le pantalon de Dominique.

-- ...c'est de te nettoyer...

Elle glissa sa main sous le caleçon du jeune homme, ses doigts rencontrant une matière collante alors qu'elle s'employait à sortir son sexe, redevenu mou, de sa prison de tissu.

-- N'aies pas peur, mon petit loup. Contente toi d'apprécier le nettoyage...

Dit-elle, avant de mettre le gland décalotté dans sa bouche. Ce n'était pas tout à fait ainsi qu'elle voulait lui mettre le grappin dessus, mais bon... Puisque c'était ainsi, autant profiter grandement de l'instant présent. Elle le suça tendrement, et il ne fallut pas longtemps pour qu'il retrouve de sa vigueur. Chikako leva les yeux vers lui, cherchant à capter son regard. Ce faisant, ses mains se baladèrent sous son tee-shirt pour caresser son ventre.

Je devins rouge pivoine quand Chikako éclata alors de rire. Sa présence près de moi était si excitante.

_ « Et bien ! Je te fais de l'effet on dirait ! »

Je hochais la tête tandis qu’elle s'agenouillait devant moi, elle avait repris son sérieux…  je sentais qu’elle allait faire un truc que je n’avais jamais expérimenté. Je rougissais car elle était au niveau de mon… de mon membre viril.

_ « Pas la peine de changer de pantalon pour le moment... Le plus urgent... »

Pas la peine ? Puis elle se mit à déboutonner mon pantalon. Je rougis encore plus quand je me retrouvais en caleçon devant elle. Ça me faisait drôle de me retrouver ainsi devant une… femme…

_ « ...c'est de te nettoyer... »

Nettoyer ? Mais… elle n’allait pas le faire… si… elle glissa sa main sous mon caleçon, je rougis encore violemment. Elle prit en main membre viril tout en le sortant de mon caleçon.

_ « N'aies pas peur, mon petit loup. Contente toi d'apprécier le nettoyage... »

Je sentis qu’elle mit mon sexe dans sa bouche après l’avoir décalotté. Je gémis tandis qu’elle commençait à me la sucer tendrement. J’étais totalement paralysé par ce qu’elle me faisait. C’était la première fois pour moi. Mon membre viril se redressa rapidement sous la langue experte de Chikako. Ça ne devait pas être la première fois qu’elle faisait ça. Je baissais les yeux vers elle tandis qu’elle me regardait. Puis ses mains se baladèrent sous mon tee-shirt pour caresser mon ventre.

_ « Chikako-san… on devrait pas… »

Je rougis tandis qu’elle continuait de me sucer et de me caresser le ventre. Elle semblait totalement excitée par moi.

_ « Euh… je veux dire… ici… »

Je balbutiais en gémissant doucement… dieu qu’elle était douée… c’était ma première fois, mais jamais je n’aurais cru le faire avec une femme de bien dix ans de plus que moi. Mais cela m’importait peu à ce moment-là. Nous serions peut-être mieux dans ma chambre ou bien dans la salle de bain…

_ « On pourrait aller dans ma chambre… ou peut-être dans la salle de bain… elle est grande… »

Je rougis violemment encore une fois.

La lutteuse prit un malin plaisir à sucer ce membre luisant de sperme "gaspillé". D'aucuns pouvaient trouver que c'était aller vite en besogne. Certes... Mais puisque Dominique, manquant cruellement d'expérience, n'avait su se retenir... Et puis... A quoi cela lui aurait servi de changer de caleçon et de pantalon, puisque de toutes façons Chikako aurait fini par les lui faire enlever à nouveau ? Quelque part, elle anticipait... Elle prit soin de bien nettoyer le chibre, caressant même ses testicules et tentant de temps à autre une gorge profonde. Sa langue titilla même le prépuce par moments. Leur regards se croisant, la lutteuse souriait tout en ayant la queue en bouche. Les mecs adoraient cela, généralement.

-- Chikako-san… on devrait pas…

Quoi ? Il n'appréciait pas ? Elle empoigna alors ses fesses et se força à faire pénétrer le membre plus profondément dans sa gorge, retenant difficilement une larme.

-- Euh… je veux dire… ici…

Ah ! Voila qui la rassurait sur ses compétences en gâteries... Elle sortit alors le sexe de sa bouche pour lui léchouiller un peu les bourses.

-- Ah ? Comment ça ?

Demanda-t-elle, avant de reprendre l'engin en bouche.

-- On pourrait aller dans ma chambre… ou peut-être dans la salle de bain… elle est grande…

Oh ? Ce n'était que ça ? La lutteuse été donc fixée : il ne voulait pas en rester là. Mais Chikako se doutait que quelqu'un pouvait peut-être les surprendre... Il était encore assez jeune, donc peut-être qu'il vivait encore avec ses parents ? Quoi qu'il en soit, Chikako ne voulait pas prendre de risque aussi s'arrêta-t-elle de le sucer pour se relever.

-- D'accord. Allons dans ta chambre. On ira à la salle de bain un peu plus tard...

Elle le suivit alors jusqu'à sa piaule. Là, elle se dirigea vers sa chaine hifi.

-- Installes toi sur le lit, mon petit loup, et profites du spectacle.

Elle brancha son lecteur MP3 sur les enceintes et diffusa un morceau approprié à un strip-tease. Elle commença alors à se dévêtir sous les yeux du beau mâle. Elle retira ses vêtements lentement, assez pour faire monter la température. Comme une effeuilleuse professionnelle, elle se frotta même à lui par moments, plaquant parfois son opulente poitrine contre le visage du garçon. Une fois son strip-tease achevé, elle prit la main droite de Dominique et l'embrassa sur la paume, avant de poser celle-ci sur son sein gauche.

-- N'aies pas peur de me toucher, mon chou. Je vais pas te mordre...

Elle s'avança alors lentement, sa bouche allant à la rencontre de celle de Dominique. Elle s'assit alors à califourchon au dessus de lui, le faisant s'allonger sur le lit, tandis que leurs langues s'entremêlaient. La lutteuse l'embrassait langoureusement, frottant sa vulve contre le pubis du garçon, sentant son sexe dur frotter contre ses fesses. Elle s'arrêta un instant.

-- Tu veux que je continue à prendre les choses en mains, ou bien tu préfère dominer ?

Demanda-t-elle, caressant son visage.

Sentir la langue de Chikako sur mes gonades était merveilleux. Je n’avais pas idée de ce que je ferais le jour ou perdrait ma virginité, mais là, ça dépassait déjà tout ce que j’avais imaginé. Elle s’arrêta de me sucer et se releva.

_ « D'accord. Allons dans ta chambre. On ira à la salle de bain un peu plus tard... »

Je rougis un peu puis je l’amenais dans ma chambre. Il n’y avait personne chez moi, pour la simple et bonne raison que mes parents travaillaient toujours à Paris. C’était une chambre normale, avec une chaine hi-fi, un lit deux places, une armoire et un petit bureau pour travailler le soir. Sans attendre, elle se dirigea vers sa chaine hifi.

_ « Installes toi sur le lit, mon petit loup, et profites du spectacle. »

Je la vis brancher son lecteur MP3 sur les enceintes et diffusa un morceau de musique tandis que m’installait sur mon lit après avoir retiré mes vêtement… après tout, nous allions le faire. Puis elle commença alors à se dévêtir sous mes yeux incrédules. Nous étions encore des étrangers et elle faisait un striptease devant moi… elle retira ses vêtements lentement, tandis que mon membre se dressait de plus en plus. Elle vint même se frotter à moi par moment, plaquant parfois son opulente poitrine contre mon visage qui devait être cramoisi. Une fois nue, elle me prit la main droite pour embrasser ma paume, puis elle la posa sur son sein gauche. C’était si doux et si ferme.

_ « N'aies pas peur de me toucher, mon chou. Je vais pas te mordre... »


Elle approcha lentement sa bouche de mes lèvres tout en approchant son corps du miens. Elle s'assit alors à califourchon sur moi, je rougissais toujours tandis qu’elle me faisait m'allonger sur le lit. Elle m’embrassa alors… c’était mon premier baiser… je répondis maladroitement à son baiser tout en lui caressant le sein gauche de ma main droite, mon autre main se posant sur son dos. Nos langues s’entremêlaient dans  nos bouches. Elle m’embrassait langoureusement tout en frottant son intimité sur mon sexe qui était dur. Elle s'arrêta un instant en me regardant.

_ « Tu veux que je continue à prendre les choses en mains, ou bien tu préfères dominer ? »

Elle me caressa le visage doucement, je rougissais car j’étais bien là comme ça, elle au-dessus de moi et moi en dessous. Ma main droite toujours sur son sein et la gauche sur son dos. Je déglutis un peu tout en souriant, caressant son sein.

_ « Je préfère comme ça… »

Je rougis un peu plus puis je l’embrassais dans le cou tout en lui caressant un sein et le dos et en frottant mon membre contre sa vulve. Mes baisers montant vers ses lèvres et mes caresses se faisant de plus ne plus sensuelles. Mon cœur battait fort dans ma poitrine mais pas suffisamment pour me faire changer de sexe. Je sentais qu’elle était aussi excitée que moi, et plus elle était excité, plus je l’étais… car je ne contrôlais aucunement mon empathie.

J’avais un léger pouvoir télékinétique, je me demandais si je pouvais l’utiliser pour caresser Chikako… je rompis un instant le baiser et j’arrêtais mes caresses pour la regarder dans les yeux…

_ « Je peux tenter une expérience ? »

J’étais rouge pivoine.

La lutteuse appréciait tant l'instant ! S'envoyer en l'air était l'un de ses passes-temps favoris et peu lui importait avec qui, tant que la personne lui plaisait physiquement. Et, comme tout un chacun, elle avait des gouts bien spécifiques. Et malheureusement (ou heureusement, allez savoir) pour lui/elle, les deux apparences de Dominique lui avait tapé dans l'oeil. C'était donc partit : ils étaient bientôt sur le point de faire la chose. Chikako remarqua de suite qu'il ne savait pas embrasser. Ne voulant pas le mettre mal à l'aise, elle n'en dit rien, se contentant d'essayer de conduire la "danse" de leurs deux langues entremêlées. Elle apprécia toutefois ses caresses.

-- Je préfère comme ça…

Lui répondit-il. Cela fit sourire Chikako qui, de toutes manières, préférait dominer les choses. Même si parfois elle n'était pas contre d'inverser les rôles... Elle sentait son intimité être assez humide, à présent. C'est alors que Dominique lui demanda un drôle de truc...

-- Je peux tenter une expérience ?
-- Hum...

Hésita-t-elle, un moment, avant d'empoigner le membre viril de Dominique comme elle le pouvait.

-- Ca dépend...

Elle leva quelque peu ses fesses, et s'inséra le membre dans son vagin. Le chibre dur coulissa tout doucement en elle, tout en serrant ses muscles vaginaux autour pour bien le masser. Elle afficha alors un sourire bien pervers.

-- ...si c'était à ça que tu pensais ?

Acheva-t-elle, reprenant son baiser, brièvement, avant de reprendre.

-- Qu'est-ce que tu voudrais faire, mon petit coeur ?

Elle commença alors à lever et à baisser à rythme régulier et lent son bassin, gémissant de plaisir. C'était si bon, le sexe ! La lutteuse alla chercher de nouveau la bouche de Dominique, pour l'emballer avec passion. Ce baiser fut parfois entrecoupé de paroles.

-- Tu me dis... Si tu veux... Que j'aille plus vite...

Dit-elle, continuant de remuer son bassin.

Je rougissais tandis qu’elle était toujours au-dessus de moi, j’aimais l’avoir comme ça… je ne savais pas dire pourquoi, mais c’était ainsi.

_ « Hum... ça dépend... »

Elle prit mon membre… je gémis sous sa main tandis qu’elle souleva son popotin et insérait mon sexe dans son intimité. La sensation fut pour incroyable, elle semblait étroite, et pourtant, je me doutais bien qu’elle n’était plus vierge. Doucement, et lentement, mon membre glissa entre les lèvres intimes de Chikako-san. Une pensée me vint à l’esprit, je n’étais plus un puceau, j’étais un homme désormais… je la regardais alors qu’elle avait un sourire pervers. Je rougis violemment.

_ « ...si c'était à ça que tu pensais ? »

Je secouais la tête tandis qu’elle m’embrassa à nouveau, je me remis à la caresser doucement tout. Sentir mon membre dans son intimité était incroyable, c’était vraiment bon… elle m’embrassa à nouveau rapidement. C’était donc ça, faire l’amour…

_ « Qu'est-ce que tu voudrais faire, mon petit cœur ? »

Les mouvements doux, lent, et régulier sur ma verge me firent gémir en même temps qu’elle… elle prenait donc du plaisir tout comme moi… puis Chikako-san m’embrassa à nouveau avec passion, baiser auquel je répondis un peu plus passionnément.

_ « Tu me dis... Si tu veux... Que j'aille plus vite... »

Elle continuant de remuer son bassin tandis que je gémissais et secouais la tête. C’était si bon ainsi…

_ « Je… j’ai de petites capacités… télékinétiques… je peux te caresser avec si tu veux… »

Je rougis violemment, car personne, pas même mes parents, savait que j’avais quelques pouvoirs psioniques. Je pouvais bouger des objets de petites tailles et pas très lourd, moins d’un kilo. Je me mis à la caresser télékinétiquement et ce très délicatement, j’ignorais si cela lui procurerait des sensations…

_ « Ça va ? Ça te plait mes caresses kinétiques ? »

Je continuais ainsi, la caressant sensuellement, aussi bien manuellement que télékinétiquement, accentuant celles-ci sur les parties les plus érogènes de la jeune femme.

La lutteuse continuait à remuer son bassin à un rythme régulier, gémissant et frissonnant de plaisir. Elle se cambra vers l'arrière, de sorte à sentir le gland stimuler au maximum son point G. Sans trop s'en rendre compte, elle se mit à bouger un peu plus vite, poussant même de petits soupirs de temps à autres. La verge de Dominique lui apportait beaucoup de plaisir, et cela semblait être réciproque pour le jeune homme qui lui avoua ce qu'il désirait faire.

-- Je… j’ai de petites capacités… télékinétiques… je peux te caresser avec si tu veux…
-- Han ! Okay !

Répondit-elle, se sentant monter d'un cran dans l'excitation sous l'effet des caresses télékinétiques. C'était... étrange... mais pas désagréable du tout. Elle les sentait bien mais ce n'était pas physique. C'était là un pouvoir bien étonnant.

-- Ça va ? Ça te plait mes caresses kinétiques ?
-- Oui ! C'est trop bon ! Haaaa !!!

La lutteuse prenait un pied d'enfer avec lui, malgré son inexpérience. Il fallait dire qu'il avait une assez belle verge et qu'elle lui donnait beaucoup de plaisir. Chikako se mit alors à titiller son clitoris tout en remuant le bassin, astiquant la virilité avec son intimité.

-- Han ! Haaaa... ! Tu me dis... quand tu sens, haaaa, que tu viens... ?

Elle se mit à remuer encore plus vite, sentant que son premier orgasme à elle n'allait pas tarder à arriver. Continuant à stimuler son clitoris d'une main, elle caressait le torse de Dominique de l'autre. Il ne faudrait plus trop longtemps à la lutteuse pour jouir, s'il continuait ses caresses kinésiques...


[HRP : Désolée, j'étais pas trop inspirée pour ce post ^^' ]