Mission suicide ? [Jill Valentine]

Un seul mot pouvait expliquer la relation sexuelle que je venais de vivre. Il revenait bien souvent ce mot, même si en fait, il n'avait qu'une syllabe : wow. Oui, simplement wow ! Je n'avais jamais vécu quelque chose d'aussi incroyable que cela, avec une race que j'ignorais l’existence il y avaient quelques heures de cela. J'avais bien fait de suivre Thorne, qui était bien entendu, le corps d'un ancien connard. Au moins, il avait été tué ! Oh la la ... Méchante Jill ! Je ne pouvais pas croire que je disais une chose avec tant de méchanceté, même si c'était en quelque sorte la réalité. Enfin, fallait dire qu'il l'avait mérité cet enculé ! Mais réellement, j'avais bien fait de suivre Thorne dans le désert, sinon, je n'aurais pas vécu la peur et l'excitation en même temps ! C'était vraiment incroyable, incomparable. Un humain n'aurait jamais eu cette force, cette endurance et n'aurait jamais produit une telle quantité de sperme. Bon d'accord, je devais avouer que le sperme n'avait pas été mon repas favori ces dernières années, mais celui de Sarah était délectable, très bon je devrais dire, il n'était pas ordinaire.

J'avais eu mal certes durant ses heures, mais le mal a su comment se changer en plaisir. Ça avait tellement été formidable, que je ne pouvais que rêver durant mon inconscience. Rêver de Sarah, de Thorne, des formiens. Rêver que tomber enceinte pour Kerrigan serait formidable, que je l'aimais à la folie. Attendez un peu, ça semblait être du lavage de cerveau, une véritable drogue du viol ! Enfin, viol de ma conscience. Mais il fallait avouer que cette vision des choses n'était pas si mal, je rêvais un vrai rêve excitant. Sarah me baisait encore, mais amoureusement cette fois-ci, ne pouvant s'empêcher de toucher à mon corps, titillant mon clitoris et mon anus, tripotant ma poitrine, la malaxant, jouant avec ses tétons et enfin une voix me vient à l'esprit. Han non, pas maintenant, j'étais déjà sur le bord de gouter encore une fois à l'orgasme. Non ... Non ... Mais enfin, je me réveille, les yeux encore un peu endormis, clignant de ceux-ci pour me réveiller enfin. C'était Kerrigan qui était devant moi et qui souriait. Ça alors ... Elle était vraiment belle lorsqu'elle souriait, ses yeux brillaient vraiment ! Et ce n'est pas qu'un contexte. Une beauté rare.


« Bonjour ... Ah ! Merde. »

Je venais de me lever, mais je me recouche subitement en regardant mon ventre qui me fit souffrir. Oui, j'étais réellement enceinte. C'était quand même incroyable de penser à cela ! Jill Valentine, agente de vingt-quatre ans, enceinte d'une espèce de bestiole qui me faisait enflée le ventre aussi subitement, comme si j'étais tombée enceinte il y avait une douzaine de mois ! Bon d'accord, j'exagérais mais enfin. Je découvre les croissants aux beurres dans des petits sachets et l'eau me monte à la bouche. À manger ! Je le prends dans mes mains et prends prend une bouchée, ayant déchiré le sac en moins de cinq secondes. J'avais une faim de loup ! J'engloutis le premier en cas en quelques minutes seulement et j'essuie mes lèvres pulpeuses, oubliant totalement que Sarah me regardait manger. Je me retourne simplement un peu et la regarde.


« Hum, merci. Ça fait du bien ou ça passe ! »

Je souris, je me sens maintenant plus à l'aise avec elle. Après tout, elle m'avait guérie et semblait plus qu'heureuse donc j'en profitais ! Enfin, pendant qu'elle me parle, je prends le sandwich au jambon et en prend une petite bouchée, la mâchouillant et l'écoutant toujours avec un peu de perplexité. Elle avait raison, mais alors pourquoi m'avait elle gardé avec elle dans son entre et m'avait donc soigné ? Il était vrai que je n'étais qu'une humaine faible face aux formiens, qui avaient une force grandiose. Ils pourraient écraser une armée entière avec le petit doigt ! J'exagère, mais ce sont des façons de parler oui, oui !

« Où tu ... Où voulez-vous en venir Sarah ? »

Je la vouvoie, de quoi être plus polie, c'est tout de même la reine des lames ! J'allais presque faire la révérence, mais non, je ne suis pas aussi soumise que cela. Je mords encore une fois dans le pain de mon sandwich avec délectation. Ça faisait longtemps que j'avais mangé donc, manger que du pain aurait été la meilleure chose que j'aurais mangée de toute ma vie même s'il aurait été fade ou autre chose. Je me lève maintenant doucement tenant mon ventre à un bras et mon repas de l'autre mains, m'assoyant sur le bord de mon lit formiens en regardant Sarah de mes yeux verts profond, penchant un peu sur le côté, interrogative. Aïe aïe, il ne fallait pas que je sois trop mignonne, sinon, elle allait me fourrer encore une fois son membre dans l'intimité, même si j'étais enceinte ! Je devais faire gaffe, donc je relève ma tête, encore inquiète de ce qu'elle allait me dire. Fallait-il que je devienne son esclave bon sang ? Sincèrement, j'espérais que non, ça me détruirait la vie.

Tandis que Jill mangeait, Sarah l’observait. Elle avait parlé, lui expliquant les choses. Naturellement, Sarah ne comptait pas du tout se séparer d’elle. Elle aurait pu continuer à la manipuler. Jill n’avait aucune résistance mentale à ce genre de choses, et elle venait de coucher avec la Reine des Lames, ce qui la rendait encore plus facilement malléable. Face à elle, elle était comme un deux essayant vainement de lutter contre un flush royal. Dans son esprit, Sarah sentait la manipulation s’opérer, une sorte de syndrome e Stockholm, ainsi que les Terriens l’appelaient... Ou de syndrome de la Fourmilière, pour reprendre son équivalent tekhan. Jill appréciait sa geôlière. Elle mangeait avec appétit, tandis que son ventre s’était légèrement arrondi. La vie pulsait à l’intérieur. Comment cette humaine avait-elle sérieusement pu croire que Sarah allait l’abandonner ? La Reine des Lames aimait bien s’entourer de belles femmes, et cette Jill lui semblait trop précieuse pour qu’elle daigne la relâcher.

Elle avait bien d’autres projets en tête.

« Où tu ... Où voulez-vous en venir Sarah ? »

La Reine des Lames ne répondit pas. Ce vouvoiement était bon signe. Jill ne deviendrait pas une Formienne, mais reconnaîtrait Sarah comme ce qu’elle était : sa supérieure naturelle. Tout fonctionnait très bien. Et même encore mieux que prévu, car sans qu’elle ne demande rien, elle vit Jill se redresser. Son ventre était légèrement arrondi, ce qui tirait un peu plus sur sa combinaison moulante. D’une main, elle caressait son estomac, et de, l’autre elle tenait son sandwich. Elle observa alors Sarah, en penchant légèrement la tête sur le côté, une petite lueur perdue dans les yeux. Pour la Reine des Lames, c’était un appel. Un frémissement la parcourut, et elle s’avança vers elle. Tout en marchant, son sexe violet apparut à nouveau, les deux plaques de chitine protégeant son intimité s’écartant pour révéler un beau chibre, le même qui avait longuement pénétré Jill.

Sarah se rapprocha, et, sans rien dire, posa ses mains sur la tête de Jill, agrippant ses cheveux, et lui fit une fellation, une longue gorge profonde. Elle soupira silencieusement, se mordillant les lèvres, et tendit l’une de ses pattes, attrapant le sandwich, avant de l’écarter de Jill.

« Pose tes mains sur mes fesses, ma belle... Tu as besoin d’une boisson pour accompagner ton petit-déjeuner. »

Le sexe continua à remuer dans la bouche de Jill, les gémissements de l’agente du BSAA venant bercer ce petit câlin matinal. Au bout d’une dizaine de minutes, Sarah alla jouir dans la gorge de Jill, lâchant quelques généreuses giclées, puis retira son sexe. Il était toujours tendu, et elle ordonna à Jill de le lécher, afin d’avaler les dernières traces de sperme. Sarah l’avait pénétré pendant qu’elle était en train de manger, ce qui faisait que l’agente n’avait pas eu le temps de tout avaler, et que certains morceaux de pain furent ainsi imprégnées d’une sauce tout à fait particulière. Cependant, cette fois, le sperme de Sarah avait une propriété spéciale, supplémentaire : il était aphrodisiaque.

Après avoir son sexe nettoyé, Sarah approcha sa patte de la bouche de Jill, afin qu’elle puisse le manger.

« Je veux en venir à une chose très simple, ma belle... Tu n’es pas assez talentueuse pour ce monde, et, si tu veux vraiment accomplir ton devoir, tu as besoin de mon aide... »

Le sexe de Sarah caressait la joue de Jill, glissant le long de son visage.

« Je pourrais t’améliorer, Jill... T’aider, te rendre plus forte, plus endurante... Tu vois de quoi Thorne est capable ? À la base, elle était une simple humaine, tout comme toi... Rien d’exceptionnel, rien de particulier, si ce n’est de m’avoir plu. Je peux t’améliorer, tout en continuant à faire de toi une humaine. La seule chose que j’exige, en retour, c’est ta pleine coopération... »

Qui aurait pu refuser ? Elle continuait à caresser les cheveux de Jill, et s’allongea alors à côté d’elle. Jill avait fini son sandwich, et Sarah se vautra dans le lit, couchée sur le flanc. Elle posa un doigt sur les lèvres de Jill, puis lui fit signe de se rapprocher. Elle connaissait déjà sa réponse. Elle l’embrassa sur les lèvres, et la força à s’allonger contre elle. Une main sur ses fesses, elle la pénétra encore, dans son vagin, et, tout en l’embrassant, un long et sulfureux baiser, elle remua son corps, donnant des coups de reins de plus en plus prononcés, haletant et gémissant. Elle posa sa main sur le crâne de Jill, puis, tout en la pénétrant, finit par se retrouver sur elle.

Au bout d’une demie-heure, cette fois, Sarah finit par jouir à nouveau, se déversant dans le corps de Jill.

« Ton bébé tiendra le coup, Jill, ne t’en fais pas... Et, tandis que je te formerais, je t’en offrirais d’autres... Alors, qu’en dis-tu ? Souhaites-tu partir en ma compagnie ? Tu vois, je t’offre le choix... »

Le nez de Sarah vint délicatement frotter celui de Jill, et elle l’embrassa à nouveau.

« Tu as le droit de refuser, et je te laisserais ici... »