Hj- désolé pour la longue, longue attente ! Merci d'avoir patienté chérie :3 - Hj
Je la regardais, elle souriait, j'étais sûre qu'elle allait rire aussi de ma réponse ! Mais non, elle n'en fit rien et c'était un si bon soulagement ! Oh oui ce l'était, ce n'est jamais agréable se faire rire en plein visage après tout ... Non ? Elle revenait caresser mon visage qui se crispait de douleur lorsque je sentais quelque chose dans mon ventre. Il ballotait, il allait grossir ou quoi . Comme ça ? En un claquement de doigt ? C'était peut-être probable, mais je ne le voulais pas ... Ce serait monstrueux de mon point de vue. Je regardais mon ventre, et cette fois-ci, criais de douleur. Un alien allait me sortir du ventre ou quoi . Mais elle semblait un peu s'en foutre. En fait, elle s'en foutait complètement ! Puisqu'elle recommençait à me baiser, entrant sa queue violette dans mon intimité, m'arrachant un gémissement. Un gémissement de pure et bon plaisir ! Elle vint m'embrasser, cette fois-ci, j'y mettais plus de conviction venant chatouillé sa langue aussi, me blottissant dans ses bras, caressant son dos.
Pourquoi je faisais tout cela ? Je l'ignorais ! J'ignorais tellement ce qui me prenait à ce moment précis ! C'était bizarre, tout simplement bizarre puisque j'y prenais tant goût ... Sa langue vint titiller ma gorge me donnant simplement un petit haut-le-coeur. Sinon, je gémissais, encore et encore sous ses coups de hanche. Je vins même lui donner un peu du mien, bougeant activement mes grandes hanches.
- Ose donc me dire que tu n’as jamais rêvé de faire l’amour à ce point, que tu n’as jamais rêvé qu’on te prenne sauvagement, et qu’on te fasse hurler de plaisir... Tu es une femme, Jill, et, comme moi, tu ressens des pulsions que la société refuse de te laisser exprimer. J’ai été humaine, moi aussi...
« Oh ... Kerrigan ... » Dis-je tout simplement, les yeux vides. Je gémissais toujours, même un joli couli de salive coulait sur le bord de mes lèvres pulpeuses. Ça y est, je m'allumais peu à peu. Non ! Pas maintenant Jill ! Ressaisis-toi s'il te plaît ! Me réplique ma forme masculine en moi : mon côté fort. Mais moi, forte tête, je n'écoute pas ma voix intérieure pour une fois.
- Ose nier que tu n’as pas aimé que je te fasse l’amour, que je te trouve belle et intéressante... Ose seulement proférer un tel mensonge. Dis-le, Jill... Au fond de toi, nous le savons très bien, toi et moi : tu as envie que je te fasse l’amour.
Cette fois-ci, je ne savais plus rien dire, continuant de bouger le bassin, criant de plaisir. Je finis par répliquer, toujours aussi rougissante et excitée :
« Sarah, mmnh ! Ferme-la ! »
Les bruits autour de moi m'écœuraient à un tel point ! Des bruits résonnant partout dans cet entre étranges qui quelques heures auparavant, j'y avais été amené contre mon gré. Des claquements, le claquement du ventre de la belle formienne qui était en train de me chevaucher en position quatre pattes. Je pouvais bel et bien me sentir comme une chienne ! Une chienne en chaleur ! L'autre bruit aussi venait de mon entre à moi, à chaque fois que Kerrigan allait et venant, on pouvait entendre un bruit mouillé, mon intimité dégoulinait sans cesse de ce jus de plaisir, venant de moi-même, de mon corps. Me, myself and I ! Et puis aussi les odeurs renfermées de cet endroit étroit chatouillent mon odorat. Je tends le nez. Une odeur de sueur, venant tout de même de moi ... La seule -ou presque seule- humaine de la pièce. Mais comprenez-moi un peu au moins ... Je suis encore dans cet habit moulant confectionner avec soin par la B.S.A.A. Une combinaison moulante et renfermant mon corps à part quelques parties que Sarah est l'autre ... femme ? Thorne c'est ça . Oui, les quelques parties que ses deux femmes avaient libérées pour toucher mon corps plus en profondeur. Aussi, avec tous ses contacts, je suis très réchauffé, j'ai trop chaud mais tout de même, je continue mon travail, je bouge mon cul pour aider Sarah dans ses et viens.
La queue qui me ramonait la bouche ne pouvait que me rendre des plus heureuses pour le moment ! C'est peut-être bizarre à dire, mais seuls Kerrigan et la nouvelle queue-tentacule qui venait de se rajouter ne m'écœuraient point ! Même si celle-ci venait se loger au fin-fond de ma gorge, ça faisait tout de même une excitation en prime ! J'allais devenir folle ma foi s'ils ne me lâchaient pas ! J'allais peut-être mourir . Oh non, ça, c'était trop absurde. Mais je finirais surement épuisé. Si épuisé ! J'espérais au moins, qu'ils allaient me laisser me changer ou quelque chose comme ça ! Une douche, ça ferait du bien ! Mais pas une douche accompagnée peut-être, sinon, je le sais que je me ferais sauté dessus encore une fois ... Et se serais peut-être de trop ! Pensais-je, plusieurs questions me pensant par la tête, enroulant toujours ma langue autour de ce tentacule sous forme de verge. Même que, lorsque je pensais, une personne se glissait sous moi, sans que je m'en aperçoive. Je m'en rendu compte lorsque j'entendis sa voix susurer au creux de mon oreille, ce qui me fit immédiatement, sans grand spectacle, des frissons tendant mes tétons et faisant redresser mes poils. Je continuais de gémir sous l'assaut des deux queues qui me ramonait le corps de chaque endroit. Laissant tous les bruits envahir mes tympans et toutes les odeurs envahir mon nez. Elle me racontait que sa mère m'aimait beaucoup. Oui, en effet, cela paraissait ! Le tentacule qui m'avait redressé me fit sursauter, ne me faisant, cependant, aucunement ouvrir les yeux. Mais mes deux yeux s'ouvrirent bien lorsque mes mains se posèrent avec force sur une texture noirâtre qui me fit hésiter. C'était quoi ça . Aurais-je demandé si je le pouvais.
Après un second orgasme, Kerrigan se retirait. Laissant encore mon entre dégoulinante d'un mélange de sperme et de cyprine. Elle se glissait, sans plus de cérémonie, dans mon anus, me faisant crier. Non, hurler d'un certain plaisir. Car oui, elle avait dû me déchirer ! Enfin, façon de parler ! De petites larmes sortirent de mes glandes lacriminales. Elle s'empêchait de continuer de me ramoner violemment, mon entre s'élargissant de plus en plus. C'était ... incroyable mais vrai ? Mais de plus ! Thorne se glissait, à l'aide d'une verge qu'elle fit pousser (What? Me demandais-je), dans mon vagin. J'en voyais de toutes les couleurs. Je sentais ma tête se balancer d'un endroit à l'autre, mon cerveau navigué. Planer, je planais ! Mes mains s'engouffrait dans la texture noirâtre de la fille de Kerrigan, ma tête était ailleurs puis finalement, en plein de pulsion, je fis les yeux ronds. J'avais, en ce moment même, un orgasme inexplicable, suivit d'un autre et d'un autre. J'étais débordée d'abondant orgasme qui ne se finissait plus ! Je hurlais, je hurlais ... Tellement qu'un moment, j'eus fini de compter le nombre d'orgasmes que j'avais eu, je tombais sous connaissance, dans les pommes. Je m'étais évanouis.
Une dizaine d'orgasmes et plus, sans arrêt. Elles m'avaient rendus dingue.