Mission suicide ? [Jill Valentine]

Rebelle, Jill refusait de se laisser faire, opposant aux agissements de Sarah une résistance futile, mais un peu agaçante. Elle se fit donc giflée, afin de la calmer, et Sarah lui attrapa chacun de ses poignets, les écartant, écrasant Jill sur le sol. Elle continuait encore à se débattre, mais de manière bien plus difficile, remuant son corps contre celui de la Reine des Lames, excitant cette dernière, qui n’avait nullement envie de s’arrêter.

« Non... Non ! Je ne veux pas enfanter. Hmmn ! »

Son avis était-il vraiment nécessaire ? Croyait-elle encore qu’il avait une quelconque importance ? Sarah ne répondait rien, trop excitée pour penser à autre chose, et se contentait de remuer son corps vigoureusement, de haut en bas, continuant à maintenir ses bras. Voulant un peu utiliser ses mains, elle laissa ce plaisir à de discrets tentacules, qui jaillirent des murs pour maintenir les mains de Jill contre le sol, tandis que d’autres tentacules s’enroulèrent autour de ses chevilles, écartant également ses jambes. Elle se retrouva ainsi en croix, Sarah au centre, avec sa verge enfoncée violemment en elle, lui déchirant l’intimité. Elle donnait de véritables coups de butoir, et posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, haletant et gémissant, comme à chaque fois qu’elle pénétrait quelqu’un en se donnant à fond. Le corps de Jill trahissait cette dernière. Elle ne parvenait pas à le contrôler, et son corps était excité. Sarah continuait à la prendre, et l’embrassa à nouveau, fermement, coupant court à ses hurlements. Elle ralentit également le rythme de ses pénétrations, prenant tout son temps pour l’embrasser, jouant avec sa langue, titillant les lèvres de Jill, l’empêchant de bouger en s’écrasant sur elle.

Le baiser dura plusieurs minutes, des minutes pendant lesquelles la verge de Sarah devenait quasiment immobile, avant qu’elle ne donne un coup de bassin pour la remuer. Elle continua ainsi, et cessa son baiser, avant de sourire, frottant son nez contre celui de Jill, et continua à la pénétrer. Elle ne disait rien, se contentant juste de la baiser, retrouvant rapidement son ardeur, en donnant de grands coups de bassin. Était-ce un viol ? Difficile de le déterminer. Jill n’était pas consentante pour être enceinte, mais, pour ce qui est d’un rapport sexuel... Il fallait bien admettre que Sarah était nettement plus attirante que des zombies classiques. Elle continuait à la prendre, sauvagement, avec passion. Sa queue défonçait le clitoris de la jeune femme.

« Allez, ma chérie, cesse de résister, tu... Haaa... Tu ne peux pas lutter contre ce que tu ressens. Jouis, ma belle, soulage-toi... »

Il n’y avait aucune autre échappatoire. Annexienne, Sarah était très résistante, très endurante. Jill finirait tôt ou tard par jouir.

Je me sentais inexistante pour Kerrigan, je n'étais qu'un jouet pour elle . Une simple humaine qui devait enfanter un de ces sordides et dégoutante créature ? Je commençais à me sentir rabaisser, vraiment découragé continuant d'exprimer mes gémissements et mes cris de plaisir. J'étais excité malgré moi, ma tête dur ne voulait pas avoir autant de plaisir ! Des tentacules vinrent remplacer les mains de l'Annexienne qui labourait, baisait, bourrait ma chatte de cette queue violette. Les tentacules me tenaient en X : mes jambes écartées ainsi que mes bras.

Elle me défonçait si fortement, je sentais mes yeux se remplir d'eau. Je pleurais. De joie ? De peine ? Je ne savais pas, personne ne pourrait le savoir en fait. Je demandais la pitié de Kerrigan, qu'elle arrête ! Elle allait me rendre folle, me faire enfanter à mon âge et avec mon travail c'était impossible ! Elle s'écrasait contre moi pour m'embrasser. Encore malgré moi, je jouais également avec sa langue combattant cette dernière l'enroulant et la titillant.

Durant quelques minutes, le baiser continuait, quelques fois elle se distançait quelques instants de mes lèvres pour que nos langues se battent à l'air frais. Durant c'est instant, je gémissais ou reprenais mon souffle. Mais le baiser, quelques instants après se rompit et elle venait de nouveau défoncer, déchirer ma minette dégoulinante de cyprine.

- Allez, ma chérie, cesse de résister, tu... Haaa... Tu ne peux pas lutter contre ce que tu ressens. Jouis, ma belle, soulages-toi...

« Je ne peux pas... Je veux pas ... Je ... NON ! Je ne veux pas, pas maintenant ! »

Je criais, je me débattais, je ne voulais pas me montrer impuissante et jouir de suite. Mais le mal était fait. En un long râle, un long hurlement je finis par jouir grimpant jusqu'aux septième ciel.

Jill Valentine était une partenaire superbe. Elle était belle, puissante, musclée, et donnerait naissance à de beaux bébés, tout en satisfaisant la Reine des Lames. Elle avait beau couché avec beaucoup de Formiens, elle adorait les humains. Ils étaient d’une telle beauté ! Jill n’y faisait pas exception, et la pénétrer était un régal. Elle s’enfonçait sauvagement en elle, le plus profondément possible, avec plaisir, et sentait bien la lutte futile que l’esprit de Jill menait contre les pulsions de son corps. Mais le corps, lui, ne pouvait mentir. Elle était excitée, et sa langue répondait à celle de Sarah, qui se moquait bien des larmes de cette dernière. Pour elle, refuser d’enfanter n’avait aucun sens. C’était refuser la vie, et, dans ce cas, il valait mieux être mort. La Reine des Larmes n’avait aucune pitié à avoir, car elle ne torturait pas Jill. Elle lui offrait même un immense privilège ! En effet, Jill couchait avec une reine, tout simplement. Voire même une déesse, selon les points de vues.

Son sexe masculin violet s’enfonçait longuement en elle, forçant Jill à se tortiller sur le sol. Elle soupirait, son corps continuant à la trahir.

« Je ne peux pas... Je veux pas ... Je ... NON ! Je ne veux pas, pas maintenant ! »

Elle continuait à protester, et Sarah lui sourit, tout en l’embrassant sur la joue.

« Allez, allez, je le sens, jouis, humaine ! Laisse-toi aller, jouis, salope ! »

Devenant à moitié vulgaire, Sarah était impatiente, et continuait à lui faire l’amour. Jill était piégée, ne pouvant se libérer, se défaire de cette délicieuse étreinte. Qu’elle était belle ! Sarah finit par la sentir jouir, percevant les ondulations de son corps, et répondit à son tour, crachant un orgasme. Elle se tendit, se plaqua contre elle, et ferma les yeux, déchargeant son sperme en elle, remplissant son ventre. Elle donna de solides coups de reins, accompagnant son orgasme, et s’abandonna en elle dans un long soupir.

Son sexe flottait dans un mélange de sperme et de cyprine, et les tentacules retenant les membres de Jill se retirèrent, tandis que cette dernière restait sous le corps de la Reine des Lames. Tendrement, elle alla l’embrasser à nouveau, frottant sa peau contre cette combinaison terriblement sexy, puis retira ses lèvres, et approcha son doigt, caressant avec sa griffe les lèvres de Jill, glissant le long de sa commissure. Un léger sourire vint éclairer ses lèvres.

« Te voilà enceinte, Jill... Dans quelques jours, tu accoucheras d’un beau bébé formien, et il sera l’annonciateur de beaucoup d’autres bébés. »

Tout en parlant, elle enfonça son doigt dans la bouche de la femme, le remuant, cherchant sa belle langue rose, tout en continuant à parler.

« Sois heureuse, tu vas faire ce pour quoi vous, les humains, êtes si précieux : enfanter. Les enfants naissant de vos ventres sont puissants et forts, et nourriront mon peuple. Tu viens de t’inscrire dans notre Histoire, ma belle... »

De son autre main, Sarah remettait les cheveux de Jill en place, les écartant, puis retira son doigt, et alla poser sa main sur son sein, le pressant tendrement.

« Et nous continuerons à te faire l’amour, encore et encore... Et puis, je te relâcherai. »

En théorie, elle aurait du la conserver, et l’emmener dans la Fourmilière, puis lui faire l’amour jusqu’à ce qu’elle meure, mais Sarah avait, pourrait-on dire, de derniers résidus d’humanité. Cette femme lui plaisait, et elle se tâtait à savoir si elle la libérerait, ou si elle l’emmènerait avec elle. Pour l’heure, elle ne s’était pas trop fixée sur la question. Il y avait tout simplement des choses bien plus importantes à penser... Comme lui faire l’amour, encore et encore.

« Allez, allez, je le sens, joui, humaine ! Laisses-toi aller, jouis, salope ! »

Mon orgasme fut si grand, que sous les claquements du sexe de la Kerrigan en moi, ma cyprine ne faisait qu'éclaboussée. Mes yeux tombaient à la renverse. Oh mon Dieu ... Dieu ... que dire ? C'était tout simplement jouissif, bon, grandiose ! Je dirais même, un orgasme si bon qu'il entrait dans mon top 3 des meilleurs orgasmes aux mondes ! Bon, je l'accordais je n'avais pas -encore- fait de liste de ce sujet. Mais, celui-ci je m'en souviendrais TOUTE ma sainte vie ! Sainte ? Hun ... ça je ne pouvais pas le dire. Le nombre d'expérience que j'avais eue démontrait que je n'étais plus vierge du tout ! Zéro ! Mon hymen était d'ailleurs déchiré depuis longtemps. Vous savez . Pendant une mission. Mais cette mission n'avait rien à voir avec celle de Kerrigan... L'excitation qu'elle m'avait procurée était incomparable à vrai dire. Elle aussi, avait joui, déversant son fluide en moi. Je le sentais pénétrer mon ventre plat. Mon ventre ? Minute papillon ! Qu'est-ce qui se passait ? Je m'affolais.

« Te voilà enceinte, Jill... Dans quelques jours, tu accoucheras d’un beau bébé formien, et il sera l’annonciateur de beaucoup d’autres bébés. »


« Merde ... je veux pas être enceinte ! Retirez-moi ce truc immédiatement ! »

Je n'y prenais plus du tout plaisir, pas du tout ! Même pas une miette !

« Et nous continuerons à te faire l’amour, encore et encore... Et puis, je te relâcherai. »

«Non ... c'est absurde ... je n'en peux plus ... je veux simplement retourner chez moi ! »

Je la suppliait du regard.

« Non ... c'est absurde ... je n'en peux plus ... je veux simplement retourner chez moi ! »

Sarah fronça les sourcils, et posa ses doigts sur les belles lèvres de Jill. La jeune femme continuait à se rebeller, même après avoir eu un orgasme. Dieu, ce que ces humains étaient incompréhensibles ! La Reine des Lames aurait pourtant cru que, après un tel ébat, la belle Jill serait comblée. Au lieu de ça, elle continuait inutilement à opposer une résistance farouche, mettant à rude épreuve les nerfs de Sarah. Cette résistance était agaçante. Soupirant, la Reine des Lames lui répondit rapidement :

« Ce qui est absurde, c’est ton refus de vouloir enfanter, humaine. Tu es une femme, tu es ferme, solide, et en âge d’enfanter. La reproduction est votre raison d’être. La renier, c’est ça qui est absurde. Tu es enfantée, tu accoucheras, et tu accoucheras encore. »

Sarah, contrariée, enfonça un doigt dans la bouche de Jill, sourcils froncés. Elle titilla la langue de cette dernière, glissant son ongle dessus. Le regard larmoyant de Jill était complètement stupide, la preuve qu’elle ne comprenait rien. Le sexe de Sarah était toujours enfoncé en elle, et elle le remua lentement, tandis que des Formiens tournaient autour d’elle. Sarah glissa sa main sur le ventre de Jill, qui ne tarderait pas à s’arrondir. Fort heureusement, la procréation formienne était bien plus rapide que la procréation entre humains.

« Je ne te comprends pas, Jill Valentine... Tu es une sportive endurante, une guerrière accomplie, et, pourtant, tu te refuses à enfanter... C’est une attitude que je ne comprends pas. »

La Reine des Lames était honnête. C’était vraiment quelque chose qu’elle ne parvenait pas à comprendre. Elle retira son doigt de la bouche de la femme, et, sans lui laisser le temps de répondre, l’embrassa à nouveau, goûtant à sa magnifique bouche, tout en se blottissant un peu plus contre elle. Jill était une femme puissante et robuste. Sarah savait qu’elle avait encore de l’énergie à revendre, et qu’elle lui faisait des caprices.

« Pourquoi, Jill ? Pourquoi n’as-tu pas envie d’enfanter ? »

Pour Sarah, c’était une question un peu stupide, mais, dans la mesure où les humains agissaient ainsi, sa curiosité était brûlée à vif. Elle voulait comprendre, comprendre pourquoi une femme aussi forte et belle était si hostile à l’idée de donner naissance à des enfants.

Outrée la petite reine des lames ? Elle fronçait les sourcils, touchant encore à mes lèvres du bout de ses doigts. Elle soupirait plongée dans ses pensées.

« Ce qui est absurde, c’est ton refus de vouloir enfanter, humaine. Tu es une femme, tu es ferme, solide, et en âge d’enfanter. La reproduction est votre raison d’être. La renier, c’est ça qui est absurde. Tu es enfantée, tu accoucheras, et tu accoucheras encore. »

Putain, elle était bien trop absurde ! Cela paraissait grandement que cette femme n'était pas une humaine ! Accouché, enfanté, bébé, bambin, for miens. Dieu qu'elle semblait y tenir ! Moi non, je n'étais pas une femme qui devait avoir des enfants ! J'étais une femme qui devait protéger le reste d'humanité qu'il restait ici, sur terre. Qui devait tuer toute forme d'infection à virus. Elle entrait de nouveau son doigt dans ma bouche continuant les va et viens. Une sensation de chatouillement se produisait dans mon entré, me faisant cambrer les jambes, froncé les genoux. Elle m'embrassait de nouveau, j'étais trop concentré pour lui répondre de son jeu de langue.

« Je ne te comprends pas, Jill Valentine... Tu es une sportive endurante, une guerrière accomplie, et, pourtant, tu te refuses à enfanter... C’est une attitude que je ne comprends pas. Pourquoi, Jill ? Pourquoi n’as-tu pas envie d’enfanter ? »

Bon, elle voulait la réponse . Je me lançais enfin !

« Tu veux une réponse franche ? D'ailleurs tu l'avais ta réponse dans ta question. Je suis une sportive tout simplement ! Si je suis si bien entrainé, c'est pour protéger MA race des autres races comme la tienne qui veulent se servir des humaines comme moi pour la survie de ton peuple. Tu devrais comprendre putain ! Tu aimes ta race, tu la protèges, tu fais des fors miens. Eh bien c'est pareil pour moi, je ne peux pas me permettre de tomber enceinte ! Une femme enceinte ne peut plus combattre par la suite ! Je peux pas me permettre de me faire baiser de la sorte ! »

Je fronçais les sourcils, espérant qu'elle comprenne maintenant.

Jill lui balança ses explications au visage, et Sarah Kerrigan, silencieusement, l’écoutait. Elle ne dit rien, admirant la ténacité de cette femme. Pour une humaine, elle avait du cran. C’était quelque chose que la Reine des Lames, toute proportion gardée, appréciait. Cette femme était forte et endurante, et ne se laissait pas marcher sur les pieds. De ce qu’elle comprit, elle se refusait d’enfanter, parce qu’elle voulait pleinement se concentrer à la protection des humains. Une tâche noble, même si elle avait ses limites. Sarah l’écoutait silencieusement, et aucun sourire ne vint éclairer le visage monstrueux et divinement beau de la femme.

« Je peux pas me permettre de me faire baiser de la sorte ! »

Elle fronça légèrement les sourcils, et approcha ses ongles de la joue gauche de Jill, caressant sa belle peau, restant confortablement allongée sur elle.

« Le sacrifice... Une noble vertu... Les Formiens y sont sensibles... »

Elle retourna l’embrasser. Sarah avait du mal à se priver des belles lèvres de Jill. Elle continuait à l’embrasser, et ce baiser fut un peu plus long que les autres. Elle avait toujours du mal à comprendre la philosophie de la femme, mais en percevait les limites. Elle savait comment la prendre. Encore une fois, Sarah avait tout à fait pu la forcer, la violer, et elle savait que Jill, même en se refusant de l’admettre, aurait ressenti du plaisir. Cependant, la Reine des Lames ne tenait pas à usurper son consentement. Curieusement, elle trouvait plus intéressant que sa partenaire soit consentante, et se donne d’elle-même. Ce n’était pas un comportement typiquement formien, et ceci la troublait. Comment l’expliquer ? Sarah savait que, autrefois, elle avait été humaine. C’était probablement une résurgence de son passé lointain. Elle rompit son baiser, et retourna caresser avec ses griffes les superbes lèvres de la femme.

« Cependant, garde ne pas te comparer à moi... Ton raisonnement est incomplet, ma beauté. Si tu cherches tant à protéger l’humanité, tu devrais aussi vouloir assurer son épanouissement, son développement. La reproduction est la fonction première de tout être vivant, c’est une donnée contre laquelle tu ne peux rien changer. »

C’est ce qui amenait les Formiens à considérer que le viol n’existait pas. Toute relation sexuelle était bonne à prendre. Penser le contraire, c’était avoir une vision négative du sexe, soit, in fine, une vision négative de la vie. Il était donc troublant que Sarah cherche à ce point à obtenir le consentement de Jill. A chaque fois, elle revenait à cette interrogation fondatrice. Pourquoi ? Pourquoi vouloir à ce point que cette femme têtue et stupide veuille se donner ? C’était incompréhensible ! Sarah continuait à la baiser, son sexe en elle, et ce dernier se mit à se durcir, alors qu’elle recommençait à bouger en elle.

« Mais soit... Puisque tu es tant... Attachée à l’idée de protéger des imbéciles, voici comment ça va... Humm... Se passer. »

Sarah parlait en remuant en elle, et se redressa un peu, s’appuyant sur ses mains, et remuait son bassin, de haut en bas. Elle avait bien dilaté le vagin de la jeune femme, ce qui faisait qu’il était très facile de se promener entre ses lèvres intimes, alors qu’un sourire malicieux venait enfin éclairer les lèvres de la redoutable Reine des Lames.

« Tous ces gens dans la ville... Je vais tous les tuer, les massacrer, les réduire en morceaux... Sauf si tu me fais l’amour, à moi, et à mes bébés. Porte mes bébés, et je les épargnerai. Autrement, ils seront tous tués. »

Et, à vrai dire, Jill n’avait pas vraiment le choix.

Elle m'écoutait durant mon récit, c'était bon qu'elle ne me reprenne pas ... Pour l'instant. Lorsque ma dernière phrase fut achevée, elle se mise enfin à faire quelque chose, elle fronçait les sourcils. Oups ? J'avais un peu peur un instant. Mais elle se mise à caresser de nouveau ma joue, me faisant soudainement déglutir. Elle vint m'embrasser une nouvelle fois, je ne répondais toujours pas, anxieuse et stresser de ce qui allait se passer dans le futur par si loin que cela.

« Cependant, garde ne pas te comparer à moi... Ton raisonnement est incomplet, ma beauté. Si tu cherches tant à protéger l’humanité, tu devrais aussi vouloir assurer son épanouissement, son développement. La reproduction est la fonction première de tout être vivant, c’est une donnée contre laquelle tu ne peux rien changer. »

« Mais, ça n'est pas mon boulot d'enfanter ... C'est le but des femmes qui ne travaille pas avec moi ! »

Il y avait un brin de vrai dans ce que je disais, mais Kerrigan semblait s'en foutre, s'en contre foutre ! Son membre ce durcissait en moi au contraire et recommençait se vas et viens. Là le chatouillement revenait : je ne peux m'empêcher -de nouveau- de croiser les jambes et de contracter mon entre de quoi la faire sortir. Du moins, j'essayais !

« Tous ces gens dans la ville... Je vais tous les tuer, les massacrer, les réduire en morceaux... Sauf si tu me fais l’amour, à moi, et à mes bébés. Porte mes bébés, et je les épargnerai. Autrement, ils seront tous tués. »
 
« Quoi ?! Mais c'est du chantage ! »

Elle semblait cependant déterminer, ne me laissant aucun choix, je devais le dire ...

« O ... Okay ... Je ... je m'offre à vous ... »

« Mais, ça n'est pas mon boulot d'enfanter ... C'est le but des femmes qui ne travaille pas avec moi ! »

Quelle femme têtue... Quand l’entêtement se mélangeait à la bêtise, il y avait largement de quoi faire perdre tout calme, et toute notion de self control. Enfanter, ce n’était pas un « boulot ». Il n’existait pas de métier de « pondeuse », c’était une raison de vivre. Jill confondait des notions, mais c’était sans intérêt. La Reine des Lames avait perdu espoir en l’humanité depuis bien longtemps, et comprenait qu’elle était dans l’erreur, et devait être asservie, pour être libérée. La Vérité, source de libération, ne se ferait qu’à ce prix. Ce n’était pas facile, car les humains étaient arrogants, têtus, entêtés dans leur stupidité, mais la Reine était confiante. La Cause y arriverait, ce n’était qu’une question de temps. Entre-temps, Jill réfléchit rapidement à la proposition de Sarah. C’était une forme de chantage, oui, ce qui était troublant, car un Formien ne s’abaissait pas à ce genre de procédés. Seulement, Sarah n’était pas totalement formienne, et elle trouvait ça plus excitant. Cette maudite femme finit ainsi par accepter d’offrir son corps, le disant avec une résignation qui fit sourire l’Annexienne, cette dernière manquant glousser.

*On a connu pire comme torture...*

Sarah retourna lui caresser le visage, cette si belle peau sur cette figure magnifique. Cette créature était indéniablement superbe, et elle pouvait sentir, dans son ventre, le bébé formien en train de naître. Un embryon qui se formait. Pour elle, les prochains jours n’allaient clairement pas être de tout repos, mais elle pouvait s’estimer chanceuse. La ramener à la Fourmilière serait difficile, et elle ne finirait pas ses jours en étant encastrée dans les murs, droguée par de puissants stimulants sexuels, et baisée des centaines de fois par jour, donnant ainsi naissance à de nombreux Formiens qui allaient ensuite violer leur génitrice. Sarah lui caressa encore les lèvres, et recommença à lui faire l’amour, enfonçant son sexe violet en elle, avant d’aller l’embrasser, caressant ses cheveux. Ce fut un nouveau baiser, long et sensuel, dans laquelle Sarah enfonça sa langue, la transformant légèrement. Sa mangue s’allongea, devenant une espèce de langue de serpent qui titilla la gorge de la jeune femme, alors qu’elle se blottissait contre elle, caressant son corps, glissant ses griffes le long de sa combinaison, savourant le bruit que ses griffes faisaient sur cette tenue. Tellement exquise ! Son sexe se durcit encore plus, et elle continua à la prendre.

« Tu es belle, Jill... glissa ensuite Sarah. Ose donc me dire que tu n’as jamais rêvé de faire l’amour à ce point, que tu n’as jamais rêvé qu’on te prenne sauvagement, et qu’on te fasse hurler de plaisir... Tu es une femme, Jill, et, comme moi, tu ressens des pulsions que la société refuse de te laisser exprimer. J’ai été humaine, moi aussi... »

Voilà ce que Sarah cherchait à faire : libérer les pulsions de Jill, réveiller la femme en elle, en faire une femme qui apprécierait le sexe à sa juste mesure, et ne se cacherait plus derrière de faux-semblants. Sarah continuait à la pénétrer, et finit par se retirer, puis se glissa dans le dos de Jill, amenant cette dernière à se coucher sur le flanc. Une main se posa sur sa nuque, et l’autre se glissa entre ses jambes, enfonçant alternativement deux doigts en elle. Elle l’embrassa sur la joue.

« Ose nier que tu n’as pas aimé que je te fasse l’amour, que je te trouve belle et intéressante... Ose seulement proférer un tel mensonge. Dis-le, Jill... Au fond de toi, nous le savons très bien, toi et moi : tu as envie que je te fasse l’amour. »

Il n’y avait même pas besoin d’être télépathe pour le ressentir.

Hj- désolé pour la longue, longue attente ! Merci d'avoir patienté chérie :3 - Hj

Je la regardais, elle souriait, j'étais sûre qu'elle allait rire aussi de ma réponse ! Mais non, elle n'en fit rien et c'était un si bon soulagement ! Oh oui ce l'était, ce n'est jamais agréable se faire rire en plein visage après tout ... Non ? Elle revenait caresser mon visage qui se crispait de douleur lorsque je sentais quelque chose dans mon ventre. Il ballotait, il allait grossir ou quoi . Comme ça ? En un claquement de doigt ? C'était peut-être probable, mais je ne le voulais pas ... Ce serait monstrueux de mon point de vue. Je regardais mon ventre, et cette fois-ci, criais de douleur. Un alien allait me sortir du ventre ou quoi . Mais elle semblait un peu s'en foutre. En fait, elle s'en foutait complètement ! Puisqu'elle recommençait à me baiser, entrant sa queue violette dans mon intimité, m'arrachant un gémissement. Un gémissement de pure et bon plaisir ! Elle vint m'embrasser, cette fois-ci, j'y mettais plus de conviction venant chatouillé sa langue aussi, me blottissant dans ses bras, caressant son dos.

Pourquoi je faisais tout cela ? Je l'ignorais ! J'ignorais tellement ce qui me prenait à ce moment précis ! C'était bizarre, tout simplement bizarre puisque j'y prenais tant goût ... Sa langue vint titiller ma gorge me donnant simplement un petit haut-le-coeur. Sinon, je gémissais, encore et encore sous ses coups de hanche. Je vins même lui donner un peu du mien, bougeant activement mes grandes hanches.

- Ose donc me dire que tu n’as jamais rêvé de faire l’amour à ce point, que tu n’as jamais rêvé qu’on te prenne sauvagement, et qu’on te fasse hurler de plaisir... Tu es une femme, Jill, et, comme moi, tu ressens des pulsions que la société refuse de te laisser exprimer. J’ai été humaine, moi aussi...

« Oh ... Kerrigan ... » Dis-je tout simplement, les yeux vides. Je gémissais toujours, même un joli couli de salive coulait sur le bord de mes lèvres pulpeuses. Ça y est, je m'allumais peu à peu. Non ! Pas maintenant Jill ! Ressaisis-toi s'il te plaît ! Me réplique ma forme masculine en moi : mon côté fort. Mais moi, forte tête, je n'écoute pas ma voix intérieure pour une fois.

- Ose nier que tu n’as pas aimé que je te fasse l’amour, que je te trouve belle et intéressante... Ose seulement proférer un tel mensonge. Dis-le, Jill... Au fond de toi, nous le savons très bien, toi et moi : tu as envie que je te fasse l’amour.

Cette fois-ci, je ne savais plus rien dire, continuant de bouger le bassin, criant de plaisir. Je finis par répliquer, toujours aussi rougissante et excitée :

« Sarah, mmnh ! Ferme-la ! »

[HRP – Pour la peine, tu seras sévèrement défoncée !]

C’était plié. Les jeux étaient faits, et il n’y avait plus qu’à récolter les gains. Les Formiens, sur ce point, gagnaient toujours, car, contrairement aux humains, qui s’auréolaient de mensonges castrateurs, les Formiens avaient naturellement admis qu’un être vivant était avant tout un animal sexuel. Les êtres humains ne faisaient pas exception. Si la Création les avait doté d’un corps aussi beau, c’était bien pour que leur beauté serve. Jill était en train de basculer, ce que la Reine des Lames sentait, voyait, et percevait avec plaisir. La femme n’était pas de taille contre elle, et elle vit même de la salive se mettre à couler le long des lèvres de Jill. La Reine des Lames avait encore son sexe enfoncé en elle, dans ce corps délicieux et souple. Oh oui, Jill était une superbe amante, et, si le plaisir était quelque chose qui n’était pas spécialement requis dans une relation sexuelle, c’était toujours un supplément qui satisfaisait Sarah, autant pour son propre plaisir personnel que pour sa fierté... Des sentiments typiquement humains. Jill finit par lui répondre, en gémissant :

« Sarah, mmnh ! Ferme-la ! » réussit-elle à articuler.

Sarah sourit. En théorie, elle aurait probablement sévèrement battu Jill pour un tel ordre, mais elle comprenait surtout que la femme était en train de basculer. Elle lui répondit donc par un sourire amusé, mais qui brillait également de malice. Il était donc temps de passer aux choses sérieuses. Loin de réfréner ses ardeurs, la pathétique résistance de Jill avait au contraire galvanisé la passion et le désir de la Reine des Lames. Elle l’embrassa donc sur les lèvres, brièvement, puis, probablement à la grande surprise de la jeune femme se retira de son corps. Son sexe trempé fila hors de l’intimité de la jeune femme. La Reine des Lames ne dit rien, et retourna Jill, usant de sa force surhumaine. La belle femme dans la combinaison moulante était comme une poupée entre ses mains, une délicieuse et belle poupée, que la Reine des Lames manipulait sans aucune honte, mais avec une sorte d’excitation croissante.

Elle posa ses mains sur les hanches de Jill, et la força ainsi à se relever... Pour la mettre à quatre pattes. Un tentacule se mit à jaillir du mur, en forme de verge, et s’enroula autour du cou de la femme, sans l’étrangler, simplement pour la maintenir, tandis que l’extrémité du tentacule s’approcha des lèvres de l’agente spéciale. Sarah, de son côté posa ses mains sur la croupe de la jeune femme, et renvoya son sexe en elle. Son membre s’enfonça d’un coup sec dans l’intimité de la jeune femme, et elle put ainsi, avec cette position, donner des coups de reins bien plus puissants, plus forts, tandis que le tentacule qu’elle avait sorti s’enfonça dans la bouche de Jill, lui faisant une gorge profonde.

« Haaan ma chérie ! s’exclama Sarah, ses griffes glissant contre sa combinaison. C’est si bon, de te baiser bien fort ! »

Et elle donna un nouveau coup de reins, tandis que son sexe masculin, sa verge, tressautait dans le corps de Jill. Elle eut rapidement un nouvel orgasme, et poussa des cris de plaisir en se déchargeant dans le con de Jill, envoyant des flopées de sperme, continuant ensuite ses coups de reins, avec toujours plus d’intensité dans les gestes. Son érection n’avait nullement décru. La Reine des Lames, indéniablement, s’amusait follement.

Je n'arrive juste pas à y croire. Je viens de laissé tombé, mon côté de perverse refait surface. Ce n'était pas le moment ! Mais ... C'était si bon ! C'EST si bon de me faire chevaucher par cette femme ... Enfin, cette formienne ! C'est loin d'être une femme, enfin, je crois. Mais ce n'est pas le moment de penser à ça, je m'abandonne aux nombreux plaisirs du sexe. Ça fait bien longtemps que je n'ai pas eu de partie de galipette, et ça fait vachement du bien ! Me faire baiser si sauvagement. Je la vois, elle sourit. Elle n'est peut-être pas humaine, mais elle est belle, très belle ! Je m'accroche à elle, j'enlace son cou de mes bras tremblant de plaisir. Je gémis comme une chienne, j'en sors même la langue. Elle s'approche, elle m'embrasse, je fais de même, jouant avec sa langue, me combattant contre la sienne. C'est sensuel quoique plus brutale qu'autre chose mais bon, c'est sensuel, c'est plaisant !

Elle me déplace sauvagement, me plaçant en " doggy-style ". Elle venait d'éjaculer en moi, laissant s'écouler cette texture de ma minette qui est en feu ! Tout ça est si chaud, ça me fait du bien quoique ça brule. Attend ... Je prends plaisir à la douleur? Aaaah, pas vrai ! Ah ... Mais si c'est vrai ! Mais je ne lui demande pas d'arrêter, je lui dis au contraire de recommencer, je balance mon gros cul de droite à gauche, l'incitant à venir en moi de nouveau, de me baiser encore. Je la regarde.


« En ... Encore ! Encore ... S'il-te-plait ...»

Fuck le vouvoiement, je ne suis pas une prostituée, ni une esclave ... Bien, peut-être une esclave pour l'instant non ? Je la regarde jusqu'à temps que je sens un truc gluant s'enrouler autour de ma gorge, me forçant à regarder en avant. Une queue ? Une autre queue ? Elle se pointe vers ma bouche tandis que Sarah, derrière moi, entre de nouveau m'arrachant un cri de plaisir. Elle recommence se vas et viens et je l'aide, je l'aide, j'aime ça ... Oh que c'est bon ! La queue s'introduit dans ma gorge. Maintenant, je suis habitué de tout cela donc j'enroule ma langue contre ce tentacule. C'est bon, je vais encore jouir, mais pas tout de suite, je veux que le plaisir dur !

La résistance de l’humaine n’était plus qu’un souvenir lointain. Jill avait plutôt bien résisté, en réalité. Heureusement, la Reine des Lames était une femme particulièrement patiente, et qui appréciait maintenant de voir l’humaine se laisser faire. Le plaisir irradiait dans le corps de la belle femme aux formes magnifiques. Elle avait toujours sa combinaison, une tenue tendre et moulante que Sarah se refusait à enlever. Impatiente, Jill avait été jusqu’à supplier Sarah de retourner la prendre quand elle avait retiré son sexe.

« Ne t’en fais pas, Jill, ceci n’est qu’un commencement... » entreprit de la rassurer Sarah.

Les Formiens étaient des spécialises du gangbang, après tout. Une humaine qui était violée par eux perdait souvent la vie sous l’effort physique intense que son corps devait livrer pour satisfaire tous ceux qui la prenaient. Mais, avec Jill, ce serait différent. Sarah comptait bien la ménager, et être bienveillante avec elle. Son corps le méritait, et, bien qu’elle ait été un peu rebelle, elle avait fini par admettre cette chose fondamentale et simple, selon laquelle l’être humain était avant tout un animal sexuel. Réprimer ses pulsions, c’était pour Sarah une preuve forte qu’on était dément. La Reine des Lames posa ses mains sur les fesses de la femme, son délicieux postérieur.

Son fondement l’attirait de plus en plus, et, vu la manière dont Jill avait remué ses fesses, comme une petite catin en manque, il ne faisait aucun doute que l’humaine désirait se faire prendre par là. Autour d’elles, le nid improvisé de Sarah Kerrigan commençait à se réveiller, et, jaillissant du plafond, un tentacule s’enroula délicatement autour du cou de Jill, formant comme une laisse organique, qui permettait de retenir cette dernière dans cette position de chienne. Une posture qui convenait très bien aux humaines, rappelant à chaque fois la supériorité naturelle des Formiens sur les êtres humains. Pour Sarah, les humains devaient être uniquement des esclaves sexuels. Ils n’avaient aucune conscience de groupe, aucun communautarisme. Même des rats étaient plus solidaires qu’eux !

Leur seul intérêt, en réalité, se résumait à ce corps que l’Annexienne baisait allégrement, enfonçant son énorme queue, son sexe violet tendu et assoiffé. Elle partait à l’assaut, avide de chair et de sensations. Le tentacule qui serrait le cou de Jill n’essayait pas de l’étrangler, et un autre s’approcha, son extrémité recourbée en forme de verge, faisant à Jill une fellation, qui l’accepta volontiers. Sarah, qui était reliée à toutes les créatures de sa Horde, put sentir, à travers le tentacule, l’absence totale de résistance de la part de l’humaine.

*Il est donc temps de passer aux choses sérieuses !* estima la Reine des Lames.

Elle continuait à garder son sexe dans l’intimité de Jill, mais une autre personne s’approcha. C’était la fille de Sarah, la Formienne qui avait conduit Jill ici, Thorne. Voir ainsi sa mère s’amuser avait passablement échaudé les instincts de Thorne, qui avait envie d’intervenir. Elle se rapprocha donc, sur le flanc de Jill, et posa l’une de ses mains le long de son dos, caressant colonne vertébrale à travers le tissu de la combinaison.

« Mère t’aime beaucoup, sussurra-t-elle dans le creux de l’oreille de Jill. Tu as le droit d’en être fière, te faire l’amour est un grand honneur qu’elle te fait. »

Elle embrassa Jill sur le côté, puis entreprit de se déplacer, ayant envie d’agir, de soulager cette tension qui s’accumulait en elle. Le tentacule sur le cou de Jill se resserra, la tirant en arrière, et Thorne put ainsi attraper les mains de Jill, les écartant, sans que cette dernière ne tombe. Sn dos se creusa délicieusement, et Thorne se glissa sous son corps.

« Pose tes mains sur mon corps, Jill... »

Joignant le geste à la parole, Thorne attrapa les poignets de Jill, l’amenant à caresser l’espèce de texture noirâtre qui recouvrait la peau humanoïde de Thorne. Cette seconde couche noirâtre se concentrait massivement à hauteur de son bassin, et une bosse ne tarda pas à émerger et à grossir, formant une longue verge noirâtre, alors que la peau noirâtre de Thorne l’aidait à se blottir contre le corps de Jill, en hauteur. Elle l’embrassait sur la joue, et mordillait ensuite le bout du tentacule qui pénétrait Jill.

Sarah retira son membre de l’intimité de Jill après avoir eu un second orgasme, mais ne la fit pas attendre trop longtemps. Son membre se glissa dans son fondement, dans ce petit trou étroit et dont les Formiens raffolaient. Son intimité dégoulinante ne resta pas délaissée très longtemps, car le sexe de Thorne vint se glisser en elle, avec force.

Là, Jill pouvait prétendre être comblée.

Les bruits autour de moi m'écœuraient à un tel point ! Des bruits résonnant partout dans cet entre étranges qui quelques heures auparavant, j'y avais été amené contre mon gré. Des claquements, le claquement du ventre de la belle formienne qui était en train de me chevaucher en position quatre pattes. Je pouvais bel et bien me sentir comme une chienne ! Une chienne en chaleur ! L'autre bruit aussi venait de mon entre à moi, à chaque fois que Kerrigan allait et venant, on pouvait entendre un bruit mouillé, mon intimité dégoulinait sans cesse de ce jus de plaisir, venant de moi-même, de mon corps. Me, myself and I ! Et puis aussi les odeurs renfermées de cet endroit étroit chatouillent mon odorat. Je tends le nez. Une odeur de sueur, venant tout de même de moi ... La seule -ou presque seule- humaine de la pièce. Mais comprenez-moi un peu au moins ... Je suis encore dans cet habit moulant confectionner avec soin par la B.S.A.A. Une combinaison moulante et renfermant mon corps à part quelques parties que Sarah est l'autre ... femme ? Thorne c'est ça . Oui, les quelques parties que ses deux femmes avaient libérées pour toucher mon corps plus en profondeur. Aussi, avec tous ses contacts, je suis très réchauffé, j'ai trop chaud mais tout de même, je continue mon travail, je bouge mon cul pour aider Sarah dans ses et viens.

La queue qui me ramonait la bouche ne pouvait que me rendre des plus heureuses pour le moment ! C'est peut-être bizarre à dire, mais seuls Kerrigan et la nouvelle queue-tentacule qui venait de se rajouter ne m'écœuraient point ! Même si celle-ci venait se loger au fin-fond de ma gorge, ça faisait tout de même une excitation en prime ! J'allais devenir folle ma foi s'ils ne me lâchaient pas ! J'allais peut-être mourir . Oh non, ça, c'était trop absurde. Mais je finirais surement épuisé. Si épuisé ! J'espérais au moins, qu'ils allaient me laisser me changer ou quelque chose comme ça ! Une douche, ça ferait du bien ! Mais pas une douche accompagnée peut-être, sinon, je le sais que je me ferais sauté dessus encore une fois ... Et se serais peut-être de trop ! Pensais-je, plusieurs questions me pensant par la tête, enroulant toujours ma langue autour de ce tentacule sous forme de verge. Même que, lorsque je pensais, une personne se glissait sous moi, sans que je m'en aperçoive. Je m'en rendu compte lorsque j'entendis sa voix susurer au creux de mon oreille, ce qui me fit immédiatement, sans grand spectacle, des frissons tendant mes tétons et faisant redresser mes poils. Je continuais de gémir sous l'assaut des deux queues qui me ramonait le corps de chaque endroit. Laissant tous les bruits envahir mes tympans et toutes les odeurs envahir mon nez. Elle me racontait que sa mère m'aimait beaucoup. Oui, en effet, cela paraissait ! Le tentacule qui m'avait redressé me fit sursauter, ne me faisant, cependant, aucunement ouvrir les yeux. Mais mes deux yeux s'ouvrirent bien lorsque mes mains se posèrent avec force sur une texture noirâtre qui me fit hésiter. C'était quoi ça . Aurais-je demandé si je le pouvais.

Après un second orgasme, Kerrigan se retirait. Laissant encore mon entre dégoulinante d'un mélange de sperme et de cyprine. Elle se glissait, sans plus de cérémonie, dans mon anus, me faisant crier. Non, hurler d'un certain plaisir. Car oui, elle avait dû me déchirer ! Enfin, façon de parler ! De petites larmes sortirent de mes glandes lacriminales. Elle s'empêchait de continuer de me ramoner violemment, mon entre s'élargissant de plus en plus. C'était ... incroyable mais vrai ? Mais de plus ! Thorne se glissait, à l'aide d'une verge qu'elle fit pousser (What? Me demandais-je), dans mon vagin. J'en voyais de toutes les couleurs. Je sentais ma tête se balancer d'un endroit à l'autre, mon cerveau navigué. Planer, je planais ! Mes mains s'engouffrait dans la texture noirâtre de la fille de Kerrigan, ma tête était ailleurs puis finalement, en plein de pulsion, je fis les yeux ronds. J'avais, en ce moment même, un orgasme inexplicable, suivit d'un autre et d'un autre. J'étais débordée d'abondant orgasme qui ne se finissait plus ! Je hurlais, je hurlais ... Tellement qu'un moment, j'eus fini de compter le nombre d'orgasmes que j'avais eu, je tombais sous connaissance, dans les pommes. Je m'étais évanouis.

Une dizaine d'orgasmes et plus, sans arrêt. Elles m'avaient rendus dingue.

Pour permettre à Sarah de se déplacer rapidement d’un bout à l’autre du monde, il existait des canaux souterrains, creusés par d’abominables créatures longilignes ayant des dents particulièrement tranchantes, et une peau très épaisse. On les appelait les vers de Nydus, et ils se déplaçaient à grande allure, pouvant atteindre facilement plusieurs centaines de kilomètres par heure. Le ver de Nydus pouvait transporter dans son corps un certain nombre de personnes, et les aidait à se déplacer très rapidement. Ils étaient par conséquent très pratiques lors des batailles. Sarah disposait d’un ver de Nydus à proximité, afin de la ramener près de la Fourmilière.

Jill dormait dans une espèce de lit organique ressemblant à l’intérieur d’une grosse bouche. Elle dormait sur une texture violette et gluante, mais qui ne collait pas. C’était un lit formien, qui recouvrait celui qui dormait. Une texture très différente d’un lit humain, mais, quand on finissait par s’y habituer, on trouvait ça très attirant, très chaud. La texture relaxait l’intégralité du corps, soulageait et détendait les muscles. Jill était étalée en plein milieu, le corps encore puant de sexe, et Sarah caressait tendrement ses joues, du bout de ses longs doigts. Elle avait nettoyé sa salive, et léché ses larmes, et la texture du lit soignait son corps, notamment ses fesses, envoyant pour cela de la gelée dans son fondement, afin de le rafraîchir, d’empêcher les infections et les saignements.

« Elle ne s’est toujours pas réveillée ? »

La voix venait de son dos. Thorne se rapprochait lentement, sa seconde peau noirâtre glissant sur son corps. Sarah ne répondit pas, observant Jill. Elle était en train d’émerger. Sarah et Thorne lui avaient fait l’amour à la manière des Formiens : longuement, férocement, et intensivement. Et Jill avait joui, joui sans relâche. Elle était enceinte, et son ventre portait désormais un bébé formien, qui allait éclore d’ici quelques jours. Télépathe, la Reine des Lames avait senti le plaisir inonder Jill. Un plaisir honnête, sincère, pur, alors qu’elle se faisait labourer de partout. Les fesses, le vagin, la bouche. Tous avaient joui en elle, tellement joui que son ventre avait enflé, alors qu’elle végétait. Son cul était magnifique, tout comme sa combinaison. Sarah avait adoré poser les mains dessus, sentir cette fraîcheur, cette texture moulante qui collait à son corps. Même quand elle s’était évanouie, Sarah avait continué à lui faire l’amour, encore et encore. En tout, elles avaient couché pendant plus d’une heure ensemble, avant que Sarah ne finisse par la tenir entre ses bras. Le visage de Jill était alors Sali, décoré par des traces de semence, qui se répandaient également sur sa combinaison.

Posément, comme une mère attentionnée, Sarah l’avait nettoyé, rafistolant un peu sa combinaison. Elle lui avait encore fait l’amour, tant Sarah était belle. Une vraie beauté... Comment diable pouvait-elle l’abandonner en pleine nature ? Elle s’était allongée sur elle, et son phallus était sorti presque tout seul, la pénétrant. Jill ne s’était pas réveillée, et la Reine des Lames avait joui en elle, sentant son corps répondre positivement, même si Jill avait continué à dormir. Si belle... Lui faire l’amour avait été tellement bon. Sarah avait agi lentement et longuement, de manière à ne pas trop la perturber, à ne pas lui faire trop mal.

« Réveille-toi, ma belle... Tu dors depuis plusieurs heures, petite marmotte... »

Sarah avait utilisé ses capacités télépathiques sur Jill. Pendant que cette dernière dormait, elle avait influé sur ses rêves, afin que son inconscient la convainque qu’elle n’avait jamais été aussi heureuse, que, grâce à la Reine des Lames, elle allait être enceinte, ce qui était, fondamentalement, le désir de toute femme... Et aussi que sa partie de baise avait été la plus jouissive de toute sa vie. Si Sarah comptait la laisser partir, elle l’aurait abandonné dans le désert... Elle vit peu à peu Jill se réveiller, et esquissa un léger sourire, ses yeux lumineux la fixant tendrement.

« Ma belle Jill... Ma si belle Jill… Là, réveille-toi… J’ai entendu ton estomac gargouiller un certain nombre de fois, tu sais… »

Elle se pencha un peu, et l’embrassa sur les lèvres, caressant d’une main son ventre.

« Je suis partiellement humaine, alors... Je t’ai trouvé à manger... »

Du moins, Thorne l’avait trouvé, en suivant fidèlement les instructions de Sarah. Elle avait ainsi rapporté des pâtisseries, que Sarah attrapa, les déposant sur le ventre de Jill. Ils étaient dans un petit sachet. Il y avait deux croissants au beurre dedans, ainsi qu’un sandwich comprenant deux tranches de jambons avec du beurre. Ce n’était clairement pas un repas formien, mais Sarah devait bien avouer que les Formiens, contrairement aux humains, n’avaient aucun goût culinaire.

« Vas-y, mange... Si je te voulais du mal, ma belle, je ne te traiterais pas comme une invitée de marque... »

Que cherchait donc Sarah ? Elle ne le disait pas encore, attendant que Jill se réveille.