Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ein Tausendjähriges Reich !

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Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 75 lundi 21 janvier 2013, 04:45:41




Le "câlin" eut une drôle de saveur. Tudieu. Serrer dans ses bras un nazi tout en étant en sous-vêtements laissait une drôle d'impression. Pas désagréable, non, mais étrange. Quand il évoqua les gens normaux, elle grimaça doucement, amusée. Connaît pas, les gens normaux, moi, aurait-elle pu répondre, j'les fréquente pas. Mais elle ne dit rien, se contentant d'un petit sourire. Le petit sourire qui veut dire "De rien", vous connaissez ? Celui là, parfaitement. L'adolescente le regarda s'éloigner vers la douche, sans rien ajouter. Elle chercha du regard ses vêtements, qui stagnaient ici et là. Elle s'apprêta à les enfiler, quand ... Ting. Une idée. Une idée géniale, à son sens. Plutôt que d'enfiler ses vêtements, elle n'avait qu'à retirer ceux qu'elle portait. Même si sa conscience s'égosillait à lui dire que c'était la pire idée jamais pondue dans cette petite cervelle décidément irrécupérable, elle le ferait. Hop, au revoir le soutien-gorge, qui tomba sur le lit. Bye bye la petite culotte, qui le rejoignit.

A pas de louve, elle s'approcha de la porte de la salle de bains. Rapide coup d'oeil, histoire de tâter le terrain et de préparer son entrée. Elle poussa la porte du bout du doigt, afin de mieux y voir. Recula un instant. Fit claquer la porte d'entrée, mimant son départ. Et attendit d'être sûre d'être hors de son champ de vision pour entrer dans la pièce. Féline, elle se glissa derrière lui. Il put sentir deux mains, fines, sur ses épaules, et un souffle tiède dans sa nuque.

- T-t-t.

Sa voix était toute douce, toute joueuse, nimbée d'un ton suave. Ses mains glissèrent sur ses clavicules, doucement, éprouvant sa peau.

- ... Mais je n'ai rien à faire, moi, cet après-midi.

Aah, Neena. Ta narratrice se désole. Quand cesseras-tu de faire tout et n'importe quoi (enfin, surtout n'importe quoi) ? Enfin, toujours est-il que, quand elle avait une idée en tête, pour la dégager, c'était toujours épique. Elle arbora un sourire amusé, de ceux qu'elle porte à merveille, tout en continuant de faire glisser ses petites mains en haut de son buste.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

" Allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre les lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans la bouche." (Saez)

SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 76 lundi 21 janvier 2013, 05:07:02

Enfin seul avec toi-même. Tu vas pouvoir réfléchir, et faire des trucs de nazis, genre parader en uniforme, apprendre par cœur Mein Kampf, prier devant une photo de tonton Adolf, claquer des talons et, je sais pas moi, tuer un socialo-communo-stalino-marxiste ou deux, boarf, la routine du SS. OK, tout cela est tellement cliché que j'ai presque eu honte de l'écrire. N'empêche que pour le reste, penser, oui, c'était son plan. Reposer son corps et son esprit, et réfléchir aux faiblesses qu'il a eu, et les moyens d'y remédier. Neena était du genre roue libre. Chute libre aussi d'ailleurs. Il se sentait investi de la mission d'être son parachute avant qu'elle ne se crash. Mais comment faire ? Il avait l'impression que le savant mélange de violence et de douceur marchait plutôt pas mal. Mais pour le coup, ça paraissait être de la manipulation. Ca l'était, d'ailleurs : Planifier son comportement pour changer celui des autres, c'était l'une des définitions de manipuler. Et il ne voulait pas faire ça à Neena. Il voulait que ce soit naturel.
Et il avait beau tourner et retourner ça dans tous les sens, avec toutes les sémantiques, les acceptions, les logiques et les philosophies possibles : Ce qu'il voulait faire ressemblait de plus ou moins loin, en fonction des paramètres, à de la manipulation. Naze.

Mais une idée germait soudain. Prendre en compte la volonté de Neena. Oui, c'est génial. Prendre en compte, ajuster, modifier. Hm. Le plan se déroulait dans sa tête. Les p....

Ses yeux s'ouvrent en grand. Ses pensées se fixent, brusquement. Elle est... encore là. Elle est plus que là. Il se retourne vers elle, complètement trempée. Elle est èvement là. Nue, j'entends. Une vision de rêve. Il va parler, il veut parler, prononcer son prénom dans un premier temps, ce serait bien, et puis chercher à la dissuader, Stockholm et tout c'est pas génial, et je viens d'être méchant avec toi, j'ai failli te tuer, etc. Et j'ai encore un peu la rage contre toi aussi, il faut pas oublier. Mais non ça sort pas, c'est un corps désespérément muet qu'elle touche sans gêne. Un corps meurtri par l'exercice aussi, qui apprécie ses caresses.

Il retourne sa tête vers elle et la regarde. Bon Dieu, elle est belle. En blonde en plus, elle lui fait voir la lumière des tous les astres en plein dans ses mirettes de fasciste. Ca fait mal. Il tend le visage en arrière, sortant de la coulée d'eau, pour quémander (ou prendre!) un baiser. Il veut. Il l'embrasse. Doucement mais passionnément

Bon, et c'est pas tout ça, mais : il est nu, elle est nu, elle est belle, bien foutue, il est beau, tout plein d'eau, et il bande, en demande. Oui, son éminence s'agite grave. On ne précisera pas qu'il n'a eu aucun soulagement physique quelconque depuis l'orgasme de la demoiselle. Ca fait loooongtemps, très. Ah ben si, je l'ai précisé. Bref. Et donc son envie se réveille brutalement, elle monte en flèche dans son bas-ventre. Le désir pur. Ses petites mains l'achèvent complètement. Oh que oui, il est détendu.
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

Cette image mène à mon RP que je l'aime bien.

Ce personnage n'a pas pour but de faire l'apologie du nazisme et cherche au contraire à avoir une réflexion sur les suites de l'idéologie à travers le temps, la survivance des endoctrinements meurtriers et la reconstruction des esprits détruits.

Le joueur et son perso sont à dissocier.

Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 77 lundi 21 janvier 2013, 05:34:39



Dieu merci, il ne l'envoya pas paître. Il aurait pu. Il aurait pu vouloir être tranquille, un peu, qu'elle dégage un peu, parce qu'elle était lourde, en fin de compte. Mais non. Il l'embrassa, et elle lui répondit, avec un désir non feint. Ses bras se nouèrent autour de son cou, tandis qu'il restait dos à elle. Elle, et sa poitrine pressée contre les omoplates de ce cher nazi qui envisageait, dix minutes plus tôt, de lui faire la peau. Ses mains griffèrent doucement son buste, tandis qu'elle se laissait glisser à ses côtés. De l'eau. Génial, elle voulait en profiter ! Toujours collée à lui, elle se cala à sa droite ... Puis, non contente de sa position, qui n'était pas très drôle, la jeune fille s'arrangea pour se retrouver au-dessus de lui. Bon, il allait falloir qu'il la maintienne, une main contre ses reins, histoire qu'elle ne glisse pas, mais sinon tout allait bien. Ses jambes se nouèrent autour de sa taille, comme si cela était naturel, habituel. Tout son équilibre dépendait de lui ; s'il la lâchait, elle tombait. Les baisers reprirent. Une main, dans la nuque, le long de l'épaule, comme appui. L'autre main, par contre, se fit plus aventureuse. De la clavicule, elle glissa jusqu'au bas-ventre. Ses doigts capturèrent son membre, l'enserrant doucement, tandis qu'elle faisait cesser le baiser.

Un moment, juste un moment. Juste le temps que ses lèvres trouvent refuge dans son cou, lui offrant quelques petits baisers, quelques tendres morsures.

- Est-ce moi qui vous rend muet ?

Voix amusée. Elle passait du vouvoiement au tutoiement avec un illogisme agaçant. Et les baisers reprirent, ses lèvres rejoignant les siennes. Sa minuscule et douce poigne, autour de son sexe, commença une série de vas-et-vient délicats, son étreinte se faisant parfois plus lâche, comme une douce caresse, parfois plus serrée, langoureuse. Vu sa position, parfois, sa queue venait effleurer le bas du ventre de l'adolescente comme une promesse. L'eau qui coulait, elle s'en foutait pas mal. C'était tiède, c'était bon. Rien à redire. Elle lui mordit la lèvre inférieure, un court instant, comme ça, pour jouer, s'amuser un peu.

- Je m'excuse vraiment, pour tout à l'heure ...

Lui glissa t'elle à l'oreille. Brusquement, ces excuses prenaient une autre saveur, tiens. Mais qu'il ne pense pas qu'elle n'était là que pour qu'il lui pardonne, non, c'était bien plus que ça. Voyons.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

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SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 78 lundi 21 janvier 2013, 13:39:09

C'est une fâcheuse habitude que je prend... Non, que tu prends, de me faire taire.

Il la laisse se mouvoir, sa nymphe sous l'ondée, la soutenant quand elle en aura besoin. Il est un peu comme dans un rêve, un rêve un peu trop humide pour être irréel, un rêve avec une jolie fille qui vous saute quasiment dessus au moment où vous ne vous y attendiez pas, pour vous promettre tacitement un moment des plus doux, des plus excitants. Une certaine hâte s'empare de lui, mais, comme il était développé auparavant : Siegfried a une patience des plus fortes.

Siegfried, cet agneau. Cet amant si conciliant, si aimant.

« Je t'ai pardonné » allait-il dire. Et le regard porté vers le bas était dramatiquement attiré vers l'un de ses attributs. Non, pas sa queue. Quelque chose de plus important. Sur son bras était imprimé un A en lettre gothique, à l'intérieur, sous l'épaule, presque dans l'aine.


Flashback qui va bien
.

ᛋᛋ

Septembre 44, un village en Bretagne. Des centaines de soldats allemands se trouvent ici, dans des uniformes dépareillés. Certains sont en civil, même. Les américains les entourent, armés, en les groupant comme des bœufs.

« Ceux qui comprennent traduisent pour leurs petits copains. Vous allez vous mettre en file indienne et tous vous mettre torse nu. Torse nu, vous entendez ? Après quoi vous passerez les uns après les autres devant les deux soldats là-bas. Ils vous trieront. »

Siegfried passait derrière eux, habillé en soldat américain. Cette tenue de la honte. Il venait d'égorger un caporal qui pionçait dans un fourré pour l'avoir. Son col portait quelques traces de sang.
Il les regardait faire. Chaque allemand devait lever les bras, et les deux yankees leur disait alors de monter dans l'un des camions à droite, ou à gauche. Il se demandait pourquoi, mais, en continuant de faire le tour du camp, il voyait : Les alliés triaient en fait les SS des autres, en repérant ceux qui avaient le tatouage à l'intérieur du bras. Pourquoi séparer ses frères de l'ordre noir ? Comptaient-ils les exécuter ? Leur réserver un traitement spécial ?

Une grenade roulait dans un camion ouvert où mangeaient quelques soldats. Des cris de panique. Boum, le camion explose, 7 morts d'un coup. Et tout le monde se met en branle : Un attentat ? Un bombardement ?

Siegfried épaule son fusil à répétition et tire avec une précision incroyable sur tout ce qui bouge.

Mes frères SS ! Nous avons juré de défendre le Reich jusqu'à la mort !! C'est maintenant que tout se joue ! Prenez leurs armes, prenez-leur de force, et tuez-le ! Volez votre liberté ! Faites-leur payer l'humiliation qu'ils vous font subir !

Au milieu des bruits des balles, ses cris étaient pourtant très audibles pour les germanophones présents. Quelques prisonniers fendaient la foule et fonçaient sur les cadavres pour s'armer de leurs fusils. Siegfried rechargeait sans se lasser et tuait, blindé de son assurance fanatique. Il enchaînait les morts, se mouvant entre les véhicules et les bâtiments pour être une cible difficile à avoir pour les américains.

Et les tirs de ses amis commençaient à fuser à leur tour, mitraillant les américains qui étaient franchement désorganisés. Tant mieux.


Il fallut trois jours aux américains pour reprendre ce village, après l'avoir quasiment rasé de leurs bombes. Ce village n'existe plus aujourd'hui. Le futur professeur était déjà de retour en Allemagne à ce moment-là. Comme un fantôme, il s'était évanoui, pouf.

ᛋᛋ


Ce tatouage. Le signe distinctif des SS. Simple groupe sanguin gravé à vie sur le bras, parce qu'être SS était une vocation qu'on exécutait jusqu'à la mort, sans pouvoir jamais la remettre en question. Moralement, c'était inconcevable. A la réflexion, cette petite lettre valait plus que sa croix de fer. Pour rien au monde, il ne la retirerait. Pour lui arracher la peau à cet endroit, il faudra d'abord le tuer, c'était non-négociable.

Ses yeux se relèvent vers Neena. Il bande toujours, et pas mal. Mais ses yeux sont animés d'une lueur différente. En fait, non, justement, le truc, c'est que la lueur s'est éteinte. Volte-face, bonjour.

Tes excuses ont été acceptées, déjà. J'attends des actes qui prouvent que ta rédemption est sincère.

Monsieur pose sa main sur celle de Neena. Excité à mort, et de nouveau affamé de ses propres vices. Il maîtrise son sexe par l'intermédiaire de la mimine de la jeune fille, et la dirige vers son intimité. Coup de bassin en avant, et, manque de bol pour elle, c'est lui qui la tient par derrière, l'empêchant de fuir.

Il la pénètre donc, avec son empressement habituel.

Remue, petite salope. Fais-moi plaisir, je veux sentir ta petite chatte qui bouge sur moi ! Sois chienne ! Fais-toi pardonner ton putain de comportement irresponsable ! J'ai tué pour ta petite gueule, j'ai sauvé ton cul, montre que tu le mérites !
« Modifié: mercredi 23 janvier 2013, 19:11:33 par SSiegfried »
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

Cette image mène à mon RP que je l'aime bien.

Ce personnage n'a pas pour but de faire l'apologie du nazisme et cherche au contraire à avoir une réflexion sur les suites de l'idéologie à travers le temps, la survivance des endoctrinements meurtriers et la reconstruction des esprits détruits.

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Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 79 lundi 21 janvier 2013, 14:51:04



Ah oui, volte-face bonjour. Effectivement. Neena avait perçu son regard, qui avait bien changé. Le "A" imprimé sur sa peau, par contre, elle l'avait à peine vu. Et, de toute manière, elle aurait été bien incapable de l'analyser correctement. Elle ne s'intéressait pas plus que ça aux nazis et à leur histoire , ni même aux guerres en général. Pour le peu qu'elle suivait en cours ... Mais, à l'instant même où elle croisa son regard, l'adolescente écarquilla les yeux. Oh oh. Elle n'aimait pas ça. Parce que cela lui rappelait l'épisode plutôt douloureux de leur rencontre. Sur le coup, dirigée par sa propre excitation, elle omis de s'inquiéter, continuant ses caresses, même si son instinct lui ordonnait de se méfier quand même un peu.

- J'attends des actes qui prouvent que ta rédemption est sincère.

La phrase la fit sursauter. Il prit sa main, l'enserrant, dirigeant son membre vers ... Outch. La pénétration fut relativement douloureuse. Oui, elle était étroite. La jeune fille se cambra, se tortilla, essayant d'échapper à la poigne qu'il avait sur ses reins. Paradoxalement, même dans cette position, elle n'avait pas le dessus. Elle n'était maîtresse de rien ; lui seul dominait. Elle répondit à ses attentes par de légers coups de reins, remuant sur lui avec une certain grâce. Son corps se cambra, et sa queue s'enfonça plus profondément en elle. L'adolescente grimaça, sa main désormais libre agrippant l'épaule de Siegfried. Épaule qu'elle serra entre ses doigts, à la limite de la griffure. Un long soupir souleva sa poitrine quand elle débuta sa danse. Bougeant ses hanches, elle commença par décrire des cercles, puis ce fut des mouvements plus vifs. Prenant appui sur son torse, elle soulevait son bassin, s'éloignant un peu, puis s'approchait de lui, s'empalant sur sa queue. Mouvements qu'elle répéta plusieurs fois.

- Mmh ... Han, comme ça ?

Soupira t'elle, avant de gémir doucement. Sur ce petite visage trempé aux joues rougies par l'effort, un sourire le nargua. Elle se prêtait au jeu. Elle aimait ça. Le rythme de ses coups de reis s'accéléra, coups de reins qu'elle ponctuai de légers gémissements. L'eau brûlante, sur sa peau, n'arrangeait rien. Son corps était un véritable brasier.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

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SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 80 lundi 21 janvier 2013, 15:23:54

Ca y est. Il se sentait un peu revivre. C'était ça en fait, son coup de déprime : Il était bluesy parce qu'il sentait qu'il perdait le contrôle. De nouveau, il le prenait. De force, bien entendu. C'était plaisant. Elle voulait jouer ? Elle aurait sa dose. Et si elle continuait d'arborer ce sourire quasi-triomphal, elle douillerait violemment. Il voulait voir la soumission. La totale : Les gémissements plaintifs, les sourcils haussés à l'intérieur, les suppliques de sa petite voix, les marques de sa douleur, et les larmes. Un ensemble qui faisaient du bien à son moral, dirons-nous. Parce que oui, il est soudainement requinqué le Siegfried, gonflé à bloc, et elle allait le sentir passer.

Par surprise, il lui saisit le cou. Lui qui restait ballot, bras quasi ballants, s'activaient de nouveau. Il ne lui suffisait plus de simplement la maintenir. Non, le pouvoir s'exerce par la contrainte, et c'est son souffle qui sera contraint. Non, il ne l'étouffe pas, mais mademoiselle suffoquera presque quand même. La pression est forte, dure, et son bras tendu complètement contracté, aussi solide qu'une poutre, ne pourra être délogé.

Continue... Continue !

Il accompagnait ses mouvements de reins tandis qu'il la penchait en arrière. C'était proprement divin. Il avait un sens de l'esthétique très particulier. D'accord, l'art allemand c'était tout carré, tout en angle, sans grande fantaisie, et il avait été fasciné par les constructions inspirées de l'art gallo-romain, reprises avec un sens plus germaniques. Mais il adorait particulièrement les courbes. La demoiselle en était d'ailleurs fortement pourvue, et en plus, elle faisait jouer des variations en balançant son corps. Elle n'était pas toute raide dans ses mouvements, non, elle ondulait comme si elle était faite d'eau, comme une mer agitée, gracieuse, sensuelle, et non seulement la sensation « sexuelle » proprement dite était plus qu'agréable, mais le plaisir des yeux était tel que les pensées s'en trouvaient chamboulées. Néanmoins, puisque sa rage était réveillée, il ne montrera pas le moindre signe de son extase intérieur.

Griffe-moi, vas-y ! Ose me faire mal ! Je ne ressentirais rien, mais te rendrais tout au centuple !

Ah, au passage. Vu la position, si il la lâche, elle ne se contentera pas de glisser : Non, elle fera une chute, sur le dos, voire la tête la première si ses jambes ont le malheur de la retenir. Ce sera ballot, dans une baignoire. Il y a risque de mort, non ? Ou d'évanouissement, et l'eau se chargera de la noyer, quoi. Oui, bon, rien de bien particulier.

Il la laisse s'occuper de lui un bon moment, appréciant particulièrement ce traitement, mais, dans l'optique d'accentuer son impression de pouvoir, il se met, pivote un peu. Il pose Neena sur un rebord large de la baignoire, et la fait complètement basculer au-dessus du sol. C'est la main sur son cou qui la retient complètement, et la différence de portée est telle qu'ainsi, la demoiselle ne peut même plus se raccrocher à ses épaules. Elle n'a plus que son bras pour pleurer.

Lui a bien appui dans la baignoire, et un équilibre parfait. Et c'est à lui de donner ses coups de reins puissants, chacun, ballottant le corps soumis de la jeune fille, menaçant tout simplement de la rejeter, de la faire basculer, et tomber. Elle est comme un animal retenu au-dessus d'un précipice. Son seul moyen d'échapper à la souffrance, c'est d'espérer.

Et puis, bon sang, comment réfléchir alors qu'on est même pas capable de respirer correctement !?

Je te sauve, je tue tes agresseurs, je répare tes conneries, je cherche à te faire réussir ! Et toi, tu me manques de respect ! Tu es irresponsable, inutile, et je continue à être bon avec toi ! Mérites-tu mes attentions !? Les mérites-tu !? Je devrais te traiter comme une chienne, comme un objet, comme mon sac à foutre, mon déversoir et rien d'autre !
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

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Le joueur et son perso sont à dissocier.

Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 81 lundi 21 janvier 2013, 15:44:43




Ah, pour suffoquer, elle suffoqua, la petite ! La poigne autour de son cou était loin d'être des plus agréables. L'adolescente saisit son bras à deux mains, ses mimines s'y agrippant comme si sa vie en dépendait. Enfin, oui. Sa vie en dépendait. La mauvaise chute, elle la voyait déjà venir, et l'appréhendait vraiment. Lorsqu'il pivota, inversant les rôles, elle remua comme une diablesse en cage, comme un chaton au bord de l'abîme. C'était dangereux, putain, tellement dangereux ... Neena ne cessa pas d'étreindre ce bras, mais cette fois avec plus d'effroi et d'affolement que de sensualité. Tomber en arrière l'effrayait. Sa position laissait tout entendre ; elle lui était soumise. Soumise. Cette simple idée agressa son ego, lui donnant envie de le gifler mille fois. Mais non, Neena, tu ne peux pas. Alors ses ongles se plantèrent dans son bras, tandis qu'elle encaissait les coups de reins.

Son corps, balotté, secoué par ces vas-et-viens brutaux, commençait à lui faire mal. Sa peau ripait contre la baignoire. Demain, oui, elle aurait des marques.

- Mmh, putain ! Tu me fais mal ! Ah !

Parvint-elle à prononcer, criant presque, toute endolorie par ces traitements. Dans l'instant, oui, tutoiement, parce qu'impulsivité. Neena remua, une nouvelle fois, comme si elle cherchait à s'enfuir. En vain. Les paroles qu'il lui lança à la gueule, elle les reçut en secouant la tête tant bien que mal. S'il continuait comme ça ... Sa main, la gauche, se posa sur la sienne, tentant de la détacher de ce cou meurtri. Ses gémissements étaient arrêtés par ses suffocations.

- Salaud !

Cracha t'elle dans un souffle, avant de se cambrer vivement.





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SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 82 lundi 21 janvier 2013, 15:58:41

Il retourna s'asseoir au fond de sa grande baignoire, l'emmenant de nouveau avec lui. Sauf que là, il la serrait contre lui, à deux bras. La façon dont il l'empêchait de mouvoir ses bras était comme une camisole. Il la tenait bien contre lui, et comme le savent ceux qui ont l'habitude des combats, dans tous les domaines d'ailleurs, c'était le meilleur endroit pour se défendre. Au plus près de l'adversaire. Et son bassin remuait, lentement, louvoyait comme un animal pernicieux, s'insinuant en elle tout doucement, avec une grâce qu'on ne lui soupçonne pas, d'autant que la position n'est pas confortable pour lui.

Shhh, petit animal... Tu viens encore d'enfreindre une règle... Tu continues à mal te comporter... C'est pour ça que je suis violent avec toi ! Parce que tu ne sais pas respecter ce que je t'impose ! Dois-je te rappeler ce que je détiens de toi ? Je pourrais les donner à tes professeurs, pour qu'ils te fassent chanter à leur tour !? Qu'ils te transforment en trou à bite à disposition ! Je t'offre mes repas et mon hospitalité, mais tu t'en fous... Et c'est pour ça que je te traite ainsi !

L'une de ses mains remontait pour prendre ses cheveux, et il tirait sa tête en arrière, visage de Neena vers le plafond, en profitant pour embrasse et mordre doucement son cou, tandis qu'ils sont d'ailleurs de nouveau sous l'eau.

Quand tu témoigneras le respect qui est dû à mon égard, quand tu seras obéissante, je te considérerais autrement que comme mon sac à foutre ! Ce qui t'arrive est entièrement ta faute, imprime-toi ça dans le crâne, petite sotte ! C'est ta curiosité qui t'a mené ici au départ, ce sont tes erreurs qui font que je te fais mal !

Ses propres mots l'excitaient. Le pire, c'est qu'il avait raison. Enfin, bon, on arrange toujours les choses quand on parle, mais il est vrai que d'un certain point de vue, il n'avait pas tort, et il comptait bien le rentrer dans le crâne de Neena de force. Ses mouvements accéléraient, et, puisqu'il avait la maîtrise du corps de la lycéenne sur lui, il en profita pour la faire bouger aussi. Il lâche ses cheveux, et prendra d'une main ses fesses pour la stimuler à faire remuer son popotin divin.

Montre-toi dévouée, ça t'évitera ce genre de désagrément à l'avenir... A moins que ça ne te fasses vraiment envie, que toute l'école voit ton cul débordant de sperme, et ta face qui semble en redemander pendant que je te torture !?
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

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Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 83 lundi 21 janvier 2013, 16:26:47



Neena poussa un long et large soupir quand il cessa de l'étrangler ... Même si ce fut pour mieux la contraindre. Elle ne pouvait même plus bouger ses bras. La jeune fille n'avait plus aucun contrôle sur rien. Elle devait encaisser ses insultes cinglantes, giflantes. Son ego en souffrait, croyez-moi. Dans ses idéaux, il était dit qu'elle ne baisserait jamais les bras, qu'elle ne flancherait pas, qu'elle n'obéirait pas aux ordres allant au-delà de ses valeurs. Mais là, pour le coup ... La prise sur ses cheveux lui arracha un couinement. Douleur. Si lui estimait qu'il avait raison, elle pensait tout à fait le contraire. Elle le voyait comme un tyran, un de ceux qui se repaissent de la douleur des autres. L'adolescente savait très bien qu'elle devait faire preuve de respect pour éviter les coups, mais elle en était incapable.

'fin, c'es ce qu'elle pensait. Jusqu'à ce qu'il évoque les photos. " Montre-toi dévouée ". La main, sur ses fesses, accompagnant ce conseil aux allures d'ordre sournois, la fit baisser les yeux. Emprise totale. Elle ne contrôlait plus rien, plus rien. Alors Neena se résigna. Malgré le carcan qui oppressait ses bras, elle remua à nouveau son bassin, pour mieux répondre à ses coups de reins. Pas question de jouer à la conne, ni d'en rajouter. Elle bouge*, aussi digne que possible, ses mouvements s'accordant avec les siens pour offrir plus d'amplitude à la pénétration. Han, un coup, elle se relève puis s'empale sur lui. Mh, un autre, et elle lui fit même le plaisir de resserrer - oui, les femmes ont ce pouvoir merveilleux - ses parois intimes, rendant son sexe plus étroit. Ça demande du boulot, mais c'est efficace.

Sa jolie bouche n'affiche plus de sourire fier, elle ne s'ouvre que pour la laisser gémir. Oui, elle fait attention à ne pas faire de faux-pas. Parce qu'elle a peur, parce qu'elle a mal.

- Ha, han ! Oui !

Plus aucune insulte, c'est ce que je vous disait ! Que des soupirs bruyants. Et des coups de reins digne de ce nom, qui la font se mouvoir avec délectation.



* J'avais envie d'écrire " Elle se meut [...] " mais ... Non. J'y arrive pas. Visualiser une vache, là, ça brise tout.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

" Allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre les lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans la bouche." (Saez)

SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 84 lundi 21 janvier 2013, 16:51:28

Et bien, c'est ce qu'on appelle être versatile. Une belle paire de margoulins ces deux-là... Jamais le même discours ! Et après ça clame haut et fort que ça ne se laisse guider par rien ni personne, pas même les envies ou la colère, et pourtant... Tsss. On ne peut décemment pas faire confiance à un perso de RP de toute façon.

Il la relâchait lentement. Desserrait l'emprise qu'il possédait. De toute façon, il pourrait l'arrêter au moindre mouvement. Elle ne peut ni fuir, ni lui porter un quelconque coup fatal. Et il retrouve sa petite Neena qui lui fait tant de bien, dont le fourreau est agréablement surprenant, il écarte ses deux bras pour les poser sur le rebord de la baignoire. Matez-moi ce pacha, un prince des milles et une nuit qui profite d'une des nanas de son harem. Le nazi, sans gêne, lui sourit, tandis qu'il la voit prendre son plaisir, et lui en donner. Le plus important c'est que la mise au point soit claire. Il la refera à loisir, car il veut la graver dans sa tête aussi sûrement que ne le fut le A sur son bras.

Mais la voir ainsi se mouvoir* l'excitait plus que de raison, et il a fait l'erreur de balader ses mains (rendues froides par un contact trop long sur le bord sec de la baignoire) sur ses hanches, sa taille, et ses seins, qu'il entoure, enserre, puis remonte sur sa gorge, qu'il caresse sans serrer, avant de redescende sur cette divine poitrine qu'il tient un instant en accompagnant les mouvements de bassin de la demoiselle. Et oui, il se sent au bord de l'orgasme. L'idée n'a pas le temps de faire le tour du cerveau qu'il se précipite sur Neena, comme pris d'un instant féroce, et il la prend entre ses bras, la fait se basculer, l'allonge au fond de la baignoire. L'eau coule sur leurs corps mais la face en est épargnée. C'est lui qui prend le contrôle de nouveau, et ses mouvements commencent par être légers et doux, histoire de l'habituer un instant à cette pénétration à la fois nouvelle et inchangée, avant d'accélérer brusquement. Aucun espoir de fuit, et lui la prend sauvagement, et le fait que ce soit lui qui ait le dessus lui permet de mieux contrôler son plaisir. Tout va bien. Il aime, il se sent bien, il se sent puissant, vivant. Son sexe lui transmet des vagues de plaisir à chaque coup de rein qu'il donne, et il ne s'en lasse pas.

Complètement mêlé à elle, il parle à son oreille.

Je ne cesserais d'être cruel et violent envers toi quand tu n'exécuteras pas ce que je te demandes... Et crois-moi, je suis raisonnable, petite pute, je pourrais te demander bien pire ! En revanche, quand sauras montrer ta dévotion et ton obéissance, tu seras récompensée par tous les orgasmes que tu veux, ma belle... Et plus !

La variation de ton était assez perturbante, mais il espérait qu'elle comprenne ce qu'il dit sans qu'il n'ait à se répéter – encore. Même si il pense bien qu'il va devoir, de toute façon, parce qu'elle est impossible à vivre. Admettons-le.


*= Hop, en changeant la conjugaison.
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

Cette image mène à mon RP que je l'aime bien.

Ce personnage n'a pas pour but de faire l'apologie du nazisme et cherche au contraire à avoir une réflexion sur les suites de l'idéologie à travers le temps, la survivance des endoctrinements meurtriers et la reconstruction des esprits détruits.

Le joueur et son perso sont à dissocier.

Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 85 lundi 21 janvier 2013, 17:21:57




Une concession contre plus de libertés. D'habitude, c'était un principe qui horrifiait Neena. Mais, pour le coup, elle était prête à passer l'éponge. Ses mains cessèrent de martyriser son dos, pour se glisser insidieusement contre ses corps. Ses hanches, si sensibles, sa taille, si fine, ses seins, si ... Brrr, j'en frissonne. Il avait les mains glacées, en plus. Le contraste tiédeur-chaleur la fit soupirer longuement, tandis qu'elle s'échinait à lui faire prendre son pied, et à dégoter un orgasme par la même occasion. Quel curieux couple. Si Maman-Neena savait quel genre de personnes sa fille fréquentait ... N'y pensons pas.

Il la renversa, sur le dos, sous l'eau. L'adolescente éprouva son poids avec délice. Ses fines gambettes encerclaient le corps du SS, comme pour mieux le sentir bouger contre elle. Un soupir, un long, un lent, et un gémissement. Les ébats brutaux, sauvages, la feraient toujours fondre. Elle encaissa les mots "dévotion", "obéissance", qui sonnaient à ses oreilles comme de lourdes insultes, pour finalement ... Oui, l'embrasser. Fiévreusement. Son plaisir, à elle, grimpait en flèche. Elle se tortilla sous lui, ses bras enlaçant son cou, ses mains tâtant son torse, glissant le long de la baignoire. Bref, elle remua. Se cambra. Et se laissa venir entre ses bras, la tête rejetée en arrière. Un gémissement profond, un hoquet, des spasmes brûlants. Et Neea retomba, presqu'inerte, sur le fond de la baignoire, trempée.

- Mh ...

Murmura t'elle simplement, incapable de prononcer la moindre phrase cohérente. Elle avait la sensation qu'elle n'avait plus d'os. Elle secoua vaguement la tête. Elle aurait pu s'endormir ici, tant ces ébats l'avaient claquées.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

" Allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre les lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans la bouche." (Saez)

SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 86 lundi 21 janvier 2013, 17:39:42

Tu ne tiens pas le choc, ma belle...

Cette fois-ci, pas questions de laisser passer son propre orgasme. La dernière fois, c'était un signe de don de soi, comme un cadeau, style « tu prends ton plaisir et pas moi ». Mais là, il est moins conciliant, il l'a assez démontré. Et, alors qu'il est au bord de l'orgasme, il saisit Neena par la nuque pour la soulever de force. Il s'est extrait d'elle, se dresse de toute sa splendeur, et, après quelques coups de poignets, traînant son gland brûlant sur sa joue, il se met à jouir longuement, se déversant sur son visage, sa poitrine, indifféremment, un orgasme puissant et fulgurant qui manque de le faire basculer dans la baignoire. Une fois qu'il a fini, il la lâche, elle s'occupera de se rattraper elle-même, puis se recule un peu pour se mettre sous l'eau de nouveau. Il sent la sueur d'ici, même alors qu'une cascade d'eau inonde son corps. L'important, c'est qu'il ait souillé sa soumise, l'ait battue sous tout les plans. Tant mieux.

Ca t'excite toujours, de te faire défoncer par ton bourreau, à ce que je vois... Tu en veux encore ?

A mi-chemin entre une sculpture grecque et une pub tahiti, le SS s'est saisi d'un savon avec lequel il se frotte le buste. Bon, passons sur l'érection franchement dressée, pointant vers le ciel, d'où coule encore un peu de sa semence qui, tenace, refuse de partir parce que seules quelques gouttes d'eau tombent dessus, mais cette queue, qui manque de grâce, lui donne malgré tout un air terrible de dominateur, de conquérant.

Ca fait longtemps que je ne t'ai pas ravagé une autre de tes entrées, tiens...

Il en sourit. Il ne compte pas s'y mettre maintenant pour autant. Petite pause. Il veut se laver pour de vrai.
SS-Hauptsturmführer Anton, baron von Königsberg.

Cette image mène à mon RP que je l'aime bien.

Ce personnage n'a pas pour but de faire l'apologie du nazisme et cherche au contraire à avoir une réflexion sur les suites de l'idéologie à travers le temps, la survivance des endoctrinements meurtriers et la reconstruction des esprits détruits.

Le joueur et son perso sont à dissocier.

Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 87 mardi 22 janvier 2013, 20:16:31


- Ça t'excite toujours, de te faire défoncer par ton bourreau, à ce que je vois... Tu en veux encore ?

L'adolescente laissa l'eau laver le sperme qu'il avait étalé sur elle. Non, elle ne tenait pas le choc. L'épuisement, vous connaissez ? Soutenue par ses coudes, elle se releva, se hissant hors de la baignoire. Elle lui répondit d'un petit hochement de tête, s'étira. Elle était hors de l'eau, maintenant. Neena quitta la salle de bain tout doucement, attrapant une serviette au passage, et ne releva pas sa dernière réplique. Oui, elle devait bien avouer qu'elle adorait ça, même si ... Putain, il m'a fait mal. Elle se massa le cou, déambulant dans son appartement, nue, la serviette nouée maladroitement autour de sa taille. Boarf, il ne l'avait pas traumatisé. Elle avait pris son pied. C'est tout ce qui compte. Elle n'écoutait, de toute manière, plus sa raison depuis un moment.

Une fois dans la chambre, elle enfila ses sous-vêtements. Ouvrit la fenêtre. Se roula et fuma une clope, encore chancelante. Inutile de chercher à savoir pourquoi elle restait ici. Sans doute dans la perspective de ... De te faire baiser ? grogna sa conscience. La jeune fille l'ignora royalement, tirant une large bouffée de tabac. Un joint lui aurait fait du bien. Mais, pour sûr, il ne lui pardonnerait pas cet acte. Elle ébouriffa ses cheveux blonds, avant de se diriger vers la cuisine. Famine. Hop, une pomme, qu'elle croqua vivement, la clope coincée entre son majeur et son index. Était-elle vraiment soumise à lui ? L'idée la fit frémir. D'effroi ou d'excitation, qui sait. Elle ne regarda pas l'heure, pas vraiment pressée.

- ... Mh, j'dois être cinglée.

Finit-elle par murmurer. Elle aurait pu partir. Là, de suite, maintenant. Mettre ses fringues et dégager. Mais elle ne le fit pas, restant là, dans cette cuisine. Un morceau de pomme. Le fruit craqua sous ses dents.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

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SSiegfried

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 88 mardi 22 janvier 2013, 21:19:57

Diese Stadt ist eine Dirne, hat rote Flecken auf der Stirn...

Après s'être bien frotté, complètement, partout, avec application, et plusieurs fois, le nazi avait arrêté l'eau. Comme à son habitude, il restait nu dans la baignoire, au moins une minute, parfois plus, pour que l'eau coule d'elle-même. C'est avec application qu'il s'était ensuite séché. Une grande serviette avec laquelle il s'essuyait une première fois, puis il recommence avec une deuxième, de forme identique mais de couleur différente. Il voulait être le moins humide possible pour ce à quoi il se préparait.
Et il chantait en sortant, complètement nu. Il file dans sa chambre, laisse la porte ouverte pour s'habiller. Dans l'ordre : Un boxer, noir, des chaussettes, noires, une chemise, vert jade (pour varier le ton), un pantalon, noir, une chemise, noire, une cravate, noire, une veste, noire, des bottes, noires, et on enfilait les médailles qui allaient avec, puis la casquette. Son moment à lui. Son moment de nostalgie. Pathétique, trouveraient certains si ils apprenaient que ce rituel se répétait chaque soir. On était en début d'après-midi, OK, mais il n'avait pas pu le faire hier, il se rattrape. Il devait se souvenir de la sensation qui traverse son cœur quand il revêt son uniforme. Pour ne pas oublier qu'il est l'héritier du Reich. Embrigadé jusqu'au bout.

C'est donc un autre homme qui se présente à Neena. Il est beau, propre, bien fringué (question de point de vue cela dit), et encore en forme alors qu'il n'a pas dormi depuis maintenant 31 heures. Et il n'a pas mangé.

Tu comptes te contenter de ça ? C'est léger. Prend au moins quelque chose de consistant.

Il ouvrait le frigidaire, plein de paquets de bouffe avec des noms plus qu'européen. De l'import. Dieu sait que ça coûte une fortune de faire des courses intégralement dans des magasins spécialisés. On y va d'habitude pour y piocher quelques ingrédients pour un dessert, ou un plat particulier. Non, lui ne mange que ça. Il y a des marques allemandes, françaises, américaines...

Sers-toi, si tu veux, mais je vais faire quelque chose.

Il commence à sortir d'un autre meuble quelques pommes de terre, puis un couteau de cuisine, et s'arrête soudain, lame en main. Il vient de se rendre compte de quelque chose.

Tu n'es pas partie. Tu es restée... Intéressant. Deux raisons, soit tu commences à comprendre mon discours, soit tu espères que je te baise de nouveau. Sache que tu n'auras pas l'un sans l'autre. C'est autant de contraintes que de récompenses...

Il lève l'ustensile vers elle, comme menaçant, malgré une certaine distance qui les sépare.

J'ai eu une grande idée pour tes photos. J'ai trouvé comment maximiser le nombre de personnes qui les verront... Mais pour l'instant, je me demande si je ne devrais pas les distribuer quand même. A chaque erreur que tu feras désormais, c'est l'un de tes professeurs pris au hasard qui en recevra une sélection. Et j'ai entendu parler d'orgies entre professeurs et élèves à Mishima... Qui sait, peut-être seras-tu la prochaine à y participer, si l'un d'eux décide de te faire chanter ? Tout ce que tu peux faire maintenant, c'est adopter un comportement exemplaire. Sache bien qu'il n'y aura plus d'avertissement. Tout ce que tu pourras faire désormais c'est tenter de te faire pardonner tes incartades... Pour limiter la casse.

Pommes de terres épluchées pendant le discours, qu'il coupe en tranches et met méthodiquement dans une casserole préalablement remplies d'eau mise à chauffer sur sa plaque à induction.

Gratin de pomme de terre, avec une sauce de mon cru, et hampe de bœuf. Je te fais un plat ?
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Le joueur et son perso sont à dissocier.

Neena

Humain(e)

Re : Ein Tausendjähriges Reich !

Réponse 89 mardi 22 janvier 2013, 22:41:51




"Limiter la casse". L'adolescente croqua violemment dans sa pomme après son petit discours. Elle manqua de s'y briser les dents. La menace était foutrement effrayante. Oui, c'était cela. Effrayante. Il avait une longueur d'avance considérable sur elle, et des moyens de pression peu négligeables. Dieu que cette idée l'agaça. Neena hocha la tête à sa proposition, sans pour autant se calmer. Même si ses traits ne pouvaient trahir son appréhension, elle était pleine d'effroi. Mh, vraiment. Je vous jure. L'idée même que ses professeurs puissent voir ces photos d'elle ... Le tableau se peignait face à elle, et il lui donnait plutôt envie de gerber, ou de partir en courant. Mais il fallait croire qu'elle se plaisait, elle, petite brebis, à squatter la tanière du loup. Elle jeta sa pomme, une fois terminée, dans la poubelle, lui adressant un "Merci" à peine audible. Il fallait qu'elle s'habille. Alors qu'il préparait un repas, elle clopina jusque la chambre, trouvant là-bas son immense pull beige. Tricoté main. Elle ignora pour le moment son jean. Pas besoin. Elle avait pas froid. Alors qu'elle l'enfilait, s'emmêlant les pinceaux au milieu de toutes ces mailles, la jeune fille s'adressa à lui.

- Vous êtes attentionné, finalement.

Une phrase, prononcée simplement, avec juste ce qu'il faut d'ironie. Pas question de l'attiser. Elle ne voulait pas se chercher des ennuis, comme ça ... Enfin, pas tout le temps. Et puis, il y avait un peu de vrai dans cette déclaration. Quelques heures plus tôt, il s'était conduit ... d'une toute autre manière. Il s'était montré attentionné. C'était surprenant. Neena plia sagement son jean, le posant sur le lit.

- Mais ... N'ai-je pas mérité qu'on en supprime une ou deux autres ?

Ca, par contre, elle l'avait dit en revenant dans la cuisine, remettant son pull correctement en place. Immense, il découvrait une de ses épaules et lui arrivait jusqu'à la moitié des cuisses. Elle ébouriffa ses cheveux, qui étaient encore un peu trempés.





"Si vous croyez en Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, c'est que vous êtes schizo." - Dr House.

" Allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre les lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans la bouche." (Saez)


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