Il avait mis sa main en barrière de son cou, ainsi, l'attaque contre la glotte n'avait fait aucun dégât. Néanmoins, il était dans une position fragile au niveau de l'équilibre, et le fait qu'elle le pousse le fit basculer un peu. Il se rattrapa tant bien que mal, mais senti le pied toucher son épaule et traîner sur sa poitrine. Il entend ses médailles tomber. C'est là, à cet instant précis, que son esprit bascule.
Il était l'héritier de la haine de tout un empire européen, dont l'idéologie était tournée vers le massacre, vers la violence. Cet héritage, il le ressentait pleinement, jusque dans ses entrailles. Si il était homme à verser des larmes, il en pleurerait tant la colère l'étreint.
Vite redressé, il donne un très violent coup de botte dans la cuisse de Neena pour lui faire dégager son pied, puis ramasse immédiatement ses médailles et s'éloigne. C'était les symboles de sa gloire, la reconnaissance du Reich à ses hauts faits d'armes, à sa dévotion, et les voilà piétiné, profané bassement par une traînée qui valait à peine de poser les yeux dessus. Alors... Les faire choir au sol ? Les toucher de ses chaussures impurs ? Non, c'était vraiment, vraiment, le geste de trop. Il voulait la tuer sur-le-champ, mais il savait pertinemment que la mort est un cadeau. Il l'a dispensé, à certains de ses hommes qui souffraient trop après un obus trop cléments, une balle mal placée. Quand le type perd ses tripes, quand ses jambes ont été fauchées, l'officier était appelé, et il n'hésitait pas un instant, après avoir réconforté son subordonné et l'avoir infiniment remercié d'avoir donné sa vie pour l'Allemagne, à lui offrir cette dernière balle, logée dans le cerveau, par le côté ou l'arrière histoire de garder une apparence propre. Oui, tuer quelqu'un, c'est le soulager. Il ne lui fera pas cet honneur.
D'un pas décidé et rageur, il s'éloigne vers son étagère, où il pose les médailles. Il enlève calmement les autres de sa veste, puis la détache, bouton par bouton, avant de la faire glisser sur ses bras. Il la regarde de loin, observe la nouvelle trace de saleté sur l'épaule. Il est fou de colère. Il laisse la veste sur un porte-manteau, puis se rapproche d'elle, retroussant les manches de sa chemise.
Tu vas souffrir. L'enfer te semblera doux après ça. Tu vas pleurer, hurler, couiner. Et moi, je vais prendre mon pied. C'est là que tu as tort : Toi, tu as mal, et moi, je me fais du bien. Tu n'as aucun sens de la logique. Je te pensais moins sotte que ça, mais apparemment, j'aurais dû me conforter à mon impression première : Tu m'as l'air d'une simple petite conne. Restons-en à ce diagnostic. Voilà ton traitement.
Il avait lâché son fouet auparavant : Il l'a déjà repris. Les coups pleuvent, sur tout son corps. Là où il s'était appliqué à instaurer un rythme lent, une méthode précise pour dispenser le fouet juste avant, là, c'est l'anarchie : Il la lacère de partout avec rage, insistant même, à un moment, sur son entrejambe. Il ne vise pas : Il la touche, c'est tout ce qui compte.
Après une bonne minute de ce traitement infâme, il jette l'objet de torture, et sort une clé de sa poche pour défaire la menotte qui la retient à la fenêtre. L'anneau libéré servira en fait à attacher entre elles les deux chevilles. La libérer ? Nooon, l'entraver encore plus voyons ! Il ferme ensuite son poing, et la frappera à la face plusieurs fois. Il n'y met pas toute sa puissance, la pauvresse s'évanouirait : Il ne veut que lui faire mal, qu'elle soit pleinement consciente. Il la saisit ensuite, une main par les cheveux, l'autre par la ceinture, et la soulève comme un sac à bout de bras, lévitant au-dessus du sol. Douloureux ? Certes. Il la laisse violemment s'écraser sur sa table basse, où rien ne traîne par ailleurs. Là, tenant toujours ses cheveux, il lui claquera le visage, sous divers angle (sur les côté, de face, accentuant sur le menton, entre autres), contre le bois du meuble. Il la regarde ensuite, et lui crache au visage, s'assurant qu'elle est encore avec lui.
Debout derrière elle, maintenant. Il pose un pied sur ses reins pour s'assurer qu'elle ne bouge pas. Il attend un peu qu'elle reprenne ses esprits, il veut qu'elle ait les idées claires pour la suite. Pour la stimuler, d'ailleurs, il lève son pied, et fait puissamment s'écraser la semelle sur son dos.
Reste avec moi, petite conne. Tu vas comprendre ce que je voulais dire par « ta souffrance, mon plaisir ».
Il passe devant elle, défait sa ceinture en un éclair, et sort sa queue toujours bandée – le châtiment l'excite, visiblement. Il s'approche, lui crache de nouveau dessus, et, tenant sa chevelure pour garder son visage plaqué de côté sur la table, il lui balade son sexe sur toute sa face en sang, souriant. Nouvelle photo, pour le plaisir... Et il passe derrière elle. S'agenouille. Quel orifice choisir ? La question est épineuse. L'oeuf vibrant lui convient plutôt, alors il s'occupera de l'autre trou. Il prend l'anneau des boules, tire dessus un peu sèchement. Il distribue quelques fessées, histoire de lui donner de l'entrain. Un peu de salive sur l'anus... Et il s'introduit dedans, de 10 bons centimètres, d'une traite, dans un râle.
Salope... De force, comme ça, ton cul est d'un serré, c'est merveilleux !
Il commence aussitôt sa besogne, s'enfonçant un peu plus à chaque avancée. Il tire ses cheveux en arrière pour cambrer son corps, plier complètement sa nuque. Il lui donne quelques claques de plus avec sa main libre, puis enfonce ses ongles dans son dos pour la griffer d'une ligne, de haut en bas, en appuyant bien.
Et je parie que tu adores ça ! Te faire défoncer le cul par un SS, c'est ton rêve, pas vrai ? C'est pour ça que tu es venue ici ! L'appel de la queue !
Ses mouvements se font plus vifs, plus brutaux. Il n'hésite pas à rajouter de ses crachats pour faciliter son acte pervers. Il la bourre, violemment, claquant son corps contre elle avec une fougue inouï, bougeant la table du sol, ballottant les deux corps en rythme. Il ponctue l'acte d'autres claques, d'autres fessées, n'hésite pas à lui tordre les poignets qui sont attachés dans son dos, et à tirer encore et toujours ses cheveux, jusqu'à jouir en elle, son engin massif secoué de spasmes qu'il ponctue de ses coups de bassin, en amenant encore son crâne en arrière, tellement qu'elle doit en avoir très, très mal au cou... Et il s'arrête finalement, toujours engoncé dans son anus. Plus un mouvement. L'oeuf vibre toujours.
Merci, petite pute. Ne t'inquiètes pas, j'en ai encore pour toi. Mais il faudra être très gentille...