Oui, bon. On ne va pas commencer à lui reprocher d'être délicat, et de faire usage de son calibre avec douceur. Quand on est boosté aux hormones SS, qu'on a du muscle à revendre et un mandrin à percer un mur, on fait gaffe avec ses gestes. Autant, Siegfried peut-être un réel bâtard, cruel égoïste qui fait souffrir parce que ça le fait bander de voir douiller sa partenaire, autant il sait se parer parfois d'intérêts altruistes dans ses relations. Bonjour, il est venu là pour donner du plaisir à deux nanas. Il ne faut pas cracher dans la soupe ma brave dame. Et si il y avait été en mode barbare comme elle l'a déjà subi, Neena se serait encore plaint de lui. Pour une fois, il la ménage, alors c'est pas le moment de lui reprocher de ne pas malmener ses chairs en guise d'introduction. Bien sûr qu'elle est la première à porter atteinte à sa propre intégrité, par un train de vie sur le fil du rasoir, mais ne comptez pas sur le nazi pour torturer gratuitement à chaque instant. Le sexe où chacun profite, c'est aussi quelque chose d'agréable. Le viol ça va bien 5 minutes, et puis des fois, on se sent sentimental, et tiens, si j'évitais de la déchirer aujourd'hui ?
Il sent mademoiselle plus prête, éprouvée, son intimité étant de meilleure humeur à être le jouet de Siegfried. Alors qu'une main s'appuie sur ses reins et remonte lentement le long de son pilier vertébral, jusqu'à sa nuque, qu'il enserre de ses doigts puissants pour éprouver la soumission de sa belle, la cadence s'accélère soudain. La prise est nécessaire pour que Neena puisse encaisser cette nouvelle célérité du geste. Elle a su attendre et la voilà récompenser. Son beau nazi lui donne de puissants coups de bassin, faisant vibrer son corps entier à chacun de ses assauts, le martelage devenant bien vite si intensif que lui-même manque de perdre le rythme tant il est vif. Bam, bam, bam, Neena sent la queue massive de son divin amant fendre son infini, avec toute la force qu'il sait faire éprouver. Elle, à quatre pattes, jouet de Siegfried, objet de ses délires, puisque non-content de lui infliger sa pénétration violente mais plaisante, il l'oblige aussi à tenir le rôle de la lesbienne dévouée à son amante. Cette dernière jouit d'ailleurs, son tout premier orgasme subi. On passera sous silence les préparations de Siegfried, qui n'a pas fait que l'attacher mais qui l'a aussi tripotée avec tout son savoir-faire, la menant à une température proche d'une chaudière en plein mois de janvier en Laponie. Chauffée à blanc, la voilà enfin rouge de plaisir. Si elle pouvait, elle hurlerait, mais le bâillon ne laisse échapper que quelques gémissements très poussés, plutôt aigus. Le genre de truc qui gave Siegfried à la longue : cette propension qu'ont les nippones à aller trop haut dans la gamme, avec ce rythme saccadé et régulier. Le teuton aime ses petites européennes qui hurlent, qui ont parfois des accès de baryton, qui te font tout le spectre d'une clé de sol, et dont les rugissements sont bestiaux. Ça change des cris de hamster. Il n'a rien fondamentalement contre, cela dit : C'est surtout qu'à force, il a envie de mettre des tartes pour stopper net l'orgasme de ses maîtresses bridées.
Donc. Taki kiffe. Siegfried kiffe. Et Neena ?... Allez, disons que oui. Vu ses réactions corporelles et orales, elle n'y pas l'air d'être dégoûtée. Le nazi est donc comblé. Mais la partie la plus drôle arrive.
Il prendra soin de travailler Neena jusqu'à la terrasser. Quitte à ce que Taki attende, pendant que Monsieur est tout à la besogne avec sa dulcinée. Vu ce qu'il lui met, elle devra abandonner son ouvrage oral un instant. Il lui tire les cheveux en arrière jusqu'à même soulever son buste du sol, entourant l'un de ses bras puissants autour de sa gorge, sans l'étrangler. Ses mains ne touchent plus le sol, plus rien du tout d'ailleurs. Seule la prise de Sieg la maintient, et ses genoux au sol, qui peuvent cependant flancher à tout moment. Le corps à corps dure quelques instants, avant qu'il ne fasse tout le contraire, et plaque le visage de la junkie au sol, au pied du pouf. Tête baissée, croupe levée. "Bonne chienne", se dit-il, alors qu'il prend son cul à deux mains pour la défoncer proprement. Jusqu'au bout.
Ralentissement après cette sauvage copulation. Taki est dans un état pas possible : Elle vient de jouir mais sans réelle pénétration, et son orgasme lui laisse un goût d'inachevé. Elle a juste envie de se faire remplir. De plus, elle vient de voir un beau couple en plein effort, et tout deux étaient béats d'extase. Ça lui donne sacrément envie. Elle, prude, n'a regardé du porno qu'une seule fois, "pour voir". Elle n'en avait pas été convaincue. Ici, la gêne s'était envolée. Et si elle avait autant de lyrisme qu'en ont Siegfried et Neena (et la parole libre aussi, autant au sens propre qu'au sens figuré), elle hurlerait "baise-moi !".
Donc, Siegfried se retire lentement de sa soumise préférée. Il la fait se pousser pour s'approcher de Taki. Se mouvoir lui fait sentir le léger engourdissement de ses genoux, mais il n'en a cure, puisque la simple perspective de péter la jeune étudiante l'anesthésie.
Gland contre son anus. Il sent la résistance, mais en même temps, les premiers millimètres arrivent à rentrer sans problème. Elle est prête. Il ne manque qu'un peu de savoir-faire pour arriver à faire le reste du travail. Il adresse un sourire à Neena.
Bon travail. Je suis fier de toi. Mais elle m'a l'air un peu anxieuse... Rassure-la. Murmure-lui des mots doux... Et montre-lui comment on s'occupe d'une chatte aussi. Tu as le droit de lui enlever son bâillon.
Il mentirait si il disait que la situation ne l'excitait pas. Il se penche vers Neena et l'embrasse avec envie, tandis qu'un léger coup de rein écarte l'anneau fessier de Taki d'un peu. On ne peut pas encore réellement prétendre qu'il est dedans. Il se recule et recommence. Il sent le passage fondre lorsqu'il s'insère, et est ravi de constater qu'elle encaisse sans sembler souffrir. Cela dit, quand il s'enfoncera enfin pour de bon, elle va pleurer. Ne prend pas tes rêves pour une réalité, petite : Dans le cul, ça fait mal, surtout la première fois.