Agréssivité décuplée[Bahara]

Je me promène dans le bois et je m'assoie sur un banc, je regarde tranquillement le ciel étoiler et je passe une bonne partie de ma soirée a deconner dans le parc. La lune est haute et le vent est assez fort ! Bref c'est une soirée tranquille quand soudain  4 type louche ce pointent dans le parc les seuls habitant présent fuient le parc je me demande bien pourquoi, je détourne mon regard et je vois qu'ils sont armer super...  Ils s'approchent de moi et l'un d'eux sans doute le chef me dit 

-Heh la gamine file nous ton frique et déshabille toi qu'on s'amuse un peu   

tssk vraiment j'ai pas de temps a perdre avec de tels ramasse miette. Je me lève alors de mon bancs et je me demande alors comment m'en débarrasser sans magie. L'un d'eux ce marre et me saisit le col en me soulevant comme une feuille morte en me disant.

-Dis donc c'est qu'elle est vraiment craquante cette gamine la  héhéhé

il me secoue un peu  et passe sa main sur mes cheveux avant de me jeter par terre je me mange le sol de pleins fouet en couinant d'un seul coup de douleur, ce qui fait rire les autres abrutis je me relève et l'un d'eux tente de me donner un coup de pied dans les cotes je saisie sa jambe et l'envoie valser sur ses potes, qui s'énervent alors... 

-T'aurais pas du faire ça gamine tu va regretter ton geste !

-[Povocation] Approchez bandes de minables. 

Sur ses mots ils se jettent sur moi, je saute l'air pour tous les esquiver et ils se rentrent dedans comme des débutants, pff c'est vraiment trop simple ils m'ont certes jeter par terre mais moi je vais leur faire mordre la poussière. un des 4 me jette son couteau au visage, je n'ai qu'a me pencher sur le coté pour l'éviter et il va taper dans un arbre. Je craque tranquillement mes doigts et je charge dans le tas pendant ce temps un citoyens encore présent préviens informe quelqu'un d'autre de la situation avant de s'enfuir loin...   

-[Analyse] Vous parlez beaucoup mais vous êtes nul en combat dites moi. 

Je calle un coup de pied dans l'estomac du type qui tente de m'agresser en coup de poings au visage.  C'est franchement pathétique ils font peine a voir le mec s'étale au sol quand je reçois un violent coup de pied dans le dos il me projette contre un arbre le salaud... J'en tombe par terre celui ci ma vraiment fait mal, il va le regretter je tente de me relever et j'esquive un sbire qui charge sur moi, mouai ils sont résistant ses 4 légos   bon finit de jouer la récrée est terminer, je charge sur le premier il se met en garde mais qu'importe je lui fais une baleyette et l'envois valser dans le mur, deux autres chargent sur moi. Soit je saute et je leurs fous tous deux un coup de pied avant d'aller sur un autre et de l'envoyer valser sur son pote. quant au troisième une bonne droite dans sa face et c'est règler il est au tapis.   

-[informations] Nettoyage terminée il ne faut pas ce fier au apparences Messieurs.

Mon grabuge va certainement attirer les médias ou les gendarme bah qu'importe c'était de la légitime défense et je me suis pas servie de ma magie, donc sa devrais aller. Je n'ai qu'a rien révélée de ma vraie nature et je serais tranquille. En plus j'ai même faie mes études ici alors c'est parfait comme couverture. Ce carnage étant finis je m'assois tranquillement sur mon bancs pensive bras derrière la tête si ce n'est légèrement amochée a cause des coups qu'ils ont réussit a me porter. Mais bon ce n'est pas très important ce petit détails ils devraient avoir comprit la leçon sauf si ils sont cons. 

Le téléphone. Ce foutu téléphone sonne, alors que je suis tranquille, couché. Rien ne presse, je me lève lentement. Je regarde l'heure : 23h09. Une seule personne m'appellerait à une heure pareille. Enfin, en comptant ces larves d'agents immobiliers et ces autres larves qui appellent pour savoir si j'ai besoin d'une chaudière, ca fait une centaine. Mais vu l'insistance, c'est sans doute lui. Sixième sonnerie. Je décroche, hargneux, et le bruit de fond - des larves occupées à faire du sale boulot - me confirme ce que je pensais. Un appel de la rédaction.

Vaenn, j'écoute...
Bahara ? On a besoin de toi. On a pas assez de journalistes pour boucler un article, alors on compte sur toi.
Va te faire foutre.
Tu craches sur ta paye, maintenant ?

Grand moment de silence. C'est vrai que je manque de cash en ce moment.

Bon, d'accord. Je dois faire quoi ?
Va au parc, tu as une jeune fille à interroger. Vas-y mollo, elle vient de coucher quatre yakusas. Elle est dangereuse.

Encore du boulot... Je raccroche au nez du boss, qui s'apprêtait à me donner une stratégie d'approche. Calepin à l'intérieur du veston, stylo dans la poche du veston, tout est encore là. Je m'habille rapidement, mettant mon habituel tee-shirt brodé avec mon surnom, mon pantalon bleu nuit, suivi du veston de la même couleur, écharpe blanche... puis mes habituelles chaussures. Dangereuse ? Pas pour Bahara, natif de l'Autre Lieu. J'ai l'impression d'oublier quelque chose... Ah oui, mes clopes. Il serait con que je redevienne Bahara l'Imperator Dei en plein milieu d'une interview, surtout que je risquerais d'éternuer. Bon, c'est parti, cette fois. La nuit... quand on y pense, c'est la meilleure période. Pas une seule larve dehors, et une atmosphère inspirante. Je croise tout de même un humain sur mon chemin... un journaleux venu spécialement pour le grand Bahara. Sans un mot, il me tend un dossier. D'un signe de tête, je lui fais signe de se barrer, ce qu'il fait. Voyons voir ce dossier...

Résumé de l'affaire - Enquête préliminaire.

Suspect : Lanrea Nokima [Photo]
Charges : Coups et blessures ; Homicide (Légitime défense)

Victimes : Non-identifiées. [Photos]
Le corps retrouvé avait la nuque brisée, mais de la nature du sang retrouvé dans la bouche, la cause du décès serait une côte brisée rentrée dans le poumon droit.
Les autres victimes étaient couvertes de blessures diverses, mais ne mettant pas leur vie en danger.

Hum... intéressant. Alors voilà ce qui s'est passé. Le temps que je finisse de lire, je me retrouve face à un banc, où se trouve un de ces êtres méprisables. Le visage est le même que celui sur la photo... je tiens mon interlocuteur. Je m'approche lentement, faisant un effort pour retirer toute trace de mépris de mon visage. Peine perdue. Bah, peu importe.

Bonsoir. Bahara Vaenn, de Seikusu News. Je suppose que vous avez été prévenue de mon arrivée.

Je suppose qu'elle connaît mon nom... il n'y a pas plus connu, dans le mauvais sens du terme, que cette magnifique personne que je suis. Le plus connu des journalistes, la machine à déterrer les secrets. Le temps de cligner des yeux, j'ai déjà sorti mon calepin, mon stylo et rangé le dossier dans mon veston. J'ai pas spécialement faim, mais si je peux grignoter, je vais le faire.

Bien, commençons cette interview, miss meurtière ? Racontez-nous comment vous vous êtes retrouvée à devoir tuer et blesser...

Je flemmardise sur mon bancs tranquillous quand un inconnu débarque de la pénombre il a les cheveux arc en ciel...  Look plutôt bizarre, c'est qui ce type ? C'est un de leur complice ou bien les gens sont déjà au courant et ce précipitent la dessus....  génial je n'apprécie pas trop ce genre de personne mais je m'éfforce de ne pas le montrer Peine réussite.  Il me dit alors en s'approchant de moi

Bonsoir. Bahara Vaenn, de Seikusu News. Je suppose que vous avez été prévenue de mon arrivée.

tcheu un scoopeur, manquait plus que cela, je n'ai guère été prévenue de son arriver et puis de toute façon j'en ai rien a carrée, mais puisqu'il a l'aimabilité de ce présenter je veux bien faire un effort moi aussi.  Même si je ne sent pas trop bien ce type, il dégage une  étrange sensation mieux vaut s'en méfier. 

-Bien, commençons cette interview, miss meurtière ? Racontez-nous comment vous vous êtes retrouvée à devoir tuer et blesser... 

Interview ? Je me suis pas tromper sur ce type, c'est l'un de ses paparazzi a la  recherche de scoop a toute heure, je dois moderé mes paroles si je veux pas avoir d'ennuie plus tard via les médias. Car étant un gros producteur il pourrait se retrourner contre moi et me donner une sale image si je ne suis pas très coopérante et désobligeante et je n'ai pas trop apprécier le coup de miss meurtrière. Mais si il veut jouer a sa alors c'est raté et c'était pas très finement jouer... je vois que j'ai affaire a un sale caractère.   

[informations] Bonsoir, je me présente a mon tour avant de vous répondre je m'appelle Lanréa et mon nom est Nokima. C'est par principe de politesse, ensuite pour répondre a vôtre question je me promenais dans le parc tranquillement vivant ma vie je m'assois sur le bancs comme vous m'avez vu quand vous êtes venus et la je vois quatre type armer de couteaux faisant fuir les gens du parc avoisinant. Les ignorant ses derniers s'avancent vers moi, me soulèvent par le cols et veulent profiter de mon coter féminins et aussi me voler mon argent. Ne voulant pas me laisser faire par ses personnages immondes je suis dans l'obligation de me défendre car l'un me fonce dessus déclenchant ainsi une bagarre collective avec les 3 autres. Dans le but de me protéger je les mets au tapis et  me rassois tranquillement sur mon bancs ayant neutraliser mes agresseurs... C'est un cas de légitime défense et je n'ai eut en aucun cas l'intention de tuer qui que ce soit au cours de cette soirée.

Ceci étant dit, je regarde paisiblement le ciel pour lui faire signaler que j'ai terminer ce que j'avais a dire,  ce ciel si étoilée si beau si magnifique ce serais dommage de ne pas en profiter, si bahara a d'autre question a me poser je les attends avec un certain calme en moi  qui me permet de lui répondre sans faire de bavure. Dans mes petits secret, toute façon j'ai pas use a magie dans ce combat alors il a aucune raison de trouver que je suis une esper.

Un très beau conte de fées...

Je l'ai dit à haute voix ? Je n'en sais rien, mais toujours est-il que j'ai soudain une impression de déjà-vu... Comme si je savais déjà quoi faire, que dire, comment mesurer chacun de mes gestes et surtout, comment tourner le regard de miss meurtrière vers le véritable sens de mes mots. Me fier à mon intuition. Un pas. Un simple pas vers madame tueuse, après avoir fini d'écrire ce qu'il me fallait. Un petit sourire naît sur mon visage - on peut comprendre que mes lèvres se sont un peu refermées pour laisser place au sourire moins sarcastique - tandis que je prends le dossier de dans mon veston, laissant un instant de trop le regard de la jeune criminelle se porter sur mon bon vieux "Walking Target". Ouvrant le dossier, je commente à haute voix.

Allons bon. Nuque brisée, et une côte qui transperce un poumon... une nuque, je ne dis pas, mais une côte ! Il faut de la force pour un humain, afin de briser une côte.

Mon impression de déjà-vu m'aide à fond sur ce coup. Je prends note du petit sursaut lorsque j'ai prononcé le mot "humain". Notre proie du soir n'a pas l'air très normale. Deuxième étape, deuxième pas. Deuxième parole.

Quatre contre un, avec des couteaux ? Ma foi, il faut avoir énormément d'expérience de combat pour réussir un tel exploit. La chance et les coïncidences, ca n'existe pas, surtout dans ce genre de situation.

Le troisième pas, enfin. Mon visage est à quelques centimètres du sien, histoire qu'elle profite du grand sourire sarcastique à la Bahara. La douce odeur de clope qui se dégage de mon écharpe me rappelle que je vais bientôt être instable.

Je ne crois pas en Dieu non plus. Allez, madame la tueuse. Il est tellement évident que tu caches le fond même de l'histoire, crache tout qu'on en finisse.

Je me recule, je sors mon paquet de clopes, j'en sors une et... horreur. Mon briquet n'est pas dans ma poche. Je regarde la petite en face de moi dans les yeux - sans doute une connerie, j'espère que la lune cache mes yeux bien peu humains - et je lui fais une grande grâce en lui demandant, sur un ton pour une fois neutre...

T'as du feu, Nokima ?

Puis en mettant les mains dans mes poches je sens une forme familière. Mon feu. Bordel...

Oublie, j'ai retrouvé le mien.

Je sors mon feu, et j'allume ma clope, toujours en regardant mon gagne-pain. C'est là que je réalise ma connerie. La flamme a eclairé mes yeux ! Sans compter que sous le choc, ils se sont écarquillés... elle a tout vu, j'en suis certain. Ah, la clope... ma source d'Essence des Enfers. Je tire sur ma bien-aimée, avant de recracher la fumée dans un souffle faible, orienté vers le ciel. Puis, toujours la tête en l'air, je continue à parler à cette gamine - faut pas oublier mon âge - d'un ton aussi neutre.

Tu sais, Lanrea Nokima... ca me fait chier d'être ici, tout autant que ca te fait chier que je sois ici. Mais les ordres sont les ordres, si je veux me loger ce mois-ci il va falloir que je te cuisine. Plus tu traînes dans les aveux, plus je me sens obligé de rester. C'est à toi de choisir entre la nuit sur un banc ou chez toi...

Voila que ce type ce met a raconter sa life, drole de paparazzi ! Et il prétends que mon histoire est du n'importe quoi, soit mais moi je n'ai rien a dire de plus alors bon c'est complétement bidons ce type dois avoir un grains je ne vois pas autrement. Quand soudain je remarque un truc   bien précis qui me met la puce a l'oreille... après qu'il m'est demander du feu, et qu'il retrouve son briquet, j'esquisse un léger sourire, tiens donc la flamme qui se reflette dans ses yeux ? Elle me révèle un truc surprenant... Il semblerait que j'ai affaire a une personne doté de drôle de pouvoir également.  Mais je n'aime pas les fumeurs et j'me met a tousser parce que j'aime pas la fumée.  Lorsque ce Bahara M'répond

Tu sais, Lanrea Nokima... ca me fait chier d'être ici, tout autant que ca te fait chier que je sois ici. Mais les ordres sont les ordres, si je veux me loger ce mois-ci il va falloir que je te cuisine. Plus tu traînes dans les aveux, plus je me sens obligé de rester. C'est à toi de choisir entre la nuit sur un banc ou chez toi...

-[réponse] Pas ma faute si ses types sont du genre bon en parlotte mais en combat ne valent rien...  Après tous quand j'étais enfant je me suis bien entrainer au corps a corps c'était un jeux d'enfant j'suis une adulte pas une gamine j'ai 17 ans Mr bahara. malheureusement je n'ai pas d'autre version d'histoire a vous raconter... c'était la première et la dernière version de l'histoire. Et vôtre cuisine ne m'affectera pas...  chacun de nous deux perdons nôtre temps puisque je vous ai déjà tous révéler sans mentir dès le dépars dans l'espoir d'en finir rapidement si vous voyez ce que je veux dire bien sur...


souriante malgré la fumée je me permet un léger sourire pour faire bonne figure. Mais je dois admettre que ce type est plutôt risquer, oser me forcer a révéler mes secret alors qu'il en cache lui même ? et puis encore ! et si ce boulot est si chiant alors pourquoi ne pas changer ? Je dois dire que la façon de pensée de ce personnage m'échappe quelque peut ...

La longue expiration qui suit est à la fois pour expulser un nouveau nuage de fumée bleuté mais aussi un long soupir qui se perd dans la nature. Un point qui ne regarde que moi d'abord... se dire qu'on est adulte à 17 ans. Dix-sept ans, vraiment ? A dix-sept ans, je me considérais comme un tout petit gamin J'ai pas de souvenirs de mes trente premières années, c'est dire ! De nos jours, je dois avoir dépassé le millier. Et cette greluche, adulte a dix-sept ans... Je ne peux retenir le petit rire qui accompagne un énième nuage de fumée. J'en suis à la moitié de ma clope, quand je comprends mieux ce qui me tracassait.

Inexpérimentés au combat ? On parle de yakuzas, là. Si la mafia italienne commençait à prendre des types qui ne savaient pas viser, ce serait la fin des bas-fonds. Il en va de même pour les japonais.

Dans un murmure, pour la tester, je rajoute un petit élément. Assez fort pour qu'elle l'entende à la perfection, assez bas pour qu'elle se demande si je l'ai vraiment dit.

Et il en va encore de même pour Terra.

Je finis ma clope et je balance mon mégot au hasard. Le bruit du feu confronté à l'eau me confirme que j'ai visé une petite fontaine à eau pour les buveurs. Je crache mon nuage de fumée en dispersion, et je m'adosse a la fontaine, tranquillement.

Apprendre le corps à corps ? Rien ne nous prouve qu'ils n'avaient pas d'arme à feu. Je doute qu'on puisse arrêter une balle de revolver, sans pouvoirs magiques ou un truc du genre.

Je ne joue toujours pas cartes sur table. Mais je peux me servir de quelque chose d'intéressant ici... modifier des souvenirs, c'est toujours utile. J'implante donc un revolver à la place d'un des couteaux, qui tire un coup de feu centré sur le coeur, et...

Tu es sûre de toi ? Pas de revolver ?

Une fois la confusion passée, elle n'aura plus aucun souvenir de quatre couteaux. Sa réalité sera qu'il y avait trois couteaux et un revolver, qui avait failli la tuer, si elle n'avait pas montré sa vraie nature. C'est retors, mais ca marche toujours bien. Je me permets aussi d'ajouter deux souvenirs de plus : la gêne du mensonge dans ses deux témoignages. C'est juste pour consolider le tout. Puis une parole.

J'attends la vérité cette fois, tu mens et ca se voit... Allez, dis tout à môssieur Bahara.

Après la fierté de cette triple rime s'installe le sentiment de frustration : ce "monsieur Bahara" m'avait vexé. Monsieur Vaenn, Bahara, Vaenn, mais pas monsieur Bahara ! C'est stupide !

Ce type a vraiment un grain, des yeux cheloux, il me prends de super haut, et mes doutes sont confirmer quand il mumure ceci

Et il en va encore de même pour Terra.

Ce salaud connait Terra WTF C'est définitvement pas un humain, c'est sur et certain... Mais je dois tenir bon et ne pas prendre en compte ce détails sinon il va me cuisiner et me démasquée a coup sur !  Mais c'était bien le moment de parler de sa maintenant.... Merde ! Que cherche t-il en faisant ça... ça na pas de sens, je vois bien que ce mec n'est pas humain...  quand soudain il restorque

Apprendre le corps à corps ? Rien ne nous prouve qu'ils n'avaient pas d'arme à feu. Je doute qu'on puisse arrêter une balle de revolver, sans pouvoirs magiques ou un truc du genre.

Quand soudain je me laisse surprendre a un léger sursaut. Toute un coup en mettant ma main sur ma bouche... Mais que mat-il encore fait ?  Un révolver voila qu'un doute immense me survient alors je me lève et je vais moi même vérifier sur les mecs que j'ai neutraliser... cherchant le révolver en question pour avoirr confirmations de mes dires, mais étrangement il n'ya pas de révolver ni de douilles par terre... Je me dirige vers l'endroit oui je l'ai vue tirer dans mes souvenirs mais il n'ya même pas d'impacte de coup de feu.... Mais rien du tout.... étrange

J'attends la vérité cette fois, tu mens et ca se voit... Allez, dis tout à môssieur Bahara.

-réponse : M mais j j'aurais pourtant jurer....  je n'y comprend plus rien x( j'ai vue un revolver mais elles sont ou les traces .....   

Je me tiens les mains sur ma tête accroupie au sol perdue dans mes pensés quand l'un des type se réveille a mon insu pour tenter de me poignarder au lancer de couteau dans le dos et de se rendormir a nouveau , et celui ci fait mouche, le couteau vient ce planter dans mon dos pile la ou il faut pas, j'écarcquille grandement les yeux !

-[surprise] Hah ... heuh ... M ma mais qu qu'est-ce que c c'est ? C c'est s si f froids ...... 

Je sent alors le tissu s'humidifier dans mon dos et mon sang chaud qui ce met soudainement a couler.... Bordel j'aurais pu esquiver ce coup si cette idiot était pas la ... Je m’effondre alors au sol avec le couteau planter dans mon dos... Du sang ce répendant au tour de moi. 

-Meurt salope ma lame aura réussi a t'atteindre hé hé hé .......   

Déclare un des types que j'ai neutraliser plutôt qui a repris connaissance.  Mais il est encore bien trop faible pour bouger.  mi pendant ce temps je cris de douleur, la lame est bien enfoncée et cela me fait horriblement mal... 

-[analyse] Coup critique porter dans le dos, si je ne suis pas soigner dans ses 30 prochaine minute je risque de mourir purement et simplement... Et encore si je reste allongée comme ça sans rien faire... 

Ceci étant dit me voila clouée au sol en présence de ce terranide. Et de ses mec louches qui voulaient jouer avec moi, que va t-il ce passer vais-je mourir ou bien il va reconnaitre suite a ce coup hasardeux que je suis bien une humaine et que je ne connais pas Terra.  J'en ai neutraliser 3 j'ai pas tuer les 4  pour ma légitime défense il semblerait que je sois mal barrée...

Alors ça, c'était inattendu. Sur les trois corps inconscients, un d'entre eux s'est relevé pour donner un coup de couteau derrière. Le plus amusant dans l'histoire est que j'ai senti un picotement dans mon dos juste après. Le type derrière moi tenait son petit bout de métal qui s'était brisé sur ma peau. Je me suis retourné vers lui, et l'ai soulevé avec deux doigts alors que lui aussi tentait de se retourner pour fuir. Il voulait sans doute effacer le témoin... dommage, mais le vieux Bahara résisterait à un obus avec une bosse sur le crâne. Il se débat, et se blesse tout seul en tentant de me poignarder dans le bras. Mon sourire apaisant le fait se calmer... à moins que ce soit mon regard glacial ? Peu importe... Dans peu de temps, il sera couché. En fait j'hésite entre le catapulter sur Mars ou le laisser en vie. Avec une main je le bâillonne, de l'autre je chope son bras droit et le casse délicatement. Un hurlement etouffé tout à fait plaisant se fait entendre. Puis plus rien. Il est inconscient. Je le balance doucement sur l'autre larve sur le sol. Je doute qu'avec sa blessure et le poids de l'autre, elle puisse bouger maintenant.

Voyons voir... plus besoin d'interview, la primeur de l'article sur le poignardage me fera au moins deux mois de salaire, donc je peux te laisser crever... Comment l'appeller, cet article... ? "La tueuse blessée à mort" ? Ouais non, ca manque de punch. "Elle échappe au procès grâce à sa victime" ? Ca sonne bien, oui.

Je note le titre de l'article dans mon calepin, avant de sortir l'appareil photo de ma manche droite - mesure d'au-cas-où - et prendre la belle photo des deux corps, l'un sur l'autre. Puis je m'asseois sur le banc. Si ca continue, elle va perdre conscience, et je veux qu'elle grave un détail dans sa mémoire : le journaleux qui la regarde, décrivant toute l'ironie du sort dans son regard et son sourire. Puis le même journaleux qui commence à disserter sur l'article à haute voix.

"Elle casse le bras de son agresseur, qui riposte d'un coup de couteau." C'est mon premier fait divers en tant que témoin, c'est magnifique ! Une paye entière, cet article ! "Malgré son appel à la police, notre vaillant témoin reste aux côtés des victimes." Bien que je n'appellerai pas la police. Quel plaisir de voir deux larves sceller leurs destins ! L'exemple typique de ce que je recherche chez les humains : la malveillance gratuite.

Je sors mon paquet de clopes, j'en tire et je l'allume, les yeux mi-clos. Ainsi, notre chère victime ne verra qu'une seule pupille sur les trois. Si elle survit, je pourrais bien m'amuser : aucun humain normal ne survivrait à une telle blessure plus de dix minutes... Un nuage de fumée embrume la lueur du lampadaire, tandis que je continue à écrire mon article.

Miss Nokima fait preuve d'une vitalité surhumaine, c'est à se demander si elle est vraiment humaine. "Cela fait vingt minutes depuis l'incident. Mlle Nokima reste consciente, là où tout homme serait mort depuis dix bonnes minutes."

Me détournant enfin vers la concernée, mes paroles assassines atteignent de nouveau la cible.

T'en dis quoi ? Ca te plait, cet éloge funèbre ?

Dix minutes passent, et je suis toujours vivante mais plus pour très longtemps car je me sent faible. Quand soudain un des autres type tente d'agresser bahara, il se fait casser un bras et se dernier le jette sur ma pauvre corpulence bientôt vidée de tous son sang.  il joue encore avec mes souvenirs a mon insu...  Je me vois casser le bras du type et m'effondrer au sol suite a un coup violent dans mon dos.

-[analyse] Procédure de dématérialisation en cours. C'est trop tard maintenant je ne peux être sauvée mon destin est sceller  !

Dis-je d'une voix faible, tendit que je ferme mes yeux, petit a petit jusqu’à mourir totalement... Mon ame se détache alors de mon corps et a présent me voila fantome.. J'ai les yeux fermer avec des larmes et un sourire faible  étant au dessus des deux cadavres flottante dans l'air.  ayant retrouver mes souvenirs puisque je suis morte.  mon corps sans vie sur le parc baignant dans mon sang, avec le cadavre que l'autre a jeter par dessus pour m'immobiliser...   

-[analyse] étape deux de la procédure, - Âme érrante - ... Esper tuée lors d'un affrontement.  originaire de Terra je suis morte ici dans ce parc.. 

dis-je d'une voix fantomatique. Il la peut être entendu mais c'est pas grave cela n'a plus d'importance  puisque je suis morte

Mon corps est mort c'est sur mais mon ame a encore pleins d'énergie avant de disparaitre totalement dans la nature,  donc je reste sur terre a l'état de spectre. conservant ainsi mon apparence humaine mais translucide, c'est cela l'étape deux. ensuite je disparaitrais lentement avant de me volatiliser pour de bons c'est l'étape trois la plus triste.

-............ 

Je regarde mon corps palir comme un ligne, mes lèvres virent au bleu et je perd lentement mes couleurs et ma chaleur humaine. C'en ai fini pour moi, je suis belle et bien morte. Devrais-je hantée ce parc  jusqu’à ce que je disparaisse totalement ou errer dans la ville a la recherche de mon salut. Dans tous les cas je ne peux pas encore passer dans la lumière...