La forêt(Pv Lili Ivanes)

Rien de plus beau qu'un parc pour trouver de nouvelles victimes. Damien Leimbbes, professeur de mathématique, se baladait avec ses trois chiens. Depuis le début de la soirée, il avait laissé son enveloppe humaine errer sans but précis. Qui sait ? Les rencontres hasardeuses sont parfois bonnes. Au détour de cette dense végétation, des odeurs et de la Lune galopante, il y avait comme une ambiance sinistre, silencieuse.

Il s'assit alors sur un banc, sans un bruit, personne ne semblait présent. Les trois chiens, de gros cerbères se détachèrent et partir en quête d'une proie dans la forêt. Le ciel devint sombre, le brouillard s'étendait.

sortant de la salle de cinéma, je me dit que ce film était vraiment bien, dommage que Kira n'est pas pu venir le voir avec moi, ont auraient pu en parler en rentrant, mais bon c'est toute seule que je doit rentrer chez moi.
habiller d'un petit short en jean moulant, d'un débardeur rouge, d'un petit string blanc et de sons soutient gorge assorti, avec au pied de petite sandalette.
il faut dire que les journées son chaude ces temps ci, ainsi que les nuit ou la température baisse à peine, heureusement la salle de ciné était climatisé.

marchant en direction de chez moi, je ne vois presque personne dans les rue à par quelques couples qui se ballade main dans la main, jusqu'au moment ou j'arrive devant l'entrer du parc, je m'y arrête et réfléchie quelques minutes.
si je veut rentrer chez moi, je peut soit passer par le parc, soit faire un grand détour pour le contourner et cette chaleur est insupportable.

c'est une douce brise fraiche venant du parc qui me fait me décider, autant passer par le chemin le plus frais.
je passe le portail et suis le sentier éclairer par les candélabres, au bout de quelques minutes de marche le brouillard s’installe au dessus de l'herbe, les fines gouttelettes viennent rafraichir et humidifier ma peau, d'ailleurs un petit frissons parcours mon épiderme sous cette fraicheur, sa fait un bien fou. 

Le chemin était long. Lorsque le parc fut plongé dans le brouillard, il était aisé de se perdre, c'était une sorte de labyrinthe géant. Dans les broussailles, quelques bruits lugubres. Les grognements de chiens. Puis le silence. Le vent soufflait et les branches des arbres se mélangeaient aux bruits de la nuit. Ce n'était peut-être rien. Il y avait toujours des bruits étranges dans les parcs, inutile de paniquer.

La lune était toujours aussi haute et brillante. Le brouillard, très localisé sur le sol, ne parvenait pas à masquer le ciel étoilé. C'était une belle nuit.

De nouveau, dans la végétation, plusieurs grognements, et quatre points blancs. Des yeux ? Le sentier débouchait sur le banc ou était assit Damien. En le continuant, il était facile de tomber sur lui. Aller dans l'autre sens, c'était aller à la rencontre des grognements et des yeux... Ou des lucioles blanches. Qui pouvait en être certain ?

voilà plusieurs minutes que je marche, suivant le sentier illuminer par les candélabres, sur ma droite, une sombre et ténébreuse foret, d’où ressort de petit bruit dû au vent qui fait bouger les feuilles et craquer les branches.
je n'y fait pas trop attention, levant les yeux au ciel, la pleine lune brille de tout son être, illuminant parfaitement le brouillard au sol qui deviens de plus en plus dense au fur et à mesure que j'avance et les arbres qui se trouve au abord de cette foret.

mais le calme ne reste pas bien longtemps, alors que j'entends des bruit bizarre venir de la foret, tournant la tête tout en continuant à marcher, j'entends de forte et rapide respirations, des buisson bouger, quelques grognements.
sa m'inquiète un peut, surtout que je suis seule et que je ne vois personne sur le chemin, mais je suis sur que je n'ai pas à m'en faire, ce ne doit être que des animaux de passage cherchant de la nourritures.
je continue de scruter les buissons et la peine ombre tout en avançant, quand je vois deux points blancs apparaitre dans l'un deux, je m'arrête un quart de seconde avant de continuer, je fixe ces points blanc, quand quelques mètres de là deux autres points blancs apparaissent, un frisson remonte ma colonne vertébrale alors que j'accélère le pas.
les quatre points blancs suivent mon déplacement, ce doit être des chats et c'est le reflet de la lune dans leurs yeux que je vois, mais les chat ne grogne pas...

accélérant vraiment le pas, alors que je tourne la tête pour voir ou je vais, je constate que le brouillard est tellement dense que j'arrive à peine à voir le sentier au sol au sol, heureusement je n'ai qu'à suivre les candélabres.
j'arrive à une bifurcation et non loin de là un banc, un personne est assise dessus, sa n'arrange pas mon inquiétude, quoi que en me rapprochant je m'aperçois que c'est un homme assez bien habillé, sa aurais pu être un sans abri voulant de l'affection.
passant devant cette personne, je la salut et continue de marcher.

Bonsoir...

Elle était passée sans s'arrêter, lâchant un petit "bonsoir" plein d'inquiétudes. Damien avait la tête légèrement baissé, le regard posé sur le sol. Il n'avait même pas répondu, ni même relevé la tête. Il était immobile, peut-être même mort. Ce qui était étrange quand on savait ce qu'il y avait sous cette apparence humaine. Il n'y a rien de plus inquiétant qu'un parc la nuit. Peut-être un parc de nuit, avec un homme étrange assis sur un banc et des chiens invisibles qui grognent dans les buissons.

Elle fit quelques pas rapides pour s'éloigner, mais un chien, un cerbère noir, gardait le passage. Il montrait les dents. N'importe qui de censé comprenait qu'il n'était absolument pas possible, à ce moment précis, d'essayer de s'aventurer dans cette direction. L'une des rares possibilités offertes, était de rebrousser chemin pour tomber de nouveau sur l'homme à la tête baissé et son banc. Il était également possible de tenter de s'aventurer dans les feuillages de la forêt. Mais qui pouvait prédire ce qui attendait la jeune femme si elle tentait cette fuite.

Damien, toujours immobile, ne disait mot. Il semblait attendre, mais attendre quoi ? Le brouillard emplissait les alentours. Le seul endroit visible était tout autour de cet étrange personnage. Que pouvait cacher cette enveloppe terrienne ? Que pouvait-il y avoir dans cette forêt perdue. Les ombres s'agrandir tout autour de lui, comme-ci les ténèbres tentaient d'engloutir le parc.

Et cette place de libre, juste à côté de lui, que tous désertaient.

continuant de marcher sur le sentier, c'est à quelques dizaine de mètres après avoir passer ce mystérieux personnage assis sur ce banc que je m'arrête net, figé par la peur alors qu'un grand et gros chien noir sort d'un buisson et se met sur le sentier tout en me regardant.
il me fixe avec ces yeux blanc, je comprend que ce que je voyais dans les boissons juste avant était en faite ces congénères.
que font ces énormes chiens dans le parc et surtout pourquoi ne sont-ils pas accompagner, n'y muselé?
peut être appartiennent-ils à l’individu assis sur le banc? je ne sais pas.
celui ci ne fait pas que me fixer, il montre ces crocs et de la bave dégouline de ces babines tout en grognant et avançant d'un pas lent dans ma direction.
la peur me paralyse un moment avant que mon instinct me dise de reculer, ce que je fait d'un pas lent moi aussi, mettant mes mains devant moi et essayant de parler au chien d'une voie hésitante, comme si il pouvait me comprendre.

t... tout doux le chien... tout doux... là... couché!

mais le chiens n'a pas l'air de m'écouter. est ce qu'il me comprend seulement? j'en doute.
je décide de reculer un peut plus vite et de retourner voir l'homme assis sur le banc, peut être que ces chiens sont à lui.
le chiens à bonne distance je me retourne et marche rapidement jusqu'à ce banc, l'homme est toujours là, assis, la tête baissé, il regarde le sol.
à quelques mètres de lui, je ralentie le pas et m'approche doucement.

Mon... Monsieur?...

mais toujours aucune réponse n'y réaction de sa part, je commence à vraiment angoisser, de plus une choses que je n'avais pas remarqué en revenant sur mes pas, tout les candélabres sur le sentier ou je suis arrivé son maintenant éteins sauf celui juste en face du banc, je me retourne et c'est la même chose de l'autre coté, je ne vois plus que les yeux du chien qui continue de me fixer au loin.
j'ai la chair de poule, qu'est ce que c'est que sa encore, seule le candélabre en face du banc reste allumé, ce n'est pas possible que toute les ampoules se soit grillées en même temps.
je continue de m'avancer lentement vers cette homme mystérieux alors que le brouillard prend de l’ampleur.

excusé moi... monsieur... mais... est ce que les chiens... sont à vous?
non parce qu'il y en à un qui m’empêche de rentrer chez moi et...

arrivant vraiment tout près de l'homme et ne voyant aucune réaction de sa part, je tend une main vers son bras tout en l'interpelant.

...Monsieur?

L'ampoule au-dessus du banc grésillait. Plus la jeune femme s'approchait, plus les ténèbres obscurcissait le parc. Un léger vent poussait la jeune femme à s'éloigner de Damien. Sa main qui se tendait pour approcher le bras de l'inconnu, subissait une force inconnue. Une bourrasque poussa la malheureuse à reculer. Une fumée noire sortie des habits de la Mort, elle masqua le sol autour de lui, puis toute la surface qui était encore visible. Le brouillard, encerclait les deux protagonistes. S'il n'y avait pas là quelques phénomènes magiques, c'était vraiment incompréhensible. Ses habits, de couleurs plutôt blanche, devinrent dans les secondes qui suivirent, d'un noir profond. L'homme avait à présent une sorte de toge. Il releva la tête et observa la jeune femme qui voulait lui parler. A chaque intervention qu'elle faisait, elle n'avait pour réponse qu'un long silence. La forêt même semblait se taire pour écouter. Les cimetières ne sont pas aussi silencieux.

" Je vais te poser deux questions et tu as intérêt de bien y répondre. " Les chiens aboyèrent dans le lointain, ils encerclaient les deux personnes.

" Qui es-tu ? Et surtout, aimes-tu courir ? " L'ampoule a présent venait de s'éteindre définitivement. Pour les éclairer, il n'y avait que la Lune. La fumée autour des habits de Damien devenait de plus en plus pâteuse, grossière. La Mort disparaissait dans son propre enchantement. Les chiens, s'éloignèrent dans les broussailles et disparurent. Au loin, on entendait des murmures étranges. Des râles de gorges, des sons de souffrances. Cela semblait provenir d'une dizaine de personnes, peut-être plus. La Mort était toujours assis sur le banc, mais il semblait qu'en un instant, elle pouvait disparaître.

l'ampoule du candélabre au dessus du banc grésille, plus ma main s'approche de ce mystérieux personnage et plus le vent souffle faisant bouger mes cheveux, pourtant le brouillard reste statique.
alors que mes doigts sont à quelques centimètres de toucher le bras de cette individu, une puissante bourrasque de vent me déséquilibre et m'oblige à reculer, c'est vraiment très bizarre.
c'est alors avec effroi que je vois une fumé noir sortir du costume de la personne assise, celle ci recouvre le sol en plus du brouillard et les alentour, la lumière grésillante du candélabre est à peine perceptible, je suis tétanisé par la peur alors que le costume blanc de la personne assise deviens lui aussi noir et change de forme, devenant plus ample, une sorte de toge avec une grande capuche.

immobile jusqu'à maintenant, il lève la tête, mais je ne vois pas son visage, il fait trop sombre.
j'entends alors une vois rauque et profonde de dire qu'il vas me poser deux questions et que j'ai intérêt à bien y répondre.
ma peur augmente d'un cran, quelles questions va-t-il bien pouvoir me poser et qui vaux la peine de devoir parfaitement y répondre? qu'est ce que je risque si je n'y répond pas bien?
j'entends des aboiement lointain, je suis incapable de bouger trop apeuré par ce qui se déroule devant mes yeux.
je l'entends me demander qui je suis.
je met quelques secondes avant de trouver le courage de lui répondre d'une vois hésitante.

je... je suis... Lili... Lili Ivanes...

à peine ai-je fini de répondre qu'il me pose sa deuxième question, à savoir si j'aime courir.
je ne comprend pas l’intérêt de ces questions, mais je n'ai pas le temps de répondre, que la fumé noir se dissipe peut à peut alors que la dernière ampoule grille à sont tour, me laissant dans le noir absolu, seule la lune illumine le sol, le personnage en toge disparait pour à nouveau laisser apparaitre l’individu en costume blanc dans la même position initial.
le vent s'arrête, quelques buissons s'agite au abord de la foret, avant que se ne soit le calme plat.
mais le calme ne dur pas bien longtemps puisque j'entends derrière moi au loin des murmures, suivie de râles et des gémissements de souffrance, qui me donne de nouveaux frissons dans le dos.
je me retourne, mais ne vois rien, je ne sais pas quoi faire, perdu dans ce parc, plus d'éclairage et cette choses étrange qui ma parlé, ces énormes chiens, c'est déjà trop, j'ai la frousse.
pour l'instant je n'ose pas bouger de peur qu'il me tombe autre choses dessus quitte à attendre le lever du jour qu'un des gardiens du parc me trouve.

L'inconnu avait le sourire aux lèvres. Sa tête humaine observait à présent la jeune Lili Evanes. Sa dernière question raisonnait comme une énigme. A quoi bon savoir courir et pourquoi ? Un air glacial s’abattit sur le parc. La jeune femme dans sa tenue légère, devait être frigorifiée. C'était un air froid, tranchant et vif. Il était tombé sans prévenir et les petits orteils roses dans les sandales de Lili devaient bien souffrir.

Damien se releva, et resta là, immobile à regarder l'étrangère. Il lui souriait. Pas d'un sourire amical, mais d'une mimique démoniaque. Il hocha la tête, comme déçu qu'elle ne réponde pas à sa dernière question et il prit la direction de la forêt. Le vent glacial continuait de repousser la jeune femme loin de lui. Il était physique difficile de le suivre. Il disparu quelques instants après dans les buissons et les arbres. La forêt était si sombre, comment pouvait-elle espérer le retrouver ? Le brouillard se dissipait légèrement, mais était toujours présent. Il n'y avait plus un bruit, les chiens avaient disparu. L'air était très frais, mais sans vent, cela devenait supportable. Un long et terrifiant silence commença. Plus aucun bruits. A peine quelques brindilles cassèrent. Ce n'était rien de notable. Des gargouillis de ventre se firent alors entendre. Ça devait être le vent. Des cris sourds, comme un appel au repas raisonnaient dans la forêt. Une sorte de meute se déplaçait. Très lentement, mais ils arrivaient dans la direction de Lili. A présent, c'était comme-ci ils étaient à une dizaine de mètres d'elle. Les grondements et les râles ne laissaient rien présager de bien. Des loups ? Des charognards ? Il y en avait tellement, le sol raisonnaient sous la centaine de pas. Tout ceci s'approchait irrémédiablement de la pauvre et seule Lili.

attendant pendant de longue secondes, je ne vois rien venir de l'ombre.
pendant ce temps d'attente une foule de question me trotte en tête, qui est cette homme en costume blanc? quel est cette chose qui ma parlé? ces chiens? et qu'est ce que c'est que ces questions stupides?
je sent alors un vent glacial me glacer de sang, la température à baissé d'un coup, j'ai les doigts de pied geler, je souffle dans mes mains pour les réchauffer, la chair de poule dû au froid parcours entièrement mon corps, j'en claque des dents.

je me retourne toute frigorifier et tremblante alors que j'entends quelques choses juste derrière moi.
l'homme mystérieux viens de se lever, je lève le regard sur son visage que je distingue à peine dans la peine ombre, il à le sourire au lèvre, sa me fait encore plus peur, surtout qu'il ne bouge pas.
enfin pas avant de le voir hocher la tête, le vent glacial continue de souffler alors qu'il se dirige vers la foret, je souffle dans mes mains et frictionne mes bras pour me réchauffer, mais il fait vraiment trop froid. 

je n'essaie pas de le suivre, il est vraiment trop étrange et j'ai trop froid.
je le vois traverser les buissons et disparaitre dans la noirceur de la foret, j'espère ne jamais le revoir, son sourire ma donner froid dans le dos.
une fois perdu de vue, le vent cesse, puis plus un bruit, un long silence qui me glacerais le sang si je n'étais pas déjà en train de grelotter de froid, regardant autour de moi, je ne vois aucune lumière, pas même celle qui devrais éclairer les rue en dehors du parc, comme si j'étais dans un endroit clos, seule la lune m'éclaire très faiblement, mais c'est mieux que rien.
j'entends alors des craquements, de brindilles sans doute, suivi de cris sourd venant de la foret, des bruit de pas non loin de là, beaucoup de bruit de pas, qui se rapproche sur moi, faisant vibrer le sol, de long gémissement plaintif ainsi que des grognement se font entendre, je commence de nouveau à avoir très peur.

je me suis dit que je ne bougerais pas avant le lever du jour ou avant qu'un gardiens me retrouve, mais si il y a un danger il vas bien falloir que j'agisse.
la température deviens plus douce, il fait frais mais c'est plus supportable, je ne grelotte plus c'est déjà sa, j'attends face à cette sombre foret d’où viennent ces bruits bizarres et me tiens prête à me sauver si je suis en danger.

" Manger !" Une voix étrange, à la fois svelte et rocailleuse transperçait les arbres. Un peu à la Golum... Mais cette référence est loin d'être évidente. Ce cri rempli d'horreur, appelait à l'heure du repas. Mais qui pouvait bien être le repas ?

Dans le haut d'un arbre, masqué par l'ombre des feuillages, deux yeux rouges clignotaient. Une étrange créature semblait rire du haut de son arbre. Les bruits venaient de tous les côtés, débordant d'envie. Les hurlements, telle une meute de chiens affamés qui se dirigerait sur Lili, n'était qu'à quelques mètres derrières les buissons. Celle-ci, sûrement tétanisé par la peur, ne pouvait plus bouger. Pourtant, si elle avait su ce qui l'attendait.

Sortant de l'arbre, une goule vint se jeter à toute allure sur la jeune femme. Un monstre hideux, le crâne chauve, la mâchoire et les dents disproportionnées et une haleine fétide. Sa frêle constitution n'aurait pas fait peur à un guerrier, mais dans la nuit où la créature est presque invisible, qui peut prévoir comme se défendre ? La goule griffe de toutes ses forces les jambes de sa victime, la bave perlant le long de sa bouche et disparaît dans les buissons.

Il y a parfois des choix difficiles. Suivre l'homme en costume blanc, c'était se diriger droit vers les zombies. Car une horde de zombies sortaient à présent des buissons. Rampant, marchant doucement, mais ce dirigeant irrémédiablement vers Lili. Un ramassis de monstre hideux. Leurs corps partiellement décomposés ne laissait planer aucun doute sur leurs origines, le cimetière. Cette bande, fumante et putride, arrivait à quelques mètres de la jeune femme, les bras pendant dans sa direction. Un bon repas était servi.

regardant à plusieurs endroit de cette sombre foret devant moi, j'essaie de distinguer ce qui fait se raffut en plissant les yeux, mais il fait si sombre, j'entends alors une voie étrange venir de la foret, déclarant tout haut "manger"
encore une chose que je ne comprend pas, qui viens de dire sa? et qu'est ce qui fait autant de bruit dans cette foret?
je ne vois rien sortir des buisson et pourtant, les pas, les cris et gémissement de douleur se font de plus en plus proche et pas seulement de la foret, mais tout autour de moi, ce qui m'inquiète grandement.
je regarde une nouvelle fois autour de moi, mais rien de bouge, pas une ombre, d’où proviennent ces bruit, ces hurlements.
la chair de poule parcours mon corps mais non plus à cause du froid, mais à cause de la peur qui me gagne et grandit à chaque instant, alors que je suis seule dans ce parc et dans l'obscurité presque la plus total.

paniqué et à l'affut du moindre danger, j'entends un bruit sourd, avant d'être violemment plaquer dos au sol, je n'ai pas le temps de réagir, je cris, je hurle et me débat en appelant à l'aide, avant de distinguer avec horreur, un crane lisse ainsi qu'une mâchoire inférieur et des dent disproportionné luisant au reflet de la lune.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!! non au secours... laisser moi... NOOOOOOOoooooon... AAAAAAAaaaaaaah...

je sent alors cette créature me griffer les jambes, j'ai mal, mais tente de la repousser en lui donnant des coups de pieds, en même temps je sent quelques choses de visqueux m'éclabousser le visage la poitrine et les cuisses, une odeur immonde arrive à me narines, j'en est presque des haut le cœur.
jusqu'au moment ou la créature part à toute allure et disparais dans les buissons.
je lâche un crie de soulagement avant d'amener mes mains à mes jambes, j'ai eu plus peur que mal, la créature ne ma pas beaucoup griffé.
je me recroqueville sur moi même et tente d'enlever cette chose gluante et nauséabonde de mon visage et de mes cuisses, sa colle au doigt c'est vraiment dégoutant.
qu'est ce que c'était que cette chose qui m'a attaqué?

je n'ai pas le temps de trouver une réponse à ma question alors que j'entends des pas vraiment très proche de moi ainsi qu'un petit râle plaintif, je me retourne d'un coup et vois deux ombres se diriger vers moi sortie de la foret.

bon... bonsoir... vous êtes des gardiens?...

mais aucune réponse de leurs part, il continue de s'avancer vers moi d'un pas lent, les bras ballant.

m... messieurs?

j'arrive à distinguer l'un d'eux toujours avec l'aide de la lumière de la lune, c'est encore une fois avec dégout que l'un d'eux à la moitié du visage arraché.
les yeux écarquiller, j'amène une main sur ma bouche, alors que je recule sans regarder derrière moi, terrifier de voir sa, je ne sais pas quoi faire, pourtant je n'ai qu'une chose à faire, fuir.

je commence alors à courir dans les ténèbres, ne sachant pas du tout ou je vais, assaillant de trouver la sortie de ce parc, ou quelqu'un pour me venir en aide...

Lili courait à toutes jambes dans le parc. Prise de panique et dans une fuite non calculée, les branches d'arbres lui griffaient le corps et le visage. Sa peau était marqué par plusieurs traces rouges. Boursoufler de douleurs. Lorsqu'elle se croyait enfin sortie du danger, elle se rendait vite compte que les assaillant la poursuivaient encore. Leurs hurlements et la faim les guidaient. Peut-être même le sang qu'elle laissait couler de ses cuisses. Elle s'épuisait à courir inutilement. Bientôt elle ne pourrait plus se le permettre. Mourir d'épuisement, est-ce aussi bien que de mourir dévoré ?

Plusieurs fois elle crut tomber sur des "humains", mais à peine s'arrêtait-elle pour parler, que ceux-ci se révélaient être d'effroyables zombies. Leurs décompositions et leurs odeurs ne laissaient pas de doutes possibles.
Dans un moment de silence où sa course l'avait conduite. Plusieurs craquellement se firent entendre sur le sol. A bien y regarder, il n'y avait rien. Pourtant, une série de mains sortirent du sol pour tenter vainement de lui attraper les jambes. Dans des rugissements d'horreur, des troncs de zombies, des têtes, et des bras sortirent en même temps du sol. Ils appelaient tous à manger. De la chair fraiche ! Ce parc ressemblait de plus en plus à un cimetière, Hiro était sûrement passé par là.

Dans sa nouvelle course au travers des arbres et des buissons, elle sauta par dessus un tronc d'arbre et rentra dans un zombie. Cela eut pour effet de la déséquilibrer et de la faire tomber, le zombie en fit de même. Ils étaient deux, l'autre toujours debout voulu se jeter sur elle. Il s'agrippa à son short et lui arracha avec ce qu'il y avait dessous. La griffant par la même occasion. Le deuxième qui venait enfin de se relever, lui balança un coup de mains dans le dos, lui arrachant plusieurs bouts de peau. Elle se retrouva sans ses deux vêtements et ensanglanté, mais allait-elle s'arrêter pour les reprendre ou même se soigner ?

Il y avait trois entrées et sorties dans ce parc, le reste était entouré de grilles de métal. Les deux premières sont bloqués par plusieurs morts-vivants. Il fallait simplement espérer que la dernière ne soit pas occupée.

courant à toute jambes sans vraiment savoir ou je vais, passant parfois près d'arbres que je n'avais pas vraiment discerné, les fines branches de ceux ci me fouette le visage et les bras alors que je passe à toute allure, tout le haut de mon corps doit être marquer de trace rouge par les coups de fouet de ces branches, mais ce n'est pas pour sa que je m'arrête.
ces choses qui me poursuivent sont des gens, mais ils sont bizarres, le monsieur de tout à l'heure avec la moitié du visage arracher devrais être mort, pourtant il avançait vers moi.
qu'est ce qui sa passe bon sans?
je m'arrête de temps à autre pour reprendre mon souffle, mais ne reste statique qu'un cours instant alors que j'entends ces hurlements horrible et ces bruit de pas lourd venir sur moi à chaque fois que je m'arrête.

ce... ce n'est pas... possible... il y en a partout...

reprenant ma courses folle à chaque fois que j'entends un bruits, je fini vite par être essoufflé, luisante de sueur, mon cœurs battant à cent à l'heure, je suis tellement paniqué dans ma course effréné que j'en perd mes sandales.
maintenant pieds nus, chaque pas au sol me fait mal aux pieds, sentant les branches, les cailloux, la terre, l'herbe et les orties torturer mes pieds.
arrivant quelques fois devant ces créatures pensant que c'étaient de vrai gens, leurs demandant de l'aide, je me rendais compte bien vite de par leurs odeurs de putréfaction et leurs déplacement lents que c'était encore ces choses, passant quelques fois juste à coté, ceux ci ont bien faillies m'attraper au passage avec leurs mains.

alors que je m'arrête une unième fois pour reprendre mon souffle, je n'entends plus un bruit, le calme est revenue, mais celui ci est de courte duré.
j'entends un craquement, regardant de tout les cotés, je ne distingue rien, pourtant j'ai bien entendue quelques choses, je suis prête à repartir au pas de course, quand je sent horrifié le sol bouger sous mes pieds avant de voir une dizaine de bras sortir du sol tout autour de moi.
poussant un nouveau crie d'effrois alors que leurs bras frôle mes mollets, j'esquive leurs poigne en reculant , mais quand je vois leurs tête et leurs torse sortir aussi du sol, je par à nouveau dans un sprint pour leurs échapper, ne voulant pas tomber sous leurs sale mains décomposées.

je cours aussi vite que je le peut en étant essoufflé au bord de l'étouffement, mes poumons me brule de l'intérieur, j'ai l’impression que mon cœur vas exploser, mais alors que je saute au dessus d'un arbre mort couché au sol que j'ai vue au dernier moment, je heurte violemment quelques chose derrière dans un crie de douleur, je tombe lourdement au sol à plat ventre, je sent la poussière coller à la peau de mon visage, mon cou et mes bras ainsi qu'une horrible odeur de putréfaction, tellement immonde que j'en est des haut le cœur, à deux doigts de vomir.
je n'ai pas le temps de me remettre de ma chute, que je sent une main empoigner mon jean moulant, griffant au passage légèrement le bas de mon dos et le haut de mes petites fesses, je cris de douleur mais surtout de peur alors que cette main tire violemment mon jean le faisant craquer.

AAAAAAAAIIIIIIIiiiiiiiieeee... AAAAAAAAAAAAAH... NOOONN... nooon... pas sa... non...

je comprend très vite que c'est encore l'une de ces créatures, je gigote dans tout les sent et arrive à faire passer mes jambe hors du jean, mais cette main aillant aussi empoigner mon string, dans la précipitation l'élastique de celui ci se romps et fouette mes petites fesses avant que je n'avance de quelques centimètres en rampant.
mais alors que je m’apprête à me relever, une autre main viens empoigner mon débardeur dans mon dos, mais celle ci me griffe plus profondément, la douleur me fait me cambrer alors que je hurle de terreur et de douleur.

AAAAAAAAAAAAAAAAIIEEE... non lâchez moi... monstre...

je roule sur le sol, entendant l'arrière de mon débardeur se déchirer avant de me relever précipitamment et de partir à nouveau en courant.
maintenant presque entièrement nue, qu'est ce que je vais faire? il faut que je sorte de ce parc cauchemardesque.
dans ma course je sent quelques chose de chaud dégouliner dans mon dos jusqu'à mes fesses, ralentissant le pas, je passe une main dans mon dos, il y a un liquide chaud, je ramène alors ma main devant moi et découvre horrifié que je saigne, ma main est couverte de sang.
s'en est trop, je n'en peut plus, je stop ma course et commence à pleurer.

mon dieu... je n'en peut plus... que quelqu'un me vienne en aide... pitié...

ma vue flouté par mes larmes, j'entends de nombreux pas se diriger vers moi, tout proche, s'échant mes larmes du revers de mes mains, je constate que sans le faire exprès je suis devant l'une des sortie du parc, mais une bonne cinquantaine de ces choses me bloque le passage peut être plus.
tout de même très découragé, toujours en pleure je vais tenter quelque chose, après tout je suis magicienne et je n'ai pas encore lancer de sort, sans doute trop apeurer et pris de cours, mais sa reste une des options.
le seule problème, c'est que je suis déjà très épuisé.
essayant de me calmer le plus possible, je tend mon bras vers la meute de monstres devant moi et tente de me concentrer.
je lance une première onde de choque qui touche directement de plein fouet le premier monstre devant moi, je le vois voler sur plusieurs mètres au dessus de ces congénères avant de tomber sur d'autres, les faisant tomber à leurs tour.
j'en lance un deuxième plus à droite, mais moins puissant faisant reculer celui toucher et tomber ceux qui se trouvent derrière lui.
je m'épuise encore plus vite en lançant des sorts, mon bras commence à trembler.
j'en lance un autre encore plus faible sur ma gauche cette fois ci, faisant juste tomber celui touché, mais alors que je ramène mon bras au centre de la foule, je remarque que ce qui était à terre se relève et avance de nouveau vers moi.

non...c'est pas vrai... c'est un vrai cauchemars...

je m'exclame alors que je me remet à pleurer de plus belle, ces choses se rapprochant de plus en plus de moi, je n'ai plus d'autre choix que de courir à nouveau et tenter de trouver une autre sortie, mais ma fuite est bien plus lente, trop peut être pour échapper à cette horde de mort vivant...