Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un roturier dans une soirée. [Réservation pour Lady Shiny]

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Muka Tohô

- Muka ... Hé ! Muka, t'as une lettre qui t'es adressé.

J'étaie en pleine résolution d'un exercice de math, la géométrie, ce que je peux détester cette matière. Enfin bref je me tourne vers l'élève et voit qu'il s'agit d'un de membre du comité de discipline, je pris la lettre et l'ouvris pour voir son contenu, il s'agissait d'une invitation à une soirée de riche.

- Tu  n'as pas de chance.

Cette remarque me surpris, ce n'était pas son genre de faire des blagues ou de mettre la pression pour rien.

- Pourquoi dis-tu cela.

- Comme je sais que tu n'as aucun lien avec les bourges, tu es invité à être la foire de la soirée, c'est toujours comme ça, ils prennent un "roturier" et s'amuse à le taquiner toute la soirée pour se divertir.

Comme si ceux de ce lycée n'était pas suffisant, il fallait maintenant que les riches s'amusent avec moi, ce monde est vraiment ignoble.

- Je n'irais pas à cette soirée ...

- L'ennui vois-tu c'est que dans ton cas tu ne peux pas refuser, car ils t’enverront des invitations jusqu'à ce que tu acceptes. La meilleur chose à faire avec ce genre de personne c'est de te montrer ennuyeux, mais tu le fais suffisamment bien en restant toi-même.

La remarque n'avait pas été formulée avec méchanceté, de toute façon je savais que je devais paraitre fade, personne jusqu'à maintenant n'avait réussi à savoir que j'avais une grande soeur, je voulais éviter de lui attirer des ennuis.

- Je suis obligé de porter un costume ?

Le lendemain soir

J'étaie ébahit et en même temps dégouté, savoir que des personnes pouvaient se permettre de dépenser je ne sais pas combien pour une villa, cela me rendait presque malade, car cette argent pourrait nourrir des personnes qui doivent lutter pour survivre chaque jours, ayant eut le droit de passer par là je savais ce que c'était.

Je n'avais pas de costume, j'ai dû demander de l'aide pour m'en procurer un, même si cela se voyait au premier coup d'oeil que c'était un costume de seconde main.

Une chemise blanche, une veste et un pantalon marron, un amie de ma grande soeur ayant fait les ourlets pour que la tenue soit assez bien taillé, les chaussures marron viennent d'un lycéen qui a bien voulut me les prêter, mais sous réserve d'y faire attention.

Je monte les marches et un majordome me stoppe.

- C'est une soirée qui exclut le bas-peuple, veuillez quitter le domaine de Lady Shiny immédiatement.

Arrogant, hautain par un statut qui me ferrais presque gerber tellement cette attitude me révulsait, si j'avais été dans une autre situation mon poings serait partie, mais à la place je tendis mon billet.

- Faites savoir à Lady Shiny que le roturier est là.

Ma voix était contrôlée pour qu'il en voit pas que son attitude m'avait énervé, que l'on me traite dans ledos, que l'on répande des rumeurs allaient encore, mais qu'un riche se permette de me rabaisser car il a l'argent et pas moi c'était inacceptable.

Sans laisser au majordome le temps de me rabaisser  davantage j'entre dans la villa.

*J'aurais mieux fait de rester à l'interna.*

Je parcours les couloirs, ne voulant pas écouter ce que les riches se mettaient à dire sur moi, faisant bien attention à parler dans mon dos, c'est alors que l'un d'eux se met à me bousculer, me faisant trébucher au sol, j'avais été pris par surprise et la masse de l'homme faisait presque le double que moi, je n'aurais eut de toute façon aucune chance d'éviter le chute.

S'en suit des rires moqueurs secondé par des murmures me visant, mais je n'en tient pas compte, il fallait surtout rester calme et les ennuyer, ainsi ils ne m'embêteront plus.

Je tente de me lever, mais une canne s'appuie sur ma main droite, je refoule la colère qui battait ma tempe. Finalement il me laisse me relever, non sans essayer de le faucher la jambe avec sa canne à pommeau de faucon.

Et ce n'était que le début de la soirée qui promettait d'être longue et humiliante.

Lady Shiny

Humain(e)

Re : Un roturier dans une soirée. [Réservation pour Lady Shiny]

Réponse 1 mercredi 03 août 2011, 14:56:23



- Pam .. Palam ♪ !

Il était rare que la jeune femme soit de si bonne humeur. Habituellement, son regard blasé parcourait l'assemblée, dénigrant chaque personne qu'elle croisait. Enfin, ça, elle comptait bien le faire, ne serait-ce que pour garder son statut de peste ...
Mais pour le moment, elle se préparait : robe noire, courte et prés du corps, ses habituels bas en dentelle, cheveux jetés avec désinvolture sur son épaule droite, bracelets en tout genre et mascara. Pour cette soirée, elle se voulait aussi décadente que possible.

Quand elle descendit les marches du hall, elle reçut des acclamations et des applaudissements. C'était une belle soirée, lui disait-on. Elle répondait par de vains sourire, signifiant juste " Vous en doutiez ? ". Et le majordome arriva, la salua, pour ensuite lui murmurer à l'oreille :

- Le roturier est arrivé.

Elle fronça les sourcil.

- Qu'est-ce ? demanda t'elle.

- Votre compagnon a souhaité qu'une personne du bas-peuple vienne égayer cette soirée.

- De quelle manière ?

- Vous le verrez bien ... Il est là-bas, dans le troisième salon.

Du haut de ses 12 centimètres de talons, la jeune femme se dirigea vers le salon indiqué. Ce genre d'initiatives venant de son compagnon - temporaire, elle l'espérait ... - ne lui plaisait pas vraiment. Quand elle vit le jeune garçon, elle eut un sourire, moqueur à souhait. Il ressemblait à un môme. Cette idée lui procura un frisson de désir, qu'elle réfréna vite.

Elle s'approcha de lui, faisant reculer les gens d'un simple claquement de doigts.

- Eh bien ... Quelle surprise !

Elle vola une coupe à quelqu'un, à côté d'elle, et la tendit au jeune homme.

- Champagne ?

Avec celui-là, elle comptait bien s'amuser ...




La vie peut se rassasier de plaisir mais elle est toujours affamée de douleur - Jose Carlos Somoza


Muka Tohô

Re : Un roturier dans une soirée. [Réservation pour Lady Shiny]

Réponse 2 mercredi 03 août 2011, 16:46:36

Je vis tout ce beau monde, c'était le portrait type des gens du genre "tu vois j'ai un joyaux plus cher que le tiens, oh mon dieu c'est la dernière mode ? " Il était clair que je n'avais pas ma place dans ce cercle où chacun essayait de plus taper à l’œil que les autres, sans pour autant se mettre à être trop extravagant.

Je vis dans un coin de la salle un buffet, je savait pertinemment que la moitié allait sans doute être jeté, c'était du gaspillage et rien d'autre, mais il ne faut pas que je m'énerve sinon cela serait aller dans le sens que ses bourgeois veulent me faire suivre.

Certaine personnes se mirent à vouloir discuter avec moi, la réponse fut cinglante, de l'indifférence, comme eux savaient si bien le faire à mon égard pour lancer des sujets de conversation à mon égard, cela dit vint un moment où femme pour le moins bizarre vint m'accoster, un verre de champagne à la main.

Elle semblait totalement différent des autres femmes dans cette salle et se montrer impoli envers une femme n'est pas mon style.

- Non merci, je supporte mal l'alcool même le plus délicat.

Espérons que la bourgeoise ne le prenne pas mal, c'est alors que je vis les autres se mettre à murmurer, comme si cette femme était importante.

*Ne me dites pas que c'est Lady Shiny. Muka t'es trop con des fois.*

Lady Shiny

Humain(e)

Re : Un roturier dans une soirée. [Réservation pour Lady Shiny]

Réponse 3 mercredi 03 août 2011, 18:16:36


La jeune femme lui adressa un sourire. Il était mutin à souhait ... Ce genre de charmes innocents lui faisaient plus briller les yeux que celui des vieux riches et plein d'expérience. Enfin, façon de parler ... Son "compagnon" passa, et elle le salua avec un sourire. Autant lui donner l'illusion qu'elle s'amusait avec le roturier qu'il avait pris plaisir à lui dégotter. Elle lui fit un petit "coucou" avec les doigts, lui lança un clin d'oeil. Et il disparut.

Alors, elle poussa un soupir, s'accoudant sur le buffet avec l'attitude d'une femme soulagée. Elle vida cul sec un verre, et s'alluma une cigarette en regardant autour d'elle, décochant des sourires moqueurs à ceux qu'elle choquait par son attitude. Elle leur aurait bien lancé un doigt d'honneur, mais elle tenait trop à cette villa pour tout foutre en l'air.
Elle se retourna vers le gosse, souriante.

- T'es le p'tit qu'on a commandé, non ?


Elle ne retint pas un rire moqueur.

- Je veux dire ... Mon mari actuel, on va l'appeler comme ça, m'a dit qu'il avait une surprise pour moi ... A première vue, c'est toi.

Elle attrapa un nouveau verre, de whisky cette fois, qu'elle savoura en le regardant.

- Que possèdes-tu comme genre de don, pour qu'il t'ait ramené ici ? Je serais curieuse de savoir ...



La vie peut se rassasier de plaisir mais elle est toujours affamée de douleur - Jose Carlos Somoza


Muka Tohô

Je via la demoiselle se mettre à faire des signes à une personne, sans doute son mari ou une personne qu'elle connait bien, même si cela me donnais une étrange sensation, celui de n'être qu'un pantin, à vrai dire cette sensation avait commencé dès l'instant où les bourges s'amusaient avec moi. En présence de cette femme c’était plus intense.

La posture et l'attitude de cette femme me surpris, je ne m'attendais pas du tout à ce qu'une bourgeoise prenne autant d'aise et prenne si peu en considération l'étiquette, je suis peut être idiot mais je savais au moins ça, cette attitude au début surprenante m'amusait un peu, même chez eux il y avait des rebelles.

- T'es le p'tit qu'on a commandé, non ?

Je ne fis aucun commentaire, même si cela ne m'amusait pas de me faire traiter de gamin, alors que la personnes la plus immature est visiblement cette femme. En plus c'est une alcoolo vu sa tendance à s'enfiler les verres à la suite.

- Que possèdes-tu comme genre de don, pour qu'il t'ait ramené ici ? Je serais curieuse de savoir ...

- Je ne possède pas de don particulier, sans doute votre mari m'a croisé dans la rue et c'est amusé à se renseigner à l'administration de mon lycée. Quoi qu'il en soit je vous informe que c'est par obligation que je suis là, sinon vous ne m'aurez pas vu dans votre soirée.

J'avais retenu la fin qui était "soirée de merde", je savais que j'en avais pour au moins minuit, ce qui promettait quand même de longues heures d'ennuis à subir les blagues foireuses des bourges.

Lady Shiny

Humain(e)



Shin le regarda sans répondre, souriante. Il était fier, gardait la tête haute, et lui tenait tête du mieux qu'il le pouvait. C'était touchant. 'fin, dans le sens très cynique du terme : Il l'amusait plus qu'autre chose en se comportant ainsi. Elle savait qu'il n'exploserait pas, qu'il resterait digne. Même si elle cherchait à le pousser à bout, elle crut comprendre qu'il ne changeait pas de situation.

Elle éclata de rire en entendant sa dernière réplique.

- Je pense aussi que tu ne serais pas à cette soirée si mon mari ne t'avais pas remarqué, mon cœur ...

Ce n'était pas son milieu, et il semblait dénigrer tout ce qui touchait à la bourgeoisie. Elle en déduisit que son époux devait être sacrément sadique, ou profondément atteint. Elle but une nouvelle gorgée de whisky, analysant l'assemblée.

- Fais-leur les poches.

Elle s'alluma une nouvelle cigarette, et le regarda en souriant.

- Il n'y a pas de petits profits. Ils pensent que tu es con. Profites-en pour abuser de leur gentillesse et leur piquer quelques bijoux. Mais n'essayes pas de toucher à mes bijoux, chéri, ou je risquerais de ne pas apprécier.

Elle gardait toujours son arme avec elle, coincée sur le bord de son bas. Un réflexe, depuis quelques temps ... Ses petits trafics pas très légaux et bien dangereux l'obligeait à agir avec discrétion et méthode. Elle se retourna vers lui, l'analysant un moment. Il semblait si mutin ...

- 'fin, sauf si tu as trop bonne conscience, au point de préférer subir.

Elle regarda autour d'elle, une nouvelle fois. La soirée battait son plein, et il n'était encore que trop tôt ... Elle n'aimait pas les crépuscules, préférant la nuit noire et épaisse.

- Tu t'appelles Muka, c'est ça ?



La vie peut se rassasier de plaisir mais elle est toujours affamée de douleur - Jose Carlos Somoza


Muka Tohô

- Fais-leur les poches.

Cela eut comme conséquence de me surprendre, cette femme issue de la bourgeoisie me donnait un ordre pour le moins surprenant, elle m'aurais dit cela alors que ma mère, ma grande soeur et moi vivions dans les rues les plus insalubre, je n'aurais pas hésiter, mais ma grande soeur m'a toujours dit que jouer les pickpocket était dangereux.

Je vis un léger pis dans son vêtement, il était certain qu'elle cachait une arme à porté de main, prête à être utilisée, autant dire que la menace était réelle, mais aussi que cette femme devait bien cacher son jeu au yeux de son mari, sauf s'ils sont de mèche.

Comme elle l'avait deviner, je n'allais pas leurs faire payer l'humiliation de tout à l'heure, mais cela en voulait pas dire non plus qu'ils resteraient sauf, car j'ai une très bonne mémoire des visage, surtout ceux qui me font du mal.

- Tu t'appelles Muka, c'est ça ?

- Muka Tohô. Je présume que vous êtes Lady Shiny.

Je prit un pomme et croque dedans, car j'avais une petite faim.

- Je ne vous imaginais pas du tout comme ça, plus dans le genre stricte et coincée dans des manies de bourge.

Le mot était dit et des regards fusèrent dans ma direction, que je répondis par un visage impassible et un regard neutre, nul doute qu'ils allaient trouver des trucs pour m'en faire baver, mais ils ne savent pas ce que c'est de vivre dans la pauvreté, ne sachant pas si demain il y aura un repas, ils devaient être bien au chaud dans leurs baraques de X étages, avec une armée de servante à leurs pieds.

Je vis un objet arriver en direction de ma tempe, pour la première fois je perdis mon impassibilité. Je saisis l'objet, me rendant compte qu'il s'agit d'une boule en cuir qu'un gosse avait lancé dans ma direction sous les rire de sa famille, mon regard devint menaçant et je fus ravis de voir cette famille frémir sous mon regard chargé de colère ... non ce n'est pas de la colère, mais de la haine.

Je redevint calme, m'énerver n'aurait servit à rien dans cet endroit.

Lady Shiny

Humain(e)




Shin adressa un sourire à ladite famille, les saluant de la main, et hocha la tête. Elle devait rester en bon termes avec cette partie de la société. Elle n'oubliait pas son passé de Terranide, où elle n'avait aucun pouvoir, aucune autorité. Elle avait pris une revanche sur la vie, à coups de magie, d'opération, d'argent et de sexe. De drogues, aussi, un peu. Elle avait gagnée en assurance, en pouvoir, en tellement de choses ... Elle ne regrettait pas son transfert. Devenir une bourgeoise méprisante lui plaisait plus que tout ...

Puis elle tourna son regard vers lui.

-Tu as une vision bien erronée de la vie, mon petit.

Elle posa une maison sur son épaule, et lui indiqua un groupe de personnes.

- Cette femme a tué un homme pour sa villa. L'homme, à sa gauche, organise des orgies tous les jeudis. A sa droite, il y a l'homme qui m’achète régulièrement du shit. En face de lui, il y a la femme qui n'est autre que ma maitresse actuelle. A côté d'elle, mon ancien amant.

Elle lui tapota l'épaule, et se remit à fumer.

- Il n'y a que peu de "bourges" qui sont strictes, mon coeur.

Elle chercha à croiser son regard.

- Il n'y a que des gens qui ont de l'argent, et tous les pouvoirs du monde dans cette pièce.


Une nouvelle bouffée de tabac.

- Et ça fait 2 ans que je les ais rejoint.


Elle lui adressa un vague sourire, et le scruta encore. Il avait l'air sur la défensive, mais elle comptait bien faire tomber ses barrières ... Elle comptait bien s'occuper de ce petit Muka, cette nuit ... Elle se mordit la lèvre inférieure, et fit signe au majordome de lui préparer une chambre, sa préférée.

Et elle le regarda, les yeux brillants, le sourire aux lèvres.

- Je te propose de quitter ces gens, un moment. Tu acceptes ?



La vie peut se rassasier de plaisir mais elle est toujours affamée de douleur - Jose Carlos Somoza


Muka Tohô

-Tu as une vision bien erronée de la vie, mon petit.

Je me mis à avoir un hoquet de surprise, cette femme disais que j'étaie dans le faux, non, quiconque chercherais toujours à avoir raison, ne dérogeant pas non plus à la règle en ce qui me concernait. Mais j'étaie prêt à écouter ce que Lady Shiny avait comme argument pour me contredire.

- Cette femme a tué un homme pour sa villa. L'homme, à sa gauche, organise des orgies tous les jeudis. A sa droite, il y a l'homme qui m’achète régulièrement du shit. En face de lui, il y a la femme qui n'est autre que ma maitresse actuelle. A côté d'elle, mon ancien amant.

La vérité me fit le même effet qu'une coups de fouet, je ne pouvait nullement me douter que sous cette apparente richesse des personnes plus détestables et surprenantes se cachaient. Elle se  mit à parler de pouvoir et d'argent, il est vrai que les deux vont bien ensemble, même si personnellement l'argent ne fait pas le bonheur et le pouvoir est trop souvent utilisé de manière égoïste, ce que disait Lady n'est que la triste vérité.

Elle avait employé les bon mots, ce qui en me laissais à présent aucun moyen de contre-attaquer, devant continuer à me défendre dans ce monde qui n'était clairement pas adapté pour moi, en vérité je ne me sent bien nulle part.

- Je te propose de quitter ces gens, un moment. Tu acceptes ?

Je pousse un soupir et étire mes bras vers le plafonds, l'inactivité n'est pas une chose que j'apprécie particulièrement.

- Je n'ai pas grand chose à faire actuellement, donc je veux bien vous suivre.


Je ne savais pas encore que Lady avait des projets ce soir et que j'en faisais partie.


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