Rock se retrouva de nouveau seul, enfin à être assit sur le canapé du moins, puisque suite à la proposition de Marine, et sa propre réponse, la jeune femme se leva, pour aller chercher des glaces. Son absence ne fut pas longue, et le jeune homme ne tarderait pas à la voir venir avec un bol dans chaque main et déposer ceux-ci sur la glace, un devant son colocataire, et l’autre devant la place qu’elle prit sur le canapé. Le jeune homme vit alors deux blocs de glaces carrés, comme s’ils avaient été coupés aux couteaux, et ne put s’empêcher d’esquisser un sourire amusé.
- Merci…
Fut cependant la seule parole qu’il prononça alors qu’ils se remettaient à manger dans le silence le plus total. Combien de temps prirent ils pour cela, Rock l’ignorait, et ne chercha pas à le savoir. En effet, il appréciait sa glace, comme sa voisine, et ne trouvait aucun sujet de discussion concret pour rompre le silence, pas si pesant que cela qui s’était installé entre eux.
S’est alors que le bruit du bol qu’on pose sur la table retentit, indiquant que Marine avait fini la sienne, suivit de près par Rock. Mais, la demoiselle prit la parole avant qu’il n’ait posé son bol, en disant qu’elle allait faire son lit, car ce dernier n’avait qu’un dessus de lit. D’ailleurs, elle se leva presque aussitôt et s’éloigna pour disparaître dans le couloir en direction de la chambre du jeune homme. Rock se leva à son tour, récupérant les bols qu’il amena à la cuisine et nettoya. Cela lui prit quelques instants avant qu’il ne suive sa camarade. Quand il arriva dans la chambre, cette dernière avait déjà sortit les draps, et commençait à les disposer dans l’ordre sur le lit.
- Attends, je vais te donner un coup de main.
Dit-il avant de se placer de l’autre côté du lit, et agrippant le drap housse pour envelopper le martelât de ce côté du lit, évitant à Marine de faire le tour donc. Il attendit donc ensuite que sa camarade récupère la suite et lui envoi pour continuer. Et il fallait avouer que la vue qu’il avait sur le corps mouillé partiellement de sa colocataire, selon ses mouvements, ne laissait pas le salariman indifférent, et il sentait une bosse grossir progressivement dans son pantalon, même si pou le moment, cela n’était pas encore visible, et heureusement se dit il en ayant jeté un coup d’œil en sentant ce changement, pour se rassurer sur cet état de fait.
- Tu n’avais jamais invité quelqu’un ici donc je présume, pour que tu ne te sois même pas servit de cette chambre en chambre d’ami !
Bon, dans un sens, il avait déjà sa réponse, vu qu’ils avaient déjà abordé le sujet des amis dans leur discussion antérieure. Mais, il ne savait pas quoi dire de plus, et cela lui était venu simplement à l’esprit.