Au moins, elle ne prenait pas cette recommandation à la légère puisqu'elle ordonna de quitter les lieux par la porte de secours, enfin, la porte du fond, quoi. Le semi dragon avait dégainé son dernier pistolet, il devrait bien l'utiliser, un peu comme uen manière de lui montrer qu'il ne venait pas en mal, il hésita à le lui donnr, mais non, elle pourrait être en mesure de gâcher la balle, ils ne le devaient pas… il sourit, moqueur à sa remarque mais ne répondit pas, le bryuit des armueres e la garde se faisaient entendre… il ne put s'empêcher de regarder la porte… elle était brnalante, en musvais état, inutile sd'essayer de la garder fermer… autrant l'iouvrir et frapper tout ce qu'ik s'approchrait de trop près…
Et non, il n'avait pas de raisonn de répondre à la question de la jolie blonde . D'abord on sauve sa peau, ensuite on taille la bavette et plus si affinité, mais là, la situatuion devenait urgente, surtout qu'il sentait… hum… étrange… une odeur de brulmé sans doute ? Ça y ressemblait beaucoup dans tous les cas… il regarda la jeune femme et eut un regard loin de l'amabilité ou de l'affabilité alors qu'il lui lançait sur un ton de reproche.
« Est-ce que c'est bien le moment de parkler truicot , Ils veulent nous enfumer pour nous forcer à sortir, ces fumiers, sans doute pour nus cueillir avec des flèches ou des carreaux… dans tous les cas, on a le choix, soit on fuit avec les anciens prisonniers, soit on tente d'occuper la garde… le suicide ou l'échec, choisis. Si tu veux d'abord te charger des affaires persos, on peut très bien. »
Il pointa son pistolet vers le front de la jeune femme, moins de deux pouces de son front sans doute, comme s'il allait lui faire sauter la cervelle, puis, il le fit pivoter dans sa main pour lui présentrer la crosse, si ça pouvait le rassurer sur ses intentions, il pouvait bien passer son pistolet et se battre uniquement à la rapière. Bon, il y avait un peu plus de risque, mais il était bon, bien assez pour survrivre à à peu près n'importe quelle attaque…
Sa prubnelle unique cessa de la fixer pour se plonger sur la porte, qui risquait sous peu de evenir leur seul échappatoire. Et leur mort… tant puisk pas le choix, il commençait à y avoir beaucopup de fumée dans les lieux… il enfon_ça la porte, mais à peine y avait-il pratiqué un trou qu'un carreau d'arbalète passa au travers, le manquant de peu… il avait eu chaud… il frappa deux fois les gonds et la porte tomba.
Saisissant la femme par les épaules il l'écarta de toute trajectoire potentuielle, cinq traits furent ainsi gachée par les serviteurs de la ville, les gardes en somme. Que gâchis. Sous sa forme humaine il tait loind 'être immunisé à ces odeurs qui luiprenaient lme njez, la gorge et les yeux, le faisant pleurer et tousser… ilpioussa un juron et sortir. La fumée avait commencé à envahir le coin, rendant hasardeux les tiors. Mais comme pour confirmer à la jeune femme qu'elle poiuvait lui faire confiance, il lui lança.
« Mais si tu veux*tousse tousse tousse* tout savoir, je suis pas un espion, juste un intéressé tousse tousse tousse on peut en parler après ? »
Impérieux, il reprit son arme des mains de la jeune femme et fit feu. Il y eut un bruit mat, un cri et une chute… ça allait les faire réfléchir. C'est alors que rapière au point, il se jeta dans la bataille.