Quête du Vampire [Fujiwara no Tomo]

Tomoe faisait partie de ses humaine ne réfléchissant pas trop loin dans l’avenir en se projetant trop loin dans l'avenir, on ne faisait naître au final qu'une illusion qui pouvait se retourner contre soi, telle une épée de Damoclès, que l'on ne constate la présence qu'à sa chute. Elle n'avait pas beaucoup de "rêve" ou de projet d'avenir, étant plus portée sur faire avec ce qui venait, tant que cela restait dans le supportable.  L'esclave temporaire arrêtait de mordiller la main de la vampire, jugeant que cette action n'avait que trop longuement durée, aussi pour éviter que ce petit jeu n'énerve la vampire, n'ayant pas encore suffisamment conscience de comment Méloinda réagissait et réfléchissait.  Elle léchait la paume tendue, faisant de joli mouvement de tête, même si elle n'avait pas la

L'humaine observait la vampire taper sur ses cuisses et semblait hésiter, elle n'allait pas sauter sur les genoux de la vampire, comparant sa résistance à celle d'une humaine, et n'ayant ni la souplesse ni le poids d'un chat. C'est pour cela que la jeune blonde laissait le soin à Mélinda de la tenir, non pas par la peau du cou, mais par les épaules, la positionnant de telle manière à ce que la queue caudale ne soit pas dérangeante et que Tomoe soit assez bien installée sur les cuisses de la maîtresse des lieux.

Elle frémissait d’excitation en sentant ses cheveux caressée et les canines de Mélinda titiller son cou.  L'esclave n'offrait aucune résistance, acceptant volontiers son statut de soumise. Tomoe utilisa la souplesse de son corps temporaire, pour jeter sa jambe droite par-dessus la vampire et se trouver face à elle, rougissant un peu en sentant sa poitrine toucher celle de la vampire, cette dernière pouvant constater que la chatte était encore toute émoustillée.

Elle goûta à un doux baiser, se laissant faire et jouant avec la langue de la maîtresse de maison. Elle vint à trembler en sentant recevant un bisou d'esquimaux.  Venant à miauler pour montrer son contentement, miaulement qui avait gagné un cran de crédibilité en écoutant les terranides-chattes miauler entre deux conversations.

« Hmmm... »

En souriant lentement, Mélinda continua à frotter son nez sur celui de Tomoe, optant pour une nouvelle approche. Le sexe, en effet, était quelque chose de varié, comme une sorte de synthèse, de cristallisation de la vie. La vampire se mordilla les lèvres, les humectant légèrement en observant la femme. La belle Tomoe se dandinait contre ses cuisses, son corps serré contre le sien, rougissant de plaisir, peu habituée à avoir droit à un traitement si doux au sein de ce manoir. Depuis qu’elle était là, il fallait bien reconnaître que la jeune femme enchaînait les séances de sexe hardcore et violentes. La vampire souriait lentement, et écarta ses lèvres, en relevant ses mains pour caresser les joues de la femme, ses pouces venant délicatement caresser ses lèvres.

Tomoe avait poussé de délicieux miaulements, et jouait visiblement à fond son rôle de petite chatte, mais il manquait encore quelque chose pour perfectionner son apparence. Elle lui sourit à nouveau, et claqua alors des doigts, puis, au bout de quelques instants, une esclave apparut dans le dos de Tomoe, et posa sur son crâne un délicat serre-tête avec des oreilles pointues, poilues.

« Maintenant, ma chérie, tu es une parfaite petite chatte... Et, comme les chattes aiment les câlins... »

C’était parti pour une attaque massive de caresses ! Les doigts de Mélinda filèrent le long de la nuque de la femme, la grattant, puis glissèrent ensuite le long de son dos, alors qu’elle amenait Tomoe à venir se rapprocher d’elle, la vampire s’étant adossée contre le dossier du fauteuil. Ses doux doigts glissèrent le long de son dos, venant masser assez rapidement chacune de ses fesses, sentant la queue caudale de la jeune femme.

« Lèche mon cou, mon petit chaton... Et ma joue aussi... Montre-moi comme tu es une chatte heureuse et contente de recevoir l’attention de sa Maîtresse... »

Oui, Mélinda comptait bien opter pour quelque chose de plus doux, maintenant, comme un moyen de clairement démontrer à cette femme qu’elle savait varier les genres et les plaisirs... Et, tandis qu’elle continuait à masser ce joli petit cul, on pouvait l’entendre soupirer quand Tomoe venait nicher sa bouche contre son cou, et, si cette dernière, en la léchant, se rapprochait de sa bouche, elle pourrait voir que les canines de Mélinda étaient sorties, et visibles quand cette dernière ouvrait la bouche pour pousser ses soupirs et ses gémissements...