Kaoru entra dans la salle de dessin. Elle était archi bondée, et étrangement attentive. Kaoru regarda le modèle:
Elle le connaisait. Cette lycéenne avait été dans sa classe l'année précédente. Elle prit une feuille, un tabouret, s'asseya au premier rang et s'attaqua au portrait d'Ayame. Koaru commença par dessiner ses cuisses puis remonta vers sa jupe. Mais c'est à ce moment précis qu'elle remarqua quelque chose: les jambes d'Ayame tremblaient.
En y regardant de plus prés, elle s'aperçut qu'elle essayait, avec ses mains, de tirer sa jupe décidément trop courte vers l'exterieur, comme pour cacher sa...
Et si elle avait oubliée ses sous-vêtements ?
Koaru n'y croyait pas vraiment. Mais quand elle tenta de dessiner le buste d'Ayame, elle vit alors qu'elle préssait, avec ses bras, les cotés de ses seins... Ils changaient de forme tout au long du cours.
Koaru remarqua aussi qu'Ayame transpirait, que son corps se couvrait de sueur, et que sa chemise blanche devenait peu à peu transparente.
Le professeur dit alors:
-"Ayame ! tient toi droite !"
C'est là que Koaru fut certaine qu'elle ne portait aucun sous-vêtements:
Ayame leva les fesses et se replaca au milieu de son tabouret. Le tissu mouillé de sa chemise colla imédiatement sa poitrine en sueur, et le vêtement était complétement transparent. On pouvait à présent voir sa poitrine dans toute sa totalité, ainsi que ses têtons durs.
Koaru ne retint pas longtemps son attirance envers les femmes. Elle se trémoussait sur son tabourait, croisait et décroisait les jambes. Elle sentait elle aussi ses têtons durcirs. Koaru haletait, et respirait de plus en plus lentement et fortement. Ses cheveux noirs bouclés et emmelés tombait sur ses joues rouges de plaisir, et elle se mordillait les lêvres. C'était tellement agréable de voir cela... Elle devait donner du plaisir à son corps.
Mais Koaru vit soudain Ayame lacher sa jupe par mégarde. Un des plis du vêtement s'infiltra dans la vulve d'Ayame; c'était comme si on voyait tout. Koaru jubilait: Elle continuait de croiser et de décroiser les jambes. La culotte de Koaru était trempée, humide, et du liquide séminal s'écoulait de ses cuisses.
maintenant, c'était trop, et L'envie était trop forte: Koaru se leva, sortit de la salle, son crayon à la main. Elle se dirigea vers les toilettes, et s'enferma dans une cabine. Là elle s'assit, releva sa jupe, déboutonna sa chemise. Elle caressa sa poitrine, et dirigea en même temps le crayon sous sa culotte...