Je l'a regardait en train de se baigner, lavant chaque parcelle de son joli corps dans ce lac, plongeant sous l'eau pour mieux s'exposer à mes regards lorsqu'elle remontait à la surface. Comme à mon habitude j'étais loin d'être timide, je l'a dévisageait parce qu'elle le méritait, parce qu'elle était magnifique. La vue de ses longs cheveux dégoulinant de l'eau claire de la cascade, de ses jolis petits tétons pointant fièrement au contact entre l'eau froide et son corps brulant. Parfois il arrivait qu'elle se penche pour laver sa chevelure, le tout sans plier les genoux ce qui me laissait une vue imprenable sur son joli petit derrière. Si je ne lui avait pas promis de rester sage en attendant qu'elle fasse ce qu'elle souhaitait de moi, j'aurais surement foncé sur elle pour l'a prendre à nouveau. Donc je pouvais bel et bien dire :
"Ton corps d'humaine te vas très bien, donc non ce n'est pas gênant que tu ne sois pas une lycanthrope."
Et encore, "te vas très bien" n'était qu'une façon de ne pas dire qu'elle me rendait dingue, il faut dire que j'étais habitué à me ruer sur les femmes comme l'on se rue sur un bon repas sans pour autant l'apprécier. Avec elle c'était différent, j'étais en train de l'attendre, avec impatience certes, mais en savourant la beauté de ses courbes ainsi exposées, j'apprenais tout simplement à apprécier cette jeune fille à sa juste valeur.
Puis elle s'est enfin décidée à me rejoindre, grondant mon petit soldat au garde à vous devant sa beauté, comme si il y pouvait quelque chose le pauvre. Son air faussement sévère m'arracha un sourire, chose qui n'arrivait que rarement, elle n'avait définitivement pas peur de moi et aimait sincèrement nos petits jeux, ce qui l'a faisait encore grimper dans mon estime.
Je fus un peu surpris lorsqu'elle pris mon sexe entre ses pieds, je me suis assis, je ne pouvais rien faire d'autre et ensuite je l'ai vue, commençant à se toucher d'une manière particulièrement explicite. J'ai tout de même tenu quelques temps ainsi, mais je n'ai pas encore la capacité de me retenir indéfiniment, donc l'instant fatidique arriva.
Sous les bons traitements de l'infirmière Zoé le méchant petit soldat fut puni et cracha tout ce qu'il avait dans le ventre sur son joli corps qu'elle continuait a caresser. Une fois mon plaisir passé, je constatais que j'avais enfoncé mes griffes dans le sol sans m'en rendre compte et je pensais qu'il faudrait que je fasse attention à ne pas blesser l'humaine sans le vouloir. Enfin je me suis redressé pour la regarder et je fus assez surpris de ce que je vis.
Zoé était littéralement recouverte de sperme de la tête aux pieds, c'était le cas de le dire, j'étais vraiment surpris de la quantité de semence qui s'était échappé de mon petit soldat. En tout cas il était clair que le fait de m'avoir fait languir sur le bord du lac pendant sa douche n'y était certainement pas pour rien. Alors que j'étais en train de penser à ce que pourrait donner ce genre d'éjaculations massives dans son petit derrière, dans son vagin, voire même dans sa bouche, Zoé continuait de se toucher alors qu'elle n'avait pas encore jouit.
Avec un sourire sadique je me suis jeté sur elle avant d'arracher ses mains à son corps désireux, privant ce dernier de toutes les caresses qu'il réclamait. Alors que je l'a tenait par les poignets je lui ait dit avec un petit air sadique :
"Si tu veux jouir ma belle il va falloir me supplier et me supplier longtemps, de manière très convaincante."
Dans l'état dans lequel elle était je lui donnait dix minutes maximum avant de céder et de me dire tout ce que je voulais entendre, car je n'avais pas l'intention de rester sage durant tout ce temps. L'une de mes main tenait ses poignets tandis que l'autre caressait avec tendresse son bas ventre déjà brûlant, pendant ce temps, alors que j'étais à califourchon au dessus d'elle, je frottais lentement mon sexe sur sa jolie poitrine recouverte de sperme. J'avais vraiment hâte de voir sa réaction.