Une vierge non dressée?

La petite en version masculine souriait à l'idée de ce que je lui proposait. Du point de vue d'un homme peu importe lequel, une femme reste une femme, queues ou pas queues, tant que ça avait une paire de jambes écartées et les parties visibles et qu'eux avaient la fleur au fusil, les détails importaient peu.

Mais alors qu'il allait s'approcher pour me montrer la petite « punition » que je recherchais, il s'immobilisa. Il se tient la tête et luttait contre lui/elle-même.   Mais ça ne m'allait pas. Je ne laisse pas l'autorisation de me sauter pour bloquer devant, môsieur.

Puisqu'il ne réagissait plus, mais qu'il avait toujours la trique, je le couche sur le lit, pas besoin de mes queues, il ne répondait même plus.   Il ne me restait plus qu'à le chevaucher et ainsi de dépuceler -si l'on puis dire- la partie mâle de son être.  Je jouais un petit temps ainsi... Jusqu'à ce qu'il perde sa verge, l'effet du médicament s'estompait.

Elle pris encore quelque minutes immobile, ou je profitais pour reprendre mon apparence normale, puis elle revint enfin à elle. Elle se releva puis, quand elle me regarde, rougit fortement avant de déclarer :
-Je … heu …

Elle s'arrêta un instant, pour reprendre ensuite :
- Je suis terriblement désolé ! Je ne sais pas ce que vous à fait mon double mais je … je suis désolé !

De gène encore, elle se mis presque littéralement en boule. Je m'approche d'elle davantage et l'enlace avant de lui susurrer :
- Voyons, ton double n'a fait que suivre ce que je lui demandais avec une étonnante précision. ♥ J'aimerais bien reprendre là ou nous nous étions arrêté, mais pour ça il me faut savoir quand tu as perdu le contrôle.

Il restait donc à la petite de me dire ce dont elle se souvenais, mais comme poser une demi réponse sur base de suppositions d'une réponse qui arrivera après, Ahri expliquera en entier ici :
- Pour résumer rapidement, tu as été mise en vente en tant qu'esclave et je t'ai achetée. Je t'ai emmené chez moi sans que tu opposes la moindre résistance, ce qui est plutôt rare pour un esclave.  Après une petite discussion, je t'ai expliqué que j'avais besoin d'une certaine dose d'énergie que je retrouve dans l'acte sexuel. ♥  Tu m'as encore une fois opposé peu de résistance. ♥
Et on se retrouve ici maintenant. Cela fait, tu ne sembles pas te rappeler de ce qu'on à fait, je serais ravie de recommencer - voire encore et encore – mais ton corps supporterais mal le choc.

Je laisse un temps en suspens avant de finalement terminer par :
- Nous allons donc passer la nuit ensemble. ♥ Nous recommencerons le petit jeu dès demain.

Je lui présente sa tunique avec laquelle elle est entrée, celle ci n'était pas très entretenue. Je lui montre toutefois  l'armoire (à secret), celle qui contenant certes beaucoup de choses érotique, gardait aussi en elle beaucoup de lingerie variée mais bien souvent érotique.
- Enfile ce qu'il te plaît et fais comme chez toi, le seul interdit est de quitter la maison tant que je ne te redonne pas le droit... ♥
La nuit débutait seulement, les réjouissances venait encore... Et j'aimerais voir si elle tentais de sortir ou non. En attendant, j'enfile à nouveau mes vêtements avant de lui faire une bise et de descendre aux cuisines. J'allais préparer un petit quelque chose à manger qui remettra d’aplomb la petite rapidement.

[HRP]libre à toi de couper mes paroles si tu considère que Sayana n'a pas perdu le contrôle dès le début.  la suite du 'hentai' sera plus tard, là c'est un petit post pour que tu puisse converser avec toi même et une passage cuisine XD[/HRP]

La jeune platine apeurée et craintive regarda la kitsune face à elle. Elle était ainsi couchée, dos au lit, sa maitresse couchée sur son corps. Sayana était plus que gênée, elle avait du mal à réaliser ce qui se passait. Elle se demanda alors tout ce qui aurait pu se passer pendant que son aïeul avait le contrôle de son corps … elle se rappelait très nettement que Sephiroth avait cette folle envie de faire connaitre son corps, son atout masculin à la Terranide … De dégout, elle se mit alors à s’imaginer la scène d’elle avec l’arme du sexe opposé chevauchant la jeune kitsune avant qu’ils n’échangent les rôles : elle sur le dos et sa maitresse au dessus d’elle. Elle frissonnait de peur et d’incompréhension … et un peu de froid aussi. Il faut dire que la partie homme avait bien excité le corps de la pauvre femme …


« Qu’est-ce … qui c’est passé ? » Se demanda-t-elle à elle-même.


Alors que la jeune femme était déboussolée, Ahri s’approcha de la petite guerrière et la prit tendrement dans ses bras. Sayana restait étonnée de ce geste. Elle ne lui en voulait donc pas ?


- Voyons, ton double n'a fait que suivre ce que je lui demandais avec une étonnante précision. J'aimerais bien reprendre là ou nous nous étions arrêtés, mais pour ça il me faut savoir quand tu as perdu le contrôle.

-Je… elle tentait de se rappeler.

- Pour résumer rapidement, tu as été mise en vente en tant qu'esclave et je t'ai achetée. Je t'ai emmené chez moi sans que tu opposes la moindre résistance, ce qui est plutôt rare pour un esclave.  Après une petite discussion, je t'ai expliqué que j'avais besoin d'une certaine dose d'énergie que je retrouve dans l'acte sexuel. Tu m'as encore une fois opposé peu de résistance. Et on se retrouve ici maintenant. Cela fait, tu ne sembles pas te rappeler de ce qu'on à fait, je serais ravie de recommencer - voire encore et encore – mais ton corps supporterais mal le choc.

Un bon gros résumé de ce qui s’était passé mais oui … elle s’en rappelait très bien.


-Je me souviens … que vous m’aviez appris à vaincre ma timidité, pouvoir toucher mon corps ainsi que … Elle rougit d’avantage à cette pensée, revivre ce moment. Que toucher et caresser votre propre corps avec douceur et grâce.


La jeune femme leva alors son regard turquoise sur Ahri, toujours timide et gênée comme n’importe quelle jeune femme qui se confrontait pour la première fois avec le milieu du sexe, Comme la brebis qui se fera manger pour la toute première fois …

Soudain, la renarde ajouta :


- Nous allons donc passer la nuit ensemble. ♥ Nous recommencerons le petit jeu dès demain.


Passer la nuit ensemble ? Sayana n’en avait que les joues d’avantage rouge, en flamme même d’un point de vue imagé. Passer la nuit avec une femme … une personne tout simplement. Ca allait être sa toute première nuit. Cela la rassurait comme cela stressait la jeune femme. La guerrière ne  savait pas quoi en penser mais d’un autre coté elle se dit qu’elle n’avait pas le choix … Et oui ! Elle avait été acheté, elle n’était qu’une esclave, une chose à présent … elle devait obéir au doigt et à l’œil et puis entre nous … La jeune platine avait été crée dans ce but : obéir aux ordres quelle qu’en soit la nature.

Ahri s’éloigna d’elle alors, s’approchant des meubles et tiroir avoisinant ce lit si confortable au toucher, propice à la luxure de deux femmes … La renarde avait d’abord montré la tunique de cuir noir abîmée par le voyage et l’emprisonnement. C’est clair … elle n’était plus en très bonne état. Sa maitresse montra une armoire en particulier là où des choses bien intéressante étaient cachées …


- Enfile ce qu'il te plaît et fais comme chez toi, le seul interdit est de quitter la maison tant que je ne te redonne pas le droit...


Quitter la maison … Bien sure qu’elle n’en avait pas le droit ! Sayana ne râla pas, comprenant que c’était son destin, que dorénavant c’était Ahri sa maitresse. Que seul Ahri pouvait lui donner des ordres et qu’elle serait obligée d’obéir. Ceci dit … la platine avait tout de même cette espoir de partir ensuite … Bien qu’Ahri avait fait passer cette espoir de liberté ! En l’écoutant et l’obéissant … sans doute aura-t-elle toute ses chances de voir une nouvelle fois la lumière du jour, la voie de la liberté.

Elle sortit de ses pensées quand la renarde s’approcha d’elle pour lui faire la bise avant de descendre à l’étage inférieur. Ses doigts s’approchèrent alors doucement de ses lèvres. Cette sensation … lui faisait vraiment bizarre … C’était plaisant et terrifiant à la fois. Une bien drôle de sensation … mais pas si désagréable !

Une fois la terranide partit, Sayana se redressa lentement. Toujours nue, la jeune femme s’avança jusqu’à l’armoire à merveille. Doucement et un par un, elle se mit à les contempler, à les analyser … à se décider. Puis elle en prit un.

Une dizaine de minutes plus tard, elle avait enfilé la tenue. Il s’agissait là d’une culotte-string noir en dentelle où sa vulve et son mont vénus était clairement visible, de petits élastiques noir entourait son corps en formant un beau motif géométrique. Il n’y avait pas de soutien-gorge à proprement dit, il s’agissait en fait d’un simple tissus qui démarrait du dos pour se rejoindre sous les seins de la jeune platine pour remonter jusqu’au cou. Des petits caches en formes de cœur, noir eux aussi, vinrent cacher les tétons de Sayana. Des bas en dentelle bien plus fin étaient présent aussi, reliés à la culottes par de petits liens.

Son regard turquoise parcourra son corps. Elle était rouge de gêne mais elle se trouvait belle comme ça à la fois. Elle partit s’admirer dans un miroir. Elle trouvait que quelque chose manquait. Elle prit un élastique avec des fleurs noir dessus et elle prit ses cheveux pour les attacher. Seules ses mèches frontales pendaient. La jeune guerrière sourit.


« J’espère que ma maitresse me trouvera belle ainsi »


Elle rougit puis se mit doucement à descendre les marches. Sayana se mettait en quête de retrouver la terranide, sa maitresse. Ahri était apparemment dans la cuisine. Doucement, la jeune femme s’en approcha. Elle se racla juste la gorge pour attirer son attention. Les mains douces de la platine vinrent se cacher derrière son dos. Elle la regarda, gênée.


-Cette tenue … vous plait-il maitresse ?

La petite frissonnait de penser à ce qu'il pouvait s'être passé, je n'en voyais pas le mal. Après, je n'étais pas celle qui avait une autre personnalité ayant pris le dessus.
Je lui ai résumé assez facilement ce qu'il s'était passé jusqu'à maintenant – en oubliant volontairement de préciser que je l'avais dépucelée du coté mâle – elle y resta assez dubitative avant de déclarer :
- Je me souviens … que vous m’aviez appris à vaincre ma timidité, pouvoir toucher mon corps ainsi que … Que toucher et caresser votre propre corps avec douceur et grâce.

Je souriais. Une belle petite phrase qui voulait simplement dire que je réussissais plus ou moins là ou je voulais. Toutefois, il y avait un problème, j'avais déjà absorbé un peu de son énergie vitale tant qu'elle était en lutte avec son double, et les cadavres du passés m'ont bien fait comprendre qu'en aspirer deux fois de suite c'était pas génial. Pour ceux qui se demandent ou sont bien passés les corps, disons que l’anthropophagie n'affecte pas vraiment Ahri, elle est animale à la base, les humains ne sont en définitive que des animaux avec un cerveau développé propres à se faire littéralement drainer par son pouvoir.
Mais malgré tout, la petite n'avais pas ses jours en danger. Je la trouvais intéressante avec sa seconde personnalité, et si la première ne tombe pas sous la coupe de la luxure, elle sera d'autant plus intéressante.
- Nous allons donc passer la nuit ensemble. ♥ Nous recommencerons le petit jeu dès demain.

La petite me regardait avec un petit air surpris. Elle était déjà rouge comme une tomate, alors rougir davantage semble difficile, mais si c'était faisable, elle l'aurait probablement fait.
Je lui montre ou sont placés les vêtements qu'elle à l'autorisation de mettre, beaucoup de tenue affriolante et propice à exciter simplement au regard, mais aussi certaines tenue de cosplay, comme la tenue de soubrette ou d'infirmière. Pas vraiment conseillée pour les frileuses, mais si elle voulaient que je les réchauffe, pas de problèmes... Je la laisse finalement seule, histoire de préparer un plat qui soit à la fois simple et propre à redonner rapidement du tonus.

Pour reparler de cet espoir de liberté, il était bien là. Je me désintéresse des esclaves qui s'abandonne à moi, quand elles se frottent l'entrejambe sur mes pieds en me suppliant de les faire jouir encore et encore, faisant dégouliner leur cyprine à la moindre caresse, quand elles sont propices à accomplir le moindre de mes penchants immédiatement sans protester ni rougir.
Là je les envoie balader, Nexus étant friand de prostituées de toute sorte et de tout poils. Certaines sont capable de reprendre leurs esprits, ces dernières étant comme 'marquée' de mon empreinte, d'autres s'enfoncent plus encore et tombent dans une dépravation des plus totales.
En somme, je lui promettais bien la liberté … Si elle tombait sous la coupe de la luxure ou ne pouvait plus se passer de moi. Même si finalement il existait bien des exceptions, comme Slimia, bien qu'elle soit slime, elle était déjà sous la coupe de la luxure, on s'était amusées cette nuit là...

Mais voilà que le dîner est prêt, et ça peut-être n'importe quoi puisque d'un point de vue scénaristique vu que le narrateur n'a pas précisé volontairement quel plat Ahri préparait. Peu après Sayana revint me voir dans une tenue pour le moins affriolante, mais non sans rougir, comme à son habitude.
Avec un peu d'humilité elle finit par me dire :
-Cette tenue … vous plait-il maitresse ?

Je la regardais, un sourire au lèvres. Elle me plaisait déjà à nue, la voir habillée, que ce soit aussi 'peu' ou complètement couverte ne changerait pas la donne. Il fallait bien avouer qu'en revanche un bout de tissus marchait souvent mieux que la nudité elle même. Je lui répond :
- C'est une tenue surprenante pour une timide comme toi. ♥ Si je ne me préoccupais pas un minimum de ta santé, je jouerais sûrement avec toi sur le champ. ~♥

Si ça n'en avait pas l'air, c'était un bon compliment de ma part. En restant avec moi, la petite allait rapidement savoir qu'elle ne pourrait me faire plus plaisir que de jouer avec moi. Après, jouer avec moi, ça signifier faire la même chose que ce que l'on venais de faire il y à a peine un quart d'heure, en étant plus prononcé après qu'elle aie perdu sa virginité.
Je m'approche d'elle, comme je venais de lui dire, je me faisait un peu du mal à na pas jouer tout de suite avec elle. Pour couper un peu la poire en deux, je me colle à elle pour lui faire une bise, mes queues la caresse de part en part. Je me retire ensuite, afin de lui montrer la table et l'assiette – les couverts aussi bien entendu – qui lui était destinée.
- C'est pour toi. ♥ manges autant qu'il te plaira. ♥

Si elle me posait la question, je lui dirais que je n'ai pas vraiment besoin de manger, mais je dois beaucoup jouer pour compenser. Avant qu'elle ne se mette à table, je me colle à elle afin de lui voler un baiser, mes queues l'entourant de caresses avant de la libérer. Je me doute qu'elle me poserais probablement une ou deux question pendant qu'elle mange, mais tant qu'à faire autant y répondre.

La jeune fille restait au pas de la porte, quelque peu timide mais surtout gênée pas la tenue qu’elle avait endossé peu de temps avant. Mettant en avant son petit corps encore vierge … Les yeux turquoise de la guerrière regardèrent un instant son cops avant de regarder sa maitresse.


- C'est une tenue surprenante pour une timide comme toi. Si je ne me préoccupais pas un minimum de ta santé, je jouerais sûrement avec toi sur le champ.


De sa santé ? Elle était malade ? Depuis quand ? Non … cela devait être surement autre chose et quelque chose lui dit effectivement cela : l’odeur. Une bonne odeur de nourriture ! Elle venait de cuire tout cela pour elle ? Hm … certainement. Pourquoi ? Pour lui changer les idées ? Probablement aussi … si la kitsune aurait voulut en terminer avec la jeune vierge, cela aurait été fait depuis un moment. Surement. Et puis la jeune femme était encore un peu chambouler de ce qui venait de se passer avec sa « double personnalité ». C’était plus deux esprits en un que réellement un dédoublement de sa personne.

Elle observa doucement Ahri s’approcher d’elle, la serrer contre son corps. La jeune esclave rougit un petit peu sous ce contact encore fort direct même si elles avaient pu partager un peu de plaisir peu au part avant. Sayana se rappelait encore un peu ce qui s’était passé avant que son ancêtre ne prenne possession de son corps. La jeune femme rougit d’avantage quand elle lui fit une bise. Elle hésita … Tenta de lui répondre mais la renarde se recula peu après. Tant pis, ce serait surement pour plus tard.

C’est alors qu’elle lui montra la table avec assiettes, couverts et nourriture.


- C'est pour toi. ♥ manges autant qu'il te plaira.


La jeune femme sourit, regarda la femme renarde puis dit avec un doux sourire.


-Merci maitresse ! Vous … vous ne désirez pas manger avec moi ?


Sa maitresse désapprouva. Surement se nourrissait-elle d’autre chose mais ça … qu’est-ce que Sayana en savait après tout. Elle ne dit rien, allait se tourner pour se mettre à table. Mais … non. Elle se retrouva agrippée une nouvelle fois ! La douce sensation des neuf queues contre son corps. Que c’était doux … avoir les lèvres de Ahri sur les siennes la fit rougir encore mais doucement elle commençait à apprécier… c’est alors qu’elle tenta une fois encore de répondre au baiser mais trop lentement. Elle s’était déjà reculée … Décidément ! Pour une fois qu’elle y mettait du sien !

La jeune femme s’installa à table alors … elle mangeait, buvait proprement. On voyait qu’elle avait quand même apprit les bonnes manières pour une esclave ! Elle savait utiliser les couverts, n’avait pas posé le moindre souci à ce niveau là … un léger courant d’air passa, elle frissonna vu sa tenue des plus légère. Doucement, son visage se releva vers Ahri, avalant son morceau de viande en bouche.


-Maitresse. Comme j’ai réussis la troisième épreuve je … Nous reprendrons directement à … la quatrième ? Elle laissa un silence, une autre question la chiffonna un peu sur l’instant : sa liberté. Vous … vous comptez me libérer ? Ou … dois-je vous servir et obéir à … jamais ?


Bien que la jeune femme rêvait de liberté et de découverte depuis des années, elle était cependant habituée à obéir aux ordres comme un chien. Oui. Elle n’était qu’une soldate, née et même crée uniquement pour cela. L’erreur de son passé, avoir tué ce scientifique avait surement était l’acte à ne pas commettre ce qui lui avait valut facilement quatre ans emprisonnée entre quatre murs. Elle ne voulait plus reproduire cette erreur. Si elle devait obéir, tel était son destin …

Il semblerais que la petite soit gênée de s'être ainsi habillée, et troublée par le mot santé que j'ai employé. Elle se rassura en constatant que quand je parlais de ''santé'' je pensais à de la nourriture, quand bien même ce n'était pas complètement le cas, je ne relevais pas ce détail.
Quand je m'approche d'elle pour l'embrasser, elle semblait triste que je me détache d'elle aussi rapidement. Bonne réaction, ma petite, continue d'en vouloir plus. ♥
Je lui présenta ensuite son assiette, elle me demanda si j'allais manger avec elle, ce à quoi je répondis que je n'avais pas vraiment besoin de manger, après notre petit jeu.
 Elle s'installa alors à table et commença à manger pendant que j'étais partie me chercher un thé, à mon retour je m’assoit devant elle. Juste après avoir avalé un morceau, elle me regarde et me demande :

-Maitresse. Comme j’ai réussis la troisième épreuve je … Nous reprendrons directement à … la quatrième ? Elle laissa un silence, une autre question la chiffonna un peu sur l’instant : sa liberté. Vous … vous comptez me libérer ? Ou … dois-je vous servir et obéir à … jamais ?

je souriais. Bien évidemment elle se posait des questions sur la liberté, bien qu'elle supposait une réponse négative au vu de son visage légèrement désespéré. Il me fallait bien formuler la réponse, afin de ne pas se tromper dans les termes employés. Je dis après un petit moment :
- Nous poursuivrons demain notre petit jeu, aujourd'hui il s'agissait en quelques sorte d'un test d'obéissance, que tu as passé avec brio. Tu as même dépassé mes espérances. ♥

Je prend une gorgée de thé avant de reprendre:
- Cependant, avoir dépassé mes espérances implique aussi que j'aimerais te garder davantage pour moi. ♥  Rassures-toi malgré tout, je suis connue pour ne pas garder quelqu'un bien longtemps. Ça pourrait être l'affaire de quelques semaines, voire quelques mois, tout au plus.

Je lui disais la vérité sur ces points, mais s'il venait l'envie de dire que ce n'était peut-être pas l'idéal pour elle, je ferais remarquer auquel cas que beaucoup la garderait à vie. Je continue à la regarder manger jusqu'à ce qu'elle finisse. Lorsque ce fut le cas, je débarrasse son assiette avant de lui dire:
- Il fait nuit, nous n'aurons pas le temps de prendre un bain avant de dormir, donc ... je te laisse visiter la maison à ton loisir, jusqu'à ce que je t’appelle pour dormir. ♥

C'est donc quartier libre pour la petite. Elle a donc permission de visiter la maison comme à on bon vouloir. il est ironique de se dire à quel point cet appartement est grand alors que du point de vue de la façade, elle semble trop étroite. Il y a aussi de nombreux objets de valeurs ou non exposés un peu partout dans les différentes pièces. C'est que j'aime bien acheter toute sorte de chose, une façon d'exposer ainsi mes richesses. Bien entendu si la petite souhaite recevoir un détail sur un des objets, elle peut toujours m'appeler. Quand bien même je ne connais pas exactement tout les détails des objets en ma possession, je peux au moins parler en détail de leurs conditions d'acquisition.

HRP ps: j'ai repost parce que j'avais omis certain points

Quelques semaines voire mois … oui, Ahri n’était pas comme tous les autres maitres surement. Bien que Sayana, au final, n’avait jamais vraiment su décider par elle-lêle, toujours contrainte à obéir à quelqu’un. Tant qu’elle était bien traitée et qu’elle pouvait voir un peu le monde, o serait le mal ? Surement qu’elle aurait été une bonne esclave ou encore une bonne arme. Cependant, Sayana se demandait quelles étaient réellement les intentions de la kitsune. Etait-elle plus à la garder pour des coups fourrées, pour l’envoyer faire des commissions ou simplement l’avoir dans son lit ?

Sayana terminait alors tranquillement son repas que sa maitresse avait pris le temps de cuisiner pour elle avec soin. C’était très bon, la platine ne se rappelle même pas avoir mangé quelque chose d’aussi bon depuis très longtemps. Elle n’était pas mal nourrie chez elle, bien loin de là, mais le goût était en général très fade alors qu’ici chaque aliment avait son propre goût provoquant une explosion de saveur à ses papilles gustatives. Oui, la jeune guerrière se disait qu’elle avait beaucoup de chance que la kitsune l’ait récupérée au final. Elle était heureuse en cet instant. Quelqu’un pour s’occuper d’elle-même si il y avait encore cette relation de maitre et d’objet. Même si au final, Ahri la traitait plus comme une femme que comme un simple jouet … Ce détails, Sayana ne l’avait pas encore remarqué. Les relations humaines étaient encore très complexes pour cette dernière qui, au final, n’avait pas su vraiment développer entièrement ces dernières.

Une fois le repas terminé, la terranide reprend l’assiette et débarrasse le tout en précisant qu’il faisait nuit et qu’elle pouvait visiter le reste de la demeure jusqu’à ce que sa maitresse l’appelle pour aller se coucher.

A cela, la platine approuva simplement en regardant la femme de ses yeux turquoise.


-Bien maitresse.


Ahri partit et Sayana se leva. Elle prtit doucement dans les couloir et le salon. Elle observait la table, passait sa main dessus. Elle était brillante, lisse, bien entretenu … Elle pouvait presque voir son reflet dans le venylle. En revoyant la tenue qu’elle avait, elle rougit. L’ange se trouvait assez belle dans cette tenue, elle passait ses mains sur son corps comme si elle se découvrait pour la première fois. Fallait-il rappeler que ce qu’il s’était passé dans la chambre aurait été sa toute première fois ? Elle n’avait jamais prit la peine de se découvrir au part avant, ne serait-ce que pour voir ce qui la différenciait des hommes. Mais maintenant qu’elle avait été initier à la pratique du sexe, cette curiosité naissait en elle, enfin.

Une main vient doucement se frotter contre ses seins pratiquement à découvert. Suite à ses caresses, ses joues rougirent, elle trouvait ces derniers volumineux. Elle esperait que ce détail plaise sincèrement à sa maitresse. Ensuite, l’autre main se glisse le long de son ventre jusqu’à son entre jambe. La caresse la fait frémir, ses joues rougirent d’avantage. Timidement, elle appuie sur le tissus, comme pour se caresser la vulve mais c’est le tissus qui appuie contre sa petite fleur. Son cœur s’accélère alors qu’elle ressent des choses. Son corps, lentement, chauve. Une chose chaude et humide glisse légèrement sur ses cuisses, de la cyprine. Sayana retire sa main alors, se disant que seule sa maitresse pouvait faire cela … A moins que cette dernière l’observe depuis tout ce temps ? Après tout … Sayana n’attendait que les ordres d’Ahri pour la rejoindre.