C'était quand même étrange, si étrange de voir que je savais user de méthode dont je n'avais pas souvenir. Mais une partie de mon passé n'était qu'une immense page blanche, comme-ci on avait effacer les écrits qui y avait été déposé. Je savais que le corps pouvais se souvenir de ce qu'il lui avait été apprit, sur le même principe que le réflexe que j'utilisais souvent en combat, mais c'était différent. Sa voix résonna encore, me faisant ressentir cette sensation si spéciale et si plaisante. Même ses soupires me faisait le même effet, avec un ressentis moindre cependant.
Ses caresses sur ma tête étaient très agréables, gratifiant mes efforts et si elle n'avait peut-être pas aimer le petit jeu cela ne serait que le début des festivités. Mon esprit nageait dans une douce confusion et je ressentais plus les mots que les comprenaient. Mon corps était de nouveau tout excité, comme pouvait le démontrer ma poitrine, mais surtout mon sexe qui devenait un peu plus rigide. De légers gémissement se firent entendre, n'ayant dans mon état actuelle aucune retenue.
Elle en voulait plus, j'allais lui offrir. J'enduis mon index d'un peu de salive pour venir l'introduire en douceur, alors que mes lèvres vinrent embrasser son bouton d'amour. Je continuai un peu avant de lui demander si elle souhaitait que je continue de lécher sa délicieuse fleur ou si elle souhaitait que je vienne couvrir sa poitrine de baiser avec un voix charmeuse. Un deuxième doigt vint se joindre au premier alors que mon pouce vint caresser son clitoris. Mes actions étaient douces, mais assez variable pour lui procurer du plaisir, du moins c'était le but rechercher. Mon corps devenait de plus en plus impatient et, sans que je m'en rende compte, je dandinais légèrement de mon postérieur, comme un félin qui aurait trouvé une proie.
Mes doigts alternaient en terme de vitesse, mais aussi de techniques. Je dois avouer que je n'étais plus en état de comprendre ce que je faisais, mon corps souhaitait juste faire du bien à Syria et testait ce qu'il connaissait pour trouver la meilleure méthode et en tirer le précieux nectar. J'en ronronnais légèrement lorsque les gémissements de la succube se firent plus audibles.