Comment décrire ce qu'elle ressentait ? Un mélangeant peu rassurant issus d'une recette oublier d'une créature immonde au goût des plus malsains, un ragoût d'horreur, mélanger à une grosse dosse de tristesse, compléter par un désespoir des plus noires et profonds, ayant détruit jusqu'au mots même l'espoir. Rajouter à cela, le sentiments de trahisson de la part Schield, bien qu'une touche de résignation ayant vider de toute résistance et résiliation son esprit acceptant son sort fameux ingrédient secret, fourré par les prémisses d'un esprit briser, d'une volonté sans substance et d'une fine couche d'un plaisir naissant, contraint et forcé, pour une raison d'être démolit. La recette parfaite pour ceux qui veulent détruire une personne de l'intérieur.
Ballotté au grès des coups, t-elle un navire dans une tempête, ne tenant que par ses liens et les deux personnes la pénétrant, l'une d'elle ayant succombé à cette recette, l'autre en étant la cuisinière. Les deux femmes la pénétraient durement, claquant leur bassin contre elle, raclant ses troues, écartant ses parois avec intensité, le plaisir de le faire, essence de leur ardeurs, toujours plus fort et dévorant. Les chibres fessaient des allées et venus, dans un mouvement perpétuelle, limant son intérieur, provoquant des tremblement de plaisir, des spams de plaisir, la douleur ayant été occulté par son esprit, son corps ne pouvant qu'apprécier. Les coups de butoir claquaient contre elle, pilonnant sans vergognes ses troues Elle mouillait, ne pouvant se retenir et qu'apprécier dans toute sa splendeur le plaisir qu'elle ressentait, elle pleurait, mais elle adorait. Plus rien ne la retenait, tout futile et disparue, pour un esprit peinant à la faire ressentir l'horreur dans la quelle elle était.
Elle ne ressentait plus que le plaisir, cette chose enivrant, durcissant ses tétons, sous l'emprise de la douce torture de Schield, son inconscience la fessait pleurait, alors que sa conscience et son esprit baignant dans l'extase. Ses gémissements n'étaient que plaisir, ses cries, étouffaient, n'étaient que plaisir, son regard démontrait le plaisir qui la posséder. La tentacule bloquant sa bouche se retira, alors que l'annexienne, non... désormais sa Reine, lui souffla à l'oreille :
« Hurle, Ilinia... Hurle tout le bonheur que tu ressens à te faire prendre... Et je te donnerais ton chat... »
Elle ne put se retenir, se lâchant, criant son bonheur, allant jusqu'à le dire, demandant plus, avant de plonger sa tête vers Schield, l'embrassant, sa langue s’entremêlant avec la sienne, leur baves se mélangeant. Tout comme Schield, elle avait craqué, cédant entièrement, plus de volonté, ses pensées rejoignant celle de sa camarades, s'offrant à la Reine des Lames, sa maîtresse, son esprit la percevant comme la seule issus possible, la seule chose qui comptait désormais.