« Tu parles trop, petite pute. Si tu ne veux pas hurler, je te ferais couiner. » Mais c'est quoi cette réaction ? Engiel était presque choquer, elle aurait put au moins la frapper, répliquer ou sortie l'intégralité du dictionnaire de l’injure ! Elle ouvrit la bouche pour sortir une pique, mais ne put qu’accueillirent la présence massive et violente d'une tentacule qui se mit en tête de pulvériser le record du plus grand nombre d'allées et venues dans une bouche en moins d'une minute, tentant d'établir un score qu'on ne pourra plus jamais battre. Engiel ne put que subir et gémir, l'inquiétude et la peur ce lisant dans ses yeux, sentant sa gorge ce gonfler et ce dégonflé à un rythme effroyable, craignant que la tentacule ne finisse par percé sa gorge.
Tandis qu'Engiel ne put que créer des bruits de sucions des plus horrible et des gémissement des plus pitoyable, une tentacule se présenta à ses fesses, perforant sa combinaison avant de s'enfoncer dans son cul comme une créature vorace cherchant à atteindre sa proie dans une petite crevasse trop petite pour elle. Même si un liquide fut utilisé pour facilité la pénétration, la douleur était des plus fortes, à en faire perdre la tête par son intensité, sans compter que celle-ci semblait vouloir voir plus loin que le colon. Ses gémissement furent plus prononcé, mais cela ne servait qu'a témoigner sa douleur, sans pouvoir l'adoucir. En même temps les tentacules se serrèrent d'avantage, comprimant plus ses membres et l'annexienne redoubla d'effort dans ses allée et venues, frappant et raclant avant plus de force l'intimité d'Engiel, ne lui laissant qu'une sombre pensée : que cela aller être pire.
Plus les secondes s'écoulaient, plus l'emprise tentaculaire se resserrer, aggravant la douleur qu'en ressentait Engiel, de même pour son col de l'utérus, les coups gagnant en force. Ses jambes se seraient d'avantage sur l'annexienne, tandis que cette dernière enfonça ses griffes dans ses cuisses, perçant la peau, tranchant quelque veines, tandis que de nombreux filer d'un rouge vermeille s'écoula des coupures, coulant aves grâce sur la combinaison d'Engiel, avant de s'écouler sur le sol, en une successions rapides de gouttes, formant rapidement de petite mare de sang, pas plus grosses que le pouce, avant de se rejoindre à d'autre, grossissant rapidement. Cette nouvelle douleur ne passa pas inaperçue, rajoutant de nouveaux gémissement de douleur.
Mais ce n'était que le débuts, car Engiel faillit presque réussir à pousser un crie, quand la tentacule ramonant son fondement perça quelque veines, déchirant quelque par, un accès trop petite pour lui, le sang coulant le long de la tentacule et de sa rondelle. Son imitation de crie fut étouffer rapidement, de même que sa respiration, la tentacule s'enfonçant trop loin dans son œsophage, l’empêchant de respirer pendant plusieurs seconde, avant de se retirer, la laissant rependre du mieux possible sa respiration avant de recommencer. Engiel ouvrait le plus grand possible sa bouche car la tentacule manquait de lui déboîté la mâchoire voir même de la briser, ce qui arriva à ses dents. La tentacule ce retirait trop violemment et rentrer tout aussi violemment, brisant dans les deux sens des dents, quelque morceaux tombant dans sa gorge emporter par le sang et la tentacule, griffant ses parois buccales, ne pouvant résister à un assaut pareil.
« JE... SUIS... VOTRE... REINE, PETITES SALOPES ! » La peur qui était la leurs, reprit ses droits, instaurant à nouveau sa tyrannie dans l'esprit d'Ilinia et de Schield, ce crie semblait être à ce moment l'essence même de la rage et le visage de l'annexienne, le visage même de la rage et ses yeux tout autant. Ça ne pouvait pas être que lier à Engiel, son cracha n'était pas grand chose comparer à tout ce que l'escouade Delta S avait put faire contre elle. De plus elle semblait imperméable aux insultes et provocation. Qu'es qui pouvait donc la mettre dans une telle rage ? Qu'elle que soit la réponse, Engiel était désormais le souffre douleur de l'annexienne. Les autres pouvaient voir qu'Engiel souffrait horriblement, mais elles ne pouvait pas a savoir à quel point.
Tout son corps souffrait, les muscles de ses bras menaçaient de rompre, ses os tremblaient menaçant de se briser, ses articulations souffraient menaçant de se casser. Ses tendons menaçaient d'être trancher, ses veines comprimaient empêcher la circulation du sang, engourdissant ses membres, tandis que ces derniers étaient tirer jusqu'à la menace d'être arracher. La dernier chose qu'Engiel sentit, avant que la douleur ne finisse par la faire évanouir, fut une douleur fulgurante et puissante, comme si on lui avant broyer ou déchirer quelque chose.
Ses camarades ne pouvaient imaginer ce qu'elle avait subit, mais ses gémissements de douleurs de plus en plus fort et l'importante flaque de sang ne pouvait que laisser imaginer le pire. Quand les tentacules la relâchèrent, signe que l'annexienne avait finit par jouir, le corps d'Engiel tomba dans un bruit mat dans le sang, ses cheveux commença à se gorgé de sang. Mais le pire n'était pas là, c'était le visage d'Engiel : les yeux révulsaient comme si elle cherchait à admirer son cerveau, la bouche anormalement grande ouverte, édentées, remplit de sang, les lèvres fendus. Le visage d'Ilinia devint livide, aussi blanc que la neige, manquant de s'évanouir, Schield dans le même état et Tirch.... n'en avait rien à faire, la voyant comme morte.
Horrifier et indigner, Ilinia et Engiel regardèrent l'annexienne soulever Engiel comme une poupée, le sang coulant de son fondement dilaté et meurtrit. Aucune compassion se voyait dans ses geste et ses yeux, de même que dans ses paroles, ne s'inquiéta pas d'avantage de son état, parlant comme si Engiel avait exprès pour mourir l'accusant presque, de leur point de vue, en plus de souligner qu'elle lui appartenait.
L'annexienne la balança sur le sol, comme un vulgaire jouet casser, arrachant des gémissement d'indignation de la par de ses camarades, avant que des tentacules n’amène on ne sait où Engiel. En même temps Tirch fut libérer, et la petite flamme d'espoir que garder les autre se transforma en un immense brasier ! La meilleurs combattante avait été libérer, la seul qui pouvait espérer battre l'annexienne ! Pourquoi tant d'espoir en elle ? Parce que personne de la section n'a pus la battre une seule fois, seul ou à plusieurs.
« J’ai offert à Shiranui une chance de sortir d’ici... Ma mansuétude a coûté la vie d’une de mes bestioles. Vous allez me le payer... » Avait elle bien entendue ? Shiranui avait tué un formien ? Comment ? La seule hypothèse et qu'elle avait réussit à se libérer de son cocon et affronté un formien, mais cela n'était pas la principale sujets dans l'esprit des soldates, le combat à venir pouvait peut être déterminer leur destin.
L'annexienne fonça vers Tirch, ce qui était une grave erreur, foncer sans réfléchir dans les bras d'un assassin et d'une soldate ayant subit des améliorations chimiques et un entraînement spéciale, était la mort assurée, car si elle croyait que Tirch se remettait lentement de son immobilité durant des heures, elle se trompait lourdement.
Tirch regarda l'annexienne en se relevant pas le moins du monde perturbé, sans ciller, sans aucune pensées, sans animosité, sans rien. Alors que l'annexienne n'était qu'a deux mètres de Tirch, celle-ci fonça vers elle sans aucun signe montrant une tentative de ce genre, dévia l'attaque d'une mains et écrasa le nez de l'annexienne contre la paume de son autre main en même temps, un craquement retentit. La vitesse de l'annexienne couplé à celle du coup de Tirch et de sa force purent sonnée la Reine des Lames, stoppant brutalement sa course. Juste avant, l'annexienne put admirer le code barre sur son front, deux espèces de tube métalique enfoncer dedans ressortant légèrement, un visage vide d'expression et des yeux ne montrant presque aucun signe de vie. On aurait put croire à un mort si elle ne bougeait pas.
Titubante, l'annexienne avança vers le mur, à deux doigts de tomber, où Tirch l'aida à se cogner dedans, prenant sa tête dans ses mains avant de la cogner violemment dessus, puis la laissant tomber à l'aide d'un croche patte, juste avant qu'elle n’écrase son pied sur sa tête, l’écrasant encore plus dessus, avant de racler le mur avec son visage, avant de la jeter à terre. Son esprit n’exprimait aucune haine ou rage, aucune envie de vengeance, ni d'envie personnelle de tuer l'annexienne, sauf celui de la tuer, car c'est son devoir, ses ordres et sa raison de vivre. En plus de tout à tas de plan de frappe, de contre attaque, d'esquive ou de ruse, aussi bien pour elle que pour l'annexienne.
Elle frappa l'arrière du crane de l'annexienne, avec sa botte, avant de s'emparer d'une de ses excroissance et de la briser à la base avec puissant coup de pied, pulvérisant son attache, avant de faire de même avec l'autre, qu'elle jeta au loin, elle s'éloigna de l'annexienne, la première excroissance dans la main où elle brisa les « branches », afin de servir comme arme, une d'en chaque mains, le surplus jeter dans un coin de la salle. Entre temps l'annexienne commença à ce relever, mais Tirch, fut plus rapide, écrasant le dos de l'annexienne sous sa jambe, la rejetant par terre, avant de lever bien haut une de ses armes improviser, visant la nuque.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Elle baignait dans son sang, ses lèvres goûtant à son goût cuivré, du sang remontant dans sa gorge, coulant sans qu'elle ne se force de ses lèvres. Elle était sur le point de s'évanouir ou de mourir, elle ne savait pas, sa vue brouiller n'avait de vision que son sang, le rouge lui rappelant étrangement la housse de sa couette ou alors c'était vraiment sa couette ! Quand elle mourrait elle se réveillait dans son lit au paradis c'est ça ? Elle voulue tendre la main pour tirer sa couette vers elle, afin de se tenir au chaut, mais son bras ne suivit pas sa volonté, restant inerte. Elle fut retournée, ses blessures la rappelant à la réalité, non elle était toujours vivante, ce n'était pas sa couette, mais son sang, formant une nappe rouge. Couverte de sang, t-elle une infâme robe de sang, couvrant en partie son visage et son ventre, ainsi que ses membres.
À travers son regard vitreux, de sa vue brouiller, elle ne put que regarder une image indistincte, c'était en tout cas quelque chose ayant une forme humaine, la pénombre des lieu ne l'aidant pas à distinguer l'inconnue. Mais elle put comprendre quelque bribe de ce qu'elle disait : « pas le droit ». Malgré son état, elle savait de qui il s'agissait et de quoi elle parlait. Trop faible pour répliqué, elle ne put, que tousser crachant du sang, avant qu'un poing ne vint s’écraser sur sa joue, créant assurément un hématome conséquent, avant qu'un autre poing ne frappa ses lèvres, fendant l'une d-elle. Les coup pleuvait sans qu'elle ne puise répliquer se protéger, sans réagir, sans crier. Et cela durant quelque minute, jusqu'à cela cesse brusquement, laissant un visage tuméfié, deux œils aux beurre-noir, plusieurs bosse, deux dents casser et des joues prenant des couleurs mauve inquiétante.
Elle entendit une sorte de discutions, mais lointaine, très lointaine, un flot de paroles incompréhensible, alors que les cérébrates n'était qu'a un mètre d'elle. Sa vue devenait de plus en plus sombre, l'obscurité de plus en plus forte, le sont de plus en plus lointain, jusqu'à ce qu'elle ne voit et n'entende plus rien. Elle venait de s'évanouir, bientôt au porte de la mort, mais en rien cela n'arrivera, car des formiens la transportèrent sur ordre d'une cérébrate. Suivre leur trace et était très simple, le sang coulant comme un jets d'eau, formant un ligne irrégulière.