Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le quartier de la Toussaint / Re : Le Seuil des Faux Saints [PV Soeur Maery/Nannaka]
« Dernier message par Nannaka / Soeur Maery le jeudi 18 décembre 2025, 23:54:21 »
Nannaka ne se pressait pas car elle savait que d’une manière ou d’une autre, elle finirait par avoir ce qu’elle voulait et le fait que l’inconnue dont elle ne connaissait pas encore le nom avait pris l’hostie jouait en sa faveur. Sa magie n’avait pas forcément besoin d’être ingérée pour fonctionner, cela fonctionnait mieux car la quantité était limité mais le simple contact prolongé permettait aussi de la faire pénétrer.

Elle restait dos à l’autre femme pour pratiquer ses gestes cérémoniels en l’écoutant, se priver des passions n’était clairement pas un chemin à suivre pour espérer s’opposer à elle au contraire. Comme elle lui avait dit, que ferait elle si un jour elle vit quelque chose de si fort que son détachement ne suffit plus, en bonne joueuse Nannaka pourrait lui en faire la démonstration immédiatement, le petit biscuit de messe n’est qu’un outil et elle pouvait s’en passer. Elle pourrait facilement la submerger de désirs du plus doux au plus malsain, cela l’amuserait beaucoup comme expérience :

« Croyez vous que les dieux existent vraiment ou que ce sont juste de belles histoires que l’on raconte pour le besoin d’un culte ? Si l’on considère les passions interdites comme des maladies alors il faut soigner la personne qui en souffre. En tant que prêtresse, il m’a été confier le savoir permettant de le faire, par ma main c’est la Déesse qui retire cette passion impure aux yeux des hommes. »

Tout comme elle pouvait créer les passions, elle pouvait les faire disparaître totalement et pour de vrai, bien plus définitivement que tout ce que l’inconnue avait pu apprendre comme moyen de le faire. Mais il était clair dans ses propos que c’était le culte qui s’adaptait à la loi des hommes et que même les plus obscures des pratiques ne le dérangeait pas dans le fond et c’était bien le cas. Nannaka se fichait bien de la soit-disant morale des insectes que constituait la race humaine, ses victimes n’ont pour la plupart ni de genre, ni de nom ni d’âge, ce ne sont que des jouets ou de la nourriture. 

Toujours dos à l’inconnu elle prend un bol de craie et dessine des symboles sur la statue reposant sur l’autel, au niveau du bas-ventre, cela ressemblait beaucoup aux « tatouage d’uterus » qui pullulait dans les hentai ces derniers temps lorsqu’il y avait de la magie dans le concept :

« Sans le savoir, beaucoup de gens connaissent nos symboles. Celui là permets de retirer aux hommes leurs passions incestueuses par exemple. »

Elle se retourne, bol à la main :

« Si vous voulez vraiment être immunisée à toutes passions, je peux vous les exorciser. »

Elle était sérieuse même si ce n’était clairement pas un exorcisme qu’elle pratiquerait si son interlocutrice acceptait.
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One Shot / Re : Un malentendu plus que bienvenu (PV - Naughty Elfette)
« Dernier message par Clochette Tintelune le jeudi 18 décembre 2025, 23:21:45 »
Les mains de la fée ne tarderaient pas à se réchauffer alors qu'elles s'employaient à caresser la peau nue des larges épaules du colosse. Ses doigts agiles tâtaient un peu, puis appuyait et malaxait doucement, presque tendrement, les nœuds qu'elle trouvait.

A en juger par la réaction de l'homme, elle ne devait pas trop mal se démerder. Même si le seul homme qu'elle ait jamais massé était physiquement très différent, moins colossal, les gestes revenaient vites.

« Mmh-mmh, laissa-t-elle échapper tandis que la pulpe de son index appuyait sur un muscle un peu trop tendu à son goût. C'est parce que j'en suis une. Les ailes ne vous ont pas paru suspectes ? Répondit-elle distraitement en se focalisant sur le muscle un instant. »

Quand elle fut satisfaite, ses mains reprirent leur vagabondage à la recherche d’autres soucis similaires. Peu à peu, dénouant en quelques gestes les nœuds -probablement à cause du stress- les mains de la blonde faisaient leur chemin dans le dos immense du Père Noël.

« Vous vous appelez comment, au fait ? »

Oui, parce que c'était bien beau de l'appeler Père Noël dans sa tête, mais elle est censée l'appeler comment en vrai ? Elle se voyait mal l'appeler « Père » ou « Papa », d’une part. Et, d'autre part, « Noël » semblait étrange, pour la jeune fée. Mais, c'était peut-être un nom, en plus d'être une fête ? Qu’est-ce qu'elle en savait, après tout ? Elle venait de débarquer ici…

« Et comment vous êtes-vous retrouvé à faire ce… travail ? »

Peut-être qu'il était comme Mariko et qu’il travaillait dans l'évènementiel ? Ou comme elle et il s'était fait alpaguer dans le magasin ?

Les deux paires d'ailes de Clochette battirent l'air alors qu'elle se détendait en faisant le massage, provoquant un petit carillon presque sur l'aile de « Jingle Bells ». Les plantes vertes de la pièce semblaient s'orienter vers la fée blonde tandis que la poussière dorée scintillait dans l'air.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Cora Travers le jeudi 18 décembre 2025, 22:38:56 »
L'emménagement avec Ryo me changea pas grand-chose dans la vie de la mutante. Mis à part le fait qu'elle dormait à présent tout le temps avec lui, ils baisaient toujours autant. Elle allait au boulot le cœur léger et le corps délicieusement fourbu. Elle revenait, le plus souvent avant le flic, et préparait souvent le dîner quand ils ne prenaient pas à emporter. Elle avait engagé une entreprise pour faire le ménage dans son appartement avant de finalement rendre les clés.

Côte drogue, fidèle à sa parole, la blonde avait levé le pied. Petit à petit, elle ressentait de moins en moins le besoin d'en prendre. La présence de Ryo l’aidait dans son sevrage (même s'il était celui qui l'y avait initiée en premier lieu). Si, au départ, elle n'était pas forcément rassurée de se balader dans le quartier sans la présence de son amant, elle s'était toutefois détendue. Les habitants la saluait comme si elle vivait là depuis des années. L'un des voisins du flic, Takeshi, était également très sympa avec elle, et elle croisait souvent certains de ses gars qui lui offraient des petits signes amicaux.

Malgré l'attitude qu'elle adoptait, la jeune femme n'était toutefois pas dans le déni : Elle se doutait que Ryo n’était forcément -ou du tout- du « bon » côté de la loi. Et elle avait bien compris que Takeshi ne l'était pas du tout. Mais étant donné la corruptions des élus -Cora occultait soigneusement cette soirée avec le maire-adjoint de sa mémoire-, elle ne pouvait guère les blâmer. Le monde était ainsi fait que tout le monde ne pouvait pas se ranger sous l'étiquette de citoyen modèle.

Concernant son don, la mutante continuait ses expérimentations au boulot. Elle avait même commencé à tester ses capacités avec des invertébrés. Ça ne marchait pas à tous les coups, il fallait qu’elle soit extrêmement concentrée, et ça nécessitait beaucoup plus d'énergie. Mais c'était possible.

Ce soir-là, Ryo n'était pas là. En rentrant, Cora avait décidé de se contenter d'un indien en livraison et s'était ensuite apprêtée pour une soirée en solitaire. Elle avait passé un moment à s'épiler, à faire les soins du corps dont elle était friande pour garder une peau douce et souple, à refaire la teinture rose pâle de ses cheveux… Pour finir, elle avait enfilé l'un des shorts de sport moulant qu’elle avait, une brassière de sport qui compressait comme elle pouvait sa lourde poitrine contre son corps, et s'était motivée à faire des étirements et des abdos dans le salon, devant un film d'aventure qu’elle avait déjà vu mille fois.

Quand on toqua à la porte, la belle enfila son kimono noir en synthétique à peine opaque et serra la ceinture autour de sa taille. Mettant le film en pause tout en se demandant qui ça pouvait bien être, la blonde alla ouvrir la porte.

Offrant un sourire l'homme devant elle, laissant sans s'en rendre compte ses prunelles dériver sur le corps musclé et tatoué, Cora cru reconnaître l'un des gars bossant avec Takeshi. Pour Takeshi, peut-être ? Mmh, oui, sûrement, étant donné ce qu'il disait.

« Bonsoir ! Eh bien… Je n'ai rien de particulier de prévu, non… Mmmh, je prends une douche et j'arrive ? Je viens de faire un peu de sport, donc je voudrais me rafraîchir avant… Disons… Dans 15 minutes ? »

Quand le japonais acquiesça, et lui précisa qu'il n'y avait pas de dress-code, Cora promit de faire au plus vite et referma ensuite la porte du loft.

Éteignant la télé et rangeant rapidement ses affaires de sport, la mutante sauta sous la douche pour se rincer de la sueur avant de choisir une tenue passe-partout. Une jupe plissée noire, un chemisier blanc et une veste de tailleur noire avec des boutons dorés. Le look rappelait un peu les uniformes vus dans les lycées du coin, sans la cravate, les petites chaussures plates et les chaussettes longues. À la place, elle glissa ses pieds dans une paire d'escarpins noirs sobres, le genre qu’elle portait pour aller bosser.

Après avoir séché rapidement ses mèches courtes, et appliqué un soupçon de rouge à lèvre, elle s'occupa de souligner son regard de khôl et d'allonger ses cils avec du mascara. Une touche de parfum floral léger, et la laborantine était prête. Un coup d'œil à la pendule lui apprit qu'elle était pile dans les temps.

C'est donc une Cora plus fraîche qu'un quart d'heure auparavant qui se présenta devant l'appartement de Takeshi, offrant un sourire aux deux gardes qui la laissèrent passer.

« Bonsoir, Takeshi, salua-t-elle en voyant le maître des lieux lever la tête à son approche. Tu avais peur que je dépérisse en l'absence de Ryo ? Plaisanta-t-elle ensuite. »

Elle gratifia Tao, dont elle ignorait encore le nom, d'un nouveau sourire, avant que son regard ne se pose de nouveau sur Takeshi. Elle n'allait pas se mentir, il était vraiment séduisant. Et bien qu'il sache qu'elle était la copine de Ryo, il se montrait toujours assez tactile à son encontre. Même en présence du flic. Cora en avait déduit qu’il était ainsi et, comme ça n'avait pas l'air de déranger son amant outre mesure, elle n'avait jamais relevé. La blonde était, elle-aussi, d'un naturel assez tactile et ça ne l’avait pas choquée plus que ça, si on excluait la touche de lubricité qui pouvait être interprétée dans la façon qu'il avait de laisser ses mains glisser sur sa croupe.
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Le quartier de la Toussaint / Le Seuil des Faux Saints [PV Soeur Maery/Nannaka]
« Dernier message par Elianora Valeris le jeudi 18 décembre 2025, 21:30:02 »
La jeune femme écoute jusqu’au bout. Même lorsque les mots se parent de légèreté, même lorsque l’humour affleure, même lorsque le discours glisse doucement vers l’intime.

Elle ne sourit pas.

Son regard suit Sœur Maery lorsqu’elle s’éloigne, non pas attiré par les mouvements calculés de son corps, mais attentif à ce qu’ils cherchent à provoquer. La démarche. Le rythme. L’exposition partielle, jamais vulgaire. Une liturgie du geste aussi maîtrisée que les prières.

Vous parlez de dompter les passions. reprend-elle enfin.

Sa voix est calme. Trop calme pour être affectée.
Comme si elles étaient des montures sauvages. Indociles par nature. Mais utiles, si l’on sait tenir les rênes.

Katarina baisse brièvement les yeux vers l’hostie toujours intacte dans sa main close.
C’est une vision… confortable.

Un pas. Lent. Mesuré. Elle ne réduit pas réellement la distance, mais modifie l’angle. Toujours ce léger décalage. Jamais dans l’axe.

Vous me prêtez une vulnérabilité que je ne possède pas, ma sœur. Je ne crains pas de rencontrer une “âme sœur”.

La tueuse relève les yeux vers les statues, vers les corps idéalisés figés dans la pierre.
J’ai appris que les concepts trop parfaits servent surtout à désarmer ceux qui y croient.

Un silence. Pas accusateur. Observateur.
Vous dites accueillir sans juger. Offrir un cadre. Poser des limites.

Elle tourne enfin la tête vers la nonne.
Pourtant, tout ici est conçu pour tester ces limites. Pour les effleurer. Les repousser. Les redéfinir.

Sa main se desserre légèrement. L’hostie repose toujours là, intacte.
Ce n’est pas un reproche. C’est un constat.

Katarina incline très légèrement la tête.
Là où je viens, les passions ne sont ni bénies ni condamnées. Elles sont… observées. Et lorsqu’elles deviennent destructrices, on les arrête.

Un battement.
Vous parlez de désirs illégaux qu’il faudrait “purger”. Le mot est intéressant.

Son regard se fait plus aigu, sans dureté.
Dites-moi, ma sœur… lorsque quelqu’un échoue à se contenir ici… lorsque le cadre ne suffit plus…

Elle marque une pause, laissant l’écho de la cathédrale porter la question.
Qui intervient ?

L'intruse à ces lieux ne serre pas l’hostie. Ne la consomme pas. Ne la rend pas non plus.
La Déesse ?

Un léger souffle.
Ou ses serviteurs ?

Le silence retombe, dense, presque respectueux.

Katarina ne bouge pas. Elle attend.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le jeudi 18 décembre 2025, 20:19:55 »
Cypress frémit légèrement à la mention du sang, mais parut toutefois soulagée que Vanessa puisse se nourrir normalement.  Se nourrir tout court, d’ailleurs. Il est vrai que la phrase « être nourrie occasionnellement » l'avait quelque peu inquiétée.

Observant la goule prendre ses cachets, puis leur préparer une boisson chaude, la gorgone apprécia la simple présence de l’assistante du vampire. Non pas qu'elle dédaignait être seule, mais depuis qu'elle se surprenait à apprécier Vanessa, elle comprenait un peu mieux les jeunes de son âge qui passaient leurs temps chez leurs amis.

« Oooh, ça sent délicieusement bon, s'extasia-t-elle en refermant ses doigts autour de la tasse de thé. »

Et c'était délicieux tout court, amenda-t-elle pour elle-même après avoir goûté une gorgée. Il faudrait qu'elle farfouille dans ces herbes pour voir ce qu'il y avait. Vanessa avait peut-être dû le constater en allant chez elle, mais outre son amour pour l’élégance vestimentaire, la gorgone avait probablement plus de variétés de thé que toute autre nourritures. Pas de là à rivaliser avec sa collection de lingerie ou de chaussures, mais quand même. Elle avait un placard entier dédié aux thés, tisanes et infusions.

Relevant la tête alors qu'elle s'était perdue dans la contemplation du liquide fumant, l'étudiante réfléchit un instant à la question posée.

« Oui, vous êtes les premiers êtres surnaturels que je rencontre. Je me doute qu'il y en a tout un florilège, outre les vampires, les goules et les gorgones, mais il ne me semble pas en avoir croisé. »

Buvant une autre gorgée -délicieuse-, la brunette passa une main dans sa crinière détachée, caressant de la pulpe de son index les serpents qui venaient à sa rencontre.

« J'aimerais, un jour, rencontrer mes… cousines, je pense que je peux les appeler. Aucune de mes ancêtres, mis à part Medusa et Ophione, n’a rencontré Stheno ou Euryale. Mais elles sont immortelles, alors elles se sont probablement adaptées avec le temps qui passait. Et le monde est vaste… »

Avec un petit soupir, la jeune femme se reconcentra sur le moment présent. Et alla vérifier autant la température du four que le temps qui était passé. Encore un peu, et elle baisserait le thermostat.

« Et vous ? En avez-vous rencontré beaucoup, des êtres surnaturels ? »
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One Shot / Re : Un malentendu plus que bienvenu (PV - Naughty Elfette)
« Dernier message par Le père noël le jeudi 18 décembre 2025, 18:52:46 »
Vraiment ? Un roi ? Même si il ne fait pas de doute qu'elle le formule ainsi pour rester dans son rôle, la chose reste agréable à entendre. Et sur le moment je m'attends à un petit massage tout simple sans avoir à me déplacer juste histoire de passer le temps. Jamais de la vie je me serais attendu à ce qu'on me propose d'aller dans une autre pièce pour en avoir un complet comme si j'avais pris rendez-vous dans un salon.

En tout cas il ne faudra pas compter sur moi pour aller à l'encontre de cette jeune femme pleine d'enthousiasme. Voir des gens aussi heureux et souriants à cette période de l'année donne du baume au coeur. Et encore plus quand elles sont agréables pour les yeux. Cette idée de massage ne semble pas si stupide finalement. Du moins jusqu'à ce que quelqu'un décide de mettre son grain de sel en venant cherchant l'une de mes elfes.
A croire qu'on m'aurait menti. Pourquoi est-ce qu'elle doit partir alors qu'elle est censée être à mon service ? Quel malheur... Ca ne fait plus aucun doute qu'on me veut du mal en m'empêchant de profiter d'un petit moment tranquille à me détendre.

Sans trop savoir ce qu'il adviendra de cette histoire de massage, je décide quand même d'enlever le haut du costume pour m'allonger sur la table indiquée par la japonaise. Au pire des cas je pourrais toujours faire un petit somme pour me détendre d'une autre façon.
Sauf qu'à ma grande surprise l'adorable blondinette au visage d'ange décide de reprendre là où s'est arrêtée sa collègue. Sur le moment je ne m'en étais pas rendu compte vu que tout le monde passait à côté d'elle sans se retourner. Peut-être qu'ils n'ont pas fait attention car trop occupés à finir leurs tâches dans l'urgence. Les traits de son visage, son regard, sa petite bouche ou encore sa chevelure brillante. Elle est d'une beauté qu'on ne croise que très rarement. Et encore moins au Japon.

Alors que je suis tranquillement installé, je peux sentir de petites mains froides se poser sur ma peau alors que je tente de lui répondre « C'est très gentil, mais je n'ai pas de hoooouuuuu- ». Les plus gros muscles du monde ne peuvent rien faire contre une sensation pareille et ce n'est pas comme si j'avais une raison de le cacher. Mon esprit s'envole d'un coup et les mots sortent de ma bouche sans que je n'y fasse attention « Comme ça soulage... Ca fait longtemps que je n'avais pas fait ça et tu as l'air d'avoir des doigts de fée. On ne te l'a jamais dit ?»

Puis un long soupir de soulagement s'échappe d'entre mes lèvres alors que je regarde fixement la porte tout en espérant qu'elle ne s'ouvre plus jamais. Qu'on me laisse ici, qu'on m'abandonne entre les mains expertes de cette jeune inconnue qui va me faire fondre sur cette petite table qui ne supportera jamais moins point plus de quelques heures. Laissez la gravité faire son œuvre le moment venu du moment que je peux me détendre.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Le Seuil des Faux Saints [PV Soeur Maery/Nannaka]
« Dernier message par Nannaka / Soeur Maery le jeudi 18 décembre 2025, 18:40:59 »
La conversation tournait un peu en rond comme une athée essayant de piégé un religieux sur les zones d’ombres de sa Foi, ce petit jeu ne déplaisait pas à Nannaka car cela était un exercice assez courant mais il ne faudrait qu’elle perdre patience non plus. Le culte dont faisait l’objet Nannaka était aussi multiple que les peuples ayant décidé de la vénérer au fil du temps et des lieux, quelle soit perçu comme une divinité bonne ou mauvaise le socle commun était son appétence pour les passions de la chair. La question sur les non-humains ressemblait à un piège, il y en avait un certains nombre à Seikusu mais ils vivaient souvent en marge en essayant de ne pas attirer l’attention :

« Malheureusement, nous n’organisons pas d’orgie aujourd’hui c’est pourquoi le lieu est silencieux, si vous voulez participer vous aurez besoin du petit boost que je vous ai précédemment proposé. Quand aux non-humains, la Déesse est une divinité d’amour alors s’ils existent les accueilleraient sans mal. »

Elle avait énoncer la partie sur l’orgie d’un tout à moitié blagueur, de quoi laisser planer le doute sur si ce genre de pratique pouvait effectivement avoir lieu ici, elle lui avait également retendu une hostie pour l’occasion. Même si l’autre femme était une humaine, elle ne savait pas d’où elle venait même si son comportement à se méfier de tout en lançant de vifs coup d’oeil à chaque recoin de la cathédrale donnait des indices.

« Au contraire de vous, nous considérons les passions comme des forces. Les refouler est source de souffrance invraisemblablement elles finissent par arriver sans prévenir. Apprendre à les dompter, là réside la vrai force. Que ferez vous demain vous rencontrez votre âme sœur ? Le genre de personne si compatible qu’elle peut briser toute vos barrières mentales, à ce moment là vous serez prise au dépourvu et là vous serez effectivement en position de faiblesse. »

Les princes charmants qui se transformaient en véritable tyran manipulateur, elles en avaient vu beaucoup, elle en avait aussi créer beaucoup et elle savait que même la plus forte des femmes pouvaient tomber dans ce piège, c’était d’ailleurs un de ses plaisirs.

« Je ne fais que répondre à vos questions en vous exposant ma Foi. Si je vous convainc c’est que votre cœur sait que notre cause n’est pas malfaisante. Comme tous les cultes, nous avons des interdits et des recommandations, très peu d’obligation. »

Elle ouvre les bras pour désigner les différentes statues, chacune plus explicites que les autres :

« Ne pas avoir honte de ce que l’on ressent. Quelqu’un vous attire, allez le lui dire et acceptez sa réponse. Même si la déesse pardonne les passions les plus immorales, elles sont tout de même soumis à l’obligation de les restreindre et de les purger lorsqu’elles sont illégales dans le monde des Hommes. »

Elle se retourne pour remonter le chemin vers l’autel central, chacun de ses pas gracieux faisaient rebondir son fessier sous sa robe, comme l’avait fait la descente des marches avec sa poitrine un peu plus tôt, ce n’était évidemment pas des coïncidences. Malgré son habits dissimulant ses formes, elle avait tout de même de quoi aider à susciter le désir :

« En somme nous avons une ligne de conduite assez simple. Accepter et comprendre ses désirs est plutôt sain pour se connaître et vivre en harmonie avec le monde. Nous ne condamnons ni infidélité, ni aucunes pratiques spécifiques tant que cela va dans le sens des différents protagonistes impliqués, il en va de soi. »

Un culte des plus vertueux en somme que tout le monde peut suivre sans soucis, c’était bien pour cela qu’à chaque fois qu’elle retournait sur un des lieux la vénérant elle était surpris d’avoir toujours plus de fidèle sans n’avoir rien à faire. Nannaka ajoutait simplement le piquant qui manquait pour son propre plaisir, même si cela pouvait également l’amuser de jouer la déesse réellement bienveillante de temps en temps mais ça ne durait pas longtemps.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le jeudi 18 décembre 2025, 18:28:22 »
L'héroïne blonde ne pouvait s'empêcher d'apprécier le corps de Tank a travers le reflet du miroir devant lequel elle se brossait et tressait les cheveux pour éviter les nœuds. Elle ne pouvait s’empêcher d'apprécier la puissance contenue qui émanait de lui, sa présence dans ces lieux intimes. La main du colosse contre sa hanche, couvrant une partie du dos et de son ventre en même temps, la faisait frissonner délicieusement. Regardant dans le miroir -large et haut, il pouvait aisément se voir dedans- elle lui offrit un sourire alors qu'elle énumérait ce qu'elle avait en stock pour manger. Un petit gloussement salua la claque sur son cul, et la réponse du malfrat.

« Un repas surprise, c'est noté !, ricana-t-elle, à moitié tentée de lui dire de s'allonger sur le canapé et de lui laper la chatte. »

Tandis que le géant criminel se dirigeait dans le salon, Présage termina de se sécher et enfila un petit kimono noir en synthétique. Nouant la ceinture à sa taille pour que les pans couvre sa poitrine et le devant de son corps jusqu’à mi-cuisse, elle glissa ses pieds nus dans des claquettes estivales qu'elle utilisait comme chausson avant de se pencher pour retirer tout les objets accrochés à son costume, les déposant dans un tiroir, et de jeter le tissu ruiné dans la poubelle.

Une fois dans la cuisine, elle ouvrit le frigo d'un air songeur. Puis ses prunelles s'illuminèrent alors qu'elles se posaient sur des bols en terre cuite vernie remplis de stovies préparé dans le weekend. Les sortant du frigo, elle alluma le four et arrangea les deux bols dedans.

Passant la tête dans le couloir, elle avait une vue imprenable sur le salon et constata que Tank avait trouvé la télé et s'occupait en regardant ce qui passait aux infos. Satisfaite, elle prépara des langoustines avec de la mayonnaise maison pour l’entrée, et apporta des couverts ainsi que deux petites assiettes sur la table basse.

« Langoustines en entrée, déclama-t-elle théâtralement en prenant place à ses côtés. Bon appétit ! »

Avec entrain, elle dévora les langoustines déjà décortiquées, regardant parfois la télé mais observant surtout la réaction du colosse. Quand les assiettes furent nettoyées, et que le four déclara que le repas était chaud par un petit « ding » audible du salon, elle se leva, ramenant la vaisselle sale, et ne tarda pas à revenir avec les deux bols fumants.

« Je ne sais pas si tu as déjà goûté des stovies, mais celui-là c’est la recette de ma grand-mère. Pommes de terre, oignons, agneau, mariné dans de la bière brune. Un délice ! »

Et Calamity lui pose le bol devant lui, avant d’ajouter un « Attention, c’est chaud, le bol était dans le four aussi ! » en retirant les épais gants ignifugés qu’elle avait jusque-là.

Quant au dessert, elle avait quelques glaces au congélateur, un gâteau aux quatre épices à peine entamé, de la chantilly et du coulis de chocolat dans les placards…
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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Le père noël le jeudi 18 décembre 2025, 18:08:29 »
Je trouve bien plus amusant de fourrer huit fois mes doigts dans une bouche.  :kappa:
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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Séliane Noctelume le jeudi 18 décembre 2025, 16:43:33 »
Tourner SEPT  fois sa langue dans sa bouche avant de parler.
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