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Le quartier de la Toussaint / Re : Le Seuil des Faux Saints [PV Soeur Maery/Nannaka]
« Dernier message par Nannaka / Soeur Maery le jeudi 18 décembre 2025, 23:54:21 »Nannaka ne se pressait pas car elle savait que d’une manière ou d’une autre, elle finirait par avoir ce qu’elle voulait et le fait que l’inconnue dont elle ne connaissait pas encore le nom avait pris l’hostie jouait en sa faveur. Sa magie n’avait pas forcément besoin d’être ingérée pour fonctionner, cela fonctionnait mieux car la quantité était limité mais le simple contact prolongé permettait aussi de la faire pénétrer.
Elle restait dos à l’autre femme pour pratiquer ses gestes cérémoniels en l’écoutant, se priver des passions n’était clairement pas un chemin à suivre pour espérer s’opposer à elle au contraire. Comme elle lui avait dit, que ferait elle si un jour elle vit quelque chose de si fort que son détachement ne suffit plus, en bonne joueuse Nannaka pourrait lui en faire la démonstration immédiatement, le petit biscuit de messe n’est qu’un outil et elle pouvait s’en passer. Elle pourrait facilement la submerger de désirs du plus doux au plus malsain, cela l’amuserait beaucoup comme expérience :
« Croyez vous que les dieux existent vraiment ou que ce sont juste de belles histoires que l’on raconte pour le besoin d’un culte ? Si l’on considère les passions interdites comme des maladies alors il faut soigner la personne qui en souffre. En tant que prêtresse, il m’a été confier le savoir permettant de le faire, par ma main c’est la Déesse qui retire cette passion impure aux yeux des hommes. »
Tout comme elle pouvait créer les passions, elle pouvait les faire disparaître totalement et pour de vrai, bien plus définitivement que tout ce que l’inconnue avait pu apprendre comme moyen de le faire. Mais il était clair dans ses propos que c’était le culte qui s’adaptait à la loi des hommes et que même les plus obscures des pratiques ne le dérangeait pas dans le fond et c’était bien le cas. Nannaka se fichait bien de la soit-disant morale des insectes que constituait la race humaine, ses victimes n’ont pour la plupart ni de genre, ni de nom ni d’âge, ce ne sont que des jouets ou de la nourriture.
Toujours dos à l’inconnu elle prend un bol de craie et dessine des symboles sur la statue reposant sur l’autel, au niveau du bas-ventre, cela ressemblait beaucoup aux « tatouage d’uterus » qui pullulait dans les hentai ces derniers temps lorsqu’il y avait de la magie dans le concept :
« Sans le savoir, beaucoup de gens connaissent nos symboles. Celui là permets de retirer aux hommes leurs passions incestueuses par exemple. »
Elle se retourne, bol à la main :
« Si vous voulez vraiment être immunisée à toutes passions, je peux vous les exorciser. »
Elle était sérieuse même si ce n’était clairement pas un exorcisme qu’elle pratiquerait si son interlocutrice acceptait.
Elle restait dos à l’autre femme pour pratiquer ses gestes cérémoniels en l’écoutant, se priver des passions n’était clairement pas un chemin à suivre pour espérer s’opposer à elle au contraire. Comme elle lui avait dit, que ferait elle si un jour elle vit quelque chose de si fort que son détachement ne suffit plus, en bonne joueuse Nannaka pourrait lui en faire la démonstration immédiatement, le petit biscuit de messe n’est qu’un outil et elle pouvait s’en passer. Elle pourrait facilement la submerger de désirs du plus doux au plus malsain, cela l’amuserait beaucoup comme expérience :
« Croyez vous que les dieux existent vraiment ou que ce sont juste de belles histoires que l’on raconte pour le besoin d’un culte ? Si l’on considère les passions interdites comme des maladies alors il faut soigner la personne qui en souffre. En tant que prêtresse, il m’a été confier le savoir permettant de le faire, par ma main c’est la Déesse qui retire cette passion impure aux yeux des hommes. »
Tout comme elle pouvait créer les passions, elle pouvait les faire disparaître totalement et pour de vrai, bien plus définitivement que tout ce que l’inconnue avait pu apprendre comme moyen de le faire. Mais il était clair dans ses propos que c’était le culte qui s’adaptait à la loi des hommes et que même les plus obscures des pratiques ne le dérangeait pas dans le fond et c’était bien le cas. Nannaka se fichait bien de la soit-disant morale des insectes que constituait la race humaine, ses victimes n’ont pour la plupart ni de genre, ni de nom ni d’âge, ce ne sont que des jouets ou de la nourriture.
Toujours dos à l’inconnu elle prend un bol de craie et dessine des symboles sur la statue reposant sur l’autel, au niveau du bas-ventre, cela ressemblait beaucoup aux « tatouage d’uterus » qui pullulait dans les hentai ces derniers temps lorsqu’il y avait de la magie dans le concept :
« Sans le savoir, beaucoup de gens connaissent nos symboles. Celui là permets de retirer aux hommes leurs passions incestueuses par exemple. »
Elle se retourne, bol à la main :
« Si vous voulez vraiment être immunisée à toutes passions, je peux vous les exorciser. »
Elle était sérieuse même si ce n’était clairement pas un exorcisme qu’elle pratiquerait si son interlocutrice acceptait.









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