21
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le mardi 09 décembre 2025, 07:01:49 »Jamais de ma vie je ne m'étais retrouvé dans un état d'excitation comme celui qui me guide ce soir. Il faut dire que ce n'est pas tous les quatre matins qu'on fini une journée avec une nympho qui s'accroche à vos épaules comme si rester plantée sur votre bite était vitale pour elle. Car c'est l'impression qu'elle est en train de me donner au fil des minutes.
A chaque fois que je retire ma queue d'un de ses trous, je peux remarquer le changement d'expression sur son visage. Il y a plus qu'une déception. On dirait un manque. Ma bite est sur le point de devenir sa drogue favorite. Si je joue bien mes cartes ce soir, ce sont les prochains mois... Ou même les prochaines années qui seront bien différentes de ce que j'avais pu m'imaginer.
Sur le trajet qu'elle me détaille, je m'amuse à la faire balancer à des rythmes différents sur mon membre sans y aller trop fort. Pas par considération pour elle ou par peur de nous faire remarquer. Juste pour la faire patienter et garder les sensations les plus puissantes pour le moment opportun. Comme celui qui semble me tendre les bras maintenant que nous sommes en bas de chez elle.
Elle n'avait pas besoin de me balancer ce sous-entendu car quelque chose a fait tilt dans ma tête dès qu'elle a parlé d'ascenseur. On parle d'un vieux fantasme commun à tout un tas de personnes dont je fais partie. Ainsi qu'elle visiblement. Et vu qu'elle a fait exprès de taper son code d'entrée sous mes yeux, elle doit espérer que cette scène se produise régulièrement à l'avenir.
Ma main droite qui était restée collée à son petit cul tout se temps s'en éloigne un bref moment pour appeler l'ascenseur qui descend tranquillement pour retourner tout aussi vite à sa place initiale. Pas pour la maintenir en place, mais pour soulever son corps lentement dans les airs. Sa petite fente humide réagit de la même manière que sa bouche en tentant de me retenir en m'aspirant et en s'agrippant sur mon chibre épais et pulsant d'envie sans pour autant réussir à le garder en elle.
Vraiment ! C'est la première fois que je vois ma bite dans cet état. Elle est tellement dure et raide comme un piquet. Si épaisse et pulsante d'envie tout en étant couverte d'une épaisse couche de mouille après avoir passé tout ce temps au chaud. Si je remue les hanches rapidement on pourrait sans doute l'entendre fendre l'air.
La blonde repose les pieds au sol en même temps que les portes ne s'ouvrent devant nous et je la fait entrer immédiatement en posant une main sur son épaulealors que l'autre soulève sa cape pour la faire tomber sur une partie de sa poitrine.
- Apuie pas tout de suite.
Il y a assez d'espace pour accueillir au moins une dizaine de personnes là-dedans. Et il a de grands miroir de chaque côté avec des rembardes de sécurité. Certains de ses voisins ont du la mater en douce de temps en temps en espérant être discrets. Une discrétion qu'on va jeter aux ordures ce soir.
Sa cape retournée, ma main vient claquer sa fesse droite avec fermeté pendant que je pousse avec l'autre sur son épaule pour la faire se pencher en avant de quelques centimètres. Elle est brûlante d'envie et veut s'envoler vers un autre orgasme au plus vite. Je commence à sentir ces choses après l'avoir vu prendre son pied plusieurs fois ce soir. C'est pourquoi je vais jouer un peu avec elle avant de m'y remettre.
Durant une bonne vingtaine de secondes je me contente de laisser ma main pétrir et caresser son petit cul rond. Ponctuant la chose de petites tapes dessus pour la faire réagir autant que possible.
L'entendre gémir, en se laissant faire au bout de mes doigts, est tellement agréable que je ne pourrais sans doute jamais m'en lasser. Et sa frustration va perdurer aussi longtemps que mon bon vouloir en aura décidé. Mais je ne suis pas un monstre pour autant. C'est pourquoi je décide de rester dans son dos pendant que trois doigts viennent s'infiltrer dans sa chatte humide pendant que ma large paume se frotte contre ses fesses de haut en bas.
- Regarde-toi ! Le regard voilé par l'envie de sexe pendant que tu te fais doigter dans l'ascenseur que tu prends tous les jours.
C'est que je commence à y prendre goût également. Ce petit jeu m'excite terriblement alors que je découvre une facette de ma personnalité dont j'ignorais tout jusque là. Pas comme elle qui est une nympho de bout en bout. D'ailleurs mes doigts s'amusent à s'insérer plus loin et plus rapidement en elle à chaque seconde. Sur la fin c'est même mon pouce qui vient rejoindre la fête en effleurant son oeillet. Il s'y frotte d'abord. Puis il appuie dessus juste ce qu'il faut pour le provoquer sans y pénétrer.
- Désormais, chaque fois que tu regarderas ton reflet ici, c'est ce visage que tu verras. Et tu te souviendras de la sensation de mes doigts en toi. Remuant au fond de ta chatte trempée. Jouant avec l'entrée de ton anus.
Ce n'est qu'à force de répéter la chose que cela s'imprimera dans son esprit. Il faudra donc que je pense à passer la voir régulièrement pour jouer avec elle ici même. Jusqu'au point où elle se mettra à mouiller rien qu'en entendant les portes de l'ascenseur s'ouvrir.
Deux minutes se sont écoulées maintenant et je pense qu'il est temps de monter chez elle.
- Vas-y, appuie sur le bouton si tu y arrives.
Cette simple tâche n'est pas si facile pour elle vu que je ne la laisse pas faire facilement. Mes mains ne cessent de la malmener pour lui compliquer la vie jusqu'à ce qu'elle réussise, que les portes se ferment et que l'on parvienne au 6ème étage.
A peine arrivés à l'intérieur de l'appartement tout s'enchaîne très rapidement. Il fait sombre à l'intérieur et pourtant ce n'est pas ce qui m'empêche de lui saisir les poignets et les maintenir en l'air tout en la plaquant contre le premier mur disponible après avoir fait claquer la porte derrière nous d'un geste du pied.
Mon autre main vient saisir ma bite et la diriger de nouveau en elle. L'entrée se fait sans aucune difficulté de toute manière. Le temps a fini par modeler sa fente aux dimensions de ma queue en même temps.
- Merde ! Ma bite devait te manquer. Tu es en train de l'écraser. Quelle salope !
L'envie de la prendre comme ça doit la surprendre autant que moi. Jusque là j'ai pu me contrôler sans trop de difficulté. Me savoir chez elle avec ce sentiment de toute-puissance est tellement grisant que je n'ai pas cherché à réfléchir. Pour le moment je vais juste profiter et voir où ça va nous mener les prochaines minutes.
A chaque fois que je retire ma queue d'un de ses trous, je peux remarquer le changement d'expression sur son visage. Il y a plus qu'une déception. On dirait un manque. Ma bite est sur le point de devenir sa drogue favorite. Si je joue bien mes cartes ce soir, ce sont les prochains mois... Ou même les prochaines années qui seront bien différentes de ce que j'avais pu m'imaginer.
Sur le trajet qu'elle me détaille, je m'amuse à la faire balancer à des rythmes différents sur mon membre sans y aller trop fort. Pas par considération pour elle ou par peur de nous faire remarquer. Juste pour la faire patienter et garder les sensations les plus puissantes pour le moment opportun. Comme celui qui semble me tendre les bras maintenant que nous sommes en bas de chez elle.
Elle n'avait pas besoin de me balancer ce sous-entendu car quelque chose a fait tilt dans ma tête dès qu'elle a parlé d'ascenseur. On parle d'un vieux fantasme commun à tout un tas de personnes dont je fais partie. Ainsi qu'elle visiblement. Et vu qu'elle a fait exprès de taper son code d'entrée sous mes yeux, elle doit espérer que cette scène se produise régulièrement à l'avenir.
Ma main droite qui était restée collée à son petit cul tout se temps s'en éloigne un bref moment pour appeler l'ascenseur qui descend tranquillement pour retourner tout aussi vite à sa place initiale. Pas pour la maintenir en place, mais pour soulever son corps lentement dans les airs. Sa petite fente humide réagit de la même manière que sa bouche en tentant de me retenir en m'aspirant et en s'agrippant sur mon chibre épais et pulsant d'envie sans pour autant réussir à le garder en elle.
Vraiment ! C'est la première fois que je vois ma bite dans cet état. Elle est tellement dure et raide comme un piquet. Si épaisse et pulsante d'envie tout en étant couverte d'une épaisse couche de mouille après avoir passé tout ce temps au chaud. Si je remue les hanches rapidement on pourrait sans doute l'entendre fendre l'air.
La blonde repose les pieds au sol en même temps que les portes ne s'ouvrent devant nous et je la fait entrer immédiatement en posant une main sur son épaulealors que l'autre soulève sa cape pour la faire tomber sur une partie de sa poitrine.
- Apuie pas tout de suite.
Il y a assez d'espace pour accueillir au moins une dizaine de personnes là-dedans. Et il a de grands miroir de chaque côté avec des rembardes de sécurité. Certains de ses voisins ont du la mater en douce de temps en temps en espérant être discrets. Une discrétion qu'on va jeter aux ordures ce soir.
Sa cape retournée, ma main vient claquer sa fesse droite avec fermeté pendant que je pousse avec l'autre sur son épaule pour la faire se pencher en avant de quelques centimètres. Elle est brûlante d'envie et veut s'envoler vers un autre orgasme au plus vite. Je commence à sentir ces choses après l'avoir vu prendre son pied plusieurs fois ce soir. C'est pourquoi je vais jouer un peu avec elle avant de m'y remettre.
Durant une bonne vingtaine de secondes je me contente de laisser ma main pétrir et caresser son petit cul rond. Ponctuant la chose de petites tapes dessus pour la faire réagir autant que possible.
L'entendre gémir, en se laissant faire au bout de mes doigts, est tellement agréable que je ne pourrais sans doute jamais m'en lasser. Et sa frustration va perdurer aussi longtemps que mon bon vouloir en aura décidé. Mais je ne suis pas un monstre pour autant. C'est pourquoi je décide de rester dans son dos pendant que trois doigts viennent s'infiltrer dans sa chatte humide pendant que ma large paume se frotte contre ses fesses de haut en bas.
- Regarde-toi ! Le regard voilé par l'envie de sexe pendant que tu te fais doigter dans l'ascenseur que tu prends tous les jours.
C'est que je commence à y prendre goût également. Ce petit jeu m'excite terriblement alors que je découvre une facette de ma personnalité dont j'ignorais tout jusque là. Pas comme elle qui est une nympho de bout en bout. D'ailleurs mes doigts s'amusent à s'insérer plus loin et plus rapidement en elle à chaque seconde. Sur la fin c'est même mon pouce qui vient rejoindre la fête en effleurant son oeillet. Il s'y frotte d'abord. Puis il appuie dessus juste ce qu'il faut pour le provoquer sans y pénétrer.
- Désormais, chaque fois que tu regarderas ton reflet ici, c'est ce visage que tu verras. Et tu te souviendras de la sensation de mes doigts en toi. Remuant au fond de ta chatte trempée. Jouant avec l'entrée de ton anus.
Ce n'est qu'à force de répéter la chose que cela s'imprimera dans son esprit. Il faudra donc que je pense à passer la voir régulièrement pour jouer avec elle ici même. Jusqu'au point où elle se mettra à mouiller rien qu'en entendant les portes de l'ascenseur s'ouvrir.
Deux minutes se sont écoulées maintenant et je pense qu'il est temps de monter chez elle.
- Vas-y, appuie sur le bouton si tu y arrives.
Cette simple tâche n'est pas si facile pour elle vu que je ne la laisse pas faire facilement. Mes mains ne cessent de la malmener pour lui compliquer la vie jusqu'à ce qu'elle réussise, que les portes se ferment et que l'on parvienne au 6ème étage.
A peine arrivés à l'intérieur de l'appartement tout s'enchaîne très rapidement. Il fait sombre à l'intérieur et pourtant ce n'est pas ce qui m'empêche de lui saisir les poignets et les maintenir en l'air tout en la plaquant contre le premier mur disponible après avoir fait claquer la porte derrière nous d'un geste du pied.
Mon autre main vient saisir ma bite et la diriger de nouveau en elle. L'entrée se fait sans aucune difficulté de toute manière. Le temps a fini par modeler sa fente aux dimensions de ma queue en même temps.
- Merde ! Ma bite devait te manquer. Tu es en train de l'écraser. Quelle salope !
L'envie de la prendre comme ça doit la surprendre autant que moi. Jusque là j'ai pu me contrôler sans trop de difficulté. Me savoir chez elle avec ce sentiment de toute-puissance est tellement grisant que je n'ai pas cherché à réfléchir. Pour le moment je vais juste profiter et voir où ça va nous mener les prochaines minutes.









Messages récents

