Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le mardi 09 décembre 2025, 07:01:49 »
Jamais de ma vie je ne m'étais retrouvé dans un état d'excitation comme celui qui me guide ce soir. Il faut dire que ce n'est pas tous les quatre matins qu'on fini une journée avec une nympho qui s'accroche à vos épaules comme si rester plantée sur votre bite était vitale pour elle. Car c'est l'impression qu'elle est en train de me donner au fil des minutes.

A chaque fois que je retire ma queue d'un de ses trous, je peux remarquer le changement d'expression sur son visage. Il y a plus qu'une déception. On dirait un manque. Ma bite est sur le point de devenir sa drogue favorite. Si je joue bien mes cartes ce soir, ce sont les prochains mois... Ou même les prochaines années qui seront bien différentes de ce que j'avais pu m'imaginer.

Sur le trajet qu'elle me détaille, je m'amuse à la faire balancer à des rythmes différents sur mon membre sans y aller trop fort. Pas par considération pour elle ou par peur de nous faire remarquer. Juste pour la faire patienter et garder les sensations les plus puissantes pour le moment opportun. Comme celui qui semble me tendre les bras maintenant que nous sommes en bas de chez elle.

Elle n'avait pas besoin de me balancer ce sous-entendu car quelque chose a fait tilt dans ma tête dès qu'elle a parlé d'ascenseur. On parle d'un vieux fantasme commun à tout un tas de personnes dont je fais partie. Ainsi qu'elle visiblement. Et vu qu'elle a fait exprès de taper son code d'entrée sous mes yeux, elle doit espérer que cette scène se produise régulièrement à l'avenir.

Ma main droite qui était restée collée à son petit cul tout se temps s'en éloigne un bref moment pour appeler l'ascenseur qui descend tranquillement pour retourner tout aussi vite à sa place initiale. Pas pour la maintenir en place, mais pour soulever son corps lentement dans les airs. Sa petite fente humide réagit de la même manière que sa bouche en tentant de me retenir en m'aspirant et en s'agrippant sur mon chibre épais et pulsant d'envie sans pour autant réussir à le garder en elle.

Vraiment ! C'est la première fois que je vois ma bite dans cet état. Elle est tellement dure et raide comme un piquet. Si épaisse et pulsante d'envie tout en étant couverte d'une épaisse couche de mouille après avoir passé tout ce temps au chaud. Si je remue les hanches rapidement on pourrait sans doute l'entendre fendre l'air.

La blonde repose les pieds au sol en même temps que les portes ne s'ouvrent devant nous et je la fait entrer immédiatement en posant une main sur son épaulealors que l'autre soulève sa cape pour la faire tomber sur une partie de sa poitrine.


- Apuie pas tout de suite.


Il y a assez d'espace pour accueillir au moins une dizaine de personnes là-dedans. Et il a de grands miroir de chaque côté avec des rembardes de sécurité. Certains de ses voisins ont du la mater en douce de temps en temps en espérant être discrets. Une discrétion qu'on va jeter aux ordures ce soir.

Sa cape retournée, ma main vient claquer sa fesse droite avec fermeté pendant que je pousse avec l'autre sur son épaule pour la faire se pencher en avant de quelques centimètres. Elle est brûlante d'envie et veut s'envoler vers un autre orgasme au plus vite. Je commence à sentir ces choses après l'avoir vu prendre son pied plusieurs fois ce soir. C'est pourquoi je vais jouer un peu avec elle avant de m'y remettre.

Durant une bonne vingtaine de secondes je me contente de laisser ma main pétrir et caresser son petit cul rond. Ponctuant la chose de petites tapes dessus pour la faire réagir autant que possible.
L'entendre gémir, en se laissant faire au bout de mes doigts, est tellement agréable que je ne pourrais sans doute jamais m'en lasser. Et sa frustration va perdurer aussi longtemps que mon bon vouloir en aura décidé. Mais je ne suis pas un monstre pour autant. C'est pourquoi je décide de rester dans son dos pendant que trois doigts viennent s'infiltrer dans sa chatte humide pendant que ma large paume se frotte contre ses fesses de haut en bas.


- Regarde-toi ! Le regard voilé par l'envie de sexe pendant que tu te fais doigter dans l'ascenseur que tu prends tous les jours.


C'est que je commence à y prendre goût également. Ce petit jeu m'excite terriblement alors que je découvre une facette de ma personnalité dont j'ignorais tout jusque là. Pas comme elle qui est une nympho de bout en bout. D'ailleurs mes doigts s'amusent à s'insérer plus loin et plus rapidement en elle à chaque seconde. Sur la fin c'est même mon pouce qui vient rejoindre la fête en effleurant son oeillet. Il s'y frotte d'abord. Puis il appuie dessus juste ce qu'il faut pour le provoquer sans y pénétrer.


- Désormais, chaque fois que tu regarderas ton reflet ici, c'est ce visage que tu verras. Et tu te souviendras de la sensation de mes doigts en toi. Remuant au fond de ta chatte trempée. Jouant avec l'entrée de ton anus.


Ce n'est qu'à force de répéter la chose que cela s'imprimera dans son esprit. Il faudra donc que je pense à passer la voir régulièrement pour jouer avec elle ici même. Jusqu'au point où elle se mettra à mouiller rien qu'en entendant les portes de l'ascenseur s'ouvrir.

Deux minutes se sont écoulées maintenant et je pense qu'il est temps de monter chez elle.


- Vas-y, appuie sur le bouton si tu y arrives.


Cette simple tâche n'est pas si facile pour elle vu que je ne la laisse pas faire facilement. Mes mains ne cessent de la malmener pour lui compliquer la vie jusqu'à ce qu'elle réussise, que les portes se ferment et que l'on parvienne au 6ème étage.

A peine arrivés à l'intérieur de l'appartement tout s'enchaîne très rapidement. Il fait sombre à l'intérieur et pourtant ce n'est pas ce qui m'empêche de lui saisir les poignets et les maintenir en l'air tout en la plaquant contre le premier mur disponible après avoir fait claquer la porte derrière nous d'un geste du pied.
Mon autre main vient saisir ma bite et la diriger de nouveau en elle. L'entrée se fait sans aucune difficulté de toute manière. Le temps a fini par modeler sa fente aux dimensions de ma queue en même temps.


- Merde ! Ma bite devait te manquer. Tu es en train de l'écraser. Quelle salope !


L'envie de la prendre comme ça doit la surprendre autant que moi. Jusque là j'ai pu me contrôler sans trop de difficulté. Me savoir chez elle avec ce sentiment de toute-puissance est tellement grisant que je n'ai pas cherché à réfléchir. Pour le moment je vais juste profiter et voir où ça va nous mener les prochaines minutes.
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Prélude / Re : Déesse pardonne-lui, il n'a pas encore péché.
« Dernier message par Randal Dragunov le mardi 09 décembre 2025, 06:11:42 »
Ah oui, quand même...  ::)

Bienvenue dans le coin !  :)
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Prélude / Déesse, pardonne-lui, il n'a pas encore péché [Validée]
« Dernier message par Nannaka / Soeur Maery le mardi 09 décembre 2025, 00:47:49 »
Identité : Nannaka et Soeur Maery
Âge : Ancestral mais physiquement 20 ans
Sexe : femme
Race : Déesse-démon (Dieu ou Avatar)
Sexualité : Tout ce qui bouge

Physique :

De longs cheveux bruns descendant jusqu’aux fesses c’est la chevelure que partage Nannaka et Maery, la première les laisse détachés et libres tandis que la seconde les cache la majeure partie du temps sous le voile de sa tenue de nonne. Une autre chose que partage les deux apparences de la démone est son corps, un petit bout de femme d’un mètre cinquante aux formes généreuses, ses hanches larges et son fessier bien développé semblent assez harmonieux mais sa voluptueuse poitrine est quant à elle quelque peu disproportionnée lorsque l’on regarde ce petit corps mais c’est également ce qui attire l’œil. Un corps fait pour susciter le désir sans avoir besoin d’utiliser ses pouvoirs. Maery a les yeux verts là où Nannaka a les yeux rouges,de plus pour ajouter à l’aspect mignon de Maery elle porte de larges lunettes rondes dont elle n’a clairement pas besoin mais cela sublime le visage niais et innocent de la jeune nonne qui a la particularité d’être éternellement vierge.

Évidemment, ce qui est le plus visible dans la différence entre Nannaka et Maery c’est sa couleur de peau, la où la petite nonne fragile a une douce peau de lait, la démone quant à elle a la peau chocolat. Nannaka possède également deux grosses cornes sur le haut de la tête mais ce qu’elle aime faire apparaitre en premier lorsqu’elle se transforme c’est la longue queue qu’elle peut contrôler à sa guise avec pour particularité son extrémité encore plus large pouvant s’ouvrir, parfait pour s’occuper des femmes comme des hommes, cette queue ressemble bien plus à un tentacule de monstre qu'à la queue d’un démon mais c’est la partie de son corps qu’elle préfère.


Caractère :

Contrairement à ce que l‘on pourrait penser Nannaka et Maery ne sont pas un dédoublement de personnalité, ce sont bien une seule et unique personne, la différence de caractère entre les deux tient simplement au fait que Nannaka est une très bonne actrice. En tant que démone Nannaka est une personne arrogante, ce n’est pas simplement dû à sa condition de démon mais également car elle est véritablement un être puissant. Les mortels, les races inférieures et une grande majorité des anges et démons ne sont que des insectes pour elle, des jouets qu’elle aime maltraiter. La violence est dans sa nature, une véritable sadique prenant un malin plaisir à tourmenter ses victimes, les faire souffrir à s’en délecter. Lorsque Nannaka est là, il n’y a aucun moyen de lui échapper que vous ayez été pris au piège par Maery ou qu’elle se montre à vous sous sa véritable apparence. Joueuse, elle aime utiliser ses pouvoirs à grande échelle et rester là à regarder les êtres inférieurs succomber à leurs désirs les plus bestiaux et primaires.

Maery quant à elle est le parfait inverse de Nannaka, elle se montre comme une femme naïve et innocente, sa fragilité visant à attirer les plus pervers mais également à susciter l’envie de protéger des plus pieux, quel chevalier refuserait d’aider une femme de foi. Altruiste et aimante, Soeur Maery est toujours là pour aider les autres et à écouter leurs maux. Timide, elle rougit facilement lorsqu'on la complimente et se montre très sensible à la séduction jusqu'à ne se laisser faire lorsqu'on la touche. Elle est le parfait cliché de la jeune fille dont on peut facilement abuser et c'est bien ça le but.


Histoire :

Quelle est la différence entre un démon et un dieu lorsqu’une entité démoniaque se retrouve vénérée comme une divinité ? Nannaka est l’une de ces démons érigés au rang de Dieu par les mortels au cours de leur Histoire. Une déesse vengeresse pour les uns, une démone glorifiant le viol pour les autres, celle qui est née succube est l’un et l’autre à la fois, sa présence seule suffit à éveiller les plus bas instincts animaux des hommes, les faire sombrer dans le plus bestial stupre mais elle est aussi celle qui punit ceux qui succombent à la folie qu’elle a elle-même initié.

Cette double facette est le secret de la montée en puissance de Nannaka dans la hiérarchie démoniaque au fil des millénaires, en tant que née succube sa sphère d’influence touche à tout ce qui est lié au sexe et au plaisir et son esprit sadique faisait le reste pour qu’elle puisse profiter des mortels comme elle le voulait. Elle se souvenait de la première tribu humaine à l’avoir hisser au rang de déesse, pour elle cela n’avait été qu’un jeu, elle avait utiliser ses pouvoirs pour que la délégation de paix envoyés par une autre tribu adverse se laisse porter par leurs instincts les plus primaires. Revigorés par la démone,  ils s’en étaient pris aux femmes sans que les hommes ne puissent rien faire contre les bêtes sous l’influence de Nannaka, elle avait beaucoup apprécié ce jour là. Elle était ensuite apparue lorsque la princesse était sur le point de se faire monter dessus sous les yeux de son père par le roi ennemi, sauvant la pauvre fille in extrémis. Rompant son maléfice, elle s’occupa du reste des hommes qu’elle avait manipulé, une véritable fausse sauveuse. Sur cette même base, de nombreux cultes à sa personne se formèrent à diverses époques, dans divers lieux.

D’ailleurs elle-même se considéra plus comme une déesse qu’un démon lorsqu’elle fut devenue assez puissante pour créer son propre plan astral, elle le modela comme une immense cathédrale qu’elle avait nommé d’une façon peu originale mais qui la reflétait bien : l’Église du Péché. C'est à ce moment qu’elle eut l’idée de se créer un avatar en la personne de Sœur Maery : une jeune fille pieuse parcourant les mondes afin d’apporter la foi et d’offrir son corps aux hommes sous l’influence des pouvoirs de Nannaka, afin qu’elle les dévore et plus les sévices que son alter ego humain subissait étaient ignobles au plus elle se délectait de cette énergie. C’est ainsi que Sœur Maery devint la petite religieuse officiant dans l’église du village ou de la ville de là où elle décidait de se rendre que ce soit la Terre, Terra ou un tout autre monde encore. Lorsque l’on franchit la porte de l’église de Maery on se retrouve transporté dans l’Église du Péché, le plan personnel de Nannaka. Si certaines disparitions sont remarquées, personne n’a l’air de se demander quoi que ce soit concernant la jeune nonne ne vieillissant pas malgré les siècles.

Que ce soit au centre-ville surpeuplé de Seikusu, dans une petite oasis des Landes Dévastées ou bien aux tréfonds d’un monde inconnu, personne n’est à l’abri des pouvoirs de la Déesse-démon car lorsque vous poserez vos yeux lubriques sur la jeunes Maery avec l’envie de vous l’offrir, vous aurez déjà pris le billet pour un aller simple vers l’enfer de Nannaka.

Autre :

Nannaka a le pouvoir de réveiller les plus bas instincts des gens, transformant le plus pieux des hommes en bête brutale avide de sexe.
Elle peut séduire et manipuler à volonté.
Elle peut transplaner d'un monde à l'autre à l'envie et possède son propre plan astral.
Maery est éternellement vierge, reconstituant sa virginité après chaque rapport

Comment avez-vous connu le forum ?

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Les terres sauvages / Re : Chasseurs d'Éternité (Yukka/Grayle)
« Dernier message par Grayle le pérégrin le mardi 09 décembre 2025, 00:02:05 »
- Hum... pourquoi diable est ce que ca t'intéresse, Yukka... ?

Grayle souriait et étendit les bras comme s'il baillait, exposant pectoraux, biceps, triceps, trapèzes et abdominaux. Il était loin d'être impressionnant comparé à Yukka, qui était bien plus musclée que lui, mais il savait qu'il n'était pas vilain, et n'avait surtout pas manqué le regard appuyé de Yukka. Difficile de savoir s'il s'agissait d'un regard interessé, mais, dans le doute, il se dit qu'il n'avait rien à perdre à permettre à son alliée de se rincer un peu l'oeil. Le mouvement fit jouer ses muscles sous sa peau, et il retint un sourire satisfait en coin.

- Tu ne veux pas me le voler j'espère. Hélas pour toi, il est lié à moi. Si tu t'enfuis avec, il réapparaîtra immédiatement près de mon corps
révéla-t-il en tapotant son torse du poing. Il a avait dit son corps. Pas son cadavre.

- Quant à son origine... il leva les yeux au ciel, enfin, au plafond, pour chercher ses mots. Disons qu'il m'a été offert, pour services rendus, par une magicienne bien plus douée et puissante que toutes celles de ton université. Pas question de lui parler de son immortalité, de la déesse Mahadevi, ou de ses origines. Une explication faite de vérités techniques suffirait amplement, même s'il sentait que Yukka ne le croyait qu'à moitié.

- Je peux y stocker beaucoup de choses, mais il n'est pas illimité. Et je trouve ce que je souhaite du premier coup
. Il se saisit du sac, et l'ouvrit, le présentant à Yukka. Il ne marche que pour moi. Tu n'y trouvera rien dedans. Il lança le sac à la femme, afin qu'elle puisse essayer si elle le souhaite.

- Mademoiselle est-elle satisfaite ?

Il la contempla quelques instants, glissant avec une curiosité non dissimulée le long de la musculature puissante de la belle, suivant la courbe de ses épaules, la force contenue dans ses bras, avant de remonter vers son visage aux traits exotiques pour finalement s'arrêter sur son arme, qu'il désigna du doigt.

- Et toi, ta hache ? Elle vient d'où ? Ca ne ressemble pas au genre de breloque qu'on achète en magasin. Il se redressa légèrement, allongé, ses bras tendus vers l'arrière, mains au sol. Le torse offert à la lumière ambiante, sa position accentuait les lignes de son abdomen et le V de ses hanches.

- Je suis sûr que tu l'a trouvée dans une tombe de vieux Roi, ou un temple abandonné ! Raconte ! Je veux tout savoir.
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Grayle le pérégrin le lundi 08 décembre 2025, 22:47:12 »
Hum, avec la forme centaure, la beuverie près du lac me semble le scénario le plus censé, il y a de quoi faire des choses amusantes !

Sous forme de licore, j'imaginais une séance de dressage.

Ou alors, Maeilera coincée dans un piège (collant et magique) la vidant de toute énergie et la coinçant sous sa forme. Et le seul moyen pour Grayle de l'en libérer serait de la recharger avec un liquide vital, mais hélas, sa bouche n'est pas accessible...  :kappa:

on peut en parler sur le discord si tu veux !
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le lundi 08 décembre 2025, 22:38:35 »
Et il ne se retint pas plus longtemps. Alors que la jeune femme se cambrait dans ses bras, et qu'il la sentait de nouveau resserrer les parois de son intimité sur sa hampe, comme pour le retenir, le vampire ne fit qu'un seule râle, la serrant plus fort pour la maintenir contre lui alors qu'il pressait son sexe dans les plus profonds recoins de la jeune femme et déversait en elle tout cet orgasme contenu et retenu depuis déjà plusieurs minutes. Il ne la libéra pas, et malgré la fatigue qui semblait la prendre, il ne la suivit pas dans ce soudain relâchement qui accompagnait normalement l'orgasme.

Il resta en elle quelques secondes, pantelant contre elle – une preuve de fatigue avec laquelle qu'il n'était plus vraiment familier, notons-le, car n'ayant pas besoin de respirer en temps normal–, son sexe pulsant encore ses quelques derniers tressaillements de plaisir. La sentant perdre pied, il l'entoura de ses bras autour de son abdomen, et se laissa choir avec elle sur le banc, l'asseyant sur ses cuisses, la libérant enfin des tortures du jet d'eau. Il manipula de nouveau les boutons de contrôle, et le jet s'arrêta, laissant simplement la douche se déverser sur le corps de l'étudiante, attirant doucement la tête de celle-ci contre son torse pour qu'elle puisse se remettre de l'expérience, et il la conserva dans cette position pour qu'elle puisse se reposer.

"C'était…"

Il dut réfléchir aux bons termes pour décrire ce qu'ils venaient de vivre, ou du moins ce qu'elle venait de lui offrir. Il ne voulait être ni trop formel, ni trop décontracté dans ses mots, et il tourna plusieurs formules dans son esprit avant d'opter pour quelque chose de plutôt simple;

"C'était sublime."

C'était le mot le plus proche de ce qu'il voulait exprimer.

Quelques secondes plus tard et son sexe dégonfla enfin, s'éjectant de l'intimité de la gorgone avec un dernier soubresaut, comme pour signaler la fin de cette expérience intense pour Cypress, chose qu'il avait l'impression qu'elle avait apprécié. Il attendit encore de bonnes minutes pour que tout ce qu'il avait laissé en elle fasse son chemin, et avec les petits soins d'un amant attentionné, il agrippa un linge propre et du savon pour la nettoyer, évitant de stimuler son clitoris qui, selon ses gémissements de tantôt, ne pouvait pas en prendre plus.

Il ferma alors le robinet de la douche et souleva délicatement la pauvre fatiguée dans ses bras, la portant hors de la douche, avant d'agripper un peignoir laissé à côté de la douche et l'envelopper dedans avec dextérité. Une fois bien enveloppée, et ne sachant pas que faire d'une tête avec des serpents, il agrippa simplement une serviette et la posa dessus, sans frotter. Après avoir passé un peignoir à son tour, il l'emmena hors de la salle de bain, vers le lit dans sa chambre, et la posa dessus, sans vraiment faire attention à l'humidité qui allait imprégner le matelas.

Le cadran affichait déjà six heures du matin; lui qui prévoyait sortir et faire comprendre à ses ennemis qu'ils avaient fait une grave erreur en s'opposant à lui devait maintenant repousser ses plans à la nuit prochaine. Maintenant qu'il constatait l'heure, il se rendit compte que la fatigue qui accompagnait le lever du soleil faisait "battre" son cœur jusqu'à ses tympans. Le sommeil d'un vampire n'avait rien d'élégant, car laissant celui-ci dans un état de mort presque complet (et donc un peu perturbant pour ces belles gens), il s'empressa de bien couvrir la jeune femme, la gratifiant d'un dernier baiser sur la joue avant de s'en départir, comme à regret. Il tituba vers le salon, puis vers la deuxième chambre du grand appartement, et se laissa choir sur le lit. Mécaniquement, la porte de la chambre se verrouilla à double tour, pour protéger son résident, et Cypress ne le verra plus jusqu'à la nuit suivante… si elle venait à s'éveiller avant lui.

Il n'atteignit même pas le lit quand son cœur s'arrêta complètement, et il tomba au sol, comme un pantin auquel nous aurions coupé les fils. Il cessa de respirer. Et bientôt, il devint raide comme la mort.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le lundi 08 décembre 2025, 21:45:13 »
Cypress était servie, pour cette première nuit où elle se livrait corps et âme à un homme. Hadrian était attentif, doux quand il le fallait, passionné à chaque instant… Elle n'aurait pas pu rêver mieux si elle s'était autorisée à le faire.

Les sons de leurs ébats et de la douche étaient presque couverts par ceux qu'elle émettait. Des soupirs, des gémissements, des sifflements, des cris de jouissance qui quittaient sa gorge et faisait s'exercer ses cordes vocales comme jamais auparavant. Il parvenait à lui tirer des sons dont elle ne se serait pas cru capable, des aigües et des graves, entre soprano et alto. L'étudiante n'avait plus conscience de rien si ce n'était que du corps du vampire, sa queue et ses mains, qui cognait contre le sien.

Et puis la pression des jets de la douche, venant du sol, s'appliquant directement contre sa perle.

« Ooooh, exhala la gorgone, surprise, haletante, mais définitivement réceptive. Quel déli-iii-ce ! »

L'une de ses mains se détacha du mur pour venir se presser contre celle qui s’était glissée contre son abdomen, comme pour remercier son amant de cette jouissive attention. La pression qui s'ajoutait à l'équation ne tarderait pas à la faire de nouveau admirer les étoiles du septième ciel. Aussi, quand il prévint qu'il arrivait au bout de son endurance, entre deux baisers, elle ne put que répondre par un cri étranglé tandis qu'elle franchissait une fois de plus la ligne d'arrivée.

Tout son corps se verrouilla pendant de longues secondes tandis qu'elle n'aurait plus su comment elle s'appelait si on le lui avait demandé. Ses chairs emprisonnaient le sexe mâle dans ses profondeurs ardentes alors que les vagues de plaisir surgissaient et s'échouaient contre son esprit hébété. La pression de ses parois intimes contre la hampe qui coulissait en elles le défiait presque d'égaler la puissance de cet orgasme qu'il lui offrait.

« Hadriaaaan, miaula-t-elle enfin tandis que ses jambes se dérobèrent sous elle. Oooh, Hadrian… Au nom de… La matrice d'Echidna… Ne vous… retenez plus… Je vous en conjures… »

Peut-être bien que Cypress avait surestimé sa propre endurance. Elle avait l'impression que toutes ses forces l'avaient désertée, ne laissant que les langues de plaisir continuer d'électriser chaque nerfs de son corps. Elle était vidée, incapable de trouver appui sur ses jambes, ne tenant que par la protection du vampire et le mur contre lequel elle s'appuyait plus que de raison.

Pantelante, la brunette n'avait plus conscience des serpents qui se tenaient toujours à l'écart par crainte d’être entre les deux amants pour qui seul l'autre comptait, en cet instant. Elle tressaillait encore sous le jet qui continuaient de torturer délicieusement son bourgeon sur-stimulé. Les yeux fermés, elle ne pouvait qu'espérer que son amant n'était pas aussi exténué, aussi rincé, aussi vidé d'énergie qu'elle l’était. Parce qu'elle se voyait déjà céder aux sirènes de Morphée sur le sol de cette douche diablement bien équipée.
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le lundi 08 décembre 2025, 20:59:46 »
Comme les chevaux, les licornes savent nager ~ et cette licorne sait prendre forme humanoide, donc elle peut meme faire la brasse lol
Grayle - ça serait avec plaisir, tu as une idée de rp ?
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le lundi 08 décembre 2025, 19:00:19 »
Surfant sur les vagues de plaisir qui la ravagent, Calamity ne sait plus où donner de la tête, tirant légèrement sur les chibres de nouveau raides qu’elle tient pour venir les inciter à se frotter contre sa poitrine. Elle n'écoute que d'une oreille, ne comprenant pas forcément ce qui se dit avec l'esprit autant sollicité par son orgasme, mais comprend très vite quand Tank lui ordonne de venir se mettre à genoux par terre après s'être retiré d'elle. Lui occasionnant par la même occasion un geignement plaintif de ne plus se sentir aussi remplie.

A genoux, assise sur ses talons, la belle ne voit rien de ce qui se passe mais ressent l'approche des deux jeunes. Gémissant sourdement, elle redresse le buste pour mettre en valeur ses seins pointant avec arrogance, et ses mains viennent aider les inconnus à caler leurs chibres contre son visage. Elle pousse même le vice jusqu’à ouvrir la bouche et laper les couilles qui se présentent parfois, ou bien un gland près de ses lèvres, rendant les photos prises encore plus érotiques.

Quand ils s'écartent finalement, laissant des traînées de sperme et de liquide séminal maculant ses joues, Présage peut sentir que c'est le colosse qui se présente ensuite à sa bouche déjà ouverte pour l'accueillir. Avec moult gémissements assourdis par la queue qui coulisse rapidement entre ses lèvres, la jeune héroïne ne se prive pas pour saliver abondamment, lubrifiant le sexe qui goûte sa cyprine.

Ses mains, laissées désœuvrées, viennent alors frotter son bourgeon tandis que Tank la pousse à reculer la tête jusqu’à ce qu'elle soit bloquée par l'assise du banc derrière elle. Et si, jusque là, il ne touchait qu’à peine sa glotte, la profondeur changea rapidement. C'est une Calamity ravie qui accueillait le reste de la trique bandée au plus profond de sa gorge, , bavant toujours plus sans que ce ne soit cette fois volontaire. Elle se tortillait également, frottant frénétiquement sa perle, alors qu'il venait cogner avec ferveur contre les parois cannelées de sa trachée.

La blonde ne veut pas le laisser se retirer de ses lèvres alors qu'ils étaient si bien partis, et ses lèvres se resserrent sur le manche qui recule, tentant de le contrer en l'aspirant toujours plus. Il n'est pas faux de constater que la belle est insatiable, une fois lancée. Un petit soupir plaintif suivit le « pop » du gland qui s'échappait de ses lèvres, et Présage avait adopté une moue boudeuse.

Qui s'effaça rapidement quand son amant retira la cape qui couvrait son visage et la reprit contre lui, sur sa queue veineuse toujours dressée.

« Oooh, Tank, soupira-t-elle contre son oreille. Qu’est-ce que j'aime ce que tu me fais faire ! »

Regardant autour d'elle pour se rappeler où ils étaient, la belle ondula ses reins en s'accrochant aux larges épaules de son amant et lui susurra les prochaines instructions pour se rendre à son appartement.

« La prochaine à droite. Mmmh… Au stop à gauche. Aaah, oui… La deuxième à gauche. Oooh… A droite encore une fois. Mmmh, Tank… Ah, on y est.

Descendant finalement de son perchoir, après avoir gratifié Tank de quelques minutes de twerk contre lui, sur sa queue, la blonde tape le digicode afin d'ouvrir la porte d'entrée, laissant le colosse voir qu'il s'agissait de 04567.

« 6éme étage. Avec ascenseur. Et à cette heure-ci, soit les voisins sont en soirée, soit ils dorment. Il ne devrait y avoir personne pour nous déranger si on retient un peu l'ascenseur…, sourit-elle, taquine. »

Après l’ascenseur, le numéro de la porte de son appart était le 33. Juste en face des portes de l'ascenseur. Et elle laissait toujours sa porte déverrouillée, ne craignant pas vraiment de se faire dévaliser sans que son instinct le sente.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Ryo le lundi 08 décembre 2025, 17:32:53 »
“Tiens putain! Prends ça!!”

Le coup de reins de Ryo propulsa le corps de Cora vers le haut. Il la baisait comme un animal sauvage s’acharne sur sa proie.

Cela faisait une demie heure qu’ils étaient arrivés à l’appartement de l’américaine et ils avaient déjà entassé le peu d’affaires qu’elle avait dans l’entrée. Pour l’essentiel, il s’agissait de fringues, et les rares autres trucs à prendre étaient rangés dans un carton que Ryo avait récupéré sur un autre palier. L’endroit était petit et le flic y semblait immense. Il avait regardé son petit cul préféré s’affairer et entre sa paire de fesses se dandinant et ses loches ballotant à chaque mouvement, il avait subitement eu envie de la niquer. Le cuir râpeux avait rejoint celui de Cora sur la canapé et il avait coincé sa petite salope contre une fenêtre donnant sur une cour, avec un vis à vis.

Et là, il la tringlait comme un soudard. Cora avait son jean et sa culotte sur les chevilles et son top était relevé au dessus de ses nibards. Il la verrouillait sévère et elle avait la gueule contre la vitre, sa joue y marquant de la même manière que ses seins aplatis. Ryo lui tenait les bras dans le dos, d’une seule main, et de l’autre, s’ancrait à sa tignasse.

“Bordel de merde! J’adore quand tu te comportes comme une chienne.”

Il la déboitait et s queue foutait un sacré boxon dans le vagin trempé de la nympho. Au début, ça avait été brutal, il avait voulu l’enculer mais s’était foiré par deux fois. Elle était sèche et lui, trop pressé. Alors, d’un coup, il avait fléchi les jambes, avancé le bassin et était remonté violemment en la transperçant. il avait gueulé presque aussi fort qu’elle et pensait s’être déchiré le frein. Mais non, ça avait tenu et là, il la défonçait. le premier connard qui regardait par sa fenêtre pouvait les voir s’envoyer en l’air.

Cora l’avait chauffé ... sans rien faire. Elle avait juste été elle-même et cela avait suffit. le flic avait été pris de pulsions qui lui avaient tordues le bide et le feu de son regard avait fait écho à la manière dont il avait attrapé Cora.

Sa poigne se fit plus dure, elle en garderait des marques. Ses ruades frénétiques et désordonnées ne laissaient pas une seconde de répit à Cora.

“Encaisse! Ouais bordel encaisse! t’es faite pour te faire sautée comme une pute.”

Il plombait un fourreau brûlant et totalement trempée. Il aurait foutu sa bite dans un chaudron de soupe sur le feu que cela aurait été la même chose.
Cora n’était pas shootée et morflait. Ça, c’était le pied. Ils en avaient parlé sur le chemin de l’aller. Il avait joué le jeu et était allé dans son sens. Ouais ... pas trop, un peu les soirs de sortie ou les weekend peinards. S’agirait pas de la griller au boulot et qu’elle finisse en taule. La législation sur les stups était raide au Japon...

“Pu ...”

Il gicla en elle et si Cora était réceptive, elle comprendrait qu’il venait de lui remplir l’utérus. A voir pour les résultats ...
Mai ce n’est pas pour autant qu’il cessa et si elle ferait l’erreur de se foutre à genoux, il la ferait dégueuler à lui bourrer la gueule.
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