Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Royaume Terranide / Re : Son altesse réfractaire [PV Lovely]
« Dernier message par Aurelion Carrekhaul le dimanche 10 novembre 2024, 22:12:52 »
Aurelion penchait légèrement la tête sur le côté après avoir entendu la fameuse demande de la princesse. Ecrire lui les danses interdites ? Il se frottait alors la tête du bout du doigt légèrement gêné, cherchant surtout comment lui rendre la pareil pour l’embarrasser un peu … Quand soudain, un fameux livre lui venait en tête, celui qu’elle cachait sous son oreiller en pensant que personne ne l’avait découvert … Il avait juste gardé ce secret sans qu’elle le sache.

-Et bien ma chère fiancée … Pourquoi ne pas vous inspirer de ce qui se trouve sous votre oreiller ? Je pense que vous en connaissez plus que vous voulez faire croire …

Il sourit un peu avant de venir lui murmurer à l’oreille d’une manière bienveillante bien sûr, afin qu’elle ne panique pas trop.

-C’est un secret que j’ai gardé sans que vous me le demandiez …

Il restait du côté de la princesse après tout ! Il devait la protéger. Dévoiler les secrets de la demoiselle était donc contre producteur.  Aurelion avait jugé qu’elle avait encore assez de lumière aux étages pour comprendre qu’il ne disait pas ça contre son intérêt … mais elle ne pouvait pas feindre l’innocence avec lui ! Elle devra obligatoirement se jeter à l’eau après une telle découverte.

Après quelques plaisanteries bien placée et quelques petits moments d’échange à propos de nourriture, les verres à la main, il semblerait que la discussion sur une invention créé par Aurelion pour donner du poids à leur jeu d’acteur. La princesse se faufilait dans la brèche avec panache ! Elle alimentait elle aussi cette anecdote amusante. Il devait bien avouer qu’il aimerait bien sentir la douceur de la princesse ainsi contre lui …

-Oh mais il fallait le dire avant ma chère fiancée ! Je vous invite donc à venir trouver la chaleur qui vous manque contre moi … Je ferai en sorte de ne plus avoir de vêtement si embêtant à votre confort. Rien ne me fera plus plaisir que de vous savoir au chaud et en sécurité entre mes bras.

Et la princesse déboutonnait le reste de bouton de sa chemise après s’être laissé allée contre lui. Il pouvait l’observer rougir à chaque bouton qu’elle retirait, de plus en plus. Elle était toute mignonne. Mais cette chemise restait sur les épaules du chevalier, restant entre-ouverte pour qu’elle ne puisse pas en profiter totalement. Mais elle laissait échapper une petite phrase que les oreilles d’Aurelion avait capturé. Bien que ce soit assez bas niveau volume, il restait attentif. Mais … Il ne disait rien pour le moment, souhaitant utiliser cette réponse plus tard … Mais il bougeait son nez sous le poke de la demoiselle, se le frottant ensuite avant … d’éternuer !

-Un … un jeu ?

Il clignait des yeux, avant de l’écouter et remuer les jeux devant lui. Il pensait avoir bien compris … Mais laisser le hasard être le maitre de tout ça ne lui plaisait guère. Après tout, si on laissait le hasard agir en cas de guerre ou d’attaque, le résultat était toujours une catastrophe. Il secouait la tête en essayant d’évacuer ces mauvaises pensées. Le jeu de carte lui paraissait plus adéquat ! D’autant plus qu’il pouvait ajouter une règle …

-Et bien … pourquoi pas le jeu de carte ma chère fiancée ? Il y a assez de carte pour que nous finissions par nous retrouver nu ! Mais … Il y a aussi les jokers ! Que diriez vous que nous devrions prendre une position du fameux livre qui se trouve sous votre oreiller lorsque celui-ci sort ? … Qu’importe comment nous sommes encore vêtus ? Disons … que ça fera partie des danses interdites à faire ?

Voudra-t-elle encore jouer avec cette proposition ? Et cette proposition, il ne l’aurait jamais fait sobre ! Il s’approchait de la princesse, prenant le dé pour le poser sur la table afin de le mettre de côté. Il regardait le paquet de carte et il l’attrapa pour l’ouvrir et faire défiler les cartes … Petite vérification du jeu quand même. Tout semblait correct. Il haussait alors un sourcil avant d’observer la princesse, lui offrant la moitié des cartes …

-Je mélange celui-ci devant vous … vous mélangez votre moitié devant moi … Cela vous va ?

Il était prêt à mélanger.
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Les contrées du Chaos / Sang des pierres, pierres de sang [Serenos]
« Dernier message par Eyia le dimanche 10 novembre 2024, 17:38:55 »




- Elle te fait pas un peu peur, cette île ?
- C’est rien que de la terre et de la roche – de la bonne roche, tu verras.

Dans une légère brume blanche qui semblait respirer au rythme des mouvements des vagues venait d’apparaître la silhouette de l’île Petrichor, l’île principale d’un agrégat de morceaux épars de territoires perdus au milieu de la mer. Tout au long de leur traversée, ils étaient passés à côté de petites îles vertes accueillantes, de volcans endormis, de lagons et de leurs coraux qui se révélaient, à la faveur de la nuit, fluorescents. À présent, il était temps de débarquer au cœur de cet archipel, qui constituait le but de leur voyage – et cette perspective n’enchantait pas vraiment Basile.
Il n’avait jamais vraiment aimé la mer ; raison pour laquelle il avait choisi de devenir mineur. La terre et ses entrailles étaient, à ses yeux, bien plus rassurantes que cette étendue d’eau instable par nature. Après des années à la fréquenter, à la fouiller, à la posséder, il avait fini par si bien connaître la terre qu’il osait se vanter qu’il était capable de prédire le moindre de ses mouvements. En mer, en revanche, il avait l’impression constante d’être assis sur le dos d’un monstre dont les accès de violence étaient aussi imprévisibles que violents. Les îles étaient, de fait, des espaces qui l’inquiétaient - « trop de mer, pas assez de terre », comme il le répétait. Néanmoins, leur guilde avait besoin de se renouveler pour survivre ; en tant que juré*, il avait dû prendre sur lui pour prospecter sur ces lopins de terre perdus au milieu des flots. Alban, son bras droit, l’accompagnait. Bien moins superstitieux, il avait néanmoins l’œil aguerri par des années de labeur ; il « sentait » (comme il le disait) les terres et les roches prometteuses. C’est d’ailleurs lui qui avait suggéré de se rendre sur l’île de Petrichor. Si Basile se disait que ce n’était pas sans raison que cette île n’avait jamais été exploitée, Alban y voyait plutôt une forme de bêtise ou de paresse de la part des mineurs – aucune raison qui soit valable, donc.
« Petrichor – ça vient de petra, “pierre”, et de ichor, “sang” » avait glissé Alban à Basile au moment d’embarquer ; explication qui n’avait guère rassuré ce dernier. Plus ils approchaient, fendant la brume pour s’approcher d’une jungle sauvage d’où surgissait des pans de pierre noire, plus il avait envie de fuir.
Ce n’est donc pas sans émotion qu’il posa le pied sur le sable blanc de l’île.



Ma reine, on s’approche de moi.

C’est dans un sursaut que se réveilla Eyia. Le cœur battant, elle se redressa dans son lit, écartant vivement les draps qui – elle en avait l’impression – pesaient une tonne sur ses frêles épaules. Son regard agité balayait la pièce vide. La main posée sur le ventre, elle mit un temps avant de reprendre ses esprits ; son regard passa alors de perdu à noir. Quelqu’un avait osé s’approcher de son île, berceau de ses pierres.

- Venez, mes filles.

À peine ces mots furent-ils prononcés que deux ombres se matérialisèrent dans son champ de vision, l’une surgissant de l’ombre du rideau, et l’autre de celle de sa bibliothèque.

- Vous avez entendu, n’est-ce pas ?

Les deux ombres hochèrent la tête.

- Cela faisait longtemps, votre Majesté, que personne n’avait atteint Petrichor, souffla l’une d’entre elles.
- Ils sont bien incapables de retenir la moindre leçon, pesta Eyia.

Les poings serrés, elle mit un temps avant de réfréner sa colère.

- Qui peut bien vouloir retourner là-bas ? Pour quelle raison ?
- Nous vous apportons ces réponses, ma Reine.

Un mouvement de tête de la part d’Eyia et les deux ombres s’exécutèrent. Disparaissant de la chambre de leur souveraine…

… Elles surgirent des ombres que dessinaient les roches que Basile et Adam, aidés de quelques apprentis, scrutaient avec autant d’attention que d’enthousiasme. Ils venaient d’entrer dans une caverne - « trop bien creusée pour que ce soit l’œuvre de la nature » avait remarqué Basile – et, à la lueur de leurs lampes, ils s’y enfonçaient peu à peu.  De retour sous terre, Basile se sentait rassuré ; il était ici en territoire conquis. Au fur et à mesure de leur avancée dans le souterrain qui prolongeait la caverne, il partageaient de plus en plus l’enthousiasme d’Alban : les roches étaient prometteuses, et on pourrait, il en était sûr, extraire des minerais d’une qualité rare. Les deux hommes se voyaient déjà rentrer à Meisa, les bras chargés des échantillons de roches que leur apprentis récupéraient dans des gestes encore maladroits. Tout en marchant, ils planifiaient leur installation prochaine sur l’île. Les membres de la guilde n’auraient plus rien à craindre pendant un moment ; ils en étaient persuadés.

Pourtant, c’est un bateau vide aux voiles déchirées et aux mâts brisés qui rentra dans le port de Meisa une dizaine de jours après leur départ. Cet évènement avait fait grand bruit ; certains racontaient qu’ils avaient vu, sur le pont, des ombres de forme humaine bouger ; l’une d’elles, disait-on, avait même fait un signe de la main à la femme de Basile qui, ce jour-là, se promenait sur le port. La pauvre en avait perdu la tête ; morte d’inquiétude, elle n’osait plus rentrer chez elle et passait des heures à faire face à ce navire fantôme que personne n’osait vraiment approcher.






* Les jurés d’une guilde sont choisis parmi les maîtres et les patrons qui la composent pour en être les représentants.
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Prélude / Re : Vance Dax -- Step Aside!
« Dernier message par La Clairière des Muses le dimanche 10 novembre 2024, 13:33:59 »
Rebienvenue, jeune homme  :)
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Prélude / Re : Vance Dax -- Step Aside!
« Dernier message par Rubis Starling le samedi 09 novembre 2024, 18:28:56 »
Rebienvenue dans les parages alors mon bel ami  :P en espérant que ce cher Vance trouve de quoi s’amuser  ;D
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Prélude / Re : Vance Dax -- Step Aside!
« Dernier message par Tani Rei le samedi 09 novembre 2024, 10:28:18 »
Rebienvenue
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Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« Dernier message par Thanasia le samedi 09 novembre 2024, 09:01:41 »
Aidée par la main de son maître, Thanasia lâche le crochet et retombe sur sa jambe mal assurée, retrouvant l'équilibre contre son torse, que ses mains ne quittent alors plus. La vampire accueille ses caresses et ses mots doux avec l'espoir fragile qu'il accède à sa requête.

La réponse ambiguë de l'avatar la voit pendue à ses lèvres comme une concubine à celle de son empereur et ses yeux arctique cherchent l'émeraude des siens, couvant tous ses désirs comme des poissons affleurant sous la glace.

Ses mains jouissant d'une liberté éphémère parcourent le lest de ses chaînes du bout des doigts, explorant les effets de leur aimable morsure.
Mais lorsque Draven s'affaire à nouer ses poignets derrière elle, Thanasia n'est pas fâchée.
Elle doit même se mordre les lèvres en secret pour réprimer un gémissement d'excitation.
Car elle s'en rend compte, elle le préssent : Il allait la prendre par derrière.
Et la petite vampire n'aimait rien tant que de se voir saisie par les hanches, le train battu contre un bas-ventre au rythme dicté par son partenaire.

Sous la coupe de l'avatar, Thanasia n'est plus que la somme des coups de fouets qu'elle avait reçu, l'effeuillant de son orgueil pour réveler ce qu'elle dissimulait en dessous. C'était frappant de voir deux êtres si différents posséder un même corps. Une vampire puissante, hautaine, convaincue de sa supériorité ...et une bête lascive aveuglée par les désirs primaires.

Les deux étaient réelles, elles coexistaient mais rares étaient ceux capable d'effacer la première pour ne laisser que la seconde, la marque d'un véritable maître-dresseur.

L'attirance inavouée de Thanasia pour la soumission et l'humiliation provenait sans doute de l'ange qui l'avait vaincue et brûlée de sa marque il y a des millénaires. Dalsimaï.
Il l'avait enchaînée puis brisée sur la montagne, physiquement et psychiquement. Puis, une éternité plus tard, il l'avait libérée.
Il était le seul être de la Création auquel Thanasia s'était absolument abandonnée. Elle l'avait vénéré autant que craint, haï, son geôlier, son tourmenteur et son sauveur. Des siècles s'étaient écoulés depuis leur dernière rencontre en haut de Saerth'wen, sa prison, et depuis Thanasia rêvait de leurs improbables retrouvailles. Dalsimaï était l'un des seuls à l'avoir vaincue sans l'avoir prise, sans avoir jouit entre ses cuisses. Car autrefois elle s'offrait à tous ceux qui y parvenaient. Mais la vampire était trop vile pour un corps si pur, pensait-t-elle.
Thanasia aurait voulu être violée par l'ange, foudroyée sur la pierre sous ses muscles divins.
Qu'il aille jusqu'au bout puisqu'il lui avait déjà tout pris.

Et c'est pourquoi, lorsqu'elle touchait le fond, Thanasia y restait longtemps. Elle y cherchait le même abandon, la même soumission qu'il y a des siècles autrefois. Dans le cas particulier de Draven Dairn, elle l'avait détesté jusqu'à ce que cela lui plaise, visiblement. L'avatar n'était pas Dalsimaï mais elle s'était finalement réconciliée à l'idée d'être sa propriété, à travers tous les tourments de cette condition.
Car par dessus tout, douleur ou plaisir, Thanasia aimait ressentir, et ce maître ne faillait jamais à cette attente.

Si c'était cela, "toucher le fond", elle en avait connu des moins voluptueux et s’accommoderait volontiers de celui ci, pense-t-elle sans doute dans un état second alors que l'avatar la guide par les cheveux où il comptait la prendre.

« Tu ne mérites pas d’avoir un lit moelleux sur lequel t’allonger afin d’être besognée. Là, ici, tête contre le dallage et cuisses bien écartées. Réclames de la plus belle et de la pire des manières, alors je t’offrirai une délivrance que tu ne mérites pas mais que je daigne t’accorder… »

« Merci maître... » soupire Thanasia en chaleur, reconnaissante, tombant à genoux à peine les doigts relâchent leur prise sur son scalp. « Vous avez raison, je ne mérite pas même le sol. »  gémit-t-elle en posant sa joue sur le carrelage, sonnant le cliquetis des lests métalliques pendant de sa poitrine.

Mais pourtant son dos s'arque naturellement, son postérieur s'épanouit au  dessus de ses cuisses blanches qui s'écartent comme des rideaux. Ils découvrent ses bijoux génitaux, tirant sur le sexe offert à sa vue. Thanasia semble si familière, si confortable dans cette position d'offrande, éclose telle une fleur intime prête à être cueillie n'importe où, n'importe quand. Car telle était sa nature, une lasciva aeterna.
Et l'attente laisse couler son nectar le long des chaînettes. Elle gémit encore de plaisir.

« Nhh... Je suis à vous, maître..   Prenez moi, par pitié, prenez moi... Chevauchez moi de toute votre saoûl... » La langue de Thanasia lèche sans réserve le sol immaculé du peu de sang qui s'y trouve. « Voyez comme vous m'avez manqué. Ne... ne laissez pas ces vêtements vous retenir. Oubliez les, libérez votre vraie nature. Je saurait vous plaire, vous le savez... vous accueillir entièrement. Molestez mon corps soumis, consommez le.
Rappelez moi que je ne suis qu'un objet...  »
supplie Thanasia à demi mots, les portes de ses intimités n'appelant qu'à être forcées.
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Prélude / Vance Dax -- Step Aside!
« Dernier message par Vance Dax le samedi 09 novembre 2024, 05:26:07 »
Identité :
Vincent Dax à Nice, en France, de père Français et de mère Franco-japonaise, il est connu sous le nom public de Vance Dax et sous son nom de scène : Wonder Vance.

Âge :
Né le 4 avril 1953, il est âgé de 71 ans à l’heure de ce post.

Sexe :
Il est né et reste de sexe masculin.

Profession :
Ancien lutteur professionnel de l’AJPW puis de la WWF, devenu acteur et personnalité publique après une blessure. Il a profité de ses revenus et de son héritage familial pour devenir investisseur dans des affaires risquées à gros rendements, rarement très légales. Devenu excessivement riche, il est devenu un ]influenceur populaire dans les domaines du dropshipping et de la crypto, entre autres, connu pour son train de vie fastueux et son amour des belles jeunes femmes.

Orientation politique :
C’est un capitaliste turbolibéral, autrement dit : un libertarien. Publiquement, il est aligné avec les conservateurs.

Orientation sexuelle :
C’est un hétérosexuel affirmé et confirmé.

Statut civil :
Il est marié depuis 1978 à une ancienne lutteuse, mais le couple est mort de longue date. Ils sont empêtrés dans un blocage juridique les empêchant de divorcer.

Race :
Vance est banal un Humain, quoique pas si banal

Physique :
Si Wonder Vance a eu ses chances de devenir une superstar emblématique de la lutte, c’est bien grâce à sa stature emblématique. Du haut de ses 202 centimètres et sous ses 129 kilogrammes de muscles secs (il a même gagné en forme depuis la fin précoce de sa carrière sportive), il fait figure de montagne et de force de la nature. Et si sa légende, qui en faisait le fils d’un géant, était de la pure fantasy, il n’est plus certain de sa fausseté aujourd’hui (mais, non, il n’a pas de sang de géant… ou si peu ?).

Son visage est probablement l’élément le plus reconnaissable de sa personne après sa stature. Sa mâchoire déjà carrée est accentuée par sa barbe iconique et l’âge a creusé des traits taillés à la serpe, avec ses pommettes hautes et saillantes et ses joues creuses, et son front haut et prononcé marqué par de profondes rides. Plus que tout, son nez aquilin ressort nettement, tant par ses angles que par sa visibilité, surtout quand il se déplace au Japon.

Mais si, avec ses longs cheveux blancs, surtout relâchés, il pourrait passer pour un véritable sauvage sorti d’un raid viking imaginé par un graveur d’Épinal, il a une certaine élégance. Sa moustache est très soignée et nettement distincte de sa barbe et ajoute une touche de formalité et de distinction avec ses pointes redressées, et lui donne un air plus souriant, plus doux. Il noue souvent ses cheveux avec un ruban ou en un chignon haut respectueux, plutôt qu’avec un élastique plus sobre. Il apprécie le style et la variété d’une garde-robe chic et formelle, sartoriale diront certains, et sera souvent très bien habillé quand il n’est pas en chemise légère et en short de bain à fleurs pour graver son image dans un short le mettant en scène sur un yacht avec des filles en bikini ; quoique cette image soit plus proche de sa véritable nature.

Caractère :
Quitte à avoir l’air cringe, disons qu’il n’a pas trouvé le sigma grindset, mais que le sigma grindset l’a trouvé. Vance est un ambitieux et un indépendant. Né dans un milieu privilégié, il aurait pu profiter de l’argent de son père d’entrée de jeu mais a absolument voulu le prendre à contre-pied pour être sûr de lui échapper, engageant son physique exceptionnel dans le milieu de la lutte. Lorsque sa blessure l’a forcé à rentrer à la maison, il n’a pas manqué d’employer seulement une fraction de l’argent qu’il avait gagné et qui lui avait donné dans des affaires légales pour se lancer dans des affaires à la marge de la loi, ou carrément illégales, afin de se prouver qu’il pouvait prévaloir dans ces domaines très concurrentiels et dangereux, et empocher les énormes gains potentiels.

Ambitieux et indépendant, oui, mais ce ne sont que des sous-produits de son narcissisme paranoïaque. Il tient à dominer autant qu’à prouver et démontrer continuellement qu’il peut le faire. Ceux qui pensent que son image de supermâle hypersexuel et de prédateur de la jungle capitaliste déréglementée est une fabrication destinée à soutenir un marketing opportuniste ont tort : elle sert avant tout à flatter et calmer sa faim insatiable de reconnaissance et d’approbation, choses dont il a énormément manqué dans l’enfance ; non pas qu’il ait laissé de traces de cette enfance.

De manière générale, il voit essentiellement les gens par le prisme de l’émulation. Il y a des adversaires, des inférieurs, mais nul égal ni ami. Ceux qui s’approchent de lui le font car leur présence peut lui apporter quelque chose, que ce soit tangible ou non. Souvent, il s’agit de faire plus d’argent. Parfois, c’est pour satisfaire ses envies, et il est un sugar daddy réputé. Rarement, c’est qu’il a trouvé un remède à son anxiété existentielle, et c’est là la forme la plus proche de l’amitié qu’on puisse trouver parmi ses relations.

Alignement :
Chaotique-Mauvais

Histoire :
Vincent Dax est né à Nice le 4 avril 1953. Son père, Michel Dax, était un citoyen français ayant fait fortune dans la représentation des industriels militaires américains, et il avait rencontré sa femme, Akiko Mihachi-Dax, lorsque la guerre de Corée l’avait conduit au Japon, où son père, Mihachi Shō, déjà marié à une Française et bien préparé à leurs différences culturelles, était membre de la direction commerciale de Mitsubishi, chargée de produire certaines armes américaines destinées au front coréen. Ensemble, ils s’étaient fait beaucoup d’argent, avaient fondé leur propre agence de transferts de licences industrielles internationale à l’époque où la mondialisation n’était qu’un concept, et le mariage avait cimenté leur relation.

Mais on parle ici de Vincent. Son enfance a été assez éprouvante. Bien qu’élevé dans un cocon socio-économique lui permettant de ne jamais manquer de rien, un certain niveau de résultats était attendu de lui de la part de parents peu impliqués et très réservés. Pour ainsi dire, si son père l’a juste ignoré, sa mère l’a probablement plus blessé qu’autre chose par sa manière très agressive de démontrer son affection, ne reconnaissant jamais ses mérites et le poussant toujours plus loin, certes par amour, mais en le brisant au passage. S’il avait conscience de tout devoir aux opportunités offertes par la position de ses parents, il ne voulait pas le reconnaître. Sa paranoïa et son narcissisme se développèrent radicalement à l’adolescence, le poussant à se démarquer physiquement et moralement, et sa morphologie bien prédisposée le poussait d’autant plus.

Une particularité culturelle qu’avait rapportée sa mère avec elle, cela dit, était la lutte, ou le catch, qui était en plein essor au Japon dans les années 1950, bien avant que Vince MacMahon ne révolutionne la lutte américaine. Bercé par les enregistrements japonais que ramenait son grand-père lors de ses visites, il avait très tôt décidé de percer dans ce milieu, car il savait que ce serait une véritable insulte à l’orgueil très français de son père. Il partit au Japon en 1971, et un concours de circonstances malheureux lui permit de percer très rapidement. Car la lutte japonaise entrait en déclin, dix ans après la mort de son grand patron, Rikidozan. La ligue implosa et se divisa en deux franchises rivales mais spirituellement opposées, et Vincent rejoignit la All-Japan Pro Wrestling de Giant Baba, orientée vers le spectacle, en 1972, avant de monter sur le ring sous le nom Super Darx (lol) au terme de son entraînement dès que ses 20 ans révolus lui permirent d’exercer dans le pays du Soleil levant.

Son gabarit lui valut un succès immédiat, même s’il jouait beaucoup le méchant gaijin que les stars japonaises devaient surmonter et abattre pour atteindre le sommet. Être le superméchant était une bonne position, et son avatar final, Wonder Vance, sinistre colon et sangsue culturelle Américain des îles polynésiennes longtemps convoitées par les Japonais, le rendit célèbre, mais il en voulait évidemment plus. Après dix ans, il partit aux États-Unis, sentant l’ambition du futur président de la WWF et alors responsable des programmes : Vince MacMahon. Le fils du patron n’était pas destiné à hériter, mais il était persuadé de le voir arriver à ses fins. Quand, à partir de 1984, la WWF commença à débaucher les stars des autres fédérations et à grignoter rapidement leurs territoires, Vincent savait que sa chance était là. Son grand début fit un carton et il aurait pu être Hulk Hogan s’il ne s’était pas gravement blessé lors d’une répétition.

Forcé à la retraite, il rentra en France défait, même si plutôt bien doté. Il aurait pu en rester là, avec un capital propre non négligeable, une place assurée par papa et un héritage assuré, mais il en voulait, encore, toujours plus. Après être parvenu à jouer sur sa stature et sa réputation pour être payé pour des publicités, des apparitions cinématographiques et des rôles télévisuels peu appréciés, il parvint à convaincre son père de le soutenir dans une série d’investissements et la fondation d’un embryon de trust, et celui-ci était trop heureux de le voir faire un métier plus normal, plus noble à ses yeux, qu’il accepta sans discuter. Néanmoins, si ses investissements légaux étaient réels, une bonne part de son fonds initial et l’essentiel de ses recettes disparaissaient dans des investissements bien plus risqués, mais bien plus profitables en cas de succès.

Celui qui se faisait officiellement appeler Vance Dax resta en marge de la loi pour un temps, dans une zone grise lui assurant la tranquillité judiciaire, avant de plonger sans regrets dans des plans frauduleux et des crédits informels à des organisations aux profils très variés. Un complexe montage financier et fiscal lui permettait de maintenir les apparences en blanchissant beaucoup d’argent et en laissant tourner le reste dans le circuit informel. Souvent pointé du doigt, il ne fut jamais sérieusement inquiété. Son succès gonfla clairement son orgueil, et il se considéra vite comme un prédateur naturel, un animal au sommet de la chaîne alimentaire économique et sociale. Il a une fortune légale indécente, et c’est encore bien pire en comptant les sommes cachées réparties maintenant partout dans le monde et sur internet.

Car avec l’essor d’internet, dans les années 1990, il ne tarda pas à se pencher sur la question. Vente, marketing, escroqueries… Il était parmi les fondateurs et les innovateurs dans l’ombre des grands mouvements monétaires accompagnant la démocratisation du réseau mondial. Avec les réseaux sociaux, il s’afficha plus, fit une sorte de comeback, utilisant la petite notoriété créée entre son retour au pays et son plongeon dans la finance de l’ombre pour s’imposer à nouveau en se rappelant au public. Il était devenu le vieux loup sage qui avait fait fortune, une sorte de Bernard Tapie sous stéroïdes et sans casier judiciaire qui n’hésita pas, en outre, à taper dès le départ à l’international, démarrant dès le départ des comptes en français, mais aussi en anglais, en japonais et en espagnol, cherchant à capter l’argent efficacement partout où il était. Il était alors une personnalité publique, ce qu’on appelle maintenant un influenceur, et il ne se gênait pas pour vendre des formations lacunaires en vente et en développement personnel, pour promouvoir la pratique (illégale selon les pays) du dropshipping, ou pour pousser la cryptomonnaie avant de participer à la vague de pump’n’dumps, des escroqueries financières en ligne en lien avec la crypto et, pendant un temps, les NFT, depuis l’ombre, pour s’enrichir très grassement.

Si ses liens avec le milieu criminel restent à démontrer, ses liens avec les memecoins et autres shitcoins, et la mauvaise réputation allant avec, n’est plus à faire. Mais il a atteint un certain âge et il s’en fout pas mal. Il profite de son argent mal acquis et certains l’admirent même pour ça. Il s’impose comme le requin libertarien par excellence, amoral, dérégulateur, matérialiste, voracement conservateur sur le plan social et hypersexualisé ; un peu comme si Andrew Tate avait réussi à penser un peu moins avec sa bite et un peu plus avec sa tête, même si sa bite entre régulièrement dans l’équation, et pas que dans l’équation. Désolé, il fallait que ce soit gras, cringe et vulgaire à ce point de la biographie ! Il serra la pince à Trump, Musk, Xi et Kim à la fois, qu’importe tant que ça rapporte. C’est à la fois un meme et une idole.

Et en parlant d’idoles ! Japon ! Quelle transition !

Après des années à évoluer principalement en Amérique du Nord et dans des régions plus australes de l’Asie, il s’est récemment rendu au Japon et est entré dans une phase plus japonisante, avec, évidemment, folklore masculiniste et objectivisation des femmes asiatiques pour changer. Mais il n’y est pas que pour renouer avec ses racines maternelles, comme il le dit si bien dans un japonais retravaillé et presque parfait : sa mère, à ce stade, il s’en contrefiche. Il s’est établi près de Seikusu, sur un superyacht luxueux digne d’un méchant de James Bond, car il a pris connaissances des failles, de leur potentiel et de leur concentration en ce lieu précis. Il a mis en action son argent et ses contacts de tous genres pour engager leur exploration, et il espère bien tirer un maximum d’argent de cette manne inattendue, incroyable, mais bel et bien réelle.

Autre :
C'est un sugar daddy assumé. Il n'aime pas juste s'entourer de filles pour la frime et celles qui savent retenir son intérêt peuvent espérer un traitement de grand luxe, à défaut de grande qualité.
Et pour cause : c'est un dominateur assuré. Il n'est pas violent ou égoïste, mais il s'impose beaucoup.

Comme évoqué à la fin de l’histoire, la présence de Vance à Seikusu n’est pas anodine. Il a connaissance des failles et de leur concentration dans cette ville et, comme toujours, il cherche à les exploiter. S’il peut capturer des Terranides, des créatures et autres curiosités exotiques et les vendre au marché noir avec leurs objets précieux et leurs artefacts magiques, et s’il peut mettre la main sur de la haute technologie ou son propre vaisseau spatial, il ne se fera pas prier !

A toute fin utile, les prises retenant son intérêt et se retrouvant sur Terre sans papiers ni état civil quelconque ne pourront pas se targuer des privilèges d'une sugar baby.

Comment avez-vous connu le forum ?
C’est un DC de Jack Marston et EVHive. Again.
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Royaume Terranide / Re : Son altesse réfractaire [PV Lovely]
« Dernier message par Lovely Craftycat le samedi 09 novembre 2024, 02:15:41 »
En entendant la réponse positive du chevalier qui semblait tout aussi partant que la jeune princesse féline à l’idée de jouer au tirage au sort une éventuelle danse, que ce soit une danse de salon ou de chambre dans les danses interdites comme le disait le blondinet, la minette princière ria amusée en hochant la tête, signalant donc qu’elle était d’accord pour ce nouveau petit jeu. 

« Je veux bien préparer les tickets avec les noms de danses dessus mon cher fiancé, mais… » rougissant doucement quelques instants en faisant mine d’être gênée, elle ajouta d’une petite voix timide « Je ne vois pas de quelles danses interdites vous parlez… Il faudra peut être que vous les écrivez vous dans ce cas en m’expliquant non ? »

Feintant l’innocence en regardant le beau blond, la féline demoiselle le regarda en penchant la tête, clignant des yeux telles une petite ingénue et prude, tentant aussi bien de le charmer que de le convaincre de sa candeur au sujet des danses interdites. Faisant ainsi mine de pas savoir de quoi il parlait, la princesse était curieuse de voir comment allait réagir son cher chevalier, impatiente même de sa réaction et de ses prochaines paroles.

Mais ensuite vint le tour de plaisanter autour du père de la jeune chatte brune qui attendait patiemment des petits-enfants. Et riant aux nouvelles paroles du chevaleresque blondinet, la brunette le regarda de ses petits yeux malicieux sans dire un mot au sujet du devoir de couple qui semblait l’enchanter. Un beau sourire joueur, Lovely se contenta en guise de réponse de juste siffloter amusée en regardant Aurelion sournoisement tout en dodelinant sa tête joyeusement.

Et après une petite pause pour reprendre des forces s’imposa, durant laquelle un goûtage du désert et dégustation d’une boisson fut des plus bienvenus, permettant également à chacun d’eux de faire découvrir quelque chose qu’il aimait à l’autre. Mais une scène des plus comique se passa ensuite, où un des bouton de la chemise du chevalier sauta dans le décolleté de la princesse pour venir s’y échouer. Et la minette au sang royale réussit le sauvetage du bouton échoué et le sortit sans peine en le montrant toute fière d’elle, avant de se laisser tomber contre son cher chevalier tout en lui suggérant d’enlever sa chemise. Suggestion à laquelle il lui répondit positivement, faisant sourire amusée et ravie la minette, avant de hausser un sourcil en l’entendant lui demander la même faveur de sa part. Cela fit rire Lovely qui pencha la tête en se redressant doucement, admirant donc Aurelion enlever les premiers boutons de sa chemise avant de demander son aide à la demoiselle tout en lui racontant une anecdote imaginaire, dont les spectateurs cachés collés aux portes ou contres les murs pouvaient écouter avec joie.

« Mmmmh… C’est fort possible mon cher fiancé. Mais, pour ma défense, il est difficile de ressentir de la chaleur à travers des vêtements… Il est évident que pour ne pas avoir froid la nuit je dois me coller contre vous et votre peau si chaude pour me réchauffer et éviter d’attraper froid… »

Répondit-elle en déboutonnant les boutons restants de la chemise du chevalier tout en chantonnant, amusée autant par la situation que ses propres propos, attendant patiemment la réponse qu’allait trouver le blondinet à sa superbe répartie. Puis tandis que le corps de son chevalier se dévoilait petit à petit sous ses yeux, Lovely se mit doucement à rougir à chaque bouton qu’elle enleva.

Et une fois qu’elle eut déboutonner complètement sa chemise, les joues un peu rouge et son regard se perdant à zieuter admirative le torse d’Aurelion, la jeune princesse féline laissa échapper un « Vous êtes magnifique… » d’une voix base, rougissant encore plus en se rendant compte de ses paroles avant de regarder son chevalier. Puis clignant plusieurs fois des yeux, la chatte brune se mit à rire doucement gênée en ne sachant pas si le beau blond avait entendu ses paroles ou non. Mais avant qu’il ne puisse réagir ou dire quoique ce soit, la féline princière donna un petit poke sur le nez du chevalier, s’éloignant ensuite un peu de lui tout en venant passer ses mains sous sa cape, venant à en sortir un jeu de carte et un dès, un petit sourire joueur et taquin aux lèvres. 

« Mon cher fiancé… Et si je vous proposez un petit jeu afin de satisfaire votre soif de voir nos corps se dévoiler de façon équitable, mmmh ? »

Reportant son regard ensuite sur ses mains, les admirant en souriant avec malice, Lovely releva son regard vers Aurelion, poursuivant en souriant toujours avec amusement.

« L’idée est simple, nous allons laisser le choix au hasard mon cher fiancé. Si vous choisissez les cartes, nous allons choisir qui prend les rouges et qui prends les noirs. Après cela, on tirera une carte chacun notre tour, et selon la carte tirée, si ce n’est pas notre couleur, on doit enlever un vêtement. Et si vous choisissez le dès, nous allons choisir qui prend les chiffres pairs et qui prend les chiffres impairs. Ensuite, on lancera le dès et selon le chiffre qui apparaîtra, l’un de nous enlèvera un vêtement si c’est l’un de ses chiffres. » penchant la tête doucement en fredonnant amuser, remuant chaque jeu dans ses mains avec amusement « Alors, qu’en pensez-vous mon cher fiancé ?  »
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One Shot / Re : L'enseignement sur le bout des doigts.
« Dernier message par Rubis Starling le vendredi 08 novembre 2024, 20:54:52 »
Après avoir remplie comme elle le pouvait les feuilles d’exercices qu’elle tendit à son professeur, la jeune étudiante attendait patiemment un signe ou une réaction de celui-ci qui ne tarda pas, le voyant lui sourire d’une façon pas ordinaire tout en se relevant de sa chaise pour venir prendre place derrière elle de nouveau. Et comme tout à l’heure, il se pencha encore, son visage près du sien et sa main sur son épaule, venant à frôler de son autre main la sienne sur la table en jouant avec les feuilles qu’il semblait inspectait tout en lui parlant doucement d’une voix base et sensuelle, la faisant frissonner légèrement avant de rougir de nouveau à cause de ce rapprochement mais aussi car elle fut gênée qu’il ait remarqué qu’elle put être troublée il y a quelques minutes. 

Déglutissant doucement ensuite en ne quittant pas son regard de la table, ses yeux tremblants en repensant à la raison de son trouble, Saphir se mit a rougir de plus belle en sentant la main de son professeur se glissait sur la sienne en la serrant tendrement dans la sienne doucement. Ouvrant ses yeux en grands sous l’étonnement de ce geste, la demoiselle tourna légèrement sa tête vers celle de Cain, croisant son regard et son sourire, écoutant ses nouvelles paroles qui l’informer qu’il allait l’aider à dissiper les raisons de son trouble. Clignant plusieurs fois des yeux en entendant cela, surprise autant des paroles que de cette proximité nouvelle entre elle et son professeur, l’étudiante à la longue chevelure de neige n’eut point le temps de dire quoique ce soit que son cher professeur lui vola un baiser.

Entre choc et surprise, elle ne réagissait pas, se laissant totalement faire et n’essayant même pas de repousser l’homme qui l’embrassait, trouvant même cela agréable qu’elle en ferma quelques instants les yeux en se perdant dans ses pensées. Alors qu’elle profita de la tendresse de ce doux baiser et des tendres caresses dans son cou et sur sa joue que lui offrait Cain, les pensées de Saphir l’assaillit, se demandant dans un premier temps pourquoi son professeur faisait ça, se demandant ensuite pourquoi c’était si agréable pour ensuite venir se questionner sur la douceur des lèvres et mains de celui dont elle était amoureuse, se questionnant si ce serait aussi agréable avec lui.

À ses pensées, elle se laissa un peu aller malgré elle, gémissant doucement avant que son professeur reprenne la parole en lui demandant de ne pas faire de bruits, mettant fin au baiser pour le moment. Et revenant doucement à elle, elle cligna plusieurs fois des yeux en rougissant avant de détourner le regard et regarder ailleurs, se pinçant doucement les lèvres gênée et honteuse de ce qu’elle avait laissé faire, de ses pensées et de ce trouble qui avait put être perçu par Cain.

« Je… Désolée, je… Je…   En effet, je… Je reconnais que j’ai été troublé tout à l’heure… Je… Disons qu’il y a des choses auxquelles je n’arrête pas de penser… Et je… »

Soudain, le téléphone de la jeune étudiante se mit à vibrer, poser sur la table à côté de ses livres et son matériel scolaire. Une notification de message s’afficha a l’écran, suivit du nom de l’expéditeur ainsi que du début du message. Reportant son regard vers son téléphone, Saphir cligna plusieurs fois des yeux avant de rougir et sourire légèrement en regardant son téléphone, des yeux pétillants tendrement qui devinrent ensuite troublés de nouveau, faisant baiser la tête de la demoiselle en regardant sur le côté dans le vide, se mordillant la lèvre légèrement et nerveusement un peu.

« Je… Pour être honnête avec vous Professeur… Je… Je suis am-a-amoureuse et… C’est… C’est ce-cela qui me trouble… »

Le téléphone vibrant une nouvelle fois en affichant une nouvelle notification du même expéditeur, la jeune étudiante aux mirettes bleutées releva son regard vers celui-ci, esquissant un petit sourire de nouveau avant de se mordre encore les lèvres en ayant son regard qui passait de joie à tristesse presque. Puis déglutissant doucement, elle ferma les yeux en détournant le regard, baissant de nouveau la tête tout en la tournant doucement sur le côté à l’opposé du visage de son professeur si avenant qui avait tout écouté sans en perdre une miette sûrement, comme tout bon enseignant prêt à aider son élève sûrement et qui avait sûrement compris que le trouble de la demoiselle était lié à celui qui lui avait envoyé des messages et dont elle disait être amoureuse.
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Le coin du chalant / Me voilà revenue.
« Dernier message par Lady Shiny le vendredi 08 novembre 2024, 19:29:54 »
Mmh.
Ça faisait un moment, non ?

(C'est un peu une surprise pour moi, je vous l'avoue.)

Je crois que le RP m’a beaucoup trop manqué, alors je crois que j’ai envie de revenir jouer ici.

Je vous épargne les détails qui m’ont tenue loin du RP – un peu de lassitude, une grosse thèse, etc – mais là, je veux écrire.

Je sors Shin pour l’occasion, puisque c’est la première que j’ai eu en tête en envisageant mon retour ; néanmoins, Eyia me manque aussi. On parle donc ici d’une flambeuse qui ne respire que lorsqu’elle ressent des sensations fortes et d’une petite déesse, un peu tête brûlée, un peu arrogante.


Après, on peut envisager Hera aussi. Là, il faut plutôt imaginer, disons, la reine de l’Olympe que l’éternité a rendu plutôt blasée et qui cherche de quoi se divertir. Elle a eu sa petite phase « questionnements existentiels » (aka « et si je fuguais, tiens »), mais elle a fini par revenir briller de mille feux sur le trône de l’Olympe.

Je vous laisse, si vous le souhaitez, checker mes anciens RPs– même si de l’eau a coulé sous les ponts (je ne pense plus vraiment écrire de la même manière et j’ose espérer que mon écriture a vieilli comme un bon vin de garde).


N’hésitez pas à m’envoyer un MP sur ce compte ou à poster ici, quel que soit le personnage qui vous intéresse ♥


S’il reste des ancien(ne)s, vous connaissez toute ma petite constellation de personnages. Si l’un ou l’une d’entre eux vous manque, n’hésitez pas à me MP.


Je tiens à préciser que je ne compte pas me (re)lancer dans une pléthore de RPs ; j’aurais du mal à bien gérer cela, et cela desservirait mes partenaires. On va y aller doucement, ahah.
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