Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les contrées du Chaos / Re : Une prestation d'exception ( Astral Bonds & Marguerite )
« Dernier message par Astral Bonds le dimanche 21 avril 2024, 12:02:11 »

Han & Marguerite & Yõkai

Dans son élan de passion, saisit ma main et la guide vers son cou, me signifiant clairement son désir. Je resserrais mes doigts autour de sa peau, affirmant ainsi ma domination sur elle, savourant chaque instant de contrôle. Alors que ma queue pénétrait son vagin, je ressentais une délicieuse humidité qui m'enveloppait, m'incitant à aller plus loin. La sensation de confort et de familiarité alors que je m'installais en elle me procurait un plaisir indescriptible, comme si nous étions destinés à fusionner de cette manière. Un soupir de plaisir m'échappait tandis que mon regard, empreint d'intensité, transperçait le visage de Marguerite. En lisant dans ses désirs grâce à mon pouvoir, j'ajustais la cadence de mon bassin pour qu'elle ressente avec exactitude le plaisir qu'elle attendait de moi. « Gémis... hurles petite ! » Mes doigts resserraient leur étreinte, exprimant mon désir ardent de l'entendre gémir jusqu'à l'extase ultime. J'aspirais à la voir baver de plaisir, jusqu'à ce que ses yeux se révulsent sous l'intensité du moment... !

Mes doigts attrapaient fermement ses hanches, tandis que je finissais par pénétrer son petit anus serré avec ma queue imposante. Un frisson de plaisir m'envahissait alors que je la harcelais de coups de reins, savourant chaque gémissement qui s'échappait de ses lèvres. La sensation de la chaleur étroite de son anus autour de ma verge me rendait fou de désir... bordel ouais ! Je la sentais se tordre sous moi, son corps réagissant à chaque coup de rein avec une soumission délicieuse. « Rhan... putain, c'est... BON ! » Une vague de puissance m'envahissait alors que je dominai Marguerite de manière incontestable. Je me sentais invincible, tel un roi régnant sur mon royaume de luxure et de désir !

Les secondes s'égrainaient lentement, comme si le temps lui-même se courbait à notre volonté. Finalement, je décidai de mettre Marguerite sur le dos, l'invitant à s'allonger sur mon torse. Les verges sortirent de ses orifices, lui laissant un temps de répit. Je guidai ma queue dans son anus, savourant la sensation de chaleur et de serrage qui m'accueillait. Pendant ce temps, Han prit place dans sa chatte brûlante et dégoulinante, l'enfonçant sans la moindre retenue. Aussi, il attrapa fermement les chevilles de la servante, les relevant en l'air tout en écartant ses jambes avec autorité. Alors que je guidais ma queue en elle avec une précision habile, je saisis aussi les seins fermes de Marguerite, les utilisant comme une accroche pour intensifier l'atmosphère salace. Je malaxais ses seins avec une fermeté délicieuse, titillant ses mamelons dressés avec une expertise sensuelle, ainsi, l'ébat se poursuit afin de ne lui laisser aucun répit.
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« Han »
« Yôkai »
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Prélude / Re : Armand G. [Anéa]
« Dernier message par Armand G. le dimanche 21 avril 2024, 11:38:36 »
Merci vous deux :)
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Prélude / Re : Armand G. [Anéa]
« Dernier message par Rieseth le dimanche 21 avril 2024, 11:07:19 »
Bienvenue
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Prélude / Re : Armand G. [Anéa]
« Dernier message par Dionysia Laodice Sergotim le dimanche 21 avril 2024, 09:04:10 »
Bienvenue Armand ! Hâte de découvrir ton pouvoir d'E.S.PER !
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Les contrées du Chaos / Fête du printemps (Camille & Marguerite)
« Dernier message par Camille l'ambigu(e) le dimanche 21 avril 2024, 07:59:35 »
Le printemps, belle saison où la nature s’éveille, c’est le moment de l’année que Camille préfère. Finie la torpeur hivernale, et pas encore les chaleurs estivales. Le printemps, c’est aussi la saison où les sens s’éveillent, où la folie revient.
La folie, c’est bien le terme, tant Camille est fou d’amour pour ce beau brun dont il a fait la connaissance sur le site “un mec une nuit”. L’amour n’a pas sa place dans ces rencontres d’une nuit, juste pour le sexe, mais sait-on jamais.
C’est une période où la féminité de Camille a pris le dessus, et il s’est pomponné pour ce rendez-vous galant, sans excès mais sans ambiguïté. Son pantalon de toile ne laisse aucun doute sur sa masculinité, mais tout le reste de son corps vêtu d’un chemisier blanc rappelle sa féminité.

Son amant d’une nuit, et peut-être d’une vie, lui a donné rendez-vous devant le parc de Seikusu, un endroit si romantique, et puis il y a les sous-bois tout proches, s’il faut se cacher pour faire des cochoncetés.
Vingt heures à son smartphone, Camille n’a vu passer personne, hormis un grand brun élancé, précisément, qui aurait pu être son futur amant, mais ne lui a même pas accordé le moindre regard.

Vingt heures et dix minutes, Camille patiente toujours, espérant que ce ne sera pas un rendez-vous manqué, comme il en a déjà trop connus.
“Hé, petite fiotte, j’ai ça pour toi !”, l’expression immonde déchire soudain le silence qui inquiétait Camille. Il aperçoit aussitôt, sur le trottoir d’en face un individu, une batte de base-ball en mains.
Et pas qu’un seul… car d’autres apparaissent, tout aussi menaçants. Cinq au total, tous agitant leur batte sans ambiguïté. L’un de la bande surenchérit “Tu voulais te faire défoncer le cul ? On en a cinq grosses pour toi !”.

Leur effet de surprise est inéluctable, et ils se croient invincibles vu l’effet de masse. Cinq gaillards en gros godillots, un turban noir sur la tête, et la lumière du réverbère montrant clairement le visage de celui qui aurait dû être son amant ce soir.
Pour y passer de longues journées, récemment encore à guetter les éclosions printanières, Camille connaît le parc par coeur, ses coins et ses recoins qui peuvent devenir d’infinies cachettes. Oui mais, contre cinq monstres assoiffés de sang, ça ne suffira pas !
Il se retourne, prend son élan, et saute la grille du parc, ce que les gros lourdauds ne pourront pas faire aussi facilement. Pourtant, leurs cris de haine ont aussitôt déchiré le silence, “Il se barre, chopez-le !” indique clairement ce qu’ils veulent.

Camille court à perdre haleine. Il entend au loin les bruits des bottes massacrer le sol paisible de ce joli parc. Il atteint enfin l’allée des cerisiers sakura, dans un calme presque rassurant. Mais soudain “Il est là-bas, chopez-le !” lui rappelle qu’ils sont encore à ses trousses.
L’allée est trop droite, ils l’ont en point de mire. Il tourne soudain à droite, longeant la petite mare brumeuse qui le dissimulera un peu, et saute la grille du parc pour filer vers les sous-bois. Ce n’est pas un lieu de rendez-vous, mais ça les déroutera peut-être.
Camille connaît aussi ces lieux, qu’il fréquente quand l’automne doré se plaît dans les feuillages. Même à la nuit, il parvient à se repérer dans ces allées innombrables. Eux aussi semble-t-il  car il entend encore leurs voix au loin !

Il s’engage dans une plus petite allée sur sa gauche, un chemin peu large même. Quand, soudain, il se sent comme happé par un tourbillon. Il ne comprend pas, il tourne sur lui-même, avant d’être aspiré dans une sorte de tunnel noir où il continue de tourner, avant d’être expulsé vers le dehors.
Expulsé comme un pet, c’est littéralement cela ! Expulsé dans une sorte de clairière, où il parvient à retomber sur ses pieds, et perçoit aussitôt des clameurs au loin, comme si la poursuite continuait toujours, après être passé dans ce mixer.
Pourtant, il y a de la musique qui accompagne ces clameurs. Il semble même y avoir des rires, comme si c’était une fête. Sauvé ! Camille se dirige aussitôt vers le lieu de cette fête ; il va demander de l’aide.

Mais ce qu’il découvre le cloue sur place : une fête médiévale, une sorte de bal costumé. Toutes et tous sont habillés comme au Moyen-Age ou un truc comme ça, les grandes tables et les charrettes entassées corroborent la période, sans oublier qu’ils ne boivent pas du Champagne dans des flûtes en cristal, mais plutôt de la vinasse dans des godets en terre cuite.
Avec son pantalon de toile, et sa chemise de lin, il ne va pas trop dépareiller ; il s’avance, hésitant.
Si c’est une soirée déguisée, c’est très réussi, plus vrai que nature même.
Il avance, hésitant. Nul ne semble faire attention à lui. Il repère le lieu des boissons. Il y a des tonneaux où coule un breuvage rougeâtre, du vin de mauvaise qualité sans doute, dont il ne veut pas s’abreuver. Pourtant, sa course effrénée lui a donné soif, et il avise un pichet en mauvaise ferraille, dont l’eau fraîche, même d’un goût douteux, l’abreuve enfin, versé dans une espèce de godet assorti.
Enfin, il peut mieux regarder cette étrange assistance.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Quand Camille rencontre Camille
« Dernier message par Camille Sawal le dimanche 21 avril 2024, 07:56:29 »
C'est une nouvelle journée qui commence pour Camille et comme à son habitude, elle l'aborde avec insouciance et légèreté.
Elle se réveille en fredonnant une chanson qui lui trotte dans la tête et entame sa routine matinale toute guillerette. On aurait pu croire que sa bonne humeur était due à sa rencontre de la veille, mais il n'en était rien; c'était dans la nature de Camille d'aborder la vie comme une comédie musicale.
Bien entendu elle avait repensé à ce beau (belle?) photographe, mais elle était bien vite passée à autre-chose, à mille lieux d'imaginer que cette rencontre allait bouleverser son quotidien.

Après un rapide passage à la douche, elle attrape les vêtements soigneusement pliés la veille, et se prépare silencieusement devant son miroir. Toute l'opération se déroule sans un bruit si ce n'est la petite mélodie qu'elle murmure afin de ne pas réveiller son père. Enfin, elle endosse son sac de cours au motif de nuages japonais sans jeter le moindre coup d’œil à son agenda: elle connaît son planning par-cœur et elle sait que ses devoirs sont à jour voir même en avance.
La maison de Camille est typiquement japonaise: étroite, cloisons en papier de riz et tatamis au sol. L'ensemble, un plein pied composé de trois chambres, une salle d'eau et une pièce de vie, se situe dans un quartier modeste de Seikusu. Camille aime bien l'ambiance "petit village" de son quartier ou tout le monde se connaît.

Elle salue en passant Mr Sato, le propriétaire du petit restaurant de Ramen attenant à sa maison puis descend la ruelle pour rejoindre la cour à l'orme un peu plus bas. Le reste du trajet se poursuit par une succession de passages étroits entre les vieilles maisons, un terrain vague bordant un petit immeuble
résidentiel puis une rue commerçante qui débouche sur l'avenue principale. De là, le trajet est tout droit jusqu'à son lycée. Elle retrouve Yumi, sa meilleure amie et confidente à l'arrêt de bus et elles finissent le trajet ensemble jusqu'au Lycée. Elles pourraient prendre le bus pour arriver plus vite, mais les deux jeunes filles sont en avance et elles aiment bien profiter de ce moment pour discuter, se raconter leurs rêves ou parler des garçons. Si Camille repense au photographe, elle n'en dit rien à Yumi.

La journée passe à une vitesse folle, d'autant que le vendredi est une journée courte et Camille décide d'accompagner Yumi au Starbucks avant de rentrer faire ses devoirs.
Il y a deux types de Starbucks de par le monde: les magasins réaménagés avec le strict nécessaire sans la moindre âme (comptoir, deux-trois tables le long d'une vitrine et rien de plus) et ceux qui ont du charme et un personnalité.
L'établissement favori de Camille et Yumi fait partie de la deuxième catégorie. Ancienne distillerie de Saké, bien situé à l'angle de l'avenue et des rues commerçantes, ce Starbucks ne désemplit pas et tourne du matin au soir. La grande salle est décorée dans un savant mélange de décoration industrielle et traditionnelle. De larges tuyaux parcourent le haut plafond et des alcôves chaleureuses entourent la salle. Une baie vitrée au fond donne sur une petite terrasse ombragée et agréablement végétalisée.

Les deux amies s'installent sur la terrasse après avoir commandé un Expresso pour Yumi et un Iced Cappuccino pour Camille. Elles ont sorti leurs cahiers, mais leur conversation tourne plus autour des dernières séries qu'elles ont pu voir.

Puis viens le moment ou depuis la salle, la barista appelle Camille pour que celle-ci vienne prendre sa commande...
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Centre-ville de Seikusu / Re : All hail the kings. [ft. Nyora's Club]
« Dernier message par Astral Bonds le dimanche 21 avril 2024, 01:04:35 »

Roy & Yõkai & Jun & Gentaro & Han

Son anus serre mon gland avec une douceur enivrante, m'incitant à plonger plus profondément dans cet océan de plaisir. Symphonie de gémissements et de soupirs, nous nous laissons emporter par la passion qui nous consume. Nos corps se meuvent en parfaite harmonie, deux âmes se rejoignant dans une danse enfiévrée où chaque contact est une vague chaleureuse. Je caressais le cul de Jun avec mes mains habiles, profitant de la fermeté et de la douceur de ses fesses blanches entre mes doigts. La rondeur de ses courbes m'envoûtait, éveillant en moi un désir brûlant et insatiable alors que je m'abandonnais à l'exploration de son corps. « Les gars... défoncez la comme il se doit ! » Je me suis finalement décidé à bouger mon bassin de façon à la pénétrer plus profondément, plus violemment dans son anus. Un grognement rauque de plaisir s'échappait de mes lèvres tandis que ma langue baveuse glissait sur ses mamelons dressés, répandant sa salive sur leur surface tendre.

Mon souffle s'accélérait alors que je regardais ma queue se faire gober par la bouche de Jun, tandis qu'elle branlait Yôkai avec une expertise fascinante. La sensation de sa langue chaude et humide enveloppant mon membre me faisait frissonner de plaisir, putain ouais... « Suces-moi bien plus fort... ! » La douceur de sa bouche, combinée à la fermeté de sa prise, m'envoyait au bord de l'abîme du plaisir. Son regard brûlant de désir de Jun me captivait, ses yeux étincelant de luxure alors qu'elle me dévorait avec une voracité affamée. Je sentais mon souffle s'accélérer alors que Jun me branlait avec une habileté exquise, sa main glissant le long de ma queue avec une douceur enivrante. Lorsqu'elle tourna la tête vers ma verge tendue, je sentis une pulsion sauvage s'emparer de moi. D'un mouvement ferme mais empreint de désir, je guidai sa bouche affamée vers mon membre, l'incitant à le gober avec voracité. Son souffle chaud caressait ma peau alors qu'elle engloutissait ma queue, la serrant entre ses lèvres avec une détermination qui faisait naître en moi un frisson délicieusement interdit. Mon bassin bougeait instinctivement, guidant ma verge plus profondément dans sa gorge, cherchant à la faire ressentir chaque centimètre de mon désir brûlant.

« Bonne fille... »

Je me voyais entourer d'une rage brûlante alors que je pénétrais sa chatte avec hargne, chaque mouvement empreint d'une sauvagerie incontrôlable. Une claque sonore résonna dans la pièce alors que je frappais son cul avec force, un éclat de luxure dans mes yeux alors que je sentais ses gémissements de plaisir se mêler aux miens. Saisissant ses cheveux d'une main, je les tirais avec fermeté, cherchant une accroche plus certaine alors que je m'enfonçais encore plus profondément en elle. Les éclats de plaisir qui émanaient de sa bouche m'incitaient à aller toujours plus loin, à explorer chaque recoin ! « On sent qu'il y a eu du passage hein... ?! » Les éclats de plaisir qui émanaient de sa bouche m'incitaient à aller toujours plus loin, à explorer chaque recoin de son être avec une férocité insatiable. Je me laissais emporter par cette cascade d'émotions, mes mouvements devenant plus rapides, plus puissants... Putain, c'est puissant, j'en veux... j'en redemande !

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« Roy »
« Yõkai »
« Han »
« Gentaro »
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Prélude / Re : Armand G. [Anéa]
« Dernier message par Armand G. le samedi 20 avril 2024, 23:43:22 »
Merci :)
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Prélude / Re : Leon Redgrave, Devil Hunter [Anéa]
« Dernier message par Anéa le samedi 20 avril 2024, 23:35:25 »
Tu es validé ! o/

Amuse-toi bieng !  :D
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Centre-ville de Seikusu / De l'autre côté de l'écran (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Camille l'ambigu(e) le samedi 20 avril 2024, 23:02:18 »
fais-moi jouir grâce à mon cul”, les mots crus de Tenshi encourage Camille, qui n’aurait jamais imaginé auparavant enculer une femme aussi chaude, et en remercie la pilule magique. Peu importe le moyen, seul compte le résultat. La belle femelle infidèle apprécie, et Camille pourra découvrir et apprécier sur les vidéos qu’elle enregistre sans nul doute. Ca lui fera un souvenir concret de cette soirée mémorable.
Il espère d’ailleurs qu’il y a bien une caméra pointée au plus juste sur la petite rondelle de Tenshi, qui est plutôt un gouffre béant pour le moment.

Un premier éclair violent vient frapper la queue de Camille. Les jets se mettent en position pour jaillir, et c’est l’un des derniers signaux avant la (dé)charge.
Il veut néanmoins attendre Tenshi ; c’est elle qui l’a mené, depuis leur rencontre, dans des paradis insoupçonnés, où nulle autre ne le mènera jamais.
Il ralentit un petit peu le rythme, percevant alors, entre leurs souffles entrecoupés, un clapotis qui en dit long sur l’état deTenshi.
Une femme fontaine ?”, se dit Camille. “Eh bien, j’ai tout gagné, même ça !”.
Une femme qui maîtrise chaque réaction de son corps, une femme qui lui offre une incroyable complicité sexuelle, une femme qui lui fait comprendre que…

Alors Camille empoigne plus fermement encore ses hanches ; son corps se tend vers l’avant en un ultime coup de reins qu’il veut pousser au plus profond de l’anus, et, hurlant un “Raahhh!” qui a dû s’entendre dans tout le love hôtel, il sent le premier jet jaillir, prisonnier du cul de Tenshi, bientôt suivi d’un autre, encore et encore un autre.
Et il découvre un fait inouï ; ce qu’il soupçonnait avant se confirme. Tenshi prend tellement son pied, qu’elle en coule sur ses couilles ! Camille la tient fermement collée à lui, pour ne rien perdre de cette sensation inconnue pour lui. Et, même s’il continue à se vider dans son cul à grands coups, au point que ça va finir par déborder, il ne relâche pas l’étreinte.
Oh putain, ce que c’est bon !”, c’est la première fois que Camille sort un mot crû en de telles circonstances.
Je vais devenir folle à la longue”, Tenshi lui offre le plus beau des compliments.
Si tu en as toujours envie, je ne suis pas prêt d’arrêter”, lui répond Camille, détachant le foulard qui lui liait les poignets, et faisant glisser peu à peu sa bite hors du trou anal qui este béant. Camille l’essuie sur le bas du dos de Tenshi, avant de soupeser ses couilles mais surtout d’y apprécier la mouille de Tenshi.
Tu es incroyable”, lui murmure-t-il dans l’oreille, se penchant sur elle pour lui déposer un délicat baiser dans le cou, avant de s'allonger tout contre elle, sans avoir débandé, caressant doucement sa joue encore brûlante, et se demandant quelle idée folle a-t-elle en tête en ce moment.
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