Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Grayle le pérégrin

Pages: [1] 2 3 ... 26
1
Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: mardi 25 mars 2025, 23:37:21 »
Il l'entendait. Il le sentait. Qu'elle le veuille ou non, la femelle commençait à apprécier le traitement subi. A chaque coup de rein, sa longue verge s'enfonçait de plus en plus aisément en elle, comme absorbé par la vulve de la terranide. Aussi déterminées et valeureuses qu'elles étaient, les terranides, en particulier les femelles, étaient incapables de lutter contre leur nature primitive et animale. Résister aux plaisirs de la chair était impossible pour eux. Ainsi, alors qu'elle gémissait, n'essayant même plus de cacher son plaisir alors que le bassin de l'homme continuait de percuter ses croupe, il la saisit fermement par les hanches.

- Tu... ah... deviens raisonnable ! Brave fille...

Les mouvements du bassin de Grayle étaient moins agressifs et violents, plus langoureux, plus amples, son pénis sortant presque entièrement avant de se refourrer en elle. Il respirait de plus en plus fort, et les minutes défilaient, leurs plaisirs et cris conjugués devenant de plus en plus évident. Il le sentait, il était en train de perdre pied.

- Han... han.. t'es... aaaah... t'es un appel au sexe Sarya !

Il se pencha en avant, saisissant un poignet de la shaman, puis un autre. Elle se retrouva avec ses deux bras tirés vers l'arrière, la forcant à relever son visage et d'accentuer sa cambrure. Courbée ainsi, elle pouvait ressentir chaque millimètre de la verge humaine aller et revenir en elle. A chaque coup de boutoir, un bruit spongieux se faisait entendre, celui de la semence projetée entre ses fesses et ses cuisses, mélangée à la cyprine.

- Han, han, ha...

Il avait accélléré ses mouvements d'un seul coup. Le plaisir, foudroyant, irrésistible, pris possession de tout son être. Continuant de tirer sur ses bras, il se cambra vers l'avant, entièrement fiché en elle, son gland directement au fond de son utérus. Pour la seconde fois, il se vida en elle, le foutre brûlant et gorgé de magie rose se répandant en elle tel un tsunami, se répandant sur le sol.

Il poussa un râle primitif et vulgaire, avant de se laisser tomber en arrière, emmenant Sarya à sa suite. Ses fesses cognèrent contre ses propres talons, avant que ses jambes ne glissent sur l'herbe de la forêt. Il se retrouva assis par terre, jambes écartées, Sarya dos à lui, assise et empalée sur lui, les bras toujours prisonniers de la poigne de l'homme. Contre son dos, elle pouvait sentir la poitrine humide et le torse brûlant de l'humain, sentir son odeur musquée de mâle. Petite, ses oreilles caressaient le menton de Grayle, qui la tenait fermement contre elle. Mais surtout, elle avait une vue parfaite sur la verge qui déformait son bas-ventre, duquel coulait une quantité invraisemblable de semence, au point qu'une petite flaque commençait à se former.

- Ha... t'es une vraie salope... dit-il d'une voix qui n'était pas la sienne, complètement drogué par les produits illicites. Son sexe était toujours dur et vigoureux.

Il se cambra, s'enfonçant en elle. Impossible pour elle de manquer ce spectacle, sauf si elle décidait de fermer les yeux.

- Les terranides comme toi sont faites pour prendre les bites d'humains... pas vrai ? Avoue que t'aime ça...
dit-il en ponctuant chaque syllable d'un coup de rein ravageur.

2
Les terres sauvages / Re : Chasseurs d'Éternité (Yukka/Grayle)
« le: mardi 25 mars 2025, 23:04:13 »
Avec la prudence d'un serpent dans une usine de sacs à main, Grayle continue son avancée. Ses siècles d'expérience, et sa préparation lui avaient permis d'esquiver la totalité des monstrueux prédateurs, ne laissant quasiment aucune trace derrière lui. Se faufilant entre deux arbres, il se dirigeait en direction du sud, un détour qui allait le ralentir, mais permettrait d'éviter les principaux dangers qu'il croiserait s'il se dirigeait directement vers l'est.

Il n'y avait qu'un réel danger, outre les salamandres explosives, les tapirs invisibles et les araignées volantes : les marécages, dont l'eau et la boue pouvaient vous aspirer tels des sables mouvants. Heureusement, Grayle était tout juste assez léger pour leur échapper, ces derniers essayant surtout d'attraper des proies plus lourdes.

Oui.

Essayaient.

La subtilité de cette région était que...

- Hm ?

Progressant à couvert, dans l'ombre des arbres longeant la quasi-rivière du marais, dont le lit était retiré, Grayle aperçu une scène insolite : un terranide coincé, englué dans la boue, à quelques pas pourtant de la rive. Il resta immobile quelques instants.

En premier lieu, écouter ses yeux, puis ses oreilles, sa tête, et enfin seulement, son cœur. Alors, il l'observa. Il cru au début apercevoir un mâle, mais il s'agissait en réalité d'une femelle, dont la taille et la musculature l'avaient trompé. Elle était grande et puissante, aux jambes aussi épaisses que son tronc, aux bras puissants et aux formes opulentes, ses muscles contractés par l'effort, alors qu'elle pestait, la branche à laquelle elle s'était accrochée se brisant dans un craquement sec.

Puis, en s'avançant, il vit qu'elle n'était pas une terranide, mais... autre chose. Il ne voyait pas ses pieds, mais à la forme de ses jambes, imaginait des sabots. Pas de fourrure, mais une peau glabre. Clairement un être intelligent. Ses yeux continuent de la parcourir. Une armure lourde protégeant son torse. Une hache obscénement large. Une paire de sacs.

Une aventurière, comme lui. Hostile ? Une rivale ?

Tout être humain normalement constitué l'aurait probablement laissée mourir. Il n'y a rien à gagner et tout à perdre à risquer de s'exposer pour venir aux secours d'un potentiel ennemi qui, de toute évidence, était assez fort pour vous briser en deux.

Mais Grayle était immortel. Libre des conséquences d'une erreur potentiellement fatale.

Alors, il vint à son aide, sortant de sa cachette. Il se montra à elle, levant les mains pour indiquer qu'il n'avait pas d'arme, ou, du moins, pas d'intention hostile.

- Bonjour ! dit-il d'un ton rassurant. Il ne fit pas l'affront de lui demander si elle avait besoin d'aide. Arrivé à quelques mètres d'elle, à l'abri sur la rive, il déposa son sac au sol, en tirant une longue et solide corde, qu'il lanca vers elle. L'étrangère n'eut aucun mal à l'attraper.

- Nouez là autour de vous bras ou votre torse dit-il en s'éloignant tenant la corde qui devait facilement faire une vingtaine de mètres. Comment tenait-elle dans son sac en apparence si petit ? Mystère... Il l'attacha autour du tronc d'un arbre voisin, puis à sa propre taille, dans un double système de sécurité, de manière à ce qu'elle soit parfaitement tendue entre l'arbre et l'étrangère, avant d'enfiler des gants.

- Ne vous agitez surtout pas, où vous vous enfoncerez encore plus vite ! Penchez vous en arrière, ca fera remonter vos pieds et resolidifiera le sol. Et dès que vous avez une meilleure prise... tirez sur la corde pour pour hisser en dehors.

Il tendit les bras vers elle. Il n'était pas aussi large et grand qu'elle, mais un simple coup d’œil lui permettait de voir que les avant-bras du jeune homme étaient solides et que ses jambes étaient aussi musclées et puissantes que les arbres environnants.

- Une fois à portée de mes mains, agrippez les autant que possible à mes bras. Je peux aussi vous tirer de là, et aucune chance que je me fasse aspirer par les sables avec ma corde.

Il fronça les sourcils.

- Ah, et vous pouvez aussi lancer vos sacs sur la rive. Promis, je ne vais pas vous voler !

Il lui fit un sourire, mielleux et charmeur, ses yeux bleus brillants sous les bandes d'onguent vertes parcourant son visage, similaire à celles traversant son torse et ses bras.

- Allez Madame ! Faisons vite ! Cette région est vivante. La nature veut vous tuer. Vous êtes dans le lit d'une rivière. Elle a retiré son eau pour vous piéger dans sa boue. Et bientôt, l'eau va revenir... et vous emporter.

3
Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: vendredi 21 mars 2025, 21:33:50 »
- Bah ? Tu t'en va ?

La voix de Grayle semblait presque innocente, et aurait même été attendrissante, si la réalité de la situation n'était pas aussi cruelle : une femme essayait désespérément d'échapper à son violeur, sans le moindre succès. Elle avait à peine parcouru quelques mètres que le mâle, sorti de sa torpeur, saisit la terranide par la queue, ses doigts agrippant ses poils soyeux, caressant la base de son dos avec envie.

- Vilaine fille, dit-il avec humour, avant d'administrer une violente claque sur sa fesse droite, le "SLAP" retentissant entre les arbres. Il se mit à rire, refrappant ses fesses par trois fois, laissant la peau rougie, avant de doucement pétrir la chair devenue sensible.

- T'as un beau cul tu sais, dit-il avec une désarmant franchise, se rapprochant d'elle et l'empêchant de s'enfuir. Les mouvements paniqués de la terranide étaient totalement ignorés par l'humain. La vision de sa croupe et de son intimité rose béante et dégoulinante de son propre fluide avait trop excité l'humain pour qu'il ne prête la moindre attention à quoi que ce soit d'autre. Sarya put sentir, contre ses fesses, la verge puissante et dure de l'homme, brûlante contre sa fourrure.

- Je vais te faire passer l'envie de t'enfuir...

La maintenant fermement en place, il s'enfonca vivement en elle dans un grand râle de plaisir. Cette fois, il n'avait pas eu à forcer le passage. La chatte bien huilée et humide de la terranide était devenue, malgré elle, un fourreau acceuillant et sans défense, s'écartant presque de lui-même pour laisser passer le vit, qui s'enfonça totalement, compressé par les chairs cannelées de la terranide.

- Oh putain, ouais...

Il avait failli être assommé par la sensation délicieuse de son sexe massé par les entrailles brûlantes de Sarya. Affecté par les puissantes effluves de magie rose dans son sang, Grayle avait un besoin d'éjaculer presque aussi pressant que celui de dormir, de manger ou de boire. Son être entier était concentré sur cet objectif, et, bien vite, il se mit à onduler, son bassin percutant le cul de Sarya avec vigueur tandis que sa verge gorgée de sang et aux veines épaisses s'engouffrait profondément en elle, se retirant presque totalement pour revenir l'écarteler l'instant d'après.

- Aaaaah... alors, tu vois... ca aurait été dommage de partir ! hahahaha !

Son rire était presque maniaque, rythmé par ses coups de boutoir. Sa puissante poigne permettait de maintenir la terranide alors qu'il la martelait avec envie, à un rythme croissant lentement en vitesse. La belle shaman, à quatre pattes dans l'herbe, vivait une situation bien connue de millions de femelles terranides, saillie vigoureusement par un mâle humain impatient de se vider en elle. Une expérience marquante, tant physiquement que psychologiquement...

Le cerveau vrillé par la magie rose, pétrissant sa croupe avec envie, Grayle n'était concentré que sur une chose : lui infliger la plus délicieuse levrette de son existence...

4
Toute résistance dans l'esprit du pérégrin fut anéanti lorsque l'intruse, cette dénommée Thanélis, s'empala sur lui. Son intimité était similaire à celle de Thaïs : étroite, humide, brûlante, et effroyablement plaisante. La sensation fut telle qu'il eu un sursaut, alors que, dans un soupir de plaisir, la jeune fille se rehaussait pour s'empaler une seconde fois. Elle se mit à jurer comme une charretière.

- Putain qu'est-ce t'as une bonne bite Grayle ! s'exclama-t-elle en rugissant, profitant de la verge dressée. Malgré sa rébellion, Grayle n'avait en effet été qu'un jouet entre ses lèvres et l'homme serrait les dents en râlant d'un plaisir forcé contre lequel il était incapable de lutter. Il ne doutait pas qu'elle pourrait en effet faire de lui son jouet, et se concentrer sur autre chose que le corps féminin se trémoussant sur lui devenait de plus en plus dur.

Il ferma les yeux, avant de les rouvrir, essayant de se concentrer sur autre chose et d'ignorer le bruit spongieux de sa verge s'introduisant dans cette intimité étroite, des gémissements de plaisir de la jeune fille, des craquements mous du lit. Le lit de Thaïs. Ou était-elle ? Il ne la sentait plus. Etait-il seul ? Allait-il réellement se retrouver isolé, comme il l'a été pendant des siècles, sans jamais sentir un autre cœur que le sien battre ? Quelques larmes de colère coulèrent de son visage alors qu'il serrait des dents, essayant de tirer sur ses liens...

Ils cédaient. Bandant ses muscles de toutes ses forces, il tira encore plus viollement, au point de faire saigner son bras, et vit avec joie qu'ils étaient moins solides qu'il ne l'avait craint. Mais il devait rester discret, où elle se rendrait compte de sa manœuvre et le lui ferait payer. Il devait lutter à sa manière...

Se cambrant, il pénétra la jeune fille avec violence, qui poussa un cri de plaisir.

- Ah, enfin tu t'y met Brave chien... encore ! Montre moi ce que tu sais faire... han, han, han !

Les cris perçants de Thanélïs résonnaient de plus en plus fort dans la villa, alors que Grayle grognait. Elle disait qu'ils la suivait... avait parlé de Knuf... qu'est ce qui se passait ici ? Grayle était complètement perdu, et un frisson de plaisir le fit convulser, alors qu'un coup de bassin de l'alter-ego, plus vif que les autres, avaient été à deux doigts de le faire exploser.

Et puis, soudainement, l'écho de Thaïs revint.

Il pouvait la sentir. Toute proche. Elle était revenue ! Ou qu'elle fut "empêtrée", il ressentait les ondes de sa présence, de son existence. Tout près, à quelques mètres ! Son coeur était agité, inquiet, mais puissant et plein de vie. Il du se retenir de l’appeler à l'aide, afin de ne pas trahir sa présence. A deux contre Thanélïs, sûrement, ils pouvaient vaincre ! Il continua de tirer sur ses liens. Ils étaient presque détachés... maintenant, il fallait juste attendre le bon moment... il fallait juste...

- Ah...

Grayle poussa un râle de plaisir, à quelques secondes d'éjaculer, complètement vaincu par le rythme soutenu imposé par la jeune fille au-dessus de lui. Les sensations de Grayle se répétèrent en écho à Thaïs, qui, à peine entrée, pouvait comprendre que son compagnon était en plein coït, et ressentir en elle les vibrations de sa luxure. Lorsqu'elle entrera dans la pièce, elle pourra voir son compagnon, allongé sur le lit, attaché, et sur lui, une quasi-jumelle, en train de s'empaler avec langueur...

5
Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: vendredi 14 mars 2025, 23:21:45 »
Les cris de désespoir de sa proie ne faisait qu'exciter le chasseur en lui. Les rôles étaient reversés, et c'est lui qui dominait celle qui avait causé sa mort, remuant son petit corps à chaque impulsion de son bassin. Ses entrailles étaient étroites, brûlantes et commençaient à s'humidifier, ne serait-ce que par instinct de survie, afin d'éviter qu'elle souffre. Il poussait un grand râle de plaisir à chaque fois, diminuant la douleur présente dans son sexe, mais temporairement seulement, le forçant à se retirer pour revenir en elle.

Ses mains tirèrent ses mamelons avec envie, pétrissant la poitrine offerte à lui. Elle était loin d'être imposante, mais suffisamment développée pour bien tenir entre ses mains. Ses coups de boutoir se firent plus rapides et brefs, secouant tout son petit corps. Lorsqu'elle le supplia, il ne put s'empêcher de rire.

- Hahaha ! Je suis désolé Sarya, mais tu n'évitera rien ! Il se pencha sur elle, léchant sa joue, mordant son oreille. Je vais te marquer et tu pourra jamais m'oublier...hm... ah putain, qu'est ce que t'es bonne...

Les plaintes de Sarya n'avaient fait que l'exciter encore plus, d'autant qu'elle l'avait complimentée malgré elle. Oui, elle était petite, oui, il était trop puissant pour elle... son orgueil, alimenté par la magie rose, était au plus haut. Il grogna d'envie, et, courbé au dessus d'elle, se mit alors à la violer avec frénésie, sans la moindre considération pour son bien-être, la tenant fermement par les hanches.

- Han, han, han, han ! grondait-il au rythme de ses coups de bassin. Il sentait le plaisir monter, toujours plus brûlant, toujours plus violent, pulsant au sein de sa verge. Et puis soudain, l'explosion. Il s'enfonça une ultime fois en elle, soulevant ses petites fesses au-dessus du sol, alors qu'il avait tout son corps tendu vers l'arrière. Il transpirait tellement que sa chemise était collée contre son corps, moulant son physique athlétique.

- Haaaaan....

Son éjaculation était un véritable raz-de-marée. Son vit convulsait au sein de la terranide, expulsant de puissants geysers de semence, qui, bien rapidement, remplirent la femelle bien plus qu'elle ne pouvait supporter. L'humain, d'ordinaire viril, foutrait comme un minotaure. Bien vite, le trop-plein de sperme laiteux et brûlant s'échappa de l'intimité de Sarya, dégoulinant entre ses cuisses et contre le bassin de Grayle, qui resta ainsi, cambré vers l'avant, sa verge fiché en elle, le torse tendu vers l'arrière, jouissant encore et encore dans un râle primitif.

- Bordeeel...

La violence de l'orgasme avait été telle qu'il avait perdu connaissance un bref instant. Repoussé par sa propre semence par un "POP" sonore, son sexe se retrouva à l'air libre, libérant temporairement la terranide dont l'intimité exposée aux quatres vents dégoulinait du sperme du mâle, qui reprenait peu à peu ses esprits...

6
Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: dimanche 02 mars 2025, 12:34:30 »
- Cqu'est dégoûtant c'est les putes comme toi qui pensent tuer sans conséquences ! gronda Grayle, qui enfoncait ses doigts avec force dans l'épaule de la femelle, ses ongles griffant le pelage doux et les muscles fragiles de la magicienne. Elle semblait souple, mais n'avait vraiment pas l'ombre d'une force physique comparé à lui. Ses supplications, ses appels à la pitié alors qu'elle et sosn groupe avaient agressés et tués Grayle, ne faisaient que le rendre plus furieux.

Et elle osait le traiter de dégoûtant ? Il se mit à sourire d'un air vicieux. C'était une terranide. Elle étaient toutes les mêmes. A se débattre, à hurler, pour au final couiner, gémir de plaisir, et réclamer plus. Si ils avaient été réduits en esclavage aussi facilement, c'était en grande partie car il suffisait de culbuter leurs femelles deux-trois fois pour qu'elles jurent fidélité à leurs ravisseurs. Le terme de "fille facile" avait été fait pour elles.

Une main descendit sur son corps, aggripant un de ses seins. Ils n'étaient pas gros, mais suffisament amples pour tenir dans sa main. Il tira son téton rose dressé, avant de gifler le sein en rigolant, pour finalement saisir sa verge, continuant d'utiliser ses jambes pour écarter celles de la terranide.

- On verra si tu dit la même chose ce soir ! dit-il alors que le soleil est encore haut dans le ciel, lui promettant des heures et des heures de souffrance et de plaisir. Son gland veiné écarta les lèvres intimes de la terranide, dont les cris furent étouffés par la main de Grayle, qui empoignait son museau. Il s’enfonça lentement en elle dans un râle de plaisir.

- Putain, le pied...

Elle était brûlante et étroite. Très étroite. Sans mouille, difficile pour lui de glisser. Il n'en eu cure. Avec sauvagerie, il forca le passage, la pénétrant de force, enchaînant les coups de reins vengeurs et brutaux. Sa verge épaisse, veinée et brûlante écarta de force ses parois intimes, se frayant un passage avec autorité. il avait légèrement mal, mais continua de forcer le passage. A chaque impulsion de son bassin, la pauvre se retrouvait encore plus enfoncée dans le sol, ses entrailles écartées.

Après une longue minutes de martèlement, la verge disproportionnée de l'humain se ficha entièrement en elle, brûlante et délicieuse, laissant déjà des trainées de pré-sperme en elle. Le petit ventre de la terranide était légèrement gonflé par le sexe gonflé par la magie rose. Avec délice, il se retira, l'intimité de la terranide désormais large et ronde, déformée par son membre de chair... avant de se ré-enfoncer en elle, ses bourses pleines cognant contre sa croupe et sa queue.

- On t'a déjà dit que t'étais super bonne ? dit-il avec malice. Ses deux mains posées sur sa poitrine, il se met à la pénétrer avec vigueur, ses yeux devenus roses, une legère trainée de bave coulant de sa bouche, alors qu'il cède à ses plus bas instincts, violant l'animal à même le sol de la forêt ?

- Tu t'app...elle comment... d'ailleurs ? Hm... j'ai... ah... bien envie de savoir...

7
Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: mardi 25 février 2025, 01:56:03 »
L'esprit de Grayle est complètement chamboulé par l'explosif cocktail de drogues qui a directement rejoint son sang et ses muscles, concentrant dans un seul être suffisamment de produits de magie rose pour faire désaxer tout un village. L'excitation et le désir brutal insufflés dans son corps et mélangés à sa colère dû à sa mort résultent en un cocktail explosif, qui transforme l'immortel -d'ordinaire paisible- en salopard pervers et sadique. Il plaqua la terranide sans la moindre douceur, comme un cheval de guerre lancé à toute allure. Sans lui laisser le temps de se redresser, il s'installa à califourchon sur sa poitrine, l'immobilisant sous son poids.

- Pitié ?

Avait-elle eu de la pitié lorsqu'elle avait déchiqueté son corps avec sa magie ?

- Ou était ta pitié quand tu m'a tué, salope ?! hurla-t-il, avant de lever sa main. Il la gifla avec force, passant aisément à travers sa garde, envoyant son visage cogner contre le sol. Son bras fit le chemin inverse, claquant son visage avec le revers de la main, laissant une délicieuse sensation de brûlure contre les joues de la blanche, avant de fermer son poing et de la frapper plusieurs fois, de haut en bas comme un marteau, percutant les paumes de la terranide et parfois son visage.

Elle essayait de se débattre et de s'enfuir, pleurant à chaudes larmes. Son corps s'agitait en bas, alors que ses pattes, s'appuyant contre le sol, essayait de créer de la distance entre elle et le mâle qui faisait 30 kilos de plus qu'elle. Il écrasa ses cuisses avec ses genoux, lui faisant pousser des japements de douleur, avant de cogner contre son ventre, lui coupant le souffle. Elle se recroquevilla instinctivement sur le côté, protégeant son abdomen, le visage crispé par la douleur. La terreur palpable dans le regard de sa victime semblait enfin le satisfaire, et il ralentit le rythme de ses coups, tout en maintenant fermement son emprise sur elle.

- Tu fais moins la maline, hein ? Les tentatives de dégagement de la terranide était vaine. Mêmes ses coups de griffes n'avaient aucun effet contre l'homme. Pire, ses mouvements faisaient frotter son corps contre celui du pérégrin, déclenchant une envie puissante et primale qui lui fit arborer un sourire carnassier, avant que son sérieux ne revienne.

Sa magie ! Elle pouvait toujours invoquer sa magie ! Il se saisit de ses poignets, les plaquants au sol, son visage près du sien.

- Je suis très gentil. N'importe qui d'autre que moi t'aurais butée. Mais toi... il lécha sa joue et son oreille, avant de frotter son bassin contre le sien, de manière très équivoque. J'vais te récompenser. J'vais te baiser, de long en large et en travers, tellement qu'taura même plus envie des tiens.

Les relations entre humains et terranides avaient toujours été mauvaises, les derniers ayant été réduits en esclavage par les premiers pour en faire des esclaves sexuels. Peut-être que cet instinct de prédation était présent dans l'homme, dont le premier réflexe, face à cette femelle en détresse, était de jouir de sa faiblesse. Les mains immobilisées, la pauvre ne pouvaient guère faire de magie, alors que ses jambes, écartées avec autorité par les genoux du jeune homme, ne pouvaient que battre sur le sol.

Il l'entendit hurler et appeler à l'aide, mais en vain puisque de toute évidence, les mâles avec elle l'avaient abandonnée. Il se mit à rire, moquant la lâcheté des siens, alors que d'une main, il se mit à défaire sa ceinture et son pantalon. Il poussa un râle de soulagement lorsque sa verge se retrouva à l'air libre. Influencé par la magie rose, son corps avait changé. Son membre était devenu massif, presque violacé, parcourut de larges veines pulsantes. L'odeur était musquée et forte, impossible à ne pas respirer pour la terranide, dont l'odorat fut vite envahi par son odeur. Elle s'agita alors que le mâle se frottait contre elle. Large et lourde, son membre caressait son corps nu.

- Arrête de faire la prude, alors que t'es à poil ! dit-il en la giflant avec force, laissant une autre marque rouge sur son visage qui commencait à gonfler. Je suis sûr que tu fantasme de ca ! dit-il en continuant de se frotter contre elle, son vit brûlant caressant sans la moindre subtilité ses lèvres exposées et son ventre. La terranide était petite et fine. Même lorsque Grayle reculait, son gland humide, duquel  coulait déjà du pré-sperme, dépassait largement son nombril.

- Ah, putain...

Avec impatience, il se saisit de sa verge afin de l'insérer au sein de la terranide dont il ignorait -et s'en fichait bien- le nom. La seule pensée qui l'obsédait était de se venger et de l'humilier, à grand coups de reins !

8
Elle ne lui avait pas répondue. Thaïs, empalée sur sa verge, lui avait rendu caresses et baisers, avant de le plaquer contre le lit, presque agressive dans son amour. Toute inquiétude, résistance ou méfiance de Grayle avait été balayée et, leurs désirs enchaînés l'un à l'autre, les immortels firent l'amour, avant de s'endormir l'un contre l'autre, temporairement repus, peau contre peau et emmitouflés dans des draps poisseux de sueur et de semences. Il ne réalisa que vaguement qu'elle s'était détaché de lui, fuyant la pièce pour la deuxième fois alors qu'il y restait allongé.

L'esprit brumeux de Grayle capta qu'elle se douchait. Pour la... la deuxième fois ? Lui, depuis leur arrivée ici, n'avait pas quitté le lit. Il était poisseux et puant, son odeur virile embaumant les draps. Ne ressentant que la tranquilité de sa compagne, Grayle s'endormit une seconde fois.

Au réveil, Grayle cligna les yeux, sa vision brouillée par la fatigue. Il vit une petite silhouette sur le lit, proche de lui, le fixant avec envie.

- Oh, Thaïs...

Il essaya de se relever, mais n'y parvint pas. Après de longs efforts, bandant ses muscles, il réalisa qu'il était attaché au jeu. Il ria, un rire clair et fort. Il ne savait pas la pérégrine aussi perverse. Jusqu'ici, leurs ébats, aussi puissants et langoureux qu'ils étaient, n'avaient été que très classiques.

"Bonjour éternel! Tu ressemble beaucoup à quelqu'un que je connais !"

La voix sonnait exactement comme Thaïs. Elle ressemblait exactement à Thaïs. Mais Grayle compris, instantanément, qu'elle n'était pas Thaïs. Les lèvres violettes de l'inconnue trahissait sa nature de doppelgangër. Féline, elle avançait vers lui avec souplesse, tellement cambrée qu'il pouvait voir ses fesses se dandiner.

- Vous êtes qui ?

Sa voix était agressive, accusatrice. Les sourcils froncés, Grayle serait probablement intimidant s'il n'était pas nu comme un vers et attaché au lit.

"Je veux te connaître toi aussi, je vais t'appeller Guldo, et quand on se connaîtra mieux tu me suivra en laisse."

- Va chier. Où est Thaïs ?

L'anxiété le rongeait. Sa situation - être ligoté en présence de cette inconnue au visage si semblable à celui de sa partenaire - le mettait profondément mal à l'aise. Son inquiétude se transforma en terreur quand il réalisa qu'il ne percevait plus la présence de Thaïs à travers leur lien. Était-elle sans vie ? L'avait-on kidnappée ? Avait-elle perdu conscience ?  Lorsque "l'autre" se gratta l'oreille comme une chienne, il la regarda avec des yeux ronds. Cette fille semblait complètement folle. Et qu'elle ressemble à son aimée était d'autant plus troublant.

- Libérez moi ! Il se remit à essayer de s'enfuir, sans succès, ses poignets devenant rouges.

L'autre Thaïs le gifla.

- Vous m'avez fait courir toi et la folle! J'aime pas courir! Elle s'était installée entre ses jambes, tirant les draps, révélant la verge du pérégrin.

- Tu schlingue... ca pue le sexe ici ! Vous êtes vraiment des dégénérés. Mais...

Elle retira son haut, exposant à la vue de Grayle une belle petite poitrine ronde, en tout points semblables à celle de Thais...

- Je dois avouer que c'est plutôt excitant... Pendant qu'on s'occupe d'elle, je vais m'occuper de toi...Ses doigts fins caressèrent son sexe, et, malgré toute la résistance mentale de Grayle, la vision de voir son alter ego le masturber fut irrésistible. En quelques instants, il se mit à soupirer, son sexe épais se gonflant alors que l'autre se léchait les babines, caressant un de ses tétons en lui tirant la langue.

- Tu es à moi maintenant... tu peux oublier l'autre...

- Jamais ! Espèce de... hurrrrh.

La jeune fille, lui lançant un regard enflammé et menaçant, avait déjà englouti sa verge, jusqu'à la base, le pompant comme si sa vie en dépendait. Lâchant un râle de plaisir, Grayle, secoué par le désir et de multiples émotions contraires, essayait de trouver un moyen de se tirer d'affaire...

Et il n'était pas le seul dans une mauvaise situation.

Car, du côté de Thaïs, la vraie, celle qu'il aimait, les événements ne se déroulaient guère mieux. Prisonnière, l'immortelle pouvait voir que quatre tentacules gluants et épais s'étaient saisis de ses bras et jambes. Ses gestes se révélèrent bien vites inutiles lorsque les membres visqueux s'enroulèrent doucement autour de ses muscles, remontant lentement vers son torse. La bave qu'ils laissaient picotaient doucement sa peau, et bien vite, tout son corps se retrouva harcelé par cette étrange sensation, comme si elle avaient des fourmis sur tout le corps, rendant son corps plus amorphe, diminuant ses sensations.

Le tentacule autour de sa jambe droite se glissa doucement sous son short, pressant contre, puis sous sa culotte, continuant son chemin pour se glisser entre ses deux fesses, avant de s'enrouler autour de son bassin, se glissant sous son t-shirt. Ses lents mouvements de va-et-vient le pressait avec force contre ses lèvres intimes et son clitoris, bien vite visqueux à cause de la bave, qui se mélangèrent au sperme du pérégrin...

Ceux attachés à ses bras n'étaient pas en restes, glissant sous les bretelles de son haut, caressant les dessous de ses bras. Toujours plus longs, toujours plus chauds, ils saucissonnaient son corps. L'un fit sauter une des bretelles de son haut, dévoilant ses petits seins, qui furent immédiatement la cible du tentacule, pressés et pétris par ce dernier, comme s'il les léchait. L'autre, plus menaçant, entoura doucement son cou, rendant toute respiration difficile, avant de s'engouffrer dans sa bouche, comme pour faire taire ses cris et plaintes. A ce moment, Thaïs pouvait réaliser que la bave laissée par les tentacules, était délicieusement sucrée...

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Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: vendredi 14 février 2025, 17:48:25 »
La mort avait frappé Grayle de plein fouet, trop brutalement et soudainement pour que son corps le sauve du trépas. Le rayon de glace projetée par la petite terranide bleutée, qui s'était jusque là contentée d'observer, avait pulvérisé la moitié de ses os et ses organes internes. Sa dernière pensée fut concentrée sur celle qui avait mis fin à sa vie, alors qu'il s'écrasait dans l'herbe imbibée des liquides qu'il transportait. Ses yeux bleus devinrent vide de toute vie alors que les autres combattants mâles sautaient sur lui, perçant son corps de leurs armes à répétition, jusqu'à ce qu'il rende l'âme, son regard fixé sur la magicienne.

Puis, alors que les sauvages se gaussaient de leur victoire, une douce magie se mit à circuler, cherchant l'âme de Grayle et un endroit où le faire renaître. Son corps, lacéré de toute part, se mit doucement, lentement, à se régénérer. Les plaies, imbibées de la poudre se refermèrent, les os se ressoudaient, alors que les muscles reprenaient leur forme et leur puissance. Son cœur se mit à battre et son sang, mélangé aux composants de magie rose, fut absorbé dans son nouveau corps, circulant à toute vitesse.

Il ouvrit les yeux.

- FWaaaaaaaaaah !

Se redressant d'un seul coup, Grayle prit une grande inspiration. Son corps était encore couvert de sang, ses vêtements déchirés. Mais il n'avait plus la moindre blessure. Ses yeux injectés de sang se tournèrent vers les terranides, les trois guerriers puis la magicienne.

Alors qu'il se relevait, les mâles se mirent à hurler, lançant des appels au secours et décampèrent sans demander leur reste, parlant de malédiction, de magie, de morts vivants eet d'autres sorcelleries auxquelles ils ne souhaitaient pas se frotter. Grayle bavait presque de rage, son cerveau reconstitué encore choqué par le traumatisme de sa mort récente. Les souvenirs remontaient à la surface, et ses yeux bleus glacés se posèrent sur la shaman, qui le regardait avec stupéfaction et ce qui ressemblait à une terreur sourde. Elle était immobile et tremblante, comme si elle hésitait sur ce qu'elle devait faire.

C'est elle. Elle qui l'avait tué. Il se souvint de son sort, de sa douleur, sa mort et surtout, sa colère. La présence, l'existence de la femelle l'enrageait. Et en même temps, une chaleur brûlante, étouffante, envahissait son corps complètement muté par les produits de magie rose. Son bassin lui faisait anormalement mal, alors qu'une érection grossière déformait son pantalon. Il avança vers la terranide, d'un pas robotique, ses yeux fixés sur elle, alors que ses iris devenaient roses.

- Toi... je vais te défoncer !


Sans prévenir, il se précipita sur elle.

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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: mardi 04 février 2025, 18:59:24 »
Goldmary de Fire Emblem Engage. Une femme extrêmement belle (et qui en est parfaitement consciente) qui joue l'épouse parfaite en vue de trouver un bon parti capable de l'entretenir pour qu'elle n'ai pas à se fouler.

Elle est toxique, hypocrite, égocentrique, séductrice au point d'être flippante, mesquine, caractérielle et d'un narcissisme ainsi d'une arrogance stratosphériques avec un égo absolument effroyable, mais à un niveau tel qu'elle dépasse l'insupportabilité pour devenir hilarante, et donc incroyablement charmante. Le pire étant qu'elle est très compétente dans tout ce qu'elle fait, la rendant encore plus énervante adorable.

Je vous laisse découvrir le personnage. Elle est magique. Je ferais des choses atroces pour qu'elle me regarde ne serait-ce qu'un instant.

https://www.youtube.com/watch?v=oW5DxgLx46g

Et vous, quel est votre PREMIER crush d'un personnage de fiction ?

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Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« le: mardi 04 février 2025, 03:27:31 »
Infatigable et immortel, le Pérégrin restait rarement longtemps au même endroit. Mais malgré ca, il arrivait que sa renommée le précède et s'étende à toute une région. Rumeurs et colportages parlent alors d'un beau jeune homme, à la jeunesse et à la vigueur éternelles, prêt à rendre visite et aider celles et ceux dans le besoin. Si ces histoires à dormir debout ne dépassent que rarement le stade de racontars, il arrive que certains les prennent au sérieux, désireux de s'allouer les services d'un allié potentiellement puissant.

Résultat, il arrivait souvent que Grayle fasse équipe, ou agisse en tant qu'émissaire, courrier, aventurier ou protecteur au service de personnes plus ou moins recommandable. S'il n'était pas amoral, Grayle n'était pas non plus un saint, et n'avait guère de problème à travailler avec quelques criminels, ou personnes à l'activité douteuse.

- Hum, encore quelques jours et je devrais en être sorti...

Grayle avait été chargé de transporter en toute urgence d'importants composants magiques. Onguents, huiles, mais aussi poudres issues de nombreuses plantes, utilisées pour dans de nombreuses formules : sérum de vérité, aphrodisiaques, potion de projection astrale, de stabilisation émotionnelles... enfermées dans des pots et fioles, les contenants étaient précieusement rangés dans un sac qu'il portait sur son dos. Son employeur lui avait formellement interdit de les ranger dans son sac sans fond, craignant quelque interférence magique.

" Il se passe quoi si ces produits sont consommés purs ? " avait demandé le pérégrin. La réponse l'avait quelque peu interloqué. " Folie furieuse, dépression maniaque, arrêt cardiaque... ces composants sont trop puissants pour être consommés sous cette forme par un humain.Ils tuent toute inhibition, et ont aussi d'effroyables effets aphrodisiaques. Mais vous n'êtes pas normal, alors... vous êtes le meilleur porteur "

En échange, Grayle avait obtenu un petit trésor : un laissez-passez de platine, lui garantissant libre-passage dans toutes les villes et régions des pays avoisinants. Voilà qui faciliterait sans aucun doute ses voyages... et en échange de quoi ? Une dizaine de jours de marche ? C'était presque trop facile.

Avançant à toute vitesse entre les arbres, le pérégrin regardait autour de lui avec vigilance. On lui avait conseillé de couper à travers la forêt, malgré la présence de terranides. Toutefois, il lui avait été assuré qu'il n'aurait rien à craindre d'eux.

" Il s'agit de réfugiés qui ont fui les esclavagistes avoisinants. Ils se cachent et vivent de petites rapines ou de vols. Il y a plus de chance qu'ils s'enfuient ou se cachent devant votre arrivée qu'autre chose ! "

Aussi, c'est avec assurance que Grayle s'était engagé sur ce territoire. Il n'en aurait que pour une solide journée à marche forcée, et ce raccourci lui permettrait de gagner 3 jours, par rapport à un détour qui l'aurait forcé à emprunter un chemin montagneux.

Mais le jeune immortel allait vite comprendre qu'il s'était fourvoyé. Car arrivé à mi-chemin de son périple, après avoir traversé une clairière, et alors que les frondaisons des arbres commençaient à cacher la lumière du soleil, un trio de terranides, d'apparence lupine et au pelage coloré, s'était approché de lui. Sans hostilité, Grayle les fixa, saisissant discrètement son bâton divin, accroché dans son dos. Capable de s'allonger jusqu'à des distances faramineuses, il s'agissait d'une de ses armes favorites, capable de le défendre sans tuer.

- Hé connard! Pose ton paquetage qu'on discute un peu!

- Fais-ce qu'il te dit mon chou, si tu ne veux pas qu'on te transperce le bide avec cette putain de lame que j'ai pour toi dans les pattes!


Grayle haussa un sourcil, fronçant l'autre. Il avait rarement vu des agresseurs avec autant d'assurance et de bravado. Aucune négociation, ni même de tromperie. Leur honnêteté était presque rafraichissante, si elle n'indiquait pas une mentalité de psychopathe dangereux. Il recula légèrement, essayant vainement de créer de la distance.

- Vous voulez pas qu'on en parle plutôt ? J'ai de l'argent si vous voulez, on a pas besoin d'en venir aux armes... répondit-il, essayant de négocier sa tranquillité, à défaut d'avoir une quelconque vie à protéger. Mais leur refus et leur clair besoin d'en découdre témoignait de leur inexpérience. Un vrai bandit de grand chemin serait ravi d'obtenir des biens sans effort, ni risque, mais ces trois-là, ne s'étaient montrés que dans un seul but : lui casser la gueule.

En clair... trois sombres connards.

Il soupira. Grayle n'aimait pas se battre. Enfin... si, plutôt. Mais les combats inutiles l'exaspéraient. Il réfléchissait, continuant de reculer, alors qu'ils se rapprochaient avec tranquilités, sûrs de leur victoire.

- Hahaha! Vas-y! Crève cette grosse charogne! De toutes façons, on a pas besoin qu'il soit en vie pour lui prendre tout ce qu'il a surement déjà piqué à d'autres pauvres terranides innocents! Dis? T'as violé combien de terranides mon sale gros porc, pour avoir tout ça sur toi?

- Aucune, j'ai pas besoin de violer pour me taper une terranide. Ta mère devrait le savoir, lâcha Grayle. Quitte à se faire agresser, il ne voyait aucune raison d'être poli, et jeter de l'huile sur le feu.

Le terranide le regarda avec fureur, la réplique le touchant au vif.

- Connard ! Je vais te saigner !

Le plus grand des hybrides, une créature grise aux muscles saillants, fendit l'air avec une large épée. Son compagnon noir bondit simultanément, dague en avant. Le troisième, plus petit mais plus agile, tournoyait autour du jeune homme, cherchant une ouverture.

Grayle fit tournoyer son bâton, qui s'allongea soudainement de cinquante centimètres, repoussant la lame du premier assaillant avant de le faire pivoter d'un mouvement fluide. Une fente, et le bout du bâton frappa l'articulation du genou, qui réagit avec un craquement horrible. L'hybride gris poussa un hurlement de douleur, sa jambe subitement instable. Avant qu'il ne puisse se reprendre, Grayle changea de prise et frappa violemment ses côtes d'un revers l'envoyant valser sur le côté.

Il avait été vif, mais pas assez. Le noir, qui avait chargé juste derrière le gris, percuta Grayle, enfonçant son poignard directement dans son ventre. Grayle poussa un hoquet, crachant du sang devant lui. L'hybride poussa un hurlement de victoire, avant de couiner lorsque Grayle le frappa d'un grand coup de tête, pulvérisant sa truffe. Le bandit grogna, vacilla, retirant son poignard pour frapper une seconde fois. Mais l'immortel, qui ne ressentait même pas la douleur du coup, fut le premier à réagir. Son bâton, devenu matraque, s'enfonca contre la gorge du terranide, lui coupant le souffle, en même temps qu'il lui assénait un grand coup de pied dans les valseuses, transformant ses grognements en couinements.

L'hybride gris, rageur et blessé, profita d'un infime moment d'inattention pour viser le bras de l'humain, frappant vers le bas dans un grand mouvement circulaire. Le coup fut si violent que l'os céda avec un craquement sinistre. Le bâton magique échappa un instant à la main de l'immortel, qui recula, momentanément déséquilibré, avant de riposter d'un coup de poing dans la glotte. Il rattrpa son baton dans un mouvement fluide, le fit se rallonger, et frappa le crâne du loup, juste avant de se faire plaquer contre un arbre par le troisième hybride, qui lui mordit l'épaule, avant de hurler lorsque Grayle lui enfonça son bâton dans l'oreille, l'agitant dans tous les sens, forçant son ennemi à se dégager.

- Connard !
- Fils de pute !
- Crève, charogne !


Les insultes fusaient entre chaque coup. Mais pour chaque blessure que Grayle encaissait, il frappait deux fois, avec sauvagerie et brutalité, allongeant et raccourcissant sans cesse son arme pour varier ses angles d'attaque, bougeant en permanence pour ne jamais être encerclé. Mais face à trois ennemis plus puissants que lui, il lui était impossible de lutter sans casse.

Après une paire de minutes, l'immortel était poisseux de sang, le sien, mais aussi celui de ses adversaires. Oeil tuméfié, truffe cassée, genoux brisé, côte fêlée... l'épaule droite du gris pendait, démise par un coup violent du bâton magique. Le noir présentait les stigmates les plus visibles. Son visage était tuméfié, une large plaie le traversant de la tempe à la mâchoire. Sa main droite, où l'os du poignet avait été brisé, pendait inerte. Des traces de sang noir maculaient sa fourrure, témoignant des coups portés. Le troisième, au pelage brun, avait aussi payé un lourd tribut au combat. Un coup de bâton lui avait ouvert le cuir chevelu, une plaie qui saignait abondamment, colorant sa fourrure de rouge sombre. Une profonde entaille lui barrait le flanc gauche, là où l'immortel l'avait cueilli avec l'extrémité du bâton, révélant sa chair et menaçant de s'infecter. L'une de ses oreilles était à moitié arrachée, pendant lamentablement contre son crâne, séquelle d'une parade violente.

Grayle était aussi dans un triste état. Le poignard du gris lui avait ouvert le flanc sur une dizaine de centimètres, traçant un sillon écarlate le long de sa cuisse. Son épaule droite était littéralement lacérée par la morsure de l'hybride brun, la chair déchiquetée laissant apparaître par endroits la masse musculaire et un fragment blanc d'os. Un coup de griffe lui avait ouvert le visage, de la tempe à la mâchoire, une blessure qui partait de son arcade sourcilière et traversait sa joue, révélant une plaie assez large pour qu'on puisse y voir la musculature. Du sang coulait constamment de cette blessure, déformant sa vision du côté droit.

Mais, petit à petit, ses blessures se refermaient, au point qu'après plusieurs minutes, il évoluait sans séquelle, sa respiration claire et maîtrisée, là où les agresseurs commençaient à ahaner, réalisant que leur adversaire n'avait rien de normal, et que ce combat était plus risqué qu'ils ne le pensaient.

- Bah alors les grandes gueules, on ne la ramène plus ? rugit Grayle, l'oeil injecté de sang, un sourire carnassier déformant son visage. Il jouissait de leur visage inquiet, leur hésitation, malgré le fait qu'il serait mort depuis longtemps s'il était un humain normal. Une autre attaque, plus lente, plus engourdie. Ils se fatiguent. Pas lui. Il se décale sur le côté, projette son baton sur le pied de l'hybride, avant de le remonter brutalement vers le haut, brisant la machoire inférieure du loup dans une giclée de sang.

Mais le noir, dans un assaut féroce, attaque lui aussi. Il frappa violemment l'immortel, qui fit une dramatique erreur. Le cuir de son sac se fendit sous le coup d'épée, et les fioles de verre éclatèrent avant de se briser avec un tintement cristallin. Une fine poussière ambrée s'éleva dans l'air, dansant entre les rayons de lumière qui filtraient à travers le feuillage. Grayle poussa un juron, une colère sourde l'envahissant avec une force incontrôlable.

- ENCULE !

Il leva ses bras, frappant le terranide au visage, le projetant au sol. La poussière flottait dans l'air, s'incrustant contre la peau du pérégrin, absorbée à chaque inspiration, décuplant sa colère et sa vitalité à un degré effroyable, alors qu'il s'écharnait contre le terranide, le rouant de coup sous les regards interdits -et proprement terrifiés- des deux autres agresseurs.

Pendant ce temps, les fioles brisées continuaient de répandre leur contenu, transformant progressivement le sol forestier en un piège chimique subtil dont seul l'immortel semblait affecté...

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Les terres sauvages / Chasseurs d'Éternité (Yukka/Grayle)
« le: vendredi 31 janvier 2025, 17:55:12 »
- Mais quel coin de merde quand même...

Grayle, réfugié sur une branche basse d'un arbre colossal dont il ne connaissait pas le nom, regardait autour de lui. Le soleil de plomb écrasait la végétation des environs, transformant l'immense étendue de la savane en un tableau de chaleur ondulante.  Les herbes hautes jaunes, rouges et orangées se mêlaient aux arbustes noueux des zones marécageuses, qui traversaient la savane comme autant de rivières et d'oasis. Large de centaines de kilomètres de rayon, la savane ardente de Koz-Tarela comptait parmi les endroits les plus dangereux de la région. Nichée entre plusieurs nations terranides, il s'agissait d'une zone tampon, que personne ne revendiquait clairement, faute d'avoir la capacité d'y établir plus qu'un avant-poste temporaire.

En effet, entre les crocodiles géants, les arbres dévoreurs d'homme dont l'écorce était faite de muscles de chair et qui se déplaçaient régulièrement, les araignées géantes ET volantes, les buissons tentaculaires, les dinosaures, les serpents géants, les tigres invisibles et les aigles carnivores nichant dans les montagnes surplombant la savane, Koz-Tarela était un gigantesque doigt d'honneur à la civilisation. Les seuls êtres pensants y évoluant étaient généralement des exilés, des contrebandiers ou réfugiés préférant la discrétion de cette zone échappant à toute surveillance, et quelques aventuriers.

Car, aussi dangereuse soit-elle, Koz-Tarela recélait de trésors naturels. Ecailles servant de bouclier alchimique, griffes utilisées dans les rituels chamaniques, eaux miraculeuses capables de guérir et rajeunir, plantes rares pouvant créer des potions médicinales ou hallucinatoires... les utilisations ne manquaient pas, et les prix pouvaient atteindre des sommes faramineuses. Suffisamment pour tenter quelqu'un comme Grayle, bien que l'argent soit souvent le cadet de ses soucis.

Car c'est la soif d'aventure qui, depuis des siècles, animait l'âme du jeune immortel. Avec lenteur, il essuya la sueur qui coulait sur son front et collait ses cheveux. Il était dans la savane depuis plusieurs jours, arrivant en vue des aires marécageuses. Jusqu'ici, il avait pu éviter toute mauvaise rencontre. Il faut dire qu'un simple humain, fragile et fébrile, n'attirait pas forcément l'attention des monstres locaux, qui avaient mieux à faire que se soucier d'un simple bipède, quand d'autres rivaux s'aventuraient sur leur territoire. Un profil bas, une démarche discrète et rapide lui avaient pour l'instant souris. Il faut dire qu'il n'en était pas à son premier rodéo.

- Bon, la prochaine direction... marmonna-t-il en consultant sa carte, continuant de jeter des coups d'oeil autour de lui, afin de s'assurer qu'un serpent arboricole ne décide de faire de lui son prochain repas. Hum, encore quelques jours de marche avant d'arriver près des pics et cavernes ou, selon les informations de son commanditaire, se trouvait La "Fleur de Vérité Éphémère".

Cette plante permettait, lorsque ses essences sont libérées, de créer une fenêtre temporaire de vulnérabilité émotionnelle et sensorielle. Transformée en poudre de vérité sensorielle, elle était aussi connue comme pouvant provoquer une désinhibition temporaire de 2-3 heures, amplifiant l'empathie, et révélant les désirs profonds. Élixir de séduction, poudres de vérité pour enquêteurs, encens pour rituels shamaniques, les applications étaient nombreuses, et très recherchées par les populations locales. Grayle n'en avait aucune utilité, et les sorciers de l’Académie Lenwë, qu'il avait déjà rencontré il y a quelques décennies,  faisaient confiance à l'immortel, de par sa capacité à... et bien, ne pas mourir même en cas d'erreur. Une fiabilité indispensable dans son métier.

Refermant sa carte, qu'il rangea dans son sac sans fond, Grayle souffla, conscient de l'immense voyage qu'il aurait à faire pour rapporter la plante. Vérifiant que la voie était libre, il se laissa tomber sur le sol meuble de la savane, reprenant sa marche, avançant dans un silence témoignant son expertise. Vêtu de bottes légères, d'un pantalon de orangée et d'une chemise vert kaki ouvertes sur son torse, il avait aussi peinturluré son ses bras, son visage et son torse avec de larges bandes d'onguent, rendant sa silhouette difficile à cerner, se mélangeant avec le paysage, tout en neutralisant son odeur et repoussant les insectes.

Chaque sens à l'affût, il continua sa marche, l'odeur terreuse de champignons en décomposition se mêlant au parfum âcre d'un cadavre de carnosaure à quelques centaines de mètres...

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Le coin du chalant / Re : Carnet de traque / Lioren
« le: jeudi 16 janvier 2025, 19:29:07 »
Aucun problème Lioren, je suis à ta disposition !

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Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: lundi 13 janvier 2025, 17:26:15 »
Franchement, oui.

Embrasseriez vous votre banquier/banquière pour un meilleur crédit ?

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Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: lundi 13 janvier 2025, 17:08:39 »
Évidemment

Embrasseriez vous Elon Musk ?

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